Le chant de l'arène [Brak]

La dernière fois que l’arène de Taisen avait été comble, ça avait été lors du Jour de la Force. Mais, même en dehors de cet événement particulier, le stade était généralement bien rempli pour voir les affrontements de gladiateurs. Et quand la rumeur courrait que le roi lui-même assisterait aux combats du jour, une certaine effervescence prenait la populace, désireuse de voir ce souverain qui avait certes mis à feu et à sang le pays, mais qui avait aussi lancé l’Empire vers une gloire nouvelle, notamment en luttant contre les Titans.

Tensai avait commencé son périple pour faire lui-même le tour de sa nation et voir de ses propres yeux comment son peuple et son armée vivaient. La première étape consistait à s’arrêter à la ville du Lion pour s’entretenir avec le seigneur qui gérait ces terres, mais le but du Conquérant n’était pas que de s’entretenir avec la haute aristocratie, qu’il méprisait d’ailleurs plus qu’il ne la respectait. Le Drakyn désirait aller à la rencontre des soldats – des simples officiers, parfois, mais qui voyaient mieux que les hauts-gradés les problèmes des petites gens et de la cité en général. Le colosse voulait lui-même faire le tour des fortifications – autrefois détruite par sa propre armée –, afin de voir si elles étaient aussi solides qu’avant son siège d’il y a cinq ans. Le barbare désirait savoir s’il y avait de nouvelles menaces issues de la jungle de Sang, il voulait voir de ses yeux les nouvelles recrues qui pourraient devenir gardes royaux, et il voulait rencontrer ceux dont ils avaient eu de bons échos de Deydreus, et qui pourraient donc rejoindre le bataillon de Conquérants. L’Empereur était donc en perpétuel mouvement, et pour les organisateurs de sa tournée impériale, c’était un calvaire sans nom. L’Impératrice ne lui avait-elle pas soufflé, en partant, qu’il devrait le plus possible respecter un programme ? Et ne pas enchainer imprévu sur imprévu ? Quand il s’agissait de faire le tour des remparts, il ne s’agissait pas de faire tout le tour de Taisen. Quand il s’agissait de voir les recrues de Drakstrang, il ne s’agissait pas de participer lui-même à la mise à l’épreuve des étudiants. Et quand il s’agissait d’aller à l’arène de la ville, qui lui avait soufflé d’aller rencontre ceux qui allaient mourir, hein ? Si bon nombre de ses suivants pestaient, tant Tensai était incontrôlable, au moins pouvaient-ils un peu souffler maintenant que le monarque avait atteint la loge impériale.

Ce point de vue offrait naturellement une vue splendide sur les gradins, mais plus encore sur l’arène en contrebas. Même en étant assis sur le trône qui lui était réservé, il savait voir tout le déroulé du combat. Pour l’heure, le colisée reikois continuait de se remplir progressivement, de sorte qu’un brouhaha de plus en plus en plus fort s’élevait des rotondes. Plus en hauteur, l’Empereur avait l’avantage d’être relativement épargné par ce bruit de fond, mais l’excitation de la populace était perceptible, et cela le faisait relativement sourire.

Du coin de l’œil, l’homme dévisagea le siège à ses côtés, qui était vide. Un imprévu du côté de la jungle de Sang avait forcé le seigneur de la ville à s’esquiver en dernière minute, de sorte que le roi se retrouvait seul en tête-à-tête avec son garde royal, Brak’Trarg. Un guerrier au cœur d’enfant. Fidèle et loyaux à l’extrême, et pourtant peu porté pour la violence alors que le semi-oni était lui-même une force de la nature. Au point que, parfois, il avait mal jaugé sa force et causé des dégâts colossaux lors d’affrontements comme celui de Sable d’Or. Magnanimes, Tensai comme la Griffe avaient passé l’éponge, mais il n’en restait pas moins que cet homme était devenu l’un des plus forts soldats de l’Empire, alors que par le passé, il n’était qu’un simple esclave et qu’on n’aurait pas misé une piécette sur sa propre personne. Personne ne se serait douté qu’il connaîtrait une telle ascension, aussi bien en tant que gladiateur qu’en tant que garde royal.

- Approche Brak. Viens me tenir compagnie tant que nous n’avons personne autour de nous.

