Citoyen de La République
Carl Sorince
Messages : 86
crédits : 860
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Info personnage
Race: Humain
Vocation: Guerrier assassin
Alignement: Neutre Mauvais
Rang: C
La vie, c'est un peu comme une boîte de chocolats
Niveau du rp : 1 ou 2 (j'sais pas trop comment me positionner)
Votre nombre de messages rp dans ce topic : 10
Résumé complet :
Alors que la capitale en pleine reconstruction doit faire face à un regain d'activité de la part des gangs - qui profitent de l'agitation ambiante pour s'emparer de nouveaux territoires - Carl apprends que l'une de ses cargaisons est tombée entre les mains de la loi. Conscient que retrouver cette dernière va demander quelques contacts, il rend visite à Pancrace Dosian, un Officier Républicain ne crachant jamais sur un bonus de fin de mois. De fil en aiguille, après s'être entendus sur le prix de l'honnêteté variable de l'Office, ils s'en vont fouiller dans les registres et apprennent qu'une partie de la cargaison -saisie par les Effraies- manque à l'appel : Des organes frais, que certains des plus originaux acheteurs de Carl demandent en l'échange d'une jolie somme. Le Capitaine Sarsky, l'Effraie à l'origine de la saisie, manque d'ailleurs à l'appel parmi les siens. Les deux compères lui rendent donc visite chez lui, pour découvrir le cadavre du pauvre type dans un sale état. Avec le sang du macchabée, un détraqué a écrit sur les murs une seule phrase : "Maudit sois-je". Pancrace et Carl, légèrement désarçonnés par la sinistre scène et -surtout- par l'impasse qu'elle représente- décident de stopper les péripéties le temps de déclarer la mort du type et éviter que cette dernière ne leur retombe dessus...Et pourquoi pas enquêter à côté.
Les jours passent. Carl perd patience. Ses Sanglots posent des questions à tous les tordus des coins malfamés jusqu'à ce qu'entre deux séances d'un tortures, l'un de ses invités avoue certaines choses plutôt intéressantes avant de rendre l'âme. Il recontacte Pancrace pour lui faire part de ses récentes découvertes :
Il y a eu méprise. Sarsky -en saisissant le stock de Carl- a pensé à tort avoir affaire aux tordus d'une secte faisant partie de "La Congrégation" ; un cartel Shoumeïen œuvrant dans l'ombre des quartiers réservés aux réfugiés des Terres Dévastées. Les Siffleurs -puisque c'est ainsi que la Secte se nomme- sont en effet spécialisés dans la récupération et la revente d'organes à leurs compatriotes illuminés menant d'obscurs rituels dans les ombres de la capitale. Et à en juger l'état du pauvre Capitaine des Effraies, sa tentative de négociation avec les sectaires s'est mal terminée. Pancrace et Carl, revigorés par cette nouvelle piste, s'enfoncent donc dans les bas-quartiers pour tirer les vers du nez du grand chef des Siffleurs, qu'ils retrouvent en compagnie de quelques pauvres ères et d'un seul chevalier. "Le Saint" comme il se fait appeler, leur apprend que le meurtre de l'Effraie n'est pas de son fait mais de celui de son bras droit l'ayant récemment supplanté à la tête de la secte. Dans un manque de chance particulièrement affligeant, le duo apprend dans la foulée que ledit bras droit -passablement énervé par sa dernière altercation avec son ancien patron lui ayant coûté littéralement une main- est actuellement en train d'encercler la bicoque dans laquelle ils se trouvent tous pour s'assurer une bonne fois pour toute que la lutte de pouvoir dans sa secte se termine.
Les Sanglots, Carl et Pancrace, toujours à la recherche d'info concernant la cargaison, s'opposent fermement à cette idée -d'autant que le détrôné leur promet des informations si ils le sauvent- et cet état de fait fâche le traître. S'ensuit une violente escarmouche. Les moins organisés finissent au tapis. Le Bras Droit est exécuté par son ancien chef, qui remercie ses sauveurs en tenant parole. Et ils repartent aussi sec vers l'emplacement de la cargaison.
Sur place, ils découvrent ce qui reste des Siffleurs, qui s'attendent à tout moment à voir les membres des gangs et sectes alentours débarquer chez eux pour les assimiler ou les annihiler maintenant que leurs leaders sont morts ou disparus (sans parler du fait que le meurtre d'un certain effraie à cause trop de grabuges pour rester impunis). L'idée d'emporter les Sanglots dans la tombe qu'ils se sont creusés eux-mêmes les titille, mais Pancrace et les ombres qu'il manie calment leurs ardeurs, assez longtemps en tout cas pour que Carl leur propose un marché : Il leur laisse la cargaison et des hommes de plus, en échange de quoi ils bosseront pour lui et lui confieront quelques secrets concernant la Congrégation.
L'accord est entendu. Ils quittent les lieux sans encombres. Rejoignent des quartiers à peine mieux fréquentés. L'Officier et le Malfrat s'entendent sur le fait que leur association leur est plutôt profitable puis se disent qu'au final, ça serait pas si mal de remettre ça.
Justification (facultatif pour les topics de niveau 1) : Y'a pas mal de trucs qui se passent dans ce rp, notamment au sujet des quartiers Shoumeïens et des gangs qui l'infestent. On y nomme un Cartel : La Congrégation, censée diriger les trop nombreuses sectes de plus en plus radicales de croyants nostalgiques de la gloire de Bénédictus. Un Effraie est mort, une secte est "réaffectée", comme dit plus haut, j'sais pas trop comment me positionner à ce sujet.
