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Lyra Leezen
Noctalys Dremur
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Noble du Reike
Noctalys Dremur
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Et il rejoignit les Étoiles
Il ne perdait aucune occasion de glisser un compliment. Et si cette manie, toute commerciale au demeurant, pouvait parfois m'exaspérer, il y avait dans sa façon de faire un enthousiasme profond, rentant la démarche sincère. Un commerçant sincère, quelle drôle d'espèce ! Intrigué par cette démarche, j'observais attentivement ses réactions. Si la raison me dictait de me méfier, comme si cet homme était intéressé, mes yeux hurlaient tout le contraire. Il était... dans un élan ne souffrant de la moindre cachoterie. Ma vue me trompait elle ? Ma mémoire, elle, peut être. Avais je parlé du Culte tout haut ? Le flot de mes réflexions avait peut être glissé quelques allusions au creux des croyances Shieraks. Un blasphème au sein même des funérailles de notre Cœur ! Je m'en voulais un peu. L'espace d'une demi seconde, mes yeux s'effilèrent en glissant vers le sol, trahissant une légère honte en réalisant mon geste.
Me reprenant vite, je soutenais son regard lorsqu'il reprit sur la philosophie. Il voyait donc tout comme une forme de bataille. Bataillait il contre moi actuellement ? Et si sa mention des pierres me laissait imaginer une image de lynchage... il n'en fut rien. Une pierre à l'édifice, une construction ? Cette bataille était donc coopérative ici ? Sa psyché, à la fois simple et surprenante, était de plus en plus captivante. Il avait vite fait son affaire, d'imaginer ainsi la coopération entre un républicain et un reikois se connaissant à peine. Si une chose était certaine : il savait mettre à l'aise dans une conversation.
Pour autant, il ne niait pas son potentiel intérêt commercial. Cherchait il à atteindre un contrat via la notoriété de ma Maitresse ? Sans réellement comprendre pourquoi j'en doutais. Il semblait réellement enjoué par notre rencontre... La curiosité le poussait à mettre son métier au second plan ? Peut être. Après tout, cet œil curieux, je le connais bien. Il fut posé sur moi à maintes reprises par le passé. Mais la noblesse a cette fâcheuse tendance à poser un regard supérieur sur ce qui l'intrigue. Là, le marchand semblait considérer mon existence comme plus, comme une vie au même titre que là mienne. Et ça c'était d'un rafraîchissant. Lui adressant un léger sourire, je cachais ma surprise en remarquant qu'il m'avait habilement renvoyé la question. C'était lui qui était venu m'aborder non ?
Aussi, un léger rire m'échappa avant que je ne réponde.
"Hé bien mon cher, en premier intention, je n'ai d'autres prétentions que de converser courtoisement avec une personne venant à ma rencontre. Après tout, comment pourrais je attendre initialement quoi que ce soit d'une conversation dont je ne suis pas à l'initiative ?"
Lui adressant un petit sourire, je l'observais une seconde, voir si mon botage en touche avait créer quelconque réaction. Puis je repris.
"Mais, je me dois à l'admettre, votre ouverture sincère et presque candide met un tel baume au cœur, que votre compagnie m'est agréable. Aussi notre échange prend, pour moi, une tournure bien plus grande que simplement rester courtois et présentable en société. Déjà, vous affutez mon verbe, et je ne suis jamais récalcitrant à pareil exercice."
Méritait il la suite ? Après tout... exposer ma position pouvait être risqué... Mais cet homme m'inspirait confiance. J'espérais juste ne pas le regretter. C'était aussi on bon indicateur : s'il parvenait encore à mettre ses intérêts au second plan... c'était définitivement une personne bien.
"Après tout, c'est par cette lame que je souhaite rendre ce qui m'a été offert à la Couronne. Parler en leur nom, avec le plus de précision et de finesse possible, et là la moindre des choses dont je puisse m'acquitter, en gage de remerciement."
