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Citoyen du Reike
Ahatsara
Messages : 112
crédits : 1846
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Dans l'effervescence de son oasis natale, Ahatsara, la fae dompteuse d'animaux, se lançait avec une énergie débordante dans les préparatifs de la visite imminente de son amie sirène, Takhys. L'agitation régnait en maître, amplifiée par l'enthousiasme contagieux d'Ahatsara. Elle tourbillonnait parmi les habitations dissimulées dans l'ombre bienveillante des palmiers, donnant des directives rapides et efficaces à ses clones invoqués pour accélérer le travail. "Allez, mes douces répliques ! On ne perd pas de temps, il faut que tout soit parfait pour l'arrivée de Takhys ! Les bassins à préparer, les sentiers à baliser, et oh, les fleurs, n'oublions pas les fleurs !"
Ses mots s'éparpillaient dans l'air chaud du désert, porteurs d'une excitation presque enfantine. Elle jonglait entre les tâches, son énergie semblant intarissable, un mélange turbulent de détermination et de joie pure. Entre deux ordres précipités, Ahatsara s'adressait à Sombra, son fidèle compagnon scorpion d'obsidienne, dont les pinces luisantes semblaient danser sous les rayons du soleil.
"Viens par ici, mon vieux Sombra ! J'ai besoin de ta force pour déplacer ces rochers près du bassin des tortues d'eau douce. On veut que ça brille comme un joyau pour Takhys !". Le scorpion, docile malgré sa stature imposante, répondait à l'appel d'Ahatsara, sa carapace d'obsidienne reflétant les reflets chatoyants du désert.
Les palmiers bruissaient sous le souffle léger du vent, tandis que l'activité frénétique d'Ahatsara imprégnait l'oasis de cette énergie électrisante. Les échos de sa voix résonnaient parmi les habitations, ponctués parfois de rires enjoués et de murmures d'encouragement à ses clones affairés. Le désordre apparent dissimulait une logique bien à elle, une façon unique et chaotique de créer une harmonie palpable. Ahatsara, dans sa quête frénétique de perfection pour accueillir son amie, démontrait ce mélange parfaitement équilibré entre bonheur effervescent et volonté farouche d'offrir le meilleur à ceux qu'elle chérissait.
Et au cœur de ce tourbillon, Ahatsara continuait, déterminée : "Allons-y, l'équipe ! Un dernier effort et notre oasis sera le plus enchanteur de tous les lieux pour Takhys !". Après quelques heures, Ahatsara, dans un moment de calme relatif au milieu de ce tumulte orchestré, se tourna vers les autres faes de l'oasis, son regard pétillant d'anticipation.
"Mes chères, mes beaux amis, il est temps de revêtir nos plus belles tenues pour honorer la visite de Takhys. Que chaque éclat de nos vêtements reflète la splendeur de notre oasis ! Plus de fleurs, plus de feuillages, plus de pierres chatoyantes ! Nous voulons éblouir notre amie, n'est-ce pas ?" Les faes s'affairaient avec enthousiasme, ajoutant des touches naturelles à leurs tenues pour les rendre éclatantes. Des pétales de fleurs délicates s'entremêlaient aux étoffes, des feuilles verdoyantes ornaient les épaules, et des pierres précieuses du désert étaient cousues avec habileté.
Ahatsara, quant à elle, se plongea dans une préparation méticuleuse. Elle drapa une étoffe légère et chatoyante autour de sa silhouette gracile, puis entreprit de l'agrémenter. Des fleurs aux couleurs éclatantes vinrent embellir sa tenue, des feuilles délicates furent soigneusement disposées, et quelques pierres brillantes furent intégrées avec une précision presque artistique. Elle s'exclama avec excitation : "Ainsi parée, je serai la fierté de notre oasis ! Mais n'oublions pas, mes chers, l'essentiel : que nos cœurs soient aussi lumineux que nos tenues pour accueillir notre chère Takhys !"
Ses mots s'éparpillaient dans l'air chaud du désert, porteurs d'une excitation presque enfantine. Elle jonglait entre les tâches, son énergie semblant intarissable, un mélange turbulent de détermination et de joie pure. Entre deux ordres précipités, Ahatsara s'adressait à Sombra, son fidèle compagnon scorpion d'obsidienne, dont les pinces luisantes semblaient danser sous les rayons du soleil.
"Viens par ici, mon vieux Sombra ! J'ai besoin de ta force pour déplacer ces rochers près du bassin des tortues d'eau douce. On veut que ça brille comme un joyau pour Takhys !". Le scorpion, docile malgré sa stature imposante, répondait à l'appel d'Ahatsara, sa carapace d'obsidienne reflétant les reflets chatoyants du désert.
Les palmiers bruissaient sous le souffle léger du vent, tandis que l'activité frénétique d'Ahatsara imprégnait l'oasis de cette énergie électrisante. Les échos de sa voix résonnaient parmi les habitations, ponctués parfois de rires enjoués et de murmures d'encouragement à ses clones affairés. Le désordre apparent dissimulait une logique bien à elle, une façon unique et chaotique de créer une harmonie palpable. Ahatsara, dans sa quête frénétique de perfection pour accueillir son amie, démontrait ce mélange parfaitement équilibré entre bonheur effervescent et volonté farouche d'offrir le meilleur à ceux qu'elle chérissait.
Et au cœur de ce tourbillon, Ahatsara continuait, déterminée : "Allons-y, l'équipe ! Un dernier effort et notre oasis sera le plus enchanteur de tous les lieux pour Takhys !". Après quelques heures, Ahatsara, dans un moment de calme relatif au milieu de ce tumulte orchestré, se tourna vers les autres faes de l'oasis, son regard pétillant d'anticipation.
"Mes chères, mes beaux amis, il est temps de revêtir nos plus belles tenues pour honorer la visite de Takhys. Que chaque éclat de nos vêtements reflète la splendeur de notre oasis ! Plus de fleurs, plus de feuillages, plus de pierres chatoyantes ! Nous voulons éblouir notre amie, n'est-ce pas ?" Les faes s'affairaient avec enthousiasme, ajoutant des touches naturelles à leurs tenues pour les rendre éclatantes. Des pétales de fleurs délicates s'entremêlaient aux étoffes, des feuilles verdoyantes ornaient les épaules, et des pierres précieuses du désert étaient cousues avec habileté.
Ahatsara, quant à elle, se plongea dans une préparation méticuleuse. Elle drapa une étoffe légère et chatoyante autour de sa silhouette gracile, puis entreprit de l'agrémenter. Des fleurs aux couleurs éclatantes vinrent embellir sa tenue, des feuilles délicates furent soigneusement disposées, et quelques pierres brillantes furent intégrées avec une précision presque artistique. Elle s'exclama avec excitation : "Ainsi parée, je serai la fierté de notre oasis ! Mais n'oublions pas, mes chers, l'essentiel : que nos cœurs soient aussi lumineux que nos tenues pour accueillir notre chère Takhys !"
La Chaleureuse Noyeuse
Takhys Suladran
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crédits : 1444
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Info personnage
Race: Sirène
Vocation: Mage élémentaliste
Alignement: Chaotique Neutre
Rang: C
La jeune femme avait veillé à être bien préparée pour rejoindre l'Oasis de son amie Fae. Marcher n'était plus vraiment un problème pour elle, vu qu'elle vit à la surface depuis quelques années maintenant. Aligner un pas après l'autre pour une courte traversée, dans le sable, sous le soleil implacable du Reike, ce n'est pas comme marcher sous le couvert frais et odorant des bois environnements de Courage. Là, la Sirène ne partait pas au petit bonheur chance à l'aventure en prenant ce qui se présentera devant elle. Cet environnement était rude. Si elle se perdait, elle serait à la merci des prédateurs mortels ou des pillards. Manquerait plus qu'elle devienne une esclave dans une de ces communautés d'irréductibles humains refusant les dernières mesures imposées par l'Impératrice.
Donc, ce fut une jeune femme dans une tenue de voyage parfaitement adapté pour sa petite escapade qui évoluait entre les dunes, espérant un peu qu'elle n'avait pas perdu la voie à suivre. Les instructions d'Ahatsara n'avaient pas été difficiles à comprendre. Derrière elle, la suivait un Aazho à la robe beige terne. Elle avait pu le louer pour pas cher, parce qu'il était d'une taille plus petite que la moyenne. Mais peu importait à la jeune femme, tant qu'il transportait sans subir tout son nécessaire pour arriver à l'Oasis. Et bien que son pelage était sans éclat, ses yeux ronds t noirs brillaitent d'une belle santé. Son nécessaire... dit comme cela, c'était comme si elle voyait avec ses toilettes, ses coffrets à maquillage et tout ce qui était en possession d'une dame de la haute société. Elle ne put s'empêcher de sourire. Quelle idée de s'être trompée de mots. Elle se retourna un instant, pour s'assurer qu'elle n'avait rien perdu en route. Un nœud mal fait et c'était un élément indispensable qui se perdait dans le sable, si on n'y prenait pas garde. Alors, quelques outres d'eau, une tente pour se parer contre le froid de la nuit ou les tempêtes de sable, quelques rations de nourritures... Bien, tout était en place visiblement. Allez, songea-t-elle, elle était bientôt arrivée. Normalement, derrière cette petite colline rocailleuse à moitié recouverte de sable, elle sera à destination.
Elle réajusta sa cape et sa capuche, pour se protéger au maximum du soleil. Elle avait voyagé la seconde moitié de la nuit, pour profiter au maximum de la fraîcheur nocturne. Maintenant que le soleil continuait sa course vers le zénith, la chaleur commençait à devenir quelque peu étouffante.
Après avoir contourné la petite colline, elle écarquilla les yeux devant le changement radical du paysage. En face d'elle, il n'y avait plus de dunes ou de rocs craquelés… c'était une étendue luxuriante de palmiers, de buissons en fleurs. Et étaient-ce des oiseaux qu'elle entendait gazouiller là-bas ? Elle manquait de courir, tellement la joie de cet écrin de verdure et de fraîcheur était plus qu'une découverte sensationnelle à ses yeux. En regardant avec plus d'attentions, elle crut apercevoir, sous le couvert des grandes palmerais, des habitations. Et ça grouillait, ça fourmillait. Pressée d'arriver définitivement, et de voir la Fae Joyeuse, elle attrapa la corde de l'Aazho et lui imposa de marcher plus intensément.
Oh qu'elle avait hâte de parcourir cette splendeur ! Tiens, une silhouette portant une magnifique tenue légère et bigarrée de couleurs lui faisait signe. C'était Ahatsara !
Donc, ce fut une jeune femme dans une tenue de voyage parfaitement adapté pour sa petite escapade qui évoluait entre les dunes, espérant un peu qu'elle n'avait pas perdu la voie à suivre. Les instructions d'Ahatsara n'avaient pas été difficiles à comprendre. Derrière elle, la suivait un Aazho à la robe beige terne. Elle avait pu le louer pour pas cher, parce qu'il était d'une taille plus petite que la moyenne. Mais peu importait à la jeune femme, tant qu'il transportait sans subir tout son nécessaire pour arriver à l'Oasis. Et bien que son pelage était sans éclat, ses yeux ronds t noirs brillaitent d'une belle santé. Son nécessaire... dit comme cela, c'était comme si elle voyait avec ses toilettes, ses coffrets à maquillage et tout ce qui était en possession d'une dame de la haute société. Elle ne put s'empêcher de sourire. Quelle idée de s'être trompée de mots. Elle se retourna un instant, pour s'assurer qu'elle n'avait rien perdu en route. Un nœud mal fait et c'était un élément indispensable qui se perdait dans le sable, si on n'y prenait pas garde. Alors, quelques outres d'eau, une tente pour se parer contre le froid de la nuit ou les tempêtes de sable, quelques rations de nourritures... Bien, tout était en place visiblement. Allez, songea-t-elle, elle était bientôt arrivée. Normalement, derrière cette petite colline rocailleuse à moitié recouverte de sable, elle sera à destination.
Elle réajusta sa cape et sa capuche, pour se protéger au maximum du soleil. Elle avait voyagé la seconde moitié de la nuit, pour profiter au maximum de la fraîcheur nocturne. Maintenant que le soleil continuait sa course vers le zénith, la chaleur commençait à devenir quelque peu étouffante.
