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Invité
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An -60
- J’aime pas ça, transporter des étrangers… Je trouve que c’est une mauvaise idée.
- Arrête… Il a payé, ce qui convient au capitaine me convient, et ça devrait te convenir aussi.
- Mouais… Il est quand même loin de chez lui non ? Melorn c’est pas la porte à côté, et tu l’as vu ? Il s’est sûrement pas fait cette balafre en allant à la chorale. C’est de mauvais augure, c’est tout ce que je dis.
- Tais-toi donc et hisse les voiles avant que l’on arrive aux quais.
Le marin continua de marmonner, à un ton suffisamment bas pour que l’elfe ne puisse pas comprendre la suite de ses propos. L’exilé s’accouda au bastingage et observa le port se dessiner peu à peu à l’horizon. Depuis combien de temps avait-il quitté Melorn ? Il était incapable de le dire, en parcourant le vaste monde, la notion du temps se faisait parfois abstraite, encore plus lorsque l’on peut vivre un millénaire.
Par le passé, lorsqu’il était encore animé de la fougue de la jeune, il n’aurait pas hésité un seul instant à se saisir du marin pour lui inculquer la notion de respect. Contre toute attente il avait finalement gagné en maturité, appréciant ce genre de comportement avec ironie. Tout était une question de temps, au vu de son allure générale, le marin devait avoir atteint la moitié de sa vie, en étant chanceux il pourrait peut-être voir encore quarante hivers. Pourquoi aurait-il perdu son temps avec une personne dont l’espérance de vie était comparable à un battement de cil à l’échelle de la sienne ?
Après de longues minutes de manœuvre, le navire s’immobilisa enfin, Lórindol débarqua sans perdre une minute, disparaissant au milieu des gens venus aider pour le déchargement de la cargaison. L’exilé n’était pas venu ici pour le plaisir, plus vite il trouverait sa cible, plus vite il pourrait quitter l’endroit. D’ailleurs, pour corriger les propos du marin, il n’avait rien « payé », il s’agissait plutôt d’un échange de bon procéder entre le capitaine du navire, et l’assassin. Le propriétaire du bateau devait le conduire jusqu’à sa cible, une fois celle-ci morte, il s’engageait à le conduire n’importe où. L’homme qu’il devait éliminer était un ancien membre d’équipage de navire de commerce, un type qui avait finalement lancé sa propre entreprise pour faire concurrence a son ancien employeur. De ce qu’il avait appris, le bougre n’était pas fort en affaire, si bien qu’il passait la majeure partie de son temps à dépenser le peu d’argent gagné en fille de joie et alcool. Bien qu’il se révélât finalement être un piètre concurrent, il donnait cependant une bien mauvaise image de la profession. Éliminer cet individu c’était comme rendre service à toutes les compagnies marchandes, un mal pour un bien en quelque sorte. Lórindol avait accepté sans hésiter, éliminer un homme ivre de vin et majoritairement entouré de catins n’avait rien de bien compliqué, du moins c’est ce qu’il imaginait.
Il ne fallut pas longtemps à l’exilé pour atteindre le bordel que lui avait indiqué le capitaine. De l’extérieur l’endroit semblait calme et ne ressemblait aucunement à un lieu miteux. Comme beaucoup de personnes, l’elfe n’était pas contre le fait de profiter parfois d’une charmante compagnie, du moins sous certaines conditions. C’était plutôt l’idée de payer pour cette compagnie qui ne lui plaisait pas. Il savait qu’il devait rechercher un homme dans la force de l’âge, avec une cicatrice en forme de croissant de lune à la base du cou. Lórindol poussa porta d’entrée et fut aussitôt assaillit par l’odeur de sueur et de parfum qui régner dans la pièce principale. Le hall était une pièce circulaire dotée de plusieurs petites alcôves dans lesquelles il était possible de s’éclipser pour profiter un peu plus des services de l’établissement. Son regard croisa quelques visages pour le moins surpris, comme si la population locale n’avait jamais vu un Elfe. Confiant, il continua son chemin jusqu'à l'escalier principal, mais une jeune femme l'interpella juste avant qu'il ne puisse l'atteindre.
- Je peux t’aider mon mignon ? Je ne t’ai encore jamais vu dans le coin, tu n’as pas le genre de visage qu’on oublie si tu vois ce que je veux dire.
- Peut-être bien, oui. Je cherche un homme, plutôt porté sur la boisson, un marchand qui passe souvent dans votre humble établissement, il a une cicatrice en forme de croissant de lune.
- Et tu lui veux quoi à ce bon « marchand » ?
- C’est une personne peu recommandable, je préfère m’assurer qu’il ne fasse rien de mal.
- Il n’a encore rien fait de mal ici tu peux me croire, mais va donc vérifier par toi-mêm si cela t'amuse. Tu le trouvera dans une des chambres sur la gauche, il est avec sa régulière. Et pas de grabuge, c’est compris ? M'oblige pas à faire venir la garde, ça sera dommage de quitter l'endroit les pieds devant.
- J’en prends note, merci.
La garde ? Il comptait bien disparaître aussi vite qu’il était venu, garde ou pas, il ne serait plus là lorsqu’on daignerait envoyer une patrouille dans un bordel du coin. Il grimpa la quinzaine de marches et emprunta le couloir de gauche comme le lui avait indiqué la tenancière. Les deux premières chambres étaient bel et bien occupées, mais pas par la bonne personne, bien sûr on l’insulta copieusement pour ses deux irruptions, mais il ne s’en formalisa pas. La troisième porte quant à elle était verrouillée. L’elfe se recula et donna un puissant coup de pied au niveau du verrou, le battant s’ouvrir avec fracas en endommageant le chambranle. L’homme qui se tenait en face de lui était torse nu, cela laissait apparaître une cicatrice à la forme singulière, ses braies sur les chevilles l'homme n'était pas en position de force.
- T’es qui toi ?!
- La Compagnie te salue.
L’homme devint alors aussi pâle qu’un cadavre et jeta la bouteille qu’il avait à la main puis il tenta de remonter son pantalon. Faisant totalement abstraction de la « régulière » présente dans la pièce, l’elfe évita la bouteille volante d’un pas sur le côté et se dirigea aussitôt vers l’ivrogne qui peinait à se maintenir debout, la fenêtre derrière celui-ci était un point de sortie idéal. Une fois au contact l’exilé envoya son poing dans le bas-ventre de sa cible le forçant alors à se plier en deux. Sous l’effet de l’alcool l’homme était mou, maladroit il n’opposa que peu de résistance lorsque d’un coup de pied l’elfe l’envoya en direction de la fenêtre. C’est à moitié nu que l’ivrogne traversa la fenêtre pour finir sa course en contrebas sur le parvis de l’établissement. Lórindol comptait passer par la même fenêtre afin de s’enfuir et profiter de la foule pour se dissimuler et retourner au port.
- Hé ! Vous là !
Le corps de l’ivrogne était bien étendu sur le sol, il avait d’ailleurs dans sa chute cassé une balustrade. Malheureusement, il était tombé pile sous les yeux d’une patrouille passant par-là, et à présent les trois gardes avaient leurs yeux rivés sur l’elfe que l’on pouvait apercevoir à l’étage du bordel.
- Arrête… Il a payé, ce qui convient au capitaine me convient, et ça devrait te convenir aussi.
- Mouais… Il est quand même loin de chez lui non ? Melorn c’est pas la porte à côté, et tu l’as vu ? Il s’est sûrement pas fait cette balafre en allant à la chorale. C’est de mauvais augure, c’est tout ce que je dis.
- Tais-toi donc et hisse les voiles avant que l’on arrive aux quais.
Le marin continua de marmonner, à un ton suffisamment bas pour que l’elfe ne puisse pas comprendre la suite de ses propos. L’exilé s’accouda au bastingage et observa le port se dessiner peu à peu à l’horizon. Depuis combien de temps avait-il quitté Melorn ? Il était incapable de le dire, en parcourant le vaste monde, la notion du temps se faisait parfois abstraite, encore plus lorsque l’on peut vivre un millénaire.
Par le passé, lorsqu’il était encore animé de la fougue de la jeune, il n’aurait pas hésité un seul instant à se saisir du marin pour lui inculquer la notion de respect. Contre toute attente il avait finalement gagné en maturité, appréciant ce genre de comportement avec ironie. Tout était une question de temps, au vu de son allure générale, le marin devait avoir atteint la moitié de sa vie, en étant chanceux il pourrait peut-être voir encore quarante hivers. Pourquoi aurait-il perdu son temps avec une personne dont l’espérance de vie était comparable à un battement de cil à l’échelle de la sienne ?
Après de longues minutes de manœuvre, le navire s’immobilisa enfin, Lórindol débarqua sans perdre une minute, disparaissant au milieu des gens venus aider pour le déchargement de la cargaison. L’exilé n’était pas venu ici pour le plaisir, plus vite il trouverait sa cible, plus vite il pourrait quitter l’endroit. D’ailleurs, pour corriger les propos du marin, il n’avait rien « payé », il s’agissait plutôt d’un échange de bon procéder entre le capitaine du navire, et l’assassin. Le propriétaire du bateau devait le conduire jusqu’à sa cible, une fois celle-ci morte, il s’engageait à le conduire n’importe où. L’homme qu’il devait éliminer était un ancien membre d’équipage de navire de commerce, un type qui avait finalement lancé sa propre entreprise pour faire concurrence a son ancien employeur. De ce qu’il avait appris, le bougre n’était pas fort en affaire, si bien qu’il passait la majeure partie de son temps à dépenser le peu d’argent gagné en fille de joie et alcool. Bien qu’il se révélât finalement être un piètre concurrent, il donnait cependant une bien mauvaise image de la profession. Éliminer cet individu c’était comme rendre service à toutes les compagnies marchandes, un mal pour un bien en quelque sorte. Lórindol avait accepté sans hésiter, éliminer un homme ivre de vin et majoritairement entouré de catins n’avait rien de bien compliqué, du moins c’est ce qu’il imaginait.
