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L'Âme des Cendres
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L’apocalypse zombie
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Il me semblait avoir enfin semé le vomito quand un autre zombi à l’air pas bien malin non plus – et qui se prenait visiblement pour une torche humaine – avait jailli de par dessus les fourrés avec en tête une idée aussi absurde que terrorisante : il courrait droit sur moi.
Le type était enveloppé dans un lé de tissu enflammé. Il y avait là quelque chose de spectaculaire. Il était comme une incarnation de la mort : la chaire de son visage avait fondu pour laisser la place à un crâne parfaitement saisissant d’horreur tout drapé d’une colonne crépitante de lumière.
Et avant que je ne me décidasse à cramer avec où à décamper, je me prenais à l’admirer tel une idole de feu embrasant la forêt de son auréole macabre.
Voilà que mon rêve tragico-comique changeait de ton, et le sérieux ne lui seyait guerre. Jusqu’à maintenant, chacune de mes réactions burlesques m’avait sauvé la mise, et c’était peut-être le moment pour mon cerveau de clopiner encore pour qu’un miracle aussi stupide qu’hilarant ne se produisît pour mon salut.
Il suffisait de demander : le sol vrombit, se déchira, et des parcelles entières tentaient de se détacher les une des autres. Une large fissure me séparait à présent du mort-vivant, et celui-ci dont les yeux avaient fondu depuis longtemps ne parut pas s’en préoccuper parce qu’il continuait à courir dans ma direction.
Il chuta avec le plus grand ridicule qui pouvait lui être permis. Il poursuivait son absurde jeu de jambe dans le vide et éclairait pour mon bon confort les parois de ce fabuleux nouveau dédale que la terre avait creusé.
Sa lumière acheva de s’éteindre après de longues minutes, et je fus incapable de savoir si c’était parce qu’il était maintenant trop loin, ou si c’était parce qu’il avait eu fini de se consumer.
Je n’avais aucune envie de tomber là-dedans. La dégringolade semblait infinie. Quoique si elle me permettait de me réveiller, j’étais presque tentée d’y faire un petit plongeon.
Me penchant au-dessus, j’entendis le souffle sourd de l’air, et je sentis un vent violent remonter, brassant avec lui les effluves putrides des morts.
- Ca me semble quand même trop réel, hu hu.
Je pris mes jambes à mon cou lorsque je vis remonter par là des dizaines et des centaines de morts.
Le type était enveloppé dans un lé de tissu enflammé. Il y avait là quelque chose de spectaculaire. Il était comme une incarnation de la mort : la chaire de son visage avait fondu pour laisser la place à un crâne parfaitement saisissant d’horreur tout drapé d’une colonne crépitante de lumière.
Et avant que je ne me décidasse à cramer avec où à décamper, je me prenais à l’admirer tel une idole de feu embrasant la forêt de son auréole macabre.
Voilà que mon rêve tragico-comique changeait de ton, et le sérieux ne lui seyait guerre. Jusqu’à maintenant, chacune de mes réactions burlesques m’avait sauvé la mise, et c’était peut-être le moment pour mon cerveau de clopiner encore pour qu’un miracle aussi stupide qu’hilarant ne se produisît pour mon salut.
Il suffisait de demander : le sol vrombit, se déchira, et des parcelles entières tentaient de se détacher les une des autres. Une large fissure me séparait à présent du mort-vivant, et celui-ci dont les yeux avaient fondu depuis longtemps ne parut pas s’en préoccuper parce qu’il continuait à courir dans ma direction.
Il chuta avec le plus grand ridicule qui pouvait lui être permis. Il poursuivait son absurde jeu de jambe dans le vide et éclairait pour mon bon confort les parois de ce fabuleux nouveau dédale que la terre avait creusé.
Sa lumière acheva de s’éteindre après de longues minutes, et je fus incapable de savoir si c’était parce qu’il était maintenant trop loin, ou si c’était parce qu’il avait eu fini de se consumer.
Je n’avais aucune envie de tomber là-dedans. La dégringolade semblait infinie. Quoique si elle me permettait de me réveiller, j’étais presque tentée d’y faire un petit plongeon.
Me penchant au-dessus, j’entendis le souffle sourd de l’air, et je sentis un vent violent remonter, brassant avec lui les effluves putrides des morts.
- Ca me semble quand même trop réel, hu hu.
Je pris mes jambes à mon cou lorsque je vis remonter par là des dizaines et des centaines de morts.
