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C'est l'odeur de la viande grillée et du porridge qui tire Eliendir du sommeil. Sur la table, il y a de quoi prendre un petit déjeuner copieux pour une armée, parsemé de quelques feuilles d'ifs vagabondes. Non, ce n'est pas de la première hygiène direz vous, mais la jeune fille ne contrôle pas ses chutes de feuilles, en laissant un peu partout comme un arbre en fin d'automne. C'est avec une jovialité forcée qu'elle réveille le dormeur. Sur son visage parait encore les traces de la nuit, mais le regard vert étrange est alerte et vif
Bonjour, j'ai envoyé le corbeau à l'aube et j'ai préparé le casse-dalle pour nous et ceux qui vont arriver plus tard pour... papa... On devrait partir avant qu'ils n'arrivent par contre, sinon ils vont vouloir prendre le relais et me cantonner au rôle de cruche de service. En plus, je n'ai pas envie de voir leur gueules.
Non, parce qu'ils auraient dû être deux dans la cabane de Jérôme. Jérome qui aurait dû être vivant. S'activant dans tout les sens avec un désordonnement apparent à l'efficacité quand même exemplaire, elle a tout d'une pile.
En fait elle a peur que si elle s'arrête elle ne finisse par s'écrouler totalement. La mission, penser à la mission et rendre son père fier.
J'ai aussi regardé l'animalier de la réserve et effectivement elle est inconnue. Et je t'ai préparé un arc et des flèches. Ca te dérange si je ne te fais pas faire le tour touristique? J'ai trouvé une carte annotée de Jérôme. Il y a des inscriptions dessus que je ne comprend pas. Elle est sur la table, installe toi, je te sers le thé
Bonjour, j'ai envoyé le corbeau à l'aube et j'ai préparé le casse-dalle pour nous et ceux qui vont arriver plus tard pour... papa... On devrait partir avant qu'ils n'arrivent par contre, sinon ils vont vouloir prendre le relais et me cantonner au rôle de cruche de service. En plus, je n'ai pas envie de voir leur gueules.
Non, parce qu'ils auraient dû être deux dans la cabane de Jérôme. Jérome qui aurait dû être vivant. S'activant dans tout les sens avec un désordonnement apparent à l'efficacité quand même exemplaire, elle a tout d'une pile.
En fait elle a peur que si elle s'arrête elle ne finisse par s'écrouler totalement. La mission, penser à la mission et rendre son père fier.
J'ai aussi regardé l'animalier de la réserve et effectivement elle est inconnue. Et je t'ai préparé un arc et des flèches. Ca te dérange si je ne te fais pas faire le tour touristique? J'ai trouvé une carte annotée de Jérôme. Il y a des inscriptions dessus que je ne comprend pas. Elle est sur la table, installe toi, je te sers le thé
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Symphonie de la Nature
Feat Idunn
Eliëndir s'extirpe de ses songes, avec un petit mal de dos puisqu'il était très mal installé sur son canapé au milieu d'une pièce en désordre. La douce odeur d'un repas fait avec amour vient caresser ses deux narines. Eliëndir a veillé cette nuit et il a dormi plus que nécessaire en réalité. Bien trop, puisqu'Idunn est debout avant lui et qu'elle a même eu le temps de préparer à manger. L'Elfe se redresse calmement pour s'asseoir sur le bord en cherchant l'origine de cette bonne odeur.
« Bonjour Idunn. Excuse-moi d'avoir dormi aussi longtemps, j'aurais dû t'aider ce matin. »
Il acquiesce de la tête en s'étirant et se remettant sur ses deux jambes. Ils vont donc devoir partir avant l'arrivée des autres gardes forestiers, alors il ne faut pas trop traîner dans le coin sous peine de voir l'enquête sérieusement ralentie. S'il y avait encore un doute avec la mort de Jérôme qui aurait pu être "accidentelle", la mort de Placidu et la présence d'une Stryge ne peut qu'amplifier la panique ambiante au sein de la Réserve. La République va devoir prendre cette affaire très au sérieux à partir de maintenant mais Eliëndir n'a aucune intention de rebrousser chemin. Rien que par égo, il veut découvrir ce qui se passe réellement ici.
Il s'approche de la table à manger en tirant une chaise, posant ses yeux sur la jeune femme qui n'arrête pas de passer d'un coin à l'autre de la pièce. Il décide finalement de s'installer en attendant qu'elle le rejoigne pour manger quelque chose. Il secoue la tête avant de répondre.
« Aucun problème, ne t'en fais pas. Ça a l'air délicieux, merci Idunn. Mange avec moi. »
Dit-il en posant la main sur la carte en question qu'il déplie face à lui pour jeter un coup d'œil aux mystérieuses inscriptions. Les sourcils légèrement froncés, il y trouve plutôt des symboles comme un langage crypté ou plutôt des annotations propres à Jérôme qu'il devait utiliser pour pouvoir se repérer plus facilement sur le terrain qu'il contrôle. En réalité, c'est plus un gribouillage qu'une vraie carte d'orientation à ce niveau, l'Elfe doit repasser dessus plusieurs fois pour essayer de déchiffrer le tout. Des traits à l'encre sans grands intérêts. Quelques croix noires, peut-être des postes d'observations. Une petite pyramide rouge qui semble désignée la cabane où ils se trouvent actuellement. Plus troublant, certaines zones bien précises sont marqués d'un point d'interrogation jaune. Difficile de savoir ce qu'ils signifient sans demander au principal concerné et celui-ci n'est plus vraiment disposé à leur répondre. En y regardant de plus près, il y a un point d'exclamation qui se superpose à l'un des points d'interrogation comme si Jérôme y avait découvert quelque chose.
La zone en question est à deux ou trois heures d'ici en avançant correctement et elle longe le bord de mer où se trouve une grande falaise sur laquelle viennent s'écraser les vagues à toute heure de la journée. En fait, la carte semble indiquer l'entrée d'une grotte située sur la plage, près de l'eau. Ou peut-être... sous l'eau ?
« Hm. Je ne suis pas sûr de tout comprendre mais Jérôme semblait avoir trouvé quelque chose. J'imagine que cela vaut le coup d'aller vérifier par nous-mêmes, on découvrira peut-être quelque chose là-bas. Les Stryges ne sont pas très actives le jour alors on devrait être assez tranquilles. »
Enfin, en partant du principe assez naïf que la Stryge est le seul danger de cette expédition. Difficile de savoir sur quoi ils vont tomber sur place.
« Tu penses qu'on y sera rapidement ? »
Il repose la carte à côté de lui avant de lever les yeux vers Idunn. S'intéressant davantage à son petit déjeuner à présent, particulièrement au porridge qu'il accompagne de quelques fruits pour s'en faire un repas léger mais assez consistant pour tenir jusqu'au soir. Une nouvelle journée qui s'annonce très longue.
CENDRES
« Bonjour Idunn. Excuse-moi d'avoir dormi aussi longtemps, j'aurais dû t'aider ce matin. »
Il acquiesce de la tête en s'étirant et se remettant sur ses deux jambes. Ils vont donc devoir partir avant l'arrivée des autres gardes forestiers, alors il ne faut pas trop traîner dans le coin sous peine de voir l'enquête sérieusement ralentie. S'il y avait encore un doute avec la mort de Jérôme qui aurait pu être "accidentelle", la mort de Placidu et la présence d'une Stryge ne peut qu'amplifier la panique ambiante au sein de la Réserve. La République va devoir prendre cette affaire très au sérieux à partir de maintenant mais Eliëndir n'a aucune intention de rebrousser chemin. Rien que par égo, il veut découvrir ce qui se passe réellement ici.
Il s'approche de la table à manger en tirant une chaise, posant ses yeux sur la jeune femme qui n'arrête pas de passer d'un coin à l'autre de la pièce. Il décide finalement de s'installer en attendant qu'elle le rejoigne pour manger quelque chose. Il secoue la tête avant de répondre.
« Aucun problème, ne t'en fais pas. Ça a l'air délicieux, merci Idunn. Mange avec moi. »
Dit-il en posant la main sur la carte en question qu'il déplie face à lui pour jeter un coup d'œil aux mystérieuses inscriptions. Les sourcils légèrement froncés, il y trouve plutôt des symboles comme un langage crypté ou plutôt des annotations propres à Jérôme qu'il devait utiliser pour pouvoir se repérer plus facilement sur le terrain qu'il contrôle. En réalité, c'est plus un gribouillage qu'une vraie carte d'orientation à ce niveau, l'Elfe doit repasser dessus plusieurs fois pour essayer de déchiffrer le tout. Des traits à l'encre sans grands intérêts. Quelques croix noires, peut-être des postes d'observations. Une petite pyramide rouge qui semble désignée la cabane où ils se trouvent actuellement. Plus troublant, certaines zones bien précises sont marqués d'un point d'interrogation jaune. Difficile de savoir ce qu'ils signifient sans demander au principal concerné et celui-ci n'est plus vraiment disposé à leur répondre. En y regardant de plus près, il y a un point d'exclamation qui se superpose à l'un des points d'interrogation comme si Jérôme y avait découvert quelque chose.
La zone en question est à deux ou trois heures d'ici en avançant correctement et elle longe le bord de mer où se trouve une grande falaise sur laquelle viennent s'écraser les vagues à toute heure de la journée. En fait, la carte semble indiquer l'entrée d'une grotte située sur la plage, près de l'eau. Ou peut-être... sous l'eau ?
« Hm. Je ne suis pas sûr de tout comprendre mais Jérôme semblait avoir trouvé quelque chose. J'imagine que cela vaut le coup d'aller vérifier par nous-mêmes, on découvrira peut-être quelque chose là-bas. Les Stryges ne sont pas très actives le jour alors on devrait être assez tranquilles. »
Enfin, en partant du principe assez naïf que la Stryge est le seul danger de cette expédition. Difficile de savoir sur quoi ils vont tomber sur place.
« Tu penses qu'on y sera rapidement ? »
Il repose la carte à côté de lui avant de lever les yeux vers Idunn. S'intéressant davantage à son petit déjeuner à présent, particulièrement au porridge qu'il accompagne de quelques fruits pour s'en faire un repas léger mais assez consistant pour tenir jusqu'au soir. Une nouvelle journée qui s'annonce très longue.
CENDRES
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La bouche pleine, Idunn tire la carte à elle sans cérémonie ni complexe tout enfournant sans gêne une bouchée de pain par dessus la viande qu'elle mastiquait déjà. Elle n'avait pas faim,aussi engloutissait t'elle le plus qu'elle pouvait avant que son estomac ne lui dise que c'était assez.
Soudain, il lui vint à l'esprit que Guillaume ne lui avait jamais montré de cartes de son territoire. Déglutissant, elle se posa la question de savoir pourquoi. Mais c'était vrai qu'elle n'en n'avait pas vraiment d'utilité. Ce qui est marrant, c'est que si elle avit eu cette carte en main hier, ils se seraient évité tout ce gâchis. La mie se coinca soudainement dans sa gorge, aussi la garde forestière la fit passer avec un peu de bière coupée d'eau .
Je ne connais pas cet endroit. Avoua t'elle à contrecoeur. Ca l'agacait, elle était supposé connaitre tout les recoins de la Réserve. On peut y être en deux heures de amrche rapide. Je connais un raccorcis ici,
Elle pointa un point d'interrogation à mi-chemin plus près
C'est un ancien campement de braconniers que j'ai aidé à déloger voilà une dizaines d'années avec Jérôme. Il y a un accès secret et un tunnel qui mène à une crique sous la falaise ici environ Ca nous permettrais une avancée discrète. Elle sait voler, du coup je préfère avoir quelque chose au dessus de ma tête, tu pen pense quoi? Ce que je n'aime pas, c'est ce point d'interrogation parce que c'est un endroit connu. Tu en pense quoi?.
Elle fit un chemin de baies qui débouchait de facon indirecte a côté du point d'exclamation
Ce n,est accessible que lorsque Océan est bas, si on calcule mal notre coup, il y a des bonnes chances qu'on se retrouve coincé.
Et la jeune femme marqua un moment de réflexion.
C'est étrange pareil. Je regarde et je me dis que ce sont tous des endroits qu'il connait. Du coup pourquoi l'Interrogation? Je me demande si les braconniers n'ont pas ... Non, ca serait idiot, même pour eux.
Elle hésite, réfléchis à toute vitesse.