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Il ne fallut pas longtemps à l’exilé pour atteindre le bordel que lui avait indiqué le capitaine. De l’extérieur l’endroit semblait calme et ne ressemblait aucunement à un lieu miteux. Comme beaucoup de personnes, l’elfe n’était pas contre le fait de profiter parfois d’une charmante compagnie, du moins sous certaines conditions. C’était plutôt l’idée de payer pour cette compagnie qui ne lui plaisait pas. Il savait qu’il devait rechercher un homme dans la force de l’âge, avec une cicatrice en forme de croissant de lune à la base du cou. Lórindol poussa porta d’entrée et fut aussitôt assaillit par l’odeur de sueur et de parfum qui régner dans la pièce principale. Le hall était une pièce circulaire dotée de plusieurs petites alcôves dans lesquelles il était possible de s’éclipser pour profiter un peu plus des services de l’établissement. Son regard croisa quelques visages pour le moins surpris, comme si la population locale n’avait jamais vu un Elfe. Confiant, il continua son chemin jusqu'à l'escalier principal, mais une jeune femme l'interpella juste avant qu'il ne puisse l'atteindre.
- Je peux t’aider mon mignon ? Je ne t’ai encore jamais vu dans le coin, tu n’as pas le genre de visage qu’on oublie si tu vois ce que je veux dire.
- Peut-être bien, oui. Je cherche un homme, plutôt porté sur la boisson, un marchand qui passe souvent dans votre humble établissement, il a une cicatrice en forme de croissant de lune.
- Et tu lui veux quoi à ce bon « marchand » ?
- C’est une personne peu recommandable, je préfère m’assurer qu’il ne fasse rien de mal.
- Il n’a encore rien fait de mal ici tu peux me croire, mais va donc vérifier par toi-mêm si cela t'amuse. Tu le trouvera dans une des chambres sur la gauche, il est avec sa régulière. Et pas de grabuge, c’est compris ? M'oblige pas à faire venir la garde, ça sera dommage de quitter l'endroit les pieds devant.
- J’en prends note, merci.
La garde ? Il comptait bien disparaître aussi vite qu’il était venu, garde ou pas, il ne serait plus là lorsqu’on daignerait envoyer une patrouille dans un bordel du coin. Il grimpa la quinzaine de marches et emprunta le couloir de gauche comme le lui avait indiqué la tenancière. Les deux premières chambres étaient bel et bien occupées, mais pas par la bonne personne, bien sûr on l’insulta copieusement pour ses deux irruptions, mais il ne s’en formalisa pas. La troisième porte quant à elle était verrouillée. L’elfe se recula et donna un puissant coup de pied au niveau du verrou, le battant s’ouvrir avec fracas en endommageant le chambranle. L’homme qui se tenait en face de lui était torse nu, cela laissait apparaître une cicatrice à la forme singulière, ses braies sur les chevilles l'homme n'était pas en position de force.
- T’es qui toi ?!
- La Compagnie te salue.
L’homme devint alors aussi pâle qu’un cadavre et jeta la bouteille qu’il avait à la main puis il tenta de remonter son pantalon. Faisant totalement abstraction de la « régulière » présente dans la pièce, l’elfe évita la bouteille volante d’un pas sur le côté et se dirigea aussitôt vers l’ivrogne qui peinait à se maintenir debout, la fenêtre derrière celui-ci était un point de sortie idéal. Une fois au contact l’exilé envoya son poing dans le bas-ventre de sa cible le forçant alors à se plier en deux. Sous l’effet de l’alcool l’homme était mou, maladroit il n’opposa que peu de résistance lorsque d’un coup de pied l’elfe l’envoya en direction de la fenêtre. C’est à moitié nu que l’ivrogne traversa la fenêtre pour finir sa course en contrebas sur le parvis de l’établissement. Lórindol comptait passer par la même fenêtre afin de s’enfuir et profiter de la foule pour se dissimuler et retourner au port.
- Hé ! Vous là !
Le corps de l’ivrogne était bien étendu sur le sol, il avait d’ailleurs dans sa chute cassé une balustrade. Malheureusement, il était tombé pile sous les yeux d’une patrouille passant par-là, et à présent les trois gardes avaient leurs yeux rivés sur l’elfe que l’on pouvait apercevoir à l’étage du bordel.
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Ce n'est pas permis d'être aussi saoul ni débile, pense Halewyn en titubant, chausses aux chevilles, en matant son propre corp offert à la concupiscence du client qu'iel incarne. Ce qui a commencé par un jeu l'ennuie maintenant profondément. Encore de la routine... Et dire qu'iel a fuit les Pins blancs pour échapper à ça !!! Iel a atterrit ici simplement parce qu'iel a bien prit conscience que, physiquement, iil succube ne pouvait se défendre seule. Et hors de question de rentrer la queue entre les jambes. Halewyn a son égo de déesse après tout à maintenir !!! Quel dieu rentre à peine trois mois après être parti ???
Bref .. Le mortel a aimé ça un peu trop au goût de iel succube qui cherche un moyen de mettre fin aux festivités ou d'ajouter un truc nouveau, du challenge !!! Et essayant de réfléchir dans la brume semi opaque de l'alcoolémie du gus, iel prend une autre gorgée de rhum. Ses papilles se tordent sous la force du tord boyaux, ce qui le fait grimacer. Peut-être qu'il pourrait ne rien faire du tout ce soir. Tiens, ça lui ferait des vacances... Le saouler à mort et aller hanter ses rêves pour les transformer en cauchemars... Tiens, voilà ce qui serait divertissant !!!! Halewyn aimerait bien refaire le portrait du mortel, mais il n'est pas encore assez anesthésié. Encore quelques gorgées pour noyer sa conscience, et iel pourra peut-être pouvoir faire couler quelques gouttes?
La serrure cliquète sur le pêne, mais la planche de pin rempli son office.
-C'est occ... hic!... cupé!!!
Gueule l'humain en faisant ondoyer le liquide ambré dans la bouteille. Manifestement, le visiteur ne l'entend pas de cette oreille et la planche explose littéralement, envoyant la porte percuter le mur et se décrocher d'à moitié sur ses gonds... Oh! Enfin de l'excitation! Du changement !!!! Titubant, sourcils froncés en une parodie d'irritation très mal jouée, l'ivrogne se tourne et envisage le nouveau venu... Elfe blond, avec une cicatrice et tatoué... Il prend une gorgée de rhum en regardant l'intrus, essayant d'avoir l'air féroce et crédible. M'enfin, autant que faire se peut dans sa position des plus burlesques.
- T’es qui toi ?![/size]
- La Compagnie te salue.
Il y eut un revirement de situation, le propriétaire légitime du corp prenant iel succube par surprise. Il eut le temps de pâlir et de lancer une bouteille que Halewyn rendit approximative, (quoique, pour être franc, iel succube me dit qu'il voyait presque double, alors iel n,a aucun, mais aucun mérite. ) de vouloir remonter ses braies.
Le coup au ventre fit grogner les deux occupants du corp, Halewyn bataillant ferme pour être aux premières loges de ce qui s'apparente à une expérience des plus divertissantes. Une exécution. Un coup de pied en plein poitrail l'envoya vers la fenêtre, la douleur effritant le contrôle de iel succube sur lui aussi surement qu'une vague une poignée de sable. Malheureusement, iel ne put assister à la chute, le second coup de pied ayant brisé la possession.
La jeune putain se redressa soudainements sur sa couche, une fine pellicule de sueur faisant briller sa peau de porcelaine, ses cheveux rouges épars autour d'iel comme une flaque de sang. Un sourire ravi au visage, l'oeil noir pétillant, elle vit l'assassin se pencher par la fenêtre et fit une moue ravissante. Quoi? Il s'en va déja???
Hé ! Vous là !
AH!!! Il n'est vraiment pas verni, aussi, sans réfléchir, iel sauta en bas du lit et enleva son kimono en disant d'un ton urgent.
-Hé toi... Enlève ta chemise et va dans le lit. Je vais te couvrir sauf si tu préfères courir toute la nuit?
Devant l'air, iel cru bon d'ajouter, le vêtement glissant sur sa croupe alléchante, révélant le fessier ferme et haut perché.
Je te promets que tu ne le regretteras pas.
L'elfe a une fenêtre de trente secondes pour se décider en fait. Fera t'il confiance a l'inconnue, la prostituée étrange è; la taille fine comme un saule qui lui tourne le dos et le fixe par-dessus son épaule de son oeil noir pétillant, ou tentera t'il une fuite qui s'annonce de longue haleine?
Bref .. Le mortel a aimé ça un peu trop au goût de iel succube qui cherche un moyen de mettre fin aux festivités ou d'ajouter un truc nouveau, du challenge !!! Et essayant de réfléchir dans la brume semi opaque de l'alcoolémie du gus, iel prend une autre gorgée de rhum. Ses papilles se tordent sous la force du tord boyaux, ce qui le fait grimacer. Peut-être qu'il pourrait ne rien faire du tout ce soir. Tiens, ça lui ferait des vacances... Le saouler à mort et aller hanter ses rêves pour les transformer en cauchemars... Tiens, voilà ce qui serait divertissant !!!! Halewyn aimerait bien refaire le portrait du mortel, mais il n'est pas encore assez anesthésié. Encore quelques gorgées pour noyer sa conscience, et iel pourra peut-être pouvoir faire couler quelques gouttes?
La serrure cliquète sur le pêne, mais la planche de pin rempli son office.
-C'est occ... hic!... cupé!!!
Gueule l'humain en faisant ondoyer le liquide ambré dans la bouteille. Manifestement, le visiteur ne l'entend pas de cette oreille et la planche explose littéralement, envoyant la porte percuter le mur et se décrocher d'à moitié sur ses gonds... Oh! Enfin de l'excitation! Du changement !!!! Titubant, sourcils froncés en une parodie d'irritation très mal jouée, l'ivrogne se tourne et envisage le nouveau venu... Elfe blond, avec une cicatrice et tatoué... Il prend une gorgée de rhum en regardant l'intrus, essayant d'avoir l'air féroce et crédible. M'enfin, autant que faire se peut dans sa position des plus burlesques.
- T’es qui toi ?![/size]
- La Compagnie te salue.
Il y eut un revirement de situation, le propriétaire légitime du corp prenant iel succube par surprise. Il eut le temps de pâlir et de lancer une bouteille que Halewyn rendit approximative, (quoique, pour être franc, iel succube me dit qu'il voyait presque double, alors iel n,a aucun, mais aucun mérite. ) de vouloir remonter ses braies.
Le coup au ventre fit grogner les deux occupants du corp, Halewyn bataillant ferme pour être aux premières loges de ce qui s'apparente à une expérience des plus divertissantes. Une exécution. Un coup de pied en plein poitrail l'envoya vers la fenêtre, la douleur effritant le contrôle de iel succube sur lui aussi surement qu'une vague une poignée de sable. Malheureusement, iel ne put assister à la chute, le second coup de pied ayant brisé la possession.
