La voleuse de flammes

Le jeu de la demoiselle était parfois assez pittoresque, plus elle l'observait faire, plus elle avait l'impression d'être avec une adolescente de quinze ou seize ans lors de sa première relations intimes. Et encore certaines des demoiselles qu'elle connaissait semblaient bien plus à l'aise que l'ex militaire pour cela...simplement car la plupart du temps il s'agissait de leurs survies et que d'une certaine manière, elles étaient obligées à cela si elles souhaitaient manger, avoir de l'argent pour rester "citoyenne" et éviter de finir en esclavage...ou pire encore. Kila semblait avoir aucune notion de ce qui pouvait plaire, ne pas plaire, de comment charmer quelqu'un, oh elle essayait, mais cela en était presque plus amusant que réellement excitant. Ce...qui était dommage, car la jeune femme était magnifique, il y avait de quoi vraiment rendre la soirée plaisante mais...soit elle en faisait trop...soit elle n'en faisait pas assez.

La Soigneuse avait frustrée la louve durant ce moment qui aurait dû se vouloir érotique et séduisant, et...maintenant elle exagérer que trop sa cambrure pour se servir un verre d'hydromel afin de lui exposer des zones qui pour le coup, auraient été bien plus séduisant dans des mouvements bien plus naturelle. Oh Enira regarder ce qu'il y avait à offrir, elle n'en perdait pas une miette cela était certain, mais, elle avait l'impression d'être une de ces cougars expérimentés, qui devait tout apprendre à une jouvencelle afin qu'elle puisse s'en sortir dans la vie. Et pourtant, l'élémentaire de feu avait vécu dix fois plus longtemps qu'elle. A croire, qu'elle était restée toute ses années enfermées dans une cave, avec des œillères ou un bandeau sur les yeux afin de ne pas voir ce qui l'entourait.

Alors que la blonde s'était rapprochée d'elle, d'en l'optique de la dévêtir à son tour, Enira avait glisser les doigts dans son verre pour attraper son glaçon, afin de commencer cette torture qu'elle avait prévue de lui faire, glissant doucement le long du cou de la soigneuse. Encore une fois, rapidement, le jeu fût bien moins excitant qu'elle ne le pensait. Voyant la peau s'assombrir comme un basalte ou une pierre volcanique, cela n'eut pas vraiment l'effet qu'elle escompté sur la jeune femme. Comme un vampire exposé au soleil, la peau de l'élémentaire semblait plus se protéger de "l'agression" qu'autre chose. Certe, la louve avait qualifier ça de torture...mais elle ne pensait pas que cela serait "réellement" une sorte de torture, au même titre qu'une brûlure à la cire chaude, que l'on faisait s'écouler le long d'un corps, mais cela s'approcher plus du masochisme que du réel jeu érotique.

Venant faire une petite moue à cette vue, elle vint alors remettre le glaçon dans son verre, avant de plutôt, faire couler de l'hydromel sur la peau de la jeune femme, pour venir y passer le bout de la langue, le long du cou et de l'épaule.

-Hummm bien décevant le glaçon, je pensais le voir fondre sur toi à vitesse grand V, mais j'ai juste l'impression de te caresser avec un tisonnier...

La Reikoise s'était rapproché d'elle, ses mains glissant dans son dos et sur ses courbes charnues, elle vint les empoigner tout en la regardant dans les yeux, venant, de nouveau lui mordiller la lèvre inférieure plus que l'embrasser, venant la suçoter, avant...de venir chercher sa langue afin de faire de même. Oui, elle était venue prendre en otage sa langue entre ses lèvres et ses crocs, afin de la suçoter comme un fruit juteux, alors que ses ongles s'enfoncèrent un peu dans sa chair, l'écartant légèrement tout en venant la coller un peu d'avantage à elle.

Puis Kila semblait vouloir inverser les rôles, prendre la place dans ce fauteuil afin de voir ce qu'elle...savait faire en ce qui consister de la danse et en excitation des sens...est-ce que c'était à la louve de réchauffer un peu l'ambiance ? Il semblerait bien, venant observer ce dos et ce déhanché alors que Kila se pencha de nouveau pour lui offrir une vue sur ses rondeurs meurtries pour rattraper son verre...rondeur...qui fût assez rapidement marquer une nouvelle fois d'une trace de main dans une fessée plus sonore que douloureuse...alors qu'elle vint s'approcher, se collant à son dos tout en venant lui murmurer dans le creux de l'oreille avant de le mordiller.

-T'en fait trop là Je te préfère avec ton balai dans le cul, qu'avec tout les brasier d'un volcan...ca fait trop

Puis la laissant s'asseoir dans le fauteuil à sa place, Enira vint s'étirer de tout son long, rejetant les bras en arrière, gonflant sa poitrine, étirant ses muscles et ses cicatrices, avant de poser son regard sur la jeune femme pour vérifier qu'elle soit bien installée. Puis une fois la demoiselle assise, elle vint reprendre son glacon, venant alors le glisser le long de son cou doucement, avant de le faire glisser le long de sa poitrine et autour d'un de ses tétons. Frissonnant de tout son long au passage de la glace, sa peau se couvrir bien rapidement d'une chair de poule,, avant de rougir très légèrement, mais surtout, que son téton ne vienne se tendre et durcir que d'avantage, avant, qu'elle ne vienne descendre la glace, doucement sur ses abdos et son nombril, puis sur son pubis, lui montrant l'attache du pantalon ouvert.

-Hummm et si tu commençais par me dire ce que tu préfères en moi ? Que je sache ce que tu préfèrerais voir

Message 39

Encore une fois, j'essayais de dépasser mes limites, ce que m'avait appris mon éducation, ma vie militaire et la nouvelle où tout cela ne m'avait jamais intéressé. Je ne regardais plus les hommes depuis très longtemps. J'avais pris l'habitude de regarder les mêmes femmes que mes hommes, sans me laisser prendre par ces jeux. Trop longtemps habillé par cette armure d'acier qui avait recouvert plus que mon corps. Je m'étais tenu loin de ce monde au final, juste témoin lointain dans ma peau de l'officier parfait.

Et face à elle, j'aurais aimé mien savoir m'y prendre. Mais ce n'était pas moi. J'avais lutté contre le froid, acceptant la sensation sans que mon corps n'y réagisse. J'avais pensé que cela lui plairait, que cette torture serait plaisante. Pour moi, cela aurait pu l'être, mais seulement en écho de la louve. Et elle, cela ne lui avait pas plus. La glace fut vite remplacée par la boisson, et mon corps y réagit aussitôt, frissonnant entièrement en imaginant ce qu'il attendait. Et je ne fus pas déçu en sentant à nouveau sa langue sur moi. Elle m'expliqua la raison de son changement. Je fus partagé entre le fait qu'elle s'arrête parce que cela me déplaisait et celui de l'avoir déçu.

- Laisse-moi un peu de temps.

Ses mains reprirent l'exploration de mes courtes dans une caresse que j'appréciais. Attirer à nouveau par le bas de mon dos, libérer de toutes ses entraves, laissées libres à la moindre de ses envies. Et ses lèvres qui entrèrent à nouveau en contact avec les miennes. Jouant avec, avant que sa langue n'entre à nouveau dans la danse. Je lui avais rendu ce baiser, ma langue jouant avec la sienne avant de se retrouver à sa merci. J'étais prisonnière de ses griffes, se plantant dans ma chair, plaquant nos poitrines pendant qu'elle jouait avec ma langue. J'étais à sa merci totale.

Et je me perdais totalement entre ses mains.

La louve était prête à changer les rôles à me montrer comment plaire, comment entrer dans ce jeu que je ne comprenais pas. J'étais partie chercher mon verre, encore une fois, j'avais essayé de sortir de mon confort. De ne plus être moi, d'être plus comme elle. Et sa réaction se fit vite sentir, sur ma fesse, dans un nouveau claquement.

À nouveau, j'avais lâché un couinement de surprise face à cela, me redressant pour l'accueillir contre moi. Sentant son souffle dans mon oreille, mes mains rejoignirent son corps, une venant caresser son flanc, pendant que l'autre venait caresser sa joue, tremblant légèrement face à ce torrent d'émotion qui me traversait.

Comme ça, elle me préférait au naturel, même si j'étais une fille coincée.

- D'accord, je ferais attention à ne pas trop en faire.

