Invité
Invité
AN 3, FIN DÉCEMBRE // Dans la capitale d'Ikusa-
“Le Joyau du désert”.
L'immense capitale de l'Empire du Reike. Un endroit qu'elle n'aurait jamais osé fouler un jour.
Les paroles de Maître Kalhede était claire à ce sujet: ne pas y mettre les pieds. La ville fourmillait de militaire et même les citoyens du Reike les plus éminents risquaient des contrôles inopinés. Pour une esclave comme elle, c'était probablement la plus dangereuse des cités du Sekai. Si elle n'avait pratiquement aucun droit dans ces contrées, Ikusa était le lieu idéal pour s'en rendre compte à quel point. Même avec le plus officiel des parchemins rien ne mettait la drakyn à l'abri d'un soldat un peu trop zélé. Et c'était à juste titre, l'endroit résonnait d'une toute puissance à nulle autre pareille. C'était la demeure du couple royal, ceux qui dirigeait l'Empire et par extension la destinée de tous ceux qui y résidaient. La barbare n'y était donc pas une invité de marque, loin de là. Sa tribu avait été détruite par le Reike, les survivants chassés et tués, et elle-même avait été réduite en esclavage en guise de châtiment, condamnée à l'éternelle servitude. Ne pas s'approcher de la capitale semblait une évidence.
Seule la forme défaillante de son Maître apportait un inévitable changement à cette interdiction. Les six fils de la famille Leotoris étant pratiquement tous soldats, il convenait de les informer de l'état de santé de leur père. Et l'un d'eux, Rhistel, était justement en poste à la capitale. Un Dunark en charge de nombreux soldats, spécialisé dans les escortes, les patrouilles... quelque chose comme ça. Mirelys n'en était guère sûre à vrai dire. Il fallait dire que l'homme s'égarait rarement à Kyouji, c'était celui avec qui la verte avait le moins d'affinité.
- Halte là, drakyn. Votre tatouage.
Les portes de la capitale. Elle s'attendait à être contrôlée mais pas avec des lances sous le nez. Ces messieurs semblaient prendre leur travail très au sérieux. Sans attendre elle se retournait, attrapant sa chevelure verte pour dévoiler sa nuque. Là où se trouvait son tatouage d'esclave signé magiquement. Une signature à peine différente de celle d'un citoyen normal, d'où la méfiance du garde. Ce n'était pas une contrefaçon!
- Je m'appelle Mirelys, esclave servant la maison Leotoris. J'apporte une missive pour Maître Rhistel, qui est militaire entre ces murs. Fit-elle avec le sourire le plus sincère du monde en tendant son parchemin signé de la main même de son propriétaire.
- Une Netsach Ebed... Tu entres ici dans la capitale du Roi Dragon, n'imagine pas qu'il éprouvera la moindre pitié pour une criminelle dans ton genre. Au moindre écart il fera voler ta tête, alors hâtes toi d'accomplir ta mission et dégage d'ici. Lâchait l'homme sèchement en rendant à la colosse ses documents précieux. - Tu laisseras également ton arme ici. Je te conseille de revenir dans l'heure si tu veux la récupérer.
- Je n'ai aucunement l'intention de causer des troubles, je n'oserai jamais entacher le nom de mon Maître par des actes indignes!
Le garde lui faisait signe de passer une fois l'hallebarde immense de la drakyn confisquée, mais elle n'était clairement pas la bienvenue. Aussi elle ne s'attardait guère, s'aventurant dans la cité en se remémorant les instructions de son Maître. Rejoindre la taverne de l'épée, demander Sajan ou Rozen, et avec un peu de chance, croiser Rhistel. Au pire, il serait toujours possible de transmettre la missive aux tenants de l'établissement, cela éviterait à la barbare de s'éterniser en ces lieux. Alors elle se dirigeait vers sa destination, parcourant les rues animées de la cité en essayant de ne pas être distraite. L'atmosphère qui régnait en ces lieux était bien différente des autres cités, tout semblait si martial, si... contrôlé. Mirelys allait d'ailleurs bientôt en faire les frais. Alors qu'elle s'était arrêtée pour contempler l'immense Palais Royal qui trônait majestueusement au dessus de tout. Difficile de ne pas se sentir insignifiante face à un tel spectacle.
- Tu gènes le passage, barbare.
Une patrouille s'était arrêtée dans son dos. Les gardes la dévisageait avec le plus suspicieux des regards. Nul doute qu'elle aurait été bousculée si elle faisait quelques têtes de moins.
- Oh veuillez m'excuser, j'admirais cet extraordinaire édifice! N'est-il pas si incroyablement majestueux? J'en ai toujours entendu parlé, mais je ne l'avais encore jamais vu de mes yeux!
