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Un corbeau vole dans le ciel pur de cette belle journée d'été, avalant les kilomètres plus rapidement qu'aucun cheval ne le fera jamais. Pourquoi aller à pieds quand on peut accélérer les choses et parcourir plus de distance en une heure qu'en une journée à pied? Et il y a moins de danger quand on vole haut, il faut juste faire gaffe aux faucons.
Oui, voler quand on voyage seul, est préférable. Le volatile vire sur l'aile et arrive enfin en vue de sa destination.
Maêl
Citée blanche et d'azur, laissant irradier une aura pure et du plus parfait ennui. C'est du moins comme ca que Hale se rappelle de la chose. Aujourd'hui cependant, les bannières du Reike volent à tout vent. Le Reike que votre succube favorite n'apprécie pas trop, Ralph lui ayant laissé un goût étrange. Mais il semblerait que ce monde est minuscule. C'est soit ces deux tarés qui se prennent pour des dieux, soit la République, le choix est vite fait. De toute façon, ils vont crever comme totu les autres mortels, c'est juste plus long. Et pour le supposé dragon qui est leur fils? Pure propagande. Quoi qu'il en soit, cette cité n,a pas l'air d'avoir trop souffert... Et en un sens, c'est déprimant.
CROOOOÂ!!!!!!
Lance le corbeau, teigneux, à un groupe de prêtre qu'il dépasse en volant, avant de traverser les épaisses murailles. Derrière, il y a des changements visibles. Indifférent, le volatile perd de l'altitude, se brouillant juste avant qu'un pied botté de cuir souple noir ne se pose au sol, puis un autre, laissant la place à un homme efféminé, ou une femme masculine selon le point de vue. Une grande redingote noire brodée claque au vent quand et des cheveux rouges s'envolent dans tout les sens avant d'être prestement ramenés à l'ordre d'une main experte par leur propriétaire qui rectifie ensuite son accoutrement de voyage poussiéreux à grand renfort de paumes gracieuses et vives avant que deux yeux en amandes d'un noir pétillant ne balaie la place du regard. C'est l'heure du diner et il y a peu de gens sur la place et les terrasses sont bondées. Dont un blond à un restaurant près qui lui rappelle vaguement quelque chose.
-Bon... Manifestement, je me suis trompée, où est la bibliothèque
Fait elle la moue en réfléchissant à autre voix.
Oui, voler quand on voyage seul, est préférable. Le volatile vire sur l'aile et arrive enfin en vue de sa destination.
Maêl
Citée blanche et d'azur, laissant irradier une aura pure et du plus parfait ennui. C'est du moins comme ca que Hale se rappelle de la chose. Aujourd'hui cependant, les bannières du Reike volent à tout vent. Le Reike que votre succube favorite n'apprécie pas trop, Ralph lui ayant laissé un goût étrange. Mais il semblerait que ce monde est minuscule. C'est soit ces deux tarés qui se prennent pour des dieux, soit la République, le choix est vite fait. De toute façon, ils vont crever comme totu les autres mortels, c'est juste plus long. Et pour le supposé dragon qui est leur fils? Pure propagande. Quoi qu'il en soit, cette cité n,a pas l'air d'avoir trop souffert... Et en un sens, c'est déprimant.
CROOOOÂ!!!!!!
Lance le corbeau, teigneux, à un groupe de prêtre qu'il dépasse en volant, avant de traverser les épaisses murailles. Derrière, il y a des changements visibles. Indifférent, le volatile perd de l'altitude, se brouillant juste avant qu'un pied botté de cuir souple noir ne se pose au sol, puis un autre, laissant la place à un homme efféminé, ou une femme masculine selon le point de vue. Une grande redingote noire brodée claque au vent quand et des cheveux rouges s'envolent dans tout les sens avant d'être prestement ramenés à l'ordre d'une main experte par leur propriétaire qui rectifie ensuite son accoutrement de voyage poussiéreux à grand renfort de paumes gracieuses et vives avant que deux yeux en amandes d'un noir pétillant ne balaie la place du regard. C'est l'heure du diner et il y a peu de gens sur la place et les terrasses sont bondées. Dont un blond à un restaurant près qui lui rappelle vaguement quelque chose.
-Bon... Manifestement, je me suis trompée, où est la bibliothèque
Fait elle la moue en réfléchissant à autre voix.
