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Citoyen du monde
Rage
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crédits : 64
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Au nom de l'Empereur.
Feat Vildrengr
Des rondes et des rondes et encore des rondes. Une journée banale bercée dans la lassitude, à force, on connait tous les petits recoins du palais royal, ses imperfections, la peinture qui commence à sécher à en révéler la pierre par delà la couleur. Par habitude Rage s’occupait de ces petits problèmes de nature infrastructure, quitte à devoir passer ses journées au sein d’une grande demeure, avoir des talents de peintre ou des capacités d’entretien du château était un plus et à ses dépends Rage avait apprit à l’abri des regards à maintenir la splendeur de la maison du couple royal. L’impartial avait bien des occupations à maintenir pour le bien de son mental, l’entraînement avait bien une grande place dans le cœur du gardien surtout depuis sa rencontre avec la Tovyr Leezen qui lui avait pointé du doigt indirectement des défauts au sein de la garde royale. Alors si Rage ne s’adonnait pas à des renforcements physiques, il développait d'autres centres d'intérêt relativement singulier connaissant le tempérament magmatique du Drakyn.
Déambulant dans les longs couloirs dorée du palais d’Ikusa, l’enfant de dragon vaquant à ses occupations fut interpellé par un soldat de la milice locale, son équipement très léger ainsi que son armure aussi ridicule que sa prestance physique ne mentait pas sur son rôle mais la curiosité était la raison de ce dérangement ? Si en temps normal Rage n’aurait même pas arrêté sa route, cette fois-ci le bonhomme s’accorda à écouter le subalterne pour sa requête ridicule.
“L’empereur…”
L’empereur ?! Déglutissant aussitôt à l’écoute du titre de sa majesté, pourquoi un insignifiant comme lui avait des nouvelles venant directement de Tensai ? À son habitude, si la surprise est présente dans l’esprit du Drakyn immaculé, son visage reste de marbre répondant uniquement à l’aide d’un hochement de tête pour écouter la suite.
“...À une missive pour vous, tenez garde royal.”
Alors que le soldat tend une lettre retenue par le sceau correspondant bien à Tensai Ryssen, Rage remercie donc la venu de l’inconnu pour s’isoler dans une pièce plus au calme du palais royal pour découvrir le contenu de la missive. Aussitôt fait de sa griffe ébène, le gardien ôte le sceau pour découvrir ce qu’attendait l’homme d’Ayshara à son garde. Intrigué par la demande, le militaire dévore l’intégralité du texte présent sur la lettre, la demande était… Particulière ? Au bout de quelques dizaines de secondes, le bonhomme avait saisi la demande de son Empereur.
Un voyage l’attendait et pour ce genre de mission, Rage devait se faire accompagner par un expert en la matière, quelqu’un qui s’y connait mieux que lui de toute évidence alors à son tour, rejoignant sa suite privée, le gardien rédigea une missive pour une personne bien réputée au sein du royaume.
“Mes respects sorcière du nord, vous êtes conviés au palais royal le plus tôt possible sous ordre de la garde royale, vos connaissances sont requises sous ordre du Reike.”
Simple et précis à l’image de Rage, une fois les mots inscrits sur le papier, ce dernier sera scellé à l’aide d’un sceau cette fois-ci représentant la garde royale et accroché à la patte d’un pigeon voyageur domestiqué dans le but de rejoindre le nord du Reike.
À vol d’oiseau, le message ne devait prendre seulement quelques heures à atteindre la fameuse magicienne néanmoins Rage pouvait bel et bien attendre quelques jours dans l’attente de voir cette Vildrengr pointer le bout de son nez au palais, de surcroît elle semblait avoir un certain rôle au palais autrefois, il y a de cela quelques années avant la prise de poste du Drakyn aux écailles blanches. Son rôle reste néanmoins flou puisque la rébellion Ryssen avait vu les anciennes milices et garde royale se faire éradiquer pour une toute nouvelle armée alors, connaître qui était vraiment la sorcière n’était pas aisée.