Durant cette tournée, l’Empereur plus que quiconque serait beaucoup entouré, ce qui réduirait les moments où il pourrait avoir des entretiens avec le protecteur de son fils.

- J’espère que tu ne regrettes pas d’avoir laissé Draknys à un de tes collègues pour m’accompagner, lance le souverain avec un sourire en coin. Tu ne feras pas toute la tournée avec moi, cependant. A Kyouji, nous nous séparerons et tu rejoindras un troubadour. Un petit bonhomme vert, comme toi, sauf qu’il n’a ni ta force, ni ton expérience de gladiateur. Vous ferez route ensemble avec d’autres diplomates. L’ambassadeur Mirage tient à faire une festivité en République, et il veut qu’un guerrier de renom fasse des prouesses martiales pour mettre en avant la combativité du Reike. Tu me sembles tout désigné pour cela.

Le barbare ne lui en avait pas parlé auparavant, simplement parce que cela lui avait semblé inutile. Et puis, contrairement à ce que penserait Brak, Mirage comptait l’utiliser à son propre avantage. Et Stadkzank serait là pour éviter qu’il ne commette aucune erreur dans la Nation Bleue.

- Il faudra que tu suives scrupuleusement leurs instructions. Considère que leurs paroles sont les miennes. Ne t’autorise aucune liberté extravagante. Pas de chasses à l’araignée dans les rues de Liberty, pas de promenade sans avoir demandé expressément l’autorisation à l’ambassade, pas d’utilisation de ta force démentielle dans le cadre des fêtes organisées par Mirage, ni même ailleurs, tant que tu es sur les terres de la République. C’est compris ? Et si notre ambassadeur veut te confier quelque chose à nous remettre en main propre, considère-le comme si c’était un cadeau de ta part, en en prenant bien soin, comme si c’était un cadeau à offrir pour Draknys.

L’Empereur ménage naturellement un silence, pour lui faire digérer toutes ses informations que Tensai vient de lui délivrer dans le plus grand des calmes.

- Tu as des questions ?

Un autre silence, cette fois pour revenir vers un sujet plus détendu.

- J’ai pensé que t’amener avec moi dans l’arène te plairait. Cela doit t’évoquer des souvenirs, je suppose… ?

quelques semaines aupravent Brak et d'autres gardes royaux furent convoqué à la salle du trône du palais, ou il leur furent expliqué que l'emprereur partirait en tournée dans l'empire pour voir de lui même l'état des lieux et que ceux convoqué ce jour la le suivrait durant la dite tournée. Pendant quelque temps du moins Brak ne serait plus présent aux coté du petit Draknys. ce qui rendait Brak assez paradoxé d'un coté il s'était prit d'affection pour le jeune prince tel un oncle envers son neveu a qui on aurait demander de veiller sur lui. et le fait de confier Draknys a d'autre que lui inquiétait un peu Brak pas tant pour la santé du petit Draknys lui même que pour celle de ces collègue garde royaux les plaignant interieurement des épreuves auxquelle pourait les soumettre maglré lui (ou pas malgré lui) le jeune Draknys , Brak étant le seul en dehors des parents du prince a réussir l'exploit de le maintenir à peut près tranquile et sage en sa présence et aussi d'avoir réussi a développer un lien amical avec lui.

mais se serait mentir que de dire que Brak n'était pas en même temps des plus heureux d'acompagner l'empereur dna ssa tournée donnat là l'ocasion au sympatique monmonstre d'une sortie doublée d'une aventure et mission interessante en dehors du palais et d'Ikusa (sans compter la marque de confiance de l'empereur a son égard) . C'est sur le dos de Ludhô le gentil rindo (avec lequel Brak était sorti quelque fois du palais acompagnant tour a tour Ayshara et Draknys dans lees sortie dans Ikusa et le couple imperial pour le bal au temple shierak) Que brak chemina aux coté de Tensai deux pas en arière a sa droite comme il se doit et d'une vigilence de chaque instant pour qu'il n'arrive rien de facheux à Tensai ou a sa suite )