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Kosmos of the Dead
Une véritable hécatombe. Voilà le mot qui décrivait le mieux l’effroyable situation qui se jouait devant l’élémentaire. Pas une, mais bien deux morts avaient touché le trio laissant Kosmos seul dans son désespoir. La drogue adouci toutefois grandement sa réaction dans un premier temps. Lorsque Katheline fut dévorée par un zombie, la dryade ne tint pas compte du bain de sang qui effusait de la reikoise, et fut plus que ravie pour cette dernière songeant qu’enfin quelqu’un voudrait assouvir ses étranges désires. Mais quand Deydreus tomba tête la première dans le gouffre, la centaure commença à se poser quelques questions. Avait-il survécu à une telle chute ? Évidemment que non. Et c’est bien à cet instant précis, le regard posé sur le corps sans vie de ses compagnons d’aventure, que l’étourdissante réalité de la mort frappa de plein fouet Kosmos.
Elle resta bien quelques secondes les yeux rivés sur les dépouilles de ses amis gisant en bas. Ils paraissaient paisibles, sans doute car la drogue avait agi jusqu’à leur dernier souffle. Quelle étrange expérience cela avait été de rencontrer pour la première fois un véritable reikois et une véritable citoyenne du monde. Ce ne fut pas de tout repos bien sûr, pourtant sans eux, sans la poussière de fae, peut-être que Kosmos aurait péri depuis fort longtemps. L’élémentaire se redressa, lorsqu’une larme vint rouler sur sa joue.
– Ce fut un honneur.
Elle leur adressa un ultime adieu et reprit aussitôt le pas devant l’armée de mort-vivant qui s’apprêtait à l’horizon. Pas de temps à perdre, il fallait survivre au nom de « La Dernière Lueur » et de tous ceux qui sont tombés en cours de route, aussi bien métaphoriquement que littéralement. Kosmos brandit sa fidèle spatule, dernier vestige de l’auberge, et fonça dans un galop furieux vers l’amas de revenants qui s’était formé autour d’elle. C'est maintenant que tout se joue.
–AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH ! S’écria-t-elle, transperçant les membres moribonds de ses adversaires.
Voilà, l'élémentaire apercevait le bout. La lumière. Kosmos y était presque, encore quelques mètres et tout cela ne sera qu’un mauvais souvenir. Son destin s’écrivait à cet instant précis, mort ou vivante, au moins elle avait combattue jusqu'à la fin, et ce fut réellement un honneur.
CENDRES
Elle resta bien quelques secondes les yeux rivés sur les dépouilles de ses amis gisant en bas. Ils paraissaient paisibles, sans doute car la drogue avait agi jusqu’à leur dernier souffle. Quelle étrange expérience cela avait été de rencontrer pour la première fois un véritable reikois et une véritable citoyenne du monde. Ce ne fut pas de tout repos bien sûr, pourtant sans eux, sans la poussière de fae, peut-être que Kosmos aurait péri depuis fort longtemps. L’élémentaire se redressa, lorsqu’une larme vint rouler sur sa joue.
– Ce fut un honneur.
Elle leur adressa un ultime adieu et reprit aussitôt le pas devant l’armée de mort-vivant qui s’apprêtait à l’horizon. Pas de temps à perdre, il fallait survivre au nom de « La Dernière Lueur » et de tous ceux qui sont tombés en cours de route, aussi bien métaphoriquement que littéralement. Kosmos brandit sa fidèle spatule, dernier vestige de l’auberge, et fonça dans un galop furieux vers l’amas de revenants qui s’était formé autour d’elle. C'est maintenant que tout se joue.
–AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH ! S’écria-t-elle, transperçant les membres moribonds de ses adversaires.
Voilà, l'élémentaire apercevait le bout. La lumière. Kosmos y était presque, encore quelques mètres et tout cela ne sera qu’un mauvais souvenir. Son destin s’écrivait à cet instant précis, mort ou vivante, au moins elle avait combattue jusqu'à la fin, et ce fut réellement un honneur.
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Dragon du Razkaal
Kieran Ryven
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Info personnage
Race: Drakyn
Vocation: Guerrier combattant
Alignement: Neutre Bon
Rang: C
Le premier face à face dans ce cauchemar ne m'a jamais paru aussi agréable à vivre. Des milliers de morts-vivants, et la première personne qui n'a pas de chairs humaines entre les dents dans une démarche louche devient la meilleure chose qui vous soit arrivée. Orc puissante, de grande envergure, d'une voix bourrue qui descend largement de plusieurs octaves à côté d'une humaine. Des mains abîmées par la bagarre, et des dents qui décorent ses lèvres parfaitement courbée pour entrer dans une bonne venaison en sauce.
J'aime.
Avançant dans ma direction, je fais de même, le regard maintenant perdu dans cette putain de forêt, comme elle le souligne très bien.
- On est deux.