La jeune putain se redressa soudainements sur sa couche, une fine pellicule de sueur faisant briller sa peau de porcelaine, ses cheveux rouges épars autour d'iel comme une flaque de sang. Un sourire ravi au visage, l'oeil noir pétillant, elle vit l'assassin se pencher par la fenêtre et fit une moue ravissante. Quoi? Il s'en va déja???
Hé ! Vous là !
AH!!! Il n'est vraiment pas verni, aussi, sans réfléchir, iel sauta en bas du lit et enleva son kimono en disant d'un ton urgent.
-Hé toi... Enlève ta chemise et va dans le lit. Je vais te couvrir sauf si tu préfères courir toute la nuit?
Devant l'air, iel cru bon d'ajouter, le vêtement glissant sur sa croupe alléchante, révélant le fessier ferme et haut perché.
Je te promets que tu ne le regretteras pas.
L'elfe a une fenêtre de trente secondes pour se décider en fait. Fera t'il confiance a l'inconnue, la prostituée étrange è; la taille fine comme un saule qui lui tourne le dos et le fixe par-dessus son épaule de son oeil noir pétillant, ou tentera t'il une fuite qui s'annonce de longue haleine?
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Il n’avait pas fallu plus d’une minute pour qu’une mission à première vue simple ne devienne nettement plus compliquée. Quelle était la probabilité qu’une patrouille décide de passer dans la rue au même moment où il « aida » l’ivrogne quitter rapidement le bâtiment. Ce n’était pas la première fois qu’il devait échapper à une patrouille, mais ce n’était pas une activité qu’il appréciait vraiment, trop de vacarme, trop de visibilité pour une profession si humble. Il avait choisi de ne pas utiliser ses pouvoirs, car une vermine pareille ne méritait nullement que l’on gâche de l’énergie pour elle. Il y avait un double intérêt à ne pas faire usage de magie, celui de possiblement passer pour quelqu’un de tout à fait normal, un simple meurtrier comme il en existe beaucoup à travers le vaste monde, faire usage de ses talents pourrait être une solution de secours.
Le regard azur de l’elfe se posa finalement sur la silhouette qui sauta hors du lit, malgré la situation il ne s’attarda pas plus que cela. Il avait… une drôle de sensation, il ressentait une certaine forme de magie en ses lieux, bien qu’il ne fût pas en mesure d’en déterminer la source, il était certain que cela ne venait pas de lui. Pourquoi est-ce que quelqu’un accepterait de l’aider, surtout maintenant, tout compte fait peut-être que l’ivrogne était véritablement un sale type et qu’il avait rendu service à plus de personnes qu’il ne l’aurait pensé, mais… même avec une certaine logique tout cela n’en restait pas moins très étrange. La proposition de l’étrangère faite, l’elfe posa de nouveau son regard sur la fenêtre, devait-il confier sa vie à une inconnue ou à la chance ? En acceptant ce contrat, il n’avait à aucun moment imaginé que celui-ci pourrait se finir dans un lit. Bien que sur ses gardes, il hocha la tête. Aux moindres soucis il pourrait toujours utiliser quelques formes obscures pour distraire les gardes et sauter à son tour par la fenêtre. Même si cela ne se voyait peut-être pas sur son visage balafré, Lórindol n’appréciait pas du tout la lueur qui brillait du regard de la régulière. Faire preuve d’un tel sang-froid était rare, même des personnes habituées à ce genre de situation pouvaient parfois perdre leur calme, alors que là tout semblait s’enchaîner naturellement.
L’exilé retira sa veste et la jeta sur le sol à côté du lit, ainsi elle serait dissimulée si quelqu’un pénétrait dans la chambre. Il pouvait encore se défendre, il avait bien entendu ses pouvoirs, mais aussi une dague bien affutée dans sa botte, le genre d’arme idéal pour trouver une faille dans une armure ou se frayer un chemin entre les côtes d’une éventuelle menace. Il tira la couverture et s’installa, les draps étaient humides, mais il préféra ne pas y penser. Silencieux, il repensa à la dernière phrase de la prostituée.
« Tu ne le regretteras pas »
Que risquait-il de regretter ? Au moindre un problème ce n’est pas lui qui risquait d’avoir des regrets, mais bien ceux souhaitant s’en prendre à lui, ce n'était pas un simple elfe venu pour visiter le coin, une fois la garde évitée il reprendrait la route.
Le regard azur de l’elfe se posa finalement sur la silhouette qui sauta hors du lit, malgré la situation il ne s’attarda pas plus que cela. Il avait… une drôle de sensation, il ressentait une certaine forme de magie en ses lieux, bien qu’il ne fût pas en mesure d’en déterminer la source, il était certain que cela ne venait pas de lui. Pourquoi est-ce que quelqu’un accepterait de l’aider, surtout maintenant, tout compte fait peut-être que l’ivrogne était véritablement un sale type et qu’il avait rendu service à plus de personnes qu’il ne l’aurait pensé, mais… même avec une certaine logique tout cela n’en restait pas moins très étrange. La proposition de l’étrangère faite, l’elfe posa de nouveau son regard sur la fenêtre, devait-il confier sa vie à une inconnue ou à la chance ? En acceptant ce contrat, il n’avait à aucun moment imaginé que celui-ci pourrait se finir dans un lit. Bien que sur ses gardes, il hocha la tête. Aux moindres soucis il pourrait toujours utiliser quelques formes obscures pour distraire les gardes et sauter à son tour par la fenêtre. Même si cela ne se voyait peut-être pas sur son visage balafré, Lórindol n’appréciait pas du tout la lueur qui brillait du regard de la régulière. Faire preuve d’un tel sang-froid était rare, même des personnes habituées à ce genre de situation pouvaient parfois perdre leur calme, alors que là tout semblait s’enchaîner naturellement.
L’exilé retira sa veste et la jeta sur le sol à côté du lit, ainsi elle serait dissimulée si quelqu’un pénétrait dans la chambre. Il pouvait encore se défendre, il avait bien entendu ses pouvoirs, mais aussi une dague bien affutée dans sa botte, le genre d’arme idéal pour trouver une faille dans une armure ou se frayer un chemin entre les côtes d’une éventuelle menace. Il tira la couverture et s’installa, les draps étaient humides, mais il préféra ne pas y penser. Silencieux, il repensa à la dernière phrase de la prostituée.
« Tu ne le regretteras pas »
Que risquait-il de regretter ? Au moindre un problème ce n’est pas lui qui risquait d’avoir des regrets, mais bien ceux souhaitant s’en prendre à lui, ce n'était pas un simple elfe venu pour visiter le coin, une fois la garde évitée il reprendrait la route.
Invité
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L'elfe fit son choix rapidement, et Halewyn n'attendit pas.
Ne bouge pas. Sur le ventre... , fais moi confiance.
Ordonne t'iel tandis qu'iel se tourne, révélant son côté face, exhibant son androgynie sans aucune honte. D'un mouvement leste, iel attrappa la bouteille de rhum et en fit voler quelques gouttes dans l'air, avant de la laisser tomber sur le bord du lit. Rapidement, iel prit la couverture et en couvrit Lolo jusqu'à la taille. Quelques modifications subtiles suffiront, décide t'iel en bondissant dans le lit,, le noyant presque sous sa lourde masse de cheveux sanglants, cul vers la porte... Ouf! Il est temps, les bottes des gardes . remontent déjà le corridor, fracassant les portes les unes après les autres.
Un hurlement féminin se fait entendre. C'est une Halewyn qui joue la terrorisée quand un garde fait irruption dans la pièce, une grande main posée dans le creux des reins de l'elfe qui ne voit rien, perdu dans les cheveux rouges. .
-IIIHHHHH
-Ta gueule...
Faignant les sanglots, la putain laisse les larmes couler le long de son visage, cherchant maladroitement à se couvrir, recroquevillée pour protéger son client.
-Ta vu un elfe?
-Mon monSIEUR!!!
Sanglote de plus belle la jeune femme. Si on pouvait décerner un oscar , ca serait cette nuit là!
-Qui tu protège?
-J'ai un client sourd... Il ne sait pas ce qui se passe.... Laissez le dormir!
Ce qui, techniquement est vrai, il y a un vieux crouton du village, sourd comme un pot qui vient lui rendre visite juste pour de la compagnie. Et `cette heure, il dort. Mais pas obligé de le leur dire. Il y a un mouvement brusque quand iel succube est tassée . Et pour bien faire les choses, Halewyn a eu le temps de tisser son sort, pas juste sur les gardes, mais sur l'elfe qui peut se rendre compte qu'il a une peau de miel.
Pour les gardes, ils voient un homme, aux cheveux noirs en pétards et balafré Peut-être, si Lorindol a les yeux ouverts, ils verront des yeux vairons et une oreille ronde. Halewyn a fait des changements discrets. ,
Les deux froncent les sourcils devant l'humain.
-C'est pas lui... Dit le second en relâchant la putain[/color]
Ne bouge pas. Sur le ventre... , fais moi confiance.
Ordonne t'iel tandis qu'iel se tourne, révélant son côté face, exhibant son androgynie sans aucune honte. D'un mouvement leste, iel attrappa la bouteille de rhum et en fit voler quelques gouttes dans l'air, avant de la laisser tomber sur le bord du lit. Rapidement, iel prit la couverture et en couvrit Lolo jusqu'à la taille. Quelques modifications subtiles suffiront, décide t'iel en bondissant dans le lit,, le noyant presque sous sa lourde masse de cheveux sanglants, cul vers la porte... Ouf! Il est temps, les bottes des gardes . remontent déjà le corridor, fracassant les portes les unes après les autres.
Un hurlement féminin se fait entendre. C'est une Halewyn qui joue la terrorisée quand un garde fait irruption dans la pièce, une grande main posée dans le creux des reins de l'elfe qui ne voit rien, perdu dans les cheveux rouges. .
-IIIHHHHH
-Ta gueule...
Faignant les sanglots, la putain laisse les larmes couler le long de son visage, cherchant maladroitement à se couvrir, recroquevillée pour protéger son client.
-Ta vu un elfe?
-Mon monSIEUR!!!
Sanglote de plus belle la jeune femme. Si on pouvait décerner un oscar , ca serait cette nuit là!
-Qui tu protège?
-J'ai un client sourd... Il ne sait pas ce qui se passe.... Laissez le dormir!