Si Tesnai sembalit dans son élément a parcourir et voir de lui même son empire et ses sujets les membre de son escorte et de sa garde durant la tourné était épuisé et fatigué de l'enchainement constant d'imprévu auxquels les soumetait l'empereur qui contrairemet aux conseils de son épouse ne semblait pas vouloir suivre un programe et emploi du temps écrit et précis à l'avance. Toute l'escorte et la garde était épuisé des imprévue ... nop pas toute l'escorte et la garde il y e n avait un qui lui était heureux comme tout .... Brak'Trarg le grand monmonstre vert qui de part son imagination et son esprit de grand nenfant vivait l'enchainement des imprévu comme une épique aventure de Grognak le barbare ce héros barbare légendaire et fictif écrti pour les nanfant et ados ou Brak jouerait le rôle de Grognak escortant le souverain dragon à la recherche d'un artefac légendaire tout en parcourant les vastes étendues du royaume. Bref en peut de mots Brak tout en étant assidu à sa tache et effectuent son travail comme il se doit était tout heureux de participer à la tournée et passait un sympatoche moment.

plus tard ... L'empereur et sa suite arrivèrent à Taisen pour y faire une étape de la tournée ou Brak entre autres aventures imprévue put assister à l'entrainement des torupes ou l'empereur participa lui même aux épreuves (mais hélas pour Brak il ne lui fut pas permis de ~~s'amuser~~ de participer lui aussi aux épreuves de combat ), en otut cas il put admirer le paysage depuis le chemin de ronde des remparts de Taisen ou l'empereur fit le tour integral des remparts portes et tour de garde comprises.

Plus tard encore Tensai décida (toujours de manière quelque peut impromptue et imprévue) d'aller à l'arène de Taisen (celle là même ou il combatit Deydreus avant d'en fair ela griffe) et pour une raison qui échapait à la caboche de Brak, tout les membres de l'escorte et les autres gardes royaux avait été écarté de la visite de l'arène a l'exception de Brka ou Tensai avait demander a ce qu'il l'acompagne, si bien qu'il n'y avait dans la loge d'honneur de l'arène que Tensai et Brak.

Là Tensai demanda à brak de s'approcher de lui et d elui tenir comapgnie avant de lui parler plus avant et de lui dire, qu'il ne ferait pas toute la tournée avec lui et qu'arrivé à kyouji Brak quiterait l'escorte de Tensai pour aller avec un petit torubadour vert direction la république voir l'ambasadeur reikois pour un genre de fête qu'il oraganiserait là bas avec démonstration de force reikoise. et que sur place il devrait faire très attentions et obéir scrupuleusement aux instruction et ordres de l'ambasadeur et aux diplomates avec lesquel il voyagerait jusque là bas. Brak toruva un peut bizare le passage sur l'eventuel présent a remettre et un coin de sa caboche lui dit que Tensai ne lui disait pas ça par hasard aurait il des éléments ou intentions que Brak ne devait pas conaitre.

Quoi qu'il en soit Tesnai demanda également à Brak si il avait des questions, si cela ne le dérangeait pas trop d'avoir laisser Draknys à ses colègues gardes royaux et enfin de savoir si d'être à l'arène de Taisen ne rappelait pas des souvenirs à Brak.

Si avec Ayshara Brak se permetait quelque trait d'humour légers et sympatoche dans de non moins sympatoches conversations, avec l'empereur Tensai Brak n'osait pas faire de l'humour et prenait le temps de réfléchir a la formulation de ses phrases dans sa caboche avant de parler. Au fond de lui Brak ne pensait pas que l'empereur le détestait et même il se pouvait qu'il l'aprécie bien mais Tensai lui faisait peur comme à beaucoup d'autre et Brak redoutait qu'un mot de travers ne le mette ne colère contre lui. ou ne le décoive.

pesant donc se smot et avec une frimousse neutre de circonstance Brak répondit à Tesnai .

" Eh bien majesté pour vous répondre au sujet de votre fils Draknys il est vrai que le laisser derière nous à Ikusa me procure quelque inquiètude pas pour lui mais plutôt pour mes colègues garde roayux a ikusa le prince pouvant être très imaginatif et fougueux a ses heures. Mais d'un autre coté avoir l'oportunité d'acompagner et d'aider votre majesté dan sun moment comme celui de votre tourné ne se refuse point et passe ne priorité si vous estimer que je puis vous y être utile a vos cotés.