Puis face à cela, elle me laissa rejoindre le fauteuil. M'asseyant pour l'admirer, et dans une position où je ne lui cachais rien. Je ne pouvais plus la quitter des yeux. La voyant s'étirer, travaillant sa silhouette déjà magnifique. Elle me montra ce que le glaçon aurait pu donner sur moi, offrant un spectacle sensuelle, excitant. Mes yeux bruns ne quittaient pas la glace le long du parcours. J'avais envie de parcourir cette peau de mes doigts, la couvrir de baiser. Des pensées que je n'aurais jamais cru avoir. Et la descente se termina sur cette question.

Bizarrement, la réponse me paressait évidente.

- Tes yeux qui brillent comme les étoiles, tes lèvres que je voudrais couvrir des miennes, tes...

J'avais manqué une hésitation, avant de finalement laisser parler toutes mes pensées.

- Tes seins magnifique, tes cicatrices que j'aimerais chérir et couvrir d'attention. Tu es la plus belle chose que je n'ai jamais vue.

Mon visage passa au rouge, plus intense.

- J'aimerais te découvrir entièrement, Enira.

Pas un instant, je ne pouvais la quitter des yeux, le visage rouge, le cœur battant toujours à vive allure. Alors que j'étais toujours nue devant elle.

Lui laisser le temps de ? De supporter la douleur dû au froid à cause d'un élément que son corps ne supportait pas ? Elle lui demandait vraiment ça ? Elle qui portait une brûlure sur la moitié de son ventre ou presque à cause d'un sort de lumière ? Certes elle pouvait sortir le jour, profiter du soleil, cela n'avait qu'effet sur ses yeux et baisser partiellement sa vue, mais là, elle voyait bien que la glace, même si elle ne faisait qu'effleurer la peau de la soigneuse, n'avait pas du tout un effet qu'elle escomptait. Plutôt que de voir le corps réagir au froid en se couvrant d'une chair de poule, ou en durcissant avec un afflux de sang, changeait carrément d'aspect pour tout simplement se protéger du semblant d'agression qu'elle était en train de subir...Ce qui refroidissait l'idée qu'avec la louve en tête, cela était beaucoup moins attrayant...quitte à la voir se tendre à cause d'une douleur, autant qu'elle y aille directement avec le fil de sa lame, l'effet serait le même...et elle s'attendrait vraiment que la jeune femme ai mal sous ses "soins".

Il n'y avait pas, c'était quand elle s'occupait elle-même de l'attention de la soigneuse, que le moment était le plus agréable, la sentir se tendre sous ses griffes, se réchauffer quand elle s'occupait de ses lèvres et de sa langue, non, la flammèche était le plus appréciable quand on venait l'attiser et quand elle débranché un peu son cerveau et arrêté d'essayer de plaire pour simplement faire ce qui devait être fait. Tout comme...l'arrière train de la demoiselle était appréciable à sa vue, uniquement quand il était marqué comme il se devait, du plat de sa main et de son contour rouge s'ancrant dans sa chair à force de fessée qu'elle méritait aux vues des "jeux et des vues" qu'essayait d'offrir l'ancienne militaire à la voleuse.

Alors que Kila était assise dans le fauteuil en face d'elle, et que la louve attendait une réponse simple à une question simple, elle leva les yeux au ciel au baratin qu'était en train de lui sortir la jeune femme...non mais vraiment !

Reposant son regard sur Kila, elle s'approcha lentement, très lentement d'elle, avant de porter ses doigts aux lèvres de la soigneuse, lui faisant ouvrir la bouche doucement en poussant sur son menton, avant de venir attraper sa langue de deux doigts. Puis, s'approchant en se penchant sur la jeune femme, elle vint loger un genou contre son bassin, posant sa seconde main derrière sa tête contre le dossier du fauteuil, puis d'une voix bien plus grave et rauque que ce que Kila lui connaissait, elle posa ses yeux "brillant" sur élémentaire tout en s'approchant d'elle.

-Tu parles trops...je ne t'ai pas demandé de me décrire...mais ce que tu préférais chez moi

Se penchant à l'oreille de la soigneuse, elle vint murmurer dans le creux de son oreille, avant d'y passer le bout de sa langue.

-Alors ne m'oblige pas à te bâillonner

Attrapant le verre de Kila, elle vint en boire une gorgée, puis une autre, avant, de s'approcher de la soigneuse, se mettant à genoux au-dessus d'elle, bloquant les poignets de la demoiselle entre ses cuisses et ses mollets, tout en venant, s'asseoir sur ses cuisses, avant de prendre l'hydromel pour en faire couler sur son cou et sa poitrine, à l'intention de la demoiselle, afin aussi d'occuper sa langue à faire autre chose que dire des âneries. Du moins, si elle souhaitait récolter ce breuvage sur la peau de la louve, glacé à cause du passage du glaçon et de l'alcool.

Ses doigts glissant dans les cheveux de la demoiselle, elle garda bien les poignets de la soigneuse bloquer dans le creux de ses jambes, afin de lui offrir autant de proximité que d'immobilité, venant regarder la jeune femme, avant de poser un baiser sur son front et son nez, puis, elle se releva de nouveau, venant lui faire dos cette fois, lui laissant admirer son déhanchée naturelle, alors qu'une fois encore, pieds nues, elle pouvait l'observer marcher, pratiquement sur la pointes des pieds, mais surtout, dans le plus grand des silences, avant de se tourner de nouveau, venant, finir d'ouvrir le laçage de se pantalon qui tenait sur ses hanches, puis, se tournant doucement, de profils, qu'elle puisse profiter aussi bien de l'avant de son corps qu'elle semblait si chérir, que de son dos, elle commença, lentement, très lentement, à libérer ses chairs de cette prison de tissu en lambeau, se penchant au fur et à mesure qu'elle descendait le vêtement jusqu'à ses chevilles, avant de finir de l'envoyer voler d'un coup de pied, pour expédier le vêtement vers un des murs.

Une fois aussi nue que la soigneuse, elle vint se tourner vers elle et s'approcher de nouveau, lui laissant tout le loisir d'admirer ses longues jambes traverser de diverses cicatrices, l'intégralité de cette brûlures qu'elle avait sur le ventre, le haut du pubis, et les côtes, les diverses coupures et marques qu'elle avait sur le corps et encore, elle n'en voyait que la moitié, son dos devant être dans un état tout aussi pitoyable, avant de littéralement disparaitre, comme par magie, de sous les yeux de la FMR. Elle pouvait, aussi bien regarder à droite, qu'a gauche, ou au-dessus d'elle, on pouvait avoir l'impression que la louve avait disparue de la pièce, et ceci, jusqu'à que la soigneuse puisse sentir un mouvement, et un poids dans son dos, deux jambes, se poser sur ses épaules et la plaquer contre le dossier du fauteuil et contre son bassin.

Assise sur le dossier du fauteuil, elle avait passé les jambes de part et d'autre de la tête de la jeune femme, posant ses cuisses et ses longues jambes sur les épaules de la soigneuse, comme, pour bloquer les rotations de sa tête, afin qu'elle ne puisse que lever le regard pour l'observer, sans, pouvoir voir ce qu'il se passait au niveau de sa nuque, mais largement deviner ce qu'il s'y trouvait. Les mains de la louve, venant glisse sur la gorge de la demoiselle, puis vers sa poitrine, et son ventre.

-Il serait temps de commencer ce massage, non ?

Message 40

Le jeu du glaçon s'était stoppé et j'avais l'impression que mon commentaire ne lui avait pas plus. J'avais ma petite idée en tête et j'espérais que cela pourrait lui plaire. Comme chaque chose que je faisais de cette soirée.

À nouveau, la boisson coula sur ma peau et elle le récupéra d'une façon exquise, qui faisait s'enflammer mon esprit. Enira se recula pour commencer son spectacle et je découvrais ce que voulait dire sensualité, mon corps et mon esprit ne se concentrait que sur elle. Je la trouvais toujours aussi belle, découvrant une autre facette de son charme. Mon esprit allait à toute vitesse, et pas dans le bon sens. Et à sa question simple, mon côté romantique se refusait de ne choisir qu'une partie de son corps. Partant dans une déclaration qui n'allait pas avec le moment.

La louve leva les yeux au ciel, en voulant lui plaire, j'avais fait l'inverse encore une fois. La louve, c'était rapproché lentement de moi. Le contact de ses doigts sur mes lèvres rompait un peu le sentiment de culpabilité que j'éprouvais. Mais elle me bloqua en me tirant la langue. Se rapprochant encore pour me sermonner d'une voix rauque. Puis elle se posa contre mon oreille, murmurant une menace plus douce. Elle avait déjà parlé de m'attacher au lit, maintenant de me bâillonner. La scène se dessina aussitôt dans mon esprit, qu'elle finirait par m'attacher, me bâillonner pour être sûr que je ne fasse où se dise plus de bêtise.