Je me demande si els braconniers n'auraient pas inoculé des espèces invasives pour se débarasser de nous pour mieux profiter de l'écosystème. ije le sais ca a l'air ridicule. Parce que si l'armée s'en mêle, ca prendra des années avant que Forêt ne s'en remette
Soudain, il lui vint à l'esprit que Guillaume ne lui avait jamais montré de cartes de son territoire. Déglutissant, elle se posa la question de savoir pourquoi. Mais c'était vrai qu'elle n'en n'avait pas vraiment d'utilité. Ce qui est marrant, c'est que si elle avit eu cette carte en main hier, ils se seraient évité tout ce gâchis. La mie se coinca soudainement dans sa gorge, aussi la garde forestière la fit passer avec un peu de bière coupée d'eau .
Je ne connais pas cet endroit. Avoua t'elle à contrecoeur. Ca l'agacait, elle était supposé connaitre tout les recoins de la Réserve. On peut y être en deux heures de amrche rapide. Je connais un raccorcis ici,
Elle pointa un point d'interrogation à mi-chemin plus près
C'est un ancien campement de braconniers que j'ai aidé à déloger voilà une dizaines d'années avec Jérôme. Il y a un accès secret et un tunnel qui mène à une crique sous la falaise ici environ Ca nous permettrais une avancée discrète. Elle sait voler, du coup je préfère avoir quelque chose au dessus de ma tête, tu pen pense quoi? Ce que je n'aime pas, c'est ce point d'interrogation parce que c'est un endroit connu. Tu en pense quoi?.
Elle fit un chemin de baies qui débouchait de facon indirecte a côté du point d'exclamation
Ce n,est accessible que lorsque Océan est bas, si on calcule mal notre coup, il y a des bonnes chances qu'on se retrouve coincé.
Et la jeune femme marqua un moment de réflexion.
C'est étrange pareil. Je regarde et je me dis que ce sont tous des endroits qu'il connait. Du coup pourquoi l'Interrogation? Je me demande si les braconniers n'ont pas ... Non, ca serait idiot, même pour eux.
Elle hésite, réfléchis à toute vitesse.
Je me demande si els braconniers n'auraient pas inoculé des espèces invasives pour se débarasser de nous pour mieux profiter de l'écosystème. ije le sais ca a l'air ridicule. Parce que si l'armée s'en mêle, ca prendra des années avant que Forêt ne s'en remette
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Symphonie de la Nature
Feat Idunn
Pendant qu'Idunn récupère la carte, Eliëndir en profite pour se sustenter de manière bien plus discrète que l'élémentaire. Visiblement, elle a un plus gros appétit que lui. Il remercie Idunn pour le thé qu'elle lui sert et il récupère la tasse dans ses mains pour venir souffler sur l'eau chaude avant de venir y tremper les lèvres. Un glisse un œil sur la carte et sur les différentes indications que lui donne sa guide touristique. Une petite moue apparaît sur son visage, deux heures de marches rapides pour quelqu'un comme Idunn très certainement. Un peu plus pour Eliëndir qui se déplace ni aussi bien, ni aussi vite.
Les yeux plissés en direction du premier point d'interrogation qu'elle lui désigne, celui qui se trouve à mi-chemin de leur objectif final. Il se met à réfléchir un moment. De ce qu'il en sait, les Stryges sont peu actives le jour alors il y a peu de chance qu'elle leur tombe dessus dans l'après-midi surtout qu'ils sont deux et qu'elle a vu de quoi Eliëndir est capable avec sa magie. Mais il n'y a pas de mal à prendre quelques précautions.
« Tu connais mieux le terrain que moi alors si tu veux emprunter le tunnel, je suis d'accord. Honnêtement, j'ai encore un peu de mal à comprendre les notes et les symboles de ton ami. Ne nous prenons pas trop la tête pour le moment, faisons comme ça. »
Il dépose la tasse sur la table et tend le bras pour se servir de quelques fruits qu'il tranche en morceau avec un petit couteau. Alternant entre son déjeuner et le visage songeur d'Idunn, il la laisse aller au bout de sa pensée sans l'interrompre. Perplexe de son côté, Eliëndir ne connaît pas bien le passif de la Réserve avec les braconniers. Sont-ils une menace courante ? Si c'est le cas, l'armée devrait clairement faire quelque chose pour renforcer la sécurité. Peut-être qu'il faudrait en toucher deux mots à la ministre de la culture, les politiciens sont souvent déconnectés de la réalité. C'est un fait même s'il y a des exceptions.
« Je ne sais pas à quel point les braconniers sont un problème ici. Tu penses cela possible ? Qu'ils aient introduit des espèces étrangères à la Réserve ? »
Ce serait tout de même surprenant. Quel intérêt pour les braconniers de faire ça ? À moins qu'ils n'aient pas à faire à des braconniers et en y réfléchissant bien, cela expliquerait la présence d'une Stryge loin d'un environnement urbain. Ce n'est pas si idiot que ça et s'il y a vraiment quelqu'un qui s'amuse à introduire des espaces néfastes pour l'écosystème de la Réserve, ça peut avoir des conséquences désastreuses pour un projet de cette ampleur. Il faut agir avant qu'il ne soit trop tard.
« On ne peut pas savoir avant d'avoir mener l'enquête. Ne perdons pas plus de temps et garde la carte avec toi. »
Eliëndir prend encore cinq petites minutes pour finir de prendre son déjeuner ainsi que de savourer son thé. Il en profitera pour passer au petit coin avant de récupérer son maigre matériel pour le reste de la journée. En particulier son arc et ses flèches. Voilà bien des années qu'il n'a pas eu l'occasion de s'exercer en situation réelle mais le tir à l'arc c'est sûrement un peu comme le vélo : ça ne s'oublie jamais. (Comment ça aucun putain de rapport ?)
Les deux protagonistes peuvent maintenant quitter la cabane, les gardes forestiers ne devraient pas tarder à trouver le corps de Placidu et ils ont tout intérêt à presser le pas pour mettre de la distance entre eux et les collègues d'Idunn. Hors de question qu'ils se fassent rattraper et que son enquête s'arrête là. Eliëndir fait donc de son mieux pour suivre le rythme d'Idunn qui, fort heureusement, connaît la forêt comme sa poche ce qui devrait leur faire gagner un temps précieux jusqu'à l'ancien campement de braconniers.
CENDRES
Les yeux plissés en direction du premier point d'interrogation qu'elle lui désigne, celui qui se trouve à mi-chemin de leur objectif final. Il se met à réfléchir un moment. De ce qu'il en sait, les Stryges sont peu actives le jour alors il y a peu de chance qu'elle leur tombe dessus dans l'après-midi surtout qu'ils sont deux et qu'elle a vu de quoi Eliëndir est capable avec sa magie. Mais il n'y a pas de mal à prendre quelques précautions.
« Tu connais mieux le terrain que moi alors si tu veux emprunter le tunnel, je suis d'accord. Honnêtement, j'ai encore un peu de mal à comprendre les notes et les symboles de ton ami. Ne nous prenons pas trop la tête pour le moment, faisons comme ça. »
Il dépose la tasse sur la table et tend le bras pour se servir de quelques fruits qu'il tranche en morceau avec un petit couteau. Alternant entre son déjeuner et le visage songeur d'Idunn, il la laisse aller au bout de sa pensée sans l'interrompre. Perplexe de son côté, Eliëndir ne connaît pas bien le passif de la Réserve avec les braconniers. Sont-ils une menace courante ? Si c'est le cas, l'armée devrait clairement faire quelque chose pour renforcer la sécurité. Peut-être qu'il faudrait en toucher deux mots à la ministre de la culture, les politiciens sont souvent déconnectés de la réalité. C'est un fait même s'il y a des exceptions.
« Je ne sais pas à quel point les braconniers sont un problème ici. Tu penses cela possible ? Qu'ils aient introduit des espèces étrangères à la Réserve ? »
Ce serait tout de même surprenant. Quel intérêt pour les braconniers de faire ça ? À moins qu'ils n'aient pas à faire à des braconniers et en y réfléchissant bien, cela expliquerait la présence d'une Stryge loin d'un environnement urbain. Ce n'est pas si idiot que ça et s'il y a vraiment quelqu'un qui s'amuse à introduire des espaces néfastes pour l'écosystème de la Réserve, ça peut avoir des conséquences désastreuses pour un projet de cette ampleur. Il faut agir avant qu'il ne soit trop tard.
« On ne peut pas savoir avant d'avoir mener l'enquête. Ne perdons pas plus de temps et garde la carte avec toi. »
Eliëndir prend encore cinq petites minutes pour finir de prendre son déjeuner ainsi que de savourer son thé. Il en profitera pour passer au petit coin avant de récupérer son maigre matériel pour le reste de la journée. En particulier son arc et ses flèches. Voilà bien des années qu'il n'a pas eu l'occasion de s'exercer en situation réelle mais le tir à l'arc c'est sûrement un peu comme le vélo : ça ne s'oublie jamais. (Comment ça aucun putain de rapport ?)
Les deux protagonistes peuvent maintenant quitter la cabane, les gardes forestiers ne devraient pas tarder à trouver le corps de Placidu et ils ont tout intérêt à presser le pas pour mettre de la distance entre eux et les collègues d'Idunn. Hors de question qu'ils se fassent rattraper et que son enquête s'arrête là. Eliëndir fait donc de son mieux pour suivre le rythme d'Idunn qui, fort heureusement, connaît la forêt comme sa poche ce qui devrait leur faire gagner un temps précieux jusqu'à l'ancien campement de braconniers.
CENDRES
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Plus que leur faire gagner un temps précieux. Sa guide s'arrange aussi pour qu'ils soient intracables, Pieds nus, elle ne semble d'ailleurs ne laisser aucune trace visible. Parfois, elle leur faisait faire un détour tout simplement parce qu'elle ne le ''sentait pas''. Et elle parlait à Eliendir, de tout et de rien, histoire de meubler les silences et de l'instruire sur la réserve et du rôle de chacun. Elle lui parla des incursions de braconniers, de l'origine de la réserve.
Les premiers signes de corruption étaient tellement subtils qu'ils ne s'en apercurent pas, visuellement tout du moins... C'était un malaise diffus pour Idunn qui en devint de plus en plus taciturne, perdant un peu de son teint de mousse comme si elle était prise de nausée... Et qui grimaca soudainement en posant le pied sur le sol au bout de deux heures de marche normale.
Nous pouvons nous arrêter un instant? j'ai quelque chose dans le pied.
Demanda t'elle en clopinant jusqu'à une branche avant de s'y jucher. Perplexe et souffrante, elle regarda la plante de ses pieds couvert d'un truc noir et collant ...
La jeune fille fronca les sourcils en essayant de chasser la saleté. C'était étrange, elle avait toujours les pieds propre d'habitude. Bon, exception faite de quand elle pataugeait avec Boue, pour ces cas, elle avait ses mocassins dans son paquetage parce que son Père détestait la voir arriver les pieds sales à l'Intérieur. Et Foret ne l'avait jamais blessée. La terre noire et collante l'empêchait de voir ce qu'elle aait de planté dans le pied et, soudainement, elle devint terrorisée. Une terreur primitive qui lui fit appeler le mage noir d'un ton urgent .
-Eliendir... ca ne veut pas partir... Enlève-moi ca, vite!!!
Pourquoi cette terreur irraisonnée s'était elle emparée d'elle? Elle ne sait fichtrement pas tandis que, le souffle court, elle frotte son pied blessé à la recherche de ce qu'elle a de planté dedanstout en essayant de se débarasser de cette horreur dans une envolée de feuilles d'ifs qui se ternissent à vue d'oeil.
Les premiers signes de corruption étaient tellement subtils qu'ils ne s'en apercurent pas, visuellement tout du moins... C'était un malaise diffus pour Idunn qui en devint de plus en plus taciturne, perdant un peu de son teint de mousse comme si elle était prise de nausée... Et qui grimaca soudainement en posant le pied sur le sol au bout de deux heures de marche normale.
Nous pouvons nous arrêter un instant? j'ai quelque chose dans le pied.
Demanda t'elle en clopinant jusqu'à une branche avant de s'y jucher. Perplexe et souffrante, elle regarda la plante de ses pieds couvert d'un truc noir et collant ...