vos instruction pour la future misison en république me semble des plus claires et je n'aurait aucun soucis à les suivres ni a faire une belle démonstration reikoise lorsque ce moment sera venu. Cependant la description que vous me faite du troubadour me semble familière n'aurait il point participé à l'expédition du vent d'acier et ne serait il point gobelin.

et enfin pour ce qui est de l'arène vous avez raison sur toute la ligne car cette étape de la tournée me ramène de bon souvenirs de ma période sur les sable de la grande arène d'ikusa et pour ce qui ets de cette arène en particulier j'eu l'honneur de vous voir vous y batre en personne contre Deydreus lors de ce fameux duel ou vous lui avez conféré le poste de la griffe.

après tout des années d'entrainement au Ludus et de combats sur le salb ede l'arène osus les yeux du public ne peuvent pas s'oublier , a propos d'arène et de gladiature si le sujet vous interesse je pourait vous ne parler plus longuement mais si vus me permetez une question ou et comment la créature extraordinaire du grand tournoi a Ikusa nomé "Sébastien" a t'elle été trouvé et capturé même après toutes ces années j'en reste curieux "

termina Brak pensif le regard tourné vers le sable de l'arène de taisen repensant à la fois au grand tournoi qui c'était tenu dna sla grande arène d'Ikusa face à "Sébastien" au grand schlem ou brak comabati et à l'arène de Taisen ou tensai en personne combati Deydreus .

Que Brak fut content de l’accompagner, Tensai s’en était rendu compte rapidement. Après tout, l’ancien gladiateur avait toujours eu un esprit relativement simple, qui ne cachait pas particulièrement ses émotions. D’une certaine manière, on aurait pu le considérer comme un grand enfant, qui disait avec simplicité tout ce qu’il pensait, sans même mentir ou chercher un échappatoire quand il avait commis une faute. Ses sentiments aussi, il ne les cachait pas. D’ailleurs, quand Brak avait dû quitter Draknys, le garde royal n’avait pu cacher une légère tristesse et inquiétude pour ses collègues – inquiétude qui n’avait, du reste, même pas traversé l’esprit de Tensai. Si son bataillon d’élite avait du mal à gérer un dragonneau, alors qu’ils aillent voir ailleurs. Ils étaient censés protéger la famille royale eux-mêmes et être prêts à tout affronter pour leurs souverains : se plaindre de ne pas pouvoir gérer l’héritier du trône était donc ridicule aux yeux de l’Empereur. D’une part, ils n’étaient pas là pour répondre au moindre de ses caprices ni pour être ses babysitters attitrés, d’autre part, ils étaient avant tout là pour le protéger. La différence était de taille. Et si Draknys se comportait mal, ils avaient le devoir de le remonter à ses parents ainsi qu’à ses précepteurs, comme Genryusai. On verrait alors si Draknys oserait continuer à faire ses bêtises, car le demi-titan et le Drakyn pouvaient être effrayants quand il s’agissait de sévir. Quant à Ayshara, elle était une mère affectueuse, mais cela ne voulait pas dire pour autant qu’elle permettait tout à son premier-né.

Quoi qu’il en soit, la garde royale avait à tous les coups son rôle auprès du prince. Être son épée et son bouclier, être une oreille avisée et un guide vigilant, était l’un de ses devoirs. Se plaindre de leur rôle était en revanche quelque chose que le barbare ne supportait pas, alors que les principaux concernés vivaient bien à l’abri dans le palais : au mieux, cela lui donnait envie de les envoyer à Cœur-Ebène, ou bien à la solde de l’un des tovyrs, et là, on verrait s’ils avaient encore motifs de se plaindre de leur poste à Ikusa.