Les jours passent et les mots circulent au sein du palais annonçant l’arrivée à l’entrée du château une sorcière à la peau bleutée et aux bras multiples confirmant bien la présence de celle que Rage attendait. Sans perdre une seconde de plus, le gardien d’Ayshara quitte la demeure du couple pour rejoindre la liche à l’extérieur.
Une chance que le soleil s’était endormi pour laisser place à la lueur argentée de la lune, la température ambiante était froide, si ça n’était pas un problème pour une mort-vivante, ça ne l’était pas pour un reptile humanoïde. Naturellement le grand gaillard se présenta à la magicienne.
Sorcière Vildrengr. Je suis Rage l’émissaire qui vous a convoqué ici. Merci d’être venu le plus rapidement possible, sous ordre de l’Empereur nous avons besoin de trouver des ingrédients à la confection d’une potion se voulant prodiguer l’immortalité.
Je compte sur vos connaissances pour nous guider et trouver des pistes adéquates pour satisfaire Sire Ryssen.
Voilà qui annonçait la couleur pour l’interlocutrice du gardien du palais, si elle connaissait la raison de sa présence, désormais c’était à elle de devoir utiliser ses connaissances millénaires pour aider Rage dans sa quête.
CENDRES
Déambulant dans les longs couloirs dorée du palais d’Ikusa, l’enfant de dragon vaquant à ses occupations fut interpellé par un soldat de la milice locale, son équipement très léger ainsi que son armure aussi ridicule que sa prestance physique ne mentait pas sur son rôle mais la curiosité était la raison de ce dérangement ? Si en temps normal Rage n’aurait même pas arrêté sa route, cette fois-ci le bonhomme s’accorda à écouter le subalterne pour sa requête ridicule.
“L’empereur…”
L’empereur ?! Déglutissant aussitôt à l’écoute du titre de sa majesté, pourquoi un insignifiant comme lui avait des nouvelles venant directement de Tensai ? À son habitude, si la surprise est présente dans l’esprit du Drakyn immaculé, son visage reste de marbre répondant uniquement à l’aide d’un hochement de tête pour écouter la suite.
“...À une missive pour vous, tenez garde royal.”
Alors que le soldat tend une lettre retenue par le sceau correspondant bien à Tensai Ryssen, Rage remercie donc la venu de l’inconnu pour s’isoler dans une pièce plus au calme du palais royal pour découvrir le contenu de la missive. Aussitôt fait de sa griffe ébène, le gardien ôte le sceau pour découvrir ce qu’attendait l’homme d’Ayshara à son garde. Intrigué par la demande, le militaire dévore l’intégralité du texte présent sur la lettre, la demande était… Particulière ? Au bout de quelques dizaines de secondes, le bonhomme avait saisi la demande de son Empereur.
Un voyage l’attendait et pour ce genre de mission, Rage devait se faire accompagner par un expert en la matière, quelqu’un qui s’y connait mieux que lui de toute évidence alors à son tour, rejoignant sa suite privée, le gardien rédigea une missive pour une personne bien réputée au sein du royaume.
“Mes respects sorcière du nord, vous êtes conviés au palais royal le plus tôt possible sous ordre de la garde royale, vos connaissances sont requises sous ordre du Reike.”
Simple et précis à l’image de Rage, une fois les mots inscrits sur le papier, ce dernier sera scellé à l’aide d’un sceau cette fois-ci représentant la garde royale et accroché à la patte d’un pigeon voyageur domestiqué dans le but de rejoindre le nord du Reike.
À vol d’oiseau, le message ne devait prendre seulement quelques heures à atteindre la fameuse magicienne néanmoins Rage pouvait bel et bien attendre quelques jours dans l’attente de voir cette Vildrengr pointer le bout de son nez au palais, de surcroît elle semblait avoir un certain rôle au palais autrefois, il y a de cela quelques années avant la prise de poste du Drakyn aux écailles blanches. Son rôle reste néanmoins flou puisque la rébellion Ryssen avait vu les anciennes milices et garde royale se faire éradiquer pour une toute nouvelle armée alors, connaître qui était vraiment la sorcière n’était pas aisée.