Faisant craquer mes serres, je les étirais une à une, sur une patte puis l'autre, tenant ma canne de la libre à chaque fois. Peut être avait il comprit, en tout cas je le pensais assez vif pour ce faire. Aussi ne m'attardais je pas plus à ce propos. Peut être que le tester commençait à m'amuser, aussi, dans le fond.
"Mais votre spontanéité vous honore. Agir avec si peu d'arrière pensé, vous, marchand, aux funérailles du Cœur budgétaire de notre Empire. Vous retrouver en face d'un protégé de la Couronne, et privilégier la richesse spirituelle de l'échange à tout intérêts commercial. Certains vous diraient forts, d'autres fou, d'autres encore totalement voué aux bas de l'échelle sociale. Peut être même que certains demanderaient d'où vous venez, et depuis quand vous cheminez en Sekai !"
Un sourire, plus avenant, se dessina. Pour ma part, je ne dirais rien de tout cela. Je le dirais exceptionnel, agréablement exceptionnel. Comme une de ses brises fraiches qui m'atteignait depuis ma prison dans la forêt, entre les lattes de bois moisies, à l'époque. Car c'est au cœur des ténèbres les plus sombres que la lumière brille le plus fort. Comme ma bonne Maitresse...
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Citoyen de La République
Didier Van Strijdonck
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Didier répondit avec un sourire en coin et un léger hochement de tête aux premiers mots de Noctalys, savourant la porte ouverte pour une réponse à la fois mesurée et subtilement provocatrice, qui vibrait d’une curiosité assumée, presque calculée.
« Ha, je vois. Mais vous savez, même sans être l’initiateur d’un échange, on peut toujours y nourrir quelques attentes, pas vrai ? Les voies de la conversation sont pleines de surprises, comme des sentiers forestiers où chaque détour réserve ses mystères. Après tout, si l’on entame une discussion avec l’esprit vierge, on risque de passer à côté de mille choses. » Ajouta Didier en terminant par un rire léger, presque complice.
S’il tenait une posture détendue, Didier n’en restait pas moins attentif, guettant les infimes expressions de Noctalys. Il observait avec intérêt les émotions qui semblaient fleurir sur le visage de son interlocuteur. À chaque regard, Didier captait une nuance, une inflexion, un détail qui semblait ouvrir la voie à de nouvelles opportunités alimentant l’enthousiasme dans ses yeux.
Puis, sans rompre le fil de la conversation, Didier porta une main sous un pan de sa veste, d’où il tira un petit papier cartonné ainsi qu’un crayon. Avec une assurance décontractée, il y griffonna quelques mots rapides avant de tendre le papier à Noctalys. Son sourire s’agrandit, teinté d’une malice calculée, alors qu’il reprenait la parole sur un ton plus joueur :
« Pour ma part, j’espère que vous ne prendrez pas mal mon désir de prolonger cet “affûtage” du verbe et des idées au-delà de cet évènement, comme vous le dites si bien. Je dois dire que je ne suis pas contre l’idée d’échanger quelques idées avec nos amis reikois… Cela aiguise même mon propre intérêt, pour être tout à fait franc. Voici mon adresse à Liberty, si jamais l’envie vous prenait de vous lancer dans un lien épistolaire avec moi. »
Il le regarda prendre la carte, sentant le lien se tisser doucement. Ce n’était pas une proposition anodine évidement, mais Didier savait quand jouer de sa carte de républicain courtois, à la frontière entre la diplomatie et l’amitié. Il n’allait pas jusqu’à suggérer un quelconque échange commercial : Noctalys savait qui il était et, par conséquent, Didier lui laissait le soin d’initier toute question sur cet aspect de sa vie. À sa manière, il posait un cadre, tout en laissant un champ d’opportunités.