- Tu peux le voir depuis l'extérieur de la Capitale, le Palais. S'exclamait l'homme avec une grande fermeté. Il dévisageait rapidement la tenue sobre quoique solide de la drakyn. Parfaitement appropriée au voyage et à l'aventure mais clairement ni militaire, ni noble. - Je doute que tu ais réellement une quelconque raison d'être en ces murs.
- Pardonnez moi, je ne me suis pas présentée. Elle extirpait à nouveau son parchemin signé de la main de son Maître. - Je m'appelle Mirelys, esclave de la maison Leotoris. Je viens pour... Bam. Le document lui échappait des mains après un rude coup donné par l'individu. Plus surprise que vraiment endolorie, la colosse s'était vivement empressée de se jeter au sol pour récupérer son précieux parchemin. Elle ne pouvait se permettre de le perdre, sa vie entière dépendait de ce bout de papier! A peine relevait-elle le visage que quelque chose d'humide frappait sa joue. De la salive? L'incompréhension de la drakyn s'évanouissait lorsqu'elle vit le soldat qui la regardait de haut avec un regard froid, pour ne pas dire assassin.
- Si tu es encore esclave à l'heure actuelle, alors tu dois être l'une des pires engeances de l'Empire. Et tu oses souiller notre Capitale de ta présence?
La drakyn n'offrait pas de réponse immédiate. Elle était habituée à subir ce genre de choses, bien qu'elles étaient très rares. Quand elle vivait à Tensai, les humiliations étaient monnaie courante, mais elle avait trouvé un semblant de paix à Kyouji. Appartenir à une noble famille ne la mettait pourtant pas à l'abri d'un excès de zèle de soldats Reikois ou d'un noble trop imbu de sa personne. Comment pouvait-elle blâmer leur comportement de toute façon? A leurs yeux, elle était soit une criminelle coupable de graves atrocités, soit une prisonnière de guerre qui avait peut être tué leurs camarades par le passé. La barbare méritait ces humiliations, c'était ce qu'elle pensait. En général, s'excuser à quatre pattes suffisait à contenter ses interlocuteurs. Mais ces gardes ne semblaient pas décidés à la laisser tranquille.
Elle aurait de la chance si elle finissait juste rouée de coups.
“Le Joyau du désert”.
L'immense capitale de l'Empire du Reike. Un endroit qu'elle n'aurait jamais osé fouler un jour.
Les paroles de Maître Kalhede était claire à ce sujet: ne pas y mettre les pieds. La ville fourmillait de militaire et même les citoyens du Reike les plus éminents risquaient des contrôles inopinés. Pour une esclave comme elle, c'était probablement la plus dangereuse des cités du Sekai. Si elle n'avait pratiquement aucun droit dans ces contrées, Ikusa était le lieu idéal pour s'en rendre compte à quel point. Même avec le plus officiel des parchemins rien ne mettait la drakyn à l'abri d'un soldat un peu trop zélé. Et c'était à juste titre, l'endroit résonnait d'une toute puissance à nulle autre pareille. C'était la demeure du couple royal, ceux qui dirigeait l'Empire et par extension la destinée de tous ceux qui y résidaient. La barbare n'y était donc pas une invité de marque, loin de là. Sa tribu avait été détruite par le Reike, les survivants chassés et tués, et elle-même avait été réduite en esclavage en guise de châtiment, condamnée à l'éternelle servitude. Ne pas s'approcher de la capitale semblait une évidence.
Seule la forme défaillante de son Maître apportait un inévitable changement à cette interdiction. Les six fils de la famille Leotoris étant pratiquement tous soldats, il convenait de les informer de l'état de santé de leur père. Et l'un d'eux, Rhistel, était justement en poste à la capitale. Un Dunark en charge de nombreux soldats, spécialisé dans les escortes, les patrouilles... quelque chose comme ça. Mirelys n'en était guère sûre à vrai dire. Il fallait dire que l'homme s'égarait rarement à Kyouji, c'était celui avec qui la verte avait le moins d'affinité.
- Halte là, drakyn. Votre tatouage.
Les portes de la capitale. Elle s'attendait à être contrôlée mais pas avec des lances sous le nez. Ces messieurs semblaient prendre leur travail très au sérieux. Sans attendre elle se retournait, attrapant sa chevelure verte pour dévoiler sa nuque. Là où se trouvait son tatouage d'esclave signé magiquement. Une signature à peine différente de celle d'un citoyen normal, d'où la méfiance du garde. Ce n'était pas une contrefaçon!
- Je m'appelle Mirelys, esclave servant la maison Leotoris. J'apporte une missive pour Maître Rhistel, qui est militaire entre ces murs. Fit-elle avec le sourire le plus sincère du monde en tendant son parchemin signé de la main même de son propriétaire.