Après avoir contourné la petite colline, elle écarquilla les yeux devant le changement radical du paysage. En face d'elle, il n'y avait plus de dunes ou de rocs craquelés… c'était une étendue luxuriante de palmiers, de buissons en fleurs. Et étaient-ce des oiseaux qu'elle entendait gazouiller là-bas ? Elle manquait de courir, tellement la joie de cet écrin de verdure et de fraîcheur était plus qu'une découverte sensationnelle à ses yeux. En regardant avec plus d'attentions, elle crut apercevoir, sous le couvert des grandes palmerais, des habitations. Et ça grouillait, ça fourmillait. Pressée d'arriver définitivement, et de voir la Fae Joyeuse, elle attrapa la corde de l'Aazho et lui imposa de marcher plus intensément.
Oh qu'elle avait hâte de parcourir cette splendeur ! Tiens, une silhouette portant une magnifique tenue légère et bigarrée de couleurs lui faisait signe. C'était Ahatsara !
Citoyen du Reike
Ahatsara
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crédits : 1846
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Dans la douce effervescence de l'oasis, Ahatsara continuait ses préparatifs frénétiques avec une joie débordante. Ses clones, ses amis faes, et même Sombra, tous se laissaient emporter par son enthousiasme contagieux. La fae dompteuse, en pleine déclaration loufoque, expliqua à ses compatriotes l'arrivée imminente de Takhys.
"Mes chères créatures magiques, Takhys est une sirène, une merveilleuse créature des océans ! Imaginez une femme d'une beauté à couper le souffle, avec une queue de poisson élégante. Elle se régale surtout de délices marins, alors j'ai dissimulé du poisson séché sous le sable, bien au frais, pour la gâter comme elle le mérite !"
Entre deux éclats de rire, Ahatsara dévoila son trésor caché, suscitant l'amusement et l'approbation de ses amies faes. Le chaos régnait, mais c'était un chaos joyeux, un kaléidoscope de couleurs et de rires dans le désert du Reike.
Soudain, une ombre à l'orée de l'oasis attira l'attention d'Ahatsara. Takhys était arrivée, sa silhouette gracile se dessinant contre le sable doré du désert. Un cri de joie s'éleva de la fae dompteuse.
"Takhys, ma chère amie, tu es enfin là ! Que les cieux et les océans soient bénis de ta présence !"
Ahatsara, suivie de près par Sombra, se précipita pour accueillir la sirène. Elle agitait les bras, signe de son excitation débordante, tout en s'approchant de Takhys avec une vivacité déconcertante.
"Mon amie, quel voyage ! As-tu vu des merveilles sur ton chemin ? Le désert ne t'a pas trop desséchée, j'espère ?"
Les éclats de rire accompagnaient ces questions, et Sombra émettait des cliquetis d'approbation. Takhys, souriante, émergeait de la chaleur étouffante avec une grâce aquatique, prête à explorer l'oasis.
"Je vais te montrer ta demeure temporaire, Takhys. Viens, et déposons tes affaires près de l'une de nos modestes maisons. Ne te fie pas à leur apparence modeste, elles sont pleines de charme !"
Ahatsara menait la marche, parlant à un rythme effréné, tout en dévoilant les détails enchanteurs de l'oasis à sa chère amie. Les faes les accueillaient avec des acclamations joyeuses, et même les clones, toujours aussi dévoués, se pressaient pour offrir leur assistance.
"Takhys, laisse-moi te présenter les merveilles de notre oasis. Voici Lira, la gardienne des fleurs, et là-bas, c'est Tiran, le maître des papillons enchantés !"
Les rencontres s'enchaînaient, chaque fae saluant Takhys avec une ferveur chaleureuse. La sirène, immergée dans cet univers unique, répondait comme elle le pouvait à toutes ces sollicitations.
"Et Takhys, voici Sombra, le scorpion géant d'obsidienne, tu dois peut-être te rappeler de lui aussi ? Ne t'en fais pas, il est aussi doux qu'un chaton, malgré son allure imposante !"
Ahatsara éclata de rire, révélant son côté facétieux. La scène pittoresque se déroulait sous le soleil brûlant du désert, une célébration chaotique et joyeuse de l'amitié et de la diversité fantastique.
Puis, entre deux rires, elle se tourna vers Takhys avec une lueur curieuse dans les yeux. "Au fait, comment va notre cher Clicor ? Il n'aime pas trop le désert, je le sais bien, mais j'espère qu'il se prélasse confortablement dans sa mangrove. J'ai prévu quelques friandises pour lui, au cas où !"
"Mes chères créatures magiques, Takhys est une sirène, une merveilleuse créature des océans ! Imaginez une femme d'une beauté à couper le souffle, avec une queue de poisson élégante. Elle se régale surtout de délices marins, alors j'ai dissimulé du poisson séché sous le sable, bien au frais, pour la gâter comme elle le mérite !"
Entre deux éclats de rire, Ahatsara dévoila son trésor caché, suscitant l'amusement et l'approbation de ses amies faes. Le chaos régnait, mais c'était un chaos joyeux, un kaléidoscope de couleurs et de rires dans le désert du Reike.
Soudain, une ombre à l'orée de l'oasis attira l'attention d'Ahatsara. Takhys était arrivée, sa silhouette gracile se dessinant contre le sable doré du désert. Un cri de joie s'éleva de la fae dompteuse.
"Takhys, ma chère amie, tu es enfin là ! Que les cieux et les océans soient bénis de ta présence !"
Ahatsara, suivie de près par Sombra, se précipita pour accueillir la sirène. Elle agitait les bras, signe de son excitation débordante, tout en s'approchant de Takhys avec une vivacité déconcertante.
"Mon amie, quel voyage ! As-tu vu des merveilles sur ton chemin ? Le désert ne t'a pas trop desséchée, j'espère ?"
Les éclats de rire accompagnaient ces questions, et Sombra émettait des cliquetis d'approbation. Takhys, souriante, émergeait de la chaleur étouffante avec une grâce aquatique, prête à explorer l'oasis.
"Je vais te montrer ta demeure temporaire, Takhys. Viens, et déposons tes affaires près de l'une de nos modestes maisons. Ne te fie pas à leur apparence modeste, elles sont pleines de charme !"
Ahatsara menait la marche, parlant à un rythme effréné, tout en dévoilant les détails enchanteurs de l'oasis à sa chère amie. Les faes les accueillaient avec des acclamations joyeuses, et même les clones, toujours aussi dévoués, se pressaient pour offrir leur assistance.
"Takhys, laisse-moi te présenter les merveilles de notre oasis. Voici Lira, la gardienne des fleurs, et là-bas, c'est Tiran, le maître des papillons enchantés !"
Les rencontres s'enchaînaient, chaque fae saluant Takhys avec une ferveur chaleureuse. La sirène, immergée dans cet univers unique, répondait comme elle le pouvait à toutes ces sollicitations.
"Et Takhys, voici Sombra, le scorpion géant d'obsidienne, tu dois peut-être te rappeler de lui aussi ? Ne t'en fais pas, il est aussi doux qu'un chaton, malgré son allure imposante !"
Ahatsara éclata de rire, révélant son côté facétieux. La scène pittoresque se déroulait sous le soleil brûlant du désert, une célébration chaotique et joyeuse de l'amitié et de la diversité fantastique.
Puis, entre deux rires, elle se tourna vers Takhys avec une lueur curieuse dans les yeux. "Au fait, comment va notre cher Clicor ? Il n'aime pas trop le désert, je le sais bien, mais j'espère qu'il se prélasse confortablement dans sa mangrove. J'ai prévu quelques friandises pour lui, au cas où !"
La Chaleureuse Noyeuse
Takhys Suladran
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Info personnage
Race: Sirène
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À peine Takhys fut-elle visible aux frontières verdoyantes de l'Oasis, que la Fae poussa un cri de joie sans précédent, qui emplit toute l'Oasis. La Sirène fut presque prise au dépourvu de cet enthousiasme endiablé, comme si la Fae ne l'avait pas vu depuis des années et des années. Elle avait dû sacrément lui manquer, car elle se précipita vers elle, toute agitée, les bras brassant à tout-va. Une vraie gamine. N'était-ce pas une des particularités des Fae, de déborder de joie au point que cela était contagieux ? La jeune blonde ne put empêcher son sourire de s'élargir, le plaisir de revoir son âme emplissant son cœur.
Derrière la Fae, un énorme scorpion à la cuirasse sombre et luisante la suivait, ses pattes claquant contre ses flancs, tellement il devait se mouvoir avec vivacité pour ne pas se laisser distancer. Takhys ouvrit les bras pour saluer Ahatsara ; et surtout l'accueillir, car à sa course joyeuse, il y avait des chances qu'elle la percute plus qu'elle ne lui saute dans les bras. Mais heureusement, l'enhardie joyeuse sut s'arrêter à temps. Ouf !
"Ahatsara ! Que je suis ravie de te voir ! J'ai cru ne jamais arriver. Par chance, visuellement, le désert a égayé mon regard, pendant la traversée. Et si je suis desséchée ? "
Elle s'amusa à se pincer les joues.
"Ma peau est encore souple, même si un peu plus chaude que d'ordinaire. Je ne crois pas ressembler à une momie... Si ? Non ? "Dit-elle avant de rire à nouveau.
Certes, elle avait chaud, ce qui était normal. On était dans le désert après tout. Et puis, ce n'était pas comme si elle devait constamment réhydrater sa peau. Elle était comme les humains, pas une élémentaire d'eau. Heureusement d'ailleurs ! Quelle plaie cela aurait été pour voyager à l'intérieur des terres ! Elle aurait dû demeurer aux abords du lac Rebirth ou encore des côtes, pour ne pas dépérir.
La Fae était en telle effervescence qu'elle ne laissa guère de temps à Takhys de souffler un peu. La Sirène, après avoir déposé ses effets personnels, fut immédiatement embarquée dans le sillage de son amie pour faire la connaissance de ses congénères. Ahatsara lui présenta chaque personne présente. La Sirène était stupéfaite que chacun ait un rôle précis au sein de cette petite communauté. C'était intéressant comme déroutant. Si elle ne se contentait que de servir ses clients au sein de sa petite taverne, elle serait contrainte d'employer plus de personnes et donc d'avoir plus de dépenses pour faire tourner le commerce. Mais elle découvrit qu'ici, il n'y avait pas d'histoires de finances. Chacun apportait sa contribution et le retour se payait par les efforts des autres. Elle envia d'un coup ce principe, qui se retrouvait un peu à Aquaria, mais qui n'était guère fonctionnel au sein de la République.
"Enchanté, je suis Takhys. "se présentera-t-elle à chaque connaissance de la Fae, demeurant naturelle malgré le nombre impressionnant d'amis de sa compagne. "Bien sûr que je me rappelle de Sombra. Comment l'oublier, il est unique. "elle enchaîna aussitôt, n'oubliant pas le crabe géant découvert lors de leur première rencontre : "Pour Clivor, il se porte comme un charme. Il serait ravi de te recoir par contre."
Derrière la Fae, un énorme scorpion à la cuirasse sombre et luisante la suivait, ses pattes claquant contre ses flancs, tellement il devait se mouvoir avec vivacité pour ne pas se laisser distancer. Takhys ouvrit les bras pour saluer Ahatsara ; et surtout l'accueillir, car à sa course joyeuse, il y avait des chances qu'elle la percute plus qu'elle ne lui saute dans les bras. Mais heureusement, l'enhardie joyeuse sut s'arrêter à temps. Ouf !
"Ahatsara ! Que je suis ravie de te voir ! J'ai cru ne jamais arriver. Par chance, visuellement, le désert a égayé mon regard, pendant la traversée. Et si je suis desséchée ? "
Elle s'amusa à se pincer les joues.
"Ma peau est encore souple, même si un peu plus chaude que d'ordinaire. Je ne crois pas ressembler à une momie... Si ? Non ? "Dit-elle avant de rire à nouveau.
Certes, elle avait chaud, ce qui était normal. On était dans le désert après tout. Et puis, ce n'était pas comme si elle devait constamment réhydrater sa peau. Elle était comme les humains, pas une élémentaire d'eau. Heureusement d'ailleurs ! Quelle plaie cela aurait été pour voyager à l'intérieur des terres ! Elle aurait dû demeurer aux abords du lac Rebirth ou encore des côtes, pour ne pas dépérir.
