crédits : 887
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Race: Elementaire de lave
Vocation: Mage élémentaliste
Alignement: Neutre bon
Rang: B
Message 46
La louve avait délaissé mon corps de sa bouche pour y déposer ses mains. Sentant ses doigts parcourir mes formes, m'arrachant les preuves sonores de ce que je ressentais, je n'arrivais plus à dissimuler le moindre son. Même mon corps avait lâché cette gêne pour s'offrir à la belle blonde. Elle ne pouvait pas le voir, mais mes yeux exprimés ce qui me traversait. Chaque geste qu'elle faisait me détendait à un niveau que je n'avais jamais connu. Je repensais à ce qu'on avait échangé, et je savais sans essayer qui massait le mieux. Elle gagnait si facilement. Et puis après les monts, ses mains descendirent dans la vallée de mon ventre. Ses doigts roulaient sur ma peau et mes muscles, me tendant légèrement quand ils passèrent la frontière de mon nombril, se rapprochant de cette zone dissimulé par son bassin. Cela ne l'empêchait pas de jouer sur le bas de mon ventre, réchauffant bien vite l'huile et son effet rafraîchissant. Trop vite réchauffé par ma chaleur et ses doigts. Et plus le jeu continuait plus cette dualité d'émotion, l'excitation face à la nervosité. Elles se tiraillaient dans mon esprit.
Et puis elle me quitta à nouveau, m'abandonnant sur le lit. Mon esprit s'enflammait en imaginant ce que pouvais faire la louve, me regarder, se préparait à autre chose, l'imaginant se déplacer dans le silence qu'elle maîtrisait si bien. La chair de poule parcourut une partie de mon corps, presqu'en manque de cette attention dont elle m'avait couverte depuis un moment. Même si la gêne avait presque quitté mon cœur, l'imaginant me regarder, m'admirer la faisait revenir. Est-ce qu'elle aimait ce qu'elle voyait ? Même si elle me l'avait dit plus tôt, est ce que c'était encore le cas ? Je détestais ses moments d'attente qui mettait à jour ce manque de confiance en moi.
Elle revint à côté de moi, mon cœur repris son rythme rapide. Ses mains déplacèrent mes jambes pour lui offrir une vue que je n'aurais jamais cru laisser faire. Et pourtant, mon corps s'était laissé faire. Juste légèrement tendue, tremblant. Mon visage avait viré au rouge et j'essayais de cacher mon visage dans mon bras. Alors que j'étais sûre que son attention n'était pas aussi haut. Mon souffle se faisait plus court. Et l'alcool coula à nouveau sur ma peau, me faisant tressaillir à cette sensation. Suivant le chemin qu'emprunter le liquide, j'imaginais son regard suivre la coulée. Ce chemin que personne n'avait jamais emprunté. Où voulait-elle boire cette boisson ? Est-ce que je devais l'arrêter ? Je ne savais pas quoi faire. Tout était si contradictoire dans mes pensées. Et elle ne faisait rien, juste observer, enfin, c'est ce qui me plaisait à imaginer... Plus aucun endroit n'avait échappé aux liquides de la soirée.
Tout allait si vite qu'aucune de mes pensées n'avait de sens, ne s'organisait pas. Ma respiration commençait à s'accélérer, a prendre un rythme plus difficile à gérer, surtout avec ce bâillon. Mon cœur avait suivi ce rythme.
Puis elle grimpa au-dessus de ma jambe, attrapant l'autre, elle était si proche de... de cette zone. Remontant, lentement, sentant mes muscles tremblaient sous son souffle. Je n'aurais jamais cru que mon cœur pourrait battre aussi vite. Presqu'au bord de l'explosion.
Et ses dents attrapèrent ma peau. Je ne pus retenir ce gémissement étouffé alors que mon cœur ratait ses propres battements. Mon esprit fondait face à la marque qu'elle appliquait sur le haut de ma cuisse qui tressaillait. J'avais l'impression que mon cœur allait exploser à ses mains qui longeaient ma cuisse et mon ventre.
J'avais commencé à baisser les bras, les laissant retomber sur le matelas, j'avais envie de tellement de choses contradictoires. D'elle, de l'enlever de cette zone, de m'enfuir pour me cacher. De passer mes mains dans ses cheveux, sur sa peau, de la remonter sur moi pour sentir sa peau contre la mienne, ses lèvres ailleurs que sur ma cuisse, dans une zone qui était moins compliquée a gérer pour moi. D'arracher ce bandeau pour l'admirer et en même temps le garder parce que mon imagination était en feu.