Pas besoin de retrouver mes pouvoirs pour la toiser ni même la sentir, elle est passé par pas mal de tracas que j'ai pu éviter sans trop de problèmes jusqu'à présent. Ouvrant la bouche pour tenter d'ouvrir la réflexion sur un plan à échafauder, voilà que le sol commence à faire des siennes. Comme dit, interdiction de se casser le museau, alors j'attrape le chien berger et le fous sous mon aisselle comme si c'était qu'un simple chiot avant de réviser mes appuis. Rapidement, entre les couinements du cabot et le déchirement du sol, des voix recommencent à sortir de terre. Faisant une confiance qui me surprend, je détourne effectivement les yeux, et vois sur les troncs qui se font avaler une lumière éblouissante réfléchir sur l'écorce.
Magie ?
Une seconde pour aviser l'étrange papier tombant dans le vide, qui affiche désormais mon torse, je commence à me décaler pour tenter de m'accrocher à morceau du sol dressé en pic, ouvrant une brèche sur les fonds obscurs. Une horde fonce droit sur nous. Un zombie dans le groupe commence son déjeuner par une caillasse lancée par l'orc. Je lâche Lyna et lui ordonne de courir. Les oreilles écrasées, elle décanille sans demander son reste, sautant de fissure en fissure.
Soulevant une branche massive, je l'envoie droit devant moi façon javelots, et en empale deux l'un sur l'autre qui tombe sur le coup mais encore vivant. Ils perdent l'équilibre et commence à faire ralentir le groupe en bousculant les autres.
- Je ne suis pas certain qu'on parvienne à tous les dégommer. Va falloir prendre la tangente.
Si le sol ni même ces créatures ne nous ont pas bouffé avant. Aujourd'hui il n'est plus question d'honneur du combat ou de gloire... Mais de survie.
J'aime.
Avançant dans ma direction, je fais de même, le regard maintenant perdu dans cette putain de forêt, comme elle le souligne très bien.
- On est deux.
Pas besoin de retrouver mes pouvoirs pour la toiser ni même la sentir, elle est passé par pas mal de tracas que j'ai pu éviter sans trop de problèmes jusqu'à présent. Ouvrant la bouche pour tenter d'ouvrir la réflexion sur un plan à échafauder, voilà que le sol commence à faire des siennes. Comme dit, interdiction de se casser le museau, alors j'attrape le chien berger et le fous sous mon aisselle comme si c'était qu'un simple chiot avant de réviser mes appuis. Rapidement, entre les couinements du cabot et le déchirement du sol, des voix recommencent à sortir de terre. Faisant une confiance qui me surprend, je détourne effectivement les yeux, et vois sur les troncs qui se font avaler une lumière éblouissante réfléchir sur l'écorce.
Magie ?
Une seconde pour aviser l'étrange papier tombant dans le vide, qui affiche désormais mon torse, je commence à me décaler pour tenter de m'accrocher à morceau du sol dressé en pic, ouvrant une brèche sur les fonds obscurs. Une horde fonce droit sur nous. Un zombie dans le groupe commence son déjeuner par une caillasse lancée par l'orc. Je lâche Lyna et lui ordonne de courir. Les oreilles écrasées, elle décanille sans demander son reste, sautant de fissure en fissure.
Soulevant une branche massive, je l'envoie droit devant moi façon javelots, et en empale deux l'un sur l'autre qui tombe sur le coup mais encore vivant. Ils perdent l'équilibre et commence à faire ralentir le groupe en bousculant les autres.
- Je ne suis pas certain qu'on parvienne à tous les dégommer. Va falloir prendre la tangente.
Si le sol ni même ces créatures ne nous ont pas bouffé avant. Aujourd'hui il n'est plus question d'honneur du combat ou de gloire... Mais de survie.
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L'Âme des Cendres
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Noble de La République
Neera Storm
Messages : 559
crédits : 574
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Info personnage
Race: Demi-titan
Vocation: Mage élémentaliste
Alignement: Chaotique bon
Rang: B
Tout se passe si vite. Mais pourtant, elles sont ensembles, pour le moment, du moins. Oh des morts, il y en a des tas, tout le monde fuit de partout, et c’est à ne plus savoir où se réfugier dans ce monde perdu, mais pour l’heure, Neera tient la main de Rim et Ayna est toute proche. C’est suffisant. Les autres… La belle n’a malheureusement pas le temps de s’en soucier. Pour preuve, la demi-titan et sa nouvelle complice aux yeux noisettes ont décidé de s’associer. Le but ? Réduire en charpie un zombie qui a eu le malheur de les viser. Avec des poêles. Mais l’une d’elle est enflammée, attention, et le malotru n’a qu’à bien mourir (définitivement cette fois). Lâchant donc la main de sa protégée, l’enseignante lâche un ricanement très léger à la blague de l’ancienne diplomate. Celle-ci semble d’ailleurs avoir reconnu quelqu’un, mais le brusque tremblement de terre l’empêche de satisfaire sa curiosité. Des tremblements de terre ? Et puis quoi, après, ce sera une comète qui s’écrasera sur le Sekai ? Laissant échapper un cri, Neera est tellement distraite que le mort-vivant devant elle est à ça de l’embarquer dans le gouffre qui est juste à un mètre de distance. Seul un saut sur le côté lui permet d’éviter une chute mortelle et avec la force du désespoir, la professeure se découvre des forces insoupçonnées pour pousser le zombie dans les méandres de la terre. Elle, mourir ? Non ! Pas encore ! Et ses amies non plus. Ayna, qui n’est pas loin, réussit à s’en sortir et Rim…
Rim est tuée par l’un de ses propres étudiants.