Invité
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Dame Hale?
D'un geste gracieux, un éventail est extirpé de la manche de la redingote et ouvert, posé sur la poitrine, Halewyn pivotant aussi légèrement qu'une fée vers le blond qui se porte à sa rencontre. Pendant une seconde, le noir se fait purement abyssal et la posture froide et hautaine d'une lady proprement agressée par un importun, ce qui donne un résultat étrange avec son accoutrement de voyage. Non mais iel vient de se poser, littéralement et il est déjà sur son cas. Mais c'est quoi ces manières?
Plissant les yeux, iel observe attentivement le mortel téméraire... Et un nom remonte dans sa tête, un nom d'avant la guerre. Tagar Reys. Le mignon midogyne fils à maman... Celui avec une innocence frisant le retard mental et une chance de couillu...
Messire Rey?
Souffle t'iel de sa voix de soupir, les lèvres roses de la grande bouche s'étirant en un charmant sourire sur la figure légèrement poussiéreuse de la voyageuse, les yeux noirs savamment ourlés de khôl s'éclairant de milles étoiles.
Messire Rey! Mais qu'elle surprise! Je suis tellement heureuse de vous voir.
Dit elle, sans minauderie, en agitant légèrement son éventail avant de le ranger. Les gens autours d'eux les regarde mais ca, iel démon est habituée. C'est plutôt l'état d'âme du jeune homme devant t'iel qui l'intéresse. Qu'est ce qu'un Reikois fils à maman vient faire dans ce trou perdu? Il est perdu? Puni? au delà de ces salamalecs, il semble réellement ravi de la revoir... Manifestement, elle lui a fait un effet boeuf la belle Gigi...
Ma foi, j'accepte l'invitation avec grand plaisir, je n'ai pas un calendrier très chargé de toutes façon.
Lui répond t'iel en lui emboîtant le pas. Bien sûr, on ne laisse pas entrer de personnages poussiéreux à l'entrée, aussi prend t'on son manteau avec dédain, révélant une chemise à jabot noire donnant un volume trompeur à la poitrine, un pantalon simple noir entré dans les bottes montantes et une large sacoche de cuisse soulignant de façon fort avantageuse les hanches de l'individu qui reprend son chemin avec une aisance marqué, comme si iel traversait un salon de thé en plein cocktail mondain.
Avec douceur et grâce, iel s'installe de l'autre coté de Tagar, croisant les chevilles et posant son éventail sur ses genoux avant de les recouvrir du linge de table. Maël aurait gagné à être un peu plus secouée que cela, pense t'iel tandis que deux yeux innocents se lèvent pour commander un vin. rouge, peu importe lequel mais pas de la piquette. Le voyage a été long et iel veut se rincer le gosier. Non, les démons n'ont pas besoin de s'alimenter mais Halewyn le fait par plaisir.
Un rire cristallin répond à la question de Tagar, faisant tourner quelques têtes envieuses vers le beau blond. Il a quel âge maintenant, quarante?.
-J'ai comme qui dirais, eu quelques empêchements. Un fiancé jaloux et possessif entre autre à faire faire exécuter pour trahison. - Un agenda très chargé Dont une mission pour le Shoumei - et j'ai découvert que le Reike n'était pas la terre promise à laquelle je m'attendais. De plus, quand son pays est ravagé, c'est un devoir de citoyen de répondre à l'appel non?
Iel s'interrompt, tout sourires, quand son verre arrive et commande le choix du chef en ne sachant strictement pas de quoi il sera fait. Puisqu'il s'inquiétait pour la courtisane, iel a bien le droit de demander des nouvelles non?
Et vous, que faites vous si loin de votre famille et de votre mère? Comment va dame Mirari votre épouse? Et votre mère? Cela fait bien trois ans, vous devez sûrement avoir des enfants non?
D'un geste gracieux, un éventail est extirpé de la manche de la redingote et ouvert, posé sur la poitrine, Halewyn pivotant aussi légèrement qu'une fée vers le blond qui se porte à sa rencontre. Pendant une seconde, le noir se fait purement abyssal et la posture froide et hautaine d'une lady proprement agressée par un importun, ce qui donne un résultat étrange avec son accoutrement de voyage. Non mais iel vient de se poser, littéralement et il est déjà sur son cas. Mais c'est quoi ces manières?