La Fae était en telle effervescence qu'elle ne laissa guère de temps à Takhys de souffler un peu. La Sirène, après avoir déposé ses effets personnels, fut immédiatement embarquée dans le sillage de son amie pour faire la connaissance de ses congénères. Ahatsara lui présenta chaque personne présente. La Sirène était stupéfaite que chacun ait un rôle précis au sein de cette petite communauté. C'était intéressant comme déroutant. Si elle ne se contentait que de servir ses clients au sein de sa petite taverne, elle serait contrainte d'employer plus de personnes et donc d'avoir plus de dépenses pour faire tourner le commerce. Mais elle découvrit qu'ici, il n'y avait pas d'histoires de finances. Chacun apportait sa contribution et le retour se payait par les efforts des autres. Elle envia d'un coup ce principe, qui se retrouvait un peu à Aquaria, mais qui n'était guère fonctionnel au sein de la République.
"Enchanté, je suis Takhys. "se présentera-t-elle à chaque connaissance de la Fae, demeurant naturelle malgré le nombre impressionnant d'amis de sa compagne. "Bien sûr que je me rappelle de Sombra. Comment l'oublier, il est unique. "elle enchaîna aussitôt, n'oubliant pas le crabe géant découvert lors de leur première rencontre : "Pour Clivor, il se porte comme un charme. Il serait ravi de te recoir par contre."
Citoyen du Reike
Ahatsara
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Dans un élan de pure joie, Ahatsara s'élança vers Takhys, ses bras ouverts et un sourire radieux illuminant son visage. L'excitation pétillait dans ses yeux alors qu'elle accueillait chaleureusement son amie de longue date.
"Takhys ! Que je suis ravie de te voir ! Ah, le désert peut être impitoyable, mais il a le don de rendre les retrouvailles encore plus douces !"
Son rire résonnait joyeusement alors qu'elle écoutait les commentaires enjoués de Takhys sur son apparence, la rassurant aussitôt avec un éclat de malice dans les yeux.
"Tu ressembles à une sirène plus resplendissante que jamais, ma chère ! Pas de momie en vue, heureusement ! Ce serait une transformation des plus inattendues !"
Le rire contagieux d'Ahatsara résonnait à nouveau, enveloppant l'atmosphère dans une ambiance de légèreté et de bonheur. Puis, avec un geste théâtral, elle se tourna vers les autres faes, présentant fièrement Takhys.
"Mes amis, laissez-moi vous présenter Takhys, une sirène aussi merveilleuse que l'océan lui-même !"
Les regards curieux des faes se posèrent sur Takhys, qui les salua simplement avec une grâce naturelle. Ahatsara observa avec satisfaction l'accueil chaleureux réservé à son amie, son cœur bondissant de bonheur devant cette réunion tant attendue.
Puis vint le moment où Takhys mentionna Sombra, le scorpion géant, avec une remarque empreinte de douceur et de reconnaissance. Ahatsara ne put retenir un éclat de fierté devant l'expression de contentement de Sombra, qui semblait gonfler de fierté, même pour un être d'obsidienne.
Ahatsara se tourna vers son fidèle compagnon, lui adressant un sourire complice alors qu'il esquissait un geste presque timide, ses pinces couvrant ses grands yeux.
Puis, lorsque Takhys mentionna Clicor, le crabe géant resté dans les mangroves, Ahatsara ressentit un pincement de nostalgie mêlé d'excitation. Elle hocha la tête avec empressement, exprimant sa joie de revoir également son ami à carapace.
"Oh, comme j'ai hâte de revoir Clicor ! Nous devrons programmer une excursion jusqu'aux mangroves pour cela, mais je suis certaine que ce sera une réunion mémorable !"
Son cœur débordait de gratitude et d'affection pour les liens précieux qui unissaient leur petit groupe hétéroclite. Dans cet oasis, où le chaos et la bonhomie régnaient en maître, chaque rencontre était une occasion de célébrer l'amitié et la magie qui les unissaient. Et dans ce moment de retrouvailles, Ahatsara se sentait plus comblée que jamais.
Dans l'euphorie de la fête, Ahatsara entraîna quelques amis faes dans une danse excentrique, où les mouvements étaient aussi absurdes que joyeux. Elle improvisa des pas loufoques, mélangeant des sauts extravagants avec des mouvements saccadés des bras, le tout dans une cacophonie de rires et de musique.
"Suivez-moi, mes amis ! Laissons-nous emporter par la magie de l'instant !"
Sa robe virevoltait autour d'elle, ses colliers scintillants ajoutant une touche de féerie à sa silhouette tourbillonnante. Mais soudain, une fae arrivant en voletant de manière désordonnée rompit la gaieté de la scène. La pauvre semblait effrayée.
"À l'aide ! Un danger approche !"
L'instant de joie fut interrompu brusquement, et Ahatsara, son visage marqué par la préoccupation, se prépara à affronter l'inconnu qui menaçait leur oasis.
"Takhys ! Que je suis ravie de te voir ! Ah, le désert peut être impitoyable, mais il a le don de rendre les retrouvailles encore plus douces !"
Son rire résonnait joyeusement alors qu'elle écoutait les commentaires enjoués de Takhys sur son apparence, la rassurant aussitôt avec un éclat de malice dans les yeux.
"Tu ressembles à une sirène plus resplendissante que jamais, ma chère ! Pas de momie en vue, heureusement ! Ce serait une transformation des plus inattendues !"
Le rire contagieux d'Ahatsara résonnait à nouveau, enveloppant l'atmosphère dans une ambiance de légèreté et de bonheur. Puis, avec un geste théâtral, elle se tourna vers les autres faes, présentant fièrement Takhys.
"Mes amis, laissez-moi vous présenter Takhys, une sirène aussi merveilleuse que l'océan lui-même !"
Les regards curieux des faes se posèrent sur Takhys, qui les salua simplement avec une grâce naturelle. Ahatsara observa avec satisfaction l'accueil chaleureux réservé à son amie, son cœur bondissant de bonheur devant cette réunion tant attendue.
Puis vint le moment où Takhys mentionna Sombra, le scorpion géant, avec une remarque empreinte de douceur et de reconnaissance. Ahatsara ne put retenir un éclat de fierté devant l'expression de contentement de Sombra, qui semblait gonfler de fierté, même pour un être d'obsidienne.
Ahatsara se tourna vers son fidèle compagnon, lui adressant un sourire complice alors qu'il esquissait un geste presque timide, ses pinces couvrant ses grands yeux.
Puis, lorsque Takhys mentionna Clicor, le crabe géant resté dans les mangroves, Ahatsara ressentit un pincement de nostalgie mêlé d'excitation. Elle hocha la tête avec empressement, exprimant sa joie de revoir également son ami à carapace.
"Oh, comme j'ai hâte de revoir Clicor ! Nous devrons programmer une excursion jusqu'aux mangroves pour cela, mais je suis certaine que ce sera une réunion mémorable !"
Son cœur débordait de gratitude et d'affection pour les liens précieux qui unissaient leur petit groupe hétéroclite. Dans cet oasis, où le chaos et la bonhomie régnaient en maître, chaque rencontre était une occasion de célébrer l'amitié et la magie qui les unissaient. Et dans ce moment de retrouvailles, Ahatsara se sentait plus comblée que jamais.
Dans l'euphorie de la fête, Ahatsara entraîna quelques amis faes dans une danse excentrique, où les mouvements étaient aussi absurdes que joyeux. Elle improvisa des pas loufoques, mélangeant des sauts extravagants avec des mouvements saccadés des bras, le tout dans une cacophonie de rires et de musique.
"Suivez-moi, mes amis ! Laissons-nous emporter par la magie de l'instant !"
Sa robe virevoltait autour d'elle, ses colliers scintillants ajoutant une touche de féerie à sa silhouette tourbillonnante. Mais soudain, une fae arrivant en voletant de manière désordonnée rompit la gaieté de la scène. La pauvre semblait effrayée.
"À l'aide ! Un danger approche !"
L'instant de joie fut interrompu brusquement, et Ahatsara, son visage marqué par la préoccupation, se prépara à affronter l'inconnu qui menaçait leur oasis.
La Chaleureuse Noyeuse
Takhys Suladran
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Info personnage
Race: Sirène
Vocation: Mage élémentaliste
Alignement: Chaotique Neutre
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Takhys crut qu'elle allait exploser de gaieté, tellement la joyeuse Fae en débordait. Jamais encore la Sirène ne s'était retrouvée dans un tel entourage de bien-être et de bonheur. Si un lieu d'insouciance devait exister de par le Sekaï, alors ce serait cette oasis, à n'en point douter.
"Le désert ne saurait nous empêcher de telles retrouvailles, c'est certain. "rit-elle.
"Et je te remercie. Tu es certaine que je n'ai pas la pelade à cause d'un coup de soleil ou que j'ai quelques rides de déshydratayion ? "
Juste pour parfaire cette fausse inquiétude, elle palpa ses joues, avant de passer ses mains délicates dans sa chevelure dorée, pour la faire voleter, afin de la remettre un peu en ordre.
"Je suis sûre que j'aurai gardé ma splendeur même si j'étais une momie, n'est-ce pas ? "
Et elle rit, avant de porter son regard sur l'assemblée des Faes présentes, venues elles aussi l'accueillir. Elle pensait la race rare. Clairement, elle s'était un peu fourvoyée. Elle n'était pas rare, elle aimait s'isoler visiblement. Quoi de plus normal quand on voit le comportement de bien des hommes du genre humain. Mais cela était une autre histoire. Elle salua les amies de son amie, avec un geste élégant de sa main droite ouverte.
"Je suis même certain qu'il galopera comme un cheval en te voyant débarquer"dit-elle en imaginant très bien le crabe géant se précipiter en biais vers la Fae.
"Et d'ailleurs...."
Une Fae paniquée arriva, coupant la délicieuse conversation. Un danger approchait. Un danger ici ? En haut de la dune, se présenta un cavalier en tenue de nomade. Lance à la main, il paraissait étudier les lieux, malgré la chéchia qui entourait sa tête et couvrait une partie de son visage. C'était cela le danger ? Un seul homme ? L'Aquarienne déchanta rapidement quand une vingtaine d'hommes à cheval se dévoilèrent à leurs tours. Eux aussi étaient armés.
"Des amis à toi ? "
Des pillards du désert sans doute, ou des rebelles de l'Empire, qui refusaient de ployer le genou devant le souverain en place. Peu importait, dans les deux cas, ils n'avaient rien d'amical, clairement.
Le premier cavalier s'approcha un peu plus, avant de faire cabrer son cheval, afin de se montrer plus menaçant.
"Vous, les habitants de cette oasis, si vous ne souhaitez pas voir le sang étancher la sécheresse du désert, ne résistez pas à notre venue, donnez vos biens et vos nourritures... Combattez nous et vous périrez ! "
"Le désert ne saurait nous empêcher de telles retrouvailles, c'est certain. "rit-elle.
"Et je te remercie. Tu es certaine que je n'ai pas la pelade à cause d'un coup de soleil ou que j'ai quelques rides de déshydratayion ? "
Juste pour parfaire cette fausse inquiétude, elle palpa ses joues, avant de passer ses mains délicates dans sa chevelure dorée, pour la faire voleter, afin de la remettre un peu en ordre.
"Je suis sûre que j'aurai gardé ma splendeur même si j'étais une momie, n'est-ce pas ? "
Et elle rit, avant de porter son regard sur l'assemblée des Faes présentes, venues elles aussi l'accueillir. Elle pensait la race rare. Clairement, elle s'était un peu fourvoyée. Elle n'était pas rare, elle aimait s'isoler visiblement. Quoi de plus normal quand on voit le comportement de bien des hommes du genre humain. Mais cela était une autre histoire. Elle salua les amies de son amie, avec un geste élégant de sa main droite ouverte.
"Je suis même certain qu'il galopera comme un cheval en te voyant débarquer"dit-elle en imaginant très bien le crabe géant se précipiter en biais vers la Fae.
"Et d'ailleurs...."
Une Fae paniquée arriva, coupant la délicieuse conversation. Un danger approchait. Un danger ici ? En haut de la dune, se présenta un cavalier en tenue de nomade. Lance à la main, il paraissait étudier les lieux, malgré la chéchia qui entourait sa tête et couvrait une partie de son visage. C'était cela le danger ? Un seul homme ? L'Aquarienne déchanta rapidement quand une vingtaine d'hommes à cheval se dévoilèrent à leurs tours. Eux aussi étaient armés.