Les jours passent et les mots circulent au sein du palais annonçant l’arrivée à l’entrée du château une sorcière à la peau bleutée et aux bras multiples confirmant bien la présence de celle que Rage attendait. Sans perdre une seconde de plus, le gardien d’Ayshara quitte la demeure du couple pour rejoindre la liche à l’extérieur.
Une chance que le soleil s’était endormi pour laisser place à la lueur argentée de la lune, la température ambiante était froide, si ça n’était pas un problème pour une mort-vivante, ça ne l’était pas pour un reptile humanoïde. Naturellement le grand gaillard se présenta à la magicienne.
Sorcière Vildrengr. Je suis Rage l’émissaire qui vous a convoqué ici. Merci d’être venu le plus rapidement possible, sous ordre de l’Empereur nous avons besoin de trouver des ingrédients à la confection d’une potion se voulant prodiguer l’immortalité.
Je compte sur vos connaissances pour nous guider et trouver des pistes adéquates pour satisfaire Sire Ryssen.
Voilà qui annonçait la couleur pour l’interlocutrice du gardien du palais, si elle connaissait la raison de sa présence, désormais c’était à elle de devoir utiliser ses connaissances millénaires pour aider Rage dans sa quête.
CENDRES
Nameless
Le temps est la plus grande des douleurs, bien plus que l'humiliation que j'ai subis, je suis terrifié à l'idée d’avoir oublié mon nom
Noble du Reike
Vildrengr
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Info personnage
Race: Mort-Vivant Liche
Vocation: Mage noire
Alignement: Chaotique Neutre
Rang: B
Garde Royal
Rage
Sorcière
Vildrengr
「 Au Nom de l'Empereur 」
Les jours passent ici, à Melorn, aussi vite que les nuages dans le ciel lors d’un temps venteux. Jouer sur plusieurs tableaux, avoir autant de visages, avaient l’avantage de combler les journées d’une liche plus que centenaires. Elle n’avait pas d’immenses intérêts pour certaines causes et pourtant grâce à ses petites magouilles, elle participait à de multiples combats ici bas. La lutte contre les Titans, la prise de pouvoir de la Pègre, et autres affaires lui arrivant aux oreilles, l’ancienne nourrice était au cœur de tellement d’histoires qu’elle se lassait même de leurs existences. Toutes ces causes ne lui apportaient qu’une simple occupation sans réel plaisir. Après tout, il n’y avait qu’une chose faisant encore vibrer le moindre pire de sa peau avec passion: Le Savoir.
Pourtant, un beau matin, un pigeon viendra trouver le repos auprès du pigeonnier d’un manoir au sein de Melorn: Une lettre qu’on apportera avec empressement, dû à la valeur de son sceau, à la Sorcière vivant presque trop souvent enfermée dans sa tour.
« Mademoiselle, une lettre pour vous. » lui annonce alors le domestique de la demeure, un homme de grande taille au visage garni d’une magnifique moustache blanche, soigneusement brossée et couvert d’une fine couche de graisse. Glissant la lettre sous la porte, l’homme s’éclipse ensuite pour vaquer à ses occupations.
Le silence règne de longues minutes, avant que finalement, deux pieds, de petites tailles, quittent les draps blancs d’un lit pour se déposer contre la pierre froide du sol. La finesse de ses chevilles étaient telles qu’on aurait pu croire que la moindre bousculade pourrait briser la jeune femme, frêle comme les branches d’un rosier naissant. D’un pas lent, digne d’un spectre, la liche contorsionne ses quatre bras dans des axes inhumains, étirant son dos. Des os se déplacent, venant abattre dans la pièce un bruit sourd et dérangeant. Attrapant entre ses doigts délicats la lettre, elle viendra caresser de son pouce le cachet de cire rouge imprégné de la marque des Gardes Royaux. Un fin rictus viendra éclore au coin de ses lèvres lorsqu’elle en découvrira le contenue, tandis que de ses mains libre, elle viendra recouvrir ses épaules d’un épais tissu blanc, venant couvrir la marque du dragon reikois.