Ce qui, techniquement est vrai, il y a un vieux crouton du village, sourd comme un pot qui vient lui rendre visite juste pour de la compagnie. Et `cette heure, il dort. Mais pas obligé de le leur dire. Il y a un mouvement brusque quand iel succube est tassée . Et pour bien faire les choses, Halewyn a eu le temps de tisser son sort, pas juste sur les gardes, mais sur l'elfe qui peut se rendre compte qu'il a une peau de miel.
Pour les gardes, ils voient un homme, aux cheveux noirs en pétards et balafré Peut-être, si Lorindol a les yeux ouverts, ils verront des yeux vairons et une oreille ronde. Halewyn a fait des changements discrets. ,
Les deux froncent les sourcils devant l'humain.
-C'est pas lui... Dit le second en relâchant la putain[/color]
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Malgré une certaine réserve plus que palpable, l’elfe obtempéra, de toute façon il n’avait pas de meilleure idée pour le moment, du moins si l’on oubliait celle de sauter par la fenêtre. Le visage dissimulé sous une touffe de cheveux qui n’est pas la sienne, l’elfe s’arma de patience. Il suffisait de tendre l’oreille pour entendre la patrouille pénétrer dans l’établissement et fouiller chaque chambre. Encore une fois l’elfe eut une drôle de sensation, toujours incapable d'en identifier la source c'était... Pour le moins étrange.
Il tenta d'y réfléchir plus sérieusement mais le fil des ses pensées fut interrompu lorsqu’un des gardes enfonça la porte de leur chambre, l’elfe sentit son corps se tendre instantanément, il commençait déjà à calculer le temps qu’il lui faudrait pour saisir son arme et créer une distraction suffisante pour s’enfuir. Plus le temps passe plus la sensation qu’il ressentait se fait forte. Il entendait très distinctement le raclement des bottes ferrées du garde s’approchant plus près du lit pour jeter vérifier et possiblement se rincer l’œil aussi. L’un d'eux recula pour aller se poster dans l’encadrement, il guettait l’intérieur de l’établissement depuis l’étage dans l’espoir d’apercevoir l’elfe tenter de se faufilait, mais ne voyant rien il se laissa aller à un commentaire.
- Sourd comme un pot p’t’être, mais il sait s’divertir au moins.
Le premier garde fit volte-face, reportant son attention sur son second.
- Gaffe à ce que tu racontes crétin, t’es en service là. Va fouiller le reste du bâtiment plutôt que de l’ouvrir. L’oreille pointue est dans l’coin, je peux presque le sentir, faut lui mettre la main dessus. Trouve Rodrick et dis-lui de s’occuper du corps de l’autre, ça fait tache dans la rue.
- Bien Caporal !
- Et toi bouche-d’amour, ouvre l’œil. Si tu vois l’elfe crie, visiblement tu sais faire.
Le Caporal ponctua sa phrase d’un rire gras, chose assez typique lorsqu’il s’agissait d'un trait d’humour provenant d’un garde de ville. Les deux hommes d’armes tournèrent les talons puis quittèrent l’étage pour s’atteler à fouiller le rez-de-chaussée. Ce n’est que lorsque le danger fut partiellement écarté que l’exilé écarta les mèches de cheveux qui le recouvraient pour se redresser. Il n'aurait jamais cru qu'il suffisait de s'allonger dans un lit et de se planquer le visage sous la tignasse d'une inconnue pour échapper à une patrouille. En tout cas il comptait bien noter l'astuce dans son esprit.
- À quoi dois-je autant de bonté ? Je ne crois pas te connaître.
Finit-il par demander en posant son regard azur sur son interlocutrice.
Il tenta d'y réfléchir plus sérieusement mais le fil des ses pensées fut interrompu lorsqu’un des gardes enfonça la porte de leur chambre, l’elfe sentit son corps se tendre instantanément, il commençait déjà à calculer le temps qu’il lui faudrait pour saisir son arme et créer une distraction suffisante pour s’enfuir. Plus le temps passe plus la sensation qu’il ressentait se fait forte. Il entendait très distinctement le raclement des bottes ferrées du garde s’approchant plus près du lit pour jeter vérifier et possiblement se rincer l’œil aussi. L’un d'eux recula pour aller se poster dans l’encadrement, il guettait l’intérieur de l’établissement depuis l’étage dans l’espoir d’apercevoir l’elfe tenter de se faufilait, mais ne voyant rien il se laissa aller à un commentaire.
- Sourd comme un pot p’t’être, mais il sait s’divertir au moins.
Le premier garde fit volte-face, reportant son attention sur son second.
- Gaffe à ce que tu racontes crétin, t’es en service là. Va fouiller le reste du bâtiment plutôt que de l’ouvrir. L’oreille pointue est dans l’coin, je peux presque le sentir, faut lui mettre la main dessus. Trouve Rodrick et dis-lui de s’occuper du corps de l’autre, ça fait tache dans la rue.
- Bien Caporal !
- Et toi bouche-d’amour, ouvre l’œil. Si tu vois l’elfe crie, visiblement tu sais faire.
Le Caporal ponctua sa phrase d’un rire gras, chose assez typique lorsqu’il s’agissait d'un trait d’humour provenant d’un garde de ville. Les deux hommes d’armes tournèrent les talons puis quittèrent l’étage pour s’atteler à fouiller le rez-de-chaussée. Ce n’est que lorsque le danger fut partiellement écarté que l’exilé écarta les mèches de cheveux qui le recouvraient pour se redresser. Il n'aurait jamais cru qu'il suffisait de s'allonger dans un lit et de se planquer le visage sous la tignasse d'une inconnue pour échapper à une patrouille. En tout cas il comptait bien noter l'astuce dans son esprit.
- À quoi dois-je autant de bonté ? Je ne crois pas te connaître.
Finit-il par demander en posant son regard azur sur son interlocutrice.
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A l'ennuis le plus profond et insoutenable que tu as brisé par ton apparition...
Répond Halewyn en se levant d'un bond pour aller regarder dans le corridor, cul nul. Manifestement,la pudeur ne fait pas du tout partie du vocabulaire de ce qui se présente comme un étrange mélange entre homme et femme. Iel n'a pas de sein et a des attributs indubitablements masculins que démentent la finesse surnaturelle de sa taille, ses hanches rondes et ses jambes interminables soulignés un peu partout par des ranges et des rangs de minuscules billes colorées rouges, bleues, blanches et de métal. Les bras blancs et bien tournés saisissent au passage le peignoir qui a été jeté àla hâte au sol pour couvrir les épaules parfaites.
Revenant avec un balai, iel succube rentre et reverrouille la porte avec ce dernier. Le tissus simple et rêche du vêtement ne rend pas justice à l'être devant l'elfe qui va fermer la fenêtre sans même un regard pour les exclamations de la vigile dehors. Plutôt, iel se tourne vers l'assassin en un déhanché naturel, aérien et gracieux pendant qu'iel se sucote la dent , l'oeil noir glissant sur l'homme devant iel.
-Pas mal... Je suis content de voir que je n'ai pas perdu l'oeil. Je m'appelle Halewyn. Et toi?
Oui,parce que votre succube favorite exhalant la classe par tout les pores de sa peau ne s'est pas éduquée en un jour, hélas. Relevant sa lourde tignasse, iel la libère du vêtement grossier avant d'ébourriffer la lourde crinière, inconsciemment tentateur. Oui, un démon innocent. Ca existe, sisi!!!!
Répond Halewyn en se levant d'un bond pour aller regarder dans le corridor, cul nul. Manifestement,la pudeur ne fait pas du tout partie du vocabulaire de ce qui se présente comme un étrange mélange entre homme et femme. Iel n'a pas de sein et a des attributs indubitablements masculins que démentent la finesse surnaturelle de sa taille, ses hanches rondes et ses jambes interminables soulignés un peu partout par des ranges et des rangs de minuscules billes colorées rouges, bleues, blanches et de métal. Les bras blancs et bien tournés saisissent au passage le peignoir qui a été jeté àla hâte au sol pour couvrir les épaules parfaites.
Revenant avec un balai, iel succube rentre et reverrouille la porte avec ce dernier. Le tissus simple et rêche du vêtement ne rend pas justice à l'être devant l'elfe qui va fermer la fenêtre sans même un regard pour les exclamations de la vigile dehors. Plutôt, iel se tourne vers l'assassin en un déhanché naturel, aérien et gracieux pendant qu'iel se sucote la dent , l'oeil noir glissant sur l'homme devant iel.
-Pas mal... Je suis content de voir que je n'ai pas perdu l'oeil. Je m'appelle Halewyn. Et toi?
Oui,parce que votre succube favorite exhalant la classe par tout les pores de sa peau ne s'est pas éduquée en un jour, hélas. Relevant sa lourde tignasse, iel la libère du vêtement grossier avant d'ébourriffer la lourde crinière, inconsciemment tentateur. Oui, un démon innocent. Ca existe, sisi!!!!
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- J’ai brisé ta routine, tu m’as aidé, donc nous sommes donc quittes ?
L’elfe malgré son silence était bel et bien conscient de la chance qu’il avait eue, avec quelqu’un d’autre il n’aurait sûrement pas eu d’autres possibilités que de s’enfuir comme un chat de gouttière en sautant par la fenêtre. L’exilé récupéra sa veste, car il ne comptait pas rester dans les parages, après tout il avait toujours un bateau à prendre. Il craignait que le capitaine ne fasse lever les voiles s’il devait attendre trop longtemps, peut-être même qu’il n’était déjà plus au port. Lórindol avait pris la mauvaise habitude de faire trop confiance lorsqu’il s’agissait d’échange de service entre personnes civilisées, il pensait que sa profession suffisait à inspirer suffisamment la peur pour qu’un « client » ne soit aucunement tenté par l’idée de le doubler…
Pour le moment il devait surtout quitter l’endroit, mais si jamais l’homme avait eu l’audace de le laisser pourrir là, alors l’elfe le retrouverait puis il prendrait plaisir à lui casser méthodiquement et le plus lentement possible chaque os composant son corps.
- Ce n’est pas nécessaire de verrouiller l’entrée, je ne reste pas.
L’elfe était cependant troublé par l’apparence de son interlocuteur. De mémoire, il avait déjà vu des congénères mâles possédant des traits si fins et si gracieux que certains peinaient parfois à les différencier des femelles. Mais c’était bien la première fois qu’il voyait cela sur un humain, du moins avec une harmonie suffisante pour le troubler quelque peu. L’exilé hocha nonchalamment la tête, il n’aurait pas cru devoir aller jusqu’aux présentations, faire la conversation n’avait jamais été une de ses qualités, encore moins lorsqu’il était pressé. Lórindol posa d’abord son regard sur la fenêtre, puis sur la porte vulgairement bloquée par un manche à balai, l’elfe peinait à croire qu’un simple manche en bois suffirait à empêcher un garde d’entrer dans la pièce.