J'étais en train de perdre l'esprit, ne sachant plus ce que j'avais envie ou non. Ce qui était acceptable ou pas. Tout n'était que tempête, chaud, froid. Et mon cœur qui était au bord de l'arrêt.
J'étais folle
D'elle.
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-Une véritable bouillote
Elle même sentait facilement que la chaleur était en train de monter. Plus ses mains et son corps descendaient sur celui de sa comparse Reikoise, plus la chaleur qui émanait du corps de celle-ci était montait. Ses pouces avaient parfois l'impression de s'enfoncer dans une steak qui venait tout juste de sortir du grill, la chair de la soigneuse était brûlante, ferme et se contracté au passage de ses doigts, un peu à la manière d'une viande un peu trop cuite, mais semblait se détendre à une cuisson presque parfaite.
Mais...pourquoi était elle encore en train de penser à de la nourriture ? Pourtant elle avait l'estomac plein, et surtout plein d'une nourriture délectable, ce qui n'était plus arrivé depuis une éternité, alors pourquoi est-ce qu'elle avait faim ? Ou que cette femme commençait à la faire penser à une sorte d'énorme pièce de viande particulièrement délectable qu'il fallait préparer et attendrir afin qu'elle fonde sous la langue ? Est-ce son instinct animal qui était en train de pointer le bout de son nez, lui donnant envie de déguster cette pièce de viande ? Ou est-ce que c'était son esprit, la trouvant appétissante, qui lui donnait envie d'y perdre ses lèvres et ses crocs et de goutter ce que cette femme avait à lui offrir ?
Alors que ses yeux se perdaient sur le corps de Kila, sur des parties de son anatomie que selon ses dires personnes mise à par ses parents ou gouvernantes n'avaient dû voir depuis sa jeune enfance, mais aussi de ce corps se courbant, se tendant, détendant, de l'entretient qu'elle pouvait effectuer pour se rendre "désirable" ou même pour son confort personnel, des courbes de ses muscles prouvant l'entrainement qu'elle à suivie, qu'elle peut parfois continuer d'effectuer, de ces poses à la fois exposantes, mais timide, prouvant le manque d'expérience que la blonde pouvait avoir dans les relations intimes, et enfin les réactions de son corps qu'elle ne pouvait contrôler mais dévoilant l'état d'esprit de la FMR et qu'elle pouvait espérer camoufler avec l'huile et l'alcool qui la couvrait, mais à l'instar du corps masculin, le corps féminin avait ses propres réaction qui ne laissait aucun doute et aucune confusion.
La louve sentait le corps de Kila brûlant, mais aussi réceptif à tout ce qu'il se passait, mais quand elle décida à passer à des choses bien plus sérieux et intimes à ce massage, c'était l'esprit de la blonde aux cheveux court qui venait de s'échapper. Alors qu'elle s'installer au-dessus de la jambe de cette femme et que son souffle s'approchait d'une partie intime et charnue de la demoiselle, aux couleurs un peu plus rouges et à la perle érectile semblant parfaitement réceptive au souffle chaud que proposait les lèvres de la louve, c'était cette infinie tension qu'elle avait ressentie se propager dans l'intégralité du corps de la jeune femme qui vint, la bloquer dans son entreprise, il était trop tôt, elle le ressentait bien. Refermant ses lèvres sur l'intérieur de la cuisse de Kila, aussi bien par envie, que pour passer une certaine frustration, cette marque qu'elle avait entrepris de lui laisser s'installa aussi bien comme symbole de son "self-control" que comme preuve de ce qu'il venait ou aurait pu se passer.
Combien de temps avait elle sucer cette chair charnue ? Avait elle passé ses mains le long du ventre de Kila, ou de sa cuisse ? Suffisamment pour passer sa frustration, et marqué la chair de l'élémentaire pour les jours, voir semaines à venir, la chair rose, avait virée au rouge, voir au noir, avant que la louve ne lache enfin la pression de ses crocs, pour poser ses lèvres et sa langue sur "l'oeuvre" qu'elle venait de laisser pour marquer le corps de sa "victime".
Se redressant de nouveau pour regarder la soigneuse, un sourire en coin vint naitre sur le coin de ses lèvres, mais aussi bien dans son esprit, oh, la soigneuse n'était pas prête pour qu'elle était en train de vivre, alors, elle allait achever le peu d'"innocence" et de candeur qu'il restait dans l'esprit vierge de la demoiselle. Passant une jambe, puis l'autre au dessus de la femme qu'elle était en train de masser se retrouvant de nouveau à genoux au dessus d'elle, elle vint...une fois de plus...bloquer les bras que la jeune femme avait plus au moins au dessus de la tête, de ses tibia et ses cuisses.