L’ahurissement naît dans les yeux de Neera alors que, heureusement pour le malheureux, il tombe dans l’abîme. Sinon, la magicienne l’aurait bien poussé elle-même vers le monde des Gardiens. Et pas avec une gentille accolade, loin de là.
Rim meurt, avec un couteau dans le ventre. Et puis quoi ? Quoi ? Qu’ose-t-on ? Un petit bonhomme vert du nom de Stadzank ose la pousser dans le vide ? Mais il aurait fallu vérifier qu’elle était vraiment morte avant de la pousser, pardi ! Un flot de protestations veut jaillir de la bouche de Neera – pour peu, elle s’avancerait bien elle-même vers le gobelin royal – mais Ayna la retient à temps et la fait revenir vers Rim. Utiliser les autres survivants pour survivre ? Oui… Oui, il faut bien faire ça. D’ailleurs, comment est-ce que son alliée arrive à extirper un trampoline des mains des zombies ? Complice jusqu’au bout, Neera décide de l’aider, avec un peu de chances, c’est là, leur porte de sortie pour rester vivants encore quelques minutes. Assurant les arrières d’Ayna, celle-ci est la première à sauter pour échapper aux griffes des morts-vivants. Si elle est rapide, Neera pourra peut-être l’utiliser aussi. Ou elle mourra en essayant…
Rim est tuée par l’un de ses propres étudiants.
L’ahurissement naît dans les yeux de Neera alors que, heureusement pour le malheureux, il tombe dans l’abîme. Sinon, la magicienne l’aurait bien poussé elle-même vers le monde des Gardiens. Et pas avec une gentille accolade, loin de là.
Rim meurt, avec un couteau dans le ventre. Et puis quoi ? Quoi ? Qu’ose-t-on ? Un petit bonhomme vert du nom de Stadzank ose la pousser dans le vide ? Mais il aurait fallu vérifier qu’elle était vraiment morte avant de la pousser, pardi ! Un flot de protestations veut jaillir de la bouche de Neera – pour peu, elle s’avancerait bien elle-même vers le gobelin royal – mais Ayna la retient à temps et la fait revenir vers Rim. Utiliser les autres survivants pour survivre ? Oui… Oui, il faut bien faire ça. D’ailleurs, comment est-ce que son alliée arrive à extirper un trampoline des mains des zombies ? Complice jusqu’au bout, Neera décide de l’aider, avec un peu de chances, c’est là, leur porte de sortie pour rester vivants encore quelques minutes. Assurant les arrières d’Ayna, celle-ci est la première à sauter pour échapper aux griffes des morts-vivants. Si elle est rapide, Neera pourra peut-être l’utiliser aussi. Ou elle mourra en essayant…
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L'Âme des Cendres
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Empereur-dragon du Reike
Tensai Ryssen
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Info personnage
Race: Drakyn
Vocation: Guerrier combattant
Alignement: Chaotique neutre
Rang: S
C’est peut-être une chance que Tensai soit un peu assommé par le mur enflammé qui lui est tombé dessus. S’il était pleinement conscient, il regarderait avec surprise sa bien-aimée se jeter avec une rage folle sur les zombies qui lui font face. Comment la dragonne arrive-t-elle à les tuer un par un ? Elle qui est d’habitude si douce et si calme ? Ici, point de magnanimité, point de tendresse, point de pardon et de bonté. Seule la rage semble entourer Ayshara, au point de se refléter dans ses gestes brusques, dans sa chevelure endiablée, dans une frénésie meurtrière et totalement irréfléchie, aussi. Mais en agissant de la sorte, la belle protège la dépouille de son cher et tendre, permettant dès lors à la plume d’agir avec succès. Une douce aura enveloppe le Drakyn alors qu’il revient à la vie, qu’il se met de nouveau à respirer et à tressaillir. Heureusement pour lui, le mur s’est brisé en de multiples débris lorsqu’il a heurté le roi du Reike, ce qui permet de facto au Conquérant de ne pas être totalement enseveli sous les décombres. Il lui faut bien sûr de la force, de la volonté pour se redresser encore, pour affronter ce monde. Mais devrait-il s’avouer vaincu alors que son âme-sœur est encore en vie ? C’est évidemment hors de question. Alors s’appuyant sur ses bras, Tensai se redresse. D’abord sur ses genoux, il peine à percevoir ce qu’il se passe plus loin, mais il croit voir Ayshara danser malgré l’obscurité ambiante, encore plus renforcée par les flammes derrière lui. L’homme grogne mais parvient définitivement à se mettre debout. Il titube en faisant ses premiers pas, mais il constate avec satisfaction qu’il peut se déplacer et que son corps semble encore capable de tenir le coup. A-t-il déjà de bons réflexes ? Non. C’est ce qui pourrait lui coûter la vie facilement, en cet instant précis. Mais Tensai se concentre sur l’unique perle qui donne du sens à sa vie, en cette apocalypse précis. Et si les secousses ambiantes ne l’aident pas à retrouver un équilibre parfait au début, il parvient quand même à tenir le cap, jusqu’à retrouver une démarche un peu plus assurée.