Plissant les yeux, iel observe attentivement le mortel téméraire... Et un nom remonte dans sa tête, un nom d'avant la guerre. Tagar Reys. Le mignon midogyne fils à maman... Celui avec une innocence frisant le retard mental et une chance de couillu...
Messire Rey?
Souffle t'iel de sa voix de soupir, les lèvres roses de la grande bouche s'étirant en un charmant sourire sur la figure légèrement poussiéreuse de la voyageuse, les yeux noirs savamment ourlés de khôl s'éclairant de milles étoiles.
Messire Rey! Mais qu'elle surprise! Je suis tellement heureuse de vous voir.
Dit elle, sans minauderie, en agitant légèrement son éventail avant de le ranger. Les gens autours d'eux les regarde mais ca, iel démon est habituée. C'est plutôt l'état d'âme du jeune homme devant t'iel qui l'intéresse. Qu'est ce qu'un Reikois fils à maman vient faire dans ce trou perdu? Il est perdu? Puni? au delà de ces salamalecs, il semble réellement ravi de la revoir... Manifestement, elle lui a fait un effet boeuf la belle Gigi...
Ma foi, j'accepte l'invitation avec grand plaisir, je n'ai pas un calendrier très chargé de toutes façon.
Lui répond t'iel en lui emboîtant le pas. Bien sûr, on ne laisse pas entrer de personnages poussiéreux à l'entrée, aussi prend t'on son manteau avec dédain, révélant une chemise à jabot noire donnant un volume trompeur à la poitrine, un pantalon simple noir entré dans les bottes montantes et une large sacoche de cuisse soulignant de façon fort avantageuse les hanches de l'individu qui reprend son chemin avec une aisance marqué, comme si iel traversait un salon de thé en plein cocktail mondain.
Avec douceur et grâce, iel s'installe de l'autre coté de Tagar, croisant les chevilles et posant son éventail sur ses genoux avant de les recouvrir du linge de table. Maël aurait gagné à être un peu plus secouée que cela, pense t'iel tandis que deux yeux innocents se lèvent pour commander un vin. rouge, peu importe lequel mais pas de la piquette. Le voyage a été long et iel veut se rincer le gosier. Non, les démons n'ont pas besoin de s'alimenter mais Halewyn le fait par plaisir.
Un rire cristallin répond à la question de Tagar, faisant tourner quelques têtes envieuses vers le beau blond. Il a quel âge maintenant, quarante?.
-J'ai comme qui dirais, eu quelques empêchements. Un fiancé jaloux et possessif entre autre à faire faire exécuter pour trahison. - Un agenda très chargé Dont une mission pour le Shoumei - et j'ai découvert que le Reike n'était pas la terre promise à laquelle je m'attendais. De plus, quand son pays est ravagé, c'est un devoir de citoyen de répondre à l'appel non?
Iel s'interrompt, tout sourires, quand son verre arrive et commande le choix du chef en ne sachant strictement pas de quoi il sera fait. Puisqu'il s'inquiétait pour la courtisane, iel a bien le droit de demander des nouvelles non?
Et vous, que faites vous si loin de votre famille et de votre mère? Comment va dame Mirari votre épouse? Et votre mère? Cela fait bien trois ans, vous devez sûrement avoir des enfants non?
Invité
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Vous êtes une personne très courageuse et avec le cœur sur la main.
En toute modestie, Halewyn baisse les yeux. Non, elle, parce que Tagar pense qu'iel est une femme adoptions donc le elle pour le moment pour des raisons de fluidité de lecture. Comme je disais donc, elle baisse les yeux modestement, cachant parfaitement son amusement. NØn, elle n'a pas le coeur sur la main, elle est venu constater l'état de ses jouets que ce titan de merde a brisé... Par chance, il ne vient pas creuser le sujet, déviant sur sa personne. C'est toujours aussi épouvantablement surprenant et divertissant l'écouter parler.
Ne le prenez pas mal non plus, mais j'avais apprise que vous étiez tombé en disgrâce voilèa quelques années. Je suis ravie cependant. Dit elle en prenant sa coupe et en la levant pour un toast, -Je porte un toast au plaisir que j'ai de notre rencontre et de voir que vous vous portez bien et aussi fidèle à vous même que je vous ai toujorus connu.