Elle avait relâché son emprise et l'illusion se brisa.

- D'accord. Peut-être tes cicatrices.

C'était assez étrange d'avouer que je trouvais que ses cicatrices rehaussaient son charme. Mais la peau d'Enira était comme un livre, chacune de ses marques racontait une histoire, une épreuve. En regardant son corps, c'était sa vie que l'on voyait. Tout ce qui l'avait forgé. Et même si j'avais honte des miennes, c'était une étape de ma vie. Au départ, je me disais que les siennes représentaient les prises de risques pour les autres. Lorsque les miennes étaient un défaut d'honneur. Mais si au final, elles n'étaient pas si différentes. Comme me l'avait dit la louve, j'ai pris des risques. Et pas pour l'honneur, mais parce que je voulais être à ma place et servir l'empire. Cela n'aurait jamais dû représenter la honte de mon choix, mais les pensées d'une armée misogyne. Cela devrait être leur honte et la force que j'avais eue. Cette idée germait dans mon esprit, planté par la louve et sa franchise. Elle avait raison, le plus dur serrée de changer cette honte qui datait s'il y a trois ans maintenant.

Tout avait été si vite dans ma tête, sans que je ne perde une seule miette de ce que la blonde m'offrait. La voir boire de mon verre avant de s'installer sur moi, bloquant mes bras sous son bassin. Voir l'alcool qui se déversait sur sa peau cette fois. Je regardais le liquide suivre ses courbes. Mon esprit s'enflammait, encore une fois, le doute de bien faire s'installa.

Et si le problème était là. À chaque fois que je réfléchissais, je la décevais, à chaque fois que je me laissais porter, je lui plaisais.

Je laissais mes aprioris de côté, faisant enfin ce qui me passait par la tête sans vraiment réfléchir. Enfin, je découvrais cette sensation, le goût de l'hydromel mélangé à celui de la peau de la lycan. Du bout de la langue, commençant au plus bas que le permettait ma position, en dessous de sa poitrine, presqu'au niveau du nombril, profitant de ses muscles et remontant, passant entre ses collines, lentement pour récupérer l'alcool qui y était versé, faisant un léger décrocher pour se descendre, goûtant ses atouts jusqu'à atteindre le bouton qui l'ornait. Rendant la politesse à ce qu'elle m'avait fait plus tôt. Jouer un peu, faisant le tour avant de se descendre pour récupérer le sillon d'alcool, passant à nouveau entre ses formes remontant le long de son cou. La fraîcheur de son corps était plaisante. Quand il n'y eut plus rien à boire. Je déposais un baiser dans son cou, mordant légèrement sa peau.

Ses doigts passèrent dans mes cheveux et je redressai la tête pour plonger mon regard brillant dans le sien. J'espérais qu'elle m'embrasse, pendant que nos corps n'étaient séparés que par mes bras et son pantalon. J'avais envie de lui rendre la pareille de glisser mes mains sous le tissu, mais je ne pouvais pas. Ses lèvres se posèrent sur mon front, puis sur mon nez. Je préparais mes lèvres pour un baiser, mais elle se leva. M'offrant la vision sur son dos, tout aussi marqué que le reste de son corps. Son dos était un appel à y passer mes mains alors que le balancement de ses hanches était hypnotique. Tout comme le reste de sa chorégraphie pour ôter son pantalon. Spectacle dont je ne perdais aucun instant. Un peu honteuse, mais je ne pourrais jamais oublier. La première fois qu'une femme se déshabillait pour moi, et quelle façon de le faire, et quelle femme aussi. Toutes ces choses que je n'avais jamais imaginées pour moi. J'avais l'impression de découvrir un trésor que je n'avais jamais cherché.

Elle revint vers moi et mon regard la détailla entièrement, pour la première fois sans honte. Et puis plus rien. Je m'étais figé, mes yeux cherchant la jeune femme.

- Eni ?

Et quelque chose me plaqua contre le dossier du fauteuil, sentant la chaleur du corps de la lycan. Je m'étais senti rougir, face à la proximité de son intimité.

- D'accord. J'étais vraiment nulle.

Ses mains me firent frissonner de désir quand elles caressèrent mon cou, descendirent le long de mon corps. Je soupirais de plaisir. Celui d'être le centre de son attention. Mes mains montèrent à l'inverse, caressant ses bras.

- Oui, mais dit moi...

Ma main se mit à bouger, et un disque de terre sorti du coffre pour me ramener un petit bloc de glace. Mes doigts s'étaient ternis à son contact, je le glissais entre les doigts de la lycan. Mes yeux virèrent au rouge et mon corps chauffa légèrement, suffisamment pour combattre la glace sans ternir. J'avais saisi la main d'Enira, la ramenant sur mon sein. La glace fondait à chaque caresse de glaçon, laissant une traînée d'eau sur mon corps. Et cette fois, je ne souffrais pas. C'était juste une morsure excitante, comme ses griffures qu'elle m'avait faite.

- C'était ça l'effet que tu voulais ? Et sans souffrir. Allons sur le lit. J'en meurs d'envie.

J'étais curieuse de voir son prochain jeu pour descendre du fauteuil pour m'emmener et pour ce massage.

Ses cicatrices ? La louve ne comprenait pas Kila...Elle avait honte de ses cicatrices...mais elle aimait celle qu'elle s'était faite de manière bien moins honnête...elle ne comprenait pas vraiment la logique dans les choix de cette soigneuse. Enfin, d'une certaine manière, c'était ce qui recouvrait le plus son corps, donc heureusement que cela ne la dégoutait pas vue...qu'il n'y avait probablement pas une seule parcelle de son corps qui était complétement intacte. Si à la limite, son visage jusqu'à présent avait été épargnés, mais elle savait que cela n'était qu'une question de temps avant que lui aussi ne se retrouve avec une estafilade qui lui laissera probablement une marque pour le restant de ses jours.

Enira n'eu aucun mal à ressentir le regard de Kila sur elle alors qu'elle finissait de se dénuder. En même temps si elle souhaitait voir toute ses cicatrices, elle allait avoir du travail, que ce soit l'avant de son corps, son dos, ou ses jambes, le temps ne l'avait pas épargnée, même si, pour l'élémentaire, cela ne représenté 10% du temps qu'elle avait vécu. En une trentaine d'années, la louve avait probablement accumulé plus de marques, de cicatrices, de soins factices, loupés, ou archaïque, que cette blonde qui ne souhaitait pas montrer son dos. Est-ce que cela voulait dire qu'elle avait prise plus de risques ? Qu'elle était moins apte à se protéger ? Qu'elle n'était simplement pas capable de se soigner elle-même et de faire disparaitre une potentiel blessure comme Kila avait pu le faire avec son épaule ? Il y avait probablement un peu de tout ça dans la réponse à ces questions. Enira n'avait jamais reçus d'entrainement militaire, ou d'entrainement au combat, elle avait appris à se battre à force d'expérience, et avait appris ce qui était le plus efficace pour se débarrasser de ses adversaires...mais cela ne la mettait pas forcément en sécurité. On apprenait rapidement dans la rue, qu'une lame plantée dans le corps à un endroit pas trop important, était douloureux, mais, cela désarmé son adversaire ce qui le rendait plus facile à attaquer.

Après avoir finit de se mettre nue, la louve avait rejoint le dossier de son fauteuil, avant de la regarder, venant lui caresser le cou et la gorge, elle pencha la tête sur le côté alors qu'elle semblait vouloir lui demander quelque chose, alors qu'elle la regarda attraper un glacon, elle vint arquer un sourcil en la regardant le glisser entre ses doigts, pour venir le glisser sur sa poitrine par la suite et le long de sa gorge. Elle ne comprenait vraiment pas cette femme...pourquoi est-ce qu'elle se donnait autant de mal pour un jeu érotique qui n'était appréciable par l'élémentaire de lave, que quand elle prenait la température d'une bouillote. Certe, l'effet était presque semblable à ce qu'elle avait pu montrer, mais...est-ce que c'était vraiment appréciable pour la soigneuse, qui devait certainement, en plus de se concentrer sur le glacon...se concentrer sur sa température afin de ne pas la brûler, de ne pas brûler trop vite le glacon...ou ne pas être trop faible pour ne pas souffrir au passage de la glace.