"Des amis à toi ? "
Des pillards du désert sans doute, ou des rebelles de l'Empire, qui refusaient de ployer le genou devant le souverain en place. Peu importait, dans les deux cas, ils n'avaient rien d'amical, clairement.
Le premier cavalier s'approcha un peu plus, avant de faire cabrer son cheval, afin de se montrer plus menaçant.
"Vous, les habitants de cette oasis, si vous ne souhaitez pas voir le sang étancher la sécheresse du désert, ne résistez pas à notre venue, donnez vos biens et vos nourritures... Combattez nous et vous périrez ! "
Citoyen du Reike
Ahatsara
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Dans la douce chaleur de l'oasis, alors que la fête battait son plein et que les rires résonnaient dans l'air, Takhys adressa à Ahatsara des paroles empreintes de gratitude et de taquinerie. La fae esquissa un sourire complice en réponse, rassurant son amie avec un geste léger de la main.
"Takhys, ma chère, tu restes aussi resplendissante que toujours, peu importe les péripéties du désert ! Et crois-moi, aucune pelade ni ride de déshydratation ne sauraient ternir ta beauté !"
Son ton était léger, mais Ahatsara pouvait sentir une pointe de préoccupation sous la plaisanterie. Elle voulait rassurer Takhys, mais elle savait aussi que les rigueurs du désert pouvaient être impitoyables pour les voyageurs non avertis.
Puis, Takhys, toujours avec son humour caractéristique, évoqua la possibilité d'être une momie tout en conservant sa splendeur. La dompteuse éclata de rire, secouant la tête avec amusement.
"Ah, ma chère Takhys, même sous forme de momie, tu brillerais de mille feux ! Mais rassure-toi, nous ferons en sorte que tu restes aussi vivante et éblouissante que jamais !"
Leurs échanges joyeux furent cependant interrompus brusquement par l'arrivée précipitée d'une fae paniquée. Les mots de la jeune fae résonnaient dans l'air, annonçant l'approche imminente de cavaliers menaçants. Ahatsara sentit une bouffée d'indignation monter en elle face à la demande agressive qui leur était lancée.
"Non, jamais nous ne laisserons de tels tyrans nous dicter nos vies et notre destin !"
Son cri de défi résonna parmi les faes de l'oasis, ralliant autour d'elle une aura de détermination farouche. Dans un geste impétueux, elle se tourna vers ses amis les plus proches, Takhys et Sombra, leur adressant un regard ardent.
"Amis faes, il est temps de montrer à ces intrus que nous ne nous laisserons pas intimider ! Takhys, ma chère, Sombra, mon fidèle compagnon, je vous appelle à nous battre pour défendre notre foyer !"
Son appel à l'action était clair, empreint d'une fermeté mêlée à son habituel chaos joyeux. Elle savait que le combat qui les attendait serait difficile, mais elle était prête à tout pour protéger ceux qu'elle aimait et l'oasis qui était leur refuge. La solidarité et la détermination des faes se dresseraient comme un rempart infranchissable face à l'adversité qui se profilait à l'horizon.
Sombra, fidèle à son habitude, réagit avec enthousiasme aux paroles de sa maîtresse, ses pinces de scorpion claquant bruyamment en signe d'approbation. L'écho de ce geste résonna dans l'air, renforçant la détermination de tous.
Pendant ce temps, Ahatsara, mue par son sens inné de la stratégie chaotique, invoqua trois clones d'elle-même. Ces répliques parfaites de la fae se tenaient maintenant aux points stratégiques de l'oasis, prêtes à surveiller les environs et à donner l'alerte en cas de danger.
"Allez, mes doubles, veillez sur nous comme des gardiennes vigilantes !"
Ahatsara se tourna ensuite vers Takhys, son regard empreint d'une sincère préoccupation.
"Takhys, ma chère, je sais que le désert peut être un terrain difficile, surtout pour une sirène habituée aux eaux paisibles de l'océan. Es-tu sûre de vouloir te battre à nos côtés ? Nous comprendrons si tu préfères rester en sécurité ici."
"Takhys, ma chère, tu restes aussi resplendissante que toujours, peu importe les péripéties du désert ! Et crois-moi, aucune pelade ni ride de déshydratation ne sauraient ternir ta beauté !"
Son ton était léger, mais Ahatsara pouvait sentir une pointe de préoccupation sous la plaisanterie. Elle voulait rassurer Takhys, mais elle savait aussi que les rigueurs du désert pouvaient être impitoyables pour les voyageurs non avertis.
Puis, Takhys, toujours avec son humour caractéristique, évoqua la possibilité d'être une momie tout en conservant sa splendeur. La dompteuse éclata de rire, secouant la tête avec amusement.
"Ah, ma chère Takhys, même sous forme de momie, tu brillerais de mille feux ! Mais rassure-toi, nous ferons en sorte que tu restes aussi vivante et éblouissante que jamais !"
Leurs échanges joyeux furent cependant interrompus brusquement par l'arrivée précipitée d'une fae paniquée. Les mots de la jeune fae résonnaient dans l'air, annonçant l'approche imminente de cavaliers menaçants. Ahatsara sentit une bouffée d'indignation monter en elle face à la demande agressive qui leur était lancée.
"Non, jamais nous ne laisserons de tels tyrans nous dicter nos vies et notre destin !"
Son cri de défi résonna parmi les faes de l'oasis, ralliant autour d'elle une aura de détermination farouche. Dans un geste impétueux, elle se tourna vers ses amis les plus proches, Takhys et Sombra, leur adressant un regard ardent.
"Amis faes, il est temps de montrer à ces intrus que nous ne nous laisserons pas intimider ! Takhys, ma chère, Sombra, mon fidèle compagnon, je vous appelle à nous battre pour défendre notre foyer !"
Son appel à l'action était clair, empreint d'une fermeté mêlée à son habituel chaos joyeux. Elle savait que le combat qui les attendait serait difficile, mais elle était prête à tout pour protéger ceux qu'elle aimait et l'oasis qui était leur refuge. La solidarité et la détermination des faes se dresseraient comme un rempart infranchissable face à l'adversité qui se profilait à l'horizon.
Sombra, fidèle à son habitude, réagit avec enthousiasme aux paroles de sa maîtresse, ses pinces de scorpion claquant bruyamment en signe d'approbation. L'écho de ce geste résonna dans l'air, renforçant la détermination de tous.
Pendant ce temps, Ahatsara, mue par son sens inné de la stratégie chaotique, invoqua trois clones d'elle-même. Ces répliques parfaites de la fae se tenaient maintenant aux points stratégiques de l'oasis, prêtes à surveiller les environs et à donner l'alerte en cas de danger.
"Allez, mes doubles, veillez sur nous comme des gardiennes vigilantes !"
Ahatsara se tourna ensuite vers Takhys, son regard empreint d'une sincère préoccupation.
"Takhys, ma chère, je sais que le désert peut être un terrain difficile, surtout pour une sirène habituée aux eaux paisibles de l'océan. Es-tu sûre de vouloir te battre à nos côtés ? Nous comprendrons si tu préfères rester en sécurité ici."
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Takhys Suladran
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Non, clairement, ces nouveaux venus n'étaient pas des amis à la Fae et à son entourage qui perdit vite le sourire et la joie festive. Une vingtaine de cavaliers se présentant ainsi avaient de quoi casser l'ambiance. Ahatsara n'en démordit pas, bien décidé à ne pas se laisser faire. Ou parce que frustrée que tout le plaisir de la venue de son amie aquarienne eut été bafouée par ces sales humains à cheval ? Elle appela ses pairs et Takhys à unir leurs forces pour combattre les pillards.
"Bien entendu, très chère ! Je ne vais pas fuir alors que tu as besoin de toute l'aide possible. Et il serait dommage de ne pas en profiter un peu. Toi qui affirmais qu'on ne s'ennuyait jamais au sein de ton Oasis, on dirait que le hasard s'est plut à répondre à ce fait"
Elle se retint de glousser, comprenant que cela aurait été quelque peu déplacé au vu de la tension palpable qui s'était répandue dans les rangs des autres Faes qui s'étaient rapprochées d'Ahatsara. En tout cas, Sombra claquait des pinces, avide lui aussi d'en découdre.
La Fae appela trois clones à elle, avec l'aide de la magie. Takhys regarda autour d'elle pour voir quelle eau des lieux verdoyants elle pourrait invoquer à elle. Cela aurait été assez ironique de ne pas pouvoir contribuer à la défense de l'Oasis faute d'eau à disposition. En même temps, on était dans le désert... Elle devrait songer à apprendre une autre forme de magie pour parer à ce petit souci.
Ahatsara s'inquiéta un moment d'engager son amie dans le futur affrontement.
"Ton Oasis n'est pas dépourvue d'eau. Je vais employer juste le nécessaire pour ne pas perturber son équilibre. Et puis, même si le désert est difficile, ces pillards ne sont pas imbattables. Un coup de main ne sera jamais de trop. Ces indésirables vont avoir une drôle de surprise…"
Voyant le refus des habitants, le chef des pillards lâcha des insultes dans un dialecte peu mélodieux aux oreilles. Takhys ne douta pas un seul instant qu'il y avait des insultes odieuses dans ses mots. Elle se rapprocha d'une berge, pour avoir l'eau à portée. D'un sourire étrange, presque carnassier, elle attendit que les cavaliers ennemis soient à portée de sa petite offensive, car ils s'étaient élancés au galop, les chevaux dévalant la pente sableuse, réussissant à ne pas perdre leur équilibre malmené par l'instabilité du sable qui s'écoulait sous leurs sabots.
Takhys les fixait. Elle ne sut ce que faisaient les autres Faes en attendant, mais dès que les adversaires furent à bonne distance, elle appela l'eau, pour la transformer en pic de glace, qui s'élancèrent vers les cibles humaines. Plusieurs tombèrent de selles en se prenant un projectile acéré dans la poitrine.
"A qui le tour ? "
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Ahatsara
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Alors que les paroles résolues de Takhys résonnaient dans l'oasis, Ahatsara sentit une vague de soulagement et de fierté. Son amie sirène, malgré les défis du désert, se tenait prête à défendre leur refuge.
"Merci, Takhys ! Ton courage et ta loyauté sont une bénédiction pour nous. En effet, l'ennui ne trouve jamais sa place ici. Il semble que même le destin ait décidé de rendre notre oasis encore plus... excitante aujourd'hui !"
La dompteuse laissa échapper un rire nerveux, mais elle savait que la situation était grave. Les cavaliers approchaient rapidement, et le temps était venu de mettre en place leur défense magique. Elle acquiesça lorsque Takhys mentionna l'utilisation de l'eau de l'oasis.
"Fais ce que tu dois, Takhys. Utilise l'eau avec sagesse et précaution. Nous n'avons pas le luxe de nous retenir aujourd'hui. Ces pillards doivent comprendre qu'ils ont choisi la mauvaise oasis à attaquer !"
Takhys se dirigea alors vers les eaux paisibles de l'oasis, et Ahatsara observa avec admiration la magie aquatique de son amie prendre forme. Les salves d'eau se transformèrent en pics gelés, scintillant sous le soleil brûlant, avant de s'élancer avec une force impitoyable vers les cavaliers en approche. Les éclats de glace tourbillonnaient dans l'air, créant une barrière imprévisible et dangereuse pour les assaillants.
Pendant ce temps, la magicienne s'activa à organiser les faes. Elle leva les bras, ses mouvements fluides, mais remplis de détermination, et appela à l'action les différents groupes des faes de l'oasis.
"Faes élémentalistes, c'est à vous de jouer ! Faites souffler les vents et que le sable du désert devienne notre allié ! Projetez-le vers ces intrus, qu'ils regrettent leur audace !"
Le sable s'éleva en tourbillons légers, guidé par la magie des faes élémentalistes. Les grains tourbillonnaient en tempête aveuglante, créant une barrière naturelle et chaotique contre les attaquants. Ahatsara se tourna ensuite vers les faes jardinières, leurs visages déterminés reflétant la gravité du moment.
"Faes jardinières, invoquez les buissons de ronces du désert ! Bloquez les accès et piégez nos ennemis dans leur propre avidité !"
Sous les incantations des faes jardinières, des petits buissons de ronces épineuses surgirent du sol, se tordant et s'enroulant pour former des barrières difficilement franchissables. Les accès à l'oasis se trouvaient désormais défendus par ces gardiens végétaux impitoyables.