Exigeant, Tensai l’était ; et peut-être l’était-il même trop puisque lui-même n’avait pas la main facile avec les enfants. Cependant, il était sûr d’être dans son droit en exigeant que les protecteurs de Draknys ne soient ni trop gâteau, ni trop mielleux à l’égard de son fils. Il n’était pas question d’en faire un enfant pourri-gâté, parce qu’on répondait à ses moindres désirs ; tout comme il était hors de question que les gardes se montrent trop familiers avec son héritier. Qu’ils soient des gardiens, oui. Qu’ils soient des conseillers, cela était normal aussi. Qu’ils soient des compagnons de jeux… Cela faisait déjà davantage grincer des dents le Conquérant, car la garde royale n’avait pas non plus vocation à être des camarades pour sa progéniture. Comment le protéger efficacement, s’ils jouaient avec lui ? Verraient-ils venir des assassins, s’ils étaient en train de courir après une balle en quittant des yeux l’enfant-dragon ? Les gardes royaux eux-mêmes continueraient-ils à être vigilants s’ils se permettaient trop de liberté avec le dragonneau ? Toutes ses questions, toutes ses réflexions aussi, donnaient envie à Tensai de resserrer la vis sur l’entourage de Draknys. Il serait éventuellement de bon aloi que le gamin rencontre par ailleurs d’autres camarades de son âge, avec qui il pourrait jouer et grandir mais là encore… il faudrait voir dans quel contexte mettre ça en place, où et quand. En discuter avec son épouse serait une bonne idée pour permettre à leurs fils de sociabiliser – et peut-être de développer plus facilement des capacités langagières s’il voulait communiquer avec d’autres Reikois de son âge. Pour l’heure, cependant, le guerrier avait quitté Ikusa, et il n’avait pas permis que sa suite se reposât beaucoup durant leur voyage. Ce fut pas ça qui démoralisa Brak, heureusement, puisque ce dernier sembla toujours de bonne humeur face à ces changements de programme. Le guerrier aux cheveux d’argent aurait-il su qu’il comparait leur voyage à l’aventure de « Grognak le barbare » que Tensai n’aurait pas su s’il devait s’en amuser ou bien considérer le guerrier vert comme un cas à part, tant il était surprenant qu’il ait une âme si innocente.

Et d’ailleurs, c’était cette même innocence qui laissait songeur le souverain, alors que tous deux étaient désormais installés dans la loge d’honneur de l’arène de Taisen. Parfois – même souvent – Tensai se disait que ce monde était trop doux pour un homme comme Brak. Il se voulait être diplomate là où le monde n’était que férocité. Il se voulait être gentil là où le Sekai était méchant, voire terrible et impitoyable. D’autre part, le bougre avait toujours fait preuve de loyauté envers les Ryssen… Interrompant là ses pensées, puisque son homologue lui répondait, le roi l’écouta sans l’interrompre avant de rebondir sur plusieurs points qui l’intéressaient.

D’abord Draknys.

- Mon fils est encore à un âge innocent, où tout est jeu et candeur. Un silence, un soupir. A son âge, je me battais déjà pour ma survie et j’avais déjà endurci mon cœur pour chercher à ne pas mourir.

Tensai et son fils avaient évolué dans des mondes radicalement différents. L’un n’avait rien, l’autre avait tout.

- Je ne regrette pas qu’il vive dans le confort mais… L’homme riva son regard vers l’arène en contrebas. Je préférerais qu’il grandisse rapidement. Peut-être trop vite, dirait sa mère. Mais on ne sait jamais de quoi l’avenir est fait. Demain, je pourrais disparaître qu’il ne serait pas prêt pour tous les rapaces qui voudraient lui tourner autour. Son poing vint serrer très légèrement l’accoudoir de son siège. La candeur n’est pas un mal, mais il ne faut pas qu’elle devienne une faiblesse. Une pause plus prononcée. J’espère qu’il concentrera sa fougue dans des jeux qui sauront développer ses capacités et son intelligence. Il en aura besoin dans ce monde. D’autre part, fit lentement le monarque, je sais que je n’ai pas la main douce. C’était tout l’inverse, plutôt. Que cela me plaise ou non, je ne dois pas être trop impatient. Concernant tes collègues… Une moue plus dubitative. Leur charge est un devoir. Se faire malmener par un gamin de quatre ans me ferait plutôt douter de leurs compétences. Crois-tu que je devrais serrer la vis, s’ils ne savent pas gérer mon fils ?

Ensuite, le voyage.

- J’ai voulu que tu m’accompagnes, car j’avais mes raisons. Et il me fallait bien une garde rapprochée, dit-il d’une voix assez calme.

Cela étant dit, sa convocation en tête à tête n'était pas totalement innocente, et Tensai profita de ce moment pour parler d’un voyage en République, où Brak serait confié aux bons soins de Mirage et de Stadzank. L’ancien gladiateur avait bien tout retenu et il eut quand même le nez fin pour se demander s’il n’avait pas participé à l’expédition de Vent d’Acier.

