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Melorn - La dernière cité des elfes
Melorn
Religion dominante : Athée
Politique : Un conseil et leur chef
Capitale : Melorn
Âge de la cité : +6000 ans
État : Soutien militaire au Reike
Gentilé : Melornois/Melornoise
Climat : Printanier (artificiel)
Habitants : 300 000
Races : 95 % elfes, 5 % autres
Expertise : Magie arcanique
Véritable preuve vivante de l’empire elfique déchu, Azshary, Melorn est tout ce qui reste des vestiges des royaumes elfiques du nord. Elle doit son salut à ses érudits qui ont travaillé sans relâche à sa préservation depuis le funeste jour où l'empire a commencé son déclin. Ainsi, sous la supervision de puissants mages menés par une elfe charismatique nommée Lysandre, Melorn réussit à s’imposer comme cité-état au reste du monde. Leurs avancées magiques étant bien trop en avance sur le Reike, Shoumei ou bien la République, aucune des trois nations mères ne pouvait réellement prendre le risque de la conquérir sans se mettre gravement en danger vis-à-vis des autres nations, instaurant ainsi une sorte de statu quo où Melorn restait neutre vis-à-vis des dissensions politiques interfactions.
Au contraire, Melorn dans sa grande ingéniosité a su au fil des années se rendre irremplaçable aux yeux de la République et de l’empire du Reike. Partageant tout d’abord bon nombre de ses recherches et connaissances en magie avec la République avec la fameuse Université Magic située à Liberty, en plein coeur de la République, puis en formant une alliance militaire historique avec le Reike via l’Université de Draakstrang qui avant le déclin des empires elfiques étaient en opposition constante avec eux. Cette alliance militaire a notamment brillé lors de la récente guerre contre les titans, Melorn appuyant les forces reikoises en envoyant de puissants érudits en magie soutenir l’effort de guerre.
C’est ainsi que Melorn a su tirer son épingle du jeu et aujourd'hui plus que jamais parvient à s’imposer sur la scène politique, non pas par la force, mais par ce qu’elle apporte aux deux nations mères en tant qu’alliée de poids avançant main dans la main avec les autres nations en ces temps troubles.
Visuellement, la cité de magie pure pourrait être considérée comme véritable trésor au milieu des paysages mornes et froids du Grand Nord. Une bulle magique, véritable bijou d'architecture magique, recouvre la totalité de la ville, offrant à ses habitants un climat tempéré semblable à un doux printemps tout au long de l’année. Ainsi, les rues et places sont couvertes de plantes et de fleurs se mariant parfaitement avec le blanc légèrement scintillant des structures alimentées par la magie. La lumière ambiante donne presque l’impression qu’il fait toujours jour à Melorn, mais en inspectant le ciel de nuit, il est facile d’apercevoir les différentes étoiles dansant à travers la nuit. Le dôme donnant un effet loupe, le ciel étoilé donne l’impression de pouvoir attraper les étoiles en tendant la main depuis les toits. En définitive, et c’est peut-être là le plus grand lien que possède Melorn avec l’ancien empire elfique, c’est bien que tout chez elle est en quelque sorte une ode à la beauté. Il n’existe pas un lieu au sein de cette somptueuse ville qui pourrait se montrer disgracieux au regard. Certains considèrent même la ville elfique comme une véritable merveille du Sekai.
Toutefois, cette ascendance magique a su au fil du temps créer chez la population de Melorn une certaine fierté proche d’un fort sentiment de supériorité. En effet, les melornois ont fini par abandonner l’or pourtant si précieux au reste des habitants du Sekai. Désormais, tout fonctionne en ville avec un système de troc, échangeant des biens et services entre habitants. Deux résultats majeurs ont découlé de cette prise de position importante. Premièrement, le sentiment de communauté des habitants de Melorn s’en est trouvé grandement renforcé, car chacun a besoin de l’autre pour survivre. Deuxièmement, les rapports entre les habitants de la ville elfique et les potentiels touristes s’en sont trouvés gravement compromis. Certains rares marchands conservent un peu d’or pour faire affaire avec les voyageurs de passage, mais il y a toujours une méfiance envers les non-melornois.
Les elfes se comportent déjà avec un léger sentiment de supériorité vis-à-vis des 5% d’autres races vivant en Melorn, mais ce sentiment se décuple en présence de voyageurs. Beaucoup d’habitants ne daignent même pas adresser la parole à ces touristes de passage. Seuls les officiels venant des nation mère ont droit à un certain respect.
Pour en revenir au système du troc, les érudits qui techniquement ne produisent aucun bien ou rendent un service général à la cité tout au long de l’année, ont une position semblable à celles des nobles d’autres nations. Un immense respect leur est dû et ces derniers peuvent demander n’importe quel bien ou service (dans la mesure du raisonnable) à n’importe quel citoyen sans rien donner en retour.