La dompteuse, sentant la tension croître, ferma les yeux un instant pour se concentrer. Elle devait maintenant invoquer un grand bouclier psychique pour protéger ses amis des éventuelles attaques magiques des cavaliers. Elle se mit à réciter en langage fae, les mots anciens et puissants résonnant dans l'air.
"Falamirë, enyaliea elda sanomé, tirivare mirian sa’ eara!"
Une lueur douce et protectrice enveloppa les faes, formant un bouclier invisible mais puissant autour de l'oasis. Ahatsara ouvrit les yeux, son regard flamboyant de détermination, et lança un regard complice à Sombra.
"Maintenant, Sombra, c'est à toi de montrer ce dont tu es capable ! Pas de quartier ! Charge !"
Le grand scorpion d'obsidienne, animé par les paroles de sa maîtresse, se mit en mouvement. Ses pinces cliquetèrent avec force alors qu'il se précipitait vers les cavaliers, passant à côté de Takhys avec une détermination implacable. Le sol trembla sous le poids de Sombra, son ombre imposante projetant une aura de terreur sur les assaillants. L'oasis entière était désormais une scène de défense acharnée, chaque fae et créature unissant leurs forces contre l'envahisseur.
"Merci, Takhys ! Ton courage et ta loyauté sont une bénédiction pour nous. En effet, l'ennui ne trouve jamais sa place ici. Il semble que même le destin ait décidé de rendre notre oasis encore plus... excitante aujourd'hui !"
La dompteuse laissa échapper un rire nerveux, mais elle savait que la situation était grave. Les cavaliers approchaient rapidement, et le temps était venu de mettre en place leur défense magique. Elle acquiesça lorsque Takhys mentionna l'utilisation de l'eau de l'oasis.
"Fais ce que tu dois, Takhys. Utilise l'eau avec sagesse et précaution. Nous n'avons pas le luxe de nous retenir aujourd'hui. Ces pillards doivent comprendre qu'ils ont choisi la mauvaise oasis à attaquer !"
Takhys se dirigea alors vers les eaux paisibles de l'oasis, et Ahatsara observa avec admiration la magie aquatique de son amie prendre forme. Les salves d'eau se transformèrent en pics gelés, scintillant sous le soleil brûlant, avant de s'élancer avec une force impitoyable vers les cavaliers en approche. Les éclats de glace tourbillonnaient dans l'air, créant une barrière imprévisible et dangereuse pour les assaillants.
Pendant ce temps, la magicienne s'activa à organiser les faes. Elle leva les bras, ses mouvements fluides, mais remplis de détermination, et appela à l'action les différents groupes des faes de l'oasis.
"Faes élémentalistes, c'est à vous de jouer ! Faites souffler les vents et que le sable du désert devienne notre allié ! Projetez-le vers ces intrus, qu'ils regrettent leur audace !"
Le sable s'éleva en tourbillons légers, guidé par la magie des faes élémentalistes. Les grains tourbillonnaient en tempête aveuglante, créant une barrière naturelle et chaotique contre les attaquants. Ahatsara se tourna ensuite vers les faes jardinières, leurs visages déterminés reflétant la gravité du moment.
"Faes jardinières, invoquez les buissons de ronces du désert ! Bloquez les accès et piégez nos ennemis dans leur propre avidité !"
Sous les incantations des faes jardinières, des petits buissons de ronces épineuses surgirent du sol, se tordant et s'enroulant pour former des barrières difficilement franchissables. Les accès à l'oasis se trouvaient désormais défendus par ces gardiens végétaux impitoyables.
La dompteuse, sentant la tension croître, ferma les yeux un instant pour se concentrer. Elle devait maintenant invoquer un grand bouclier psychique pour protéger ses amis des éventuelles attaques magiques des cavaliers. Elle se mit à réciter en langage fae, les mots anciens et puissants résonnant dans l'air.
"Falamirë, enyaliea elda sanomé, tirivare mirian sa’ eara!"
Une lueur douce et protectrice enveloppa les faes, formant un bouclier invisible mais puissant autour de l'oasis. Ahatsara ouvrit les yeux, son regard flamboyant de détermination, et lança un regard complice à Sombra.
"Maintenant, Sombra, c'est à toi de montrer ce dont tu es capable ! Pas de quartier ! Charge !"
Le grand scorpion d'obsidienne, animé par les paroles de sa maîtresse, se mit en mouvement. Ses pinces cliquetèrent avec force alors qu'il se précipitait vers les cavaliers, passant à côté de Takhys avec une détermination implacable. Le sol trembla sous le poids de Sombra, son ombre imposante projetant une aura de terreur sur les assaillants. L'oasis entière était désormais une scène de défense acharnée, chaque fae et créature unissant leurs forces contre l'envahisseur.
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Takhys Suladran
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Malgré les premières pertes subies, les pillards gardaient leur allure, bien déterminés à attaquer. Une mage d'eau n'était rien pour eux. D'ailleurs, un mage de feu commençait à faire enfler une boule de feu dans sa main. Takhys avait sourcillé, n'ayant pas pensé que les ennemis pouvaient avoir quelques élémentalistes. Y en avaient-ils d'autres ? Elle rattrapa les rênes de sa magie, prête à user encore de l'eau de l'oasis si le besoin s'en faisait ressentir. Elle pourrait tous les anéantir, mais les lieux souffriraient de l'absence de cet or bleu, bien plus précieux qu'un diamant ou l'or même. Cela expliquerait la volonté des brigands de s'en prendre aux Faes, après les avoir menacées.
Quand l'eau répondit à son appel magique, la Sirène se tint prête, pendant qu'Ahatsara coordonna ses amis comme de parfaits soldats. D'abord, elle ordonna à un groupe d'élémentalistes Faes d'éveiller le vent pour que le sable du désert s'envole en tourbillon et aveugle les cavaliers. Plusieurs chevaux ralentirent et ruèrent même pour essayer de fuir, malgré les rênes qui les guidaient fermement vers leur objectif. Telle une cheftaine de guerre, l'amie de la Sirène ordonna à un second groupe d'user de sa magie. Cette fois, ce furent des ronces qui jaillirent des sables, se dressant en un mur infranchissable.
Takhys était impressionnée. Les humains étaient prisonniers de la végétation. Elle avait peine à imaginer la jeune Ahatsara comme une véritable tacticienne. Elle était impressionnée. Plus encore quand elle invoqua un de ses propres sortilèges, pour protéger l'oasis de la magie des adversaires. D'aucun n'avait eu le temps de réagir d'ailleurs, tellement la réplique fae avait été rapide et parfaitement synchronisée.
Bon, la belle blonde n'allait pas rester là à regarder les Faes se battre. Elle participait aussi non ? Les pics de glace qui étaient encore plantés dans le sable, bien que fondant assez rapidement, pourraient encore servir ! Elle se rapprocha donc de son amie, après que son grand scorpion l'eut frôlée quand il se précipita vers les assaillants qui luttaient pour contrôler leurs chevaux en panique ou pour trancher les rameaux épais et piquants des ronces qui les entravaient. Elle avait manqué de bondir en arrière aux claquements secs et énervés de l'arthropode.
Takhys le suivit du regard, fascinée par sa rapidité et le carnage qu'il entama en arrivant sur les pillards. Sans attendre, elle usa de ce qui restait de son premier sort pour reformer des pics de glace qui allèrent se figer dans les survivants. Là où ces hommes avaient cru à une victoire facile, ce fut une véritable curée qu'ils subirent. Deux ou trois cavaliers réussirent à quitter les remparts végétaux acérés, se fichant que leur monture y laissent de la chair. Les autres terminèrent de se faire étriper par le scorpion ou d'être achevés par la magie des autres Faes.
Quand tout fut terminé, il y eut un bien étrange silence, ponctué des bruits claquants des pinces de Sombra. Takhys regarda le lieu du carnage. On peut dire qu'ils ne reviendront pas de sitôt.
"Eh bien... on dirait qu'on a gagné, ma chère. Chose certaine est que j'ai été bluffée de votre défense. Vous n'en donniez pas l'air, mais vous êtes de redoutables guerrières. Qui l'aurait cru ! "
Puis, elle reporta son regard sur les cadavres des terrestres et de leurs montures. Ils n'étaient pas nombreux, mais il faudra s'en occuper avant que cela n'attire des charognards ou d'autres pillards...
Quand l'eau répondit à son appel magique, la Sirène se tint prête, pendant qu'Ahatsara coordonna ses amis comme de parfaits soldats. D'abord, elle ordonna à un groupe d'élémentalistes Faes d'éveiller le vent pour que le sable du désert s'envole en tourbillon et aveugle les cavaliers. Plusieurs chevaux ralentirent et ruèrent même pour essayer de fuir, malgré les rênes qui les guidaient fermement vers leur objectif. Telle une cheftaine de guerre, l'amie de la Sirène ordonna à un second groupe d'user de sa magie. Cette fois, ce furent des ronces qui jaillirent des sables, se dressant en un mur infranchissable.
Takhys était impressionnée. Les humains étaient prisonniers de la végétation. Elle avait peine à imaginer la jeune Ahatsara comme une véritable tacticienne. Elle était impressionnée. Plus encore quand elle invoqua un de ses propres sortilèges, pour protéger l'oasis de la magie des adversaires. D'aucun n'avait eu le temps de réagir d'ailleurs, tellement la réplique fae avait été rapide et parfaitement synchronisée.
Bon, la belle blonde n'allait pas rester là à regarder les Faes se battre. Elle participait aussi non ? Les pics de glace qui étaient encore plantés dans le sable, bien que fondant assez rapidement, pourraient encore servir ! Elle se rapprocha donc de son amie, après que son grand scorpion l'eut frôlée quand il se précipita vers les assaillants qui luttaient pour contrôler leurs chevaux en panique ou pour trancher les rameaux épais et piquants des ronces qui les entravaient. Elle avait manqué de bondir en arrière aux claquements secs et énervés de l'arthropode.
Takhys le suivit du regard, fascinée par sa rapidité et le carnage qu'il entama en arrivant sur les pillards. Sans attendre, elle usa de ce qui restait de son premier sort pour reformer des pics de glace qui allèrent se figer dans les survivants. Là où ces hommes avaient cru à une victoire facile, ce fut une véritable curée qu'ils subirent. Deux ou trois cavaliers réussirent à quitter les remparts végétaux acérés, se fichant que leur monture y laissent de la chair. Les autres terminèrent de se faire étriper par le scorpion ou d'être achevés par la magie des autres Faes.
Quand tout fut terminé, il y eut un bien étrange silence, ponctué des bruits claquants des pinces de Sombra. Takhys regarda le lieu du carnage. On peut dire qu'ils ne reviendront pas de sitôt.
"Eh bien... on dirait qu'on a gagné, ma chère. Chose certaine est que j'ai été bluffée de votre défense. Vous n'en donniez pas l'air, mais vous êtes de redoutables guerrières. Qui l'aurait cru ! "
Puis, elle reporta son regard sur les cadavres des terrestres et de leurs montures. Ils n'étaient pas nombreux, mais il faudra s'en occuper avant que cela n'attire des charognards ou d'autres pillards...
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Ahatsara
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La bataille continue de faire rage, mais l'organisation impeccable des faes orchestrée par Ahatsara et la magie aquatique puissante de Takhys tournent rapidement le cours des événements en leur faveur. Les derniers guerriers ennemis, paniqués et désorganisés, fuient à toute allure sur leurs chevaux. D'autres, désespérés, abandonnent leurs montures prises au piège par les buissons de ronces impénétrables. Sombra, imposant et terrifiant, achève d'effrayer les derniers résistants, les forçant à battre en retraite.
La fae, enflammée par l'adrénaline de la victoire, se met à crier, récitant un poème aussi loufoque que chaotique qui fait éclater de rire les autres faes.
"Ô vent du désert, écoute notre gloire ! Les faes, unies, triomphent ce soir ! Avec ronces et sable, magie et éclats, nos ennemis fuient, éperdus de fracas !"
Les rires fusent, mêlés aux cris de victoire. Ahatsara, ses cheveux flottant autour d'elle comme une crinière indomptée, se tourne vers Takhys avec un sourire éclatant. Mais avant qu'elle ne puisse répondre à l'amie sirène, une voix étrange résonne.
"Qui l'aurait cru ! Qui l'aurait cru !"