La jeune fille fronca les sourcils en essayant de chasser la saleté. C'était étrange, elle avait toujours les pieds propre d'habitude. Bon, exception faite de quand elle pataugeait avec Boue, pour ces cas, elle avait ses mocassins dans son paquetage parce que son Père détestait la voir arriver les pieds sales à l'Intérieur. Et Foret ne l'avait jamais blessée. La terre noire et collante l'empêchait de voir ce qu'elle aait de planté dans le pied et, soudainement, elle devint terrorisée. Une terreur primitive qui lui fit appeler le mage noir d'un ton urgent .
-Eliendir... ca ne veut pas partir... Enlève-moi ca, vite!!!
Pourquoi cette terreur irraisonnée s'était elle emparée d'elle? Elle ne sait fichtrement pas tandis que, le souffle court, elle frotte son pied blessé à la recherche de ce qu'elle a de planté dedanstout en essayant de se débarasser de cette horreur dans une envolée de feuilles d'ifs qui se ternissent à vue d'oeil.
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Symphonie de la Nature
Feat Idunn
Les deux protagonistes ne perdent donc pas plus de temps, avançant à un rythme normal pour Idunn mais soutenu pour Eliëndir, au sein même de la Réserve. Une banalité pour Idunn mais l'Elfe doit faire plus d'efforts pour réussir à suivre la cadence imposée par sa guide sans se plaindre. Ils sont déjà loin quand les gardes forestiers atteignent la cabane de Jérôme et qu'ils trouvent le corps de Placidu dans l'une des chambres. Sur la route, Eliëndir alimente la conversation pour que le temps paraisse moins long. Il se montre particulièrement intéressé par les histoires de la jeune femme sur ses expériences passées notamment avec les braconiers. Véritable fléau par ici, bien plus grave qu'il ne le pensait. Néanmoins, il n'est pas plus surpris que ça. Il connaît très bien la pègre et certaines personnes sont prêtes à investir des sommes colossales ne serait-ce que pour pouvoir se vanter d'avoir fait l'acquisition d'un animal d'une espèce protégée ? Qui ne rêve pas d'avoir une licorne dans son salon ? Vivante et enchainée ou morte et empaillée. Les loisirs de la haute sont particuliers.
D'abord, les premiers signes de la maladie qui gangrène la forêt sont relativement discrets. L'air est changeant tout comme le mana ambiant, un senseur magique tel que lui est capable de percevoir la différence au fur et à mesure de leur avancée. L'atmosphère est de plus en plus pesante de ce côté de la Réserve mais Eliëndir ne semble pas particulièrement affectée pour le moment. Il s'arrête sous la complainte d'Idunn juste devant lui, l'air perplexe quand elle pense avoir marcher sur quelque chose. Tu m'étonnes, quelle idée de marcher pieds nus en pleine forêt. Eliëndir est bien content d'avoir sa paire de bottes neuve et assortie au reste de ses vêtements.
« Tout va bien ? »
Non de toute évidence, quelque chose la gêne suffisamment pour qu'ils s'arrêtent un moment. Elle grimpe sur une branche proche du sol et Eliëndir peut à son tour constater que la plante de ses pieds est recouverte d'une étrange substance visqueuse. Ce n'est clairement pas de la terre ou pas uniquement en tout cas. Curieux, Eliëndir s'approche pour voir ça de plus près avant d'être surpris par la soudaine panique d'Idunn. Voilà une bien mauvaise idée de mettre ses doigts n'importe où surtout tant qu'ils ne sont pas sûr de savoir de quoi il s'agit. Eliëndir vient saisir les poignets de l'élémentaire pour l'empêcher de s'agiter dans tous les sens.
« Calme-toi Idunn. Laisse-moi regarder. »
Parfaitement calme, son regard et sa voix se veulent rassurants au possible. Rien ne sert de s'affoler, ce n'est sûrement pas grand-chose mais autant prendre quelques précautions. On n'est jamais trop prudent. Lorsque l'élémentaire cesse enfin de gigoter, il relâche simplement ses mains et glisse la sienne dans son dos pour récupérer une flèche de son petit carquois. C'est avec la pointe de celle-ci qu'il vient essayer de retirer la terre du pied d'Idunn. Effectivement, la terre s'accroche à la peau et c'est d'autant plus troublant que cela ne semble pas du tout vivant. En fait, en y regardant de plus près, cela semble être un mélange de terre et de ... sang. Du sang noir ? Voilà qui n'est pas courant. Est-ce qu'il y a même une seule espèce dans toute la réserve qui aurait du sang ayant ces propriétés ? Peu probable. Pas venant d'une créature officiellement installée ici en tout cas.
« On dirait du sang. »
Serait-ce la Stryge ? Ses cours d'anatomie sur les créatures magiques remontent très loin à présent et les Stryges sont tellement rares qu'il y a très peu de spécimens que l'on peut étudier. Eliëndir l'a bien abîmé hier soir avant qu'elle n'arrive à s'échapper, c'est certain qu'elle a dû perdre du sang et si sa théorie s'avère exacte, cela veut aussi dire que le monstre est passé par là.
« C'est peut-être la Stryge d'hier, je l'ai blessé pendant notre affrontement. »
Elle a du se reposer juste ici avant de repartir, cela expliquerait la flaque visqueuse sur le sol là où Idunn a mis les pieds par inadvertance. On peut donc conclure que nos deux protagonistes sont sur la bonne voie, ils vont dans la bonne direction. Eliëndir retire toute la terre de sous ses pieds avec les moyens du bord. Ce n'est pas très propre mais ça devrait aller pour la suite du voyage. Plus important encore, il se met à chercher méticuleusement l'origine de sa douleur jusqu'à poser les yeux sur une grosse épine plantée dans le talon. Il pince soigneusement de chaque côté pour lentement la faire sortir de la chair et venir la retirer d'un coup sec.
« Bien. Ça va mieux ? Tu penses que tu pourrais retrouver des traces du passage de la créature ? Elle s'est sûrement envolée pour partir mais de toute évidence, elle s'est aussi posée dans le coin. »
Idunn est toute désignée pour ça, Eliëndir n'a rien d'un traqueur. Concrètement, ils savent déjà où aller mais avec un peu de chance, ils pourraient trouver la tanière du monstre pendant que la Stryge est encore affaiblie.
CENDRES
D'abord, les premiers signes de la maladie qui gangrène la forêt sont relativement discrets. L'air est changeant tout comme le mana ambiant, un senseur magique tel que lui est capable de percevoir la différence au fur et à mesure de leur avancée. L'atmosphère est de plus en plus pesante de ce côté de la Réserve mais Eliëndir ne semble pas particulièrement affectée pour le moment. Il s'arrête sous la complainte d'Idunn juste devant lui, l'air perplexe quand elle pense avoir marcher sur quelque chose. Tu m'étonnes, quelle idée de marcher pieds nus en pleine forêt. Eliëndir est bien content d'avoir sa paire de bottes neuve et assortie au reste de ses vêtements.
« Tout va bien ? »
Non de toute évidence, quelque chose la gêne suffisamment pour qu'ils s'arrêtent un moment. Elle grimpe sur une branche proche du sol et Eliëndir peut à son tour constater que la plante de ses pieds est recouverte d'une étrange substance visqueuse. Ce n'est clairement pas de la terre ou pas uniquement en tout cas. Curieux, Eliëndir s'approche pour voir ça de plus près avant d'être surpris par la soudaine panique d'Idunn. Voilà une bien mauvaise idée de mettre ses doigts n'importe où surtout tant qu'ils ne sont pas sûr de savoir de quoi il s'agit. Eliëndir vient saisir les poignets de l'élémentaire pour l'empêcher de s'agiter dans tous les sens.
« Calme-toi Idunn. Laisse-moi regarder. »
Parfaitement calme, son regard et sa voix se veulent rassurants au possible. Rien ne sert de s'affoler, ce n'est sûrement pas grand-chose mais autant prendre quelques précautions. On n'est jamais trop prudent. Lorsque l'élémentaire cesse enfin de gigoter, il relâche simplement ses mains et glisse la sienne dans son dos pour récupérer une flèche de son petit carquois. C'est avec la pointe de celle-ci qu'il vient essayer de retirer la terre du pied d'Idunn. Effectivement, la terre s'accroche à la peau et c'est d'autant plus troublant que cela ne semble pas du tout vivant. En fait, en y regardant de plus près, cela semble être un mélange de terre et de ... sang. Du sang noir ? Voilà qui n'est pas courant. Est-ce qu'il y a même une seule espèce dans toute la réserve qui aurait du sang ayant ces propriétés ? Peu probable. Pas venant d'une créature officiellement installée ici en tout cas.
« On dirait du sang. »
Serait-ce la Stryge ? Ses cours d'anatomie sur les créatures magiques remontent très loin à présent et les Stryges sont tellement rares qu'il y a très peu de spécimens que l'on peut étudier. Eliëndir l'a bien abîmé hier soir avant qu'elle n'arrive à s'échapper, c'est certain qu'elle a dû perdre du sang et si sa théorie s'avère exacte, cela veut aussi dire que le monstre est passé par là.
« C'est peut-être la Stryge d'hier, je l'ai blessé pendant notre affrontement. »
Elle a du se reposer juste ici avant de repartir, cela expliquerait la flaque visqueuse sur le sol là où Idunn a mis les pieds par inadvertance. On peut donc conclure que nos deux protagonistes sont sur la bonne voie, ils vont dans la bonne direction. Eliëndir retire toute la terre de sous ses pieds avec les moyens du bord. Ce n'est pas très propre mais ça devrait aller pour la suite du voyage. Plus important encore, il se met à chercher méticuleusement l'origine de sa douleur jusqu'à poser les yeux sur une grosse épine plantée dans le talon. Il pince soigneusement de chaque côté pour lentement la faire sortir de la chair et venir la retirer d'un coup sec.
« Bien. Ça va mieux ? Tu penses que tu pourrais retrouver des traces du passage de la créature ? Elle s'est sûrement envolée pour partir mais de toute évidence, elle s'est aussi posée dans le coin. »
Idunn est toute désignée pour ça, Eliëndir n'a rien d'un traqueur. Concrètement, ils savent déjà où aller mais avec un peu de chance, ils pourraient trouver la tanière du monstre pendant que la Stryge est encore affaiblie.
CENDRES
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En d'autres temps et d'autres lieux, Idunn aurait rit de sa bêtise. Le contact de cette chose la hérissait au pus haut point. C'était dangereux. C'était peut-être un truc qui voulait la bouffer. Avec l'épine qui semblait vouloir s'enfoncer de plus en plus profondéent dans son (bois) sa chair... C'était comme si elle oulais s'imiscer dans son corp, dans son coeur... Probablement que sa panique lui fait imaginer des choses. ŀes bouts de doigts collants de la ''chose'' elle s'évertue à essayer de nettoyer, oubliant que Eau pourrait l'aider en douceur.
Du moins, jusqu'à ce que deux mains douces ne se referment sur ses poignets, l'immobilisant. La captant avec un regard violet magnétique qui la fait s'immobiliser net. Elle ne comprend pas trop ce qui lui arrive, son coeur battant comme celui de Colibri dans sa potrine. Les mains chaudes du mage la tienne sans lui faire de mal.
Respire Idunnn... Respire....
« Calme-toi Idunn. Laisse-moi regarder. »
Hochant la tête, le menton tremblant un peu, l'archer-Mage acquiesce. Se calmant peu à peu, elle le regarde officier, nettoyant au tranchant d'une flèche la gadoue de ses pieds qui se remettent à respirer convenablement. Il y a bien sur la douleur occasionnelle de l'épine, mais ce n'est rien
ce n'est rien de grave... Se récite t'elle comme un mantra.
AÏE!
Glapit la jeune femme au moment ou l'elfe extirpe le corp étranger de son pied. ŀe liquide noir qui suinte de la plaie s'éclaircit rapidement, signe du poison qui s'élimine, avant de prendre l'ambré et la texture de la sève fraiche dont l'odeur embaume les narines du thaumaturge.
« On dirait du sang. »
C'est la première fois que Forêt me blesse!!! je ne veux pas voir mon sang ! S'exclame Idunn les deux yeux fermés. Attendant qu'il fasse un bandage peut-être. En tout cas elle a l'impression de s'être faite transpercer le pied.
« C'est peut-être la Stryge d'hier, je l'ai blessé pendant notre affrontement. »
Ah? Oups... Soudainement penaude, Idunn rouvre les yeux avant de prendre son sac et de fouiller dedans à la recherche d'une bande de coton et de ses mocassins... Et de sa gourde qu'elle ouvre pour humidifier le linge afin de finir de se débarasser de cette cochonnerie. Elle a honte. Mais son petit Prince a la décence de ne pas relever cet éclat irrationnel. Ca avait été plus fort qu'elle en fait.