Il n’est pas aisé de devenir officiellement un érudit de Melorn. Les places sont peu nombreuses et ne sont offertes qu’aux plus méritants. Un concours d’excellence à lieu à chaque fois qu’une place se libère. Un érudit peut aussi décider de former son successeur en le prenant sous sa tutelle, mais ce dernier devra tout de même passer un concours pour prouver qu’il est à la hauteur de ce rôle majeur pour la cité.
Voici quelques éclaircissements concernant Melorn (lien).
Au contraire, Melorn dans sa grande ingéniosité a su au fil des années se rendre irremplaçable aux yeux de la République et de l’empire du Reike. Partageant tout d’abord bon nombre de ses recherches et connaissances en magie avec la République avec la fameuse Université Magic située à Liberty, en plein coeur de la République, puis en formant une alliance militaire historique avec le Reike via l’Université de Draakstrang qui avant le déclin des empires elfiques étaient en opposition constante avec eux. Cette alliance militaire a notamment brillé lors de la récente guerre contre les titans, Melorn appuyant les forces reikoises en envoyant de puissants érudits en magie soutenir l’effort de guerre.
C’est ainsi que Melorn a su tirer son épingle du jeu et aujourd'hui plus que jamais parvient à s’imposer sur la scène politique, non pas par la force, mais par ce qu’elle apporte aux deux nations mères en tant qu’alliée de poids avançant main dans la main avec les autres nations en ces temps troubles.
Visuellement, la cité de magie pure pourrait être considérée comme véritable trésor au milieu des paysages mornes et froids du Grand Nord. Une bulle magique, véritable bijou d'architecture magique, recouvre la totalité de la ville, offrant à ses habitants un climat tempéré semblable à un doux printemps tout au long de l’année. Ainsi, les rues et places sont couvertes de plantes et de fleurs se mariant parfaitement avec le blanc légèrement scintillant des structures alimentées par la magie. La lumière ambiante donne presque l’impression qu’il fait toujours jour à Melorn, mais en inspectant le ciel de nuit, il est facile d’apercevoir les différentes étoiles dansant à travers la nuit. Le dôme donnant un effet loupe, le ciel étoilé donne l’impression de pouvoir attraper les étoiles en tendant la main depuis les toits. En définitive, et c’est peut-être là le plus grand lien que possède Melorn avec l’ancien empire elfique, c’est bien que tout chez elle est en quelque sorte une ode à la beauté. Il n’existe pas un lieu au sein de cette somptueuse ville qui pourrait se montrer disgracieux au regard. Certains considèrent même la ville elfique comme une véritable merveille du Sekai.
Toutefois, cette ascendance magique a su au fil du temps créer chez la population de Melorn une certaine fierté proche d’un fort sentiment de supériorité. En effet, les melornois ont fini par abandonner l’or pourtant si précieux au reste des habitants du Sekai. Désormais, tout fonctionne en ville avec un système de troc, échangeant des biens et services entre habitants. Deux résultats majeurs ont découlé de cette prise de position importante. Premièrement, le sentiment de communauté des habitants de Melorn s’en est trouvé grandement renforcé, car chacun a besoin de l’autre pour survivre. Deuxièmement, les rapports entre les habitants de la ville elfique et les potentiels touristes s’en sont trouvés gravement compromis. Certains rares marchands conservent un peu d’or pour faire affaire avec les voyageurs de passage, mais il y a toujours une méfiance envers les non-melornois.
Les elfes se comportent déjà avec un léger sentiment de supériorité vis-à-vis des 5% d’autres races vivant en Melorn, mais ce sentiment se décuple en présence de voyageurs. Beaucoup d’habitants ne daignent même pas adresser la parole à ces touristes de passage. Seuls les officiels venant des nation mère ont droit à un certain respect.
Pour en revenir au système du troc, les érudits qui techniquement ne produisent aucun bien ou rendent un service général à la cité tout au long de l’année, ont une position semblable à celles des nobles d’autres nations. Un immense respect leur est dû et ces derniers peuvent demander n’importe quel bien ou service (dans la mesure du raisonnable) à n’importe quel citoyen sans rien donner en retour.
Il n’est pas aisé de devenir officiellement un érudit de Melorn. Les places sont peu nombreuses et ne sont offertes qu’aux plus méritants. Un concours d’excellence à lieu à chaque fois qu’une place se libère. Un érudit peut aussi décider de former son successeur en le prenant sous sa tutelle, mais ce dernier devra tout de même passer un concours pour prouver qu’il est à la hauteur de ce rôle majeur pour la cité.
Voici quelques éclaircissements concernant Melorn (lien).
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