- Une Netsach Ebed... Tu entres ici dans la capitale du Roi Dragon, n'imagine pas qu'il éprouvera la moindre pitié pour une criminelle dans ton genre. Au moindre écart il fera voler ta tête, alors hâtes toi d'accomplir ta mission et dégage d'ici. Lâchait l'homme sèchement en rendant à la colosse ses documents précieux. - Tu laisseras également ton arme ici. Je te conseille de revenir dans l'heure si tu veux la récupérer.
- Je n'ai aucunement l'intention de causer des troubles, je n'oserai jamais entacher le nom de mon Maître par des actes indignes!
Le garde lui faisait signe de passer une fois l'hallebarde immense de la drakyn confisquée, mais elle n'était clairement pas la bienvenue. Aussi elle ne s'attardait guère, s'aventurant dans la cité en se remémorant les instructions de son Maître. Rejoindre la taverne de l'épée, demander Sajan ou Rozen, et avec un peu de chance, croiser Rhistel. Au pire, il serait toujours possible de transmettre la missive aux tenants de l'établissement, cela éviterait à la barbare de s'éterniser en ces lieux. Alors elle se dirigeait vers sa destination, parcourant les rues animées de la cité en essayant de ne pas être distraite. L'atmosphère qui régnait en ces lieux était bien différente des autres cités, tout semblait si martial, si... contrôlé. Mirelys allait d'ailleurs bientôt en faire les frais. Alors qu'elle s'était arrêtée pour contempler l'immense Palais Royal qui trônait majestueusement au dessus de tout. Difficile de ne pas se sentir insignifiante face à un tel spectacle.
- Tu gènes le passage, barbare.
Une patrouille s'était arrêtée dans son dos. Les gardes la dévisageait avec le plus suspicieux des regards. Nul doute qu'elle aurait été bousculée si elle faisait quelques têtes de moins.
- Oh veuillez m'excuser, j'admirais cet extraordinaire édifice! N'est-il pas si incroyablement majestueux? J'en ai toujours entendu parlé, mais je ne l'avais encore jamais vu de mes yeux!
- Tu peux le voir depuis l'extérieur de la Capitale, le Palais. S'exclamait l'homme avec une grande fermeté. Il dévisageait rapidement la tenue sobre quoique solide de la drakyn. Parfaitement appropriée au voyage et à l'aventure mais clairement ni militaire, ni noble. - Je doute que tu ais réellement une quelconque raison d'être en ces murs.
- Pardonnez moi, je ne me suis pas présentée. Elle extirpait à nouveau son parchemin signé de la main de son Maître. - Je m'appelle Mirelys, esclave de la maison Leotoris. Je viens pour... Bam. Le document lui échappait des mains après un rude coup donné par l'individu. Plus surprise que vraiment endolorie, la colosse s'était vivement empressée de se jeter au sol pour récupérer son précieux parchemin. Elle ne pouvait se permettre de le perdre, sa vie entière dépendait de ce bout de papier! A peine relevait-elle le visage que quelque chose d'humide frappait sa joue. De la salive? L'incompréhension de la drakyn s'évanouissait lorsqu'elle vit le soldat qui la regardait de haut avec un regard froid, pour ne pas dire assassin.
- Si tu es encore esclave à l'heure actuelle, alors tu dois être l'une des pires engeances de l'Empire. Et tu oses souiller notre Capitale de ta présence?
La drakyn n'offrait pas de réponse immédiate. Elle était habituée à subir ce genre de choses, bien qu'elles étaient très rares. Quand elle vivait à Tensai, les humiliations étaient monnaie courante, mais elle avait trouvé un semblant de paix à Kyouji. Appartenir à une noble famille ne la mettait pourtant pas à l'abri d'un excès de zèle de soldats Reikois ou d'un noble trop imbu de sa personne. Comment pouvait-elle blâmer leur comportement de toute façon? A leurs yeux, elle était soit une criminelle coupable de graves atrocités, soit une prisonnière de guerre qui avait peut être tué leurs camarades par le passé. La barbare méritait ces humiliations, c'était ce qu'elle pensait. En général, s'excuser à quatre pattes suffisait à contenter ses interlocuteurs. Mais ces gardes ne semblaient pas décidés à la laisser tranquille.
Elle aurait de la chance si elle finissait juste rouée de coups.
Noble du Reike
Brak'Trarg
Messages : 404
crédits : 1575
crédits : 1575
Info personnage
Race: Oni/Drakyn
Vocation: Guerrier - Combattant
Alignement: Chaotique Bon
Rang: B - Garde royal
En l'absence de combat dan sl'arène et d'avancé dan sl'enquête sur le malotru qu'il l'avait piégé et s'étant déjà entraineé a la salel toute la matiné , Brak chercha a s'ocuper plutôt que de ruminer et tourner en rond et a cet effet il effectuait les commission e le transport des marchandise pour la salle de son amoureux, a savoir toute une cargaison volumineuse et lourde de haltères poids, barre a disque ,et autre équieme,t de muscu fraichement forgé chez le forgeront et a livrer à la salle a l'autre bout de la cité. Bref le genre de course de livraison qui aurait été le cauchemard de tout transporteur et livreur mais qui pour Brka ne posait pas trop de soucis.