- Lórindol.
En vérité il ne comptait pas plus s’exprimer, il avait déjà reporté son attention sur une possible porte dissimulée. Comme tout bordel il devait bien y avoir des portes dérobées pour passer subtilement d’une chambre à l’autre sans se faire voir. On ne pouvait pas trouver ce genre d’accès dans des établissements miteux où chaude-pisse et putains édentées se côtoyaient. Ici l’endroit semblait être un cran au-dessus des bouges lugubres, même s’il n’était en rien comparable avec une maison luxueuse où les caresses fiévreuses s’échangeaient à prix d’or.
- Cette chambre, il y a un passage dérobé non ?
Du bout des doigts il parcourait la surface du mur à la recherche d’un courant d’air.
L’elfe malgré son silence était bel et bien conscient de la chance qu’il avait eue, avec quelqu’un d’autre il n’aurait sûrement pas eu d’autres possibilités que de s’enfuir comme un chat de gouttière en sautant par la fenêtre. L’exilé récupéra sa veste, car il ne comptait pas rester dans les parages, après tout il avait toujours un bateau à prendre. Il craignait que le capitaine ne fasse lever les voiles s’il devait attendre trop longtemps, peut-être même qu’il n’était déjà plus au port. Lórindol avait pris la mauvaise habitude de faire trop confiance lorsqu’il s’agissait d’échange de service entre personnes civilisées, il pensait que sa profession suffisait à inspirer suffisamment la peur pour qu’un « client » ne soit aucunement tenté par l’idée de le doubler…
Pour le moment il devait surtout quitter l’endroit, mais si jamais l’homme avait eu l’audace de le laisser pourrir là, alors l’elfe le retrouverait puis il prendrait plaisir à lui casser méthodiquement et le plus lentement possible chaque os composant son corps.
- Ce n’est pas nécessaire de verrouiller l’entrée, je ne reste pas.
L’elfe était cependant troublé par l’apparence de son interlocuteur. De mémoire, il avait déjà vu des congénères mâles possédant des traits si fins et si gracieux que certains peinaient parfois à les différencier des femelles. Mais c’était bien la première fois qu’il voyait cela sur un humain, du moins avec une harmonie suffisante pour le troubler quelque peu. L’exilé hocha nonchalamment la tête, il n’aurait pas cru devoir aller jusqu’aux présentations, faire la conversation n’avait jamais été une de ses qualités, encore moins lorsqu’il était pressé. Lórindol posa d’abord son regard sur la fenêtre, puis sur la porte vulgairement bloquée par un manche à balai, l’elfe peinait à croire qu’un simple manche en bois suffirait à empêcher un garde d’entrer dans la pièce.
- Lórindol.
En vérité il ne comptait pas plus s’exprimer, il avait déjà reporté son attention sur une possible porte dissimulée. Comme tout bordel il devait bien y avoir des portes dérobées pour passer subtilement d’une chambre à l’autre sans se faire voir. On ne pouvait pas trouver ce genre d’accès dans des établissements miteux où chaude-pisse et putains édentées se côtoyaient. Ici l’endroit semblait être un cran au-dessus des bouges lugubres, même s’il n’était en rien comparable avec une maison luxueuse où les caresses fiévreuses s’échangeaient à prix d’or.
- Cette chambre, il y a un passage dérobé non ?
Du bout des doigts il parcourait la surface du mur à la recherche d’un courant d’air.
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Oh, je crois bien que nous sommes quittes oui. Susurre la succube en déambulant sans complexe dans l'étroite pièceLe meilleur moyen de rester cacher est de ne pas bouger si tu veux mon avis. Ils vont aller faire chier le port probablement. depuis que je suis ici, c'est toujours là qu'ils vont en premier, ensuite ils se découragent, vont bousculer quelques gens, fracasser quelques portes et vont se saouler la gueule ensuite pour souligner avec grâce et élégance leur incompétence crasse. Quoique habituellement ce sont de menus crimes et non un assassinat en bonne et due forme donc je présume qu'ils vont s"exciter dans tout les coins de cette ville Beau boulot... Spectaculaire... Je suis ravie de t'avoir aidé. Librement donné et librement accepté.
Dit Halewyn en prenant place sur l'unique chaise de la chambre pour se faire une tresse pratique et fort simple. Ses bijoux de naissances, colliers, mèches de cheveux et bracelets filés de minuscules billes de rubis, de saphirs, d'os et d'acier scintillent doucement sous la lumière chaude de la lanterne, soulignant chacun de ses mouvements pendant qu'iel surveille du coin d'un oeil amusé le manège de l'elfe, ce qui finit par faire rire l'étrange individu.
-Ne cherche pas... Il n'y en n'a pas. C'était une lingerie ici avant. Mais si tu te pose, relaxe de facon à ce que mon maquillage tienne sur ta personneau cas ou ils reviendraient, j'irai te déposer au port par téléportation un peu plus tard, quand ils en auront fini.
Termine t'iel en prenant un petit bout de coton pour nettoyer sa peau à l'eau, admirant le reflet fantasmé de ŀorindol par la petite glace.
-Tu sais, ces couleurs te vont réellement mieux au teint que tes cheveux blonds, mais tes couleurs naturelles vont mieux avec ton air revêche et ton regard glacial.
Soupire t'iel, languissant, continuant de se rafraîchir d'un effort qu'iel n'a même pas fait.
Dit Halewyn en prenant place sur l'unique chaise de la chambre pour se faire une tresse pratique et fort simple. Ses bijoux de naissances, colliers, mèches de cheveux et bracelets filés de minuscules billes de rubis, de saphirs, d'os et d'acier scintillent doucement sous la lumière chaude de la lanterne, soulignant chacun de ses mouvements pendant qu'iel surveille du coin d'un oeil amusé le manège de l'elfe, ce qui finit par faire rire l'étrange individu.
-Ne cherche pas... Il n'y en n'a pas. C'était une lingerie ici avant. Mais si tu te pose, relaxe de facon à ce que mon maquillage tienne sur ta personneau cas ou ils reviendraient, j'irai te déposer au port par téléportation un peu plus tard, quand ils en auront fini.
Termine t'iel en prenant un petit bout de coton pour nettoyer sa peau à l'eau, admirant le reflet fantasmé de ŀorindol par la petite glace.
-Tu sais, ces couleurs te vont réellement mieux au teint que tes cheveux blonds, mais tes couleurs naturelles vont mieux avec ton air revêche et ton regard glacial.
Soupire t'iel, languissant, continuant de se rafraîchir d'un effort qu'iel n'a même pas fait.
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L’elfe soupira longuement, si la garde allait bel et bien se présenter au port, alors il pouvait dire adieu à son moyen de locomotion. S’il partait du principe que le navire était encore à quai, il était sûr qu’à la vue d’un casque ou d’une lance le capitaine ferait lever l’ancre sans tarder. Même s’il était impossible de relier l’elfe au navire, la cargaison de celui-ci était pour le moins… suspecte. L’exilé n’avait pas posé de question, car cela ne l’intéressait pas, mais il avait fort à parier que l’équipage arrondissait ses fins de mois avec de la contrebande, un simple contrôle de la garde et l’intégralité de l’équipage aller pouvoir profiter d’une cellule pour dix avec un seau en guise de chiotte.
L’exilé ne pensait pas que l’assassinat puisse représenter un problème trop longtemps, ce genre d’acte pouvait causer beaucoup de trouble lorsque la cible était une personne importante. Ce type n’était sûrement pas le premier client de bordel à traverser une fenêtre, même si c’était peut-être le premier que l’on avait fortement aidé.
- Maquillage ?
L’elfe haussa un sourcil interrogateur en direction de son interlocuteur et fit volte-face. Ne pas trouver de passage dérobé était une chose, qu’on lui parle de téléportation en était une autre. Il commençait à avoir une légère intuition concernant la sensation étrange qui ne l’avait pas quitté depuis son arrivée. Lórindol était pour le moins surpris, encore plus une fois après le commentaire sur son apparence. Il s’approcha avec précaution de la fenêtre et observation son reflet sur le verre. L’illusion était impeccable, il comprenait alors mieux l’inefficacité de la garde.
- Joli tour de passe-passe.
Finit-il par déclarer en se reculant, jamais il n’aurait cru possible de tomber sur une personne pratiquant la magie dans ce genre d’endroit, enfin, ce n’était clairement pas le genre d’endroit qu’il aurait choisi pour se cacher et se faire discret… après leurs objectifs étaient sans aucun doute différent. Malgré cela, les nouvelles compétences magiques de son interlocuteur lui faisaient se poser quelques questions. Il était visiblement capable de créer des illusions pour le moins convaincantes, et à l’écouter, la téléportation semblait aussi faire partie de ses compétences.
- Vu tes compétences, je me pose une question. Ce que je vois, est-ce ta véritable apparence ou uses-tu de « maquillage » pour mieux te fondre dans le paysage ?
Il était facile de douter de la moindre des choses à présent.
L’exilé ne pensait pas que l’assassinat puisse représenter un problème trop longtemps, ce genre d’acte pouvait causer beaucoup de trouble lorsque la cible était une personne importante. Ce type n’était sûrement pas le premier client de bordel à traverser une fenêtre, même si c’était peut-être le premier que l’on avait fortement aidé.
- Maquillage ?
L’elfe haussa un sourcil interrogateur en direction de son interlocuteur et fit volte-face. Ne pas trouver de passage dérobé était une chose, qu’on lui parle de téléportation en était une autre. Il commençait à avoir une légère intuition concernant la sensation étrange qui ne l’avait pas quitté depuis son arrivée. Lórindol était pour le moins surpris, encore plus une fois après le commentaire sur son apparence. Il s’approcha avec précaution de la fenêtre et observation son reflet sur le verre. L’illusion était impeccable, il comprenait alors mieux l’inefficacité de la garde.
- Joli tour de passe-passe.
Finit-il par déclarer en se reculant, jamais il n’aurait cru possible de tomber sur une personne pratiquant la magie dans ce genre d’endroit, enfin, ce n’était clairement pas le genre d’endroit qu’il aurait choisi pour se cacher et se faire discret… après leurs objectifs étaient sans aucun doute différent. Malgré cela, les nouvelles compétences magiques de son interlocuteur lui faisaient se poser quelques questions. Il était visiblement capable de créer des illusions pour le moins convaincantes, et à l’écouter, la téléportation semblait aussi faire partie de ses compétences.
