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Mes lectures brèves des cartes et livres que j'ai pu avoir me rappel que Melorn est dans le nord. Elle me le confirme en étant surprise que je sois artiste d'une compagnie. J'hoche la tête en la regardant ramasser ses affaires et ranger son étale.
- Oui je suis chanteuse et danseuses et nous avons fais halte ici à l'oasis avant de repartir pour une autre ville. J'ai l'habitude de voyagé et des espace réduit dans les roulottes.
Je dit cela en souriant tout en regardant avec insistance et envie la belle naine qui range ses affaires. Les bijoux sont soigneusement rangé dans des coffres cadenasser et l'étales se plie sur lui même et deviens plus petit et pratique à transporter.
Une fois terminé, elle me tends la main en me disant que ce n'est pas loin. Je réponds à son invitation en saisissant sa main d'une caresse et la suit à travers les étales des autres marchands. Nous traversons quelques rue mais pas beaucoup et je vois que la caravane de la naine est bien placé. A l'abri du bruit mais pas trop loin du centre de la ville. Elle a de l'expérience je pense.
Sa caravane est aussi grande que la mienne et je sourie en hochant la tête à sa question.
-Oui j'ai l'habitude et j'aime ça, ça ne me dérange pas. C'est très beau au contraire. Bravo pour l'habillage et le rangement. Le bac ici c'est pour l'eau je présume ? C'est ingénieux de le placer ici.
Je lache sa main pour la laisser ouvrir sa roulotte et détourne le regard quelques secondes pour ne pas être trop curieuse sur son mécanisme de fermeture.
A son invitation, je me retourne vers elle et m'approche de la roulotte. En ouvrant la porte, je sens le froid sortir de la caravane ce qui me fait frissonner. J'entre en escaladant les marches et découvre l'intérieur de la naine. C'est plus grand que ça n'a l'air de l'extérieure et je vois que tout est bien rangé avec de l'espace. Gerda entre à ma suite et passe devant moi pour sortir une cruche et deux gobelets dont elle m'en sert un.
Souriante, je la regarde en sentant le froid autour du gobelet sur ma main. Il fait bon dans sa caravane et je m'y sens à l'aise.
Je porte à ma bouche le récipient et hume les arômes de menthes et de citron puis boit une gorgée. Je sourie dans mon verre quand elle annonce la première promesse tenue et parle de la deuxième.
Je boie une nouvelle gorgée et me lève doucement en tenant mon verre dans ma main.
- Je veux bien un autre verre c'est très bon merci. J'ai un régime assez spéciale et je ne pense pas que tu as ce qu'il me faut. Par contre je pense que tu pourrais quand même me combler d'une autre manière.
Je m'approche d'elle en levant mon verre pour lui redemander un verre en souriant. Mon regard cherche le sien et je souffle doucement pour faire apparaître un nuage de chaleur dans cette fraîcheur. Je me mord la lèvre en la regardant, attendant qu'elle me servent une deuxième fois. Ma main libre défait les bouton de la veste que je portait pour me cacher du soleil et je découvre ainsi ma poitrine et mon buste porté par la légère robe.
- Il fait frais dans ta caravane c'est vraiment agréable surtout avec cette chaleur et se soleil qui brûlent nos peau. J'ai l'habitude d'aller dans l'eau pour me rafraîchir mais là c'est parfait.
Je laisse tomber au sol la veste qui recouvrait mon corps. Mon corps est recouvert d'une robe violette qui descend jusqu'à mes hanches, recouvrant les plus secrètes partie de mon corps. D'un geste doux, je pose ma main sur son bras que je remonte doucement sur son épaule, caressant au passage ses biceps plus musclé que les miens.
- Ta musculature est vraiment belle. J'ai vu des femmes musclés mais toi tu reste fémine malgré ça. Ça te vas très bien. Désolé de l'indiscrétion mais ce n'est pas trop difficile de voyager seule ?
Ma main caresse son épaule et descends dans son dos pour sentir ses trapèze tout en la regardant avec un regard et sourire malicieux. Le froid perle sur ma peau d'une chair de poule qui me fait frissonner et bouger les épaules.