Tout au transport de la caisse des haltère les plus gros et lourd (les poids "Dragons" ), Brak pour éviter les petites rues fit un détour par la grand place devant l'entrée du palais.
Ahh le plais ses couloirs ses jardins, son impératrice, son petit dragon mignon mais turbulent et son empereur, cela fit pousser a Brak un soupir tristoune en y songeant tant cela lui manquait, et le laissait rêveur. mais sa distraction songeuse fut interomput par un tonitruant garde demandant à une dame de se pousser.
Brak s'arêta net en bon monstre grand nenfant curieux qu'il était et assita du coin du neuneuil et de ses noreilles a tout la scène. et autant dire que cette scène ou cette dame esclave se faisait malmener, ramenait brak a ses première années au service de Golthra ou lui aussi il subissait ce que subissait la dame aujourd'hui mais aujourd'hui il était libre et grand champion gladiateur du reike et surtout il pouvait venir en aide à la dame que les garde malmenait et que cette situation enervait interieurement Brak.
Deviant donc exprès de son trajet et faisant semblant dan ses gestes qu'il trouvait la caisse un peut trop lourde il marcha drot sur les gardes et au dernier mètre avan teux il leur dit.
"Soldats pouriez vous aimablement vous ecarter un instant que je puisse passer "
le chef des soldats arêta son geste pour dire avant de se retourner
"Tiens vlà un deuxieme qui ... "
s'interompant soudaint en se retournant reconnaissant Brak'Trarg il surenchérir.
"euh oui bien sur msiuer Brak'Trarg, SOLDATS ecartez vous et laissez le passer. "
la dessus les soldat s'écartèrent imédiatement mais ne relachèrent pas de suite la dame et brak sentait quand quand il partirait il reprendrait leur mauvais traitement sur elle Brak ft semblant de trébucher et lacha la caisse les haltères se retrouvant sur le sol, en tas sur le sol et brak de s'ecrirer
"oh non ils sont tombé a terre et je n'ai pas le temsp de trainer, chère madame pouriez vous m'aidez à les remetre dans la caisse s'il vous plait "
Dit Brak en regardant la jeune barbare esclave malmené par les gardes. les gardes et leur chef echangèrent des regards et leur chef se souvenant que Brak avait été esclave et que ses colère sont terible, qu'il est une star du reike, a qui on ne peut pas s'en prendre comme ça pour des broutilles, et qu'il n'aprécierait surment pas de voir une dame maltraité en sa précense et que de toute façon il ne partirait pas de suite. il fit le calccul des bénefice risque dan sasa tête et c'est de très mauvaise grace en pestant dans barbe qu'il dit à l'esclave tout en lui jetant le parchemin a ses pieds dan sla boue.
"Toi l'esclave, aide le a ramasser ses affaires et circulez vite on reste là pour cette fois "
puis faisant signe a ses homems il commencèrent à partir.
Tout au transport de la caisse des haltère les plus gros et lourd (les poids "Dragons" ), Brak pour éviter les petites rues fit un détour par la grand place devant l'entrée du palais.
Ahh le plais ses couloirs ses jardins, son impératrice, son petit dragon mignon mais turbulent et son empereur, cela fit pousser a Brak un soupir tristoune en y songeant tant cela lui manquait, et le laissait rêveur. mais sa distraction songeuse fut interomput par un tonitruant garde demandant à une dame de se pousser.
Brak s'arêta net en bon monstre grand nenfant curieux qu'il était et assita du coin du neuneuil et de ses noreilles a tout la scène. et autant dire que cette scène ou cette dame esclave se faisait malmener, ramenait brak a ses première années au service de Golthra ou lui aussi il subissait ce que subissait la dame aujourd'hui mais aujourd'hui il était libre et grand champion gladiateur du reike et surtout il pouvait venir en aide à la dame que les garde malmenait et que cette situation enervait interieurement Brak.
Deviant donc exprès de son trajet et faisant semblant dan ses gestes qu'il trouvait la caisse un peut trop lourde il marcha drot sur les gardes et au dernier mètre avan teux il leur dit.
"Soldats pouriez vous aimablement vous ecarter un instant que je puisse passer "
le chef des soldats arêta son geste pour dire avant de se retourner
"Tiens vlà un deuxieme qui ... "
s'interompant soudaint en se retournant reconnaissant Brak'Trarg il surenchérir.