La fae se retourne, cherchant la source de l'écho. Elle aperçoit alors un oiseau pourpre et jaune, ressemblant à un perroquet, coincé dans les rênes d'un cheval blessé. Ses yeux s'illuminent de curiosité et d'excitation.
"Takhys, viens voir ! Regarde ce magnifique oiseau ! Il accompagnait certainement l’un des brigands !"
Elle demande aux autres faes de commencer à nettoyer les dégâts causés par l'attaque, leur adressant un sourire encourageant.
"Mes chères faes, faites briller notre oasis à nouveau ! Ces brigands n'ont laissé que du désordre, mais notre harmonie triomphera. Nettoyez et préparez la grande fête en l'honneur de Takhys !"
Ahatsara s'approche prudemment de l'oiseau, ses mouvements lents et apaisants. Elle murmure doucement pour gagner la confiance de la créature.
"Doucement, petit. Nous allons te libérer de ce piège."
Elle laisse à Takhys le soin de s'occuper du cheval blessé, tandis qu'elle se concentre sur l'oiseau. Ses doigts habiles défont les rênes en cuir avec précaution. Pour calmer l'oiseau effrayé, elle cueille des baies des buissons de ronces à proximité et les tend doucement.
"Tiens, mange ça. Ce sont les meilleures baies de l'oasis. Tout ira bien, je te le promets."
L'oiseau picore les baies, ses mouvements se faisant plus calmes. La fae sent une vague de satisfaction la traverser. Elle espère que cet oiseau acceptera de rester avec elle, intriguée par la possibilité qu'il s'agisse d'une créature magique.
"Je suis Ahatsara, et voici mon oasis. Tu es libre maintenant, mais tu es le bienvenu ici, si tu le souhaites."
L'oiseau, semblant comprendre l'intention bienveillante d'Ahatsara, la regarde avec des yeux vifs et curieux. Ahatsara sourit largement, se sentant déjà attachée à cette nouvelle rencontre. Elle se redresse, le laissant libre de choisir son chemin.
"Viens, Sombra. Nous avons encore beaucoup à faire pour préparer la fête de ce soir. Takhys, je t’invite à te reposer pendant ce temps. Entre ton voyage puis cet affrontement, tu dois avoir besoin d’un repos bien mérité !"
Ahatsara avance, suivie de près par l'oiseau pourpre et jaune qui décide de la suivre, intrigué et sans doute reconnaissant. Sombra, le fidèle scorpion d'obsidienne, reste à ses côtés, prêt à la protéger en toute circonstance.
L'oasis commence à retrouver son éclat, les faes travaillant ensemble pour effacer les traces de l'attaque. La magie de l'oasis, renforcée par l'unité et la détermination des faes, crée une atmosphère de renaissance et de victoire.
"Ce soir, nous célébrerons non seulement notre victoire, mais aussi notre amitié et notre résilience. Que la fête commence, et que notre oasis brille de mille feux !"
Ahatsara, pleine d'énergie et d'enthousiasme, se prépare pour la grande fête en l'honneur de Takhys. L'oiseau, maintenant libéré, reste près d'elle, comme un symbole de la magie et de la connexion qui unissent tous les êtres de l'oasis. La fête qui s'annonce sera mémorable, un témoignage vibrant de la force et de l'esprit indomptable des faes de l'oasis.
La fae, enflammée par l'adrénaline de la victoire, se met à crier, récitant un poème aussi loufoque que chaotique qui fait éclater de rire les autres faes.
"Ô vent du désert, écoute notre gloire ! Les faes, unies, triomphent ce soir ! Avec ronces et sable, magie et éclats, nos ennemis fuient, éperdus de fracas !"
Les rires fusent, mêlés aux cris de victoire. Ahatsara, ses cheveux flottant autour d'elle comme une crinière indomptée, se tourne vers Takhys avec un sourire éclatant. Mais avant qu'elle ne puisse répondre à l'amie sirène, une voix étrange résonne.
"Qui l'aurait cru ! Qui l'aurait cru !"
La fae se retourne, cherchant la source de l'écho. Elle aperçoit alors un oiseau pourpre et jaune, ressemblant à un perroquet, coincé dans les rênes d'un cheval blessé. Ses yeux s'illuminent de curiosité et d'excitation.
"Takhys, viens voir ! Regarde ce magnifique oiseau ! Il accompagnait certainement l’un des brigands !"
Elle demande aux autres faes de commencer à nettoyer les dégâts causés par l'attaque, leur adressant un sourire encourageant.
"Mes chères faes, faites briller notre oasis à nouveau ! Ces brigands n'ont laissé que du désordre, mais notre harmonie triomphera. Nettoyez et préparez la grande fête en l'honneur de Takhys !"
Ahatsara s'approche prudemment de l'oiseau, ses mouvements lents et apaisants. Elle murmure doucement pour gagner la confiance de la créature.
"Doucement, petit. Nous allons te libérer de ce piège."
Elle laisse à Takhys le soin de s'occuper du cheval blessé, tandis qu'elle se concentre sur l'oiseau. Ses doigts habiles défont les rênes en cuir avec précaution. Pour calmer l'oiseau effrayé, elle cueille des baies des buissons de ronces à proximité et les tend doucement.
"Tiens, mange ça. Ce sont les meilleures baies de l'oasis. Tout ira bien, je te le promets."
L'oiseau picore les baies, ses mouvements se faisant plus calmes. La fae sent une vague de satisfaction la traverser. Elle espère que cet oiseau acceptera de rester avec elle, intriguée par la possibilité qu'il s'agisse d'une créature magique.
"Je suis Ahatsara, et voici mon oasis. Tu es libre maintenant, mais tu es le bienvenu ici, si tu le souhaites."
L'oiseau, semblant comprendre l'intention bienveillante d'Ahatsara, la regarde avec des yeux vifs et curieux. Ahatsara sourit largement, se sentant déjà attachée à cette nouvelle rencontre. Elle se redresse, le laissant libre de choisir son chemin.
"Viens, Sombra. Nous avons encore beaucoup à faire pour préparer la fête de ce soir. Takhys, je t’invite à te reposer pendant ce temps. Entre ton voyage puis cet affrontement, tu dois avoir besoin d’un repos bien mérité !"
Ahatsara avance, suivie de près par l'oiseau pourpre et jaune qui décide de la suivre, intrigué et sans doute reconnaissant. Sombra, le fidèle scorpion d'obsidienne, reste à ses côtés, prêt à la protéger en toute circonstance.
L'oasis commence à retrouver son éclat, les faes travaillant ensemble pour effacer les traces de l'attaque. La magie de l'oasis, renforcée par l'unité et la détermination des faes, crée une atmosphère de renaissance et de victoire.
"Ce soir, nous célébrerons non seulement notre victoire, mais aussi notre amitié et notre résilience. Que la fête commence, et que notre oasis brille de mille feux !"
Ahatsara, pleine d'énergie et d'enthousiasme, se prépare pour la grande fête en l'honneur de Takhys. L'oiseau, maintenant libéré, reste près d'elle, comme un symbole de la magie et de la connexion qui unissent tous les êtres de l'oasis. La fête qui s'annonce sera mémorable, un témoignage vibrant de la force et de l'esprit indomptable des faes de l'oasis.
La Chaleureuse Noyeuse
Takhys Suladran
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crédits : 1444
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Info personnage
Race: Sirène
Vocation: Mage élémentaliste
Alignement: Chaotique Neutre
Rang: C
Les Faes chantaient leur victoire, dansaient sur la défaite infligée aux pillards. Même Ahatsara se permit de composer quelques vers pour glorifier la repoussée de la menace. Les quelques survivants qui avaient pris la poudre d’escampette ne pourront que raconter, de leur côté, les forces incommensurables qui s’étaient opposées à eux. Clairement, ils avaient sous-estimé les capacités combattives des habitants de l’Oasis. Ils ne reviendront pas de sitôt.
Takhys regardait encore les derniers nuages de poussière s’étioler dans l’air venteux, derniers signes de la fuite de leurs ennemis. S’ils tenaient réellement à récupérer cet îlot de paix et de sérénité en plein milieu du désert, pour sa richesse en eau, nul doute qu’ils y mettront les moyens en revenant avec plus d’effectifs armés. Après tout, réunir plus d’hommes avec plus de montures impliquait une plus grande organisation, une plus grande logistique. Plus de nourriture et donc plus d’eau. La Sirène se retourna pour contempler l’Oasis. Elle était immense et verdoyante, contrairement à d’autres points d’eau perdus au milieu des dunes. Bah ! Ces terrestres ne reviendront pas. Ils privilégieront plutôt des recoins humides plus faciles d’accès et moins gardés, pour ceux qu’ils ne connaissaient pas déjà. L’eau, dans ces contrées sèches, valait plus que l’or.
Ahatsara interpella son amie, qui délaissa sa vue sur l’Oasis pour regarder, comme elle, un bel et étrange oiseau qui s’était retrouvé pris au piège dans les guides d’un équin blessé durant l’offensive. Rien qu’en entendant la voix de la Fae, Takhys sut immédiatement ce qu’elle envisageait de faire avec cet emplumé. Elle ne put s’empêcher de sourire. Il y avait une possible nouvelle amitié dans l’air.
Après avoir donné des ordres à ses pairs pour s’occuper des cadavres et « nettoyer » un peu en vue de faire la fête, Ahatsara fut accompagnée de la Sirène vers l’étrange volatile qui se débattait comme un forcené. La belle blonde acquiesça pour s’occuper du cheval blessé, qui ne bougeait heureusement pas. Elle examina les blessures et réfléchit à comment réparer les dégâts. Soigner les animaux, ce n’était pas tout à fait comme soigner les humains, mais bon, ça marchait presque pareil, non ?
Une fois que l’oiseau fut libéré et que la Fae parlait avec lui pour le rassurer, Takhys termina les soins sur le cheval, qui, se sentant revigoré après l’emploi de la magie, se redressa vivement sur ses pattes avant de s’ébrouer pour dégager le sable qui collait à sa robe alezane. Après quoi, Ahatsara invita la Sirène à se reposer.
« Oh, je ne suis pas si fatiguée que cela, tu sais. Mais je vais terminer de m’occuper de cet équin. Après, je verrai qui pourrait l’avoir pour lui. »
Les Faes avaient-ils besoin de canassons ? Au pire, elle repartira à dos de cheval. À voir s’il arrivera à la porter et elle, à rester en selle. Ce serait amusant d’essayer, tiens !
L’Oasis fut méticuleusement nettoyée, les préparatifs de la fête à venir mis en place dans la plus grande joie et la plus belle des organisations. Tous les Faes étaient joyeux comme jamais. La Sirène était stupéfaite de leur joyeuseté, encore une fois.
« Eh bien, je suis gâtée. Il ne fallait pas pour la fête... ou alors, parce que c’est toujours l’occasion de faire des festivités ? »
Elle gloussa. Elle aussi apporta sa petite touche personnelle aux festivités. Quand la fête battra son plein, elle emploiera sa magie pour leur présenter un magnifique jeu d’eau ; sans la gaspiller, évidemment. Elle se demandait déjà combien de Faes seraient ravis de voir des dauphins d’eau danser à la surface...
Takhys regardait encore les derniers nuages de poussière s’étioler dans l’air venteux, derniers signes de la fuite de leurs ennemis. S’ils tenaient réellement à récupérer cet îlot de paix et de sérénité en plein milieu du désert, pour sa richesse en eau, nul doute qu’ils y mettront les moyens en revenant avec plus d’effectifs armés. Après tout, réunir plus d’hommes avec plus de montures impliquait une plus grande organisation, une plus grande logistique. Plus de nourriture et donc plus d’eau. La Sirène se retourna pour contempler l’Oasis. Elle était immense et verdoyante, contrairement à d’autres points d’eau perdus au milieu des dunes. Bah ! Ces terrestres ne reviendront pas. Ils privilégieront plutôt des recoins humides plus faciles d’accès et moins gardés, pour ceux qu’ils ne connaissaient pas déjà. L’eau, dans ces contrées sèches, valait plus que l’or.
Ahatsara interpella son amie, qui délaissa sa vue sur l’Oasis pour regarder, comme elle, un bel et étrange oiseau qui s’était retrouvé pris au piège dans les guides d’un équin blessé durant l’offensive. Rien qu’en entendant la voix de la Fae, Takhys sut immédiatement ce qu’elle envisageait de faire avec cet emplumé. Elle ne put s’empêcher de sourire. Il y avait une possible nouvelle amitié dans l’air.
