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Invité
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Comment décrire le cabinet de Nineveh ?
La superposition du réel, au civilisé, semble la meilleure définition. Le tout, encastré dans un coin tranquille de Melorn, non loin de jardins publics.
Maison de maître à la façade blanche qui se confond avec toutes les autres baraques, lignes d’architectures qui font la beauté des bâtiments en convergeant toutes dans la même direction, volets bleus joliment peints, aux étages des balcons aux gardes fous floraux et fleuris. Les roses d’acier se confondent avec le lierre qui pousse sur les ferronneries. Le fond prime sur la forme et les architectes se sont arrangés pour donner un certain cachet au fonctionnel, notamment les gouttières qui se terminent au sol par des poissons recrachant l’eau de pluie.
Mais aujourd’hui est une belle journée et cela se reflète dans le cabinet de la docteur, situé au premier étage de la grande demeure où plusieurs médecins se sont regroupés. Le soleil se reflète sur les carreaux en plomb.
Pas de patient en vue, c’est l’heure de relire les vieux manuels de médecine et les antiques carnets qu’elle a noircis durant sa jeunesse. Pourquoi pas d’annoter un livre tout fraichement acheté et de se prendre une tasse de thé. Son assistant le chat s’entraîne à coudre dans un coin de la pièce, dans l’espoir un jour d’être un meilleur sous-fifre pour son oncle et s’initier à la nécromancie. En attendant, il essaie déjà de recoudre un pantalon et ce n’est pas gagné. Si les dieux lui ont donné du talent avec un arc et une épée, il a deux mains gauches quand il s’agit de suturer et ce qu’elle voit sur un vêtement, ne lui donne pas envie de voir sur un corps.
Elle dirait bien « homme », mais cela sous entendrait que le type survive à la séance de rafistolage et ça aussi, ce n’est pas gagné tant il manie l’aiguille laborieusement.
« Sinon on peut cautériser. » Déclare le chat, « ça marche aussi. » La médecin s’apprête à répondre, mais une clochette l’informe qu’un patient vient d’arriver. « Je m’en occupe.
-On ne cautérise pas au motif que cela laisse d’odieuses balafres. » Explique la médecin en rajustant sa tenue et en rangeant ses livres, il va être l’heure de bosser. « Et une odeur infecte qui imprègne tout.
-C’est des manières de gosse. Si vous aviez une fourrure, vous ne vous inquiéteriez pas des balafres.»
Un instant plus tard, le cabinet est riche d’une troisième personne.
« Bienvenue à mon bureau, que puis-je faire pour vous ? »
La superposition du réel, au civilisé, semble la meilleure définition. Le tout, encastré dans un coin tranquille de Melorn, non loin de jardins publics.
Maison de maître à la façade blanche qui se confond avec toutes les autres baraques, lignes d’architectures qui font la beauté des bâtiments en convergeant toutes dans la même direction, volets bleus joliment peints, aux étages des balcons aux gardes fous floraux et fleuris. Les roses d’acier se confondent avec le lierre qui pousse sur les ferronneries. Le fond prime sur la forme et les architectes se sont arrangés pour donner un certain cachet au fonctionnel, notamment les gouttières qui se terminent au sol par des poissons recrachant l’eau de pluie.
Mais aujourd’hui est une belle journée et cela se reflète dans le cabinet de la docteur, situé au premier étage de la grande demeure où plusieurs médecins se sont regroupés. Le soleil se reflète sur les carreaux en plomb.
Pas de patient en vue, c’est l’heure de relire les vieux manuels de médecine et les antiques carnets qu’elle a noircis durant sa jeunesse. Pourquoi pas d’annoter un livre tout fraichement acheté et de se prendre une tasse de thé. Son assistant le chat s’entraîne à coudre dans un coin de la pièce, dans l’espoir un jour d’être un meilleur sous-fifre pour son oncle et s’initier à la nécromancie. En attendant, il essaie déjà de recoudre un pantalon et ce n’est pas gagné. Si les dieux lui ont donné du talent avec un arc et une épée, il a deux mains gauches quand il s’agit de suturer et ce qu’elle voit sur un vêtement, ne lui donne pas envie de voir sur un corps.
Elle dirait bien « homme », mais cela sous entendrait que le type survive à la séance de rafistolage et ça aussi, ce n’est pas gagné tant il manie l’aiguille laborieusement.
« Sinon on peut cautériser. » Déclare le chat, « ça marche aussi. » La médecin s’apprête à répondre, mais une clochette l’informe qu’un patient vient d’arriver. « Je m’en occupe.
-On ne cautérise pas au motif que cela laisse d’odieuses balafres. » Explique la médecin en rajustant sa tenue et en rangeant ses livres, il va être l’heure de bosser. « Et une odeur infecte qui imprègne tout.
-C’est des manières de gosse. Si vous aviez une fourrure, vous ne vous inquiéteriez pas des balafres.»
Un instant plus tard, le cabinet est riche d’une troisième personne.
« Bienvenue à mon bureau, que puis-je faire pour vous ? »
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Après Kaizoku et un léger saut à Justice c'est vers Melorn qu'Halewyn s'est dirigé à dos de Melkor, le fantasque étalon de ténèbres et de feu qui na pas manqué de faire payer à son cavalier l'affront d'une traversée du lac en barge. Et c,est encore à demoi boudant qu'il se pavane l'animal attirant l'attention des elfes sur son cavalier et lui. Parce qu'il est beau et il en a une conscience aigue.
Amusé, le cavalier le laisse faire dans une certaine mesure, droit dans ses étriers et la redigote impeccablement placée sur la croupe de l'animal tel un somptueux manteau. Et si trouver µelorn ne fut pas chose aisée, trouver la personne désignée l'est encore plus. Un instant ħalewyn jongle avec l'idée de se faire pousser des oreilles pointues avant de se dire que non, ils n'apprécieront pas l'attention. De plus, pourquoi vouloir changer la perfection physique?
Quoiquil en soit, cela lui prit deux journées complètes de recherche intensives recouvertes du verni le plus brillant de l'humble politesse la plus irréprochable avant de trouver le bâtiment qui l'intéressait et pendant un moment, iel en resta coi sur un Melkor piaffant d'impatience, encensant à qui mieux mieux. son impatience de repartir sur les grandes routes. IĿ est vrai qu'à eux deux ils faisaient une belle équipe, l'étalon s'avérant un ambleur infatigable doué d'un sens de l'humour des plus douteux. Voyager sur Melkor était tellement confortable, l'ambleur ayant une allure similaire à celle d'un tapis volant, iel était peinard, tellement qu'iel aurait pu siroter tranquillement une tasse de thé sans même en renverser une seule goutte. Ajoutez cela quelques kilomètres de téléportation par jour et ils avalaient els kilomètres plus vite qu'aucun éclaireur ne le ferait jamais et ce, sans se fatiguer.
Assez parlé du beau quadrupède ceci dit et admirons plutôt la grâce aérienne du second tandis qu'iel monte les marche et entre dans les lieux en terminant d'ajuster manche et collet de sa redingote de voyage.
C'est calme et propre apprécia le voyageur... A moins que ca ne soit une voyageuse? ŀa silhouette .lancée tenait autant de l'homme que de la femme, des bottes montantes au genoux soulignaits les fines guibolles finement tournées et la redingote indigo galonnée et brodée d'argent ne permettait pas de deviner le genre. ŀa chevelure d'un rouge carmin semblable à celui de l'hémoglobine famboyait à la lumière des fenetres, ainsi que les deux prunelles en amande, d'un noir brillant, légèrement ourlées de Khôl balayaient la pièce. Légèrement sur la jambe gauche la main droite sur la hanche, un sourire satisfait ornait les lèvres roses de la bouche trop large, la peau d'albâtre trahissant des origines raffinées.
Et c'est avec une politesse exquise que la visiteuse s'inclina devant l'elfe qui venait d'entrer avec une galanterie toute masculine tranchant avec son attitude féminine de quelques secondes plus tôt. .
-Bonjour madame, je me présente, Halewwyn Giovinetta Sampiero, pour vous servir. je recherche le ou la docteur Nineveh de Basileia. C'est pour une consultation de plusieurs menus problèmes à résoudre, qui, je l'espère, sauront attiser sa curiosité et représenter des défis digne d'elle.
Même la voix, douce comme un soupir, ne permettait de définir le genre, basse pour une femme et aigue pour un homme. Le mystère s'épaississait. L'accent chantant par contre, était indubitablement Shoumeien pour une dégaine qui criait Républicaine. En ces temps troublés, ce n'était guère étonnant ceci dit
-Savez vous madame, quand il serait possible de prendre rendez-vous?
Amusé, le cavalier le laisse faire dans une certaine mesure, droit dans ses étriers et la redigote impeccablement placée sur la croupe de l'animal tel un somptueux manteau. Et si trouver µelorn ne fut pas chose aisée, trouver la personne désignée l'est encore plus. Un instant ħalewyn jongle avec l'idée de se faire pousser des oreilles pointues avant de se dire que non, ils n'apprécieront pas l'attention. De plus, pourquoi vouloir changer la perfection physique?
Quoiquil en soit, cela lui prit deux journées complètes de recherche intensives recouvertes du verni le plus brillant de l'humble politesse la plus irréprochable avant de trouver le bâtiment qui l'intéressait et pendant un moment, iel en resta coi sur un Melkor piaffant d'impatience, encensant à qui mieux mieux. son impatience de repartir sur les grandes routes. IĿ est vrai qu'à eux deux ils faisaient une belle équipe, l'étalon s'avérant un ambleur infatigable doué d'un sens de l'humour des plus douteux. Voyager sur Melkor était tellement confortable, l'ambleur ayant une allure similaire à celle d'un tapis volant, iel était peinard, tellement qu'iel aurait pu siroter tranquillement une tasse de thé sans même en renverser une seule goutte. Ajoutez cela quelques kilomètres de téléportation par jour et ils avalaient els kilomètres plus vite qu'aucun éclaireur ne le ferait jamais et ce, sans se fatiguer.
Assez parlé du beau quadrupède ceci dit et admirons plutôt la grâce aérienne du second tandis qu'iel monte les marche et entre dans les lieux en terminant d'ajuster manche et collet de sa redingote de voyage.
C'est calme et propre apprécia le voyageur... A moins que ca ne soit une voyageuse? ŀa silhouette .lancée tenait autant de l'homme que de la femme, des bottes montantes au genoux soulignaits les fines guibolles finement tournées et la redingote indigo galonnée et brodée d'argent ne permettait pas de deviner le genre. ŀa chevelure d'un rouge carmin semblable à celui de l'hémoglobine famboyait à la lumière des fenetres, ainsi que les deux prunelles en amande, d'un noir brillant, légèrement ourlées de Khôl balayaient la pièce. Légèrement sur la jambe gauche la main droite sur la hanche, un sourire satisfait ornait les lèvres roses de la bouche trop large, la peau d'albâtre trahissant des origines raffinées.
Et c'est avec une politesse exquise que la visiteuse s'inclina devant l'elfe qui venait d'entrer avec une galanterie toute masculine tranchant avec son attitude féminine de quelques secondes plus tôt. .
-Bonjour madame, je me présente, Halewwyn Giovinetta Sampiero, pour vous servir. je recherche le ou la docteur Nineveh de Basileia. C'est pour une consultation de plusieurs menus problèmes à résoudre, qui, je l'espère, sauront attiser sa curiosité et représenter des défis digne d'elle.
Même la voix, douce comme un soupir, ne permettait de définir le genre, basse pour une femme et aigue pour un homme. Le mystère s'épaississait. L'accent chantant par contre, était indubitablement Shoumeien pour une dégaine qui criait Républicaine. En ces temps troublés, ce n'était guère étonnant ceci dit
-Savez vous madame, quand il serait possible de prendre rendez-vous?
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Halewyn Giovinetta Sampiero, un homme… Ou une femme ? L’elfe ne peut dire, au motif qu’il y a une ambiguïté dans le ton de sa voix, la forme de la mâchoire, la largeur des épaules. Peut-être dans le comportement peut-elle trouver une faille, mais il lui faudra plus qu’une phrase pour discerner le genre de son interlocuteur et pour être honnête, ce n’est pas la raison de sa présence ici. Elle est là pour soigner ceux qui se présentent à elle, qu’importe le sexe, ou quoi que ce soit d’autre.
« Je suis Nineveh de Basileïa, médecin de Melorn, à votre service. Je n’ai pas de rendez-vous aujourd’hui, je peux vous prendre immédiatement en consultation. »
Elle l’invite à prendre sur place sur la table d’auscultation alors qu’elle récupère son sac de médecin, il reste à régler cette question du sexe qui peut influencer sur la manière dont les gens réagissent aux afflictions. En embarquant son matériel, elle demande à Halewyn son sexe biologique.
« Pourriez-vous m’indiquer si vous êtes un homme ou une femme. Ceci afin que je puisse émettre le diagnostic le plus précis possible ? Mais surtout pour éviter des erreurs de qualification lors de l’examen médical. » C’est toujours désagréable d’être pris pour un homme et inversement.
Dans un coin de la salle, le chat semble… Hypnotisé par la beauté de la mystérieuse étrangère, il ne dit pas un mot, il se contente d’adopter son air mignon à gros yeux, air neutre, de quand il ne sait pas quoi dire, ni quoi faire. Il se pose à son bureau et observe sans rien dire, les yeux brillants d’admiration, ou du moins, c’est ce qu’il laisse penser.
L’elfe de son côté, termine de réunir son matériel de base pour se présenter auprès d’Halewyn, prête à l’examiner.
« Très bien, dits moi ce que je peux faire vous aujourd’hui ? »
« Je suis Nineveh de Basileïa, médecin de Melorn, à votre service. Je n’ai pas de rendez-vous aujourd’hui, je peux vous prendre immédiatement en consultation. »
Elle l’invite à prendre sur place sur la table d’auscultation alors qu’elle récupère son sac de médecin, il reste à régler cette question du sexe qui peut influencer sur la manière dont les gens réagissent aux afflictions. En embarquant son matériel, elle demande à Halewyn son sexe biologique.
« Pourriez-vous m’indiquer si vous êtes un homme ou une femme. Ceci afin que je puisse émettre le diagnostic le plus précis possible ? Mais surtout pour éviter des erreurs de qualification lors de l’examen médical. » C’est toujours désagréable d’être pris pour un homme et inversement.
Dans un coin de la salle, le chat semble… Hypnotisé par la beauté de la mystérieuse étrangère, il ne dit pas un mot, il se contente d’adopter son air mignon à gros yeux, air neutre, de quand il ne sait pas quoi dire, ni quoi faire. Il se pose à son bureau et observe sans rien dire, les yeux brillants d’admiration, ou du moins, c’est ce qu’il laisse penser.
L’elfe de son côté, termine de réunir son matériel de base pour se présenter auprès d’Halewyn, prête à l’examiner.
« Très bien, dits moi ce que je peux faire vous aujourd’hui ? »
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Je ne m'attendais pas à ce que cela soit si rapide... Sourit le ou la? future patiente en lui emboitant le pas. -Je vous en remercie.
A la question du sexe, il y a un blanc interrogatif. Pourquoi elle ne lui demande pas sa race plutôt? Ca serait plus d'actualité non? Mais bon.... C'est elle le médecin. Elle doit savoir le pourquoi du comment elle le fait. Aussi lui répond t'iel sans détour avec un ondulement caractéristique de la tresse battant sa croupe.
-Je suis les deux et aucuns. Et je crois, à fin thérapeutique. qu'il est relevant de vous annoncer d'emblée que je suis un démon... ou une démone, je vous laisse choisir le sexe, et que je n'ai jamais fréquenté de réel centre médical. Magic a bien essayé de régler un de messoucis, mais ce sont, pour la plupart, une bande de vieux gâteux plus porté sur l'Etude que sur les soins. Si cela vous cause quelques ennuis que ce soit ou préjudice moral, je tiens à vous assurer que je ne suis ici que pour raisons purement de santé et que je m'en irai de suite..
Avant de se faire chasser avec une pique et une fourche est le sous entendu tacite tandis qu'iel tourne les yeux pour voir un adorable chat qui le regarde, pupilles dilatées et tout mignon. Penchant la tête de côté avec un doux sourire, les prunelles noires étincellent de bonheur.
-Oh.... Magnifiique.... Bonjour toi!
Etendant ses sens et son empathie, adoucissant son aura pour la rendre calme et invitante, Halewyn lève une main et semble chercher quelque chose du bout des doigts avant qu'un morceau de poisson séché n'apparaisse entre ses doigts. Loin de le donner à l'animal derechef, iel plisse soudainement les yeux, le regard vrillé dans les pupilles dilatéées.
-Tes yeux te trahissent... Les beaux matous comme toi ne veulent pas faire des calins, mais veulent déchirer des épidermes des rasoirs ornant leur sublimes patounes quand ils ont les pupilles dilatées comme ca, je l'ai appris à mes dépends. Ca va, n'ait crainte... Je vais te laisser le morceau sur le comptoir, tu pourra le prendre plus tard si tu désire.
Et sursaute à la question de Nineveh
-Ah oui... Pardon... Je suis ici pour une visite en trois points dont deux sont reliés. Votre réputation vous précède jusqu'à Kaizoku, aussi je me suis dit que ca valaitla peine d'essayer. J'aurais pu écrire avant, j'en suis désolée, l'idée ne vient que de me traverser l'esprit à l'instant.
Tout en parlant, Halewyn enlève sa redingote, révélant une chemise à jabot d'un blanc immaculé serti d'un camé à la pierre indigo et miroitant de milles galaxies, des pantalons de cuir noir épousant ses courbes et un corset de dentelles noire soulignant la taille surnaturellement fine. Deux doigts élégants retirèrent le bijou et défire le col tandis qu'iel se dégagea le cou, révélant la rune qui y avait été gravée à coup de magie.
-En premier lieu, je veux me débarasser de cette chose horrible. C'est faisable?
A la question du sexe, il y a un blanc interrogatif. Pourquoi elle ne lui demande pas sa race plutôt? Ca serait plus d'actualité non? Mais bon.... C'est elle le médecin. Elle doit savoir le pourquoi du comment elle le fait. Aussi lui répond t'iel sans détour avec un ondulement caractéristique de la tresse battant sa croupe.
-Je suis les deux et aucuns. Et je crois, à fin thérapeutique. qu'il est relevant de vous annoncer d'emblée que je suis un démon... ou une démone, je vous laisse choisir le sexe, et que je n'ai jamais fréquenté de réel centre médical. Magic a bien essayé de régler un de messoucis, mais ce sont, pour la plupart, une bande de vieux gâteux plus porté sur l'Etude que sur les soins. Si cela vous cause quelques ennuis que ce soit ou préjudice moral, je tiens à vous assurer que je ne suis ici que pour raisons purement de santé et que je m'en irai de suite..
Avant de se faire chasser avec une pique et une fourche est le sous entendu tacite tandis qu'iel tourne les yeux pour voir un adorable chat qui le regarde, pupilles dilatées et tout mignon. Penchant la tête de côté avec un doux sourire, les prunelles noires étincellent de bonheur.
-Oh.... Magnifiique.... Bonjour toi!
Etendant ses sens et son empathie, adoucissant son aura pour la rendre calme et invitante, Halewyn lève une main et semble chercher quelque chose du bout des doigts avant qu'un morceau de poisson séché n'apparaisse entre ses doigts. Loin de le donner à l'animal derechef, iel plisse soudainement les yeux, le regard vrillé dans les pupilles dilatéées.
-Tes yeux te trahissent... Les beaux matous comme toi ne veulent pas faire des calins, mais veulent déchirer des épidermes des rasoirs ornant leur sublimes patounes quand ils ont les pupilles dilatées comme ca, je l'ai appris à mes dépends. Ca va, n'ait crainte... Je vais te laisser le morceau sur le comptoir, tu pourra le prendre plus tard si tu désire.
Et sursaute à la question de Nineveh
-Ah oui... Pardon... Je suis ici pour une visite en trois points dont deux sont reliés. Votre réputation vous précède jusqu'à Kaizoku, aussi je me suis dit que ca valaitla peine d'essayer. J'aurais pu écrire avant, j'en suis désolée, l'idée ne vient que de me traverser l'esprit à l'instant.
Tout en parlant, Halewyn enlève sa redingote, révélant une chemise à jabot d'un blanc immaculé serti d'un camé à la pierre indigo et miroitant de milles galaxies, des pantalons de cuir noir épousant ses courbes et un corset de dentelles noire soulignant la taille surnaturellement fine. Deux doigts élégants retirèrent le bijou et défire le col tandis qu'iel se dégagea le cou, révélant la rune qui y avait été gravée à coup de magie.
-En premier lieu, je veux me débarasser de cette chose horrible. C'est faisable?
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« Il y a des périodes creuses. » Déclare la médecin en écoutant la démone.
Définitivement, il y a dans son attitude une assurance masculine qui contraste étrangement avec le reste ses manières. Démon ? Démone ? Difficile de le genrer d’un point de vue psychique, souvent il y a des différences de comportement qui délimitent clairement l’un et l’autre des deux sexes. Il faudrait qu’elle prenne des mesures osseuses pour trancher la question de manière un peu plus nette, mais l’elfe n’est guère intéressée par une auscultation en détail. Elle donnera du monsieur au démon, au motif qu’elle n’est pas assez à l’aise pour lui donner du madame.
« Ce sera du monsieur pour aujourd’hui. » Annonce un brin gênée la docteur.
Mais la réponse principale vient de Scylla le chat, qui n’apprécie guère de se faire traiter de gros matou qui aime faire ses griffes sur le canapé ou sur les cuisses des gens. Il retrouve ses pupilles normales et d’un regard en fente, a une toux agacée : il n’aime pas qu’on démonte son numéro de chat mignon ainsi.
« Eh, je suis un hybride. Pas un chat de salon non plus, je sais encore ce que je veux faire quand je dilate les pupilles. » Attendrir les filles et s’en tirer avec une gratouille sur le sommet du crâne plutôt qu’une gifle bien méritée.
Il allait continuer, mais Nineveh l’interrompt d’un raclement de gorge : le travail avant les disputes. En particulier, son patient attend et elle n’a pas l’intention de laisser son assistant faire son numéro de bar. Elle s’approche d’Halewyn pour examiner son cou plus en détail.
« Je suis flattée que ma réputation me précède jusqu’aux îles, il ne me reste plus qu’à honorer les prouesses qu’on me prête. Penchez la tête sur le côté s’il vous plaît. » En posant les mains sur la rune, elle plisse des yeux : c’est du travail talentueux et d’une bonne expertise, mais ce n’est pas suffisant pour la mettre en échec. « J’ai l’habitude de prendre des patients, sans nécessairement avoir prise de rendez-vous avant. En général, ils me sollicitent à l’avance car je suis souvent en déplacement dans le reste du continent. Vous avez eu de la chance que je sois présente cette semaine. » Elle se tourne vers son assistant. « Scylla, de la glace s’il te plaît. » puis de se tourner vers Halewyn. « Avant que je ne débute les soins, pourriez-vous me dire ce que vous savez sur ce sceau, son propriétaire et s’il y a une quelconque raison de croire à un contre-sceau, ou un mécanisme de défense ? »
Elle n’a rien descellée, mais elle préfère avoir l’avis de son patient avant de retirer cette marque.
Invité
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En simple réponse à l'affirmation de la doctoresse, l'attitude générale de son visiteur tendit souainement un peu plus ver le masculin sans même que son physique caractère ne change. Plutôt Halewyn contemple l'hybride avec un air appréciateur et ouvertement admiratif. Un hybride chat!!! Si il est mignon!!! Avec son regard plein de morgue, ces poincons affûtés en guise de crocs et les lames de ses griffes. Il a le poil en santé et a cette sveltesse que le visiteur sait apprécier peu importe quelle espèce.
D'accord, ca sera monsieur pour aujourd'hui. CLama t'il en se tournant vers le chat... non, l'hybride -Je ne voulais point t'insulter....
S'ensuit un raclement de gorge évocateur entre son hôtesse et son partenaire qu'il suit avec attention, on a pas idée d'être sexy comme ca. Non mais ce pelage!!! Et cet oeil vif!!!
-C'est Seagan, le haut -prêtre du nouvel Ordre qui me l'a fait. Annonce t'il d'emblée en étirant son cou de cygne pour faciliter l'accès. Tıens, avait il une pomme d'adam à son entrée d'ailleurs? La voix de soupir s'élève, un poil plus mâle mais toujours aussi distinguée, avec une fraicheur digne des glaciation polaires laissant parfaitement percevoir sa position morale sur le sujet. - -Il a dit que c'est pour savoir quand je mens, mais je suis physiologiquement incapable de mentir, je dois d'ailleurs essayer de régler ce travers, un démon qui ne mens pas c'est du jamais vu en fait. Pour en revenir, il m'a dit de la cacher sauf en sa présence... Comme si l'idée de me trimballer en affichant ''ca'' était d'actualité. Cette marque est un pacte à sens unique qui me lie unilatéralement au lanceur. Elle ne m'a pas brimé jusqu'à présent, elle est là, inerte et disgracieuse. Tout, dans ma nature de démon, s'insurge contre ce symbole illustrant l'ascendant d'un mortel sur ma personne. Je suis... j'étais un démon libre et j'entend le rester, je n'ai que faire du Nouvel Ordre. Cette facon de traiter un pacte avec autant de légèreté me heurte dans mon professionnalisme le plus profond.
Il marque une pause, prenant le temps de réfléchir.
_Et si quelqu'un ici est membre de cet ordre, il peut porter mes paroles sans problèmes... J'en assume entièrement les conséquences. Les royaumes se font et se défont et aucun mortel n'a jamais bâti quelque chose de durable enmanipulant ou en asservissant mortels ou imortels.
D'accord, ca sera monsieur pour aujourd'hui. CLama t'il en se tournant vers le chat... non, l'hybride -Je ne voulais point t'insulter....
S'ensuit un raclement de gorge évocateur entre son hôtesse et son partenaire qu'il suit avec attention, on a pas idée d'être sexy comme ca. Non mais ce pelage!!! Et cet oeil vif!!!
-C'est Seagan, le haut -prêtre du nouvel Ordre qui me l'a fait. Annonce t'il d'emblée en étirant son cou de cygne pour faciliter l'accès. Tıens, avait il une pomme d'adam à son entrée d'ailleurs? La voix de soupir s'élève, un poil plus mâle mais toujours aussi distinguée, avec une fraicheur digne des glaciation polaires laissant parfaitement percevoir sa position morale sur le sujet. - -Il a dit que c'est pour savoir quand je mens, mais je suis physiologiquement incapable de mentir, je dois d'ailleurs essayer de régler ce travers, un démon qui ne mens pas c'est du jamais vu en fait. Pour en revenir, il m'a dit de la cacher sauf en sa présence... Comme si l'idée de me trimballer en affichant ''ca'' était d'actualité. Cette marque est un pacte à sens unique qui me lie unilatéralement au lanceur. Elle ne m'a pas brimé jusqu'à présent, elle est là, inerte et disgracieuse. Tout, dans ma nature de démon, s'insurge contre ce symbole illustrant l'ascendant d'un mortel sur ma personne. Je suis... j'étais un démon libre et j'entend le rester, je n'ai que faire du Nouvel Ordre. Cette facon de traiter un pacte avec autant de légèreté me heurte dans mon professionnalisme le plus profond.
Il marque une pause, prenant le temps de réfléchir.
_Et si quelqu'un ici est membre de cet ordre, il peut porter mes paroles sans problèmes... J'en assume entièrement les conséquences. Les royaumes se font et se défont et aucun mortel n'a jamais bâti quelque chose de durable enmanipulant ou en asservissant mortels ou imortels.
Invité
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Marque maudite pour empêcher le mensonge, fait par un haut prêtre de Shoumeï manifestement ? Où ce qu’il en reste visiblement. La médecin a un hochement de tête, c’est assez atypique mais pas autant qu’on ne pourrait le croire : il y a plus d’un mage obsédé par l’idée de contrôle. C’est assez simple à traiter pour une médecin de son calibre, rien ne lui résiste en la matière, même si cela risque d’être fatigant. L’elfe réfléchit un instant, tandis qu’en fond, le chat reprend la parole.
« Pas de soucis. » Dit-il en remplissant un sac avec de la glace générée au creux de sa main, « pour madame.
-Merci. Pas d’inquiétude quant à vos propos : je ne suis pas de l’ordre et les politiques humaines ne m’importent guère, dans la mesure où elles sont intimement liées à des enjeux abstraits, qui ne tiennent pas compte de la réalité. Enfin, il faut bien se distraire quand on a soixante ans d’espérance de vie et un fort besoin de compenser une nature éphémère. »
Maintenant ?
La procédure.
« Halewyn, je vais vous demander de vous tenir le plus droit et le plus immobile possible durant l’intervention. Vous ne devriez ne rien sentir normalement, si ce n’est une vague sensation de chaleur ou de froid, en fonction du sac de glaçons. En procédant à l’extraction, il est possible que vous sentiez un léger inconfort ou une certaine légèreté, suite à votre corps qui est débarrassée du sceau. Cela ne prendra que quelques instants. » Annonce Nineveh.
L’elfe ouvre grand une main, le mana s’accumule dans sa paume et une aura bleutée se forme tout autour. Le temps que le démon écarte un peu le col de la chemise et la médecin pose le bout des doigts sur le sceau. L’énergie astrale s’infiltre dans le sortilège avant de ponctionner lentement l’énergie du sceau. Nineveh glisse le sac de glace entre sa main et l’appose sur le sceau de sorte à faire tampon et à éviter un sursaut de température.
La magie qui fricote avec la magie, ce n’est jamais sans risque et si elle pouvait éviter une brûlure au troisième degré à son patient, c’était pour le mieux.
Un instant plus tard, l’opération est terminée, sans accroc, si ce n’est un peu d’eau tiède qui a coulée sur l’épaule du démon : le sac de glace était nécessaire pour éviter la brûlure.
« Terminé. Tout est fait normalement. Dites-moi si vous sentez quelque chose et si vous êtes capable de mentir.
-Shoumeï est une nation de types biens ! » S’exclame le chat plein d’ironie et de sarcasme. « En plus, si vous êtes un démon, ça veut dire que vous pouvez changer de sexe à volonté du coup ? » Yeux ronds de l’elfe qui se retourne, choquée. « Quoi ? C’est la première fois que je rencontre un démon qui a cette capacité, vous êtes un métamorphe absolu du coup ? » Demande Scylla, curieux.
« Pas de soucis. » Dit-il en remplissant un sac avec de la glace générée au creux de sa main, « pour madame.
-Merci. Pas d’inquiétude quant à vos propos : je ne suis pas de l’ordre et les politiques humaines ne m’importent guère, dans la mesure où elles sont intimement liées à des enjeux abstraits, qui ne tiennent pas compte de la réalité. Enfin, il faut bien se distraire quand on a soixante ans d’espérance de vie et un fort besoin de compenser une nature éphémère. »
Maintenant ?
La procédure.
« Halewyn, je vais vous demander de vous tenir le plus droit et le plus immobile possible durant l’intervention. Vous ne devriez ne rien sentir normalement, si ce n’est une vague sensation de chaleur ou de froid, en fonction du sac de glaçons. En procédant à l’extraction, il est possible que vous sentiez un léger inconfort ou une certaine légèreté, suite à votre corps qui est débarrassée du sceau. Cela ne prendra que quelques instants. » Annonce Nineveh.
L’elfe ouvre grand une main, le mana s’accumule dans sa paume et une aura bleutée se forme tout autour. Le temps que le démon écarte un peu le col de la chemise et la médecin pose le bout des doigts sur le sceau. L’énergie astrale s’infiltre dans le sortilège avant de ponctionner lentement l’énergie du sceau. Nineveh glisse le sac de glace entre sa main et l’appose sur le sceau de sorte à faire tampon et à éviter un sursaut de température.
La magie qui fricote avec la magie, ce n’est jamais sans risque et si elle pouvait éviter une brûlure au troisième degré à son patient, c’était pour le mieux.
Un instant plus tard, l’opération est terminée, sans accroc, si ce n’est un peu d’eau tiède qui a coulée sur l’épaule du démon : le sac de glace était nécessaire pour éviter la brûlure.
« Terminé. Tout est fait normalement. Dites-moi si vous sentez quelque chose et si vous êtes capable de mentir.
-Shoumeï est une nation de types biens ! » S’exclame le chat plein d’ironie et de sarcasme. « En plus, si vous êtes un démon, ça veut dire que vous pouvez changer de sexe à volonté du coup ? » Yeux ronds de l’elfe qui se retourne, choquée. « Quoi ? C’est la première fois que je rencontre un démon qui a cette capacité, vous êtes un métamorphe absolu du coup ? » Demande Scylla, curieux.
Invité
Invité
Se distraire... Sı il y a bien une constante entre mortels et immortels c'est bien celle là. Comment dirait-on déjà. Du pain, du vin et des jeux. Je connais quelqu'un qui partage votre point de vue sur la question. C'est amusant, je croirais presque l'entendre
Renchérit aimablement le démon.
Parce qu'une éternité d'ennui c'est à s'ouvrir les veines, croyez moi.
Docile, l'individu s'immobilise alors comme une statue tandis qu'elle officie avec rapidité et célérité. Par tout les démons, si il avait su que ca pouvait être réglé si facilement, il n'aurait pas arpenté le Sekai en long, large et en travers. Le succube sent la magie s'insunuer sous sa peau et rompre, une èa une, les fils manéiques de l'enchantement. C'est chaud. désagréable, limite douloureux entre ca et le sac de glace qui se promène sur son cou, lui donnant la chair de poule. Bref, il adore ca et ca lui donne des envies de bien célébrer...
Tout à ces sensations, Halewyn ferme les yeux de délice. Ca ne dure pas assez longtemps à son goût avant que la fin du traitement ne soit annoncée.
« Terminé. Tout est fait normalement. Dites-moi si vous sentez quelque chose et si vous êtes capable de mentir.
D'un mouvement gracieux des doigts, Halewyn pivote la main et présente la paume au ciel, un petit miroir de poche s'y déposant avant qu'il ne manipule l'instrument pour bien regarder son cou gracieux et parfait maintenant dépourvu de toute marque disgracieuse. Un large sourire étire alors la bouche trop grande, révélant les perles parfaites de sa dentition au tranchant bien dissimulé sous son apparence ordinaire. la joie qu'il ressent d'être libre lui permet de ne pas s'irriter de la demande de la mortelle.
Le miroir claque en se refermant, l,oeil noir brillant se posant dans les iris de la guérisseuse tandis que la voix de soupir répond d'un ton enjoué tandis qu'iel adoucit son aura quelque peu.
Dame de Basileia... Je ne mens jamais, c'est un fait établi. Libre à vous de croire si je vous dis un mensonge ou la vérité
Et le duo de se tourner vers l'hybride sexy qui est là, tout yeux et tout crocs, queue frétillante en train de leur rappeler leur existence avec ses questions.
-Shoumeï est une nation de types biens !... En plus, si vous êtes un démon, ça veut dire que vous pouvez changer de sexe à volonté du coup ? »
Yeux ronds de l’elfe qui se retourne, choquée, tandis que les sourcils du démon se haussent de surprise avant de s'abaisser de malice, les yeux noirs prenant une teinte de velours.... Mais qu'est ce que c'est que cette question? A croire qu'il veut s'en payer une tranche... Halewyn n'est pas démon à refuser une expérience de vie inédite ceci dit... Pense t'il en teintant sa personne d'une aura séductrice pour l'assistant.
« Quoi ? C’est la première fois que je rencontre un démon qui a cette capacité, vous êtes un métamorphe absolu du coup ? »
Je ne savais pas qu'il y avait des niveaux de capacités de métamorphoses... Mais oui, sous certaines conditions et limitations, je peux prenre une forme différente. Je me dois idéalement de connaitre le sujet ''à fond '' pour un rendu satisfaisant.
Le ''a fond'' étant prononcé d'une facon particulièrement ambigue destinée à faire rougir l'hybrie chat sous le pelage.
Etant ici pour raisons professionnelles cependant, je me dois de me recadrer. Si tu le désire, je puis t'inviter à diner ce soir? Je pourrai ainsi répondre à toutes tes questions. Evidemment, dame de Basileiah vous êtes aussi invitée. Il me fera plaisir de me plier à vos curiosités naturelles pour vous remercier de votre travail exemplaire.
Renchérit aimablement le démon.
Parce qu'une éternité d'ennui c'est à s'ouvrir les veines, croyez moi.
Docile, l'individu s'immobilise alors comme une statue tandis qu'elle officie avec rapidité et célérité. Par tout les démons, si il avait su que ca pouvait être réglé si facilement, il n'aurait pas arpenté le Sekai en long, large et en travers. Le succube sent la magie s'insunuer sous sa peau et rompre, une èa une, les fils manéiques de l'enchantement. C'est chaud. désagréable, limite douloureux entre ca et le sac de glace qui se promène sur son cou, lui donnant la chair de poule. Bref, il adore ca et ca lui donne des envies de bien célébrer...
Tout à ces sensations, Halewyn ferme les yeux de délice. Ca ne dure pas assez longtemps à son goût avant que la fin du traitement ne soit annoncée.
« Terminé. Tout est fait normalement. Dites-moi si vous sentez quelque chose et si vous êtes capable de mentir.
D'un mouvement gracieux des doigts, Halewyn pivote la main et présente la paume au ciel, un petit miroir de poche s'y déposant avant qu'il ne manipule l'instrument pour bien regarder son cou gracieux et parfait maintenant dépourvu de toute marque disgracieuse. Un large sourire étire alors la bouche trop grande, révélant les perles parfaites de sa dentition au tranchant bien dissimulé sous son apparence ordinaire. la joie qu'il ressent d'être libre lui permet de ne pas s'irriter de la demande de la mortelle.
Le miroir claque en se refermant, l,oeil noir brillant se posant dans les iris de la guérisseuse tandis que la voix de soupir répond d'un ton enjoué tandis qu'iel adoucit son aura quelque peu.
Dame de Basileia... Je ne mens jamais, c'est un fait établi. Libre à vous de croire si je vous dis un mensonge ou la vérité
Et le duo de se tourner vers l'hybride sexy qui est là, tout yeux et tout crocs, queue frétillante en train de leur rappeler leur existence avec ses questions.
-Shoumeï est une nation de types biens !... En plus, si vous êtes un démon, ça veut dire que vous pouvez changer de sexe à volonté du coup ? »
Yeux ronds de l’elfe qui se retourne, choquée, tandis que les sourcils du démon se haussent de surprise avant de s'abaisser de malice, les yeux noirs prenant une teinte de velours.... Mais qu'est ce que c'est que cette question? A croire qu'il veut s'en payer une tranche... Halewyn n'est pas démon à refuser une expérience de vie inédite ceci dit... Pense t'il en teintant sa personne d'une aura séductrice pour l'assistant.
« Quoi ? C’est la première fois que je rencontre un démon qui a cette capacité, vous êtes un métamorphe absolu du coup ? »
Je ne savais pas qu'il y avait des niveaux de capacités de métamorphoses... Mais oui, sous certaines conditions et limitations, je peux prenre une forme différente. Je me dois idéalement de connaitre le sujet ''à fond '' pour un rendu satisfaisant.
Le ''a fond'' étant prononcé d'une facon particulièrement ambigue destinée à faire rougir l'hybrie chat sous le pelage.
Etant ici pour raisons professionnelles cependant, je me dois de me recadrer. Si tu le désire, je puis t'inviter à diner ce soir? Je pourrai ainsi répondre à toutes tes questions. Evidemment, dame de Basileiah vous êtes aussi invitée. Il me fera plaisir de me plier à vos curiosités naturelles pour vous remercier de votre travail exemplaire.
Invité
Invité
« Scylla, c’est un comportement absolument non professionnel et indigne d’un praticien. J’ai vu des médecins s’attirer l’ire de leurs collègues pour moins que ça. »
Puis à Halewyn d’enfoncer le clou mais d’une autre manière, suscitant un haussement d’oreilles surpris par le chat, qui papillonne des yeux quelques instants, ne sachant quoi dire. Oui, un démon hermaphrodite vient de faire du rentre dedans à son assistant. Non, ce n’est pas une occurrence régulière. Encore moins quand le dit démon invite le chat au restaurant et par la même occasion, la médecin qui ferme les yeux, ne sachant guère où se placer si seulement il y a une bonne manière de se positionner par rapport à tout ça.
L’elfe hésite un long moment alors que...
« O-U-I. » Déclare le chat sur un ton beaucoup trop enthousiaste pour son propre bien, à moins que ça ne celui du démon ? Elle ignore pour qui des deux s’inquiéter. Scylla en tient une sacrée couche quand il veut, mais Halewyn n’a pas l’air d’en tenir compte, ou alors il a l’habitude des spécimens particuliers.
Nineveh prend un instant pour répondre à son tour.
« J’accepte, pour des raisons évidentes de chandelle et j’en passe, je vous laisserai après le repas. J’aurais bien quelques questions, mais rien de particulier. Ce n’est pas tous les jours qu’on traite un démon. »
Pour être honnête, c’est bien l’une des rares fois où elle croise quelqu’un de leur race : ils ont un don pour se faire passer pour autre chose, ou pour se passer de ses services. Il faut dire, rare sont les démons qui vont voir un toubib, ils ont un rapport différent à la magie. En un sens, les elfes sont la race « intruse » dans les plans cosmiques des dieux et des esprits.
« De souvenir, » reprend l’elfe, « il n’y a qu’un seul restaurant qui prend les monnaies or en ville. Il est peuplé de gens du Reike et de la République, même s’ils s’arrangent pour rester chacun de leur côté de la salle. Si cela ne vous incommode guère, c’est parfait. Je tâcherai de mettre une jolie robe, plutôt que mon accoutrement formel de médecin. » Peut-être un brin de maquillage aussi, pour donner un air moins effrayant aux balafres sur son visage. « En attendant, je vais prendre note du traitement dans mes archives personnelles. Ce n’est pas tous les jours qu’on tombe sur ce genre de rune.
-Et pour la métamorphose ? » Demande le chat à son attention.
« La métamorphose ? Eh bien, j’ignore l’étendue des pouvoirs de chacun, mais si l’on arrive à annuler des malédictions et à refermer des palpitants ouverts à la hache, on doit bien pouvoir changer de corps après tout. Dans quelle limite, je ne saurais dire. » Elle a envie de lui dire que c’est lui, l’aventurier des sens, mais elle n’ose pas. Ce serait mal. « Messieurs, je vous dis à ce soir, j’ai des horaires d’ouverture à respecter et je ne peux pas fermer mon cabinet pour partir immédiatement. »
Plusieurs heures après, quelques rires maléfiques et des fantasmes mal placés pour le chat, des consultations routinières pour la docteur, il est temps de prendre un repas convivial, sans aucune tension sexuel entre un démon charmeur et un chat dépravé. Alors qu’elle va trinquer entre le vice et le lucre, elle se demande si elle va remettre en question sa foi en l’humanité ou au contraire, découvrir une belle histoire d’amour.
Enfin, correction.
Les deux ne sont pas mutuellement exclusifs.
C’est peut-être ça qui inquiète le plus Nineveh.
Mais les voilà tous devant l’établissement le plus côté de la ville (et aussi l’unique de bouche qui accepte les monnaies des non-elfes). L’elfe s’est fendue d’une jolie robe dans les teintes bleu-nuit, sobre, élégant, efficace, quoiqu’un brin extravagante avec les manchettes rouges et le collier de perles.
Le chat quant à lui a opté pour les classiques de la mode masculine, dans une sobriété qui contraste étrangement avec son attitude ordinaire.
« Messieurs ? Sommes-nous prêts à y aller ? »
Invité
Invité
Je tâcherai de ne pas vous faire honte... Répondit Halewyn avec un beau sourire, se sentant très léger sans cette foutue rune au cou. Je vous dis donc à ce soir...
Oubliant momentanément les deux autres buts de sa visite, ħÆlewyn prend galamment congé de ses hôtes avant de se dépêcher à entrer à son logis. Pour n'importe qui d'autre qu'iel, ses préparatifs auraient eu l'air excessifs, mais après avoir invoqué en premier lieu son catalogue de tenu, fais son choix et invoqué la dite tenue correspondante, s'être octroyé une sieste beauté avant de prendre un bain pour se récurer à fond, passant un temps infini devant le miroir pour se maquiller avec art, magnifiant sous une couche discrètement savante de fards sa magnifiscence naturelle et ce, tout en fredonnant gaiement.
Ce n'est pas tout les jours qu'on croise des gens sympathiques, ouverts d'esprit et cultivés après tout. Surtout que cela fait un moment qu'iel n'a pas passé un momnt simple en bonne compagnie. Bref. C'est une de ces petites surprises que la vie des mortels apportent la sienne, la pimentant quelque peu.
A l'heure dite, c'est un Halewyn impeccable qui s'avance avec une grâce éthérée, semblant quasiment flotter au dessus du sol, vers eux et leur faisant une révérence masculine pour madame tel un gentleman, et une féminine pour Scylla, lady irréprochable. Sa tenue, de noir discrètement brodée d'or, rehaussait son teint, approfondissait ses prunelles ourlées délicatements de Khôl et mettait particulièrement la chevelure mise en valeur par une coiffure complexe. La tenue étrangement dénuée de genre, lui allait comme un gant tout en laissant la personne qui le regardait décider de quel sexe il s'agissait. De plus le choix des couleurs les assortissaient parfaitement, faisant du trio un pur régal pour l'oeil
Mademoiselle.... Halewyn lui sourit amicalement en s'éventant -ije rend grâce à votre allure et prestance ce soir. Et vous, monsieur Scylla... Les prunelles noires dévièrent, caressant sans vergogne l'hybride avec une chaleur qui donne envie de crier ''trouvez vous une chambre'' malgré le fait qu'iel garde une posture irréprochable -Merci d'avoir répondu par l,affirmative. Il me tarde que nous faisions plus ample connaissance hors du cadre professionnel. J'ai pris la liberté d'arriver plus tôt pour réserver une table avant de me promener un peu avant l'heure... Melorn est vraiment magnifique à cette époque de l'année.
Iel se mit à rire silencieusement, en se cachant à demi derrière son éventail noir.
Etrangement, il n'y a pas de section attitrée aux Shoumeien... Donc nous serons du côté Républicain. J'espère que cela vous convient?
Oubliant momentanément les deux autres buts de sa visite, ħÆlewyn prend galamment congé de ses hôtes avant de se dépêcher à entrer à son logis. Pour n'importe qui d'autre qu'iel, ses préparatifs auraient eu l'air excessifs, mais après avoir invoqué en premier lieu son catalogue de tenu, fais son choix et invoqué la dite tenue correspondante, s'être octroyé une sieste beauté avant de prendre un bain pour se récurer à fond, passant un temps infini devant le miroir pour se maquiller avec art, magnifiant sous une couche discrètement savante de fards sa magnifiscence naturelle et ce, tout en fredonnant gaiement.
Ce n'est pas tout les jours qu'on croise des gens sympathiques, ouverts d'esprit et cultivés après tout. Surtout que cela fait un moment qu'iel n'a pas passé un momnt simple en bonne compagnie. Bref. C'est une de ces petites surprises que la vie des mortels apportent la sienne, la pimentant quelque peu.
A l'heure dite, c'est un Halewyn impeccable qui s'avance avec une grâce éthérée, semblant quasiment flotter au dessus du sol, vers eux et leur faisant une révérence masculine pour madame tel un gentleman, et une féminine pour Scylla, lady irréprochable. Sa tenue, de noir discrètement brodée d'or, rehaussait son teint, approfondissait ses prunelles ourlées délicatements de Khôl et mettait particulièrement la chevelure mise en valeur par une coiffure complexe. La tenue étrangement dénuée de genre, lui allait comme un gant tout en laissant la personne qui le regardait décider de quel sexe il s'agissait. De plus le choix des couleurs les assortissaient parfaitement, faisant du trio un pur régal pour l'oeil
- image non représentative tenu et coiffure:
Mademoiselle.... Halewyn lui sourit amicalement en s'éventant -ije rend grâce à votre allure et prestance ce soir. Et vous, monsieur Scylla... Les prunelles noires dévièrent, caressant sans vergogne l'hybride avec une chaleur qui donne envie de crier ''trouvez vous une chambre'' malgré le fait qu'iel garde une posture irréprochable -Merci d'avoir répondu par l,affirmative. Il me tarde que nous faisions plus ample connaissance hors du cadre professionnel. J'ai pris la liberté d'arriver plus tôt pour réserver une table avant de me promener un peu avant l'heure... Melorn est vraiment magnifique à cette époque de l'année.
Iel se mit à rire silencieusement, en se cachant à demi derrière son éventail noir.
Etrangement, il n'y a pas de section attitrée aux Shoumeien... Donc nous serons du côté Républicain. J'espère que cela vous convient?
Invité
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Halewyn est tiré à quatre épingles, toujours dans cet entre-deux qui le rend impossible à définir. Nineveh se targue d’une brève courbette pour répondre à la salutation du démon, tandis qu’au contraire, ce dernier se montre beaucoup plus suave et charmeur avec le chat, qui a un grand sourire. Néanmoins, Halewyn a pris l’initiative de réserver une table du côté Républicain de l’établissement, ce qui est tout à son honneur.
« Moi aussi j’ai hâte. » Répond d’un air très direct le chat, tandis que la médecin essaie d’ignorer le sous-entendu.
« Eh bien, cela ne pose aucun problème. J’ai plus l’habitude de travailler pour la République que pour le Reike, ça ne me changera pas de l’ordinaire. Melorn est une belle cité oui, j’espère que vous avez pu profiter des parcs sans problèmes. C’est l’une des fiertés de la ville. »
Mais il est l’heure de diner et une table leur est réservée. Le trio s’installe, un serveur leur annonce le menu du soir, leur demande s’ils veulent des boissons : pour sa part Nineveh se contentera d’un verre de vin liquoreux. Elle avance les pièces et un instant plus tard, on leur apporte ce qu’ils ont commandé. Les plats arriveront un peu plus tard, le chef s’occupe de tout préparer, ce qui leur laisse un peu de temps pour discuter. En sirotant son rouge, sucré, un brin râpeux mais qui envoie du lourd. Définitivement un vin qui a pris son temps dans un fût et qui cogne fort.
« Alors ? La cité est à votre goût ? Il est rare d’avoir des étrangers, encore plus des démons. Souvent, il y a des humains de la république et des mages. Mais il est rarissime de croiser des gens à la nature si… Magique. Si vous avez fait un tour en ville, j’imagine que vous n’avez eu guère de difficulté à vous intégrer. » Quelques banalités certes, mais qui étaient intéressantes et qui suscitaient la curiosité de Nineveh sans ironie aucune. « Vous devez avoir de nombreuses histoires à raconter.
-Je suis sûr mademoiselle que vous êtes une femme de plein de talents. » Poursuit le chat, sur un ton beaucoup moins innocent que l’elfe.
Il prend une petite gorgée de vin, puis reprend, sans cacher ses intentions.
« Il en faut pour traverser les âges sans récolter la moindre balafre. »
« Moi aussi j’ai hâte. » Répond d’un air très direct le chat, tandis que la médecin essaie d’ignorer le sous-entendu.
« Eh bien, cela ne pose aucun problème. J’ai plus l’habitude de travailler pour la République que pour le Reike, ça ne me changera pas de l’ordinaire. Melorn est une belle cité oui, j’espère que vous avez pu profiter des parcs sans problèmes. C’est l’une des fiertés de la ville. »
Mais il est l’heure de diner et une table leur est réservée. Le trio s’installe, un serveur leur annonce le menu du soir, leur demande s’ils veulent des boissons : pour sa part Nineveh se contentera d’un verre de vin liquoreux. Elle avance les pièces et un instant plus tard, on leur apporte ce qu’ils ont commandé. Les plats arriveront un peu plus tard, le chef s’occupe de tout préparer, ce qui leur laisse un peu de temps pour discuter. En sirotant son rouge, sucré, un brin râpeux mais qui envoie du lourd. Définitivement un vin qui a pris son temps dans un fût et qui cogne fort.
« Alors ? La cité est à votre goût ? Il est rare d’avoir des étrangers, encore plus des démons. Souvent, il y a des humains de la république et des mages. Mais il est rarissime de croiser des gens à la nature si… Magique. Si vous avez fait un tour en ville, j’imagine que vous n’avez eu guère de difficulté à vous intégrer. » Quelques banalités certes, mais qui étaient intéressantes et qui suscitaient la curiosité de Nineveh sans ironie aucune. « Vous devez avoir de nombreuses histoires à raconter.
-Je suis sûr mademoiselle que vous êtes une femme de plein de talents. » Poursuit le chat, sur un ton beaucoup moins innocent que l’elfe.
Il prend une petite gorgée de vin, puis reprend, sans cacher ses intentions.
« Il en faut pour traverser les âges sans récolter la moindre balafre. »
Invité
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Melorn n'est à nulle autre pareille. Melkor s'y plait infiniement d'ailleurs. d'ailleurs il y a une statue...
Devisant aimablement des points d'intérêt qu'iel a trouvé dans la cité, et dans une galanterie parfaite, Halewyn réussit l'exploit de tirer les deux chaises de ses invités simultanément et de les ramener à la perfection, avant de s'installer confortablement de son côté de table. Avisant le menu, il choisit une liqueur apéritive inconnue et qui, selon le dit menu, semble délicate. Iel ne veut pas se saouler, les meilleures expériences se font à jeûn
Mmmm... J'ai réussis à me faire escroquer de quelques rouleaux de tissus... La marchande était intéressée par le matériel de ma redingote de voyage je l'ai donc mise en relation avec ma styliste. Il y a aussi un superbe salon de thé... Le thé elfique y est servi selon un cérémonial très complexe.. Je soupconne que c'est pour les touristes ceci dit, mais j'ai quand même appris le cérémonial dans les moindres détails tellement il est magnifique et complexe Sinonnn..... mmmm...... Non, je ne crois pas. Les gens, en majorité se sont laissés arrêter par mes oreilles rondes et non par ma chevelure carmine, ce qui a aidé beaucoup pour l'intégration. Sinon, non, je dirais même que j'ai été mieux acceuillie en cette citée que je n'ai jamais été traitée dans ma nation natale. Ne pas être domiciliée à Justice, je serais tentée d'immigrer. Mais je parle, je parle... Et vous n'avez nul temps de poser vos questions.
Dit elle en s'arrêtant le temps de prendre une infinitésimale gorgée de son alcool... La surprise se peignit sur les traits du démon tandis qu'iel regardait son fin verre de cristal évasé. Du champagne de roses?
-Je suis sûr mademoiselle que vous êtes une femme de plein de talents. Il en faut pour traverser les âges sans récolter la moindre balafre. »
Avec un art consommé, Halewyn pencha la tête, faisant tinter une ou deux clochettes de sa chevelure, dévoilant une portion de nuque avec un charmant sourire aussi pudique que suave. .
Si c'est pour savoir mon âge, j'ai perdu le compte quelque part autour de ma cinquième décennie. Pour les cicatrices... Qui dit que je n'en n'ai pas? Les balafres ne sont pas toutes gravées dans la chair, certaines s'implantent et s'incrustent dans l'âme... Sursautant sous une pensée subite, elle mit sa main pour cacher sa bouche pour cacher son embarras. -Oh, j'ai oublié l'autre raison de ma visite aujourd'hui!!!! Mais cela attendra, il est hors de question que je discute travail alors que je suis en si charmantes compagnies. Vous même dame de Basileia et vous monsieur Scylla, vous devez avoir connu votre lot d'aventures épiques, j'en suis certaines.
Jamais durant sa tirade n'a t'elle dévisagé la doctoresse. Halewyn sait qu'elle est balafrée, mais iel accepte cette particularité physique comme état de fait. Les balafres de son invités font partie d'elle tout simplement. Ingénu, iel succube ne relève pas non plus la maladresse de l'hybride face à sa consoeur...Elle le reprendra si nécessaire, il n'y a aucune raison de faire scandale.
Devisant aimablement des points d'intérêt qu'iel a trouvé dans la cité, et dans une galanterie parfaite, Halewyn réussit l'exploit de tirer les deux chaises de ses invités simultanément et de les ramener à la perfection, avant de s'installer confortablement de son côté de table. Avisant le menu, il choisit une liqueur apéritive inconnue et qui, selon le dit menu, semble délicate. Iel ne veut pas se saouler, les meilleures expériences se font à jeûn
Mmmm... J'ai réussis à me faire escroquer de quelques rouleaux de tissus... La marchande était intéressée par le matériel de ma redingote de voyage je l'ai donc mise en relation avec ma styliste. Il y a aussi un superbe salon de thé... Le thé elfique y est servi selon un cérémonial très complexe.. Je soupconne que c'est pour les touristes ceci dit, mais j'ai quand même appris le cérémonial dans les moindres détails tellement il est magnifique et complexe Sinonnn..... mmmm...... Non, je ne crois pas. Les gens, en majorité se sont laissés arrêter par mes oreilles rondes et non par ma chevelure carmine, ce qui a aidé beaucoup pour l'intégration. Sinon, non, je dirais même que j'ai été mieux acceuillie en cette citée que je n'ai jamais été traitée dans ma nation natale. Ne pas être domiciliée à Justice, je serais tentée d'immigrer. Mais je parle, je parle... Et vous n'avez nul temps de poser vos questions.
Dit elle en s'arrêtant le temps de prendre une infinitésimale gorgée de son alcool... La surprise se peignit sur les traits du démon tandis qu'iel regardait son fin verre de cristal évasé. Du champagne de roses?
-Je suis sûr mademoiselle que vous êtes une femme de plein de talents. Il en faut pour traverser les âges sans récolter la moindre balafre. »
Avec un art consommé, Halewyn pencha la tête, faisant tinter une ou deux clochettes de sa chevelure, dévoilant une portion de nuque avec un charmant sourire aussi pudique que suave. .