Il observa alors l'hybride examiner la carte un instant avant de se lancer dans une réponse teintée de philosophie, comme s’il dévoilait une part de son intimité, rappelant ses souvenirs de « prison » dans la forêt, une image poignante qui résonnait chez la républicain, le faisant émettre un léger rire nerveux. Il secouait ensuite doucement la tête, comme pour apaiser une tension invisible qui semblait s’être installée entre eux, une tension douce, presque agréable, faite de respect mutuel.
« La magnanimité du couple impérial rayonne donc à travers vous, mon ami!» Conclut-il avant de poursuivre: «Vous savez, je ne suis pas homme à me laisser enfermer dans des cases, même si, bien sûr, il m’arrive d’être, comment dire… pragmatique. Mais les occasions de ce type, rares, sont pour moi autant de manières d’enrichir l’existence, et de voir jusqu’où elle peut mener, quand on ose s’aventurer hors des sentiers battus. »
Les mots glissaient avec une certaine fluidité, et Didier sentait qu’il pouvait se permettre cette parenthèse de sincérité. Peu lui importait si l’on le taxait d’opportuniste ou de marchand avisé ; il savait que les âmes perspicaces, telles que Noctalys, comprenaient la valeur de tels moments partagés. Et dans le feu de cette conversation, il ne put retenir un sourire qui s’étira sur ses lèvres, un peu plus candide, comme la preuve que cet échange n’était pas qu’une transaction masquée.
Après une pause, Didier reprenait, ses yeux pétillants de malice.
« D’ailleurs, je me demandais... Puisqu’on parle de l’impératrice… Avez-vous une idée de qui se prépare à reprendre le flambeau du Coeur ? Corvus laisse un vide de taille pour elle et son époux, et je ne doute pas que les ambitions fleurissent déjà dans l’ombre des couloirs du pouvoir. Pour tout vous dire, les échos de ces ambitions titillent ma curiosité. »
Didier savait mieux que quiconque que les alliances de couloir pouvaient bouleverser les fondements d’un empire tout entier, et il ne cachait pas son désir d’en savoir plus. Sa question n’était pas simplement destinée à tester la connaissance de Noctalys, mais à saisir une vision. Connaître le nom du prochain cœur en dirait effectivement long sur la politique fiscale et monétaire de l'empire, et donc, aurait d'immanquables conséquences sur ses affaires au Reike.
« Ha, je vois. Mais vous savez, même sans être l’initiateur d’un échange, on peut toujours y nourrir quelques attentes, pas vrai ? Les voies de la conversation sont pleines de surprises, comme des sentiers forestiers où chaque détour réserve ses mystères. Après tout, si l’on entame une discussion avec l’esprit vierge, on risque de passer à côté de mille choses. » Ajouta Didier en terminant par un rire léger, presque complice.
S’il tenait une posture détendue, Didier n’en restait pas moins attentif, guettant les infimes expressions de Noctalys. Il observait avec intérêt les émotions qui semblaient fleurir sur le visage de son interlocuteur. À chaque regard, Didier captait une nuance, une inflexion, un détail qui semblait ouvrir la voie à de nouvelles opportunités alimentant l’enthousiasme dans ses yeux.
Puis, sans rompre le fil de la conversation, Didier porta une main sous un pan de sa veste, d’où il tira un petit papier cartonné ainsi qu’un crayon. Avec une assurance décontractée, il y griffonna quelques mots rapides avant de tendre le papier à Noctalys. Son sourire s’agrandit, teinté d’une malice calculée, alors qu’il reprenait la parole sur un ton plus joueur :
« Pour ma part, j’espère que vous ne prendrez pas mal mon désir de prolonger cet “affûtage” du verbe et des idées au-delà de cet évènement, comme vous le dites si bien. Je dois dire que je ne suis pas contre l’idée d’échanger quelques idées avec nos amis reikois… Cela aiguise même mon propre intérêt, pour être tout à fait franc. Voici mon adresse à Liberty, si jamais l’envie vous prenait de vous lancer dans un lien épistolaire avec moi. »
Il le regarda prendre la carte, sentant le lien se tisser doucement. Ce n’était pas une proposition anodine évidement, mais Didier savait quand jouer de sa carte de républicain courtois, à la frontière entre la diplomatie et l’amitié. Il n’allait pas jusqu’à suggérer un quelconque échange commercial : Noctalys savait qui il était et, par conséquent, Didier lui laissait le soin d’initier toute question sur cet aspect de sa vie. À sa manière, il posait un cadre, tout en laissant un champ d’opportunités.