Autrement dit un puceau légèrement à coté de la plaque mais qui de fraie toujours un chemin. A force de s'en sortir toujours à un poil de cul près, Tagar doit avoir les fesses archi douces. Et voilà son deuxièeme sujet de conversation favori, sa sacro sainte mère. Et Mirari. Ah bien la tatoueuse s'est poussée finalement. Elle se sera lassée de son jouet? Ca amène une autre question, est-il encore puceau? Déposant son verre, la jeune femme repousse une mèche vagabonde derrière son oreille, marquant la concenreation et l'admiration que tout les hommes aiment recevoir.
Oh, c'est tellement triste pour vous. Vous l'adoriez tellement!!!
Elle se penche spontanément par dessus la table, prenant brièvement la main du contrôleur royal dans la sienne, grande main aux longs doigts d'artistes. Une odeur délicate de musc et de roses parvient aux narines du beau blond entre deux âges. Soutenant le regard gris du contrôleur royal, e regard noir brillant de milles étoiles elle lui demande.
Vous tenez le coup? Si vous ressentez le besoin d'en parler, je suis là pour vous.
Avant de briser le contact, recevant avec une grâce consommée son repas. Mais qu'est ce que c'est que ce truc? Se demande t'elle en envisageant son riz ou se noie quelques morceaux de viande imbibées d'un truc brun.
Ma mère a prévu, à mon retour à la capitale, moult mariages arrangés, j’espère ainsi avoir des enfants prochainement.
Ah oui, ses mariages arrangés. Elle ne répond pas tout de suite, occupée èa essayer de choisir le morceau qui lui servira de tremplin pour ce plat... déstabilisant. Elle a vu plus ragoûtant sur les champ de bataille... A h.... s'enfiler un morceau de pain entre deux cadavres.... ŀe bon vieux temps.
Je ne vois pas, le lieutenant à la retraite Waliberht. Est-ce qu’il vous attend à l’auberge ?
Ah oui, lui. Ne relevant pas les yeux, cherchant dans sa banque une larme ou deux qui va teinter la nappe, elle lui raconte.
Il était un batteur de femme, un fraudeur et il a été pendu pour traitre à la patrie. Je... l'ai déconcé... Je navais pas le choix. Un reniflement discret et elle relève la tête, fière malgré la trace de larme sur sa joue.
-Mais je dois le remercier, parce que la personne que je suis aujourd'hui, je le lui doit. ... Mais n'avez vous jamais pensé faire un mariage d'amour Tagar?
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Les mortels, naifs... Cet espoir qui transparaît toujours dans leur paroles. C'est amusant. Pendant qu'il lui répond, elle tire un fin mouchoir de baptiste et s'en tamponne le syeux, réussissant d'un même geste à garder le fin tissus propre et son maquillage intact.
-Ce...,ca ne fait qu'une trahison de plus... Dit elle d'un ton douloureux, Comme si l'épreuve avait été on ne peut plus horrible et traumatisante. Vous êtes un homme à part... Et .. Je ne connais pas l'amour véritable. Dit elle en rangeant le fin accessoire. -Personne ne m'a jamais fait la cours et vous savez pourquoi. Un être de mon acabit est bon comme trophée, pas à présenter à sa mère ni à prendre comme épouse.. elle a un léger rire cryptique en remontant un regard noir sur lui, la bouche aux lèvres roses esquissant un sourire désabusé. -Celle qui sera à vos côtés vous conviendra en tout points, j'en suis certaine.
Halewyn prends une gorgée de sa coupe, l'alcool lui rosissant un peu les joues.
-Pardon, vous comprenez, quand nous discutons, je n'ai toujours qu'une histoire triste à mourir à vous raconter. je parle toujours de moi, mais Ce n'est que morts, drames, épreuves qui me poursuivent... Parlez moi plutôt de vous mon cher... Nos rencontre ont toujours été brèves et superficielles, impropres à faire plus amples connaissance. Et pourtant, nous voilà ici aujourd'hui, sans chaperon.
-Ce...,ca ne fait qu'une trahison de plus... Dit elle d'un ton douloureux, Comme si l'épreuve avait été on ne peut plus horrible et traumatisante. Vous êtes un homme à part... Et .. Je ne connais pas l'amour véritable. Dit elle en rangeant le fin accessoire. -Personne ne m'a jamais fait la cours et vous savez pourquoi. Un être de mon acabit est bon comme trophée, pas à présenter à sa mère ni à prendre comme épouse.. elle a un léger rire cryptique en remontant un regard noir sur lui, la bouche aux lèvres roses esquissant un sourire désabusé. -Celle qui sera à vos côtés vous conviendra en tout points, j'en suis certaine.