Ca m'étonne, je ne saigne pas? Pourtant j'avais la certitude de m'être fait transpercer le pied... Oui...Oui.. je peux , laisse moi juste quelques minutes de pause. Et tu en a besoin toi aussi, je te tiens un rythme d'enfer mais tu ne te plains pas. Désolée. Fouille dans mon sac, il y a à manger. Et tiens, bois un peu tu en as besoin.
Dit elle avec prévenance, rendant naturellement au Melornien la gentillesse dont il vient de lui faire preuve. Avant de se tordre pour regarder la plaie colmatée par la sève épaisse.
Heu.. Merci de m'avoir soignée... Je ne savais pas que tu connaissais ce truc. Sourit elle, insconsciente du fait que cet amas de sève était l'équivalent du sang coagulé. Apparamment, elle n'avait aucune idée, ce qui était un comble tout de même. Elle enfila ses mocassins et se coucha soudainement sur le dos, regardant la dentelle des arbres... Elle pouvait avoir l'air insouciante, mais en fait elle examinait les hauteur à la recherche de traces du passage de l'être ailé pendant que son compagnon prenait une pause bien méritée.
Du moins, jusqu'à ce que deux mains douces ne se referment sur ses poignets, l'immobilisant. La captant avec un regard violet magnétique qui la fait s'immobiliser net. Elle ne comprend pas trop ce qui lui arrive, son coeur battant comme celui de Colibri dans sa potrine. Les mains chaudes du mage la tienne sans lui faire de mal.
Respire Idunnn... Respire....
« Calme-toi Idunn. Laisse-moi regarder. »
Hochant la tête, le menton tremblant un peu, l'archer-Mage acquiesce. Se calmant peu à peu, elle le regarde officier, nettoyant au tranchant d'une flèche la gadoue de ses pieds qui se remettent à respirer convenablement. Il y a bien sur la douleur occasionnelle de l'épine, mais ce n'est rien
ce n'est rien de grave... Se récite t'elle comme un mantra.
AÏE!
Glapit la jeune femme au moment ou l'elfe extirpe le corp étranger de son pied. ŀe liquide noir qui suinte de la plaie s'éclaircit rapidement, signe du poison qui s'élimine, avant de prendre l'ambré et la texture de la sève fraiche dont l'odeur embaume les narines du thaumaturge.
« On dirait du sang. »
C'est la première fois que Forêt me blesse!!! je ne veux pas voir mon sang ! S'exclame Idunn les deux yeux fermés. Attendant qu'il fasse un bandage peut-être. En tout cas elle a l'impression de s'être faite transpercer le pied.
« C'est peut-être la Stryge d'hier, je l'ai blessé pendant notre affrontement. »
Ah? Oups... Soudainement penaude, Idunn rouvre les yeux avant de prendre son sac et de fouiller dedans à la recherche d'une bande de coton et de ses mocassins... Et de sa gourde qu'elle ouvre pour humidifier le linge afin de finir de se débarasser de cette cochonnerie. Elle a honte. Mais son petit Prince a la décence de ne pas relever cet éclat irrationnel. Ca avait été plus fort qu'elle en fait.
Ca m'étonne, je ne saigne pas? Pourtant j'avais la certitude de m'être fait transpercer le pied... Oui...Oui.. je peux , laisse moi juste quelques minutes de pause. Et tu en a besoin toi aussi, je te tiens un rythme d'enfer mais tu ne te plains pas. Désolée. Fouille dans mon sac, il y a à manger. Et tiens, bois un peu tu en as besoin.
Dit elle avec prévenance, rendant naturellement au Melornien la gentillesse dont il vient de lui faire preuve. Avant de se tordre pour regarder la plaie colmatée par la sève épaisse.
Heu.. Merci de m'avoir soignée... Je ne savais pas que tu connaissais ce truc. Sourit elle, insconsciente du fait que cet amas de sève était l'équivalent du sang coagulé. Apparamment, elle n'avait aucune idée, ce qui était un comble tout de même. Elle enfila ses mocassins et se coucha soudainement sur le dos, regardant la dentelle des arbres... Elle pouvait avoir l'air insouciante, mais en fait elle examinait les hauteur à la recherche de traces du passage de l'être ailé pendant que son compagnon prenait une pause bien méritée.
Invité
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Symphonie de la Nature
Feat Idunn
Il observe un moment l'épine mais si ce n'est le fait qu'elle est assez grosse, il n'y voit rien de particulier. Tout de même, cela explique en partie la douleur d'Idunn au moment où elle a marché dessus. Elle a dû la sentir passer mais au moins l'épine n'était pas complètement enfoncée dans sa chair... Qui d'ailleurs, n'en est pas vraiment. En regardant la plaie de plus près, il est surpris de constater l'absence totale de sang. Pas celui de la Stryge, celui d'Idunn évidemment. À la place, il y a une goutte de cet étrange liquide ambré qui s'échappe de la plante de son pied. De la sève ? Il en reconnaît la texture et aussi la fine odeur qui s'en échappe. Une demi-Orc, disait-elle. En admettant que le doute pouvait encore subsister, il n'est plus permis à partir de maintenant. Idunn est une élémentaire et pas n'importe laquelle. Néanmoins, il ne comprend toujours pas comment Idunn est convaincue du contraire ? Pourquoi son père et ses proches ont-ils gardé le secret ? Malheureusement, Placidu n'est plus là pour lui répondre.
D'ailleurs, il constate que sa guide a un vrai problème avec la vue du sang. Le sien, en tout cas. Hématophobe ? C'est probable, c'est une phobie assez répandue finalement. On a tous nos peurs les plus secrètes et les plus honteuses. Oui, même Eliëndir alors ce n'est pas lui qui va la juger pour ça.
« Ce n'était pas si grave que ça mais tu as dû avoir mal sur le coup, c'est normal. Tu as raison, profitons-en pour faire une pause. »
Et celle-ci est bien mérité pour Eliëndir alors il ne va pas refuser une occasion de souffler un peu. Avant qu'elle n'enfile des chaussures plus adaptées, il récupère un morceau de tissu pour lui faire un petit bandage autour du pied. En réalité, il n'a pas besoin de faire ça puisque la sève s'est solidifiée dans le plaie. Une réaction bien étrange, est-ce à cause du contact avec le sang de la Stryge ? Il faudra sérieusement surveiller ça, juste au cas où. Au moins, elle ne sera pas gênée pour le reste de la route.
« Je t'en prie, je n'ai pas fait grand-chose. J'ai étudié les créatures magiques à l'académie de magie de Melorn. Ça ne me rajeunit pas mais j'ai encore quelques connaissances sur le sujet. Et je sais aussi prodiguer les premiers soins même si ça n'a rien d'exceptionnel. »
Puisqu'il en a l'autorisation, il se permet donc de fouiller dans le sac d'une demoiselle à la recherche d'un peu d'eau et de quoi grignoter. Il récupère une gourde et un morceau de pain avec des restes de ce matin, juste de quoi continuer sans avoir le ventre vide. Puis il pose les yeux sur Idunn qui s'est allongée sur une branche, l'air de regarder les nuages ou peut-être les branches des arbres. Il n'est pas tout à fait sûr de ce qu'elle fait mais elle a sûrement besoin d'une minute pour se remettre de ses émotions, alors il ne dit rien.
« L'air a changé depuis notre départ. Tu le sens ? Il fait plus lourd et ça n'a rien de naturel. Le mana est différent autour de nous, je pense que cela va être comme ça jusqu'à atteindre la grotte submergée. Ça va sûrement empirer. Je n'avais jamais vu ça avant, une magie si puissante qu'elle influe sur tout un écosystème sur des kilomètres à la ronde. C'est... fascinant. »
“Inquiétant” serait sûrement plus adapté mais c'est sans compter sur la curiosité de l'Elfe qui est comme un poisson dans l'eau quand on parle de magie noire. La vérité est beaucoup moins agréable à entendre. La flore se meurt petit à petit et la faune tente de s'éloigner le plus loin possible par peur de subir le même sort. C'est la raison pour laquelle ils ont croisé un Laconda hier dans la journée, loin de sa zone d'habitation. Il engloutit rapidement son casse-croûte avant de reprendre un peu d'eau. Il range sa gourde dans son sac à lui et se prépare à repartir en attachant ses cheveux à l'arrière de sa tête.
« Tu as trouvé quelque chose ? Je suis prêt quand tu l'es. »
Ce n'est pas bien grave s'ils n'ont rien au sujet de la Stryge. Elle s'est posée là, mais elle a dû repartir en volant alors bonne chance pour la suivre à la trace. Dans tous les cas, les deux protagonistes ont une carte et ils savent exactement où ils veulent aller. Avant d'arriver à la mystérieuse grotte près de l'océan que Jérôme a noté sur carte, leur prochaine destination se trouve à l'ancien camp de braconniers qui d'ailleurs n'est plus très loin et où ils pourront emprunter un raccourci souterrain jusqu'à la côte. Heureusement qu'Idunn est là pour leur faire gagner un temps précieux. Eliëndir aurait réussi à se perdre au moins trois fois, même avec une carte et une boussole.
Quand Idunn sera prête, les deux protagonistes reprendront la route en faisant attention où ils marchent cette fois-ci. La forêt va changer très rapidement à partir de maintenant. Si l'air est déjà lourd, bientôt c'est le vert étincelant de la forêt luxuriante qui disparaît et laisse place à des tons bien plus grisâtres et mornes. Dans cette partie de la Réserve, il n'y a quasiment plus de bruit. La faune semble complètement absente ou presque et cela laisse un goût amer aux deux aventuriers qui vont bientôt prendre conscience que la situation est plus grave qu'ils ne le pensent. Une demi-heure plus tard, ils atteignent enfin l'ancien camp de braconniers qui n'a certainement plus rien d'un camp depuis longtemps. Les gardes forestiers ont sûrement débarrassé les installations des criminels. Aucune trace d'animaux ou de la Stryge dans les environs, pour le moment en tout cas.
Eliëndir ne connaît pas la zone alors il se contente d'observer depuis l'arrière d'un buisson, attendant le signal d'Idunn pour avancer.
CENDRES
D'ailleurs, il constate que sa guide a un vrai problème avec la vue du sang. Le sien, en tout cas. Hématophobe ? C'est probable, c'est une phobie assez répandue finalement. On a tous nos peurs les plus secrètes et les plus honteuses. Oui, même Eliëndir alors ce n'est pas lui qui va la juger pour ça.
« Ce n'était pas si grave que ça mais tu as dû avoir mal sur le coup, c'est normal. Tu as raison, profitons-en pour faire une pause. »
Et celle-ci est bien mérité pour Eliëndir alors il ne va pas refuser une occasion de souffler un peu. Avant qu'elle n'enfile des chaussures plus adaptées, il récupère un morceau de tissu pour lui faire un petit bandage autour du pied. En réalité, il n'a pas besoin de faire ça puisque la sève s'est solidifiée dans le plaie. Une réaction bien étrange, est-ce à cause du contact avec le sang de la Stryge ? Il faudra sérieusement surveiller ça, juste au cas où. Au moins, elle ne sera pas gênée pour le reste de la route.
« Je t'en prie, je n'ai pas fait grand-chose. J'ai étudié les créatures magiques à l'académie de magie de Melorn. Ça ne me rajeunit pas mais j'ai encore quelques connaissances sur le sujet. Et je sais aussi prodiguer les premiers soins même si ça n'a rien d'exceptionnel. »
Puisqu'il en a l'autorisation, il se permet donc de fouiller dans le sac d'une demoiselle à la recherche d'un peu d'eau et de quoi grignoter. Il récupère une gourde et un morceau de pain avec des restes de ce matin, juste de quoi continuer sans avoir le ventre vide. Puis il pose les yeux sur Idunn qui s'est allongée sur une branche, l'air de regarder les nuages ou peut-être les branches des arbres. Il n'est pas tout à fait sûr de ce qu'elle fait mais elle a sûrement besoin d'une minute pour se remettre de ses émotions, alors il ne dit rien.