« Mes connaissances, hm ..? Ce n’est pas une demande venant d’elle, sans aucun doute. Alors … Lui ? Amusant. »
Elle s’interroge, se questionne, théorise. Vildrengr s’occupe de couvrir son corps et de se préparer à un long voyage, toujours en décortiquant du coin de l’œil cette lettre. Ses réponses ne viendront malheureusement pas en restant en Melorn. Après avoir prévenu les médecins présent dans ce secteur ainsi que son hôte, de son absence à venir, elle prendra la route vers la capitale Reikoise.
Croisant ses quatre mains devant elle, ses iris d’un bleu aussi éclatant que les rayons de la lune se déposent sur le château demeurant en maître sur le capitale. Longtemps, elle y avait travaillé, au point d’en connaître tout les passages, jusqu’à même l’habitude des anciens gardes. Mais à présent, depuis la conquête de Tensai, ce château lui est presque inconnue. Une pensée la traverse, venant empoigner son cœur inerte d’une sensation désagréable. C’est finalement lorsque le garde royal fera son entrée que la sorcière tournera le regard dans sa direction. En premier temps, seul le silence régnera tandis qu’elle détaillera d’un œil objectif les écailles immaculés du reptile. L’écho de son âme, s’échappant quelque peu de son enveloppe charnelle sous l’éclat de la lune, fera de même.
« Et l’Empereur compte t’il payer mes services ? »
Ose t’elle demander, le son de sa voix se faisant clair et délicat. Ses cheveux d’un bleu semblable à la nuit se soulèvent au gré d’un brise tandis qu’une sinistre ambiance viendra naître devant le châtelet, sûrement dû à la clarté de sa voix couverte d’aucune émotion, seulement de l’objectivité.
« Ah, qu’importe. Cela me divertira. » marmonne t’elle finalement, venant laisser s’échapper un soupire d’entres ses lèvres.
« Dit moi. »
Le regard de la liche se focalise enfin dans le regard sanglant de l’arme vivante, détaillant son éclat avec attention.
Un sourire se dessine discrètement, à la commissure de ses lèvres..
Pourtant, un beau matin, un pigeon viendra trouver le repos auprès du pigeonnier d’un manoir au sein de Melorn: Une lettre qu’on apportera avec empressement, dû à la valeur de son sceau, à la Sorcière vivant presque trop souvent enfermée dans sa tour.
« Mademoiselle, une lettre pour vous. » lui annonce alors le domestique de la demeure, un homme de grande taille au visage garni d’une magnifique moustache blanche, soigneusement brossée et couvert d’une fine couche de graisse. Glissant la lettre sous la porte, l’homme s’éclipse ensuite pour vaquer à ses occupations.
…
Le silence règne de longues minutes, avant que finalement, deux pieds, de petites tailles, quittent les draps blancs d’un lit pour se déposer contre la pierre froide du sol. La finesse de ses chevilles étaient telles qu’on aurait pu croire que la moindre bousculade pourrait briser la jeune femme, frêle comme les branches d’un rosier naissant. D’un pas lent, digne d’un spectre, la liche contorsionne ses quatre bras dans des axes inhumains, étirant son dos. Des os se déplacent, venant abattre dans la pièce un bruit sourd et dérangeant. Attrapant entre ses doigts délicats la lettre, elle viendra caresser de son pouce le cachet de cire rouge imprégné de la marque des Gardes Royaux. Un fin rictus viendra éclore au coin de ses lèvres lorsqu’elle en découvrira le contenue, tandis que de ses mains libre, elle viendra recouvrir ses épaules d’un épais tissu blanc, venant couvrir la marque du dragon reikois.