Halewyn prends une gorgée de sa coupe, l'alcool lui rosissant un peu les joues.
-Pardon, vous comprenez, quand nous discutons, je n'ai toujours qu'une histoire triste à mourir à vous raconter. je parle toujours de moi, mais Ce n'est que morts, drames, épreuves qui me poursuivent... Parlez moi plutôt de vous mon cher... Nos rencontre ont toujours été brèves et superficielles, impropres à faire plus amples connaissance. Et pourtant, nous voilà ici aujourd'hui, sans chaperon.
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Le jour que quelqu'un me présente à sa m`re, je cause un infanticide suivi d'un suicide... Pense Hale en souriant tendrement `l'homme devant elle. Cette ingénuité et cette innocence. Toujours aussi rafraîchissante. Non, il ne demande rien, admirant un reflet déformé de sa personnalité qu'iel lui renvoie comme un dessin qu'il affectionne particulièrement. En réponse, elle mange encore un peu pendant qu'il lui narre l'épopée "épique" de son manque d'encre. Fichtre!
Elle repose sa fourchette et essuie consciencieusement le coin de sa grande bouche, le happant dans ses prunelles noires de velours pendant qu'il lui fait cette offre. C'est tentant, très tentant. Mais c'est trois jours de cheval minimum et ce , juste à l'aller. Et ca, c'est si le pont est encore debout et le torrent n'a pas inondé le gué. Les terres maudites de son culte est très loins, à la naissance de la plus haute montagne du pin blanc.
Y emmener Tagar pour tester sa malédiction est tentant, très. Le voir mourir, intoxiqué par les terres désormais stériles, mangé ou griffé par les créatures monstrueuses qui hante les bois. Qu'arriverait t'il si il posait la main sur l'Autel et qu'il y offrait son sang? Chanterait t'il, ou pleurerait t'il? Implorerait t'il sa clémence?
La voix s'adoucit, se fait caressante, s'insinuant sous les vêtements de l'homme. Non, il lui servira mieux vivant que mort
-Cette suggestion me touche beaucoup Tagar. Mais vous n'avez assurément pas une semaine minimum à me consacrer pour ces pérégrinations et je suis fatiguée de mes errance et des combats que j,ai du mener récemment aussi me dois je de décliner..
Elle se penche de nouveau, pour prendre la main du contrôleur royal dans la sienne, plus longuement, ne le quittant pas des yeux.
-Votre foi inébranlable et votre optimisme sont exceptionnels. Ne les perdez surtout jamais. Je suis contente que vous me considériez si précieuse pour vous au point de me faire cette offre, de risquer une seconde fois votre vie pour moi et ce sans hésiter une seconde...
Elle repose sa fourchette et essuie consciencieusement le coin de sa grande bouche, le happant dans ses prunelles noires de velours pendant qu'il lui fait cette offre. C'est tentant, très tentant. Mais c'est trois jours de cheval minimum et ce , juste à l'aller. Et ca, c'est si le pont est encore debout et le torrent n'a pas inondé le gué. Les terres maudites de son culte est très loins, à la naissance de la plus haute montagne du pin blanc.
Y emmener Tagar pour tester sa malédiction est tentant, très. Le voir mourir, intoxiqué par les terres désormais stériles, mangé ou griffé par les créatures monstrueuses qui hante les bois. Qu'arriverait t'il si il posait la main sur l'Autel et qu'il y offrait son sang? Chanterait t'il, ou pleurerait t'il? Implorerait t'il sa clémence?
La voix s'adoucit, se fait caressante, s'insinuant sous les vêtements de l'homme. Non, il lui servira mieux vivant que mort
-Cette suggestion me touche beaucoup Tagar. Mais vous n'avez assurément pas une semaine minimum à me consacrer pour ces pérégrinations et je suis fatiguée de mes errance et des combats que j,ai du mener récemment aussi me dois je de décliner..
Elle se penche de nouveau, pour prendre la main du contrôleur royal dans la sienne, plus longuement, ne le quittant pas des yeux.