- Il s’agit bien d’un gobelin, et effectivement, il a participé à l’expédition de Vent d’Acier, comme toi. Inutile de nier, puisqu’ils avaient dû se fréquenter. Cependant, si tu as des questions particulières à lui poser, tu le feras toi-même.

Cela permettrait à Stadzank de développer sa couverture comme il l’entendrait et Tensai, de son côté, éviterait certains écueils en n'allant pas dans les détails.

En contrebas, des exclamations commencèrent à fuser, parce que le maître d’arène entrait en scène. Orion le Brave, celui-là même qui avaient organisé le Jour de la Force, n’allait pas se priver de donner le meilleur des spectacles, en sachant que le roi lui-même était présent. Mais il y avait encore un peu de temps avant qu’il ne prît la parole – juste assez pour écouter les derniers propos de Brak.

- N’as-tu jamais eu envie de quitter ton armure de garde royal pour retrouver cette ivresse du combat dans l’arène ?

Mais voilà qu’il l’interrogeait sur une créature du nom de « Sébastien ». Tensai haussa légèrement un sourcil.

- Cette créature a été capturée par le Régiment spécial des Animaux Fantastiques, évidemment, répondit presque machinalement le barbare. -’était une bête rusée, comme tous les béhémots, d’ailleurs, qui causaient des problèmes à plusieurs clans à cause de sa propension à vouloir agrandir son territoire. La populace a fini par ne plus tenir et à réclamer que la royauté fasse quelque chose. Des guerriers avaient bien été envoyés sur place – des locaux – mais la créature avait connu une croissance hors norme, qui la rendait particulièrement féroce. Le Régiment a eu alors pour charge de la capturer et de le dompter. Comme ce Cobra qui a été présenté au Jour de la Force. D’ailleurs, le maître d’arène va parler.

Il eut à peine le temps de se taire qu'effectivement, la voix d'Orion se fit entendre.

- Braves citoyens de Taisen ! Aujourd’hui est un beau jour et quel jour ! Notre illustre Empereur vient lui-même assister au combat d’arène de notre cité ! Des vivats s’élevèrent en contrebas, sous le regard presque impassible de Tensai qui contemplait ses sujets depuis leur position surélevée. Nous vous avons donc concocté comme toujours le meilleur - encore que nous vous réservons quelques surprises pour le Jour de la Force. Aujourd’hui se tiendront trois combats, qui seront sous le signe de la bravoure. Et pour commencez, je voudrais vous présenter une créature telles que nous en voyons peu, sinon jamais dans nos déserts. Messieurs dames, laissez place à Givre, notre somptueux Ombragon !

Face à lui, le combat serait simple : cinq gladiateurs se mettaient au défi d’éliminer la bête, et Tensai eut un léger reniflement.

- Cette bête… Peut-être est-ce moi qui l’ai mise originellement à terre, lors de la conquête des Terres du Nord. Qu’importe, trancha-t-il. Qui aimerais-tu voir gagner Brak Trarg ? Ceux qui étaient anciennement les tiens ou cette créature qui est loin de chez elle ?

Un dernier silence pour lui laisser le temps de répondre.

- Qu'aimerais-tu d'ailleurs voir comme combat aujourd'hui ?

Quand brak eut terminer de parler à Tensai ce dernier répondit a ses dires abordant l'un a près l'autre des diférents point abordé. Brak s'attendait a ce que Tensai eut gardé une atitude grave et serieuse en toute circonstance, comme il l'avait toujours été jusque là quan dil lui parlait MAIS aujourd'hui ce fut diférent un autre Tensai s'entrapercevais aux neuneuils de Brak. Ce qui ne manqua pas d ela surprendre et de le faire s'interoger un instant sur la question est ce qu'il devait garder une frimousse et attitude neutre impénetrable de circonstance ou tout ne restant respectueux de la hierarchie le fait que l'empereur et lui soit ne duo et qu'il se montre plus franc et nature autorisait Brak à l'être également.