La Vosdraak ne l’a pas encore remarqué. Mais peut-il lui donner tort ? Elle combat seule des zombies. Et lui ? Lui, qu’est-ce qu’il fait ? Il dort ? Il meurt ? Mais il n’a pas le temps de mourir. Il n’a pas le droit de mourir avant elle et de l’abandonner à son sort. Alors avec un nouveau grognement, et une expression encore plus résolue, Tensai repousse les derniers débris qui encombrent son chemin et il s’approche toujours plus de la sœur de Vaenys. Il voudrait l’appeler, mais quelque chose lui dit qu’elle n’entendrait rien. Qu’importe de toute façon. Maintenant, Ayshara semble s’être calmée, et elle ne s’est toujours pas rendu compte du miracle qui s’est passé dans son dos. C’est tellement vrai que, lorsqu’elle se retourne, une tristesse infinie semble s’être installée dans ses prunelles améthystes. Mais quelle ne doit pas être sa surprise quand son regard se pose sur son mari, sur son époux, qui la regarde à la fois avec soulagement et avec fierté face au massacre qu’elle vient de commettre. Qui osera dire que sa femme est faible ?
- Ayshara.
Difficile de dire pourquoi il est en vie mais Tensai ne s’en préoccupe pas trop. A la place, le guerrier a la bonne (ou mauvaise) idée de faire preuve de bravoure.
- Je ne mourrai pas si facilement, fait-il avec une détermination un peu brusque et presque grognonne. Puis il se radoucit. Je suis désolé de t’avoir laissé les affronter seule.
Malheureusement, le géant n’a pas le temps de continuer. Des lézardes de plus en plus profondes apparaissent au sol avec… encore plus de zombies ? Les sourcils froncés, l’Empereur regarde cette nouvelle menace s’avancer. Qu’auront-ils à affrotner cette fois ?
Et saura-t-il ne pas mourir devant sa bien-aimée une seconde fois ?
La Vosdraak ne l’a pas encore remarqué. Mais peut-il lui donner tort ? Elle combat seule des zombies. Et lui ? Lui, qu’est-ce qu’il fait ? Il dort ? Il meurt ? Mais il n’a pas le temps de mourir. Il n’a pas le droit de mourir avant elle et de l’abandonner à son sort. Alors avec un nouveau grognement, et une expression encore plus résolue, Tensai repousse les derniers débris qui encombrent son chemin et il s’approche toujours plus de la sœur de Vaenys. Il voudrait l’appeler, mais quelque chose lui dit qu’elle n’entendrait rien. Qu’importe de toute façon. Maintenant, Ayshara semble s’être calmée, et elle ne s’est toujours pas rendu compte du miracle qui s’est passé dans son dos. C’est tellement vrai que, lorsqu’elle se retourne, une tristesse infinie semble s’être installée dans ses prunelles améthystes. Mais quelle ne doit pas être sa surprise quand son regard se pose sur son mari, sur son époux, qui la regarde à la fois avec soulagement et avec fierté face au massacre qu’elle vient de commettre. Qui osera dire que sa femme est faible ?
- Ayshara.
Difficile de dire pourquoi il est en vie mais Tensai ne s’en préoccupe pas trop. A la place, le guerrier a la bonne (ou mauvaise) idée de faire preuve de bravoure.
- Je ne mourrai pas si facilement, fait-il avec une détermination un peu brusque et presque grognonne. Puis il se radoucit. Je suis désolé de t’avoir laissé les affronter seule.
Malheureusement, le géant n’a pas le temps de continuer. Des lézardes de plus en plus profondes apparaissent au sol avec… encore plus de zombies ? Les sourcils froncés, l’Empereur regarde cette nouvelle menace s’avancer. Qu’auront-ils à affrotner cette fois ?
Et saura-t-il ne pas mourir devant sa bien-aimée une seconde fois ?