« L'air a changé depuis notre départ. Tu le sens ? Il fait plus lourd et ça n'a rien de naturel. Le mana est différent autour de nous, je pense que cela va être comme ça jusqu'à atteindre la grotte submergée. Ça va sûrement empirer. Je n'avais jamais vu ça avant, une magie si puissante qu'elle influe sur tout un écosystème sur des kilomètres à la ronde. C'est... fascinant. »
“Inquiétant” serait sûrement plus adapté mais c'est sans compter sur la curiosité de l'Elfe qui est comme un poisson dans l'eau quand on parle de magie noire. La vérité est beaucoup moins agréable à entendre. La flore se meurt petit à petit et la faune tente de s'éloigner le plus loin possible par peur de subir le même sort. C'est la raison pour laquelle ils ont croisé un Laconda hier dans la journée, loin de sa zone d'habitation. Il engloutit rapidement son casse-croûte avant de reprendre un peu d'eau. Il range sa gourde dans son sac à lui et se prépare à repartir en attachant ses cheveux à l'arrière de sa tête.
« Tu as trouvé quelque chose ? Je suis prêt quand tu l'es. »
Ce n'est pas bien grave s'ils n'ont rien au sujet de la Stryge. Elle s'est posée là, mais elle a dû repartir en volant alors bonne chance pour la suivre à la trace. Dans tous les cas, les deux protagonistes ont une carte et ils savent exactement où ils veulent aller. Avant d'arriver à la mystérieuse grotte près de l'océan que Jérôme a noté sur carte, leur prochaine destination se trouve à l'ancien camp de braconniers qui d'ailleurs n'est plus très loin et où ils pourront emprunter un raccourci souterrain jusqu'à la côte. Heureusement qu'Idunn est là pour leur faire gagner un temps précieux. Eliëndir aurait réussi à se perdre au moins trois fois, même avec une carte et une boussole.
Quand Idunn sera prête, les deux protagonistes reprendront la route en faisant attention où ils marchent cette fois-ci. La forêt va changer très rapidement à partir de maintenant. Si l'air est déjà lourd, bientôt c'est le vert étincelant de la forêt luxuriante qui disparaît et laisse place à des tons bien plus grisâtres et mornes. Dans cette partie de la Réserve, il n'y a quasiment plus de bruit. La faune semble complètement absente ou presque et cela laisse un goût amer aux deux aventuriers qui vont bientôt prendre conscience que la situation est plus grave qu'ils ne le pensent. Une demi-heure plus tard, ils atteignent enfin l'ancien camp de braconniers qui n'a certainement plus rien d'un camp depuis longtemps. Les gardes forestiers ont sûrement débarrassé les installations des criminels. Aucune trace d'animaux ou de la Stryge dans les environs, pour le moment en tout cas.
Eliëndir ne connaît pas la zone alors il se contente d'observer depuis l'arrière d'un buisson, attendant le signal d'Idunn pour avancer.
CENDRES
Invité
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Terre est malade. Elle ne veut pas que je lui touche. Lui répond Idunn en continuant de regarder la flore en se redressant pour regarder les sous boid. . Tout est malade ici pas étonnant que l'administration t'a envoyée. Raison de plus pour se dépêcher ils auraient été plus avisés de m'envoyer, j'aurais été plus rapide.
Pour Eliendir, la raison pourquoi elle a été tenue à l'écart est peut-être évidente, mais manifestement, la jeune femme est dans l'ignorance la plus profonde. C'est fascinant en un sens parce que cette fumisterie dont elle a été la victime a dû avoir été soigneusement entretenue par la communauté mine de rien. Placidu n'a décemment pas pu lui cacher ca seul non? Et ca n'a pas dû être évident, Idunn semblant très intelligente.
Elle pointa du doigt une direction, vers le campement déserté.
Par là. Sourit t'elle en descendant souplement de la branche, claudiquant naturellement sur les premières dizaines de mètres. Avec des mocassins elle semblait légèrement inconfortable. Et le duo de se remette en route, la petite archer-mage arc bien en main et silencieuse, tournant régulièrement la tête en tout sens pour observer partout, histoire de ne pas se faire surprendre.
Ils arrivèrent à leur premiète étape en début d'après-midi aux abords de la clairière envahie pas les hautes fougères arrivant aux épaules de l'élémentaire. Silencieusement, elle fit signe à son prince de la ville d'attendre un peu avant de disparaitre parmis tout ce vert pour reconnaitre le périmètre... Idunn n'était cependant pas à l'aise du tout.Comment dire....
*elle n'est pas loin*
Pense t'elle en savancant doucement dans la clairière qui a été nettoyée depuis longtemps et dans laquel la nature, jusqu''à récemment, reprenait ses droits, ne laissant qu'une cabane en bois rond en ruine lentement mangée par la mousse qui, si elle s'en rappelle bien, habrite l'entrée du tunnel.
Sauf que la porte avait été lacérée à coups de griffes et repoussée violemment, grincant doucement sur un battant rouillé. De ou elle était,elle pouvait voir le trou du tunnel, le couvercle de la trappe ayant été démoli.
Sauf que le sang noir était étalé partout et elle n'avait pas réellement envie d'y toucher. Idunn siffla doucement, tel un geais moqueur, appelant le mage noir pour qu'il s'approche. Tout son être était révulsé par ce sang immonde, elle ne s'expliquait pas trop pourquoi en fait. Ce qu'elle savait c'est qu'elle ne voulait absolument pas affronter cette choses seule.
Cela fait quelques heures. Nous nous rapprochons. Murmura t'elle à Eliendir quand il la rejoignit.
Pour Eliendir, la raison pourquoi elle a été tenue à l'écart est peut-être évidente, mais manifestement, la jeune femme est dans l'ignorance la plus profonde. C'est fascinant en un sens parce que cette fumisterie dont elle a été la victime a dû avoir été soigneusement entretenue par la communauté mine de rien. Placidu n'a décemment pas pu lui cacher ca seul non? Et ca n'a pas dû être évident, Idunn semblant très intelligente.
Elle pointa du doigt une direction, vers le campement déserté.
Par là. Sourit t'elle en descendant souplement de la branche, claudiquant naturellement sur les premières dizaines de mètres. Avec des mocassins elle semblait légèrement inconfortable. Et le duo de se remette en route, la petite archer-mage arc bien en main et silencieuse, tournant régulièrement la tête en tout sens pour observer partout, histoire de ne pas se faire surprendre.
Ils arrivèrent à leur premiète étape en début d'après-midi aux abords de la clairière envahie pas les hautes fougères arrivant aux épaules de l'élémentaire. Silencieusement, elle fit signe à son prince de la ville d'attendre un peu avant de disparaitre parmis tout ce vert pour reconnaitre le périmètre... Idunn n'était cependant pas à l'aise du tout.Comment dire....
*elle n'est pas loin*
Pense t'elle en savancant doucement dans la clairière qui a été nettoyée depuis longtemps et dans laquel la nature, jusqu''à récemment, reprenait ses droits, ne laissant qu'une cabane en bois rond en ruine lentement mangée par la mousse qui, si elle s'en rappelle bien, habrite l'entrée du tunnel.
Sauf que la porte avait été lacérée à coups de griffes et repoussée violemment, grincant doucement sur un battant rouillé. De ou elle était,elle pouvait voir le trou du tunnel, le couvercle de la trappe ayant été démoli.
Sauf que le sang noir était étalé partout et elle n'avait pas réellement envie d'y toucher. Idunn siffla doucement, tel un geais moqueur, appelant le mage noir pour qu'il s'approche. Tout son être était révulsé par ce sang immonde, elle ne s'expliquait pas trop pourquoi en fait. Ce qu'elle savait c'est qu'elle ne voulait absolument pas affronter cette choses seule.
Cela fait quelques heures. Nous nous rapprochons. Murmura t'elle à Eliendir quand il la rejoignit.
Invité
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Symphonie de la Nature
Feat Idunn
La clairière n'a plus grand-chose du campement de braconniers qu'elle était dans le passé. Visiblement, les gardes forestiers ont fait le ménage depuis longtemps et la nature a déjà repris ses droits dans le secteur comme on peut en juger par les hautes herbes qu'on retrouve un peu partout. Eliëndir se contente d'observer pour le moment, dissimulé derrière un imposant buisson qui ne laisse que sa tête dépasser. Il se sent comme traqueur qui chasse le gibier bien qu'il n'a clairement pas l'aisance suffisante en milieu naturel ni les connaissances nécessaires dans le domaine. Cette quête au sein de la Réserve Faunique lui redonne ce goût de l'aventure qu'il appréciait tant quand il jouait les vagabonds solitaires en voyageant à travers le Sekai. Ceci dit, le danger est bien présent et il ne peut pas se permettre de baisser sa garde. La Stryge est peut-être encore dans le coin et elle est loin d'être l'unique menace de la réserve.
Sans dire un mot, hoche la tête en direction d'Idunn quand celle-ci lui fait un signe de la main en disparaissant dans les fourrés. C'est absolument fascinant d'ailleurs, Idunn a cette facilité à se fondre dans son environnement et à passer inaperçue. Eliëndir serait bien incapable de la retrouver en pleine forêt sans utiliser ses capacités de senseurs magiques. Lui aussi est beaucoup moins à l'aise maintenant qu'il se retrouve seul et la paranoïa n'est jamais loin. Le bellâtre tourne rapidement la tête en entendant une branche bougée un peu plus loin sur sa gauche. Simplement un courant d'air, pas de quoi s'inquiéter. Pourtant, il y a toujours cette sensation très dérangeante dans l'air comme s'ils n'étaient pas les bienvenus.
Il reconnaît le sifflement d'Idunn et donc le signal qui lui indique qu'il peut la rejoindre sans craindre une mauvaise surprise sur le chemin. L'Elfe quitte donc sa cachette et part rejoindre l'élémentaire sans faire de détour et le constat est assez terrible au niveau du tunnel. Outre la présence en abondance de ce sang inhabituellement noir, il y trouve une cabane en bois détruite ou presque. Des débris à même le sol et à l'intérieur, Eliëndir apperçoit une trappe complètement déchirée. Visiblement, quelqu'un n'était pas content et avait vraiment très envie de trouver l'entrée du tunnel. Bon. Il comprend assez vite que c'est lui qui va devoir aller au casse-pipe à en juger par la réaction d'Idunn face à tout ce sang. Il acquiesce à son dernier commentaire et l'Elfe se met à approcher lentement de la cabane pour vérifier l'entrée, ouvrant le chemin pour qu'Idunn puisse le suivre. A l'intérieur, c'est un véritable désordre. La cabane abandonnée a été complètement retournée par quelqu'un, ou quelque chose, qui cherchait à tout prix l'entrée.
Tout de même, il s'interroge. Pourquoi la Stryge, si c'est bien elle, cherchait l'entrée du tunnel ? Elle est littéralement capable de voler, elle se déplace bien plus rapidement dans les airs que sous terre. Serait-ce à cause de ses blessures ? Eliëndir l'a peut-être sacrément amoché, tellement qu'elle était incapable de continuer d'utiliser ses ailes. C'est une théorie qui se tient mais tout de même, c'est étrange. À moins que la créature ait élu domicile dans le tunnel et ses galeries ? Dans ce cas, les deux protagonistes ont un sacré problème.
« Idunn. À quoi ça ressemble en dessous ? Le tunnel est-il unique ou est-il relié à d'autres galeries ? »
Naturellement, il préfère savoir dans quel pétrin il va se mettre dans quelques instants. Eliëndir n'est pas claustrophobe mais il n'est pas très enchanté de savoir qu'ils peuvent tomber nez à nez avec une affreuse Stryge dans un endroit clos.
« Visiblement, la Stryge est sûrement passée par là. Elle s'est peut-être installée dans le tunnel ou de l'autre côté. On doit être très vigilant à partir de maintenant. Essayons de ne pas trop faire de bruit. »
Eliëndir prend une minute de plus pour examiner le reste de la cabane et observer d'à peu plus près les traces de griffes. Difficile à dire pour lui si ce sont les traces d'une Stryge ou d'un autre prédateur mais tout les autres éléments, notamment le sang, incrimine directement la meurtrière de Placidu. Ensuite, il se penche au-dessus de l'entrée du tunnel où il n'y a qu'une échelle permettant aux protagonistes de descendre de quelques mètres sous le sol.