Brak ayant toujours un peut peur préféra garder une frimousse et atitude globalement neutre bien qu'il se promit de repondre ausis honetement que possible à l'empereur quan dil lui demanderait quelque chose par la suite. tout ne écoutant atentivement ce que Tensai lui disait sur son fils Draknys Brka n'y vit a cet instant plus du tout l'empereur mais le père d'un fiston qui s'inquiétait pour lui et des futur responsabilité qui allait être celel de son fils, en cet instant Tensai paraissait bien humain et mine de rien remontait dna sl'estime de son garde royal monstre vert. Sur le chapitre de son fils une phrase retint particulièrement l'attention de Brak ainsi que la question finale de Tensai à Brak.

"... Mais on ne sait jamais de quoi l’avenir est fait. Demain, je pourrais disparaître qu’il ne serait pas prêt pour tous les rapaces qui voudraient lui tourner autour. ... Leur charge est un devoir. Se faire malmener par un gamin de quatre ans me ferait plutôt douter de leurs compétences. Crois-tu que je devrais serrer la vis, s’ils ne savent pas gérer mon fils ? "

Brak oubliant la neutralité d'usage montra a ce moment une atitude et frimouse certe digne mais davantage amicale que neutre en lui disant chaleureusement comme d'un frere d'arme a un autre qui lui serait superieur.

" Majesté Tensai si il m'était donné d'être dans votre situation je ne m'en ferait pas trop pour la suite, vous avez une impératrice et épouse de même qu'un fils qu'il ne faut en rien sous estimer l'impératrice Ayshara j'en suis sur saura se montrer bien plus forte et robuste face à l'adversité et aux épreuve si la situation devait l'y ammener, et votre fils même si il est encore jeune comprend les choses et a une inteligence et déduction non négligeable qui sauront grandement l'aider le cas écheant. "

marquant une petite pause et imprimant sur sa caboche une frimouse plus grave Brak enchaina avec un peut plus d'hésitation puisque il s'agissait là du sort de ses colègues gardes royaux.

" Je comprend votre point de vue majesté, n'importe quel père ne voudrait pas moins que le meilleur pour son fils , et d'un coté que les meilleur soit malmené par une enfant de 4 ans ferait douter plus d'un de leur capacité mais d'un autre point de vue que le fils d'un guerrier légendaire des ses 4 ans sache tromper la vigilence des meilleurs gardes roayaux et de les pousser dan sleur limites demontre de grandes capacité et disposition de sa part, je pense de mon humble avis qu'anvat d'opter pour plus de severité il ... euh pourait .... être oportaint de ... voir la situation au cas par cas ... dans chacun de ses aspects et laisser les diférents protagoniste s'exprimer avant de prendre ... une décision juste et adapté à la situation. je dirait que plutôt les punirs il faudrait peut .. être davantage adapter leurs entrainement pour être mieux préparé a cette misison importante. "

Tensai aborda ensuite le sujet de la future mission en république et confirma a Brak ce qu'il avait deviné sur l'identité du menestrel vert qui l'acompagnerait ainsi il voyagerait en compagnie du torubadour capable d'inventer des chansons à la demnde sur son luth, sa pormettait un voyage interessant par contre il était un peut curieux que Tensai dise a Brak que si il avait des question il devrait les lui poser directement. Brak pensait que pour une mission ou il faisait amener ses sujets à l'étranger il serait parfaitement informé de chacun des se sparticipant. etrange donc mais Brak ne broncha pas car dna sun autre sens il serait effectivement plus simple de poser ses questions eventuelle directement au gobelin chantant.

à ce moment là les aclamations se firent entendre depuis les gradins de l'arène signe que le spectacle était sur le point de commencer toujours précédé comme il se doit par l'aclamtion du maitre de l'arène local qui allait annoncer les rejouissance du jour. cela faisait songer à Brak que jusque là a de rare exceptions 'est depuis les vestiaires derieres le sportes d'entrées des gladiateurs ou dpeuis les souterains prêt a surgir d'une trape que Brak entendait les anonces du maitre l'arène se retrouver dans la loge d'honneur aux coté de Tensai lui faisait prendre conscience que la page de la gladiature était torunée pour Brak qu'il le veuille ou .. pas.

Seulement voilà et allez savoir pourquoi le destin, le hasard, ou les gladiateurs guerriers et dragons du passé voulurent que juste avant les anonces du maitre de l'arène et le début du spectacle Tensai aborde le cas de "Sébastien" en ayant juste avant posé a Brak une quastion fatidique d'un ton qui semblait las et amer.