-Effectivement, c'était ce à quoi je m'attendais, mais je ne m'attendais pas à te voir chauffer de la sorte à cause de la glace, mais plutôt de mes mains. Enfin comm je te dis...Ce n'est pas bien grave...on a bien d'autres manières de s'amuser

Kila semblait attendre, et curieuse, de savoir comment elle allait s'y prendre pour se lever, alors qu'elle était assise sur un dossier assez fin, ses jambes de par et d'autre du corps de la soigneuse et qu'elle la gardait plaqué de ses mollets alors qu'elle continuait de la regarder. Oh les choix étaient multiples, mais le plus simple était de se laisser tomber en arrière et d'effectuer une demi rondade. La voleuse était souple et agile et le mouvement était à la fois gracieux, effectué sans réel difficulté, mais surtout, particulièrement silencieux. Le silence semblait être un mot d'ordre dans le déplacement de la blonde, à croire qu'elle ne se faisait entendre que quand elle le souhaitait, que le reste de ses déplacements semblaient aussi silencieux que ceux d'une souris fuyant le long d'un mur.

Avant de repasser devant la FMR pour se diriger vers ce lit qui les attendaient, tout en laissant la femme dans son dos apprécier la vue de ce qu'elle pouvait voir.

-N'espère pas que je te porte chérie, tu n'as que 5 pas à faire Alors bouge toi les miches et vient t'installer

Venant s'asseoir sur le bord du lit, elle vint croiser les jambes tout en posant ses bras derrière elle. Son regard posé su la soigneuse attendant qu'elle s'approche pour ce massage, et surtout, qu'elle attrape l'huile qui était prévue.

Message 41

J'avais senti que mon aveu l'avait fait réfléchir, en même temps, je venais lui dire que j'aimais sur son corps, faisais honte sur le mien. Même si ce n'était pas la marque, mais ce que cela représentait. Pour moi, la déchéance, pour elle, une envie de vivre, les risques pour les autres, malheureusement des trahisons.

Au départ, je m'étais complètement perdue dans la contemplation de cette femme, ne sachant pas comment réagir, devant cette première fois, cette première femme qui éveillait des sentiments en moi. Peut-être la première qui me regardait ainsi avec sincérité. Même si je ne la connaissait pas, même si je savais au fond de moi, qu'il y avait de grandes chances que j'en souffre, mais pour le moment, je voulais juste profiter de la découverte.

Elle avait fini assise derrière moi, diffusant la chaleur de son bassin contre ma nuque, celle de ses jambes sur mon torse. Ses mains qui caressaient ma peau dans une sensation délicieuse. J'avais profité du moment de la chaleur déployée, j'avais voulu essayer de jouer avec la glace, passant la main de la louve sur mon corps. Un sourire fendit mes lèvres, j'étais curieuse sur les autres façons de s'amuser qu'elle pouvait connaitre. J'avais jeté la glace dans mon verre posé plus loin, le ratant de peu.

- Tes mains restent beaucoup plus agréables.

Je n'osais pas bouger, je voulais la garder contre moi, et je ne savais pas comment la faire bouger sans me retrouver face à son intimité. J'avais sursauté quand je la sentis tomber en arrière. Voulant la rattraper, mais aucun bruit ne s'éleva. Et encore une fois, la louve m'étonna, cette discrétion. La louve repassa devant moi, me laissant apprécier son dos et sa grâce rejoindre le bord du lit.

- Tu m'as déjà porté, mais pas dans cette tenue.

La louve s'était assise sur le lit dans une position qui ne me cachait rien. Je m'étais mise à rougir encore un peu avant de me lever. Pour rejoindre la table. J'avais vidé mon verre d'une traite avant de saisir la bouteille d'huile. D'un mouvement de main, j'avais formé un petit bol d'argile depuis la boite que j'avais ramené pour placer l'huile. Je m'étais ensuite dirigé vers la table de chevet emmenant la bouteille d'huile, d'Hydromel et le fameux bol. Buvant une gorgée d'alcool, avant de verser de l'huile dans le bol.

- Tu devrais apprécier la sensation.

Mon index et mon majeur s'étaient plongés dans l'huile, je m'étais approché d'elle, passant mon index dans mon cou descendant lentement entre mes seins. Ma peau se recouvrait de chair de poule au passage, le frisson de cette fraicheur sur mon terme. En me rapprochant de la louve, je passai ma main dans son cou, suivant le même chemin que sur mon corps. Je laissais le baume diffuser les sensations de frais et de relaxation avant de passer près d'elle rejoignant le bord du lit me penchant pour rejoindre le milieu du lit à quatre pattes.

M'allongeant sur le ventre. Croisant les bras pour poser ma tête dessus. Un frisson parcourut mon corps. Je me rendais compte de ce que j'étais en train de faire. Allongée nue, avec une inconnue, même magnifique, sur mon lit en attente des mains sur mon corps.

- À ton tour de t'installer. Je suis prêté.

Cette femme était étrange, elle avait beaucoup de mal à la cerner. Comment une simple rencontre dans une taverne pouvait terminer comme ca ? Cela faisait quoi ? Quelques heures, et elle se retrouvait à se dénuder pour une soigneuse, ancienne militaire et elle en passé afin de lui offrir un massage...En soit, dans son "monde" ce scénario n'avait rien de bien étonnant, pour survivre il valait mieux, le plus souvent, prendre ce genre risque et de choix afin d'avoir quelques pièces à dépenser pour un repas, une nuit, ou encore un semblant de moment de sécurité. Enira elle le faisait le plus souvent pour baisser la garde et les suspicions de ses victimes...mais ce soir là, elle n'avait pas particulièrement prévu de dérober la soigneuse...ou du moins ce n'était pas son intention première. Oui bien-sûr qu'elle allait se servir, que ce soit en vêtements, un souvenir, ou allait savoir ce qui allait lui taper dans l'oeil, mais elle n'allait pas repartir sans rien. Mais pour le coup, ce n'était pas ce qu'elle avait de prévue initialement...non, elle avait envie de passer un moment un semblant agréable

Attendant la demoiselle assise sur le lit, les jambes croisées, elle observa Kilaea se lever pour aller chercher la bouteille d'huile qu'il y avait sur la table, avant de regarder la demoiselle s'approcher.

-Tu oublie de prendre une des bouteilles aussi...j'ai bien le droit de boire aussi et il me semblait qu'en plus du massage, tu devais me servir de verre.

Humm et pour le coup il vaut mieux que ce soit toi qui apprécies l'huile vue que tu vas être la première à passer à la casserole et que tu risque d'en sentir couler....par-tout

Oui, Enira avait bien séparé les deux syllables de partout afin que la soigneuse se rende compte...que probablement aucune parcelle de se cops qu'elle avait dénudé, ne serait épargner pas le passage des doigts de l'huile fraiche qu'elle avait préparé. Est-ce qu'elle même s'était préparer à sentir ses doigts sur l'intégralité de son corps...ou est-ce qu'elle n'avait pas encore réellement conscience de ce qu'il allait se passer et de ce qu'elle était sur le point de subir ?

La laissant choisir la bouteille qu'elle voulait sentir s'écouler sur elle, avant de s'approcher, elle la laissa passer dans son dos, son regard suivant ce déplacement presque félin dans son dos, venant apprécier le long de son dos, la rondeur de ses formes alor qu'elle passait à quatre pattes dans son dos, avant de s'allonger sur le ventre, venant alors observer ses jambes, l'intégralité de ce corps allongé devant elle.

-M'installer ? Quoi ? Tu as commandé des masseuses ?

Oh elle savait pertinemment qu'elle parler du fait de venir à ses côtés ou au-dessus d'elle pour venir la masser...mais...elle adorait taquiner cette élémentaire. Attrapant la bouteille d'hydromel, elle vint en boire une gorgée directement au goulot, puis une seconde, avant de venir s'approcher de la blonde, venant, faire couler l'alcool le long de son dos, de ses cicatrices, suivant le tracer de sa colonne jusqu'au creux de ses reins, sortant ensuite le bout de sa langue pour suivre le tracer qu'elle avait créé sur le corps de la jeune femme.

Avant de se lever de nouveau pour aller chercher la chemise de la soigneuse, même si à dire vrai, elle n'avait besoin que d'une de ses manches, la déchirant, elle vint alors sourire en coin en s'approchant de Kila, venant passer au-dessus d'elle pour....lui bander les yeux, venant serrer assez fort le tissu. Au il suffisait de le soulever pour l'enlever, mais il ne se détacherait pas de lui-même.

Puis se penchant à l'oreille de Kila, elle vint murmurer.