-Votre foi inébranlable et votre optimisme sont exceptionnels. Ne les perdez surtout jamais. Je suis contente que vous me considériez si précieuse pour vous au point de me faire cette offre, de risquer une seconde fois votre vie pour moi et ce sans hésiter une seconde...
Invité
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Vous êtes une bonne personne et si vous avez besoin de quoi que ce soit pendant votre séjour dans cette ville, n’hésitez pas.
Il pense toujorus qu'elle n'est pas capable de se débrouiller seule. Il voit en elle encore la courtisane de voilà quatre ans. ou trois... Le temps, c'est vraiment surfait. Et par le toucher, renforcé par la deuxième main qu'il pose sur la sienne, elle eprcoit le soulagement. Non, il n'avait aucune envie de risquer sa vie. Le contraire l'aurait étonnée en fait. C'est plutôt... L'envie d'une balade peinarde une journée, avec pique nique, sur les abords des routes sécurisés.
Une balade de courtoisie? L'expression de la succube s'adoucit encore plus si c'est possible.
Je connais des gens très bien qui pourraient vous loger très correctement et pour pas cher.
Un sourcil de feu se hausse. Il veut la loger aintenant. Le fait est que non, elle ne crachera pas sur un bon bain, faire nettoyer ses habits et un peu de magasinage. Le dessert arrive, les obligeants à rompre le contact.
Oh, je ne suis aps difficile, tant que c'est propre, sécuritaire, sans punaises ni poux et que j'ai accès à un bain. Vous connaissez les rigueurs des voyages au long cours. On a toujours besoin de décrasser les moindres replis après. Et de ce que je vois, Maël n'a pas trop souffert, elle est exactement pareille de quand je suis passée avec les Spectres.
Et le regard noir s'illumine devant le dessert. C'est... du chocolat? Le salaud!!! Le luxe!!! NØn, iel n'a pas besoin de s'alienter, mais l'aertume sucré de cet or brun lui a toujours causé des plaisirs gustatifs incomparables.
Je me fais livrer par bateau quelques provisions dont ce magnifique gâteau au chocolat. L’établissement me le garde au frais contre une petite rétribution et j’ai l’impression de me sentir chez moi.
La fierté et l'arrigance des gens riches de naissance frappe iel succube de plein fouet. Oh, elle pourrait en prendre ombrage, mais ce sont des sentiments de mortels qui lui passent milles mèetres au dessus de la tête. Lui, il a des ressources de riches. Et elle l'immortalité. C'est équitable. Et ca ne l'empêche pas de prendre un petit morceau de sa part pour l'enfourner gracieusement. On est loin du riz au poulet du plat principal et l'expression de ravissement est des plus explicites. Gourmet au lieu de gourmande, elle en savoure chaque miette avec un véritable plaisir non feint.
Juste pour ce gâteau... Il mérite une récompense.
-Le gîte et le couvert. J'accepte de bon coeur, mais seulement parce que ca vient e vous. Vous me choyez et je vous en remercie. Mais avec la guerre, je suis devenue indépendante et j'ai perdue l'habitude de me faire entretenir comme une poupée. Je vous dois donc un menu service... Peut-être avez vous quelque problème que je pourrais vous aider àa régler?
Il pense toujorus qu'elle n'est pas capable de se débrouiller seule. Il voit en elle encore la courtisane de voilà quatre ans. ou trois... Le temps, c'est vraiment surfait. Et par le toucher, renforcé par la deuxième main qu'il pose sur la sienne, elle eprcoit le soulagement. Non, il n'avait aucune envie de risquer sa vie. Le contraire l'aurait étonnée en fait. C'est plutôt... L'envie d'une balade peinarde une journée, avec pique nique, sur les abords des routes sécurisés.
Une balade de courtoisie? L'expression de la succube s'adoucit encore plus si c'est possible.
Je connais des gens très bien qui pourraient vous loger très correctement et pour pas cher.
Un sourcil de feu se hausse. Il veut la loger aintenant. Le fait est que non, elle ne crachera pas sur un bon bain, faire nettoyer ses habits et un peu de magasinage. Le dessert arrive, les obligeants à rompre le contact.