Lien vers le rp : https://www.rp-cendres.com/t3643-la-vie-c-est-un-peu-comme-une-boite-de-chocolats-pancrace
Autres (facultatif) : Les concours de cynisme, c'est toujours quelque chose. Un vrai plaisir de rp avec le copain Pancrace
Niveau du rp : 1 ou 2 (j'sais pas trop comment me positionner)
Votre nombre de messages rp dans ce topic : 10
Résumé complet :
Alors que la capitale en pleine reconstruction doit faire face à un regain d'activité de la part des gangs - qui profitent de l'agitation ambiante pour s'emparer de nouveaux territoires - Carl apprends que l'une de ses cargaisons est tombée entre les mains de la loi. Conscient que retrouver cette dernière va demander quelques contacts, il rend visite à Pancrace Dosian, un Officier Républicain ne crachant jamais sur un bonus de fin de mois. De fil en aiguille, après s'être entendus sur le prix de l'honnêteté variable de l'Office, ils s'en vont fouiller dans les registres et apprennent qu'une partie de la cargaison -saisie par les Effraies- manque à l'appel : Des organes frais, que certains des plus originaux acheteurs de Carl demandent en l'échange d'une jolie somme. Le Capitaine Sarsky, l'Effraie à l'origine de la saisie, manque d'ailleurs à l'appel parmi les siens. Les deux compères lui rendent donc visite chez lui, pour découvrir le cadavre du pauvre type dans un sale état. Avec le sang du macchabée, un détraqué a écrit sur les murs une seule phrase : "Maudit sois-je". Pancrace et Carl, légèrement désarçonnés par la sinistre scène et -surtout- par l'impasse qu'elle représente- décident de stopper les péripéties le temps de déclarer la mort du type et éviter que cette dernière ne leur retombe dessus...Et pourquoi pas enquêter à côté.
Les jours passent. Carl perd patience. Ses Sanglots posent des questions à tous les tordus des coins malfamés jusqu'à ce qu'entre deux séances d'un tortures, l'un de ses invités avoue certaines choses plutôt intéressantes avant de rendre l'âme. Il recontacte Pancrace pour lui faire part de ses récentes découvertes :
Il y a eu méprise. Sarsky -en saisissant le stock de Carl- a pensé à tort avoir affaire aux tordus d'une secte faisant partie de "La Congrégation" ; un cartel Shoumeïen œuvrant dans l'ombre des quartiers réservés aux réfugiés des Terres Dévastées. Les Siffleurs -puisque c'est ainsi que la Secte se nomme- sont en effet spécialisés dans la récupération et la revente d'organes à leurs compatriotes illuminés menant d'obscurs rituels dans les ombres de la capitale. Et à en juger l'état du pauvre Capitaine des Effraies, sa tentative de négociation avec les sectaires s'est mal terminée. Pancrace et Carl, revigorés par cette nouvelle piste, s'enfoncent donc dans les bas-quartiers pour tirer les vers du nez du grand chef des Siffleurs, qu'ils retrouvent en compagnie de quelques pauvres ères et d'un seul chevalier. "Le Saint" comme il se fait appeler, leur apprend que le meurtre de l'Effraie n'est pas de son fait mais de celui de son bras droit l'ayant récemment supplanté à la tête de la secte. Dans un manque de chance particulièrement affligeant, le duo apprend dans la foulée que ledit bras droit -passablement énervé par sa dernière altercation avec son ancien patron lui ayant coûté littéralement une main- est actuellement en train d'encercler la bicoque dans laquelle ils se trouvent tous pour s'assurer une bonne fois pour toute que la lutte de pouvoir dans sa secte se termine.
Les Sanglots, Carl et Pancrace, toujours à la recherche d'info concernant la cargaison, s'opposent fermement à cette idée -d'autant que le détrôné leur promet des informations si ils le sauvent- et cet état de fait fâche le traître. S'ensuit une violente escarmouche. Les moins organisés finissent au tapis. Le Bras Droit est exécuté par son ancien chef, qui remercie ses sauveurs en tenant parole. Et ils repartent aussi sec vers l'emplacement de la cargaison.
Sur place, ils découvrent ce qui reste des Siffleurs, qui s'attendent à tout moment à voir les membres des gangs et sectes alentours débarquer chez eux pour les assimiler ou les annihiler maintenant que leurs leaders sont morts ou disparus (sans parler du fait que le meurtre d'un certain effraie à cause trop de grabuges pour rester impunis). L'idée d'emporter les Sanglots dans la tombe qu'ils se sont creusés eux-mêmes les titille, mais Pancrace et les ombres qu'il manie calment leurs ardeurs, assez longtemps en tout cas pour que Carl leur propose un marché : Il leur laisse la cargaison et des hommes de plus, en échange de quoi ils bosseront pour lui et lui confieront quelques secrets concernant la Congrégation.
L'accord est entendu. Ils quittent les lieux sans encombres. Rejoignent des quartiers à peine mieux fréquentés. L'Officier et le Malfrat s'entendent sur le fait que leur association leur est plutôt profitable puis se disent qu'au final, ça serait pas si mal de remettre ça.
Justification (facultatif pour les topics de niveau 1) : Y'a pas mal de trucs qui se passent dans ce rp, notamment au sujet des quartiers Shoumeïens et des gangs qui l'infestent. On y nomme un Cartel : La Congrégation, censée diriger les trop nombreuses sectes de plus en plus radicales de croyants nostalgiques de la gloire de Bénédictus. Un Effraie est mort, une secte est "réaffectée", comme dit plus haut, j'sais pas trop comment me positionner à ce sujet.
Lien vers le rp : https://www.rp-cendres.com/t3643-la-vie-c-est-un-peu-comme-une-boite-de-chocolats-pancrace
Autres (facultatif) : Les concours de cynisme, c'est toujours quelque chose. Un vrai plaisir de rp avec le copain Pancrace
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