-Je t'autorise à gémir mais un seul mot pour empêcher quoi que ce soit et je te mettrais un bâillon , si tu parles trop je te met un bâillon , et si tu me réclames quelque chose, tu en serras privée

Si tu es d'accord sur les termes du contrat, croises les bras sous ta têtes et écarte un peu les jambes, et je commencerais

Message 42

La louve ne me quittait pas des yeux et honnêtement, j'adorais ça. Être l'attention de cette femme, je me sentais chanceuse sans vraiment savoir pourquoi. Peut-être qu'à ce moment, j'avais l'impression d'être plus qu'un jeu.

J'avais récupéré la bouteille pour boire quelques gorgées, me donnant un peu de courage pour cette situation inédite. Elle me poussait à me dépasser et je lui fis la demonstration de cette huile sur mon corps, avant de lui récupérer la bouteille à ses mots. Je frissonnais à son autre phrase, deux sensations contradictoires se fermaient à l'intérieur de moi. Le plaisir d'être toujours plus proche d'elle, le stress de ce qu'elle appuyée par ses deux syllabes Est ce que je serais prête pour tout ça ? Je verrais bien, je faisais le vide dans mon esprit pour me laisser porter par l'instant.

J'étais revenu près d'elle, passant devant la jeune femme avant de m'installer sur le lit sous son regard. Cette fois, plus aucune timidité ne venait brider mes gestes, mais il y avait toujours cette boule dans mon ventre. Mais je commençai à m'habituer à son regard, à l'idée de recevoir ses caresses. Je m'étais installé sur le lit quand sa réponse me fit me figer une micro seconde.

- M'avoir entièrement pour toi ne te suffit pas ? Moi, tu me suffis.

Mon regard s'était posé sur elle, la regardant boire avant qu'elle ne s'approche de moi. Et le liquide coula à nouveau sur moi, me faisant frissonner. Puis un tressaillement à la sensation de sa langue sur mon derme.

Puis elle s'éloigna, je m'étais redressée pour la suivre du regard, me demandant ce qu'elle allait encore trouver pour pimenter cette soirée. Je la vis saisir ma chemise, la déchirée avant de revenir en souriant. Mon sourire se fit un peu plus coincé. Allait-elle m'attacher comme elle me l'avait annoncée plus tôt ? Me bâillonner pour m'empêcher de dire d'autres bêtises. Je ne savais toujours pas jusqu'ou j'étais prête à aller. Jusqu'ou elle voulait aller, j'espérais que nous voulions la même chose. Elle s'approcha encore de moi, j'avais repris ma position, lui laissant le champ libre, mais pendant de vue ses courbes. Le matelas qui bougeait à chacun de ses mouvements. Puis vint la chaleur de ses cuisses contre mon bassin. Son corps qui suivit le mien pour poser la manche sur mes yeux, serrant suffisamment fort pour que je ne puisse l'enlever sans le vouloir. Je sentais mon esprit s'enflammer d'être à sa merci. Ne pouvant qu'imaginer avant de ressentir son contact. Comme à ce moment où son corps épousa le mien. Cette fois, nous étions nues, seules au monde et mon cœur battait à tout rompre.

Ses mots furent clairs et un mot commença à s'échapper pour mourir.

- Mais...

Très vite transformé en soupir, pour ne plus contester ses mouvements. J'avais hésité un instant, mais comment connaître mes limites sans les tester ? Comment savoir ce qu'elle attendait de moi sans la laisser faire ? Dans ce doute qui avait duré une éternité, mais qui n'avait était que quelques secondes. Mon corps se détendit, mes bras se croisèrent sous ma tête.

J'avais ouvert la bouche pour répondre, mais l'avais aussitôt refermée en souriant, elle n'avait demandé aucun mot en réponse. Et alors que j'avais lutté pour lui offrir la vue sur ma poitrine et mon ventre. Mes jambes s'écartèrent doucement, presque tremblantes pour lui offrir mon corps entièrement.

J'étais désormais complétement à elle.

C'est tout ? Juste une micro seconde de réaction quand elle avait proposé de commander des masseuses ? Ou plutôt quand elle avait demandé si Kila comptait en faire venir pour toutes les deux. Soupirant un peu la louve semblait assez déçus du peu de réaction de la blonde qui venait encore de lui sortir une de ses phrases bateaux. Franchement, elle manquait si souvent de répartis et de réaction qui ne donnait pas l'impression d'être une adolescente de quatorze ans lors de son premier rendez-vous.

Venant boire un peu d'hydromel et en faire couler le long du dos de la belle blonde, elle s'approcha d'elle à quatre pattes pour passer la langue le long de sa nuque, de son dos, pour venir terminer à la base de ses fesses, dans le creux de ses reins, là où le plus d'alcool s'était cumulé au vue de la position qu'elle avait prise en s'allongeant sur le ventre. La dégustation fut asse fugace, vue qu'une autre idée venait de fuser assez rapidement dans l'esprit de la louve qui s'était lever pour aller chercher un morceau de tissu qui allait servir de bandeau pour cacher les yeux de la soigneuse. Oui, elle allait complétement disparaitre de son champ de vision, et en plus de cela, elle lui "interdisait" presque de dire quoi que ce soit pour se plaindre...elle en avait marre d'entendre les bêtises que pouvait lui sortir ce jolie coeur qui se voulait "charmante" et qui se la jouait un peu trop fleur bleue.

Maintenant qu'elle avait plongée dans le noir la demoiselle allongée devant elle, elle vint sourire en coin venant se relever pour l'observer, admirant son dos, ses courbes, ses rondeurs, ses longues jambes entrain de s'écarter pour s'installer que mieux afin qu'elle puisse commencer le massage...ou toute autre idée qu'elle pouvait avoir en tête...comme une dégustation, ou encore une nouvelle torture dont elle pouvait avoir le secret. Déjà, l'attente, la jeune femme savait montrer sa présence, ou complétement l'occulté, et pour le coup, laisser planer le doute chez la soigneuse, était une plaisir, la regarder allonger, avant de s'approcher pour faire couler un peu d'huile dans son dos...puis disparaitre de nouveau...pour venir refaire couler quelque chose sur ses fesses...avant de disparaitre encore et revenir plus tard pour faire couler l'huile sur ses cuisses...elle aimait à voir chaque sursaut, ou chaque muscles se contracter. Mais surtout, ce moment d'hésitation qui planait à chaque fois que la louve prenait son temps pour laisser l'huile s'écouler, absolument partout, sans ne rien faire pour la retenir, laissant le liquide s'infiltrer sur des chairs particulièrement sensibles.

Puis venant boire quelques gorgées d'alcool, Enira vint s'approcher, laissant son poids peser sur le lit de nouveau, avant de venir au-dessus de la jeune femme, se posant sur ses cuisses, logeant la rondeur de ses fesses dans le creux de son bassin, avant de se pencher, posant ses mains de par et d'autre de la gorge de la jeune femme, avant de les poser sur ses épaules pour venir les masser, la plaquant dans le lit en même temps. Ses mains étaient à la fois douces et rugueuses, massant en profondeur les muscles de la jeune femme avec l'aide de l'huile glacée, ses doigts pénétraient la chair pour atteindre les tensions de la jeune femme, tout en offrant une certaine douceur et caresse, ses cuisses enserrant celles de la jeune femme et son bassin pressant ses rondeur, venant y presser l'huile qui y avait coulé.

Les doigts de la louve parcoururent la peau de la jeune femme, que ce soit sa nuque et ses épaules, que le long de son dos, ses doigts prenant un malin plaisir à bien marquer les cicatrices de ses pouces afin de bien faire comprendre à Kila, qu'elle avait que très peu à faire et que si elle réagissait au passages de ses doigts, cela allait assez mal se passer ! Ses doigts glissant le long de ses muscles pour de sa colonne pour venir à la fois la faire craquer, que masser tout le long de ses vertèbres. Avant de descendre, dans le creux de ses reins et de son dos, à la base de ces fesses qu'elle avait sous les yeux, venant, donner un mouvement de bassin contre sa chair bien caractéristique, tout en se penchant à son oreille.

-Tu imagines si j'avais été un homme ?

Venant ensuite doucement descendre pour s'asseoir sur les chevilles de la jeune femme, ses mains, venant envelopper ses cuisses pour venir les masser tout en écartant un peu plus les jambes de la soigneuse, son regard, ne manquant en rien la vue qu'était entrain de lui offrir l'ex militaire.

Message 43

J'avais répondu à son commentaire, de façon toujours aussi innocente, et peut-être que cela la fatiguerais. Il faudrait que je prenne un peu la confiance entre ses mains. Ce genre de phrase qui m'énerva quand un homme me les sortait. Mais face à elle, je n'étais qu'une guimauve des FMR.