Oh Kila ne pouvait rien y voir avec ce bandeau, mais ce qui était sûr, c'était que son esprit allait parfaitement être capable d'imaginer ce qu'elle était en train de louper. Une louve au dessus d'elle, dos à son visage, se penchant pour venir alors passer les mains le long de ses cuisses et de son bassin pour revenir masser sa chair. Ses mains s'enfoncant de nouveau dans les muscles de la soigneuse, afin de finaliser ce massage qu'elle avait entrepris de faire sur l'intégralité du corps de la Reikoise. Et si l'excitation de son imagination, le passage de ses doigts remontant jusqu'à la commissure des cuisses de la soigneuse se fixant une frontière à cette chair fripée détourant la féminité, tout juste frôlé, de la blonde, vers un similit lacher prise la menant des spasmes total du corps. Cela serait un aboutissement plus que favorable à l'efficacité de ce massage.
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Message 47
Le commentaire de la louve me fit frissonner, je ne me rendais pas compte que ma température augmentée, que cela était agréable pour elle. Mon corps s'était lâché, avouant tout ce que mon esprit ne pouvais pas faire. La louve continuait de profiter de mon corps, passant ses doigts sur ma peau. Même si cette dualité s'affrontait toujours. Mon corps qui s'abandonnait à elle et mon esprit qui se tendait à la possibilité qui s'approchait. Je sentais presque le regard de la louve me dévorait.
Enira qui était placé si proche de mon intimité, son souffle chaud, son corps contre le mien. Mon corps qui s'embrasait. Et au lieu de basculer, la louve attrapa ma cuisse, aspirant ma peau, appliquant ses dents. La nervosité diminuait, malgré la légère douleur qui ne faisait qu'enflammer mon corps. Les caresses de ses mains qui restèrent sur les zones proches de mon intimité, comme si elle avait senti mon blocage.
J'espérais qu'elle ne m'en voulais pas, qu'elle ne regrettais pas d'avoir fini dans mes bras.
Elle ouvrit les dents pour libérer ma cuisse sur une marque que je découvrirai plus tard. Mais je ne pus que freiner aux passages de ses lèvres et de sa langue sur cette partie de mon corps avant de la sentir s'éloigner de cette partie. J'essayais te calmer ma respiration, tous ses sons qui s'échappaient de ma bouche. Pendant que la louve reprenait ses mouvements, grimpant à nouveau sur moi.
Je sentais son corps contre le mien, qu'elle n'était plus comme la première fois et quand ses jambes bloquèrent mes bras, je m'étais sentis rougir à un tout autre niveau. Imaginant la scène que je devais avoir sous les yeux, ce corps que je n'avais qu'aperçu se trouvais si proche de moi. Mon souffle reprit son rythme erratique, mon cœur me fit presque mal à battre si fort. Aidé par le fait que la louve reprit son massage, passant à nouveau ses mains sur mes jambes. Ses doigts caressant ma peau. Déliant les muscles de mes cuisses, revenant jusqu'à la base de mon bassin. Face à ses caresses, mon souffle s'emporta, soupir et gémissement. Son bassin vibré à chacun de ses mouvements et mes pensées étaient repartie dans tous les sens.
Je voulais la voir et en même temps non. Lui dire de s'éloigner de cette zone, et d'en prendre soin, de me cacher et de la saisir pour l'embrasser. Tout et son contraire.
La rencontre de mon monde et du sien.
Mon corps entier frissonna en sentant l'extrémité de ses doigts parcoururent la frontière de ma cuisse, puis à chaque passage de ses doigts, le frisson gagna en intensité. Mon corps montait en pression. Ses doigts qui m'offraient des caresses divines, sa position couplée à ce bandeau qui faisait exploser mon imagination. Des pensées, des images inavouables qui m'envahissaient, alimentait par son bassin qui vibrait sur ma poitrine. Et encore une fois, mon corps fut plus honnête que moi. Alors que mon cœur allait exploser, que mon esprit s'était perdu, mon bassin fut parcourut de légers spasme pendant que mon esprit se figea. De fines craquelures apparurent sur mon bas rentre et se diffusèrent à la contraction de mes muscles. Mon souffle se transforma en gémissement long. Cela n'avait duré qu'un instant, avant que mon corps se détend dans de légers spasmes que toutes mes pensées furent baignés dans un brouillard divin seule mes mains continuaient de chercher son contact, pensant que je reprenais mon souffle difficilement. Une sensation que je n'avais pas connue de la main d'un autre.