- Vu tes compétences, je me pose une question. Ce que je vois, est-ce ta véritable apparence ou uses-tu de « maquillage » pour mieux te fondre dans le paysage ?
Il était facile de douter de la moindre des choses à présent.
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Il est amusant . Décide Halewyn en le regardant dans le miroir, les couleurs données à l'elfe lui donnant l'expression d'un humain qui s'est enfilé un citron entier. Oui, et il ne semble pas avoir beaucoup l'occasion de s'amuser non plus. Iel n'a senti aucune jouissance particulière chez l'elfe lors de la mise à mort. Un professionnel. Et c'est très excitant, et quand iel parle d'excitant, Halewyn ne parle pas de jeux de fesses mais de l'attrait de la nouveauté. Et comme totu ce qui est nouveau est attractif, la curiosité naturelle du jeune démon n'ayant connu d'autre que la glorification par une secte le prenant pour une dieu s'en trouve stimulé.
Mmmm pas mal pertinent comme question, ton sens de l'observation t'honore. Mais je vais juste souligner que si je veux me ''maquiller'' pour me fondre dans la masse comme tu dis, je n'afficherais pas mon double genre, ne me promènerais pas à moitié à poil, ne serait absolument pas employé ici et je n'afficherais pas ma chevelure rouge si ouvertement.
Répond t'iel du tact au tact en se cambrant vers l'arrière avec une souplesse digne de mention pour pouvoir regarder l'assassin à l'envers. Le regard laisse deviner le côté malicieux de l'être étrange qui partager la pièce. Le visage gracieux est fendu d'un sourire large, irrévérencieux et mutin tandis qu'un pan de son peignoir glisse, révélant une épaule ronde et charmante ainsi que le délicat pectoral du démon.
Si tu en doute tant, nous avons du temps à perdre... Tu n'a qu'à vérifier par toi-même Tu ne me semble pas du genre bigot, ni prude... A moins que tu n'ais des gouts particuliers à assouvir?
D'un souple mouvement, iel se retourne dans une envolée de cheveux sanglants, les prunelles noires vrillées dans les iris dépareillées.
Tu peux me poser tes questions tu sais, minaude t'iel. Je sais que tu en meurs d'envie. Moi aussi je meurs de curiosité aussi. Quoique je pense que le choix des mots est particulièrement mal choisi?
Mmmm pas mal pertinent comme question, ton sens de l'observation t'honore. Mais je vais juste souligner que si je veux me ''maquiller'' pour me fondre dans la masse comme tu dis, je n'afficherais pas mon double genre, ne me promènerais pas à moitié à poil, ne serait absolument pas employé ici et je n'afficherais pas ma chevelure rouge si ouvertement.
Répond t'iel du tact au tact en se cambrant vers l'arrière avec une souplesse digne de mention pour pouvoir regarder l'assassin à l'envers. Le regard laisse deviner le côté malicieux de l'être étrange qui partager la pièce. Le visage gracieux est fendu d'un sourire large, irrévérencieux et mutin tandis qu'un pan de son peignoir glisse, révélant une épaule ronde et charmante ainsi que le délicat pectoral du démon.
Si tu en doute tant, nous avons du temps à perdre... Tu n'a qu'à vérifier par toi-même Tu ne me semble pas du genre bigot, ni prude... A moins que tu n'ais des gouts particuliers à assouvir?
D'un souple mouvement, iel se retourne dans une envolée de cheveux sanglants, les prunelles noires vrillées dans les iris dépareillées.
Tu peux me poser tes questions tu sais, minaude t'iel. Je sais que tu en meurs d'envie. Moi aussi je meurs de curiosité aussi. Quoique je pense que le choix des mots est particulièrement mal choisi?
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Le paria n’aimait pas vraiment cette nouvelle « apparence », il se fichait bien de la couleur de cheveux correspondant le mieux à son teint ou a son regard. N’importe quel idiot un peu soucieux de son apparence aurait sans aucun doute fait effacer la cicatrice qui lui couvrait une partie du visage. Pour l’elfe c’était un stigmate du passer, une chose à ne pas oublier et que l’on ne pouvait pas effacer, bien que cicatrisé la blessure n’en restait pas moins profonde et vicieuse.
- Ouais… mais c’est sans doute le meilleur endroit pour se promener la queue à l’air sans éveiller les soupçons.
Les explications de son interlocuteur n’avaient pas vraiment convaincu l’elfe, croiser une personne et maîtriser la magie dans un bordel, le tout pas hasard, cela faisait beaucoup trop de coïncidence en une seule journée. L’exilé haussa un sourcil lorsqu’il entendit la proposition du mage de bordel, c’était bien la première fois qu’on sous-entendait ce genre de chose en lui faisant face.
- Les goûts c’est comme les trous du cul, tout le monde en a, ne compte pas sur moi pour casser la routine une deuxième fois.
L’elfe n’avait pas vraiment de goûts pour le moins excentriques, sa vie était telle qu’il n’avait pas vraiment l’occasion de se poser devant un miroir pour réfléchir à ce genre de choses. Il avait une nette préférence pour les femmes elfes, bien que certaines humaines pouvaient être très agréables à regarder. Cependant, si la courbe d’un sein ou la rondeur d’une fesse féminine pouvait avoir un effet stimulant des plus bénéfiques sur sa personne, les attributs masculins n’en avaient aucun.
- Des questions ? Je ne suis pas doué en matière de conversation.
Malgré cela, il avait effectivement des questions, ce n’était pas tous les jours que l’on se pouvait se retrouver dans ce genre de situation. Certaines réactions étaient pour le moins curieuses, l’exilé avait déjà été en contact avec pas mal de personnes, mais c’était bien la première fois que quelqu’un réagissait à la manière de son interlocuteur.
- Je me demande d’où vient ton sang-froid. T’es tranquillement allongé, puis un type débarque de nulle part et balance ton client par la fenêtre. Aucun cri, aucune peur, et tu aides l’inconnu en question, car il casse ta « routine », sans rajouter à cela que tu maîtrises la magie. La plupart des gens sont terrorisés, tentent de fuir craignant pour leur vie, mais toi tu restes assis tranquillement les couilles à l’air à vouloir converser. Sois-tu es habitué à voir des gars traverser les fenêtres, soit tu n’as pas peur, car tu te sens en mesure de contrôler la situation si ça dérape, ou alors dernière hypothèse : t’es complètement taré.
- Ouais… mais c’est sans doute le meilleur endroit pour se promener la queue à l’air sans éveiller les soupçons.
Les explications de son interlocuteur n’avaient pas vraiment convaincu l’elfe, croiser une personne et maîtriser la magie dans un bordel, le tout pas hasard, cela faisait beaucoup trop de coïncidence en une seule journée. L’exilé haussa un sourcil lorsqu’il entendit la proposition du mage de bordel, c’était bien la première fois qu’on sous-entendait ce genre de chose en lui faisant face.
- Les goûts c’est comme les trous du cul, tout le monde en a, ne compte pas sur moi pour casser la routine une deuxième fois.
L’elfe n’avait pas vraiment de goûts pour le moins excentriques, sa vie était telle qu’il n’avait pas vraiment l’occasion de se poser devant un miroir pour réfléchir à ce genre de choses. Il avait une nette préférence pour les femmes elfes, bien que certaines humaines pouvaient être très agréables à regarder. Cependant, si la courbe d’un sein ou la rondeur d’une fesse féminine pouvait avoir un effet stimulant des plus bénéfiques sur sa personne, les attributs masculins n’en avaient aucun.
- Des questions ? Je ne suis pas doué en matière de conversation.
Malgré cela, il avait effectivement des questions, ce n’était pas tous les jours que l’on se pouvait se retrouver dans ce genre de situation. Certaines réactions étaient pour le moins curieuses, l’exilé avait déjà été en contact avec pas mal de personnes, mais c’était bien la première fois que quelqu’un réagissait à la manière de son interlocuteur.
- Je me demande d’où vient ton sang-froid. T’es tranquillement allongé, puis un type débarque de nulle part et balance ton client par la fenêtre. Aucun cri, aucune peur, et tu aides l’inconnu en question, car il casse ta « routine », sans rajouter à cela que tu maîtrises la magie. La plupart des gens sont terrorisés, tentent de fuir craignant pour leur vie, mais toi tu restes assis tranquillement les couilles à l’air à vouloir converser. Sois-tu es habitué à voir des gars traverser les fenêtres, soit tu n’as pas peur, car tu te sens en mesure de contrôler la situation si ça dérape, ou alors dernière hypothèse : t’es complètement taré.
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Halewyn ne sait pas d'où Lorindòl sort, mais il est très drôle.
Qui est soupçonneux ici à part toi? Je te rappelle simplement que c'est toi qui est entré, tel l'ange vengeur, sur mon lieu de travail. Si tu ne savais pas que j'y officiais, je pourrais te le reprocher. Rigole t'iel ouvertement.Effectivement, il y a de la recherche qui s'est perdue quelque part. Il a été chanceus de tomber sur votre succube favorite Et, tu sais, dans un apprentissage, il faut bien commencer quelque part, et en dessous de la ceinture, c'est un endroit comme un autre. Pour mes préférences une queue reste une queue, ca dépend toujours de sa position sur l'anatomie du propriétaire de l'objet, mais ca reste très divertissant peu importe à quelle espèce elle appartient. Pour ma part, je préfère les queues de renard, ca me convient mieux au teint.
- Les goûts c’est comme les trous du cul, tout le monde en a, ne compte pas sur moi pour casser la routine une deuxième fois.
Ca fait bien rire le prostitué. `
-Tu es vraiment un puit de science anatomique toi. La queue d'abord, ensuite le cul. Je me demande ce que ca sera ensuite. Je vois bien que tu n,es pas doué. Tu peux aussi juste t'étendre et fermer ta gueule si tu veux. Tu peux même te rhabiller! Je suis trop cher pour toi de toute facon, ma bonté a quand même ses limites.
Dit Halewyn en se penchant vers une petite commode pour en extirper chemise et pantalons. Iel en n'a pas des tonnes, mais l'idée d'apparaitre en peignoir au port, même si fort ludique, lui parait une de ces idées exécrables que seule lui amène l'ennui le plus profond.