Si c'est pour savoir mon âge, j'ai perdu le compte quelque part autour de ma cinquième décennie. Pour les cicatrices... Qui dit que je n'en n'ai pas? Les balafres ne sont pas toutes gravées dans la chair, certaines s'implantent et s'incrustent dans l'âme... Sursautant sous une pensée subite, elle mit sa main pour cacher sa bouche pour cacher son embarras. -Oh, j'ai oublié l'autre raison de ma visite aujourd'hui!!!! Mais cela attendra, il est hors de question que je discute travail alors que je suis en si charmantes compagnies. Vous même dame de Basileia et vous monsieur Scylla, vous devez avoir connu votre lot d'aventures épiques, j'en suis certaines.
Jamais durant sa tirade n'a t'elle dévisagé la doctoresse. Halewyn sait qu'elle est balafrée, mais iel accepte cette particularité physique comme état de fait. Les balafres de son invités font partie d'elle tout simplement. Ingénu, iel succube ne relève pas non plus la maladresse de l'hybride face à sa consoeur...Elle le reprendra si nécessaire, il n'y a aucune raison de faire scandale.
Invité
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« J’ai connu mon lot d’aventures il est vrai. Contente de voir que vous avez réussi à vous intégrer dans la cité. L’architecture de Melorn vaut le détour, mais il est parfois difficile de justifier un si long voyage pour les seuls décors de la cité. Heureuse que vous ayez fait le bonheur d’une tailleuse de la cité. Pour revenir sur les aventures que j’ai pu vivre… » Elle réfléchit un instant en prenant une gorgée de vin.
Oui, difficile de choisir ce qui est le plus prenant. Bien sûr, elle a vécue de nombreuses expériences, mais il faut trier : ce qui est tout simplement moche, ce qui est stupide, ce qui est amusant. Après une brève réflexion, l’elfe reprend avec plus de clarté et une assurance nouvelle dans sa voix.
« J’ai été médecin un peu partout dans le monde, mais je pense que l’endroit où j’ai été sollicité pour les maladies les plus insolites était à Kaizoku. J’ai eu l’occasion de traiter des pirates de toutes sortes et surtout, de recevoir des requêtes pour le moins audacieuses, mais aussi très touchantes. Un fils qui me demande si je peux soigner la jambe de bois de son père puisque je suis mage. Sur un registre moins tragique : l’extraordinaire aventure d’un triton qui m’a demandé en mariage après avoir soigné son mal des profondeurs. Pour prouver la pureté de ses intentions, il était allé dans une fosse des mers, là où la lumière peine à trouver son chemin, pour me rapporter les dents d’un requin des profondeurs. Mais je vois que Scylla a sa part de récit à raconter.
-J’ai vécu quelques aventures oui. » poursuit le chat. « J’ai souvenir d’une longue expédition avec Nineveh à travers le continent, où à l’issue de celle-ci, j’ai vaincu l’un des plus grand maître d’arme qui existe dans le sekai, devant tous ses étudiants, dans son école, à Justice. »
L’elfe ne peut s’empêcher d’avaler de travers et d’avoir une toux : elle connaît le récit, Scylla est une légende pour des raisons très spécifiques et s’il est probable qu’il entre un jour dans un panthéon, ce ne sera pas pour des raisons classiques.
« Oui, j’étais… J’étais aux côtés de Nineveh il y a cinq ans pour une de ces fameuses tournées dans le monde entier. Et là, je me mets en tête d’apprendre la technique secrète de chaque maître d’arme. Pour devenir un meilleur bretteur, alors je les défie en duel et au moment où nous nous jaugeons dans la cour, sous le regard lourd de ses élèves, je dépose mon épée et déclare ma reddition. En général, j’arrive à susciter assez de sympathie pour qu’ils m’enseignent leur botte secrète ou une technique utile. C’est aussi l’occasion de retravailler les fondamentaux à leurs côtés, au motif que je suis un étudiant de la lame. Et un jour, alors que j’ai défié l’un des meilleurs, j’ai l’esprit vide. Je me demande quand vais-je me rendre, incertain. Et au final… Je me rends ! » Annonce le chat. « C’est le vieux maître qui dépose les armes et quelques instants plus tard, en privé, il m’explique qu’il n’avait aucune emprise sur moi, que d’ordinaire les ennemis qui l’affrontent tremblent de peur ou d’excitation. Il a déposé les armes en voyant qu’il n’avait aucune emprise sur moi.
-Et, l’a-t-il bien pris ? Quand tu lui as dit la vérité.
-Oui, il a ri et a accepté de me prendre pour élève pendant quelques temps. Alors que tu soignais des malades. Je ne suis pas devenu le meilleur bretteur du continent, mais désormais, je suis une fine lame, à défaut d’être un excellent épéiste. »
Nineveh a un sourire avant de secouer la tête : Scylla est incorrigible. Le chat, pressentant la petite pique, cherche préventivement du soutien auprès d’Halewynn.
« Et vous ? Qu’auriez-vous fait à ma place ? »
Oui, difficile de choisir ce qui est le plus prenant. Bien sûr, elle a vécue de nombreuses expériences, mais il faut trier : ce qui est tout simplement moche, ce qui est stupide, ce qui est amusant. Après une brève réflexion, l’elfe reprend avec plus de clarté et une assurance nouvelle dans sa voix.
« J’ai été médecin un peu partout dans le monde, mais je pense que l’endroit où j’ai été sollicité pour les maladies les plus insolites était à Kaizoku. J’ai eu l’occasion de traiter des pirates de toutes sortes et surtout, de recevoir des requêtes pour le moins audacieuses, mais aussi très touchantes. Un fils qui me demande si je peux soigner la jambe de bois de son père puisque je suis mage. Sur un registre moins tragique : l’extraordinaire aventure d’un triton qui m’a demandé en mariage après avoir soigné son mal des profondeurs. Pour prouver la pureté de ses intentions, il était allé dans une fosse des mers, là où la lumière peine à trouver son chemin, pour me rapporter les dents d’un requin des profondeurs. Mais je vois que Scylla a sa part de récit à raconter.
-J’ai vécu quelques aventures oui. » poursuit le chat. « J’ai souvenir d’une longue expédition avec Nineveh à travers le continent, où à l’issue de celle-ci, j’ai vaincu l’un des plus grand maître d’arme qui existe dans le sekai, devant tous ses étudiants, dans son école, à Justice. »
L’elfe ne peut s’empêcher d’avaler de travers et d’avoir une toux : elle connaît le récit, Scylla est une légende pour des raisons très spécifiques et s’il est probable qu’il entre un jour dans un panthéon, ce ne sera pas pour des raisons classiques.
« Oui, j’étais… J’étais aux côtés de Nineveh il y a cinq ans pour une de ces fameuses tournées dans le monde entier. Et là, je me mets en tête d’apprendre la technique secrète de chaque maître d’arme. Pour devenir un meilleur bretteur, alors je les défie en duel et au moment où nous nous jaugeons dans la cour, sous le regard lourd de ses élèves, je dépose mon épée et déclare ma reddition. En général, j’arrive à susciter assez de sympathie pour qu’ils m’enseignent leur botte secrète ou une technique utile. C’est aussi l’occasion de retravailler les fondamentaux à leurs côtés, au motif que je suis un étudiant de la lame. Et un jour, alors que j’ai défié l’un des meilleurs, j’ai l’esprit vide. Je me demande quand vais-je me rendre, incertain. Et au final… Je me rends ! » Annonce le chat. « C’est le vieux maître qui dépose les armes et quelques instants plus tard, en privé, il m’explique qu’il n’avait aucune emprise sur moi, que d’ordinaire les ennemis qui l’affrontent tremblent de peur ou d’excitation. Il a déposé les armes en voyant qu’il n’avait aucune emprise sur moi.
-Et, l’a-t-il bien pris ? Quand tu lui as dit la vérité.
-Oui, il a ri et a accepté de me prendre pour élève pendant quelques temps. Alors que tu soignais des malades. Je ne suis pas devenu le meilleur bretteur du continent, mais désormais, je suis une fine lame, à défaut d’être un excellent épéiste. »
Nineveh a un sourire avant de secouer la tête : Scylla est incorrigible. Le chat, pressentant la petite pique, cherche préventivement du soutien auprès d’Halewynn.
« Et vous ? Qu’auriez-vous fait à ma place ? »
Invité
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øh, je compte bien revenir j'aierais bien voir les tendances évolutives de cette magnifique cité et de ses habitants. D'ailleurs...Il y a un elfe en particulier, un ami que j'ai rencontré, jadis et dont j'ai bien envie de vérifier son niveau de mûrissement. Il m'avait assuré qu'il serait encore jeune et vert... Eliendir, vous le connaissez peut-être?
Ah oui, ce n,est pas piqué des vers et l'expérience de la médecin est très enrichissante. Pense Halewyn en l'écoutant avec l'attention qu'elle mérite avant de rire légèrement. Prenant des mines de conspiratrice, iel succube se penche légèrement vers l'avant.
Laissez-moi vous dire, si je puis me permettre, que vous avez laissé une très forte empreinte che les guérisseurs de Kaizokus. Ils vous prennent souvent en référence...Je devine ce que vous avez pu ressentir quand monsieur Triton est venu vous voir. Aaaaah... les joies du service à la clientèle. Il y a toujours quelqu'un pour tomber amoureux de vous et de vous demander en mariage... Le mien, lui, vouait me faire faire une flopée d'enfants, ne sachant pas... Et je vous donne l'information à titre gracieux... Que les démons sont stériles. Evidemment que j'ai refusé. Le monde est trop palpitant et changeant pour que je reste en femme trophée pendant un demi siècle.
Se tournant vers l'hybride, Halewyn le couve du même regard que pour Nineveh, mais laissant parler son aura séductrice pour ce dernier qui commence à se vendre... Il est mignon, réellement. Et iel succube devine que le récit sera savoureux quand la médecin avale de travers. Et rit doucement à l'évocation des méthodes d'apprentissage toutes sauf orthodoxe du demi félin.