Le liquide coula, et sa langue se faufila un passage dans mon cou, descendant le long d'un frisson qui suivait les mouvements de la louve, arrivant dans le creux de mon bassin. Les frissons qui étaient une sensation délicieuse. Avant qu'elle ne m'abandonne sur le lit. La découverte de sa nouvelle idée, la perte de ce sens que j'appréciais, surtout pour la voir. Son interdiction, de parler, de me plaindre m'enflammait l'esprit.

Elle me quitta à nouveau, m'abandonnant sur la couverture, bien que je me sois offerte à elle. Je me demandais ce que serait cette prochaine action. L'idée que son regard se pose sur moi, entièrement sans défense, me plaisait et me gênait en même temps. Mais je n'avais pas le droit de me plaindre. J'avais perdu toute notion du temps, jusqu'au premier sursaut au contact de l'huile. Le froid produit par l'huile qui me fit frémir. La chair de poule se créant sur le passage de l'huile. Je sentais le liquide suivre mes courbes, sans autres actions de la louve. Seul le chemin du froid me disait que le temps ne s'était pas arrêté.

Puis je tressaillis à nouveau cette nouvelle vague de froid qui se déversa sur mes fesses, roulant dans le même principe sur mon corps. Faisant frémir cette partie charnue de mon anatomie. Mon corps répondait sans retenue, comme si dissimulée ma vue, coupait ce lien avec la gêne qui me bridait. L'huile infiltrée le frais tout le long de mes chairs.

Je n'imaginais pas la vue que je lui offrais, m'étais mordue la lèvre pour me retenir d'émettre le moindre son. Je savais que si j'ouvrais la bouche, je risquais de la supplier de venir, que je puisse sentir ses doigts sur ma peau. Et si je lui demandais, ce serait refusé, c'était le contrat. Je n'avais le droit que de gémir et je ne voulais pas lui offrir aussi facilement.

Même si l'huile s'insinuait sur mon corps, que l'idée qu'elle aime le spectacle que je lui offrais me plaisait, je mourrais d'envie qu'elle vienne.

Et ma patience fut récompensée, le lit accueillit à nouveau la louve, tirant un petit soupir d'entre mes lèvres en sentant son bassin se logeait contre le mien. Puis ses mains près de ma gorge, sur mes épaules. Le massage commençait, son poids sur le haut de mon corps qui s'enfonce légèrement dans le matelas. Mon corps se détendait sous l'action de ses doigts. De légers gémissements traversaient mes lèvres closes. Tout me plaisait, la moindre partie de son corps en contact avec le mien.

Jusqu'au moment où ses doigts s'attarderont sur mes marques, le moment ne se mettait pas à ce que je me tente, et mon corps était bien trop détendu sous ses caresses pour réagir négativement. Au final, je commençais même à apprécier l'attention qu'elle leur portaient. Enira arriverait par finir à me les faire accepter. Et ses mouvements continuer, parcouraient mon dos en diffusant un bien-être nouveau. Celui de l'huile, mais aussi celui de ne pas être seule, au moins ce soir. Nous étions différentes, presqu'en tout point, elle ne me jugeait pas, m'aider alors que je ne lui avais pas montré le meilleur de moi-même. Mon dos se détendit, craqua sous ses mains expertes, descendant toujours plus bas. Mon corps se tendit légèrement de surprise à son coup de bassin. Me faisant rougir toujours plus. Je me mordis la lèvre en sentant son corps contre le mien, écoutant sa voix en souriant.

- Tu n'aurais pas cette paire de seins qui t'a amené ici.

Elle aurait été un homme, je ne l'aurais pas amené, cette soirée aurait été si différente. Mon sourire s'agrandit.

- Mais si tu y tiens, on pourra te trouver une potion de métamorphose.

J'hésitais à me cacher suite à cet humour, la sentant descendre sans que je ne bouge, alors que je me doutais de ce qui s'offrait à elle. Mon corps tressaillit aux passages de ses mains, sans parler de notre tenue plus que légère. Je savourais cette attention délicieuse et inhabituelle. Mon souffle trahissait ce bien-être et me faisait oublier, ce qui aurait pu être l'étape d'après.

Oh elle s'amusait de la sorte à lui répondre ? Surtout pour dire ce genre d'énormité ? C'est donc uniquement sa poitrine qui l'avait ramené dans la pièce où elle se trouvait à présent en présence de la soigneuse ? ...Elle arqua un sourcil à la réponse de la jeune femme avant de soupirer longuement, très longuement, venant se lever de nouveau pour laisser Kila, entendre qu'un nouveau morceau de tissu était en train de se faire déchirer. En même temps, elle l'avait prévenue, à la limite elle accepté les gémissements, mais rien d'autre et la soigneuse semblait l'avoir oubliée, ou du moins semblait penser que le fait qu'elle lui ai posé une question, voulait dire qu'elle attendait forcément une réponse orale et non pas corporelle avec un frissons, un rougissement, ou simplement le fait que la jeune femme s'écarte à l'idée de ce qui pourrait se passer si un homme se trouvait dans son dos et non pas la voleuse.

S'approchant de la jeune femme encore allongée sur le lit, elle remonta sur celui-ci avant, de glissant une de ses cuisses entre les jambes de la jeune femme, collant sa cuisse à une chair qui ne s'attendait probablement pas à être frôlé de la sorte, et, avant qu'elle ne puisse dire quoi que ce soit, elle glissa la manche, entortillée, entre les lèvres et les dents de la demoiselle pour venir lui faire un bâillon qu'elle noua à l'arrière de la tête de la jeune femme, tout en se penchant à son oreille.

-Je t'avais prévenue...non ?

Puis alors, venant se redresser dans le dos de l'ex militaire, son regard vint parcourir son dos, ses courbes, et sa cuisse loger bien là où il fallait entre les jambes de la jeune femme avant de revenir poser les mains sur ses hanches pour venir les masser, enfonçant ses pouces dans le creux de ses reins pour venir les faire craquer, puis ses mains revinrent glisser plus bas, non pas sur les cuisses, mais les rondeurs charnues de l'élémentaire, enfonçant ses doigts dans la chair tendre de son postérieur pour venir masser ses muscles, bien en profondeur, tout, en rougissant un peu à la vue que ce massage offrait à ses yeux. Certes, elle savait que le massage allait lui offrir ce genre de vues, tout comme leurs tenues, mais, d'une certaine manière, se l'offrir à la vue en massant les muscles de la jeune femme, avait tendance à lui donner certaines bouffé de chaleur aussi.

S'attardant plus qu'il ne fallait sur cette partie charnue de l'anatomie de Kila et à cette "punition", la louve revint descendre, revenant s'"asseoir" à genoux, au-dessus des pieds de l'élémentaire, pour revenir alors lui faire écarter les jambes avant de venir masser ses cuisses et ses mollets, ses mains s'occupant des jambes de la femme, l'une après l'autre, en profondeur, ses pouces s'occupant au mieux d faire passer les nœuds qu'elle pouvait sentir et les tensions qu'elle pouvait ressentir apparaitre sous ses doigts.

Le massage du dos de la blonde n'était que la première étape et la louve le savait, mais est-ce que blonde s'en doutais ? Venant finir de masser les pieds de la jeune femme, elle se releva doucement avant de s'approcher tout en venant prendre les bras de la soigneuse pour les plaquer sur le montant du lit, alors qu'elle vint lui murmurer dans le creux des oreilles.

-Il est temps de faire la crêpe non ? Tourne toi et garde les mains bien hautes comme ca...ou je t'attache au lit

Encore une fois elle mettait des conditions à la femme afin qu'elle se tourne, venant rester au dessus d'elle, sur ses genoux afin qu'elle puisse se tourner à sa guise sur elle le souhaitait et aussi l'observer en train de faire, tout en préparant ce qu'elle comptait lui faire subir, et pour cela, elle avait de nombreuse idée en tête et la première était de faire jouer son imagination quand à la vue qu'elle est en train de manquer, et celle qu'elle manquerait durant le massage.

Message 44

Le massage s'était interrompu après ma réponse, encore une fois, j'étais à côté de la plaque. Elle s'était éloignée de moi. Sur le moment, j'avais pensé qu'elle allait m'abandonner. Le son du tissu qui se déchira ravira ma mémoire sur ce qui m'attendait et elle revint près de moi, collant sa jambe contre ma féminité. Ce geste me fit ouvrir les lèvres dans un soupir qui fut interrompu par le bâillon qui passa entre mes dents. Même si cela m'avait surprise au départ, je m'étais laissé faire, cela faisait partie du contrat et je ne l'avais pas respecté.