- Je me demande d’où vient ton sang-froid. T’es tranquillement allongé, puis un type débarque de nulle part et balance ton client par la fenêtre. Aucun cri, aucune peur, et tu aides l’inconnu en question, car il casse ta « routine », sans rajouter à cela que tu maîtrises la magie. La plupart des gens sont terrorisés, tentent de fuir craignant pour leur vie, mais toi tu restes assis tranquillement les couilles à l’air à vouloir converser. Sois-tu es habitué à voir des gars traverser les fenêtres, soit tu n’as pas peur, car tu te sens en mesure de contrôler la situation si ça dérape, ou alors dernière hypothèse : t’es complètement taré.
Halewyn lève un index.
-D'ou je viens, on ne connait pas les fenêtres, mais on a des facon bien plus amusantes de procéder à la chose. Je dirais même classique. Sobre et efficace. Mais un peu brouillon.
Puis le majeur
-Bah oui, l'ennui est le pire ennemi de l'honnête homme... femme... enfin, je ne suis pas trop certain de ma dénomination.
Enchaine t'iel avec une moue charmante avant de lever l'annulaire.
-J'aurais du faire quoi? Hurler comme une pucelle pour me faire trancher la gorge? Charmant, mais ce n,est qu'une expérience unique qui n'arrive qu'une fois dans une vie et je ne m'ennuie pas encore à ce point.
et l'auriculaire
-En conclusion? Je dirais probablement toutes ces réponses?
Un grand sourire de chat du Cheshire étire la grande bouche tandis que els prunelles noires clignent à répétition
-J'ai tout bon? Fis attention, si tu poursuis tes question, je devrai pouvoir t'en poser aussi.
Qui est soupçonneux ici à part toi? Je te rappelle simplement que c'est toi qui est entré, tel l'ange vengeur, sur mon lieu de travail. Si tu ne savais pas que j'y officiais, je pourrais te le reprocher. Rigole t'iel ouvertement.Effectivement, il y a de la recherche qui s'est perdue quelque part. Il a été chanceus de tomber sur votre succube favorite Et, tu sais, dans un apprentissage, il faut bien commencer quelque part, et en dessous de la ceinture, c'est un endroit comme un autre. Pour mes préférences une queue reste une queue, ca dépend toujours de sa position sur l'anatomie du propriétaire de l'objet, mais ca reste très divertissant peu importe à quelle espèce elle appartient. Pour ma part, je préfère les queues de renard, ca me convient mieux au teint.
- Les goûts c’est comme les trous du cul, tout le monde en a, ne compte pas sur moi pour casser la routine une deuxième fois.
Ca fait bien rire le prostitué. `
-Tu es vraiment un puit de science anatomique toi. La queue d'abord, ensuite le cul. Je me demande ce que ca sera ensuite. Je vois bien que tu n,es pas doué. Tu peux aussi juste t'étendre et fermer ta gueule si tu veux. Tu peux même te rhabiller! Je suis trop cher pour toi de toute facon, ma bonté a quand même ses limites.
Dit Halewyn en se penchant vers une petite commode pour en extirper chemise et pantalons. Iel en n'a pas des tonnes, mais l'idée d'apparaitre en peignoir au port, même si fort ludique, lui parait une de ces idées exécrables que seule lui amène l'ennui le plus profond.
- Je me demande d’où vient ton sang-froid. T’es tranquillement allongé, puis un type débarque de nulle part et balance ton client par la fenêtre. Aucun cri, aucune peur, et tu aides l’inconnu en question, car il casse ta « routine », sans rajouter à cela que tu maîtrises la magie. La plupart des gens sont terrorisés, tentent de fuir craignant pour leur vie, mais toi tu restes assis tranquillement les couilles à l’air à vouloir converser. Sois-tu es habitué à voir des gars traverser les fenêtres, soit tu n’as pas peur, car tu te sens en mesure de contrôler la situation si ça dérape, ou alors dernière hypothèse : t’es complètement taré.
Halewyn lève un index.
-D'ou je viens, on ne connait pas les fenêtres, mais on a des facon bien plus amusantes de procéder à la chose. Je dirais même classique. Sobre et efficace. Mais un peu brouillon.
Puis le majeur
-Bah oui, l'ennui est le pire ennemi de l'honnête homme... femme... enfin, je ne suis pas trop certain de ma dénomination.
Enchaine t'iel avec une moue charmante avant de lever l'annulaire.
-J'aurais du faire quoi? Hurler comme une pucelle pour me faire trancher la gorge? Charmant, mais ce n,est qu'une expérience unique qui n'arrive qu'une fois dans une vie et je ne m'ennuie pas encore à ce point.
et l'auriculaire
-En conclusion? Je dirais probablement toutes ces réponses?
Un grand sourire de chat du Cheshire étire la grande bouche tandis que els prunelles noires clignent à répétition
-J'ai tout bon? Fis attention, si tu poursuis tes question, je devrai pouvoir t'en poser aussi.
Invité
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- Queue de renard ?
Une certaine incompréhension se dessina sur le visage de l’elfe, alors que des images lui vint en tête, il balaya toutes ces idées saugrenues en se passant une main sur le visage. Tout ce chemin parcouru pour finalement se retrouver à discuter de ce qui devait être soupçonneux ou non... L'exilé se demandait bien pourquoi sa curiosité le forçait à rester planté là comme le dernier des abrutis. D’un point de vue purement pragmatique, il avait un toit sur la tête, hors de portée de la garde et son interlocuteur, bien que doté d’une apparence originale, ne semblait pas vraiment hostile. Que ferait-il une fois au port et sans navire ? Hors de question pour lui de se cacher dans la cale d’un navire marchand comme un vulgaire rat, et il n’allait pas être simple de trouver un deuxième capitaine monnayant une traversée contre un service rendu. Enfin, il aurait le temps de voir cela plus tard, pour le moment il devait converser.
Trop cher pour lui… l’elfe haussa un sourcil de surprise, il s’apprêtait à répondre, mais il se ravisa, jugeant que ce n’était pas la peine d’argumenter sur ce terrain-là, de toute manière ce genre de « bonté d’âme » ne l’intéressait pas. Sa longue présence en ces lieux n’était que le fruit du hasard et du travail, le divertissement c’était… une tout autre histoire. Cependant, l’elfe ne put s’empêcher de réagir à une certaine déclaration.
- Te trancher la gorge ? Non, je n’élimine pas les témoins. Tailler un sourire sanglant est une mise à mort que je trouve trop « personnelle ».
Bien que l’exilé ne fût pas en train de mentir, il ne disait pas totalement la vérité. L’élimination de témoin ne faisait tout simplement pas partie de l’échange de faveur qu’il avait avec le capitaine du navire, Lórindol avait pris l’habitude de ne pas en faire trop, certains témoins avaient même parfois une certaine utilité. Dans le cas présent il aurait très bien pu éliminer son interlocuteur juste après avoir balancé sa cible par la fenêtre. Il aurait évité une discussion, mais aurait dû affronter la patrouille. En respectant sa mission à la lettre, il avait épargné une vie innocente, puis esquivé une rixe avec la garde, une affaire rondement menée.
- Étanche ta soif de curiosité si tu as besoin, je ne suis qu’un ange vengeur après tout.
Soudain quelqu’un essaya d’ouvrir la porte, mais le balai résista à ce premier assaut. L’elfe se redressa d’un bond. Une voix féminine s’exprima depuis le couloir.
- Hé, ouvre… tu as vu ? La garde à ramasser le corps d’un pauvre type dans la rue, il fouille toutes les chambres… tu n’as rien à voir là-dedans hein ?
L’inconnue força une deuxième fois sur la porte sans pour autant parvenir à outrepasser le verrouillage de fortune.
- Aller… déverrouille cette fichue porte, je n’ai pas envie d’être toute seule quand ils vont venir tout retourner dans ma chambre…
L’elfe posa son regard sur son camarade de fortune.
- Et maintenant, je refais le sourd, j’imagine ?
Soit il allait falloir trouver une bonne explication pour refuser l’ouverture de ladite porte, soit l’elfe allait devoir se planquer sous le lit. L’exilé jeta un bref coup d’œil par la fenêtre, la rue semblait plus calme, mais il pouvait toujours y avoir une patrouille dans un coin. La fuite semblait toujours être une alternative possible.
Une certaine incompréhension se dessina sur le visage de l’elfe, alors que des images lui vint en tête, il balaya toutes ces idées saugrenues en se passant une main sur le visage. Tout ce chemin parcouru pour finalement se retrouver à discuter de ce qui devait être soupçonneux ou non... L'exilé se demandait bien pourquoi sa curiosité le forçait à rester planté là comme le dernier des abrutis. D’un point de vue purement pragmatique, il avait un toit sur la tête, hors de portée de la garde et son interlocuteur, bien que doté d’une apparence originale, ne semblait pas vraiment hostile. Que ferait-il une fois au port et sans navire ? Hors de question pour lui de se cacher dans la cale d’un navire marchand comme un vulgaire rat, et il n’allait pas être simple de trouver un deuxième capitaine monnayant une traversée contre un service rendu. Enfin, il aurait le temps de voir cela plus tard, pour le moment il devait converser.
Trop cher pour lui… l’elfe haussa un sourcil de surprise, il s’apprêtait à répondre, mais il se ravisa, jugeant que ce n’était pas la peine d’argumenter sur ce terrain-là, de toute manière ce genre de « bonté d’âme » ne l’intéressait pas. Sa longue présence en ces lieux n’était que le fruit du hasard et du travail, le divertissement c’était… une tout autre histoire. Cependant, l’elfe ne put s’empêcher de réagir à une certaine déclaration.
- Te trancher la gorge ? Non, je n’élimine pas les témoins. Tailler un sourire sanglant est une mise à mort que je trouve trop « personnelle ».
Bien que l’exilé ne fût pas en train de mentir, il ne disait pas totalement la vérité. L’élimination de témoin ne faisait tout simplement pas partie de l’échange de faveur qu’il avait avec le capitaine du navire, Lórindol avait pris l’habitude de ne pas en faire trop, certains témoins avaient même parfois une certaine utilité. Dans le cas présent il aurait très bien pu éliminer son interlocuteur juste après avoir balancé sa cible par la fenêtre. Il aurait évité une discussion, mais aurait dû affronter la patrouille. En respectant sa mission à la lettre, il avait épargné une vie innocente, puis esquivé une rixe avec la garde, une affaire rondement menée.
- Étanche ta soif de curiosité si tu as besoin, je ne suis qu’un ange vengeur après tout.
