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Noble du Reike
Tagar Reys
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crédits : 2345
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Le 1 avril de l’an 4
Je suis seul au monde, il n'y a rien à faire, je suis seul au monde, je peux plus me taire, je suis seul au monde, je me sens seul au monde.
Voilà mon état d’esprit depuis que j’ai reçu la lettre de rupture de la part de ma fiancée. Je peux même annoncer officiellement que je suis en pleine dépression, j’ai envoyé immédiatement un message à Hale, mais le temps qu’elle arrive, je vais devoir gérer cela tout seul et pour le moment, j’y arrive mal. En plus, je n’ai pas pu annuler un voyage dans les terres du Nord pour visiter une nouvelle mine qui vient d’ouvrir en grande pompe, ce qui explique ma présence dans ses terres. Elle a été créée sur un important gisement de métal et surtout, comparé aux autres, il n’y a aucun Driv'Zafra, ces zombies, capturés lors des différentes campagnes en Shoumei ou de Netsach Ebed, ces esclaves à vie, car prisonniers de guerre ou reconnus coupables de crime grave.
À la place, des machines et des procédés magiques les ont remplacés. Pour moi, c’est le futur de l’exploitation minière, les deux ressources que j’ai citées plus haut n’étant pas éternel. Mais je suis à mille lieux de penser à cela, uniquement préoccupé par mon chagrin. C’est Robert, le sajenti de ma garde personnelle de dix hommes qui nous accompagnent qui me sort de mes pensées, m’indiquant :
Seigneur, il y a un attroupement sur la route.
En effet, une petite bande de paysan, c’est rassemblé, mais cela ne ressemble pas à une embuscade, car ils nous tournent le dos. Nous les rejoignons donc rapidement et je demande à celui qui semble être leur chef :
Que se passe-t-il ici ?
Oui, pas de bonjour, ni de présentation, mais je souffre, d’accord ? J’ai bobo à mon cœur.
Je suis seul au monde, il n'y a rien à faire, je suis seul au monde, je peux plus me taire, je suis seul au monde, je me sens seul au monde.
Voilà mon état d’esprit depuis que j’ai reçu la lettre de rupture de la part de ma fiancée. Je peux même annoncer officiellement que je suis en pleine dépression, j’ai envoyé immédiatement un message à Hale, mais le temps qu’elle arrive, je vais devoir gérer cela tout seul et pour le moment, j’y arrive mal. En plus, je n’ai pas pu annuler un voyage dans les terres du Nord pour visiter une nouvelle mine qui vient d’ouvrir en grande pompe, ce qui explique ma présence dans ses terres. Elle a été créée sur un important gisement de métal et surtout, comparé aux autres, il n’y a aucun Driv'Zafra, ces zombies, capturés lors des différentes campagnes en Shoumei ou de Netsach Ebed, ces esclaves à vie, car prisonniers de guerre ou reconnus coupables de crime grave.
À la place, des machines et des procédés magiques les ont remplacés. Pour moi, c’est le futur de l’exploitation minière, les deux ressources que j’ai citées plus haut n’étant pas éternel. Mais je suis à mille lieux de penser à cela, uniquement préoccupé par mon chagrin. C’est Robert, le sajenti de ma garde personnelle de dix hommes qui nous accompagnent qui me sort de mes pensées, m’indiquant :
Seigneur, il y a un attroupement sur la route.
En effet, une petite bande de paysan, c’est rassemblé, mais cela ne ressemble pas à une embuscade, car ils nous tournent le dos. Nous les rejoignons donc rapidement et je demande à celui qui semble être leur chef :
Que se passe-t-il ici ?
Oui, pas de bonjour, ni de présentation, mais je souffre, d’accord ? J’ai bobo à mon cœur.
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