Elle s'était penchée sur moi pour me glisser quelques mots. Et comme seule réponse, elle eut le droit à un hochement de tête léger. Comme si j'avais enfin compris ce qu'impliquait le jeu, où que je n'avais plus le choix.

Ses mains reprirent leur manège, passant sur ma peau. Chaque nouveau geste de sa part qui me tirait un gémissement que je ne pouvais plus dissimuler. Mon visage était rouge en imaginant toujours ce que je lui offrais. Ne pensant plus à ce que j'étais ou ce que voulais montrer. Fini, l'officier distant, finit la Shekhikh de caractère. Même la pudeur n'existait plus face à cette femme. J'étais à sa merci, yeux bandés, bâillonnée complétement offerte à cette louve, alors que j'avais toujours refusé la moindre avance. Qu'avait-elle de si différent pour que cela se termine ainsi ? Ou tout simplement. C'était elle.

Mon corps se détendait comme jamais, découvrant un bien-être nouveau. Quoi qu'il se tendit juste un instant quand les doigts de la belle se posèrent sur ce qu'elle avait caressé pendant la soirée. Mon esprit commencé à essayer de l'imaginer, pendant qu'elle s'occuper de moi. Espérant à nouveau que ce soit plus qu'un jeu. Cela ne m'empêchait pas de profiter de chaque moment, chaque mouvement. Et j'espérais qu'elle aimait ce qu'elle voyait, touchait. Sa descente continuait le long de mes jambes. Et certains de ses gestes continuaient de me tirer des gémissements. Ses mains avaient exploré tout ce côté de mon corps.

Je pensais en avoir fini, que mon tour était passé et qu'elle me libérerait pour que puisse lui rendre la pareille. Mais au lieu de ça, elle remonta le long de mon corps, attrapant mes bras pour les étendre vers le haut. Mon corps fut parcouru d'un frisson à ses mots. J'avais hésité un instant, lui offrir mon corps entier, est ce que cela m'avait dérangé jus que là ? Lentement, mon corps avait pivoté, frôlant le sien avant de se reposer contre la couverture. Ma main droite avait voulu descendre, mais se stoppa. J'avais bougé la mâchoire pour essayer de bouger ce bâillon qui devenait désagréable. J'avais vite abandonné, avant de finir complètement sur le dos, lui offrant l'avant de mon corps, mon visage rouge que je cachais contre mon bras.

Je ne savais pas ce qu'elle comptait faire. Mais tout ce que je savais, c'est que je ratais le spectacle d'une femme magnifique. Mais est ce que j'aurais pu en profiter. Aurais-je pu la regarder, sur mon corps dans cette tenue ?

Je ne savais pas.

Tout ce que je savais, c'est que je regrettais d'avoir parlé, avec ce tissu, je ne pouvais plus lutter contre les soupirs qui s'échappaient d'entre mes lèvres. Pour finir, je ne savais pas sur ce que je devais essayer de me concentrer. Ce que je ratais où ce que j'allais recevoir de la part de cette femme qui m'avait surpris tout au long de cette soirée.

Le bâillon était un peu plus épais que ce qu'elle avait prévue, en même temps, une manche complète roulée, cela faisait gros, mais, cela empêchait aussi la soigneuse de camoufler ses gémissements qui jusque-là avaient tous étaient bloqués au fond de la gorge de la demoiselle. Elle avait parcouru l'intégralité du dos de son corps, de ses mains et de ses yeux, la louve ne s'était privée d'aucun détail du corps de la soigneuse allongée en face d'elle, de sa nuque, à son dos, la rondeur de ses fesses, le galbe de ses cuisses et de ses mollets, ses pieds, ou son entretient, la masseuse ne s'était privée d'aucune vue offerte par cet avantage, de maitriser le corps de la soigneuse sous elle, ni de cette chair de poule qu'elle pouvait ressentir sous ses doigts selon l'endroit où elles les passaient pour le massage.

Combien de temps elle avait massé l'arrière du corps de Kila ? Elle n'en savait rien, mais une chose était sûr, c'est qu'elle aurait été de reconnaitre le corps de la femme, même si l'on ne retrouvait qu'une partie de l'arrière de celui-ci, mais bon, elle espérait tout de même ne pas en arriver là.

Après avoir murmuré à l'oreille de la demoiselle pour lui demander de se tourner, elle ne s'attendait pas à ce que la jeune femme le fasse aussi vite, ou du moins, alors qu'elle était encore au-dessus d'elle. L'observant en train de se retourner alors qu'elle était encore à genoux au-dessus de la soigneuse, elle frissonna en ressentant ce corps frôler l'intérieur de ses cuisses et avant de l'observer sur le dos, de haut en bas, venant alors se pencher de nouveau sur la demoiselle, pour venir, détendre un peu le bâillon, mais sans pour autant le retirer, histoire que cela ne tire pas trop sur ses lèvres, mais surtout, que la salive n'humidifie pas le tissu et ne l'empêche pas de respirer. Elle profita de cet instant pour poser un baiser sur la lèvre inférieur de Kila, avant, de descendre ses lèvres sur sa gorge, son cou, puis sa gorge et enfin la blonde aveuglée pu sentir les lèvres de la louve retrouver une zone qu'elle avait déjà exploré durant leurs repas.

S'attaquant aux monts de chair de sa "prisonnière" Eni s'en occupa tout d'abord de ses lèvres, en de légère morsure, succion, sa langue vint rapidement faire son apparition pour faire plier les deux perles de chair rosée et surtout particulièrement tendue, pour s'amuser à les faire plier sous l'organe chaud, avant de les pincer entre ses crocs tirant juste ce qu'il fallait dessus pour une très légère douleur mais tout autant agréable, avant de les relacher.

Plongeant ses mains dans l'huile, elle laissa s'écouler un long filet de liquide gras sur les monts de la demoiselle, laissant celui-ci s'écouler le long de ses chairs, avant, de venir doucement caresser sa peau de ses mains, étalant tout d'abord l'huile pour rendre ce corps luisant, l'étalant sur la poitrine de la jeune femme, mais aussi le long de son cou, de ses épaules, mais aussi de ses bras qu'elle avait de relever au dessus de la tête. Avant de commencer le massage. Ses doigts s'enfoncant dans les épaules de la soigneuse qui semblait bien plus tendue que quand elle s'occupait de son dos, elle massa ses épaules, et son cou doucement, avant de redescendre les mains vers des rondeurs discrètes, mais présentes, de Kila qui semblait attendre cela au vue du gonflement de celle-ci et de cette respiration qui s'était accéléré.

-Hummm si tu es dans cet état quand je masse ta poitrine, qu'est ce que ca va être quand je serais à tes cuisses et à ton bassin

Oui, elle rappelait à la mémoire de la soigneuse, que le massage ne faisait que commencer, et que la partie du corps qui se trouvait sous les cuisses et le bassin de la louve était encore vierge d'huile, et que vue comme elle avait commencé le massage du haut de son corps, comment elle réagirait si elle commençait de la même manière, le massage du bas de ce corps, avec l'apparition de ses lèvres et de sa langue. Ou si elle allait attaquer directement de ses doigts.

Message 45

Si l'on m'avait dit que je finirais, sur ce lit, avec une autre femme. Je n'aurais pas cru un seul mot. Je ne cherchais pas ça. Mais cette femme était imprévisible, unique. Surtout la seule, à m'avoir manqué à ce point. En même, c'était une des premières à m'avoir aidée sur ce sujet qui m'avait tant bloqué. Je l'avais laissée passer ses mains sur tout le dos de mon corps. Appréciant chacun de ses gestes, retenant un maximum de mes gémissements, mon corps était moins timide, ne dissimulant pas ses réactions à la louve.

Et Enira m'annonça que c'était la fin de la première étape, qu'elle voulait que je me retourne pour la suite, pour passer à la deuxième étape. Cette voix qui me fit frissonner, de honte, d'envie. Pendant que je faisais tout ce qu'elle voulait. Et je gagnais petit à petit en confiance, même si je n'assumais pas encore tout à fait ce que nous étions en train de faire, ce que j'étais en train de ressentir.

Je m'étais retournée lentement, imaginant lui offrir une vue agréable. Sortant son bassin contre le mien, frissonnant à nouveau de cette chaleur. Elle s'était s'était penchée sur moi. Mon rythme cardiaque s'accélérait à ce peau à peau. Elle desserra mon bâillon, mais ne le retira pas. Et cette fois, j'ai cru que mon cœur allait exploser au contact de ses lèvres sur la mienne, j'avais cherché à en recevoir un peu plus, mais le frisson et la chair de poule suivit le chemin de ses lèvres sur ma peau. Je lâchais un soupir à chaque baiser qu'elle déposait sur ma peau. J'aimais chacune des attentions qu'elle me portait, mais la sensation de ses lèvres sur ma peau était exquise. La meilleure sensation que j'avais découverte.