« Mes connaissances, hm ..? Ce n’est pas une demande venant d’elle, sans aucun doute. Alors … Lui ? Amusant. »
Elle s’interroge, se questionne, théorise. Vildrengr s’occupe de couvrir son corps et de se préparer à un long voyage, toujours en décortiquant du coin de l’œil cette lettre. Ses réponses ne viendront malheureusement pas en restant en Melorn. Après avoir prévenu les médecins présent dans ce secteur ainsi que son hôte, de son absence à venir, elle prendra la route vers la capitale Reikoise.
…
Quelque jours plus tard.
Croisant ses quatre mains devant elle, ses iris d’un bleu aussi éclatant que les rayons de la lune se déposent sur le château demeurant en maître sur le capitale. Longtemps, elle y avait travaillé, au point d’en connaître tout les passages, jusqu’à même l’habitude des anciens gardes. Mais à présent, depuis la conquête de Tensai, ce château lui est presque inconnue. Une pensée la traverse, venant empoigner son cœur inerte d’une sensation désagréable. C’est finalement lorsque le garde royal fera son entrée que la sorcière tournera le regard dans sa direction. En premier temps, seul le silence régnera tandis qu’elle détaillera d’un œil objectif les écailles immaculés du reptile. L’écho de son âme, s’échappant quelque peu de son enveloppe charnelle sous l’éclat de la lune, fera de même.
« Et l’Empereur compte t’il payer mes services ? »
Ose t’elle demander, le son de sa voix se faisant clair et délicat. Ses cheveux d’un bleu semblable à la nuit se soulèvent au gré d’un brise tandis qu’une sinistre ambiance viendra naître devant le châtelet, sûrement dû à la clarté de sa voix couverte d’aucune émotion, seulement de l’objectivité.
« Ah, qu’importe. Cela me divertira. » marmonne t’elle finalement, venant laisser s’échapper un soupire d’entres ses lèvres.
« Dit moi. »
Le regard de la liche se focalise enfin dans le regard sanglant de l’arme vivante, détaillant son éclat avec attention.
« Combien de temps peux tu tenir sans sommeil ni ton estomac sustentait ? »
Un sourire se dessine discrètement, à la commissure de ses lèvres..
La Sorcière du Nord・・・・・☽
Plus la vie tentait de fuir son destin, plus elle s'enlisait dans son malheur....
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Citoyen du monde
Rage
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Au nom de l'Empereur.
Feat Vildrengr
À l’image des rumeurs qui circulaient autour de la nourrice de l'Impératrice, sa présence apportait une dimension presque intimidante à cette discussion, le regard sévère du garde royal ne cesse d’analyser dans les moindres recoins Vildrengr, si les visages de la capitale lui était familier, celle d’une inconnue qui plus est, une liche l’intrigue. Cette peau cyanosé au motif cadavérique était drôlement bien entretenu, était-ce l'œuvre de la sorcière pour se conserver ? Même si de nombreux mythes arpentaient le Sekai, voir une mort-vivante était une expérience unique et inoubliable, la venue de la sorcière du nord avait apporté avec elle, une ambiance mortifère qui refroidit cette rencontre.
L’impartial jugea attentivement les demandes de la femme décédée, un sourire en coin se dessine sur sa gueule lorsqu’elle demanda rénumération sur son travail, elle était totalement en droit de le demander, vu que c’était l’oeuvre du royaume de Reike, c’est pas Rage qui allait débourser une pièce pour son interlocutrice. Lui aussi était d’une certaine manière employé pour réaliser cette aventure mais le Drakyn répondit à la demande de sa compagne d’aventure.
Si vous voulez une récompense, apporter des résultats qui sauront satisfaire l’Empereur.