« Je vais descendre le premier. Je suis capable de voir dans la pénombre la plus totale mais pour toi, il va te falloir une pierre luminescente si tu as ça dans tes affaires. Reste près de moi, tout ira bien. »
Oui parce que Eliëndir n'a pas d'affaires lui. Il est venu comme un touriste, les mains dans les poches, il n'a rien d'autre que son courage et son sourire charmeur. Et sa magie mais c'est un détail ça. D'ailleurs en parlant de courage, faut bien que quelqu'un s'y colle alors Eliëndir se dévoue pour empoigner l'échelle et commencer à descendre dans le tunnel. Il finit par poser un pied dans le fond, ce qui lui indique qu'il ne peut pas aller plus bas. Eliëndir observe le long couloir qui apparaît devant lui, constatant que le sol et les murs sont tachés de sang par endroit. Pas de doute, la Stryge est venue ici quelques heures avant eux. Et ça n'a absolument rien de rassurant.
« La voie est libre, tu peux descendre. »
Dit-il en levant la tête en direction d'Idunn en attendant qu'elle le rejoigne avant de s'engouffrer plus loin.
CENDRES
Sans dire un mot, hoche la tête en direction d'Idunn quand celle-ci lui fait un signe de la main en disparaissant dans les fourrés. C'est absolument fascinant d'ailleurs, Idunn a cette facilité à se fondre dans son environnement et à passer inaperçue. Eliëndir serait bien incapable de la retrouver en pleine forêt sans utiliser ses capacités de senseurs magiques. Lui aussi est beaucoup moins à l'aise maintenant qu'il se retrouve seul et la paranoïa n'est jamais loin. Le bellâtre tourne rapidement la tête en entendant une branche bougée un peu plus loin sur sa gauche. Simplement un courant d'air, pas de quoi s'inquiéter. Pourtant, il y a toujours cette sensation très dérangeante dans l'air comme s'ils n'étaient pas les bienvenus.
Il reconnaît le sifflement d'Idunn et donc le signal qui lui indique qu'il peut la rejoindre sans craindre une mauvaise surprise sur le chemin. L'Elfe quitte donc sa cachette et part rejoindre l'élémentaire sans faire de détour et le constat est assez terrible au niveau du tunnel. Outre la présence en abondance de ce sang inhabituellement noir, il y trouve une cabane en bois détruite ou presque. Des débris à même le sol et à l'intérieur, Eliëndir apperçoit une trappe complètement déchirée. Visiblement, quelqu'un n'était pas content et avait vraiment très envie de trouver l'entrée du tunnel. Bon. Il comprend assez vite que c'est lui qui va devoir aller au casse-pipe à en juger par la réaction d'Idunn face à tout ce sang. Il acquiesce à son dernier commentaire et l'Elfe se met à approcher lentement de la cabane pour vérifier l'entrée, ouvrant le chemin pour qu'Idunn puisse le suivre. A l'intérieur, c'est un véritable désordre. La cabane abandonnée a été complètement retournée par quelqu'un, ou quelque chose, qui cherchait à tout prix l'entrée.
Tout de même, il s'interroge. Pourquoi la Stryge, si c'est bien elle, cherchait l'entrée du tunnel ? Elle est littéralement capable de voler, elle se déplace bien plus rapidement dans les airs que sous terre. Serait-ce à cause de ses blessures ? Eliëndir l'a peut-être sacrément amoché, tellement qu'elle était incapable de continuer d'utiliser ses ailes. C'est une théorie qui se tient mais tout de même, c'est étrange. À moins que la créature ait élu domicile dans le tunnel et ses galeries ? Dans ce cas, les deux protagonistes ont un sacré problème.
« Idunn. À quoi ça ressemble en dessous ? Le tunnel est-il unique ou est-il relié à d'autres galeries ? »
Naturellement, il préfère savoir dans quel pétrin il va se mettre dans quelques instants. Eliëndir n'est pas claustrophobe mais il n'est pas très enchanté de savoir qu'ils peuvent tomber nez à nez avec une affreuse Stryge dans un endroit clos.
« Visiblement, la Stryge est sûrement passée par là. Elle s'est peut-être installée dans le tunnel ou de l'autre côté. On doit être très vigilant à partir de maintenant. Essayons de ne pas trop faire de bruit. »
Eliëndir prend une minute de plus pour examiner le reste de la cabane et observer d'à peu plus près les traces de griffes. Difficile à dire pour lui si ce sont les traces d'une Stryge ou d'un autre prédateur mais tout les autres éléments, notamment le sang, incrimine directement la meurtrière de Placidu. Ensuite, il se penche au-dessus de l'entrée du tunnel où il n'y a qu'une échelle permettant aux protagonistes de descendre de quelques mètres sous le sol.
« Je vais descendre le premier. Je suis capable de voir dans la pénombre la plus totale mais pour toi, il va te falloir une pierre luminescente si tu as ça dans tes affaires. Reste près de moi, tout ira bien. »
Oui parce que Eliëndir n'a pas d'affaires lui. Il est venu comme un touriste, les mains dans les poches, il n'a rien d'autre que son courage et son sourire charmeur. Et sa magie mais c'est un détail ça. D'ailleurs en parlant de courage, faut bien que quelqu'un s'y colle alors Eliëndir se dévoue pour empoigner l'échelle et commencer à descendre dans le tunnel. Il finit par poser un pied dans le fond, ce qui lui indique qu'il ne peut pas aller plus bas. Eliëndir observe le long couloir qui apparaît devant lui, constatant que le sol et les murs sont tachés de sang par endroit. Pas de doute, la Stryge est venue ici quelques heures avant eux. Et ça n'a absolument rien de rassurant.
« La voie est libre, tu peux descendre. »
Dit-il en levant la tête en direction d'Idunn en attendant qu'elle le rejoigne avant de s'engouffrer plus loin.
CENDRES
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Mmmm... Pense Idunn avant de fouiller dans une de ses poches, extirpant une petite poignée de mousse à l'air quelconque ... Infusant sa magie dans la plante, cette dernière se réveilla et commenca à irradier d'une pâle lueur verte phorsphorescente qui, sans éblouir Eliendir, éclairait juste assez de tunnel pour lui éviter de se casser proprement la gueule. Dans son autre main était bien calé le manche d'un couteau de chasse qui, au vu de sa taille, ne devait absolument pas avoir été concu pour elle, ayant plus des airs d'épée courte.
Dans le tunnel creusé à même la terre et la roche, étayé à intervalles régulier dans les zones sensibles par des piliers de bois maintenant vermoulus, il y avait l'odeur de la terre humide et de moisissure, couplé au cuivré du sang corrompu de leur proie. Le nez d'Idunn se plissa de fort charmante facon quand elle baissa les yeux sur une flaque d'huile luisant doucement au sol.
Ils approchent de la tanière de la créature ... pense t'elle en accrochant un petit bout de mousse à une poutre avant de la faire prendre racine et de la faisant pousser juste un peu pour qu'elle puisse leur servir de balise pour le retour. Le fait est que c'était la première fois qu'elle se retrouvait au sein de Terre... Elle trouvait cela... réconfortant d'une certaine facon, et très inquiétant de l'autre la magie corruptrice de la forêt étant plus forte ici...
-C'est la première fois que je descend ici. Avoua t'elle à voix basse Ca serait.. bien... si Mère n'était pas malade... Par là
Au dessus de la mousse, elle sourit au Prince de Ville, la lumière de la plante éclairant son visage, lui donnant des airs de farfadets. ŀe duo avanca donc, silencieusement maintenant le longs du tunnel, pressentant qu'ils arrivaient dans L'aire de la Stryge. Mais rien n'aurait pu les préparer à cela. Le tunnel se séparait soudainement devant eux, un autre très récent se découpant soudainement à leur gauche. S'agenouillant, Idunn regarda les traces de sang de la créature blessée sans y toucher. Ses yeux confirmèrent aors ce que son instinct lui disait déjà.
Evidemment qu'elle avait pris le nouveau tunnel. Qui était éclairé, lui.
Par la douce Terre et Océan.
Murmura l'archer-mage.
Dans le tunnel creusé à même la terre et la roche, étayé à intervalles régulier dans les zones sensibles par des piliers de bois maintenant vermoulus, il y avait l'odeur de la terre humide et de moisissure, couplé au cuivré du sang corrompu de leur proie. Le nez d'Idunn se plissa de fort charmante facon quand elle baissa les yeux sur une flaque d'huile luisant doucement au sol.
Ils approchent de la tanière de la créature ... pense t'elle en accrochant un petit bout de mousse à une poutre avant de la faire prendre racine et de la faisant pousser juste un peu pour qu'elle puisse leur servir de balise pour le retour. Le fait est que c'était la première fois qu'elle se retrouvait au sein de Terre... Elle trouvait cela... réconfortant d'une certaine facon, et très inquiétant de l'autre la magie corruptrice de la forêt étant plus forte ici...
-C'est la première fois que je descend ici. Avoua t'elle à voix basse Ca serait.. bien... si Mère n'était pas malade... Par là
Au dessus de la mousse, elle sourit au Prince de Ville, la lumière de la plante éclairant son visage, lui donnant des airs de farfadets. ŀe duo avanca donc, silencieusement maintenant le longs du tunnel, pressentant qu'ils arrivaient dans L'aire de la Stryge. Mais rien n'aurait pu les préparer à cela. Le tunnel se séparait soudainement devant eux, un autre très récent se découpant soudainement à leur gauche. S'agenouillant, Idunn regarda les traces de sang de la créature blessée sans y toucher. Ses yeux confirmèrent aors ce que son instinct lui disait déjà.
Evidemment qu'elle avait pris le nouveau tunnel. Qui était éclairé, lui.
Par la douce Terre et Océan.
Murmura l'archer-mage.
Invité
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Symphonie de la Nature
Feat Idunn
Le tunnel s'est rapidement rétréci au fur et à mesure de leur avancée. Visiblement, personne n'a pris la peine de réhabiliter les galeries et d'agrandir le plafond pour qu'un homme puisse passer sans avoir à baisser la tête. Pire encore, Eliëndir étant assez grand, il doit carrément se casser le dos et/ou plier les genoux pour pouvoir avancer ce qui ne manque pas de passablement l'agacer. Idunn de son côté et forte de sa petite taille, n'aura pas besoin d'autant d'efforts et elle peut suivre le mage noir sans trop de problèmes. Comme quoi, être petit ça sert parfois. Il bougonne dans son coin mais continue de se frayer un chemin sans se plaindre plus que ça. Dans cette fâcheuse position, l'Elfe n'a pas vraiment l'occasion de se retourner pour s'assurer qu'Idunn arrive à suivre mais il peut voir la lueur de ses mousses phosphorescentes éclairer légèrement le chemin derrière et surtout devant lui alors il sait que l'élémentaire assure ses arrières.
Finalement, Eliëndir s'arrête à une intersection puisque le tunnel se divise soudainement en deux. Reste donc à savoir quel est le bon chemin ? En y regardant de plus près, le constat est assez simple à faire. L'un des tunnels est éclairé et, surtout, semble beaucoup plus récent que l'autre. Ce qui d'ailleurs est assez surprenant. Les gardes forestiers auraient dû savoir que quelqu'un creusait un autre tunnel dans la région, non ? À moins que la personne responsable des récents travaux ait réussi à passer sous les radars. Idunn a dit qu'elle n'était jamais descendue ici, alors peut-être que personne n'osait emprunter le tunnel. Faut dire qu'il est sacrément étroit et que par moment, il menace presque de s'écrouler sur les deux protagonistes. Et comme si ce n'était pas déjà assez évident, ils retrouvent le même sang noir qu'à l'entrée.
« Essayons de ne pas faire trop de bruit à partir de maintenant. Allons par là. »
Eliëndir emprunte donc le tunnel le plus récent pendant une trentaine de secondes avant de déboucher dans une grande caverne naturelle au plafond très haut et à peine éclairée par quelques torches qui laissent à peine entrevoir les quelques étagères présentes et le mobilier méticuleusement agencé. La découverte est stupéfiante car évidemment, là n'est pas l'œuvre d'un animal mais bien d'une espèce parfaitement intelligente. Les protagonistes débarquent dans un genre de laboratoire secret dans tout ce qu'on peut faire de plus cliché. On y retrouve l'équipement complet du savant fou à savoir quelques fioles et pots à l'aspect plus que douteux sur des étagères, outils et ustensiles en tout genre qui pour la plupart ont déjà servi. Des traces de sang séchés mais celui-ci n'est pas noir, donc n'appartient pas à la Stryge. Il y a un large établi en pierre qui attire immédiatement l'attention par la quantité de livres et de documents en vrac que l'on trouve dessus. Du papier et des parchemins recouverts d'une écriture à l'encre noire, presque illisible non pas à cause de la langue utilisée qui est bien du commun mais du fait des nombreuses notes un peu partout. Le propriétaire de ce laboratoire se plait particulièrement à écrire sur les lignes, en plus petit entre les lignes et globalement, là où il reste de la place. La fin d'une phrase peut littéralement se retrouver à l'envers, dans le dos de la page. C'est stupidement incompréhensible.