Puis elle descendit encore et encore, longeant ma gorge, descendit pour rejoindre mes formes. Jouant de ses lèvres, de ses dents, de légers soupirs s'échappèrent aux baisers, des tressaillements à ses dents. Elle jouait avec mon corps que je lui offrais. Je mourrais d'envie de la voir, de l'admirer de jouer avec mon corps, de caresser sa peau. Mais quand elle s'attaqua à l'ornement de mes collines, mon buste se cambra légèrement pour s'offrir. Ses dents attrapèrent le bouton et ma tête se cala contre mon bras pour étouffer le son qui s'en était échappé. Je sentais mon visage brûlé, rouge d'excitation et de honte.

La louve se redressa lentement, le froid dressa la chair de poule sur ma poitrine, l'absence de sa chaleur se faisant déjà ressentir. Puis la fraîcheur de cette huile qui se déversa le long des courbes. J'avais émis un autre soupir à ce froid qui se propagea. Ses mains reprenaient le relais, reprenant le massage sur le haut de mon corps. Je savourais, mais n'arrivais pas à me défaire de ma gêne. Le fait de ne rien voir ne m'aide pas à me calmer, alimentant mon imagination sur l'image de son corps et de cette zone de contact, son bassin contre le mien.

La louve prenait soin de moi, prenant au sérieux ce massage, en plus que de jouer avec moi. Je reculais ma tête pour lui offrir tout mon cou avant qu'elle ne redescende encore sur mes monts. Mon corps ne dissimulait en rien tout ce qui le traversait.

Mais il se tendit à ses mots, mon esprit s'était figé. Sans m'en rendre compte, j'avais retenu ma respiration. Avant de se détendre sous l'action des mains de la belle, son massage arrivait à me détendre.

Même si l'idée qu'elle me masse le bassin, les jambes lui offre tous les détails de mon corps, est ce que cela lui suffirait ? Juste jouer avec moi sans vouloir plus ? Est-ce que je serais prête pour lui offrir ma première fois ? Ça, c'était moins sûr. Je repoussais ma nervosité en me concentrant sur ses mouvements. Mes mains se posèrent sur la tête de lit, attendant que la louve se décide sur la suite du programme, repoussant mon blocage dans un coin de mon esprit.

Je ne voulais pas gâcher ce moment à cause de mon imagination hyperactive. Je verrais jusqu'ou je pourrais aller pour elle, et peut-être que cela éclaircirais ce que je ressentais pour elle ?

Pouvait-on tomber amoureuse en se connaissant aussi peu ? Qu'était ce réellement tout ce que je ressentais pour la louve ?

Kila avait moins hésité que ce que la louve avait pu imaginer pour se tourner et passer sur le dos, d'une certaine manière, même si elle semblait avoir accepté de se faire voir nue par la voleuse, elle ne pensait pas qu'elle accepterait aussi facilement de se retourner pour montrer tout l'avant de son corps à la blonde qui était en train de la surplomber alors qu'elle même n'y voyait rien à cause de ce bandeau improvisé qu'elle avait lui appliquer sur les yeux.

Observant le corps de la soigneuse sous elle, elle avait entamé le massage par une dégustation, curieusement, même si le goût assez "particulier" de l'élémentaire, lui laissé un gout âpre en bouche du moins, quand il n'était pas accompagné d'hydromel, il n'en restait pas moins agréable, surtout d'entendre les sons émis par la demoiselle et sa réaction à tout les soins qu'elle pouvait lui apporter, comme le gonflement de cette poitrine qu'elle semblait offrir aux lèvres et aux crocs de son "assaillante."

Enira s'était redressée peu de temps après pour continuer le massage, ses mains venant envelopper la poitrine de la FMR pour venir la masser. Les rondeurs fermes et charnues de la jeune femme pliant et remplissant ses mains avec une certaine perfection, ni trop grosse, ni trop petite, sentir ses doigts s'enfoncer dans cette chair chaude était une sensation des plus agréable, ses pouces s'amusant, qui plus est, à faire plier les perles de chair qu'elle n'avait aucun de mal à sentir sous ses doigts. Massant tout de même les muscles de la jeune femme plus notamment ses pectoraux souvent douloureux à causes des vêtements que l'on pouvait porter, les comprimant, et y enfonçant des baleines souvent particulièrement douloureuses.

Avec une infinie lenteur, elle glissa ses mains sur le ventre de la jeune femme, quittant ses monts luisant pour venir masser ses côtes, ses abdos et ses muscles qu'elle pouvait sentir sous ses doigts, venant les dessiner, y enfoncer ses pouces, s'amuser un peu avec ce nombril, mais surtout, elle descendait ses mains autant sur la base du bassin de la soigneuse, que prêt du siens, toujours assise à califourchon au-dessus de la demoiselle. Ses doigts massant cette chair chaude, la couvrant du liquide gras rendant à la fois cette chair particulièrement glacée, que particulièrement chaude après le passage de ses mains, mais aussi luisante et brillante. Mais aussi, qui inexorablement, l'approchée d'une zone que la soigneuse devait en quelque sorte redouter, ou s'impatienter. Il était vraiment assez difficile, ce bâillon en bouche et ces yeux bandés, de savoir ce que la blonde aux cheveux courts, pouvait penser.

Se relevant une nouvelle fois, Enira observa ce corps qui était offert à ses mains, ses yeux, mais aussi ses lèvres, c'était après tout le "marché" qu'elles avaient, c'était ce qui était prévue pour la soirée. Comment elle allait donc en profiter ? Oh elle savait bien ce dont elle avait envie, et comment elle pouvait s'amuser à faire réchauffer les idées de sa "victime", que ce soit en lui faisant prendre des positions particulièrement explicite et exposantes, qu'en faisant jouer l'imagination de l'élémentaire qui ne pouvait rien y voir.

Mais pour le moment, debout à côté du lit, elle observait la jeune femme, tout en venant prendre la bouteille d'hydromel, venant en boire une gorgée directement au goulot, avant de s'approcher doucement de la jeune femme, se mettant à genoux à côté d'elle, venant doucement, lui faire prendre une position qui ne permettait plus, à la jeune femme, de cacher quoi que ce soit. Venant tirer le bouchon de la bouteille d'hydromel, elle vint faire couler le nectar ambré, sur le bassin de la FMR, laissant celui-ci s'écouler le long de sa pilosité, des sillons naturels laissé par sa chair et cette position de grenouille et cette peau lisse naturelle, venant se perdre sur les draps, mais aussi le long des cuisses de la soigneuse. Laissant alors l'alcool léger, faire réchauffer légèrement Kila sans pour autant la brûler, mais surtout, laissant cette odeur sucrée monter dans les airs, et lui laissé cette sensation, coller à sa peau.

Oh elle voyait bien le corps de Kila trembler, ces muscles se contracter aussi bien pour résister à l'envie de refermer les jambes, de s'enfuir en courant, que de savoir ce qu'il allait se passer ou non, de sa le vue plaisait à son regard, de si elle comptait s'abreuver "partout" ou si elle ne faisait que regarder le nectare s'écouler et l'effet que cela pouvait avoir sur le corps et la féminité de la soigneuse, de si elle préparer autre chose en restant là à l'observait. Les idées devaient se bousculer dans l'esprit de la jeune femme qui ne voyait rien de ce qu'elle préparer, de ce qu'elle faisait et surtout le temps que cela prenait.

Mais, elle ne la fit languir qu'un instant, un long instant, mais un instant, venant glisser au dessus d'une des jambes de la blonde, la bloquant sous son corps, glissant ses bras sous la seconde, pour la relever sur une de ses épaules, Kila pour sentir la louve remonter, tout en lui faisant remonter la cuisse aussi, pour se retrouver fort proche de son bassin, son souffle chaud venant caresser ses chairs. Avant....Qu'elle se ferme d'un coup, ses lèvres sur l'intérieur de la cuisse de la soigneuse, dans une morsure presque douloureuse, mais surtout un suçon, qui laisserait assurément une marque ancré dans la chair de Kila et qui resterait présente dans cette chair charnue, au goût sucré et miel mélangé à la sueur de la soigneuse. Ses mains, glissant sur le ventre de la jeune femme, mais aussi maintenant cette cuisses, afin qu'elle se s'échappe pas, de cette dégustation marquante.