Après avoir donné des ordres à ses pairs pour s’occuper des cadavres et « nettoyer » un peu en vue de faire la fête, Ahatsara fut accompagnée de la Sirène vers l’étrange volatile qui se débattait comme un forcené. La belle blonde acquiesça pour s’occuper du cheval blessé, qui ne bougeait heureusement pas. Elle examina les blessures et réfléchit à comment réparer les dégâts. Soigner les animaux, ce n’était pas tout à fait comme soigner les humains, mais bon, ça marchait presque pareil, non ?
Une fois que l’oiseau fut libéré et que la Fae parlait avec lui pour le rassurer, Takhys termina les soins sur le cheval, qui, se sentant revigoré après l’emploi de la magie, se redressa vivement sur ses pattes avant de s’ébrouer pour dégager le sable qui collait à sa robe alezane. Après quoi, Ahatsara invita la Sirène à se reposer.
« Oh, je ne suis pas si fatiguée que cela, tu sais. Mais je vais terminer de m’occuper de cet équin. Après, je verrai qui pourrait l’avoir pour lui. »
Les Faes avaient-ils besoin de canassons ? Au pire, elle repartira à dos de cheval. À voir s’il arrivera à la porter et elle, à rester en selle. Ce serait amusant d’essayer, tiens !
L’Oasis fut méticuleusement nettoyée, les préparatifs de la fête à venir mis en place dans la plus grande joie et la plus belle des organisations. Tous les Faes étaient joyeux comme jamais. La Sirène était stupéfaite de leur joyeuseté, encore une fois.
« Eh bien, je suis gâtée. Il ne fallait pas pour la fête... ou alors, parce que c’est toujours l’occasion de faire des festivités ? »
Elle gloussa. Elle aussi apporta sa petite touche personnelle aux festivités. Quand la fête battra son plein, elle emploiera sa magie pour leur présenter un magnifique jeu d’eau ; sans la gaspiller, évidemment. Elle se demandait déjà combien de Faes seraient ravis de voir des dauphins d’eau danser à la surface...
Citoyen du Reike
Ahatsara
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crédits : 1846
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Ahatsara observe Takhys qui, avec une grâce naturelle, s’occupe du cheval blessé. Ses doigts habiles caressent la crinière de l’animal, et la fae ne peut s’empêcher de sourire. Elle sait que la sirène a une touche magique avec les créatures, tout comme elle.
« Takhys, je te fais confiance pour prendre soin de cet équin. Après tout, tu as toujours eu une affinité incroyable avec les animaux, même ici, loin de ton domaine marin. » Ses yeux pétillent d’admiration et d’une profonde complicité.
Ahatsara s’active ensuite à superviser les préparatifs de la fête. La simple pensée des festivités à venir lui apporte une énergie vivace. La fae adore ces moments où elle peut laisser libre cours à son côté excentrique et chaotique. Elle vole d’un coin à l’autre de l’oasis, donnant des instructions aux autres faes, ajustant ici une décoration, là un arrangement de fruits.
Quand Takhys lui parle de la fête, la dompteuse éclate d’un rire joyeux et insouciant. « Oh, Takhys, il faut toujours une raison pour célébrer, n’est-ce pas ? Mais ici, à l’oasis, chaque jour est une occasion de faire la fête ! Tu es notre invitée d’honneur, bien sûr, mais ne te méprends pas, on adore festoyer pour tout et n’importe quoi. Aujourd’hui, c’est pour toi, demain ce sera peut-être pour une étoile filante ou un cactus en fleur ! »
Elle se retourne et fait signe à un groupe de faes qui s’occupent des mets. « Et n’oubliez pas les fruits du désert ! On veut de la couleur, de la saveur ! Faites briller nos traditions culinaires ! »
L’oiseau pourpre et jaune, qui a décidé de rester près d’elle, bat des ailes en écho à son enthousiasme. Ahatsara le regarde avec un sourire, déjà attachée à cette petite créature au plumage vif. « Et toi, mon bel oiseau, tu vas voir ce que c’est qu’une vraie fête des faes. Peut-être que tu pourras même chanter avec nous ? »
Les préparatifs s’accélèrent, et bientôt, l’oasis tout entière est transformée en un lieu de festivités éblouissant. Les faes se sont surpassées, sortant leurs plus beaux tissus ornés de fleurs du désert, de pierres brillantes et de plumes colorées. La musique commence à résonner, des mélodies anciennes, jouées sur des instruments faits main, qui racontent l’histoire des faes du désert.
La vétérinaire se tient au centre de l’agitation, un tourbillon d’énergie et de joie. « Mes chères faes, c’est le moment de montrer à Takhys ce que nous savons faire ! Musique, danse, que la magie des faes envahisse cette nuit ! »
Les faes répondent à son appel, se mettant en position pour les spectacles. Des danses folles et désordonnées commencent, où chaque fae laisse son corps bouger librement, suivant le rythme des tambours et des flûtes. Ahatsara elle-même ne peut résister à l’envie de se joindre à elles, virevoltant avec ses colliers et sa robe qui tournoient autour d’elle.
Pendant les spectacles, elle trouve un moment pour s’approcher de Takhys, un verre en main, rempli d’une boisson pétillante à base de cactus. « Je dois dire, ma chère Takhys, que même si le désert est parfois impitoyable, nos cœurs ici sont toujours prêts à accueillir la fête. Nous avons peut-être gagné une bataille aujourd’hui, mais la vraie victoire, c’est de pouvoir célébrer ensemble. »
Elle lève son verre en direction de Takhys. « À nous, à notre amitié, et à toutes les surprises que ce désert peut encore nous offrir ! »
L’oiseau pourpre et jaune s’approche d’Ahatsara, picorant doucement les fruits posés sur une table proche. Sombra, toujours fidèle, se tient à côté d’elles, ses pinces maintenant calmes mais prêtes à protéger son amie fae à tout moment.
La fae observe la scène, remplie de bonheur. « Regarde autour de toi, Takhys. N’est-ce pas merveilleux ? Cet oasis, notre oasis, est bien plus qu’un simple lieu dans le désert. C’est un refuge, un endroit où la magie et la joie se rencontrent, où chaque être, qu’il soit fae, sirène ou même oiseau pourpre, trouve sa place. »
La fête bat son plein, et Ahatsara se sent plus vivante que jamais. Elle sait que peu importe les défis à venir, tant que ses amis sont à ses côtés, elle est prête à les affronter avec le sourire et un brin de folie.
« Takhys, je te fais confiance pour prendre soin de cet équin. Après tout, tu as toujours eu une affinité incroyable avec les animaux, même ici, loin de ton domaine marin. » Ses yeux pétillent d’admiration et d’une profonde complicité.
Ahatsara s’active ensuite à superviser les préparatifs de la fête. La simple pensée des festivités à venir lui apporte une énergie vivace. La fae adore ces moments où elle peut laisser libre cours à son côté excentrique et chaotique. Elle vole d’un coin à l’autre de l’oasis, donnant des instructions aux autres faes, ajustant ici une décoration, là un arrangement de fruits.
Quand Takhys lui parle de la fête, la dompteuse éclate d’un rire joyeux et insouciant. « Oh, Takhys, il faut toujours une raison pour célébrer, n’est-ce pas ? Mais ici, à l’oasis, chaque jour est une occasion de faire la fête ! Tu es notre invitée d’honneur, bien sûr, mais ne te méprends pas, on adore festoyer pour tout et n’importe quoi. Aujourd’hui, c’est pour toi, demain ce sera peut-être pour une étoile filante ou un cactus en fleur ! »
Elle se retourne et fait signe à un groupe de faes qui s’occupent des mets. « Et n’oubliez pas les fruits du désert ! On veut de la couleur, de la saveur ! Faites briller nos traditions culinaires ! »
L’oiseau pourpre et jaune, qui a décidé de rester près d’elle, bat des ailes en écho à son enthousiasme. Ahatsara le regarde avec un sourire, déjà attachée à cette petite créature au plumage vif. « Et toi, mon bel oiseau, tu vas voir ce que c’est qu’une vraie fête des faes. Peut-être que tu pourras même chanter avec nous ? »
Les préparatifs s’accélèrent, et bientôt, l’oasis tout entière est transformée en un lieu de festivités éblouissant. Les faes se sont surpassées, sortant leurs plus beaux tissus ornés de fleurs du désert, de pierres brillantes et de plumes colorées. La musique commence à résonner, des mélodies anciennes, jouées sur des instruments faits main, qui racontent l’histoire des faes du désert.
La vétérinaire se tient au centre de l’agitation, un tourbillon d’énergie et de joie. « Mes chères faes, c’est le moment de montrer à Takhys ce que nous savons faire ! Musique, danse, que la magie des faes envahisse cette nuit ! »
Les faes répondent à son appel, se mettant en position pour les spectacles. Des danses folles et désordonnées commencent, où chaque fae laisse son corps bouger librement, suivant le rythme des tambours et des flûtes. Ahatsara elle-même ne peut résister à l’envie de se joindre à elles, virevoltant avec ses colliers et sa robe qui tournoient autour d’elle.
Pendant les spectacles, elle trouve un moment pour s’approcher de Takhys, un verre en main, rempli d’une boisson pétillante à base de cactus. « Je dois dire, ma chère Takhys, que même si le désert est parfois impitoyable, nos cœurs ici sont toujours prêts à accueillir la fête. Nous avons peut-être gagné une bataille aujourd’hui, mais la vraie victoire, c’est de pouvoir célébrer ensemble. »
Elle lève son verre en direction de Takhys. « À nous, à notre amitié, et à toutes les surprises que ce désert peut encore nous offrir ! »
L’oiseau pourpre et jaune s’approche d’Ahatsara, picorant doucement les fruits posés sur une table proche. Sombra, toujours fidèle, se tient à côté d’elles, ses pinces maintenant calmes mais prêtes à protéger son amie fae à tout moment.
La fae observe la scène, remplie de bonheur. « Regarde autour de toi, Takhys. N’est-ce pas merveilleux ? Cet oasis, notre oasis, est bien plus qu’un simple lieu dans le désert. C’est un refuge, un endroit où la magie et la joie se rencontrent, où chaque être, qu’il soit fae, sirène ou même oiseau pourpre, trouve sa place. »
La fête bat son plein, et Ahatsara se sent plus vivante que jamais. Elle sait que peu importe les défis à venir, tant que ses amis sont à ses côtés, elle est prête à les affronter avec le sourire et un brin de folie.
La Chaleureuse Noyeuse
Takhys Suladran
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"Il est vrai que les animaux sont moins difficiles à comprendre que les hommes", dit-elle en riant.
Ils savaient ce que vivre en toute simplicité voulait dire, eux. Ils ne compliquaient pas la vie avec du matérialisme à outrance, ou en se mentant entre eux pour des luttes de pouvoir. S'ils voulaient jouer les dominants, ils se battaient, et c'était tout. Bon ! Et si elle pensait plutôt à la fête au lieu de se troubler la joie avec la bêtise des terrestres ?
Takhys sourit doucement en regardant Ahatsara virevolter au milieu des Faes, sa joie contagieuse, son énergie inépuisable. Elle n'avait de cesse d'aller ici pour s'assurer que tout était en place, d'aller là pour parfaire encore ce qui venait d'être préparé. Elle était partout à la fois, c'était impressionnant. Takhys en était subjuguée. Et pourtant, pour l'émerveiller, il fallait vraiment y aller.
Elle accepta le verre que son amie lui tendit, observant un instant les bulles pétillantes de la boisson à base de cactus. Elle n'avait encore jamais goûté ce genre de breuvage et se demandait déjà comment on pouvait arriver à tirer quelque chose de savoureux avec un tel végétal. Bah ! Elle verra bien.
"Je dois dire, ma très chère Ahatsara...", s'amusa-t-elle à l'imiter, tellement la joie de son interlocutrice était une nouvelle fois contagieuse, "...tu as ce don incroyable de transformer n’importe quelle journée en moment festif. Ce n'est pas pour chaque jour, en fait, c'est pour chaque heure passée d'une même journée !"
Elle rit et leva son verre en écho à celui de la Fae.
"À nous, à cette oasis, et aux esprits libres qui l’habitent. Que cette nuit nous rappelle que la vie est toujours trop courte et qu'il faut en profiter pleinement, et avec ses amis !"