Il observa alors l'hybride examiner la carte un instant avant de se lancer dans une réponse teintée de philosophie, comme s’il dévoilait une part de son intimité, rappelant ses souvenirs de « prison » dans la forêt, une image poignante qui résonnait chez la républicain, le faisant émettre un léger rire nerveux. Il secouait ensuite doucement la tête, comme pour apaiser une tension invisible qui semblait s’être installée entre eux, une tension douce, presque agréable, faite de respect mutuel.
« La magnanimité du couple impérial rayonne donc à travers vous, mon ami!» Conclut-il avant de poursuivre: «Vous savez, je ne suis pas homme à me laisser enfermer dans des cases, même si, bien sûr, il m’arrive d’être, comment dire… pragmatique. Mais les occasions de ce type, rares, sont pour moi autant de manières d’enrichir l’existence, et de voir jusqu’où elle peut mener, quand on ose s’aventurer hors des sentiers battus. »
Les mots glissaient avec une certaine fluidité, et Didier sentait qu’il pouvait se permettre cette parenthèse de sincérité. Peu lui importait si l’on le taxait d’opportuniste ou de marchand avisé ; il savait que les âmes perspicaces, telles que Noctalys, comprenaient la valeur de tels moments partagés. Et dans le feu de cette conversation, il ne put retenir un sourire qui s’étira sur ses lèvres, un peu plus candide, comme la preuve que cet échange n’était pas qu’une transaction masquée.
Après une pause, Didier reprenait, ses yeux pétillants de malice.
« D’ailleurs, je me demandais... Puisqu’on parle de l’impératrice… Avez-vous une idée de qui se prépare à reprendre le flambeau du Coeur ? Corvus laisse un vide de taille pour elle et son époux, et je ne doute pas que les ambitions fleurissent déjà dans l’ombre des couloirs du pouvoir. Pour tout vous dire, les échos de ces ambitions titillent ma curiosité. »
Didier savait mieux que quiconque que les alliances de couloir pouvaient bouleverser les fondements d’un empire tout entier, et il ne cachait pas son désir d’en savoir plus. Sa question n’était pas simplement destinée à tester la connaissance de Noctalys, mais à saisir une vision. Connaître le nom du prochain cœur en dirait effectivement long sur la politique fiscale et monétaire de l'empire, et donc, aurait d'immanquables conséquences sur ses affaires au Reike.
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Noctalys Dremur
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Et il rejoignit les Étoiles
Si une chose était certain, c'était que ce marchand le lâchait rien ! Un peu amusé par sa première remarque, je laissais simplement un petit rire, proche du cri volatile, gronder sourdement dans ma gorge fermée. Si mon interlocuteur était bel et bien humain, il avait tout du rapace, à certains égards bien plus prédateurs que moi. Une chance qu'il ne soit pas en chasse. Ou jouait il avec sa nourriture ? Non : un je ne sais quoi me susurrait le contraire. Pour l'heure, il fit son petit tour de carte. Mon regard, rivée sur ses mains, scrutait d'un œil attentif une seconde avant de repasser à son visage. Il réseautait, et m'offrait la réciproque par la même. Si, malgré ma position, mon réseau peinait au vu de ma trop courte existence, j'étais ravis de pouvoir l'y compter. Une forme de début, le premier républicain en tout cas, pour moi. A dire vrai... pour l'heure, mon réseau était bien maigre au delà d'Ikusa... Mais tache à moi de corriger cela ! Levant une griffe de ma canne -tenue toujours par l'autre- je pris cette carte entre deux serres. Le mouvement, calme, restait plutôt fluide tandis que je la rangeais dans une poche abdominale discrète. Un léger coup d'oeil au passage, j'hochais la tête à sa proposition, évidemment.