« Ce n'est pas l'œuvre d'une Stryge, impossible. Il y a quelqu'un d'autre ici. »
Fort heureusement, le gros du contenu est facilement accessible en faisant quelques efforts de compréhension. Le propriétaire du laboratoire semble tenir un petit journal intime et des notes de l'avancée de ses recherches au sujet de la Réserve Faunique. Outre quelques expériences parfaitement illégales et malsaines sur certaines espèces animales, mentionnant notamment la dissection et l'extraction de certains organes à des fins "lucratives" sur le marché noir, c'est surtout quelques notes plus récentes qui intéressent les protagonistes. Elles mentionnent une caverne immergée près de l'océan et qui ne serait accessible que quand la marée est basse, où une puissante magie noire se serait mystérieusement éveillée. La dernière théorie en date mentionne la présence d'une entité obscure sous le sol de la Réserve qui se mettrait à corrompre petit à petit son environnement naturel jusqu'à détruire toute forme de vie sur des kilomètres.
Visiblement, quelqu'un d'autre est venu ici pour observer et étudier le troublant phénomène de la Réserve. Reste à savoir qui et pourquoi ? D'ailleurs, toujours aucune trace de la Stryge mais elle ne doit pas être loin, peut-être même déjà tapis dans l'ombre quelque part au-dessus d'eux. Pour le moment, le laboratoire semble vide mais peut-être qu'en fouillant un peu plus...
CENDRES
Finalement, Eliëndir s'arrête à une intersection puisque le tunnel se divise soudainement en deux. Reste donc à savoir quel est le bon chemin ? En y regardant de plus près, le constat est assez simple à faire. L'un des tunnels est éclairé et, surtout, semble beaucoup plus récent que l'autre. Ce qui d'ailleurs est assez surprenant. Les gardes forestiers auraient dû savoir que quelqu'un creusait un autre tunnel dans la région, non ? À moins que la personne responsable des récents travaux ait réussi à passer sous les radars. Idunn a dit qu'elle n'était jamais descendue ici, alors peut-être que personne n'osait emprunter le tunnel. Faut dire qu'il est sacrément étroit et que par moment, il menace presque de s'écrouler sur les deux protagonistes. Et comme si ce n'était pas déjà assez évident, ils retrouvent le même sang noir qu'à l'entrée.
« Essayons de ne pas faire trop de bruit à partir de maintenant. Allons par là. »
Eliëndir emprunte donc le tunnel le plus récent pendant une trentaine de secondes avant de déboucher dans une grande caverne naturelle au plafond très haut et à peine éclairée par quelques torches qui laissent à peine entrevoir les quelques étagères présentes et le mobilier méticuleusement agencé. La découverte est stupéfiante car évidemment, là n'est pas l'œuvre d'un animal mais bien d'une espèce parfaitement intelligente. Les protagonistes débarquent dans un genre de laboratoire secret dans tout ce qu'on peut faire de plus cliché. On y retrouve l'équipement complet du savant fou à savoir quelques fioles et pots à l'aspect plus que douteux sur des étagères, outils et ustensiles en tout genre qui pour la plupart ont déjà servi. Des traces de sang séchés mais celui-ci n'est pas noir, donc n'appartient pas à la Stryge. Il y a un large établi en pierre qui attire immédiatement l'attention par la quantité de livres et de documents en vrac que l'on trouve dessus. Du papier et des parchemins recouverts d'une écriture à l'encre noire, presque illisible non pas à cause de la langue utilisée qui est bien du commun mais du fait des nombreuses notes un peu partout. Le propriétaire de ce laboratoire se plait particulièrement à écrire sur les lignes, en plus petit entre les lignes et globalement, là où il reste de la place. La fin d'une phrase peut littéralement se retrouver à l'envers, dans le dos de la page. C'est stupidement incompréhensible.
« Ce n'est pas l'œuvre d'une Stryge, impossible. Il y a quelqu'un d'autre ici. »
Fort heureusement, le gros du contenu est facilement accessible en faisant quelques efforts de compréhension. Le propriétaire du laboratoire semble tenir un petit journal intime et des notes de l'avancée de ses recherches au sujet de la Réserve Faunique. Outre quelques expériences parfaitement illégales et malsaines sur certaines espèces animales, mentionnant notamment la dissection et l'extraction de certains organes à des fins "lucratives" sur le marché noir, c'est surtout quelques notes plus récentes qui intéressent les protagonistes. Elles mentionnent une caverne immergée près de l'océan et qui ne serait accessible que quand la marée est basse, où une puissante magie noire se serait mystérieusement éveillée. La dernière théorie en date mentionne la présence d'une entité obscure sous le sol de la Réserve qui se mettrait à corrompre petit à petit son environnement naturel jusqu'à détruire toute forme de vie sur des kilomètres.
Visiblement, quelqu'un d'autre est venu ici pour observer et étudier le troublant phénomène de la Réserve. Reste à savoir qui et pourquoi ? D'ailleurs, toujours aucune trace de la Stryge mais elle ne doit pas être loin, peut-être même déjà tapis dans l'ombre quelque part au-dessus d'eux. Pour le moment, le laboratoire semble vide mais peut-être qu'en fouillant un peu plus...
CENDRES
Invité
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Elle n'aimait pas ca. Entre son Petit Prince qui lui demande de faire moins de bruit, le corrior éclairé menant à une caverne tout ce qu'il y a de plus dégueulasse. Pendant que Eliendir feuillette le livre qui lui pique les yeux tellement que c'est du n'importe quoi, la garde forestière tend l'oreille, de plus en plus nerveuse. C'est trop silencieux ici, si ce N'était que le glougloutement d'une clepsydre qui se vidait lentement de son eau.
Il y avait quelqu'un ici voilà trente minutes maximum. Commenta t'elle à voix basse. En jetant un oeil au plafond. Il lui semblait avoir vu quelque chose, mais c'était probablement son imagination. Plutôt, elle se pencha de nouveau vers les traces de sang noir qui allaient vers les étagères. Le coeur monta aux lèvres de la jeune femme. Il y avait des foetus.... D'hybrides. Des félins avec des canins, des kokotts avec des chevaux, des ratons... Elle ne pouvait pas juger étant demi orc. Mais avec des animaux, ca prenait simplement un grand malade. Lisant les étiquettes, elle tomba bientôt sur des pièces anatomiques dans les pots. C'était... Comme une énorme banque génétique de la Réserve, chaque espèce y étant représentée. Cependant, elle ne pouva s'empêcher de trouver les étagères bien poussiéreuses, comme si les expériences avaient été laissées voilà bien longtemps. Ce qui recoupait en un sens le grimoire d'Eliendir.
C'était évidemment trop facile l'accès et tout. Comme un chemin bien balisé.
Il y avait carrément deux rangées vides sur une étagère dvolue aux espèeces les plus évoluées. Il y avait les gravats dun élémentaire de Roche, une urne d'eau saumâtre, morte... La Fille de Rivière. Une étiquetée espèce inconnue. Et, la dernière Élémentaire de la Nature. Mais ce n'était pas ce qu'elle regardait... C'était la table.
Une table des horreurs, tenant autant de la dissection que de la table gynécologique. D'une propreté étincelante. Ce que le mage lisait, elle en avait toute l'horreur devant les yeux. Il ne faisait pas que les capturer. Il ne faisait pas que les tuer pour le trafic. Non... Il ...
De l'autre côté d'une étagère, la voix blanche d'une garde forestière appela le mage noir, pas trop fort, un murmure à peine audible. Elle avait totalement oublié la stryge. Et la menace sur la réserve. Aucune femme ne devrait jamais voir cette horreur.
Eliendir...
Il y avait quelqu'un ici voilà trente minutes maximum. Commenta t'elle à voix basse. En jetant un oeil au plafond. Il lui semblait avoir vu quelque chose, mais c'était probablement son imagination. Plutôt, elle se pencha de nouveau vers les traces de sang noir qui allaient vers les étagères. Le coeur monta aux lèvres de la jeune femme. Il y avait des foetus.... D'hybrides. Des félins avec des canins, des kokotts avec des chevaux, des ratons... Elle ne pouvait pas juger étant demi orc. Mais avec des animaux, ca prenait simplement un grand malade. Lisant les étiquettes, elle tomba bientôt sur des pièces anatomiques dans les pots. C'était... Comme une énorme banque génétique de la Réserve, chaque espèce y étant représentée. Cependant, elle ne pouva s'empêcher de trouver les étagères bien poussiéreuses, comme si les expériences avaient été laissées voilà bien longtemps. Ce qui recoupait en un sens le grimoire d'Eliendir.
C'était évidemment trop facile l'accès et tout. Comme un chemin bien balisé.
Il y avait carrément deux rangées vides sur une étagère dvolue aux espèeces les plus évoluées. Il y avait les gravats dun élémentaire de Roche, une urne d'eau saumâtre, morte... La Fille de Rivière. Une étiquetée espèce inconnue. Et, la dernière Élémentaire de la Nature. Mais ce n'était pas ce qu'elle regardait... C'était la table.
Une table des horreurs, tenant autant de la dissection que de la table gynécologique. D'une propreté étincelante. Ce que le mage lisait, elle en avait toute l'horreur devant les yeux. Il ne faisait pas que les capturer. Il ne faisait pas que les tuer pour le trafic. Non... Il ...
De l'autre côté d'une étagère, la voix blanche d'une garde forestière appela le mage noir, pas trop fort, un murmure à peine audible. Elle avait totalement oublié la stryge. Et la menace sur la réserve. Aucune femme ne devrait jamais voir cette horreur.
Eliendir...
Invité
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Symphonie de la Nature
Feat Idunn
En ce lieu insalubre, l'atmosphère y est très pesante et l'air stagnant y est presque étouffant à cause des différentes odeurs nauséabondes qui planent ici. Néanmoins, rien qui entâme réellement la détermination du mage noir qui au court de sa longue existence, en a vuvu bien d'autres. Des laboratoires dont certains étaient dans un état encore plus déplorable que celui-ci et dans lesquels ont eu lieu les atrocités les plus inimaginables. Autant dire qu'Eliëndir n'est pas tant dépaysé que ça entre les dizaines d'étagères qui entreposent des cobayes, organes et sujets d'expérimentations en tout genre. Pendant qu'Idunn vagabonde dans la sinistre grotte, le Melornois lui est un peu plus intéressé par les notes et les écrits du savant fou dont il reconnaît tous les signes d'un esprit malade qui a clairement besoin d'une thérapie et d'une cellule d'isolement au Razkaal. Même pour quelqu'un comme Eliëndir, sa lecture est déconcertante à tous les niveaux et le contenu des écrits est moralement inacceptable, cela va de soi.
Quelqu'un doit mettre fin à cette folie. Un objectif annexe qui, finalement, rejoint tout de même leur quête principale qui est de trouver cette "entité" obscure qui sévit actuellement dans la Réserve. Une opportunité de faire une pierre deux coups. Ceci dit, quelqu'un va réellement devoir toucher deux mots à la ministre de la culture au sujet de la sécurité de cet endroit qui laisse vraiment à désirer. Entre les savants fous et les braconniers, les gardes forestiers sont débordés et il va clairement falloir recruter pour que ces événements ne se reproduisent plus jamais à l'avenir. Pas que ça ait un quelconque intérêt pour Eliëndir mais bon. Il va devoir faire un rapport et c'est un bon prétexte pour approcher les hautes sphères de la politique de la République.