"- N’as-tu jamais eu envie de quitter ton armure de garde royal pour retrouver cette ivresse du combat dans l’arène ? "

Brak se figea d'efroi pétrifié en entendant cette question, comme une statue peinte (et dont le hasard la aussi voulu qu'il se fige dans une pose de gladiateur). la caboche de Brak réfléchissait a toute alure apeurée ne pouvant retenir sa frimouse de prendr une alure craintive le regard tourné vers le sable de l'arène. dans sa caboche les question de Brak était nombreuses, Tensai ne voulait il plus de lui a ses coté ? avait il commis une bêtise impardonnable pour un garde roayal et que Tensai lui offrait une porte de sortie discrete et douce plutôt quun emprisonement ou pire ? doutait t'il de ses capacités a son poste ?

Tout a ces reflexion et reprenant peut a peut une frimousse neutre et grave au fil des ses reflexion brak ne put cependant reprendre sufisament de courage pour parler qu'après les anonce du maitre de l'arène et que Tensai lui demande quel combat il voudrait voir et si il préferait voir gagner l'ombredragon ou les gladiateurs.

prenant le tmeps du inspiration et d'un eexpiration apaisante Brak décida de laisser tomber toute facade de neutralité et de répondre avec son coeur de grand monmonstre à Tesnai .

" Eh bien majesté Tensai pour vous répondre comme il se doit , quan don a grandi esclave entre deux environement celui du palais ou vous eties une creature a qui on donne des ordres et le ludus des gladiateurs dragon ou certe vous etiez un monstre mais connaissez la fraterie et un sentiment de famille avec vos freres et seours d'arènes gladiateurs et la gloire sur le sable de l'arène on ne peut pas l'oublier et aussi loin et longtemps que l'on puisse vivre il resteront au fond de votre coeur. et si en effte mon coeur reste celui d'un gladiateur ... eh bien quiter les rang des garde roayaux ne m'a jamais éfleuré l'esprit,.

Bien sur que j'aimerait de temps a autres redescendre sur le sable de l'arène a Ikusa défendre vos couleur et/ ou celle de mes freres et seours gldiateurs en groupe en duo ou en solo sous les aclamatiosn du public. Mais lors de mon retour suite à l'affaire des lettres piégé ou je ovus avait posé la question vous avez prit le temps de descendre es marches menant a votre trône et d em'expliquer calmement pourquoi un tel arangement n'était pas possible. Et je m'y fait très bien vos raisons était et sont des plus logiques et excelente et je m'y fait très bien .

Si j'avais effectivement songé a trancher du coté de la gladiature je vous aurait fait part de ma décisionne se sens ce jour là et aurait repris le chemin de l'arène et du ludus. Mais ce n'est pas ce que j'ai choisi , j'ai tranché du coté de la garde roayale, si ma famille de coeur et do'rigine et celel des gladiateur, aujourd'hui mas freres et seoeurs d'amres sont les gardes royaux et ferait tout our que cela le reste. Cependant si je dois etre honête jusque au bout a defaut d'arène eh bien ... je serait honoré et comblé de défendres vos couleurs lors de missions et quêtes en dehors du palais et d'ikusa une fois de temps en temps tpujours ne tant que votre garde royal . "

comme libéré d'un grand poid la frimousse de Brak osa a ce moment précis malgré le haut rang de son interlocuteur osa une frimousse souriante qui lui était plus habituel et d'un ton plus chaleureux et enjoué Brak répondit sur le chapitre du combat des gladiateurs contre l'ombredragon.

" Ah ça pour le combat je souhaite la victoires des gladiateurs pardis d'autant que je les reconaits tous , le thrace claudius, le bestiaire Marco, le myrmillon Arkomt et les deux rétiaires jumeaux Pill et Victo. Cependant se serait plus épique qu'au lieux de tuer l'ombre dragon il le dompte et le maitrise sufisament pour en faire une monture volante.

Quand au combat prochain eh bien un duel de gladiateur chalenger pour designer le champion est toujours un spectacle qui vaut le coup bien que me retoruover dans les gradins et qui plus est dans la loge d'honneur me soit plus inabituel ha ha "

Termina Brak courageusement osant même un léger petit trait d'humour sur la fin avant de reprednre imédiatement une posture et frimouse neutre qu'il convienne a un garde roayal en présence de l'empereur.