Oh, je ne suis aps difficile, tant que c'est propre, sécuritaire, sans punaises ni poux et que j'ai accès à un bain. Vous connaissez les rigueurs des voyages au long cours. On a toujours besoin de décrasser les moindres replis après. Et de ce que je vois, Maël n'a pas trop souffert, elle est exactement pareille de quand je suis passée avec les Spectres.
Et le regard noir s'illumine devant le dessert. C'est... du chocolat? Le salaud!!! Le luxe!!! NØn, iel n'a pas besoin de s'alienter, mais l'aertume sucré de cet or brun lui a toujours causé des plaisirs gustatifs incomparables.
Je me fais livrer par bateau quelques provisions dont ce magnifique gâteau au chocolat. L’établissement me le garde au frais contre une petite rétribution et j’ai l’impression de me sentir chez moi.
La fierté et l'arrigance des gens riches de naissance frappe iel succube de plein fouet. Oh, elle pourrait en prendre ombrage, mais ce sont des sentiments de mortels qui lui passent milles mèetres au dessus de la tête. Lui, il a des ressources de riches. Et elle l'immortalité. C'est équitable. Et ca ne l'empêche pas de prendre un petit morceau de sa part pour l'enfourner gracieusement. On est loin du riz au poulet du plat principal et l'expression de ravissement est des plus explicites. Gourmet au lieu de gourmande, elle en savoure chaque miette avec un véritable plaisir non feint.
Juste pour ce gâteau... Il mérite une récompense.
-Le gîte et le couvert. J'accepte de bon coeur, mais seulement parce que ca vient e vous. Vous me choyez et je vous en remercie. Mais avec la guerre, je suis devenue indépendante et j'ai perdue l'habitude de me faire entretenir comme une poupée. Je vous dois donc un menu service... Peut-être avez vous quelque problème que je pourrais vous aider àa régler?
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Venue aider les réfugiés? Mais d'où lui vient cette idée des plus saugrenues? Pense t'elle en cachant parfaitement son amusement en terminant son gâteau, repliant son linge de table pour signaler qu'elle a terminé.
-Voyons, il ne faut pas être en dette c'est ce que l'expérience apprend. J'ai des compétences variées et polyvalentes...Que pourrais-je faire pour vous être agréable? Tout va bien au travail? Il n'y a personne que vous soupçonniez de déloyauté à interroger? A moins que vous n'ayiez froid la nuit, Maël est loin du désert ou nous nous sommes rencontrés. Un sortilège basique pourrait très bien régler cela, mais qu'est-ce que vous pensiez? A moins qu'il se soit décoincé à ce niveau?Il a peut être besoin d'une charmante compagnie la nuit, si ca lui donne d'autres parts de gâteau... Ou une balade toute simple pour découvrir les environs de cette cité
Qui pue l'hypocrisie et la pudibonderie Pour vous délasser de ce travail ô combien prenant que vous avez? J'ai quelques jours devant moi, le temps de trouver un navire pour rentrer chez moi et je ne veut pas rester oisive.
Face à certaines de ses propositions à double sens, certain hommes sont tout ouïe. Après tout, Tagar est un homme, un bel homme. Et cette ravissante donzelle semble vouloir offrir sa reconnaissance. Est ce qu'elle serait sa maitresse?
-Voyons, il ne faut pas être en dette c'est ce que l'expérience apprend. J'ai des compétences variées et polyvalentes...Que pourrais-je faire pour vous être agréable? Tout va bien au travail? Il n'y a personne que vous soupçonniez de déloyauté à interroger? A moins que vous n'ayiez froid la nuit, Maël est loin du désert ou nous nous sommes rencontrés. Un sortilège basique pourrait très bien régler cela, mais qu'est-ce que vous pensiez? A moins qu'il se soit décoincé à ce niveau?Il a peut être besoin d'une charmante compagnie la nuit, si ca lui donne d'autres parts de gâteau... Ou une balade toute simple pour découvrir les environs de cette cité
Qui pue l'hypocrisie et la pudibonderie Pour vous délasser de ce travail ô combien prenant que vous avez? J'ai quelques jours devant moi, le temps de trouver un navire pour rentrer chez moi et je ne veut pas rester oisive.
Face à certaines de ses propositions à double sens, certain hommes sont tout ouïe. Après tout, Tagar est un homme, un bel homme. Et cette ravissante donzelle semble vouloir offrir sa reconnaissance. Est ce qu'elle serait sa maitresse?
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