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L'Âme des Cendres
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Noble du Reike
Lucifer
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Info personnage
Race: Démon
Vocation: Mage noir
Alignement: Loyal mauvais
Rang: B - Intendant de Mael - Contrôleur royal
Ah, Sekai, tu me fais une de ces scènes !
De la discrétion, tu passes à l'extrême.
Toi, l'écrin de verdure où j'aimais tant flâner,
Te voilà changé en un théâtre de calamité.
Voilà que le sol chante sa mélodie,
Comme une berceuse qu'on jouerait à un enfant endormi.
Moi, je suis là, assistant à cette tragédie,
S'éloignant du calme, se rapprochant de l'anarchie.
Ces fissures, oh, quelle finesse, quel bazar !
Dessinant des motifs chaotiques à la manière d'un grand artiste d'art.
Et puis ce rugissement venant du plus profond d'un éclair,
Telle une symphonie donnant des frissons, oh combien amère.
BOOM ! Quelle explosion !
Engloutissant tout sur son passage, sans exception.
Ah, ces arbres, jadis si majestueux, quelle désolation,
Tombant un à un, victimes d'une cruelle déflagration.
La faune en déroute, cherchant refuge où elle le peut,
La plupart n'ont pas cette chance, c'est tout ce qu'on eut.
Moi, Lucifer, observant ce chaos, je me demande un peu,
Serait-ce une répétition avant le grand jeu ?
Des profondeurs surgissent ces sons,
Des cris, des hurlements, comme ceux d'une chanson.
Morts-vivants, vous dites ? Quelle imagination !
Marchant, grognant, cherchant leur ration.
Qu'est-ce qui a pu causer cette situation ?
Sekai, mon cher, tu es plein de surprises et d'innovations.
Et bien que cela puisse sembler une terrible affliction,
Je dois admettre que cela a tout de même une certaine attraction.
Est-ce là la nouvelle mode, la tendance du moment,
Un sol déchaîné, des zombies, et tout le tralala, franchement.
Je dois l'avouer, c'est divertissant,
Mais un peu trop intense pour mon tempérament.
Alors Sekai, quel est ton plan ?
Me montrer que même toi, tu peux avoir des moments effrayants ?
Eh bien, mission accomplie, je suis impressionné, vraiment.
Mais entre nous, une petite pause serait bienvenue, honnêtement.
De la discrétion, tu passes à l'extrême.
Toi, l'écrin de verdure où j'aimais tant flâner,
Te voilà changé en un théâtre de calamité.
Voilà que le sol chante sa mélodie,
Comme une berceuse qu'on jouerait à un enfant endormi.
Moi, je suis là, assistant à cette tragédie,
S'éloignant du calme, se rapprochant de l'anarchie.
Ces fissures, oh, quelle finesse, quel bazar !
Dessinant des motifs chaotiques à la manière d'un grand artiste d'art.
Et puis ce rugissement venant du plus profond d'un éclair,
Telle une symphonie donnant des frissons, oh combien amère.
BOOM ! Quelle explosion !
Engloutissant tout sur son passage, sans exception.
Ah, ces arbres, jadis si majestueux, quelle désolation,
Tombant un à un, victimes d'une cruelle déflagration.
La faune en déroute, cherchant refuge où elle le peut,
La plupart n'ont pas cette chance, c'est tout ce qu'on eut.
Moi, Lucifer, observant ce chaos, je me demande un peu,
Serait-ce une répétition avant le grand jeu ?
Des profondeurs surgissent ces sons,
Des cris, des hurlements, comme ceux d'une chanson.
Morts-vivants, vous dites ? Quelle imagination !
Marchant, grognant, cherchant leur ration.
Qu'est-ce qui a pu causer cette situation ?
Sekai, mon cher, tu es plein de surprises et d'innovations.
Et bien que cela puisse sembler une terrible affliction,
Je dois admettre que cela a tout de même une certaine attraction.
Est-ce là la nouvelle mode, la tendance du moment,
Un sol déchaîné, des zombies, et tout le tralala, franchement.
Je dois l'avouer, c'est divertissant,
Mais un peu trop intense pour mon tempérament.
Alors Sekai, quel est ton plan ?
Me montrer que même toi, tu peux avoir des moments effrayants ?
Eh bien, mission accomplie, je suis impressionné, vraiment.
Mais entre nous, une petite pause serait bienvenue, honnêtement.
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L'Âme des Cendres
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L'Apocalypse zombie
[Animation Halloween - HRP]
À l'horizon, un autre spectacle encore plus invraisemblable se façonna. Alors que la terre semblait avoir épuisé toutes ses cruautés, le ciel prit le relais. Un immense déchirement vert émeraude, semblable à une cicatrice fraîchement infligée, fendit les nuages d'un bout à l'autre de l'atmosphère. Le temps s'arrêta (ou presque). Les quelques survivants levèrent les yeux, visiblement intrigués par cette hasardeuse anomalie. Filtrant à travers cette déchirure, d'étranges rayons "solaires" transformèrent la forêt en un tableau aux teintes surnaturelles. Tout était baigné d'une lumière irréelle, hypnotique.
