Dans les vastes étendues de Shoumeï, où les murmures des temps anciens s'entremêlent aux lamentations des âmes égarées, Advorix Eqqegni avançait tel un spectre errant parmi les vestiges dévastés de la civilisation. Son visage, marqué par les siècles écoulés et par la marque indélébile de la pourriture, reflétait une détermination inébranlable, une volonté farouche d'accomplir son dessein. Arpentant les terres désolées, il était accompagné de son épée maudite, une lame forgée dans des flammes oubliées et imprégnée du pouvoir des ténèbres. Cette arme, au tranchant acéré et à la lueur sinistre, était devenue le symbole de son autorité, l'instrument de sa puissance sur les âmes mortes et tourmentées qui peuplaient ces contrées oubliées.

Les morts-vivants, autrefois des êtres esseulés et égarés, errant sans but à travers les ruines de leur ancienne vie, furent attirés par la présence magnétique d'Advorix et la promesse de renouveau qu'il leur offrait. Avec une habileté subtile et une persuasion sans égale, il parvint à rallier à sa cause ces âmes éplorées, à leur redonner espoir et à forger une communauté disparate sous sa bannière lugubre. Les récits de ses exploits se répandaient tels des murmures dans le vent, portant la nouvelle de sa bravoure et de sa détermination à défier les forces de l'oubli et de la destruction. Bientôt, son nom devint synonyme de respect et de crainte parmi les morts-vivants, une figure vénérée et redoutée, dont la voix résonnait comme un écho des temps anciens.

Avec son épée maudite comme guide et son charisme magnétique comme étendard, Advorix rassembla une armée de morts-vivants, prêts à se battre à ses côtés contre les forces de l'obscurité qui menaçaient de les engloutir. Leur loyauté envers lui était indéfectible, leur dévotion sans limites, car en lui, ils voyaient non seulement un chef, mais aussi un guide, un protecteur, un véritable héraut du grand X'o-Rath. Ainsi, sous l'égide sombre d'Advorix, ces morts-vivants, jadis condamnés à une existence solitaire et désespérée, trouvèrent un dessein commun, une cause pour laquelle ils étaient prêts à verser leur sang et à défier les ténèbres. Et tandis qu'ils avançaient ensemble, prêts à affronter les épreuves à venir, une lueur d'espoir émergeait des ténèbres, comme un phare dans la nuit, guidant ces âmes perdues vers un avenir incertain mais prometteur.

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Fantassins (pack de 10) - 200 crédits

La clique décrépite ainsi nommée, « Les Coupes-Jarrets de Sancta », se compose d'individus cadavériques, des morts-vivants décomposés recrutés parmi la cohue grouillante des non-morts issus de la cité. La majorité d'entre eux étaient jadis des soldats, fauchés lors du carnage de Sancta, et ils portent encore sur eux les lambeaux de leurs armures, témoignages déchirants de leur ancienne gloire martiale. Ces guerriers déchus, à la démarche chancelante et au regard vitreux, sont revenus à la vie dans un état de putréfaction avancé, leurs chairs décomposées suspendues aux os comme des lambeaux de tissu usé. Enduits de la saleté des âges et de la crasse des tombes, ils avancent telles des ombres parmi les ruines de Sancta, leurs silhouettes voilées de tristesse et de désespoir. Pourtant, malgré leur aspect macabre, ces revenants défunts conservent une certaine aura de dignité, un souvenir lointain de leur vie passée, qui les distingue des autres créatures des ténèbres. Ils constituent un groupe hétéroclite mais redoutable, une bande de parias déchus, prêts à verser le sang coagulé dans leurs veinules grisâtres pour une cause qui leur semble plus grande qu'eux-mêmes, dans l'espoir peut-être de racheter leurs péchés passés ou simplement de trouver un sens à leur existence éternelle
Leur équipement est simple : armures ébréchées et cottes de mailles, fauchons et bouclier large.