Répondit le soldat d'une voix gutturale et profonde, pas plus compliqué que cela, le Reike fonctionnait à la méritocratie dans la plupart de sa hiérarchie, si vous souhaitez devenir quelqu’un, il faut en surprendre plus d’un c’est de cette façon que le gardien du couple impérial su se démarquer pour atteindre l’uns des grades les plus valeureux du royaume mais s’il ne doutait pas de ses capacités et des connaissances de Vildrengr, les ressources du voyage n’en n’avait pas la même saveur. Toujours armé de sa Dent de dragon qui se révèle être une grande claymore en verre-dragon avec une flammèche immuable à l'intérieur de celle-ci, l’équipement du dragon ne faisait aucun doute, rare était les dangers réels pour les deux aventuriers au nom du roi.
Alors, à la nouvelle question de la liche, son interlocuteur lança le pas mais vers où ? Une auberge à proximité de la grande porte d’Ikusa, relativement silencieux, c’est uniquement au bout de quelques minutes de marche que le grand reptile daignera répondre à la sorcière du nord.
Je n’ai pas vos capacités de survie, sorcière. Si j’ai appris à couper par le passé le fait de me nourrir sur plusieurs semaines, j’ai tout de même besoin de sommeil et d’eau. C’est pour cela que nous allons faire une halte en premier temps chez un marchand, je ne vous demande pas s’il vous faut quelque-chose, j’imagine que vous avez oublié le goût du pain ou des perles d’eau.
Le temps que le militaire s’accorde à discuter avec la magicienne obscure, les deux membres du Reike avaient pénétré l’enceinte d’une auberge, encore ouverte. L’ambiance à l’intérieur de celle-ci était festive, des ivrognes étaient déjà bourré, au vu des nombreuses bouteilles présente sur les tables, hydromel et bière était de la partie, des serveuses un peu trop insistante avec leur corps cherchait à tirer le maximum de sous chez les clients et sans vraiment s’attarder sur les détails inutiles, Rage s’approche de la personne derrière le comptoir.
Il me faut deux grandes gourdes d’eau avec trois morceaux de bœuf séchés.
La réputation du garde royal le fit jouir de quelques avantages très utiles, comme la réduction conséquente de ses achats dans la plupart des marchés se tenant à Ikusa, alors le coût de ces bricoles fut ridicule et suite à son achat, l’homme plongea ses ressources dans sa besogne puis quitta la taverne pour se mettre en marche jusqu’à la sortie de la capitale.
Si l’accès ou la sortie de la capitale était très souvent réguler par la douane de la ville, un des autres avantages de Rage lui permet de voyager sur les terres du Reike sans laisser-passer ou document officiel, de par ce biais lui et l’ancienne nourrice d’Ayshara quitta la capitale pour commencer un périple plus ou moins long dépendant des connaissances de la sorcière et de la difficulté qui allait se présenter à eux.
L’extérieur d’Ikusa provoque un réel contraste avec la capitale, si cette dernière était bien lotie en infrastructure en tout genre, les environs de la grande ville n’était que des dunes de sable avec quelques routes dessiné sur le sol pour les voyages commerciaux donc c’est ce qui attendait les deux aventuriers, une longue route parsemé par le sable et les tempêtes heureusement que Rage avait calculé en amont son coup de commencer cette aventure de nuit là où les tempêtes dorment et que la dune est froide.
D’une certaine manière, nous avons de la chance. Le désert ne permet pas au développement de ressources rares qui pourraient nous mettre sur la piste des éléments qui serviront à la concoction d’une potion d’immortalité, avez vous des connaissances botanique, sorcière ? Dirigeons nous vers les montages du royaume, ça me semble être une bonne idée c’est le seul endroit où la verdure persiste.
CENDRES
L’impartial jugea attentivement les demandes de la femme décédée, un sourire en coin se dessine sur sa gueule lorsqu’elle demanda rénumération sur son travail, elle était totalement en droit de le demander, vu que c’était l’oeuvre du royaume de Reike, c’est pas Rage qui allait débourser une pièce pour son interlocutrice. Lui aussi était d’une certaine manière employé pour réaliser cette aventure mais le Drakyn répondit à la demande de sa compagne d’aventure.