L'Elfe est interpellé par la petite voix fluette d'Idunn alors il délaisse un moment sa fascinante lecture pour rejoindre sa partenaire élémentaire qui semble avoir fait une découverte encore plus surprenante que lui. Quand il arrive sur place, c'est ni plus ni moins qu'une vision d'horreur. Sculpture difforme et élaborée, épouvantable amas de chair dont l'apparence répugnante ne peut que faire éprouver un profond dégoût pour ce genre de pratique et pour les pratiquants de celle-ci. Déviance évidente d'un "artiste" déchu et aux moeurs dangereuses, voir de ses propres yeux le résultat de ce qu'il lisait à travers les notes sur le bureau a de quoi le répugner au plus haut point. Difficile de détailler avec précision la "chose" qu'il a sous les yeux, tentative échouée de la création d'une chimère monstrueuse dont les différentes parties appartiennent à des espèces très différentes entre elles. Toutes ne semblent pas forcément d'origine animale. Il comprend donc la réaction d'Idunn et sa détresse mais malheureusement, le duo n'a pas plus de temps pour fouiller le laboratoire. Un bruit assourdissant attire immédiatement les protagonistes, comme si une partie du mur se déplaçait un peu plus loin dans la grotte. Un passage secret, évidemment. Un autre accès pour le propriétaire du laboratoire et ce qui explique aussi pourquoi ils ont perdu la trace de la Stryge en arrivant ici. La grotte serait donc plus grande qu'elle en a l'air ?
Eliëndir attrape le bras d'Idunn et tire l'élémentaire vers lui pour qu'ils puissent rapidement aller se réfugier dans la pénombre absolue, entre deux étagères discrètes qui leurs permettent de se cacher un moment alors que de toute évidence, le propriétaire des lieux vient tout juste de faire son grand retour. Eliëndir pose verticalement son index sur ses lèvres pour signifier à Idunn de ne pas faire de bruit, même si celle-ci a sûrement bien compris la situation. Incapable de réfréner cette curiosité qui est un bien vilain défaut dans son cas, Eliëndir jette un oeil discret entre les rayonnages pour apercevoir la disgracieuse silhouette d'un minusucle Gobelin patibulaire au nez crochu entièrement vêtu d'une tunique usée et d'un tablier tâché de sang. Le Gobelin déambule un moment dans le laboratoire en se grattant l'arrière-train et il ne semble pas avoir remarqué la présence des protagonistes mais alors qu'il s'approche de son bureau, là où Eliëndir a passé un moment à lire ses notes, une grimace parcourt le visage du savant fou. Mince. Aurait-il remarqué que ses notes ont été déplacées ? Le Gobelin se met soudainement à siffler très bruyamment et l'écho résonne un moment dans la grotte avant de s'estomper complètement. C'est un signal.
Aussi surprenant que ça puisse paraître, tout porte à croire que le Gobelin et la Stryge sont de mèche et cette dernière ne va pas tarder à pointer le bout de son nez. Eliëndir reste parfaitement calme pour le moment, il est d'avis de ne pas se précipiter ou de céder à la panique tant qu'ils n'ont pas été clairement repérés. Surtout qu'ils ne savent à peu près rien des compétences du Gobelin qui est peut-être plus dangereux qu'il en a l'air. Mais d'un autre côté... Le Gobelin est tout seul, pour le moment. C'est peut-être une opportunité de le neutraliser avant l'arrivée de la créature ailée. Qui sait, peut-être qu'Idunn voudra agir tout de suite au risque de trahir leur position ?
CENDRES
Quelqu'un doit mettre fin à cette folie. Un objectif annexe qui, finalement, rejoint tout de même leur quête principale qui est de trouver cette "entité" obscure qui sévit actuellement dans la Réserve. Une opportunité de faire une pierre deux coups. Ceci dit, quelqu'un va réellement devoir toucher deux mots à la ministre de la culture au sujet de la sécurité de cet endroit qui laisse vraiment à désirer. Entre les savants fous et les braconniers, les gardes forestiers sont débordés et il va clairement falloir recruter pour que ces événements ne se reproduisent plus jamais à l'avenir. Pas que ça ait un quelconque intérêt pour Eliëndir mais bon. Il va devoir faire un rapport et c'est un bon prétexte pour approcher les hautes sphères de la politique de la République.
L'Elfe est interpellé par la petite voix fluette d'Idunn alors il délaisse un moment sa fascinante lecture pour rejoindre sa partenaire élémentaire qui semble avoir fait une découverte encore plus surprenante que lui. Quand il arrive sur place, c'est ni plus ni moins qu'une vision d'horreur. Sculpture difforme et élaborée, épouvantable amas de chair dont l'apparence répugnante ne peut que faire éprouver un profond dégoût pour ce genre de pratique et pour les pratiquants de celle-ci. Déviance évidente d'un "artiste" déchu et aux moeurs dangereuses, voir de ses propres yeux le résultat de ce qu'il lisait à travers les notes sur le bureau a de quoi le répugner au plus haut point. Difficile de détailler avec précision la "chose" qu'il a sous les yeux, tentative échouée de la création d'une chimère monstrueuse dont les différentes parties appartiennent à des espèces très différentes entre elles. Toutes ne semblent pas forcément d'origine animale. Il comprend donc la réaction d'Idunn et sa détresse mais malheureusement, le duo n'a pas plus de temps pour fouiller le laboratoire. Un bruit assourdissant attire immédiatement les protagonistes, comme si une partie du mur se déplaçait un peu plus loin dans la grotte. Un passage secret, évidemment. Un autre accès pour le propriétaire du laboratoire et ce qui explique aussi pourquoi ils ont perdu la trace de la Stryge en arrivant ici. La grotte serait donc plus grande qu'elle en a l'air ?
Eliëndir attrape le bras d'Idunn et tire l'élémentaire vers lui pour qu'ils puissent rapidement aller se réfugier dans la pénombre absolue, entre deux étagères discrètes qui leurs permettent de se cacher un moment alors que de toute évidence, le propriétaire des lieux vient tout juste de faire son grand retour. Eliëndir pose verticalement son index sur ses lèvres pour signifier à Idunn de ne pas faire de bruit, même si celle-ci a sûrement bien compris la situation. Incapable de réfréner cette curiosité qui est un bien vilain défaut dans son cas, Eliëndir jette un oeil discret entre les rayonnages pour apercevoir la disgracieuse silhouette d'un minusucle Gobelin patibulaire au nez crochu entièrement vêtu d'une tunique usée et d'un tablier tâché de sang. Le Gobelin déambule un moment dans le laboratoire en se grattant l'arrière-train et il ne semble pas avoir remarqué la présence des protagonistes mais alors qu'il s'approche de son bureau, là où Eliëndir a passé un moment à lire ses notes, une grimace parcourt le visage du savant fou. Mince. Aurait-il remarqué que ses notes ont été déplacées ? Le Gobelin se met soudainement à siffler très bruyamment et l'écho résonne un moment dans la grotte avant de s'estomper complètement. C'est un signal.
Aussi surprenant que ça puisse paraître, tout porte à croire que le Gobelin et la Stryge sont de mèche et cette dernière ne va pas tarder à pointer le bout de son nez. Eliëndir reste parfaitement calme pour le moment, il est d'avis de ne pas se précipiter ou de céder à la panique tant qu'ils n'ont pas été clairement repérés. Surtout qu'ils ne savent à peu près rien des compétences du Gobelin qui est peut-être plus dangereux qu'il en a l'air. Mais d'un autre côté... Le Gobelin est tout seul, pour le moment. C'est peut-être une opportunité de le neutraliser avant l'arrivée de la créature ailée. Qui sait, peut-être qu'Idunn voudra agir tout de suite au risque de trahir leur position ?
CENDRES
Invité
Invité
Aussi écoeurée soit elle, Idunn ne perd pas son sang froid même si son teint vert est un peu plus soutenu qu'à l,ordinaire. Et pour cause!!!! Cette chose représente tout ce contre quoi elle se bat. Serais ce cette magie qui blesse mère?
Au bruit, elle se retrouve dans les bras d'Eliendir, étrangements réconfortants. La garde forestière a cependant bien d'autres chats à fouetter que de se pâmer dans pareille étreinte aussi se contorsionne t'elle légèrement pour voir la figure de l'elfe qui lui fait signe de se taire. Puis de reporter son attention sur ce qui se passe devant. Quoi? Un gobelin? Etrangement à voir la hauteur des étagères, si c'était bien lui à l'origine, il ne devait absolument pas être tout seul. Elle le regardait entre deux bocaux d'organes avec attention. Il ne devait pas être seul raisonna t'elle. Aucun mage seul ne peut bâtir de telles finfrastructures. C'est trop ambitieux et bien fait. R... récolter toutles spécimens aussi. Même avec des braconniers. En fait, elle est au beau milieu de l'oeuvre d'une vie. Quelle quelle soit. Ces horreurs autour d'elle, aussi ignobles soient t'ils, pourraient sauver des vies.
Ce qui amène une autre question pertinente. Pour qui travaille t'il? Pourquoi? Il n'y a qu'une facon de le savoir et c'est de faire parler le vilain. U♪e chance qui risque de passer rapidement au vu du sifflement qui se répercute dans les conduits. Une caresse sur la main d'Eliendir pour attirer son attention, et la garde forestière se contorsionne pour que leurs regards e croisent de nouveau. Rapidement, elle lui fait signe de rester ici, à l'abrit avant de se pointer elle et le gobelin et de mimer une bouche qui s'ouvre et se ferme avec un clin d'oeil. Elle fera l'appât et compte sur lui pour lui couvrir les fesses.
-Je viens je viens monsieur... Dit elle en se dégageant doucement de l'elfe et en avancant vers le laboratoire, arc en main sans rien d'encoché - Je suis Idunn et je viens faire aujourd'hui une Vérification pour voir si vos papiers sont en règle et les procédures respectées, monsieur?
Soyons franc, elle a plus envie de lui décocher une flèche en pleine tête, mais ca ne serait pas productif. Il faut exterminer toutes les branches à la palce de taper aveuglément dans le tas. Soit il est bien renseigné comme il le soupconne et il sait qui elle est, soit pas du tout et il panique. Soit il joue le jeu en espérant l'entourlouper. Soit il lui envoie cette salope en pleine gueule, auquel cas elle est prête.Peut-être est il au courant pour le Petit Prince, peut-être pas. il est son joker dont elle a une confiance absolue et la demi orc compte sur lui pour lui couvrir les fesses.
Au bruit, elle se retrouve dans les bras d'Eliendir, étrangements réconfortants. La garde forestière a cependant bien d'autres chats à fouetter que de se pâmer dans pareille étreinte aussi se contorsionne t'elle légèrement pour voir la figure de l'elfe qui lui fait signe de se taire. Puis de reporter son attention sur ce qui se passe devant. Quoi? Un gobelin? Etrangement à voir la hauteur des étagères, si c'était bien lui à l'origine, il ne devait absolument pas être tout seul. Elle le regardait entre deux bocaux d'organes avec attention. Il ne devait pas être seul raisonna t'elle. Aucun mage seul ne peut bâtir de telles finfrastructures. C'est trop ambitieux et bien fait. R... récolter toutles spécimens aussi. Même avec des braconniers. En fait, elle est au beau milieu de l'oeuvre d'une vie. Quelle quelle soit. Ces horreurs autour d'elle, aussi ignobles soient t'ils, pourraient sauver des vies.
Ce qui amène une autre question pertinente. Pour qui travaille t'il? Pourquoi? Il n'y a qu'une facon de le savoir et c'est de faire parler le vilain. U♪e chance qui risque de passer rapidement au vu du sifflement qui se répercute dans les conduits. Une caresse sur la main d'Eliendir pour attirer son attention, et la garde forestière se contorsionne pour que leurs regards e croisent de nouveau. Rapidement, elle lui fait signe de rester ici, à l'abrit avant de se pointer elle et le gobelin et de mimer une bouche qui s'ouvre et se ferme avec un clin d'oeil. Elle fera l'appât et compte sur lui pour lui couvrir les fesses.
-Je viens je viens monsieur... Dit elle en se dégageant doucement de l'elfe et en avancant vers le laboratoire, arc en main sans rien d'encoché - Je suis Idunn et je viens faire aujourd'hui une Vérification pour voir si vos papiers sont en règle et les procédures respectées, monsieur?
Soyons franc, elle a plus envie de lui décocher une flèche en pleine tête, mais ca ne serait pas productif. Il faut exterminer toutes les branches à la palce de taper aveuglément dans le tas. Soit il est bien renseigné comme il le soupconne et il sait qui elle est, soit pas du tout et il panique. Soit il joue le jeu en espérant l'entourlouper. Soit il lui envoie cette salope en pleine gueule, auquel cas elle est prête.Peut-être est il au courant pour le Petit Prince, peut-être pas. il est son joker dont elle a une confiance absolue et la demi orc compte sur lui pour lui couvrir les fesses.
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