"euh oui bien sur msiuer Brak'Trarg, SOLDATS ecartez vous et laissez le passer. "
la dessus les soldat s'écartèrent imédiatement mais ne relachèrent pas de suite la dame et brak sentait quand quand il partirait il reprendrait leur mauvais traitement sur elle Brak ft semblant de trébucher et lacha la caisse les haltères se retrouvant sur le sol, en tas sur le sol et brak de s'ecrirer
"oh non ils sont tombé a terre et je n'ai pas le temsp de trainer, chère madame pouriez vous m'aidez à les remetre dans la caisse s'il vous plait "
Dit Brak en regardant la jeune barbare esclave malmené par les gardes. les gardes et leur chef echangèrent des regards et leur chef se souvenant que Brak avait été esclave et que ses colère sont terible, qu'il est une star du reike, a qui on ne peut pas s'en prendre comme ça pour des broutilles, et qu'il n'aprécierait surment pas de voir une dame maltraité en sa précense et que de toute façon il ne partirait pas de suite. il fit le calccul des bénefice risque dan sasa tête et c'est de très mauvaise grace en pestant dans barbe qu'il dit à l'esclave tout en lui jetant le parchemin a ses pieds dan sla boue.
"Toi l'esclave, aide le a ramasser ses affaires et circulez vite on reste là pour cette fois "
puis faisant signe a ses homems il commencèrent à partir.
- voix et thème de Brak'Trarg:
la voix
le thème
- Bric à Brak (inventaire de Brak'Trarg:
ses armes
brise crane
marteau lourd de combat que Brak'Trag utilise tout les jours avec crackpum
crackpum
marteau lourd de combat que Brak'Trarg utilise tout les jours avec brisecrane
marteau titan
marteau lourd que brak porte toujours avec son armure nlourde en justice solide mais utilise moins souvent que ses deux autres fidèles marteaux
titan's slayler
lame en phontacier, épée géante que brak utilise pour les grandes bastons ou face aux groupe d'ennemi a bastoner en corps à corps
Drakny
épée géante Dragon masculine et très virile en bronze divin que Brak aime bien utiliser sur ses ennemis
Brak l'a recu en récompense de la batailel contre les vilains zombis et monstre ayant attaquer sable d'or.
ses armures
armure lourde de créature d'élite
armure en justice solide que Brak'Trarg porte habituellement
armure de créature gladiateur
armure de gladiateur de Brak'Trarg quan dil était dan sl'arène et qu'il remet quand il y va en spectateur ou a certaines autre ocasion
armure de guerrier élite Reikois
armure que Brak'Trrag a reçu pour son diplome de guerrier d'élite
Invité
Invité
Ils n'étaient pas décidés à la laisser tranquille.
L'esclave savait que beaucoup d'hommes trouvaient du plaisir à humilier leur prochain. La nature sadique des êtres conscients ne devait pas être sous-estimée, elle en était la première informée. Les innombrables marques qui décoraient sa peau le lui rappelait tous les jours. Quand ce n'était pas ses plus profonds cauchemars. Elle était tombée sur les mauvaises personnes au mauvais endroit, et voyait mal comment se dépêtrer de cette situation. Peut être qu'en implorant la clémence de ces individus, en s'excusant de façon répétée, ils finiraient par s'en satisfaire et la laisser en paix? Non. Ils ne semblaient pas du genre à se contenter de si peu. Cela ne voulait pas dire que la verte n'allait pas essayer. Qu'avait-elle à perdre quand elle était perdante d'entrée de jeu?
Un invité surprise était alors arrivé de nul part, sans prévenir. Et quel invité surprise! Pour la drakyn qui était à genoux, il paraissait encore plus immense! Elle avait l'habitude de regarder les gens de haut avec ses deux mètres de hauteur, mais lui brisait tous les records connus! Il était juste... gigantesque! Deux mètres, trois mètres, plus encore?! Une créature qu'elle n'avait jamais vu jusqu'à présent et qui prouvait une fois de plus à la barbare que le monde était immensément vaste. Trop vaste pour être découvert, compris, du jour au lendemain. L'être était terriblement musclé aussi, doté d'une apparence plus monstrueuse que civilisée. Pourtant, sa manière de s'exprimer n'avait rien à voir avec celle d'un monstre.
Cette bête demandait aux soldats de s'écarter. Et cela fonctionnait. Ils avaient peur. La drakyn pouvait le sentir.
Ce n'était pas une peur viscérale mais l'expression de leurs visages trahissait leurs craintes. Qui était cette créature qu'ils appelaient Brak...quelque chose? Cela semblait familier à la verte. Mais elle n'avait pas le temps de s'en inquiéter que la bête écroulait sa caisse et tout son contenu au sol. Des... pièces métalliques? L'esclave papillonnait des yeux. - Que sont donc ces choses? Marmonnait-elle à voix basse. Des armes, peut être, se disait la drakyn. Elle n'avait jamais vu d'haltères de sa vie. Pour autant, la créature lui intimait l'ordre... non, plutôt lui demandait poliment de l'aider à ramasser ses affaires.
- B-bien sûr... Fit-elle d'une simple réponse, encore parfaitement confuse par cette situation.