« Et vous ? Qu’auriez-vous fait à ma place ? »
Mm.... Réfléchit t'iel en repoussant une mèeche vagabonde derrière son oreille ronde délicatement embijoutée. -Ca dépend essentiellement de son caractère et de sa psychée. Je n'ai pas cotoyé l'individu et je m'adapte en fonction de la personne devant moi. La stratégie la plus logique serait de faire connaissance, nouer des liens et l'attirer sur mon champ de bataille le mieux maitrisé, oreillers de plumes et draps de soie. Je ne dis pas cela par flirt, c'est ma vraie réponse et les guerres de l'amour sont un art aussi pointu et codifié que le maniement d'une lame, je vous assure.
Avec un sourire, Halewyn renchérit.
J'aime voyager... J'y fais toujours de ces rencontres fort intéressante. Les expériences négatives sont minoritaires et toujours source d'évolution. Je me suis fait une petite vie Républicaine rangée, mais arpenter ce monde est plus fort que moi en vrai... Je croi que la journée ou je vais me lasser sera celle ou je commencerai à m'ennuyer. Et que les Mortels m'en préservent!!! Laissez moi porter un toast , à notre rencontre! Puissions nous nous revoir hors de votre cabinet.
Termine la succube en levant élégamment son verre dans un scintillement de bijoux rouges, bleus, blanc et d'acier.
Ah oui, ce n,est pas piqué des vers et l'expérience de la médecin est très enrichissante. Pense Halewyn en l'écoutant avec l'attention qu'elle mérite avant de rire légèrement. Prenant des mines de conspiratrice, iel succube se penche légèrement vers l'avant.
Laissez-moi vous dire, si je puis me permettre, que vous avez laissé une très forte empreinte che les guérisseurs de Kaizokus. Ils vous prennent souvent en référence...Je devine ce que vous avez pu ressentir quand monsieur Triton est venu vous voir. Aaaaah... les joies du service à la clientèle. Il y a toujours quelqu'un pour tomber amoureux de vous et de vous demander en mariage... Le mien, lui, vouait me faire faire une flopée d'enfants, ne sachant pas... Et je vous donne l'information à titre gracieux... Que les démons sont stériles. Evidemment que j'ai refusé. Le monde est trop palpitant et changeant pour que je reste en femme trophée pendant un demi siècle.
Se tournant vers l'hybride, Halewyn le couve du même regard que pour Nineveh, mais laissant parler son aura séductrice pour ce dernier qui commence à se vendre... Il est mignon, réellement. Et iel succube devine que le récit sera savoureux quand la médecin avale de travers. Et rit doucement à l'évocation des méthodes d'apprentissage toutes sauf orthodoxe du demi félin.
« Et vous ? Qu’auriez-vous fait à ma place ? »
Mm.... Réfléchit t'iel en repoussant une mèeche vagabonde derrière son oreille ronde délicatement embijoutée. -Ca dépend essentiellement de son caractère et de sa psychée. Je n'ai pas cotoyé l'individu et je m'adapte en fonction de la personne devant moi. La stratégie la plus logique serait de faire connaissance, nouer des liens et l'attirer sur mon champ de bataille le mieux maitrisé, oreillers de plumes et draps de soie. Je ne dis pas cela par flirt, c'est ma vraie réponse et les guerres de l'amour sont un art aussi pointu et codifié que le maniement d'une lame, je vous assure.
Avec un sourire, Halewyn renchérit.
J'aime voyager... J'y fais toujours de ces rencontres fort intéressante. Les expériences négatives sont minoritaires et toujours source d'évolution. Je me suis fait une petite vie Républicaine rangée, mais arpenter ce monde est plus fort que moi en vrai... Je croi que la journée ou je vais me lasser sera celle ou je commencerai à m'ennuyer. Et que les Mortels m'en préservent!!! Laissez moi porter un toast , à notre rencontre! Puissions nous nous revoir hors de votre cabinet.
Termine la succube en levant élégamment son verre dans un scintillement de bijoux rouges, bleus, blanc et d'acier.
Invité
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« Je crois voir de qui il s’agit, je n’ai jamais eu l’occasion de lui parler. Je connais Melorn par son architecture et son urbanisme, mais assez peu par ses gens. J’ai beaucoup voyage et suis assez peu présente en ville, à l’exception des saisons où ma présence est requise pour donner cours. »
Le besoin d’aventure, de rencontrer du monde et de faire de nouvelles rencontres était plus fort que le confort de Melorn. En particulier lorsqu’il s’agit de donner des cours et de faire de la paperasse : pourquoi vivre sédentaire quand on peut dormir à la belle étoile dans un hamac, vivre de ses compétences et se perfectionner dans son art ? C’est peut-être une vie d’ascète, mais elle convient à Nineveh.
Néanmoins, l’elfe est flattée et ne peut s’empêcher de rougir lorsqu’on lui dit qu’elle a fait forte impression sur les tritons de Kaizoku : c’est une docteur qui a toujours eu cœur de bien faire son travail. Rien de plus, rien de moins, elle ignore si elle a mis la barre très haute pour les autres médecins ou si au contraire, ce sont les autres qui ne sont pas à la hauteur.
« Difficile de ne pas s’ennuyer durant un demi-siècle oui. Je comprends votre refus. »
Mais très vite, le chat reprend la main, surtout lorsque vient l’art du lit : les oreilles se lèvent, les yeux s’arrondissent, les pupilles se dilatent. Il suffit de voir comment sa queue monte d’un étage pour comprendre que le sujet a toute son attention et l’elfe jurerait entendre un ronronnement d’approbation. Enfin, tant qu’ils ne virent pas dans les dialogues les plus osés, cela devrait le faire.
Heureusement qu’il y a un toast où il n’y a pas besoin de se lever. Sinon nul doute que Scylla aurait été cible d’un énorme embarras (au mieux) ou d’une certaine fierté (au pire). Chacun lève son verre.
« Aux rencontres fortuites. » Continue la médecin.
« Aux rencontres hori… fortuites. » Se corrige son assistant.
Une interaction normale avec Scylla.
« Nouer des liens est important oui, hélas, il est parfois difficile d’en créer d’authentiques lorsqu’on est médecin. Les gens me voient parfois plus pour ce que je peux apporter, que ce que je suis. C’est un peu désagréable mais… » Nineveh a un petit sourire, « c’est toujours agréable de se faire demander en mariage. Même si je n’aurais pas pu suivre monsieur au fond de l’océan, ou du moins, pas de la manière dont il le souhaite. »
Le serveur revient avec les plats, chacun recevant ce qu’il a commandé. Pour l’elfe, c’est un plat assez surprenant vu son gabarit : on a rarement vu Nineveh en train de démolir un onglet de bœuf, mais à l’occasion… Il faut bien faire des réserves en prévision des longs mois passés sur les routes.
« L’art du lit et l’art de la guerre ne sont-ils pas les mêmes choses au final ? » Demande le chat sur le ton qui lui est bien spécifique : « apprendre à cerner l’autre, savoir comment il réagit, s’adapter en conséquence, surpasser les attentes ? »
HRP : j'ai passé le chat en gras tout simple, sinon deux personnages qui parlent en cyan c'est difficile de suivre.
Le besoin d’aventure, de rencontrer du monde et de faire de nouvelles rencontres était plus fort que le confort de Melorn. En particulier lorsqu’il s’agit de donner des cours et de faire de la paperasse : pourquoi vivre sédentaire quand on peut dormir à la belle étoile dans un hamac, vivre de ses compétences et se perfectionner dans son art ? C’est peut-être une vie d’ascète, mais elle convient à Nineveh.
Néanmoins, l’elfe est flattée et ne peut s’empêcher de rougir lorsqu’on lui dit qu’elle a fait forte impression sur les tritons de Kaizoku : c’est une docteur qui a toujours eu cœur de bien faire son travail. Rien de plus, rien de moins, elle ignore si elle a mis la barre très haute pour les autres médecins ou si au contraire, ce sont les autres qui ne sont pas à la hauteur.
« Difficile de ne pas s’ennuyer durant un demi-siècle oui. Je comprends votre refus. »
Mais très vite, le chat reprend la main, surtout lorsque vient l’art du lit : les oreilles se lèvent, les yeux s’arrondissent, les pupilles se dilatent. Il suffit de voir comment sa queue monte d’un étage pour comprendre que le sujet a toute son attention et l’elfe jurerait entendre un ronronnement d’approbation. Enfin, tant qu’ils ne virent pas dans les dialogues les plus osés, cela devrait le faire.
Heureusement qu’il y a un toast où il n’y a pas besoin de se lever. Sinon nul doute que Scylla aurait été cible d’un énorme embarras (au mieux) ou d’une certaine fierté (au pire). Chacun lève son verre.
« Aux rencontres fortuites. » Continue la médecin.
« Aux rencontres hori… fortuites. » Se corrige son assistant.
Une interaction normale avec Scylla.
« Nouer des liens est important oui, hélas, il est parfois difficile d’en créer d’authentiques lorsqu’on est médecin. Les gens me voient parfois plus pour ce que je peux apporter, que ce que je suis. C’est un peu désagréable mais… » Nineveh a un petit sourire, « c’est toujours agréable de se faire demander en mariage. Même si je n’aurais pas pu suivre monsieur au fond de l’océan, ou du moins, pas de la manière dont il le souhaite. »
Le serveur revient avec les plats, chacun recevant ce qu’il a commandé. Pour l’elfe, c’est un plat assez surprenant vu son gabarit : on a rarement vu Nineveh en train de démolir un onglet de bœuf, mais à l’occasion… Il faut bien faire des réserves en prévision des longs mois passés sur les routes.
« L’art du lit et l’art de la guerre ne sont-ils pas les mêmes choses au final ? » Demande le chat sur le ton qui lui est bien spécifique : « apprendre à cerner l’autre, savoir comment il réagit, s’adapter en conséquence, surpasser les attentes ? »
HRP : j'ai passé le chat en gras tout simple, sinon deux personnages qui parlent en cyan c'est difficile de suivre.
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