Des formes obscures commencèrent à émerger de cette béance céleste. Des corps. Des morts-vivants tombaient littéralement du ciel, tels des averses de grêlons grotesques. Certains s'écrasaient lourdement sur le sol, d'autres s'accrochaient aux branches, et quelques-uns, par un tour de force que l'on n'aurait pas cru possible, se relevaient et continuaient leur marche funeste, à la recherche de chair à dévorer. La pluie de zombies paraissait interminable, transformant ce tableau dantesque en un véritable cauchemar éveillé.
Mais comme souvent dans les moments les plus sombres de l'histoire, lorsque la tragédie atteint son paroxysme, l'absurde s'invite à la fête. Plusieurs de ces créatures de la mort s'entremêlaient en l'air, se cognant et se repoussant, offrant un genre de ballet pas très crédible, comme s'ils avaient oublié en route leur nature monstrueuse.
Confrontés à ce spectacle horrifique, les (rares) survivants de cette apocalypse réagirent de diverses manières. Certains se mirent à courir, leurs jambes les portant vers une direction choisie au hasard, sans réel espoir de s'échapper. D'autres s'effondrèrent, écrasés par la peur et le désespoir. Seuls quelques-uns parvinrent à garder une relative maîtrise de leur esprit et tentèrent de s'organiser pour faire face à cette nouvelle menace...
CENDRES
Des formes obscures commencèrent à émerger de cette béance céleste. Des corps. Des morts-vivants tombaient littéralement du ciel, tels des averses de grêlons grotesques. Certains s'écrasaient lourdement sur le sol, d'autres s'accrochaient aux branches, et quelques-uns, par un tour de force que l'on n'aurait pas cru possible, se relevaient et continuaient leur marche funeste, à la recherche de chair à dévorer. La pluie de zombies paraissait interminable, transformant ce tableau dantesque en un véritable cauchemar éveillé.
Mais comme souvent dans les moments les plus sombres de l'histoire, lorsque la tragédie atteint son paroxysme, l'absurde s'invite à la fête. Plusieurs de ces créatures de la mort s'entremêlaient en l'air, se cognant et se repoussant, offrant un genre de ballet pas très crédible, comme s'ils avaient oublié en route leur nature monstrueuse.
Confrontés à ce spectacle horrifique, les (rares) survivants de cette apocalypse réagirent de diverses manières. Certains se mirent à courir, leurs jambes les portant vers une direction choisie au hasard, sans réel espoir de s'échapper. D'autres s'effondrèrent, écrasés par la peur et le désespoir. Seuls quelques-uns parvinrent à garder une relative maîtrise de leur esprit et tentèrent de s'organiser pour faire face à cette nouvelle menace...
Règles du jeu
- Il s'agit d'un rp fun où le but est de raconter votre survie en forêt face aux terribles zombies en écrivant des petits rp (minimum 2 lignes). Les participants doivent poster dans ce topic, donc vos personnages se rencontreront sûrement !
- Vous pouvez poster plusieurs fois durant un tour, mais un seul lancer de dé par tour est autorisé.
- C'est HRP. Ce rp n'a donc pas d'impact sur l'histoire du forum et de votre perso'. Néanmoins, nous vous demandons de jouer votre personnage et d'être fidèle à son histoire/ses liens.
- Tous les personnages validés peuvent participer ! Vous pouvez jouer avec tous vos personnages (incluant DC et TC).
- Vous n'avez pas vos pouvoirs.
- Les trolleries et autres trucs obscènes sont bien sûr autorisés (en même temps, c'est le but de cette animation). De plus, votre personnage risque probablement de mourir dans ce jeu. Mais ça, ce sera aux dés de le décider !
- Il existe deux façons de tuer un zombie : le brûler ou atteindre son cerveau.
D'ailleurs, les zombies n'ont pas d'intelligence humaine. Leur seul but est de tuer et dévorer les vivants !
Le fonctionnement des tours
Pour le premier tour, la consigne principale est la suivante :
- Vous devez lancer le dé Forêt 4 . Ce dernier déterminera ce qui vous arrive ce tour-ci.
Ps : Certaines résultats sont volontairement anachroniques.
Pour les tours suivants, de nouvelles consignes vous seront communiquées.
Grosso-modo, il y aura un nouveau tour par semaine.- 2 octobre
- 9 octobre- 16 octobre- 23 octobre- 30 octobre
Évidemment, le dé va probablement vous tuer avant la fin de l'event, mais les joueurs ayant réussi à survivre jusqu'à la fin recevront une récompense bonus !