Mais il restait les gardes. Qu'allaient-ils dire, alors que cette bête volait leur proie? Rien. Ils s'inclinaient sans hésiter, jetant au passage le précieux document de l'esclave entre deux pavés, là où trainait une boue indésirée. La drakyn s'était immédiatement jetée sur le parchemin, l'essuyant aussitôt avec ses vêtements. Un sourire s'ancrait sur ses lèvres face au peu de dégâts subis par le papier. Juste quelques tâches, rien de dramatique. Elle rangeait précieusement son bien et revint vers la bête pour l'aider à ramasser ses affaires. Les soldats étaient partis, ils crachaient de mépris dans un dernier regard envers l'esclave. Mieux valait pour la verte de ne pas les recroiser.
- Je crois que je vous dois des remerciements, Messire... Brak? Tel est votre nom?
Sans hésiter, elle lui offrait un doux, chaleureux sourire. Il avait beau avoir l'apparence d'un monstre, ce qu'il avait fait montrait qu'il était plus humain que ces soldats. Il lui était venu en aide sans la moindre honte, elle qui était une parfaite inconnue, doublée d'une esclave. La barbare remettait la caisse droite, tout en regardant ces étranges "haltères". Elle ignorait encore à quoi tout cela pouvait bien servir.
- Je m'appelle Mirelys, esclave de la maison Leotoris de Kyouji. Je suis honorée de faire votre rencontre, même si les circonstances ne s'y prêtaient guère. J'ai l'impression de vous avoir déjà vu quelque part, êtes-vous déjà venu à Kyouji?
C'était sur un poster qu'elle l'avait vu, collé sur un mur de la cité. Plus d'une fois, elle avait vu son visage dessiné, avec d'innombrables écrits mentionnant des combats à venir prestigieux. De la publicité en somme. Sa joie d'aider la créature après avoir été aidée fut de courte durée cependant. Elle n'avait pas remarqué les marques importantes laissées par les haltères sur les pavés de cette rue. Aussi, à peine avait-elle voulu en soulever un qu'elle en perdait ses poumons...et ses bras. Mirelys était un peu perplexe sur le coup. Elle essayait de s'y reprendre, forçant de toute la puissance de ses bras pour lever ces choses, mais c'était impossible. C'était à peine si elle les faisait bouger. C'était bien la première fois que cela arrivait à la drakyn qu'elle était!
- C'est impossible... Combien pèsent donc ces choses? A quoi servent-elles d'ailleurs? Est-ce que ce sont des projectiles de catapulte?
Une goutte de sueur perlait de son front.
Perplexe, elle était perplexe.
L'esclave savait que beaucoup d'hommes trouvaient du plaisir à humilier leur prochain. La nature sadique des êtres conscients ne devait pas être sous-estimée, elle en était la première informée. Les innombrables marques qui décoraient sa peau le lui rappelait tous les jours. Quand ce n'était pas ses plus profonds cauchemars. Elle était tombée sur les mauvaises personnes au mauvais endroit, et voyait mal comment se dépêtrer de cette situation. Peut être qu'en implorant la clémence de ces individus, en s'excusant de façon répétée, ils finiraient par s'en satisfaire et la laisser en paix? Non. Ils ne semblaient pas du genre à se contenter de si peu. Cela ne voulait pas dire que la verte n'allait pas essayer. Qu'avait-elle à perdre quand elle était perdante d'entrée de jeu?
Un invité surprise était alors arrivé de nul part, sans prévenir. Et quel invité surprise! Pour la drakyn qui était à genoux, il paraissait encore plus immense! Elle avait l'habitude de regarder les gens de haut avec ses deux mètres de hauteur, mais lui brisait tous les records connus! Il était juste... gigantesque! Deux mètres, trois mètres, plus encore?! Une créature qu'elle n'avait jamais vu jusqu'à présent et qui prouvait une fois de plus à la barbare que le monde était immensément vaste. Trop vaste pour être découvert, compris, du jour au lendemain. L'être était terriblement musclé aussi, doté d'une apparence plus monstrueuse que civilisée. Pourtant, sa manière de s'exprimer n'avait rien à voir avec celle d'un monstre.
Cette bête demandait aux soldats de s'écarter. Et cela fonctionnait. Ils avaient peur. La drakyn pouvait le sentir.
Ce n'était pas une peur viscérale mais l'expression de leurs visages trahissait leurs craintes. Qui était cette créature qu'ils appelaient Brak...quelque chose? Cela semblait familier à la verte. Mais elle n'avait pas le temps de s'en inquiéter que la bête écroulait sa caisse et tout son contenu au sol. Des... pièces métalliques? L'esclave papillonnait des yeux. - Que sont donc ces choses? Marmonnait-elle à voix basse. Des armes, peut être, se disait la drakyn. Elle n'avait jamais vu d'haltères de sa vie. Pour autant, la créature lui intimait l'ordre... non, plutôt lui demandait poliment de l'aider à ramasser ses affaires.