Soudain quelqu’un essaya d’ouvrir la porte, mais le balai résista à ce premier assaut. L’elfe se redressa d’un bond. Une voix féminine s’exprima depuis le couloir.
- Hé, ouvre… tu as vu ? La garde à ramasser le corps d’un pauvre type dans la rue, il fouille toutes les chambres… tu n’as rien à voir là-dedans hein ?
L’inconnue força une deuxième fois sur la porte sans pour autant parvenir à outrepasser le verrouillage de fortune.
- Aller… déverrouille cette fichue porte, je n’ai pas envie d’être toute seule quand ils vont venir tout retourner dans ma chambre…
L’elfe posa son regard sur son camarade de fortune.
- Et maintenant, je refais le sourd, j’imagine ?
Soit il allait falloir trouver une bonne explication pour refuser l’ouverture de ladite porte, soit l’elfe allait devoir se planquer sous le lit. L’exilé jeta un bref coup d’œil par la fenêtre, la rue semblait plus calme, mais il pouvait toujours y avoir une patrouille dans un coin. La fuite semblait toujours être une alternative possible.
Invité
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Parle moi de ca, un professionnel frigide et pragmatique.
Sourit t'iel en mettant ses pantalons, puis sa chemise.
Un ange vengeur... Un ange vengeur...
Extirpant sa tresse, iel plisse des yeux, mutin, commencant è lacer la dite chemise, endossant une identité de plus en plus masculine. Sans réussir èa changer ses traits, ca le changeait assez pour semer une certaine confusion. Le frère jumeau de Giovinetta, Halewyn, prenait forme.
Désolé, mais je crois qu'il te manque un peu de ... duvet.... pour être un ange. Mais un vengeur, ca me va. Je me demande ou tu as appris tout ca. C'est tout un monde différent et je ne crois pas que ca soit reconnu non?
Dans un craquement de lit, l'être se laissa tomber sur la couche, avant de se pencher pour extirper une paire de botte Quand ca frappa è la porte.
Halewyn roule des yeux, toute trace d'amabilité disparue. La voix douce prit un ton glacial
Linda, Dit iel a travers la porte, va t'en, je travaille.
-Aller… déverrouille cette fichue porte, je n’ai pas envie d’être toute seule quand ils vont venir tout retourner dans ma chambre…
-VA VOIR SONIA... ET LACHE MOI!
L’elfe posa son regard sur son camarade de fortune.
- Et maintenant, je refais le sourd, j’imagine ?
Non, prends tes affaires et on se barre. j'en ai ma claque de ce nid de punaises et le maquillage ne tiens plus, dis-moi vite, est ou ouest?
Termine Halewyn, attachant ses bottes ensembles pour les passer autour sur les épaules. Soulevant la paillasse, iel ramassa deux bourses. Une contenait de quoi voir venir et l'autre, des bijoux de diverses valeur. Il mit un petit sac par soulier. La porte s'agita encore, et quelques éclats de voix mâle leur parvinrent Halewyn vinbt pour prendre la main de Lorindol, avant de se raviser et de prendre è la volée un vieux chapeau informe au feutre taché.
-Giovinetta tu n,es qu'un paquet de troubles, ouvre immédiatement!
Tonna la voix de la tenancière.
Je m'habille!!! ... une seconde enfin!
Sourit t'iel en mettant ses pantalons, puis sa chemise.
Un ange vengeur... Un ange vengeur...
Extirpant sa tresse, iel plisse des yeux, mutin, commencant è lacer la dite chemise, endossant une identité de plus en plus masculine. Sans réussir èa changer ses traits, ca le changeait assez pour semer une certaine confusion. Le frère jumeau de Giovinetta, Halewyn, prenait forme.
Désolé, mais je crois qu'il te manque un peu de ... duvet.... pour être un ange. Mais un vengeur, ca me va. Je me demande ou tu as appris tout ca. C'est tout un monde différent et je ne crois pas que ca soit reconnu non?
Dans un craquement de lit, l'être se laissa tomber sur la couche, avant de se pencher pour extirper une paire de botte Quand ca frappa è la porte.
Halewyn roule des yeux, toute trace d'amabilité disparue. La voix douce prit un ton glacial
Linda, Dit iel a travers la porte, va t'en, je travaille.
-Aller… déverrouille cette fichue porte, je n’ai pas envie d’être toute seule quand ils vont venir tout retourner dans ma chambre…
-VA VOIR SONIA... ET LACHE MOI!
L’elfe posa son regard sur son camarade de fortune.
- Et maintenant, je refais le sourd, j’imagine ?
Non, prends tes affaires et on se barre. j'en ai ma claque de ce nid de punaises et le maquillage ne tiens plus, dis-moi vite, est ou ouest?
Termine Halewyn, attachant ses bottes ensembles pour les passer autour sur les épaules. Soulevant la paillasse, iel ramassa deux bourses. Une contenait de quoi voir venir et l'autre, des bijoux de diverses valeur. Il mit un petit sac par soulier. La porte s'agita encore, et quelques éclats de voix mâle leur parvinrent Halewyn vinbt pour prendre la main de Lorindol, avant de se raviser et de prendre è la volée un vieux chapeau informe au feutre taché.
-Giovinetta tu n,es qu'un paquet de troubles, ouvre immédiatement!
Tonna la voix de la tenancière.
Je m'habille!!! ... une seconde enfin!
Invité
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L’elfe calcula malgré lui diverses options de fuites, allant de la plus classique à la plus folle, l’une d’elles consistait même à prendre en otage son interlocuteur dans le but de gagner du temps, mais il se ravisa. Cela rassura l’exilé de ne pas devoir une fois encore jouer au sourd endormi, même si avec du recul c’était une chose bien plus aisée que de courir dans les rues en essayant de semer la garde. La situation n’était pas encore critique, mais elle aurait pu être plus simple, malheureusement la coureuse de l’autre côté de la porte était têtue, trop, et ses multiples tentatives pour forcer la porte finirent par attirer l’attention des gardes toujours en train de fouiller au rez-de-chaussée. Si jusque là le battant en bois était parvenu à résister aux tentatives d’ouverture de la jeune femme, il risquait de ne pas tenir longtemps sous l’assaut de bottes ferrées.
Lórindol n’avait encore jamais essayé la téléportation, c’était une magie qu’il ne maitrisait absolument pas et jusqu’à maintenant il n’avait jamais rencontré quelqu’un lui proposant un essai gratuit.
- L’ouest.
Tout ce qui se passa ensuite était… difficile à décrire. Il y avait d’abord eu une période de calme où le temps sembla presque s’arrêter, sans doute une façon de préparer le sort, car d’après ses connaissances en la matière, l’exilé savait qu’un sort de ce type devait requérir un minimum de préparation. La porte reçut alors un premier coup de botte et tout se brouilla. L’elfe eut l’impression de chuter, la sensation ne dura en réalité que quelques secondes, mais pour son esprit celle-ci dura de longues minutes.
En un clin d’œil il se retrouva soudainement à plat ventre sur le sol, le choc ne fut pas violent bien qu’il eût tout de même la sensation d’être tombé d’une certaine hauteur. L’elfe se redressa tant bien que mal et il fut soudain prit de vertige, il avait la sensation qu’on lui retournait l’estomac, sans être en mesure de se contrôler, il se plia en deux et restitua ce qu’il avait avalé avant son arrivée au port.
Il poussa un juron dans sa langue natale.
Puis le vertige disparu aussi vite qu’il était venu et tout sembla rentrer dans l’ordre. Après cet effet secondaire pour le moins réducteur, l’exilé chercha du regard son compagnon de fortune qui au vu de son allure semblait avoir mieux encaissé la téléportation. Ils se tenaient à présent tous les deux sur une falaise face à l’océan, un endroit calme et sans doute situé à plusieurs kilomètres de son lieu de départ.
- C’était… une expérience enrichissante.
L’elfe se demande l’espace d’un instant s’il devait s’habituer aux effets de la téléportation, ou s’il faisait tout simplement partie des personnes qui réagiraient éternellement mal à ce genre de manipulation.
- Merci, mais on est un peu loin du port.
À une dizaine de mètres devant eux, la falaise s’arrêtait abruptement, l’exilé se demanda avec quelle précision il était possible de se téléporter. Par logique il imaginait que plus la distance était longue, plus le temps d’incantation le serait aussi, et plus la précision deviendrait aléatoire.
Lórindol n’avait encore jamais essayé la téléportation, c’était une magie qu’il ne maitrisait absolument pas et jusqu’à maintenant il n’avait jamais rencontré quelqu’un lui proposant un essai gratuit.
- L’ouest.
Tout ce qui se passa ensuite était… difficile à décrire. Il y avait d’abord eu une période de calme où le temps sembla presque s’arrêter, sans doute une façon de préparer le sort, car d’après ses connaissances en la matière, l’exilé savait qu’un sort de ce type devait requérir un minimum de préparation. La porte reçut alors un premier coup de botte et tout se brouilla. L’elfe eut l’impression de chuter, la sensation ne dura en réalité que quelques secondes, mais pour son esprit celle-ci dura de longues minutes.
En un clin d’œil il se retrouva soudainement à plat ventre sur le sol, le choc ne fut pas violent bien qu’il eût tout de même la sensation d’être tombé d’une certaine hauteur. L’elfe se redressa tant bien que mal et il fut soudain prit de vertige, il avait la sensation qu’on lui retournait l’estomac, sans être en mesure de se contrôler, il se plia en deux et restitua ce qu’il avait avalé avant son arrivée au port.
Il poussa un juron dans sa langue natale.
Puis le vertige disparu aussi vite qu’il était venu et tout sembla rentrer dans l’ordre. Après cet effet secondaire pour le moins réducteur, l’exilé chercha du regard son compagnon de fortune qui au vu de son allure semblait avoir mieux encaissé la téléportation. Ils se tenaient à présent tous les deux sur une falaise face à l’océan, un endroit calme et sans doute situé à plusieurs kilomètres de son lieu de départ.
- C’était… une expérience enrichissante.
L’elfe se demande l’espace d’un instant s’il devait s’habituer aux effets de la téléportation, ou s’il faisait tout simplement partie des personnes qui réagiraient éternellement mal à ce genre de manipulation.
- Merci, mais on est un peu loin du port.
À une dizaine de mètres devant eux, la falaise s’arrêtait abruptement, l’exilé se demanda avec quelle précision il était possible de se téléporter. Par logique il imaginait que plus la distance était longue, plus le temps d’incantation le serait aussi, et plus la précision deviendrait aléatoire.
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