- Oui je suis chanteuse et danseuses et nous avons fais halte ici à l'oasis avant de repartir pour une autre ville. J'ai l'habitude de voyagé et des espace réduit dans les roulottes.
Je dit cela en souriant tout en regardant avec insistance et envie la belle naine qui range ses affaires. Les bijoux sont soigneusement rangé dans des coffres cadenasser et l'étales se plie sur lui même et deviens plus petit et pratique à transporter.
Une fois terminé, elle me tends la main en me disant que ce n'est pas loin. Je réponds à son invitation en saisissant sa main d'une caresse et la suit à travers les étales des autres marchands. Nous traversons quelques rue mais pas beaucoup et je vois que la caravane de la naine est bien placé. A l'abri du bruit mais pas trop loin du centre de la ville. Elle a de l'expérience je pense.
Sa caravane est aussi grande que la mienne et je sourie en hochant la tête à sa question.
-Oui j'ai l'habitude et j'aime ça, ça ne me dérange pas. C'est très beau au contraire. Bravo pour l'habillage et le rangement. Le bac ici c'est pour l'eau je présume ? C'est ingénieux de le placer ici.
Je lache sa main pour la laisser ouvrir sa roulotte et détourne le regard quelques secondes pour ne pas être trop curieuse sur son mécanisme de fermeture.
A son invitation, je me retourne vers elle et m'approche de la roulotte. En ouvrant la porte, je sens le froid sortir de la caravane ce qui me fait frissonner. J'entre en escaladant les marches et découvre l'intérieur de la naine. C'est plus grand que ça n'a l'air de l'extérieure et je vois que tout est bien rangé avec de l'espace. Gerda entre à ma suite et passe devant moi pour sortir une cruche et deux gobelets dont elle m'en sert un.
Souriante, je la regarde en sentant le froid autour du gobelet sur ma main. Il fait bon dans sa caravane et je m'y sens à l'aise.
Je porte à ma bouche le récipient et hume les arômes de menthes et de citron puis boit une gorgée. Je sourie dans mon verre quand elle annonce la première promesse tenue et parle de la deuxième.
Je boie une nouvelle gorgée et me lève doucement en tenant mon verre dans ma main.
- Je veux bien un autre verre c'est très bon merci. J'ai un régime assez spéciale et je ne pense pas que tu as ce qu'il me faut. Par contre je pense que tu pourrais quand même me combler d'une autre manière.
Je m'approche d'elle en levant mon verre pour lui redemander un verre en souriant. Mon regard cherche le sien et je souffle doucement pour faire apparaître un nuage de chaleur dans cette fraîcheur. Je me mord la lèvre en la regardant, attendant qu'elle me servent une deuxième fois. Ma main libre défait les bouton de la veste que je portait pour me cacher du soleil et je découvre ainsi ma poitrine et mon buste porté par la légère robe.
- Il fait frais dans ta caravane c'est vraiment agréable surtout avec cette chaleur et se soleil qui brûlent nos peau. J'ai l'habitude d'aller dans l'eau pour me rafraîchir mais là c'est parfait.
Je laisse tomber au sol la veste qui recouvrait mon corps. Mon corps est recouvert d'une robe violette qui descend jusqu'à mes hanches, recouvrant les plus secrètes partie de mon corps. D'un geste doux, je pose ma main sur son bras que je remonte doucement sur son épaule, caressant au passage ses biceps plus musclé que les miens.
- Ta musculature est vraiment belle. J'ai vu des femmes musclés mais toi tu reste fémine malgré ça. Ça te vas très bien. Désolé de l'indiscrétion mais ce n'est pas trop difficile de voyager seule ?
Ma main caresse son épaule et descends dans son dos pour sentir ses trapèze tout en la regardant avec un regard et sourire malicieux. Le froid perle sur ma peau d'une chair de poule qui me fait frissonner et bouger les épaules.
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Apprendre que Siriane est chanteuse et danseuse ne devrait pas me surprendre. Elle est gracieuse et féminine. Elle possède un naturel et une aisance dans la parole et dans le geste qui auraient du me mettre la puce à l'oreille immédiatement.
- C'est admirable. J'ai toujours envié votre créativité.
Créativité ... ? Je ne manque pas de créativité non plus dans un sens, en fabriquant des choses, imaginant des enchantements, des concepts, des idées.
- Enfin ... je veux dire. Je sais que moi aussi je crée des choses. Mais ce que vous autres dans le spectacle vivant. C'est juste ... différent.
Je ne sais pas comment l'exprimer. En mots simples, les artisans fabriquent des objets. Parfois beaux. Danseurs, chanteurs et acteurs font vivre à leurs spectateurs des instants fugaces et uniques. Se sont des émotions, des souvenirs et des rêves qu'ils forgent.
Je me sens proches des gens du spectacle. Nous avons la même manière d'appréhender la liberté et sommes tous des enfants des routes. Mais ce que font les artistes de spectacle c'est ... juste différent. Les érudits de Mélorn seraient probablement d'un autre avis. Ils regarderaient de haut les "saltimbanques" dont le savoir vient du caniveau. Seul le savoir encyclopédique, académique trouverait grâce aux yeux de la majorité d'entre eux. L'inspiration, l'impertinence de la création et l'expression corporelle comme vecteur d'émotions et de messages subliminaux. Tout cela aurait des chances de leur passer à côté.
Je n'ai malheureusement pas l'occasion de mettre des mots sur ces pensées car bientôt d'autres choses nous préoccupent. Je suis heureuse de lui faire visiter mon "chez moi". L'idée que pour une fois les yeux qui se posent sur mon mobilier soient ceux d'une autre nomade me fait plaisir.
Pourtant, aussi fière que je sois de mon aménagement intérieur, il apparait rapidement que ce ne sont pas mes bibelots qui retiennent le plus l'attention de la belle artiste. Je remplis de nouveau son verre à sa demande et répète avec curiosité.
- Un régime spécial ... ?
Je me sens un peu idiote après coups d'avoir réagi là dessus plutôt que sur le "Tu pourrais me combler d'une autre manière". Une déclaration assez peu ambigue étant donné le contexte. Je ris de ma propre bêtise et secoue la tête.
- Pardon. Je sais pas pourquoi j'ai posé la question.
Comme pour me donner raison, c'est l'instant que la belle choisit pour laisser choir avec une lenteur calculée une nouvelle couche de vêtements. Le geste m'incite à me rapprocher davantage d'elle et à laisser sa main commencer à toucher mon corps. Elle vante ma musculature. Si elle savait à quel point je suis peu fière de cet aspect de mon physique ... Je suis une naine. Bourrue. Epaisse. Mal dégrossie, je n'ai pour moi que la générosité des courbes offertes à ma race. J'ai toujours vécu dans l'ombre des gracieuses et fragiles elfes qui font tourner les têtes et les coeurs partout autour du monde. Je me console en me disant qu'au moins cette carrure semble parfois plaire aux femmes. C'est déjà ça.
Mais je souris devant le compliment. Si je lui plais et qu'elle me le dis, pourquoi je gacherai ce moment avec mes complexes mal placés ?
- Merci.
Yeux levés vers elle, je laisse à mon tour mes paumes parcourir sa peau de lait. Contrairement à beaucoup de travailleuses, mes mains sont douces, épargnées par les cals. Privilège de ma condition de bijoutière où la délicatesse prime sur la force brute. Je lui répond d'un ton tranquille.
- Je sais me défendre. Et je fais surtout de belles rencontres. Croiser une jolie fleur du désert comme toi vaut bien quelques saisons passées seule à la belle étoile, tu ne crois pas ... ?
Une phrase d'accroche un petit peu ringarde vous pensez ? C'est possible. Mais ca reste la vérité. La rencontre inopinée de Siriane compense largement les semaines de monotonie qui ont précédé. J'aime la liberté que mes voyages procurent. J'aime faire de nouvelles rencontres. Souvent innocentes. Parfois un petit peu moins, comme celle d'aujourd'hui ...
Même avec les chaussures que je porte, ce sont presque 50 centimètres qui nous séparent elle et moi. Un problème de taille qui rend les rapprochements difficiles. Aussi j'invite d'un geste la belle à s'asseoir avec moi sur la couchette.
Mes doigts s'égarent dans la chevelure flamboyante de l'artiste alors que j'écarte avec douceur les quelques mèches qui s'étaient égarées sur son visage.
- On dirait des flammes. Beaucoup de filles d'ici doivent te jalouser.
- C'est admirable. J'ai toujours envié votre créativité.
Créativité ... ? Je ne manque pas de créativité non plus dans un sens, en fabriquant des choses, imaginant des enchantements, des concepts, des idées.
- Enfin ... je veux dire. Je sais que moi aussi je crée des choses. Mais ce que vous autres dans le spectacle vivant. C'est juste ... différent.
Je ne sais pas comment l'exprimer. En mots simples, les artisans fabriquent des objets. Parfois beaux. Danseurs, chanteurs et acteurs font vivre à leurs spectateurs des instants fugaces et uniques. Se sont des émotions, des souvenirs et des rêves qu'ils forgent.
Je me sens proches des gens du spectacle. Nous avons la même manière d'appréhender la liberté et sommes tous des enfants des routes. Mais ce que font les artistes de spectacle c'est ... juste différent. Les érudits de Mélorn seraient probablement d'un autre avis. Ils regarderaient de haut les "saltimbanques" dont le savoir vient du caniveau. Seul le savoir encyclopédique, académique trouverait grâce aux yeux de la majorité d'entre eux. L'inspiration, l'impertinence de la création et l'expression corporelle comme vecteur d'émotions et de messages subliminaux. Tout cela aurait des chances de leur passer à côté.
Je n'ai malheureusement pas l'occasion de mettre des mots sur ces pensées car bientôt d'autres choses nous préoccupent. Je suis heureuse de lui faire visiter mon "chez moi". L'idée que pour une fois les yeux qui se posent sur mon mobilier soient ceux d'une autre nomade me fait plaisir.
Pourtant, aussi fière que je sois de mon aménagement intérieur, il apparait rapidement que ce ne sont pas mes bibelots qui retiennent le plus l'attention de la belle artiste. Je remplis de nouveau son verre à sa demande et répète avec curiosité.
- Un régime spécial ... ?
Je me sens un peu idiote après coups d'avoir réagi là dessus plutôt que sur le "Tu pourrais me combler d'une autre manière". Une déclaration assez peu ambigue étant donné le contexte. Je ris de ma propre bêtise et secoue la tête.
- Pardon. Je sais pas pourquoi j'ai posé la question.
Comme pour me donner raison, c'est l'instant que la belle choisit pour laisser choir avec une lenteur calculée une nouvelle couche de vêtements. Le geste m'incite à me rapprocher davantage d'elle et à laisser sa main commencer à toucher mon corps. Elle vante ma musculature. Si elle savait à quel point je suis peu fière de cet aspect de mon physique ... Je suis une naine. Bourrue. Epaisse. Mal dégrossie, je n'ai pour moi que la générosité des courbes offertes à ma race. J'ai toujours vécu dans l'ombre des gracieuses et fragiles elfes qui font tourner les têtes et les coeurs partout autour du monde. Je me console en me disant qu'au moins cette carrure semble parfois plaire aux femmes. C'est déjà ça.
Mais je souris devant le compliment. Si je lui plais et qu'elle me le dis, pourquoi je gacherai ce moment avec mes complexes mal placés ?
- Merci.
Yeux levés vers elle, je laisse à mon tour mes paumes parcourir sa peau de lait. Contrairement à beaucoup de travailleuses, mes mains sont douces, épargnées par les cals. Privilège de ma condition de bijoutière où la délicatesse prime sur la force brute. Je lui répond d'un ton tranquille.
- Je sais me défendre. Et je fais surtout de belles rencontres. Croiser une jolie fleur du désert comme toi vaut bien quelques saisons passées seule à la belle étoile, tu ne crois pas ... ?
Une phrase d'accroche un petit peu ringarde vous pensez ? C'est possible. Mais ca reste la vérité. La rencontre inopinée de Siriane compense largement les semaines de monotonie qui ont précédé. J'aime la liberté que mes voyages procurent. J'aime faire de nouvelles rencontres. Souvent innocentes. Parfois un petit peu moins, comme celle d'aujourd'hui ...
Même avec les chaussures que je porte, ce sont presque 50 centimètres qui nous séparent elle et moi. Un problème de taille qui rend les rapprochements difficiles. Aussi j'invite d'un geste la belle à s'asseoir avec moi sur la couchette.
Mes doigts s'égarent dans la chevelure flamboyante de l'artiste alors que j'écarte avec douceur les quelques mèches qui s'étaient égarées sur son visage.
- On dirait des flammes. Beaucoup de filles d'ici doivent te jalouser.
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Les mots de la naine sur mon métier me fait sourire et je rougie légèrement. La créativité née dans la maniere de monter le spectacle mais je ne lui donne pas se détails, la laissant s'exprimer sur le sens qu'elle donne à ce mot. C'est donc le même que celui que je pensais. J'hoche la tête pour accompagner ses mots avec un sourire bienveillant.
La fraîcheur de la caravane me fait de plus en plus de bien et je lui avoue que j'aime plus me baigner d'habitude mais là c'est parfait. L'eau me rafraîchis et je renouvelle son service en la laissant remplir une deuxième fois mon verre.
Je bois une gorgée et laisse plané le doute sur mon régime alimentaire. Elle ne serait pas prête si je devais lui expliquer de quoi je me nourris. Dans tout les cas, sa réponse me fait sourire avec envie et je pose mes lèvres sur le verre pour cacher mon regard envieux du siens. Je prends le temps de réfléchir à ce que je dis.
- Un peu spéciale oui, plus tôt carnivore en faite. Mais cette faim là est repus pour le moment. Je parle d'une faim différente, plus personnel.
Ma voix est plus suave et en disant cela je laisse glisser de mes frêles épaules mon gilet fin qui cacher ma robe et dévoile ainsi mon décolleté ouvert jusqu'à mon nombril. Ma main se pose délicatement sur la musculature de la naine et je caresse du doigt des muscles en la félicitant pour cela.
Un choc électrique se fait sentir dans mon ventre lorsque ses paumes de main se pose sur ma peau. Le creux de ses mains est doux et elle découvre la chair de poule que j'ai en me touchant. Je frissonne en frémissant alors qu'elle me fait un beau compliment. J'hoche la tête en mordillant ma lèvre inférieur.
D'un geste de main tourner vers la couchette, elle me propose de m'y installer. Je me lève et m'assois confortable t à ses côtés. Je ne la perd pas des yeux alors que ses mains remonte sur mes cheveux. Elle les caresses et écarte les mèches de mon visage en me complimentant sur la couleur de mes racines naturelle.
- Il plaise au femmes et hommes qui viennent me voir à mes représentation oui. J'ignore si elle sont jalouses mais j'aime le croire. Et si une belle naine comme toi, avec des doigt de fée si doux et délicat, les trouvent beaux alors c'est qu'il le sont. Tu voix la beauté dans tout ce que tu touche j'ai l'impression. Si je serais une pierre, j'aimerais être celle que tu ne voudras jamais lâcher. Celle que tu taillera magnifiquement bien. Je n'ai pas beaucoup voyager et vu beaucoup de monde, c'est une première pour moi de découvrir un logis comme celui ci, je m'attendais à quelques choses de plus oetir sans être malpolie avec toi. Je suis heureuse d'avoir croiser ta route Gerda. Si je pouvais partager du temps avec toi ce serait merveilleux pour moi.