- B-bien sûr... Fit-elle d'une simple réponse, encore parfaitement confuse par cette situation.
Mais il restait les gardes. Qu'allaient-ils dire, alors que cette bête volait leur proie? Rien. Ils s'inclinaient sans hésiter, jetant au passage le précieux document de l'esclave entre deux pavés, là où trainait une boue indésirée. La drakyn s'était immédiatement jetée sur le parchemin, l'essuyant aussitôt avec ses vêtements. Un sourire s'ancrait sur ses lèvres face au peu de dégâts subis par le papier. Juste quelques tâches, rien de dramatique. Elle rangeait précieusement son bien et revint vers la bête pour l'aider à ramasser ses affaires. Les soldats étaient partis, ils crachaient de mépris dans un dernier regard envers l'esclave. Mieux valait pour la verte de ne pas les recroiser.
- Je crois que je vous dois des remerciements, Messire... Brak? Tel est votre nom?
Sans hésiter, elle lui offrait un doux, chaleureux sourire. Il avait beau avoir l'apparence d'un monstre, ce qu'il avait fait montrait qu'il était plus humain que ces soldats. Il lui était venu en aide sans la moindre honte, elle qui était une parfaite inconnue, doublée d'une esclave. La barbare remettait la caisse droite, tout en regardant ces étranges "haltères". Elle ignorait encore à quoi tout cela pouvait bien servir.
- Je m'appelle Mirelys, esclave de la maison Leotoris de Kyouji. Je suis honorée de faire votre rencontre, même si les circonstances ne s'y prêtaient guère. J'ai l'impression de vous avoir déjà vu quelque part, êtes-vous déjà venu à Kyouji?
C'était sur un poster qu'elle l'avait vu, collé sur un mur de la cité. Plus d'une fois, elle avait vu son visage dessiné, avec d'innombrables écrits mentionnant des combats à venir prestigieux. De la publicité en somme. Sa joie d'aider la créature après avoir été aidée fut de courte durée cependant. Elle n'avait pas remarqué les marques importantes laissées par les haltères sur les pavés de cette rue. Aussi, à peine avait-elle voulu en soulever un qu'elle en perdait ses poumons...et ses bras. Mirelys était un peu perplexe sur le coup. Elle essayait de s'y reprendre, forçant de toute la puissance de ses bras pour lever ces choses, mais c'était impossible. C'était à peine si elle les faisait bouger. C'était bien la première fois que cela arrivait à la drakyn qu'elle était!
- C'est impossible... Combien pèsent donc ces choses? A quoi servent-elles d'ailleurs? Est-ce que ce sont des projectiles de catapulte?
Une goutte de sueur perlait de son front.
Perplexe, elle était perplexe.
Noble du Reike
Brak'Trarg
Messages : 404
crédits : 1575
crédits : 1575
Info personnage
Race: Oni/Drakyn
Vocation: Guerrier - Combattant
Alignement: Chaotique Bon
Rang: B - Garde royal
le stratagème de Brak avait fonctioné les méchants soldat les laissait tranquille et la jenie dame lui souriait maintenant de reconaissance. acceptat volontier de l'aider. la dame se présenta assez vite sous le nom de Mireylis esclave d'une famille de Kyouji, elel demandan egalement a brak quel était son nom, et si il était déja passé par Kyouji.
Cela ne manqua pas de faire sourire Brak chaleuresement et amicalement quand Mirelys le remercia aussi.
Brak avec un sourire encouragent sur sa verte frimousse lui dit d'un ton chaleureux.
" oh mais vous n'avez pas besin de me remercier chère Mireylis, je suis né esclave et est vécu de nombreuse années se que vous vivez aujourd'hui, et cela me revolte toujours de voir des gens traiter aussi durement leur prochain. dan smon cas je fut affranchit avant la geurre contre les titans,. Sinon je suis Brak'Trarg gladiateur dans la grande arène d'ikusa. et oui il m'est arrivé de me redre a Kyouji soit pour des combat soit pour des evenemetn de musculation. "
dit brak souirant de ses croc de dragon les neuneuil mi clos. avant d'inspecter visuellement l'état des haltères avan tde les remettre dans la caisse et de voir que Myrelis s'ésoufalit sa parvenir a en bouger un. ce qui rappela soudaineemnt a Brak leur grand poids et que a part lui a la salle peut arriverait a s'ne servir. d'ailleur Mireylis ne tarda pas a lui demander ce que c'était et combiens il pesait.
partant d'un rire amusé Brak lui répondit tout en prenant lui même les haltère en main. et entament quelque poses de bodybuilding il lui dit le sourire sur sa frimousse.