Ecoutant calmement la suite, je remis ma serre sur l'autre, mon sourire fermant légèrement mes yeux à ses remarques. Vint alors sa question, qui, de coutume, aurait put me laisser méfiant. Mais avec cet homme, aux arrières pensées agréablement limitées, il n'en fut pas réellement le cas. En revanche... je craignais de ne pas pouvoir épancher sa soif de savoir... Tout proche de l'Impératrice étais je...
"Et bien, à dire vrai, certains sont pressentis, supposés. Mais je n'ai pus glaner réellement de noms. Il faut dire, si la succession a été abordée, elle n'aurait sut l'être officiellement, au vu des circonstances du départ tragique de notre regretté Cœur. Les conditions foudroyantes et imprévues de son décès ont laissées un vide... qui ne put être prévu plus à l'excès, et de par la surprise, au demeurant réellement mauvaise, et par respect pour le défunt bien entendu. Je craint de ne pouvoir être d'aucun secours face à votre curiosité."
Il est vrai, après tout, comment aurions nous oser jacasser de prise de position dans la Main... alors même que les cendres de notre Cœur précédent n'étaient pas encore rependues aux quatre vents ? Quel affront à sa mémoire cela aurait été. Non, ce genre d'hommes, de grands hommes, méritent mieux, plus de considérations. Que ma place soit rapidement remplie à mon départ, soit. Je ne suis qu'un rouage de notre Empire. Mais lui, c'était une figure... Ca mérite plus de temps avant de palabrer basse organisation.
Toujours étant, semblant me remémorer quelque chose, je relevais la tête après mes mots, puis je repris.
"Quoi que... je crois me souvenir de quelques gens au palais ayant discuté de la possibilité d'accession au poste, d'une personne sous les ordres du Cœur depuis un moment maintenant. Un employer en charge de la collecte des impôts pour l'Empire si je ne m'abuse, un des plus zélés, remarquablement zélé même... Un certain... Le Duc, Le Buche... Le Bouc ! Il ne m'a jamais été donné de le rencontrer personnellement, bien qu'il doit être de cette assemblée, probablement et comme beaucoup de notables ici. Mais cette idée semble assez compromise..."
Je approchais ma tête de son oreille pour murmurer, si je parlais déjà bas, encore plus bas.
"Certains auraient tôt fait de dire que son zèle... pourrait être outrancier. Et donc, que de telle excès, même zélés, pourraient desservir les finances de l'Empire en cas de décisions trop tranchées.... De grâce, prenez cet élément avec toute méfiance... et évitez de trop en user... Je ne souhaiterais pas lancer quelconque rumeur, pouvant en venir à néfastes issues par ma confidence. J'espère que vous me comprendrez. Du reste, la véracité de ce bruit de couloir est... plus que discutable à mon sens, et semble déjà se saborder dans l'œuf."
Je me redressais comme si rien n'étais... Quelqu'un avait jasé ici ? Personne voyons.
"Quoi qu'il en soit, j'apprécie votre proposition. Mes serres ne sont pas les outils les plus pratiques pour tenir une plume, mais vous m'encouragez à surpasser cette difficulté. Vous aurez de mes nouvelles, cher ami. En outre, j'espère que vous ne m'en voudrez pas de ma graphologie... approximative."
Simple formule de politesse. Commençant à cerner cet homme, je me doutais qu'il ne s'en formaliserait pas. Et j'en étais ravis d'ailleurs. Mes débuts de réseau en République. Et peut être pas que ?
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