(Evidemment pour des raisons RP ces zombies là n'ont rien d'immortels et ont la même constitution que leurs homologues d'autres races mortelles et sont tout aussi suppressibles )



-Les Ecorcheurs du Grand-Nord

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Archers

Une troupe d'arbalétriers non-vivants, venus des terres glaciales du Grand-Nord, sillonne les étendues gelées, leurs ombres se découpant sur la blancheur éblouissante de la toundra. Vêtus de lambeaux de fourrure et de peaux d'animaux, ils avancent silencieusement, leurs yeux morts scrutaient l'horizon avec une intensité glaciale. Ces soldats squelettiques, autrefois valeureux combattants de la froide contrée, arborent désormais les stigmates de leur mort et de leur résurrection macabre. Leurs visages sont dénués d'expression, figés dans une éternelle contemplation de l'au-delà, tandis que leurs doigts osseux se resserrent sur les crosses de leurs arbalètes, prêts à décocher la mort à quiconque oserait s'opposer à eux. Malgré leur apparence terrifiante, ces arbalétriers maudits possèdent une précision redoutable et une détermination implacable, héritages de leur ancienne vie dans les contrées hostiles du Nord. Leurs traits sont marqués par les rigueurs du climat polaire, leurs corps raidis par le froid glacial qui règne en maître sur leur patrie déchue. Ils avancent en silence, tel un cortège funèbre traversant les étendues désolées, leur présence évoquant une menace sourde et implacable, prête à s'abattre sur quiconque oserait défier leur sombre regard.
Leur équipement est simple : gambisons pourries et cottes de mailles, arbalètes et carreaux.

(Evidemment pour des raisons RP ces zombies là n'ont rien d'immortels et ont la même constitution que leurs homologues d'autres races mortelles et sont tout aussi suppressibles )



-Les Phalanges Sombres

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Fantassins d'Elite

Les élites de l'armée des ténèbres, des fantassins d'une férocité inégalée, se dressaient comme des ombres vivantes, parcourant les terres désolées avec une régularité effrayante. Ces spectres de guerre, à la fois majestueux et terrifiants, incarnaient l'essence même de la discipline martiale. Ils portaient sur eux les vestiges de leur passé glorieux, les cicatrices de combats acharnés incrustées dans leurs armures ternies et leur chair putréfiée.
Ces soldats, hideusement marqués par la mort, arboraient des visages distordus, des mâchoires disloquées et des orbites béantes d'où émanait une lueur maléfique. Leurs traits grotesques et déformés, figés dans une expression d'agonie éternelle, inspiraient l'effroi à quiconque osait croiser leur regard. Les armures d'acier, autrefois resplendissantes sous le soleil des batailles, étaient désormais ternies et ébréchées, témoignant des innombrables assauts qu'ils avaient endurés. Ces pièces métalliques, bien que corrodées, s'ajustaient encore parfaitement à leurs silhouettes décharnées, chaque plaque épousant les contours cadavériques de leurs corps.

Leurs corps décomposés, suintant une puanteur infernale, étaient en perpétuelle dégradation, mais animés par une force surnaturelle. La chair putréfiée pendait en lambeaux, laissant apparaître des os blanchis par le temps, tandis que leurs membres semblaient animés d'une vigueur indomptable. Une aura de mal innommable les entourait, imprégnant l'air d'une pestilence suffocante et d'une sensation de désespoir inexorable. Les épées qu'ils maniaient, longues et effilées, semblaient des extensions naturelles de leurs bras squelettiques. Leurs lames, malgré la rouille et les éclats, conservaient une netteté mortelle, prêtes à trancher la chair et les os avec une précision chirurgicale. En véritables maîtres d'armes, ils exécutaient chaque mouvement avec une grâce macabre, leurs coups portés avec une force inhumaine et une adresse sans faille. L'écho de leurs lames fendant l'air résonnait comme un requiem funèbre.

Parmi eux, les hallebardiers se distinguaient par leur stature imposante et leur habileté redoutable. Leurs hallebardes, armes hybrides d'une élégance brutale, étaient maniées avec dextérité et puissance. Chaque coup, chaque balayage de ces longues lames, était d'une efficacité terrifiante, capable de fendre armures et crânes avec une facilité déconcertante. Leurs gestes, empreints d'une précision militaire rigoureuse, étaient le fruit de leurs passés glorieux, ayant souvent été dans le monde du vivant de brillants maître d'arme ou encore des chevaliers de renom.  Leur existence, vouée éternellement à la bataille, était un testament de la futilité de défier la mort elle-même. Chaque mouvement, chaque geste calculé, rappelait à tous la puissance inébranlable de ces guerriers d'outre-tombe, les maîtres incontestés de l'art de la mort.

(Evidemment pour des raisons RP ces zombies là n'ont rien d'immortels et ont la même constitution que leurs homologues d'autres races mortelles et sont tout aussi suppressibles )[/spoiler]

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