Si vous voulez une récompense, apporter des résultats qui sauront satisfaire l’Empereur.
Répondit le soldat d'une voix gutturale et profonde, pas plus compliqué que cela, le Reike fonctionnait à la méritocratie dans la plupart de sa hiérarchie, si vous souhaitez devenir quelqu’un, il faut en surprendre plus d’un c’est de cette façon que le gardien du couple impérial su se démarquer pour atteindre l’uns des grades les plus valeureux du royaume mais s’il ne doutait pas de ses capacités et des connaissances de Vildrengr, les ressources du voyage n’en n’avait pas la même saveur. Toujours armé de sa Dent de dragon qui se révèle être une grande claymore en verre-dragon avec une flammèche immuable à l'intérieur de celle-ci, l’équipement du dragon ne faisait aucun doute, rare était les dangers réels pour les deux aventuriers au nom du roi.
Alors, à la nouvelle question de la liche, son interlocuteur lança le pas mais vers où ? Une auberge à proximité de la grande porte d’Ikusa, relativement silencieux, c’est uniquement au bout de quelques minutes de marche que le grand reptile daignera répondre à la sorcière du nord.
Je n’ai pas vos capacités de survie, sorcière. Si j’ai appris à couper par le passé le fait de me nourrir sur plusieurs semaines, j’ai tout de même besoin de sommeil et d’eau. C’est pour cela que nous allons faire une halte en premier temps chez un marchand, je ne vous demande pas s’il vous faut quelque-chose, j’imagine que vous avez oublié le goût du pain ou des perles d’eau.
Le temps que le militaire s’accorde à discuter avec la magicienne obscure, les deux membres du Reike avaient pénétré l’enceinte d’une auberge, encore ouverte. L’ambiance à l’intérieur de celle-ci était festive, des ivrognes étaient déjà bourré, au vu des nombreuses bouteilles présente sur les tables, hydromel et bière était de la partie, des serveuses un peu trop insistante avec leur corps cherchait à tirer le maximum de sous chez les clients et sans vraiment s’attarder sur les détails inutiles, Rage s’approche de la personne derrière le comptoir.
Il me faut deux grandes gourdes d’eau avec trois morceaux de bœuf séchés.
La réputation du garde royal le fit jouir de quelques avantages très utiles, comme la réduction conséquente de ses achats dans la plupart des marchés se tenant à Ikusa, alors le coût de ces bricoles fut ridicule et suite à son achat, l’homme plongea ses ressources dans sa besogne puis quitta la taverne pour se mettre en marche jusqu’à la sortie de la capitale.
Si l’accès ou la sortie de la capitale était très souvent réguler par la douane de la ville, un des autres avantages de Rage lui permet de voyager sur les terres du Reike sans laisser-passer ou document officiel, de par ce biais lui et l’ancienne nourrice d’Ayshara quitta la capitale pour commencer un périple plus ou moins long dépendant des connaissances de la sorcière et de la difficulté qui allait se présenter à eux.
L’extérieur d’Ikusa provoque un réel contraste avec la capitale, si cette dernière était bien lotie en infrastructure en tout genre, les environs de la grande ville n’était que des dunes de sable avec quelques routes dessiné sur le sol pour les voyages commerciaux donc c’est ce qui attendait les deux aventuriers, une longue route parsemé par le sable et les tempêtes heureusement que Rage avait calculé en amont son coup de commencer cette aventure de nuit là où les tempêtes dorment et que la dune est froide.
D’une certaine manière, nous avons de la chance. Le désert ne permet pas au développement de ressources rares qui pourraient nous mettre sur la piste des éléments qui serviront à la concoction d’une potion d’immortalité, avez vous des connaissances botanique, sorcière ? Dirigeons nous vers les montages du royaume, ça me semble être une bonne idée c’est le seul endroit où la verdure persiste.
CENDRES
Nameless
Le temps est la plus grande des douleurs, bien plus que l'humiliation que j'ai subis, je suis terrifié à l'idée d’avoir oublié mon nom
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