Mon sourire est sincère et franc sur mon visage. Nous sommes toute les deux sur cette couchette, un peu plus serrer qu'auparavant dans la caravane ce qui nous rapproche encore plus l'une de l'autre. Ma main se pose sur son épaule et je la caresse tendrement en la regardant avec attention. J'approche mon visage du sien et sans réfléchir j'embrasse ses lèvres en baissant la tête. Je laisse mes cheveux tombé sur son visage et le caresser tandis que mes lèvres découvre les siennes. Ma main caress son cou pour se trouver dans sa nuque et je prend le temps de découvrir et de sentir sa peau contre la mienne. Je ne force ni le contact ni le baiser. Si elle le décide, elle peut se retirer et me congédier si elle ne veut pas de ça. Après tout nous sommes deux artistes libres et avec un peu de temps devant eux.
La fraîcheur de la caravane me fait de plus en plus de bien et je lui avoue que j'aime plus me baigner d'habitude mais là c'est parfait. L'eau me rafraîchis et je renouvelle son service en la laissant remplir une deuxième fois mon verre.
Je bois une gorgée et laisse plané le doute sur mon régime alimentaire. Elle ne serait pas prête si je devais lui expliquer de quoi je me nourris. Dans tout les cas, sa réponse me fait sourire avec envie et je pose mes lèvres sur le verre pour cacher mon regard envieux du siens. Je prends le temps de réfléchir à ce que je dis.
- Un peu spéciale oui, plus tôt carnivore en faite. Mais cette faim là est repus pour le moment. Je parle d'une faim différente, plus personnel.
Ma voix est plus suave et en disant cela je laisse glisser de mes frêles épaules mon gilet fin qui cacher ma robe et dévoile ainsi mon décolleté ouvert jusqu'à mon nombril. Ma main se pose délicatement sur la musculature de la naine et je caresse du doigt des muscles en la félicitant pour cela.
Un choc électrique se fait sentir dans mon ventre lorsque ses paumes de main se pose sur ma peau. Le creux de ses mains est doux et elle découvre la chair de poule que j'ai en me touchant. Je frissonne en frémissant alors qu'elle me fait un beau compliment. J'hoche la tête en mordillant ma lèvre inférieur.
D'un geste de main tourner vers la couchette, elle me propose de m'y installer. Je me lève et m'assois confortable t à ses côtés. Je ne la perd pas des yeux alors que ses mains remonte sur mes cheveux. Elle les caresses et écarte les mèches de mon visage en me complimentant sur la couleur de mes racines naturelle.
- Il plaise au femmes et hommes qui viennent me voir à mes représentation oui. J'ignore si elle sont jalouses mais j'aime le croire. Et si une belle naine comme toi, avec des doigt de fée si doux et délicat, les trouvent beaux alors c'est qu'il le sont. Tu voix la beauté dans tout ce que tu touche j'ai l'impression. Si je serais une pierre, j'aimerais être celle que tu ne voudras jamais lâcher. Celle que tu taillera magnifiquement bien. Je n'ai pas beaucoup voyager et vu beaucoup de monde, c'est une première pour moi de découvrir un logis comme celui ci, je m'attendais à quelques choses de plus oetir sans être malpolie avec toi. Je suis heureuse d'avoir croiser ta route Gerda. Si je pouvais partager du temps avec toi ce serait merveilleux pour moi.
Mon sourire est sincère et franc sur mon visage. Nous sommes toute les deux sur cette couchette, un peu plus serrer qu'auparavant dans la caravane ce qui nous rapproche encore plus l'une de l'autre. Ma main se pose sur son épaule et je la caresse tendrement en la regardant avec attention. J'approche mon visage du sien et sans réfléchir j'embrasse ses lèvres en baissant la tête. Je laisse mes cheveux tombé sur son visage et le caresser tandis que mes lèvres découvre les siennes. Ma main caress son cou pour se trouver dans sa nuque et je prend le temps de découvrir et de sentir sa peau contre la mienne. Je ne force ni le contact ni le baiser. Si elle le décide, elle peut se retirer et me congédier si elle ne veut pas de ça. Après tout nous sommes deux artistes libres et avec un peu de temps devant eux.
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