Elle prit une gorgée, appréciant la douceur surprenante du breuvage. Le son des tambours résonnait au loin, enveloppant l’atmosphère d’une chaleur vibrante. Takhys s’accouda légèrement à la table, observant la scène, les Faes dansant comme si le combat de tantôt n’avait jamais effleuré leurs vies.
Après, elle prit plaisir à voir les compagnons de la Fae s'inviter non loin d'elles, se régalant des fruits mis à leur disposition. C'était adorable. Elle regarda l’oiseau pourpre qui picorait près d'elles.
"Un tel lieu mériterait d'avoir son pareil partout dans le Sekaï".
Son regard se perdit un instant sur les dunes lointaines. Le désert était un rappel que la nature elle-même n'accordait pas forcément tout ce qu'on espérait, imposant des règles drastiques. Cet oasis existait parce que cela était permis dans l'ordre naturel des choses. Mais ce soir, comme l'avait si bien dit la Fae, il fallait profiter du moment présent.
Cette fois, c'était décidé, elle appliquerait son idée pour contribuer à la fête. Elle se redressa et glissa un regard complice vers Ahatsara.
"Et puisque tu parles de surprises, j’en ai peut-être une pour toi et tes amis."
Elle se dirigea vers l’un des points d’eau cristalline de l’oasis. Fermant les yeux, elle tendit les bras au-dessus de la surface. L’eau se mit à frémir, puis à s’élever doucement dans les airs. Soudain, des formes liquides émergèrent – deux magnifiques dauphins d’eau, dansant en harmonie au-dessus du bassin. Ils se tordaient et tournaient, éclaboussant de myriades de petites gouttes autour d’eux, ajoutant leur propre magie au festival.
Ils savaient ce que vivre en toute simplicité voulait dire, eux. Ils ne compliquaient pas la vie avec du matérialisme à outrance, ou en se mentant entre eux pour des luttes de pouvoir. S'ils voulaient jouer les dominants, ils se battaient, et c'était tout. Bon ! Et si elle pensait plutôt à la fête au lieu de se troubler la joie avec la bêtise des terrestres ?
Takhys sourit doucement en regardant Ahatsara virevolter au milieu des Faes, sa joie contagieuse, son énergie inépuisable. Elle n'avait de cesse d'aller ici pour s'assurer que tout était en place, d'aller là pour parfaire encore ce qui venait d'être préparé. Elle était partout à la fois, c'était impressionnant. Takhys en était subjuguée. Et pourtant, pour l'émerveiller, il fallait vraiment y aller.
Elle accepta le verre que son amie lui tendit, observant un instant les bulles pétillantes de la boisson à base de cactus. Elle n'avait encore jamais goûté ce genre de breuvage et se demandait déjà comment on pouvait arriver à tirer quelque chose de savoureux avec un tel végétal. Bah ! Elle verra bien.
"Je dois dire, ma très chère Ahatsara...", s'amusa-t-elle à l'imiter, tellement la joie de son interlocutrice était une nouvelle fois contagieuse, "...tu as ce don incroyable de transformer n’importe quelle journée en moment festif. Ce n'est pas pour chaque jour, en fait, c'est pour chaque heure passée d'une même journée !"
Elle rit et leva son verre en écho à celui de la Fae.
"À nous, à cette oasis, et aux esprits libres qui l’habitent. Que cette nuit nous rappelle que la vie est toujours trop courte et qu'il faut en profiter pleinement, et avec ses amis !"
Elle prit une gorgée, appréciant la douceur surprenante du breuvage. Le son des tambours résonnait au loin, enveloppant l’atmosphère d’une chaleur vibrante. Takhys s’accouda légèrement à la table, observant la scène, les Faes dansant comme si le combat de tantôt n’avait jamais effleuré leurs vies.
Après, elle prit plaisir à voir les compagnons de la Fae s'inviter non loin d'elles, se régalant des fruits mis à leur disposition. C'était adorable. Elle regarda l’oiseau pourpre qui picorait près d'elles.
"Un tel lieu mériterait d'avoir son pareil partout dans le Sekaï".
Son regard se perdit un instant sur les dunes lointaines. Le désert était un rappel que la nature elle-même n'accordait pas forcément tout ce qu'on espérait, imposant des règles drastiques. Cet oasis existait parce que cela était permis dans l'ordre naturel des choses. Mais ce soir, comme l'avait si bien dit la Fae, il fallait profiter du moment présent.
Cette fois, c'était décidé, elle appliquerait son idée pour contribuer à la fête. Elle se redressa et glissa un regard complice vers Ahatsara.
"Et puisque tu parles de surprises, j’en ai peut-être une pour toi et tes amis."
Elle se dirigea vers l’un des points d’eau cristalline de l’oasis. Fermant les yeux, elle tendit les bras au-dessus de la surface. L’eau se mit à frémir, puis à s’élever doucement dans les airs. Soudain, des formes liquides émergèrent – deux magnifiques dauphins d’eau, dansant en harmonie au-dessus du bassin. Ils se tordaient et tournaient, éclaboussant de myriades de petites gouttes autour d’eux, ajoutant leur propre magie au festival.
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Ahatsara
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Ahatsara rit en entendant les paroles de Takhys sur les animaux. Avec son éternelle légèreté, elle répond en se balançant sur ses pieds, son regard pétillant de malice. « Ah, ma chère Takhys, tu as tellement raison ! Les animaux au moins ne te demandent pas pourquoi tu portes des colliers qui tintent à chaque mouvement ou pourquoi tu danses en pleine bataille. Et encore moins pourquoi tu transformes des nuages en visages farfelus ! » Elle éclate d’un rire franc, se plaisant à exagérer volontairement sa gestuelle.
Les rires des faes autour d’elles se mêlent à son éclat de voix, et Takhys poursuit, soulignant l’incroyable capacité de la dompteuse à transformer chaque moment en fête. Cette dernière fait une révérence exagérée, ses bras s'étirant comme pour accueillir une audience imaginaire. « Pourquoi, merci beaucoup, très chère ! C’est vrai, je crois que chaque minute, chaque battement de cœur est une excuse pour éclater de rire et danser. Parce qu'en vérité, qui peut prédire ce que la prochaine seconde nous apportera ? »
Elle virevolte une fois de plus, ses colliers tintant joyeusement alors qu’elle lève son verre pour trinquer avec Takhys. « À nous, à l’oasis, et aux esprits libres ! Mais surtout à la folie qui rend la vie plus savoureuse ! Je veux que cette nuit soit gravée dans nos mémoires comme un instant d’éternité, un éclat de vie dans l'immensité du désert. »
Son regard se fait malicieux lorsqu’elle entend Takhys évoquer l’idée de voir de tels lieux partout dans le Sekaï. Ahatsara secoue doucement la tête. « Ah, ma chère sirène, c’est là que tu te trompes. C’est parce que notre oasis est unique qu’elle est si précieuse. Si elle était partout, elle ne serait plus ce qu’elle est ! La rareté fait la magie, tu vois. Comme un joyau dans le sable. »
Elle se laisse tomber au sol, croisant ses jambes en tailleur, sa robe s’étalant autour d’elle comme un nid de couleurs vives. « Non, non, si tout le Sekaï avait des oasis comme celle-ci, où irions-nous pour échapper à l’ordinaire ? Ce serait comme… comme si toutes les gouttes d’eau devenaient identiques. Pas très amusant, n’est-ce pas ? »
La vétérinaire rit encore, mais son attention est bientôt captée par les gestes de Takhys, qui parle de surprises. Ses yeux brillent de curiosité et d'excitation. Lorsqu’elle voit les formes aquatiques se matérialiser près de la source, elle pousse un cri de surprise mêlé à une explosion de joie. « Oh, mais regarde ça ! » s’exclame-t-elle en battant des mains comme une enfant émerveillée. « Des dauphins ! Et en plein désert ! Tu es incroyable, Takhys, vraiment ! »
Elle saute sur ses pieds, dansant autour des formes aquatiques, le regard émerveillé. « Plus de dauphins ! Plus de magie ! » crie-t-elle joyeusement, s’adressant à Takhys tout en imitant les mouvements gracieux des créatures d’eau. « Ce désert n’a jamais vu pareille beauté. »
Les faes acclament la sirène, et Ahatsara, d’un geste théâtral, se joint à elles en frappant vigoureusement des mains. « Mes amis, mes très chères faes, vous êtes témoins de la magie pure, celle qui transcende le sable et la mer ! »
Elle applaudit, riant et virevoltant, son admiration pour Takhys évidente. « Je suis impressionnée ! Quelle beauté, quel talent ! Mais surtout, quelle amie extraordinaire tu es, Takhys. Tu sais toujours comment rendre chaque instant plus lumineux, même dans ce désert infini. »
La fête continue, et Ahatsara, les yeux brillants, ne cesse d’encourager les faes à réclamer plus de formes aquatiques, tout en applaudissant chaleureusement Takhys. Le désert résonne encore de leurs rires et de la magie qui, cette nuit-là, semble infinie.
Les rires des faes autour d’elles se mêlent à son éclat de voix, et Takhys poursuit, soulignant l’incroyable capacité de la dompteuse à transformer chaque moment en fête. Cette dernière fait une révérence exagérée, ses bras s'étirant comme pour accueillir une audience imaginaire. « Pourquoi, merci beaucoup, très chère ! C’est vrai, je crois que chaque minute, chaque battement de cœur est une excuse pour éclater de rire et danser. Parce qu'en vérité, qui peut prédire ce que la prochaine seconde nous apportera ? »
Elle virevolte une fois de plus, ses colliers tintant joyeusement alors qu’elle lève son verre pour trinquer avec Takhys. « À nous, à l’oasis, et aux esprits libres ! Mais surtout à la folie qui rend la vie plus savoureuse ! Je veux que cette nuit soit gravée dans nos mémoires comme un instant d’éternité, un éclat de vie dans l'immensité du désert. »
Son regard se fait malicieux lorsqu’elle entend Takhys évoquer l’idée de voir de tels lieux partout dans le Sekaï. Ahatsara secoue doucement la tête. « Ah, ma chère sirène, c’est là que tu te trompes. C’est parce que notre oasis est unique qu’elle est si précieuse. Si elle était partout, elle ne serait plus ce qu’elle est ! La rareté fait la magie, tu vois. Comme un joyau dans le sable. »
Elle se laisse tomber au sol, croisant ses jambes en tailleur, sa robe s’étalant autour d’elle comme un nid de couleurs vives. « Non, non, si tout le Sekaï avait des oasis comme celle-ci, où irions-nous pour échapper à l’ordinaire ? Ce serait comme… comme si toutes les gouttes d’eau devenaient identiques. Pas très amusant, n’est-ce pas ? »
La vétérinaire rit encore, mais son attention est bientôt captée par les gestes de Takhys, qui parle de surprises. Ses yeux brillent de curiosité et d'excitation. Lorsqu’elle voit les formes aquatiques se matérialiser près de la source, elle pousse un cri de surprise mêlé à une explosion de joie. « Oh, mais regarde ça ! » s’exclame-t-elle en battant des mains comme une enfant émerveillée. « Des dauphins ! Et en plein désert ! Tu es incroyable, Takhys, vraiment ! »
Elle saute sur ses pieds, dansant autour des formes aquatiques, le regard émerveillé. « Plus de dauphins ! Plus de magie ! » crie-t-elle joyeusement, s’adressant à Takhys tout en imitant les mouvements gracieux des créatures d’eau. « Ce désert n’a jamais vu pareille beauté. »
Les faes acclament la sirène, et Ahatsara, d’un geste théâtral, se joint à elles en frappant vigoureusement des mains. « Mes amis, mes très chères faes, vous êtes témoins de la magie pure, celle qui transcende le sable et la mer ! »
Elle applaudit, riant et virevoltant, son admiration pour Takhys évidente. « Je suis impressionnée ! Quelle beauté, quel talent ! Mais surtout, quelle amie extraordinaire tu es, Takhys. Tu sais toujours comment rendre chaque instant plus lumineux, même dans ce désert infini. »
La fête continue, et Ahatsara, les yeux brillants, ne cesse d’encourager les faes à réclamer plus de formes aquatiques, tout en applaudissant chaleureusement Takhys. Le désert résonne encore de leurs rires et de la magie qui, cette nuit-là, semble infinie.
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