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Enira savait que son image était gravée dans la mémoire de l'ancienne militaire, après tout, la jeune femme, le lui avait dit tout au long de la soirée, elle n'avait donc pas besoin de se faire "voir" d'avantage. Maintenant, c'était le corps de la jeune femme qui devait se rappeler d'elle, des sensations qu'elle pouvait procurer, des pressions qu'elle pouvait exercer en fonctions des situations, ainsi que des odeurs qu'elle pouvait dégager...mais sur ce dernier point, elle savait que Kila n'était pas du tout adepte d'utiliser son flaire, elle ne devait rien sentir d'autre que l'odeur de l'huile qui était entrain de la couvrir, ou de l'alcool au miel qui devait flotter dans l'air et avoir imbiber les draps. Mais pour la lycan, cela était bien différents, elle ressentait chacune des odeurs, le corps de la FMR se couvrant de sueurs, l'odeur de l'alcool et des différents épices qui le composé, l'odeur de l'huile et des plantes utilisé pour la créer et se mêlant aux flagrances du corps de la soigneuse, l'odeur des draps plier à chaque mouvement qu'elle pouvait faire au-dessus de sa "proie", des chandelles entrain de se consumer pour offrir une lumière dansante sur la peau luisante de Kila. Limiter les interactions avec la blonde aux cheveux court, lui permettait de complétement se concentrer sur le reste de ce qu'il se passait. Et si ce n'était pas l'odeur...c'était les réactions du corps de la femme qui accaparait son attention.
Avec ses caresses, son souffle, ses morsures, le passage de sa langue, Enira découvrait les blocages de la jeune femme, ce qu'elle pouvait se permettre de faire ce soir et ce qui devrait attendre une possible prochaine fois. Elle ressentait sans mal que pour Kilaea, beaucoup de ce qui était en train de se passer ce soir, était, malgré son âge bien plus avancé que la louve, une première fois dans de nombreux domaines, mais aussi un nombre tout aussi conséquent de blocage. L'esprit de la soigneuse pouvait bien souhaiter quelque chose, son corps démontrait l'inverse à de bien nombreuses reprises. Tantôt il se crispé lors d'une intervention de la masseuse, tantôt il se dépendait et se relâcher complétement comment réclamant d'avantage, sans pour autant le vouloir. Et c'est donc, flirtant avec les limites et les interdits que la louve progresser dans son massage et dans l'exploration du corps de la demoiselle qui se trouvait sous elle. Comme un coffre cachant un précieux butin et dont il fallait un certain doigter pour le déverrouiller, la louve s'exercer à flirter avec les limites, pour les lever.
Concentrer dans le massage et les tensions du corps de Kila, à flirter avec les limites, elle ne s'attendit pas un instant que ses caresses et son massage ai ce final. Du moins pas ce soir. Se redressant doucement en voyant le corps de la Reikoise se tendre, se couvrir que d'avantage d'une légère couche de sueur, se craqueler et se réchauffer que d'avantage, la voir pris de telles tremblements, entendre son souffle capricant, sentir son corps spasmodique sur l'intérieur de ses cuisses et sous ses doigts. Elle ne pensait pas un seul instant avoir poussé la jeune femme à une telle limite de ce qu'elle pouvait supporter et surtout, ne s'attendait pas à un telle lâcher prise avec un simple massage. Cela avait quelque chose à la fois de déroutant, mais de flatteur.
Se redressant lentement pour laisser le temps à Kila, de retrouver son souffle et ses esprits, elle-même vint enfiler une chemise, et son pantalon, avant de se rapprocher de la belle et de venir poser ses lèvres sur les siennes doucement, dégageant se bâillon l'espace du baiser, avant de le lui replacer pour venir murmurer dans le creux de son oreille.
-Il semblerait que ce soit moi qui mène pour ce soir, petite Flamméche qui a bien trop chauffée
Tu me montreras ce que tu sais faire de tes doigts la prochaine fois que nous en auront l'occasion...
Mais pour ce soir, les ombres retournent dans leurs domaines
Merci pour la soirée, et à charge de revanche
C'est les yeux bandés, le bâillon entre les lèvres, le corps encore bouillant, complétement dénudée, et étendue sur le lit, que Kila pu ressentir le vent glacial de la nuit caresser sa peau alors que la louve "s'échapper" par cette porte qui lui était propre pour retrouver ce chemin qu'elle traverser sur les toits de Taisen et qui allait probablement la mener vers une autres aventure ou mésaventure.
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