Règle spéciale :
- Il est désormais impossible de rejoindre l'event.
- Si vous ne postez pas durant un tour, votre personnage sera mort au prochain. Donc Game Over pour vous !
- Comme indiqué dans le premier post, l'action du mjitage se passe dans la forêt. Si vous êtes ailleurs, vous serez isolé de l'action principale et certains dés seront incohérents avec votre narration.
- Quand vous mourrez, merci de venir réclamer vos gains dans ce topic.
Pour toute question, n'hésitez pas à me demander sur discord (Ayshara)
Have fun !
- Comment lancer un dé sur le forum ?:
- Pour ça, la réponse rapide ne fonctionne pas. Vous devez utiliser l'éditeur classique de texte.
Sous l'encadré du message, vous trouverez un champ "Lancer de dés". Vous n'avez qu'à sélectionner le dé que vous désirez (armes) et envoyer votre message rp pour obtenir votre résultat !
- Liste des participants et état:
- Neera Storm
Kieran Ryven / MORT
Xera / MORT
Liz Nahesa / MORT
Camille Anshin / MORT
Katheline / MORT
Rim Casris / MORT
Ayna Yelcan
Jean Bressac
Ayshara Ryssen
Eliëndir / MORT
Destra Hanet / MORT
Lucifer
Leif Brynjolf / MORT
Dante / MORT
Dimitri Chagry / MORT
Kosmos / MORT
Stadzank / MORT
Pyxis Tiamat / MORT
Maria Moonshire / MORT
Isolde Malkyn / MORT
Oyun
Violette de Mirrah
Usha Gavra / MORT
Takhys Suladran / MORT
Deydreus Fictilem / MORT
Altarus Aearon
Lardon / MORT
Tess Paath / MORT
Zelevas E. Fraternitas / MORT
Leonora de Hengebach
Zéphyr Zoldyck / MORT
Tensai Ryssen
CENDRES
Citoyen du monde
Altarus Aearon
Messages : 391
crédits : 796
crédits : 796
Info personnage
Race: Humain-elfe
Vocation: Guerrier combattant
Alignement: Loyal neutre
Rang: C
Altarus ne manqua de sourciller en entendant son compère d'infortune macabre discourir comme un poète. En d'autres circonstances, le demi-elfe aurait pu, peut être, apprécier ses vers. Mais voilà, vu comment les choses changeaient.
La fin était proche, le Capitaine le sentait. Au rythme où son coeur battait les tambours de sa propre fin, s'attendant à ce qu'il cesse d'un coup, car la peur courant dans la moindre de ses veines, il n'eut qu'à lever le nez vers les cieux, en voyant comment les choses se profilaient. En mer, il avait l'habitude de voir le ciel combien sa fureur avec la rage marine... mais là, c'était le monde entier qui se liguait contre tout ce qui était vivant... de tout ce qui demeurait encore vivant surtout... Après le feu et la terre, voilà que le dernier chapitre de sa vie se terminait avec le duo eau et air, qui comme pour se moquer de l'univers, faisait pleuvoir des zombies braillant d'une faim éternelle...
Espérant ne pas se faire dévorer, ignorant totalement son comparse poétique, Altarus, de son oeil unique, essaya de se préparer à esquiver les retombées zombiesques. Quitte à se battre une dernière fois, autant le faire sans se prendre un cadavre mugissant sur le coin du nez... ca ne ferait pas propre comme convenable...
La fin était proche, le Capitaine le sentait. Au rythme où son coeur battait les tambours de sa propre fin, s'attendant à ce qu'il cesse d'un coup, car la peur courant dans la moindre de ses veines, il n'eut qu'à lever le nez vers les cieux, en voyant comment les choses se profilaient. En mer, il avait l'habitude de voir le ciel combien sa fureur avec la rage marine... mais là, c'était le monde entier qui se liguait contre tout ce qui était vivant... de tout ce qui demeurait encore vivant surtout... Après le feu et la terre, voilà que le dernier chapitre de sa vie se terminait avec le duo eau et air, qui comme pour se moquer de l'univers, faisait pleuvoir des zombies braillant d'une faim éternelle...
Espérant ne pas se faire dévorer, ignorant totalement son comparse poétique, Altarus, de son oeil unique, essaya de se préparer à esquiver les retombées zombiesques. Quitte à se battre une dernière fois, autant le faire sans se prendre un cadavre mugissant sur le coin du nez... ca ne ferait pas propre comme convenable...
Divinité primordiale
L'Âme des Cendres
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crédits : 11765
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![[Animation Halloween] L'Apocalypse zombie - Page 17 5uaVW9x](https://i.imgur.com/5uaVW9x.png)
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