" ce ne spnt pas des munition pour canon mais des haltères de musculation, l'on s'en rt dans diferent exercicesde muscu pour entretenir, augmanter l'endurence et les muscles des bras et suivant les mouvement de l'exercice l'on travaille tel ou tel muscle en priorité les exo les plus clasiques sont ..."
lui dit Brka en lui montrant rapidement trois exercices de musculation les plus connu avec des haltères avant de conclure
" ... ceux ci sont tout fraichement forgé je sortait du forgeron pour les amener à la salle de musculation, de mon cher et tendre. et ce modèles ci sont nos haltère "dragon" il pèsent environs 100 kgs chacun. mais ne vous embêter pas je vais porter la caisse. si je pouis hasarder un conseil rester prêt de moi et faite semblant d'êtr eune vielle connaisance, aux yeux des gardes et soldat vous passerez ainsi inaperçue et il ne vous embeterons plus. vous me direz ce que vous chercher et vous vous alles e je vous y escorterait san ssoucis "
temrina Brak un clin de neuneuil et sourire enfantin complice. tout en reprenant la caisse avec les haltère et voyant pour le coup les marques u'il avait laissé sur les pavées.
Cela ne manqua pas de faire sourire Brak chaleuresement et amicalement quand Mirelys le remercia aussi.
Brak avec un sourire encouragent sur sa verte frimousse lui dit d'un ton chaleureux.
" oh mais vous n'avez pas besin de me remercier chère Mireylis, je suis né esclave et est vécu de nombreuse années se que vous vivez aujourd'hui, et cela me revolte toujours de voir des gens traiter aussi durement leur prochain. dan smon cas je fut affranchit avant la geurre contre les titans,. Sinon je suis Brak'Trarg gladiateur dans la grande arène d'ikusa. et oui il m'est arrivé de me redre a Kyouji soit pour des combat soit pour des evenemetn de musculation. "
dit brak souirant de ses croc de dragon les neuneuil mi clos. avant d'inspecter visuellement l'état des haltères avan tde les remettre dans la caisse et de voir que Myrelis s'ésoufalit sa parvenir a en bouger un. ce qui rappela soudaineemnt a Brak leur grand poids et que a part lui a la salle peut arriverait a s'ne servir. d'ailleur Mireylis ne tarda pas a lui demander ce que c'était et combiens il pesait.
partant d'un rire amusé Brak lui répondit tout en prenant lui même les haltère en main. et entament quelque poses de bodybuilding il lui dit le sourire sur sa frimousse.
" ce ne spnt pas des munition pour canon mais des haltères de musculation, l'on s'en rt dans diferent exercicesde muscu pour entretenir, augmanter l'endurence et les muscles des bras et suivant les mouvement de l'exercice l'on travaille tel ou tel muscle en priorité les exo les plus clasiques sont ..."
lui dit Brka en lui montrant rapidement trois exercices de musculation les plus connu avec des haltères avant de conclure
" ... ceux ci sont tout fraichement forgé je sortait du forgeron pour les amener à la salle de musculation, de mon cher et tendre. et ce modèles ci sont nos haltère "dragon" il pèsent environs 100 kgs chacun. mais ne vous embêter pas je vais porter la caisse. si je pouis hasarder un conseil rester prêt de moi et faite semblant d'êtr eune vielle connaisance, aux yeux des gardes et soldat vous passerez ainsi inaperçue et il ne vous embeterons plus. vous me direz ce que vous chercher et vous vous alles e je vous y escorterait san ssoucis "
temrina Brak un clin de neuneuil et sourire enfantin complice. tout en reprenant la caisse avec les haltère et voyant pour le coup les marques u'il avait laissé sur les pavées.
- voix et thème de Brak'Trarg:
la voix
le thème
- Bric à Brak (inventaire de Brak'Trarg:
ses armes
brise crane
marteau lourd de combat que Brak'Trag utilise tout les jours avec crackpum
crackpum
marteau lourd de combat que Brak'Trarg utilise tout les jours avec brisecrane
marteau titan
marteau lourd que brak porte toujours avec son armure nlourde en justice solide mais utilise moins souvent que ses deux autres fidèles marteaux
titan's slayler
lame en phontacier, épée géante que brak utilise pour les grandes bastons ou face aux groupe d'ennemi a bastoner en corps à corps
Drakny
épée géante Dragon masculine et très virile en bronze divin que Brak aime bien utiliser sur ses ennemis
Brak l'a recu en récompense de la batailel contre les vilains zombis et monstre ayant attaquer sable d'or.
ses armures
armure lourde de créature d'élite
armure en justice solide que Brak'Trarg porte habituellement
armure de créature gladiateur
armure de gladiateur de Brak'Trarg quan dil était dan sl'arène et qu'il remet quand il y va en spectateur ou a certaines autre ocasion
armure de guerrier élite Reikois
armure que Brak'Trrag a reçu pour son diplome de guerrier d'élite
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum