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    Athénaïs de Noirvitrail, Façonneuse de la République (terminée) JvNj4PH
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    Citoyen de La République
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    Athénaïs de Noirvitrail
    Athénaïs de Noirvitrail
    Messages : 225
    crédits : 257

    Info personnage
    Race: Humaine
    Vocation: Mage soutien
    Alignement: Neutre Bonne
    Rang: B
    qui suis-je ?:
    https://www.rp-cendres.com/t122-athenais-de-noirvitrail-faconneuse-de-la-republique-terminee
  • Lun 25 Juil - 14:26
    Athénaïs de Noirvitrail
    Race : Humaine
    Sexe : Féminin
    Âge : 28 ans
    Métier : Façonneuse de la République
    Taille & poids : 1.75m & 62 kilos
    Alignement : Neutre Bonne
    Faction : République
    Rang : B
    Religion : Shierak
    Avatar : Un avatar créé par l’artiste Janice Sung & Joséphine de Dragon Age Inquisition

    Pouvoirs et objets


    Mage de soutien

    Potion de mana mineure
    Intangibilité et Laminato

    Clonage : 1000 crédits
    Le clonage est la technique magique qui s’est formée lors de la première dépression d’Athénaïs, à l’âge de 10 ans. Ne supportant plus la pression mise sur ses épaules, son esprit craqua momentanément, laissant libre court à son inconscient pour modeler un pouvoir à même de répondre à son besoin de gérer son stress … ou de l’incarner. Depuis, Athénaïs est capable de créer magiquement des doubles d’elle-même, qui opèrent indépendamment d’elle, quand bien même ils ne disposent que d’une fraction de son pouvoir. Au fil du temps, les « Sœurs » d’Athénaïs se sont spécialisées dans certaines tâches et même si elles sont dépendantes de son bon vouloir, elles ont chacune des traits de personnalité qui s’affirment d’années en années. Afin de les différencier, ces « Sœurs » possèdent un ruban coloré d’une couleur différente dans les cheveux. Les doubles l’aident dans son travail, notamment dans tout ce qui est paperasse administrative. Les sœurs d’Athénaïs sont au nombre de six et ont toutes des centres d’intérêts variés.

    Absorption magique : 1000 crédits
    A force de manipuler les énergies magiques de par son métier de façonneuse d’objets magiques, Athénaïs a appris à se protéger de la magie et à atténuer ses effets sur son corps et son esprit. Connaissant bien les méthodes des mages élémentaires et les théories de la magie, elle est capable de se prémunir de certains des pouvoirs de ses confrères mages par le biais de formules et d’enchantements saisis sur le vif. Au fil du temps, cette compétence s’est très largement améliorée et la jeune femme peut être fière de faire partie des mages de la République capables de combattre d’autres mages sans brûler la moitié d’un quartier.

    Télépathie [palier 1] : 250 crédits
    Afin de piloter efficacement ses clones et de rester en contact permanent avec les gens, Athénaïs a appris à utiliser la télépathie. Sa télépathie ne va cependant pas au-delà d’une ville.

    Invocation d'objets : 1000 crédits
    Athénaïs est capable d'invoquer dans ses mains les objets dont elle pourrait avoir besoin lors de ses pérégrinations. Qu'il s'agisse d'une plume et d'un encrier, de ses outils de façonnage ou tout simplement d'une dague pour se défendre, elle peut, en échange d'une petite quantité de mana, invoquer les objets qu'elle possède. Etant donné que le coût en mana augmente selon le volume de l'objet, la demoiselle s'en tient généralement à de petits objets, capables de tenir dans la main.

    Télékinésie [palier 4] : 2000 crédits
    Athénaïs a réussi, après plusieurs années de pratique et de recherches, à utiliser la force de son esprit pour pouvoir déplacer des objets. Ce pouvoir, obtenu grâce aux connaissances accumulées de ses clones et à une plus grande maîtrise de son propre corps, lui permet de déplacer des objets par la pensée et de les projeter. Au quotidien, la jeune femme utilise ce pouvoir pour manipuler ses outils avec précision et se garde bien de le faire connaître aux gens.  Ce pouvoir s’est affirmé depuis son retour de pèlerinage, où sa nouvelle proximité avec les astres a rendu son esprit plus clair et plus apaisé.

    Illusion [palier 2]

    Bouclier mental [palier 2]

    Régénération [palier 2]

    Prouesse d'arme — Garde d'acier
    Grâce à sa maîtrise de la télékinésie et de l’invocation d’objets, Athénaïs est devenue capable de se battre avec plusieurs armes flottant à ses côtés. Elle peut ainsi piloter plusieurs armes autour d’elle, frapper et se défendre de manière coordonnée. Tant qu’elle reste consciente, les armes la protègent et attaquent de concert. Sur une simple impulsion, une arme flottant autour d’elle peut venir remplacer l’arme qu’elle a dans la main, lui offrant une certaine polyvalence.

    Gains d'events :
    * +6 utilisation P2 et +3 utilisation P3
    * Echolocalisation : Capacité à générer une onde sur une distance de 20 mètres autour de son utilisateur, lui permettant de repérer toutes formes de vie dans le rayon d’action. Utilisable deux fois par RP officiel. (PAs, event, etc ...) L’écholocalisation ne peut être bloqué QUE par des métaux et matériaux anti-magie (adamantine, barre noire du roi, …). Elle marche autant sous l’eau que sur la terre ferme.
    * Arcanegis : L'Arcanegis est un petit appareil ingénieux, fruit du génie technologique et magique de la République. Il se présente sous la forme d'un dispositif compact et élégant, ressemblant à un médaillon ou à un pendentif, orné de motifs représentant les cursus de MAGIC.

    Lorsqu'un utilisateur active l'Arcanaegis en appuyant sur un petit bouton situé sur le côté de l'appareil, celui-ci crée instantanément une protection autour de lui. Cela agit comme un bouclier, capable de réduire la puissance des plus redoutables attaques magiques dirigées contre l'utilisateur.
    Effet in-rp:

    Façonnage d'objets magiques : pouvoir contextuel
    Athénaïs de Noirvitrail est une magicienne d’un genre un peu particulier. A contrario de ses pairs, qui manipulent les énergies élémentaires pour produire des effets magiques capables de vaporiser des cohortes de soldats, la demoiselle a consacré son apprentissage à la manière de concevoir et produire des objets magiques, de la fabrication physique de l’objet, à son enchantement.

    Pour cela, Athénaïs a longuement étudié les théories de la magie et surtout la manière dont l'énergie se canalise, se transmet et se transforme. Possédant un excellent bagage théorique, elle a cependant dû faire l'impasse sur les pratiques les plus ostentatoires si bien qu'à contrario des mages de son âge, elle est incapable de lancer des éclairs par elle-même ou de créer un bouclier de glace. Cependant, Athénaïs sait tisser des enchantements au travers d'équations et de formules complexes et les intégrer à des matériaux de qualité pour en faire des vecteurs de magie. Elle n'est donc pas une magicienne au sens folklorique du terme, mais plutôt une artisane.

    La jeune femme sait à la fois concevoir des pièces d’équipements, amulettes, bijoux, armes à la force de ses poignets, et les enchantements pour y insuffler la magie. Cette capacité reste très peu commune au sein de l’université Magic car les mages capables de créer des objets magiques font généralement l’impasse sur les pratiques les plus classiques de la magie élémentaire. Choisir, c'est renoncer, et les façonneurs renoncent sciemment à maîtriser et à canaliser les éléments primordiaux au travers de leur corps pour préférer le confort d'un objet finement ouvragé.

    Les objets créés par Athénaïs sont connus pour leur élégance et leur légèreté. La jeune femme a développé au fil des années sa propre esthétique et n’hésite pas à noircir des pages et des pages d’encre pour pouvoir trouver le bon dessin pour ses créations. Curieuse de nature, elle n’hésite pas à chercher ses inspirations dans les endroits les plus inattendus.

    HRP : Pouvoir contextuel // Athénaïs est capable de créer des objets magiques et d’entretenir les enchantements utilisés par la République. Elle peut entretenir, fabriquer et utiliser librement des objets magiques du quotidien, que l’on peut trouver au sein de la République et qui ne sont pas directement utiles en combat. Ce pouvoir est purement contextuel et sert à agrémenter les RPs, non à se battre : il vise à donner un peu plus de corps à une part du lore de la République autour de la création d’objets magiques. Pour ce qui est des objets magiques obtenus en boutique, Athénaïs est capable de fabriquer ces objets donc vous pouvez tout à fait dire qu’elle l’a façonné pour vous, si et seulement si vous êtes un personnage de la République. Cela peut même donner lieu à un RP intéressant.

    RESTE : 222 CREDITS

    Description physique et mentale

    Descendante du Reike & Fille de la République : Athénaïs de Noirvitrail est originaire du royaume du Reike, mais son cœur appartient à la République. Descendante d’un clan d’artisans ayant fui le régime esclavagiste des Draknys, Athénaïs n’a connu que la République et ne connait du Reike que ce que lui ont transmis ses ancêtres. Ayant inculqué à leurs enfants les valeurs de la République et les traditions de leur clan, les Noirvitrail estiment avoir une dette éternelle envers la République qui les a accueillis et estiment qu’il est du devoir de leurs enfants de s’intégrer parfaitement dans cette nouvelle nation, quand bien même leur nom a été sali au fil des années. A ce titre, Athénaïs est physiquement une descendante du Reike, mais son âme est républicaine. Sa peau noire ne trompe personne, de même que ses longs cheveux bruns et ses yeux aussi clairs que l’onde. Plutôt grande et svelte, elle se distingue des autres mages de sa génération par une bonne forme physique, dû à un entrainement militaire austère et continu. La façonneuse se tient droite et s’habille de tenues élégantes et bien coupées. Elle ne se sépare que très rarement de ses pendants d’oreille en verre noir, ceux qui lui a confié sa mère avant son départ pour l’université Magic.

    Erudite & candide : Athénaïs a été formée à la fabrication d’objets magiques à l’université Magic. Très tôt, ses professeurs ont remarqué sa curiosité et son approche ingénieuse des problèmes qui se posaient à elle. Athénaïs est une personnalité qui voue une véritable passion à la connaissance et fait des pieds et des mains pour perfectionner son art. Creusant dans des directions où peu osent s’aventurer, elle n’hésite pas à mettre son ingéniosité au service des autres, quitte à bousculer quelques tabous. Athénaïs recherche la connaissance pour satisfaire sa soif de compréhension, mais n’a pas d’attrait pour le pouvoir : seule la sagesse a de l’intérêt. C’est pourquoi la jeune femme cherche à récupérer les secrets ancestraux de son clan, qui ont disparu après leur fuite du Reike. Elle sait que de nombreux objets et ouvrages sont restés coincés là-bas et veut absolument les récupérer pour reconstituer l’héritage familial. Douce et attentionnée envers les autres, la jeune femme procure une présence rassurante à ses interlocuteurs.

    Honnête & disciplinée : Athénaïs est connue pour son sens du devoir et son honnêteté. S’estimant redevable de la République pour tous les bienfaits qu’elle a apporté à sa famille et elle, la jeune femme voue une loyauté sans faille à l’idéal républicain et à ceux qui l’incarnent. Fière de ses valeurs et droite dans ses bottes, la jeune femme supporte mal la bassesse et la malhonnêteté et se montre intransigeante avec ceux qui se permettent de détourner les idéaux républicains pour leur profit personnel. Pour Athénaïs, qui a bénéficié de tout ce que la République avait à offrir à une descendante de réfugiés, sa dette est immense et elle espère se montrer à la hauteur des idéaux de son pays. La demoiselle, connue pour son sens de l’honneur, inspire la sympathie, dès lors que l'on voit au-delà de son nom de famille. C’est une femme responsable qui tient avant tout à se montrer à la hauteur des attentes des autres. S'astreignant à une discipline de fer, la demoiselle a peu de temps libre et voue ses heures à faire en sorte de remplir ses missions avec le plus d'efficacité possible. Sa rencontre avec l’orc Titanya lui a permis d’apprendre à se défendre à mains nues. Depuis deux ans, elle continue de s’entrainer dans l’ancienne taverne où l’orc lui avait enseigné ses premiers mouvements.

    Stressée & Diffamée : La famille d’Athénaïs, malgré son insertion dans le tissu de la République, reste particulièrement endettée et son nom reste entaché par les décisions prises par ses ancêtres il y a de cela quelques générations. En femme responsable, Athénaïs sait qu’il est de son devoir de prendre soin des siens et de travailler à éponger les dettes familiales tout en en redorant le blason, mais cette situation se double d’un d’autre problème : le clan Noirvitrail a des attentes beaucoup trop grandes pour les épaules de ses enfants. Athénaïs a été élevée dans l’idée qu’elle avait une dette envers la République et qu’elle devait viser toujours plus haut et toujours plus loin pour redonner à sa famille ses lettres de noblesses. Non seulement sa famille doit de l’argent à de nombreux créanciers, mais elle doit aussi gérer le domaine des Noirvitrail tout en essayant d’assurer sa position au sein de la République. Il va de soi que sa réussite n’a pas fait que des heureux et elle est régulièrement diffamée par ses adversaires : une métis reikoise n’a pas à briguer une position aussi haute et devrait tout simplement retourner dans le ghetto, à forger des fers à cheval.

    Coquette & Espiègle : Malgré le poids des responsabilités, Athénaïs essaye de conserver une attitude enjouée et espiègle. Lui permettant d’évacuer son stress, elle se complait dans les traits d’humour et les petites farces. Mais par-dessus tout, Athénaïs est coquette. Malgré la discipline militaire que lui a imposé son entrée dans l’armée républicaine, elle a profité des instants de libre dont elle disposait pour faire en sorte que sa vie soit un festival de couleurs et de jolies choses venant stimuler sa créativité. Discrète, bien que n’étant pas avare de bons mots, la jeune femme constitue une présence bienveillante et amusée, qui n’hésite pas à remonter le moral aux autres ou à leur jouer de petits tours, afin de relâcher son stress. Depuis sa rencontre avec Parwan, Athénaïs et ses sœurs n’hésitent plus à porter des coiffures élaborées.

    Croyante & Amoureuse : Il y a deux ans, Athénaïs a rencontré la nomade Parwan Sahriki. Les deux femmes, bien que très différentes, tissèrent des liens très étroits qui culminèrent vers un pèlerinage shierak quelques semaines avant que les Titans ne mettent le monde à feu et à sang. Sa proximité avec Parwan, leurs échanges et le voyage spirituel entrepris, a rapproché Athénaïs de sa religion et lui a permis de nouer avec Parwan des sentiments profonds. Depuis que les deux femmes se sont séparées pour assurer leurs devoirs mutuels, Athénaïs est inquiète et prie les astres pour que Parwan soit saine et sauve au Reike. Mais surtout, la magicienne a découvert un sentiment angoissant et terrible : le besoin de la revoir. En l’absence de Parwan, Athénaïs continue d’honorer les rituels du Shierak.

    Les Sœurs d’Athénais : Athénaïs a la particularité d’être accompagnée de celles qu’elle nomme ses sœurs. Il s’agit de ses clones, qui se sont multipliés depuis son enfance et l’accompagnent dans ses tâches quotidiennes. Chaque clone est une version exacerbée d’un fragment de sa personnalité et sait se montrer autonome dans son quotidien, si bien qu’Athénaïs a considéré, au fil du temps, qu’il s’agissait plus de ses sœurs que de copies d’elle-même. Chaque clone porte l’un de ses prénoms et est reconnaissable par la couleur du ruban qu’il porte dans ses cheveux. Nous avons donc Eulalie (ruban rouge), Augusta (ruban vert), Chrisabelle (ruban violet), Nicée (ruban cyan), Myrthelle (ruban orange) et Théodora (ruban argent). Athénaïs, l’originale, porte le ruban bleu. Athénaïs n’a jamais été capable de produire plus de clones. Laissant une grande marge de liberté à ses sœurs, ces dernières sont d’une loyauté sans faille envers la magicienne, bien qu’elles ne se gênent pas pour lui tirer les joues quand la situation l’exige.    

    Histoire ou test-rp


    La légende des Noirvitrail

    Il y a de cela très longtemps, une douce et aimable reine se rendit dans les montagnes désertiques pour y trouver refuge. Poursuivie par de vils brigands, elle fut recueillie par de timides artisans, qui la cachèrent aux yeux de ses poursuivants en la parant d’atours si fabuleux et si précieux, que les brigands en furent subjugués et se rallièrent à elle. Irradiant d’une beauté surnaturelle, elle se révéla être la reine d’un puissant royaume s’étendant sur l’entièreté du désert. Afin de les remercier de leur aide, elle fit des artisans des montagnes désertiques ses sujets et leur donna le nom de Noirvitrail, en l’honneur des merveilleuses créations de verre noir qu’ils produisaient à partir de sable noir.

    La reine confia aux Noirvitrail la responsabilité de continuer à fabriquer les plus beaux objets de son royaume et ils acceptèrent sans arrière-pensée de servir la dynastie Draknys. Descendant de ses montagnes, le clan prospéra et devint réputé pour la finesse de ses créations, que l’on disait magiques. A la mort de la reine, ils conçurent un magnifique cercueil de verre noir et dévoilèrent pour sa sépulture de magnifiques vitraux en témoignage de leur gratitude et de leur loyauté. Chaque année, à la date de la mort de la reine, une rose des sables de verre noir et blanc vient fleurir sa tombe et entretient son souvenir.

    Telle est la modeste légende des origines du clan Noirvitrail … ou du moins, celle que ses enfants apprennent.

    Frappé par l’infâmie

    Un jour, le roi de la dynastie Draknys ordonna aux Noirvitrail la confection d’un miroir capable de refléter la grandeur d’âme de la personne. Une tâche digne des plus grands artisans. La confection du miroir prit des années, chaque essai reprochant petit à petit les artisans de la perfection recherchée. Quand celui-ci fut terminé, une cérémonie fut organisée en grande pompe au sein du domaine Noirvitrail. Le roi et la reine, avec leurs plus fidèles soldats, se présentèrent dans la demeure clanique et découvrirent avec stupeur et émerveillement les contours finement ciselés du miroir de plain-pied qui les attendait.

    Mais ce qu’ils virent dans le reflet du miroir provoqua leur courroux. Le miroir reflétait effectivement les âmes de ceux qui y plongeaient leurs regards … mais l’âme du roi et de la reine étaient aussi noires que le sable des montagnes des Noirvitrail. Leurs reflets, difformes et décharnés, suintant d’immondices, soulevèrent le cœur de l’assemblée, qui vit les Draknys pour ce qu’ils étaient vraiment. Cet incident, involontaire de la part des Noirvitrail, provoqua la fureur du couple royal, qui ordonna la mise à mort immédiate de tous les Noirvitrail et la destruction de l’artefact honni.

    Les Noirvitrail furent massacrés sans cérémonie, leur domaine purifié par le feu et leur nom rayé des livres d’histoire du Reike. En l’espace d’une nuit, les Noirvitrail, autrefois loués pour leur savoir-faire et leur loyauté, furent décimés et mis à l’index. Leur nom devint tabou, comme celui de bien d’autres clans ayant eu l’audace de déplaire aux Draknys avant eux et ils disparurent de l’histoire du Reike tandis que le sable noir recouvrait petit à petit ce qui étaient autrefois leurs domaines. Les connaissances artisanales et magiques des Noirvitrail furent irrémédiablement perdues et les corps calcinés jetés aux vautours. Il n’y eut aucune sépulture pour ceux qui avaient eu le malheur de déplaire aux Draknys.

    Les rivages de sable blanc

    Le nom des Noirvitrail aurait pu être oublié, mais lors du massacre, quelques familles parvinrent à échapper aux soldats du Reike, en s’échappant dans de vieux tunnels de mine dans le désert. Les malheureux rescapés fuirent vers le sud-est, affamés et vulnérables. Ils finirent par atteindre les rivages de sable blanc du lac Rebirth. N’ayant plus aucun avenir sur la terre du Reike, ils utilisèrent les quelques objets qu’ils avaient pu sauver de la tragédie pour embarquer vers les rivages de la République.

    Débarquant aux abords de Justice, ce qu’il restait du clan Noirvitrail – une quinzaine de familles à peine – demanda officiellement l’asile aux autorités républicaines, espérant trouver un endroit pour panser ses plaies. Les Noirvitrail s’installèrent dans les ghettos de Justice, avec la diaspora reikoise ayant elle aussi fuit le régime des Draknys. De là, ils purent repartir de zéro, et reconstruire ce qu’ils avaient perdu.

    En quelques années, les Noirvitrail parvinrent à correctement s’implanter dans le ghetto et à ouvrir leurs propres ateliers d’artisans. Ni vraiment citoyen et plus vraiment réfugiés, ils acquirent une certaine réputation auprès de la diaspora et des autorités locales comme des gens de confiance et des artisans de génie. Bien que le verre noir soit désormais hors d’atteinte, le sable blanc des rivages de Justice donnait de merveilleux objets en verre, que le clan vendit à prix d’or aux élites républicaines. Le clan, même diminué, se mêla à la diaspora et entretint le souvenir de ce qu’ils avaient perdu. L’amertume devint leur compagnon et malgré un avenir de plus en plus radieux qui se profilait devant eux, les Noirvitrail ne digérèrent jamais véritablement leur exil forcé.

    Le choix des parias

    Les Noirvitrail parvinrent à se hisser progressivement hors de la misère grâce à leur travail acharné et à leurs talents. Jouissant d’une bonne respectabilité dans le ghetto reikois de Justice, ils finirent par bénéficier de la citoyenneté auprès du Centre d’Intégration Officiel des Immigrants. Véritable reconnaissance de leur intégration dans la République et coup d’arrêt à leur statut de parias, la citoyenneté reçue par les Noirvitrail fut cependant plutôt mal accueillie par certaines familles reikoises, qui virent dans l’assimilation des Noirvitrail une forme de trahison envers le ghetto et un renoncement aux enseignements du Shierak et aux modes de vie reikois.

    La tension entre volonté d’intégration et refus de s’assimiler fut au cœur des luttes intestines au sein du ghetto reikois de Justice pendant des années. Deux lignes s’affrontaient : les partisans d’une intégration républicaine, apportant son savoir-faire aux citoyens de la République ; et les partisans d’une ligne communautariste, préférant vivre sur les terres républicaines, mais sans en embrasser les valeurs. Si pendant des années ces dissensions restèrent cantonnées à des diners entre familles reikoises, les choses finirent par s’envenimer et les familles, autrefois en bonne entente, se liguèrent les unes contre les autres et entretinrent des rivalités de plus en plus mesquines.

    La situation explosa dans le ghetto à la suite à l’incendie d’une manufacture de tabac dans les abords du ghetto. Les autorités républicaines retrouvèrent les présumés coupables dans le ghetto et la situation s’emballa rapidement, culminant à la mort des accusés, qui s’avéraient être des immigrés reikois. Le ghetto s’embrasa, entre ceux qui réclamaient justice et ceux qui appelaient au calme et à la modération. Les Noirvitrail eurent le malheur d’être de ceux qui se rangèrent du côté de ceux qui désiraient entamer une médiation entre la République et les habitants. Mal leur en pris, car ils furent vus comme des traitres au ghetto et comme des vendus par les autorités républicaines. Le soupçon étant un poison particulièrement insidieux, les Noirvitrail perdirent toute crédibilité et furent relégués au ban des parias : ni vraiment reikois et trop peu fiables pour être républicains.

    Les Noirvitrail retrouvèrent une existence de parias. Trop Républicains pour les Reikois, trop Reikois pour les Républicains, leur crédibilité sombra comme un navire au milieu des récifs et les commandes se tarirent. A mesure que les Noirvitrail dépérissaient et que leur nom était trainé dans la boue, les dettes s’accumulèrent et les créanciers se mirent à saisir les biens accumulés au fil des années. Leur maison, autrefois prospère, ne survécut qu’à la force de leur travail et à leur pugnacité … Endettés et déconsidérés, ils durent ronger leur frein pour se maintenir à flot et essayer de regagner leur réputation.

    Vitrail brisé

    Athénaïs Eulalie Augusta Chrisabelle Nicée Myrthelle Théodora de Noirvitrail est née dans un univers dur et âpre à la tâche. A sa naissance, le domaine des Noirvitrail était moitié moins grand qu’à son apogée. Les demeures familiales à Justice étaient en déliquescence et si les choses semblaient s’améliorer grâce au travail acharné des ainés Noirvitrail, la famille restait endettée et déconsidérée. Les Noirvitrail, conscients que leur situation ne tenaient qu’à un fil, redoublèrent d’efforts pour se sortir de la ruine. A l’époque de la naissance d’Athénaïs, les dettes commençaient à peine à se résorber, mais il restait énormément à faire.

    Les parents d’Athénaïs attendaient de grandes choses pour leurs enfants et les éduquèrent à la dure. Il était hors de question de les laisser se noyer dans l’oisiveté. Cadette de sa famille, Athénaïs grandit dans la pression permanente exercée par ses parents. Elle ne devait pas simplement être bonne : elle devait être parfaite, exceller dans tous les domaines afin de sortir sa famille et le clan de l’ornière. Elle reçut pour cela une éducation des plus strictes. L’échec n’était permis que s’il était suivi d’une réussite exemplaire. Dans cette éducation impitoyable, Athénaïs eut peu de temps pour elle. Tout devait servir la famille Noirvitrail et tout devait concourir à sa prospérité future.

    C’est cette pression constante qui brisa pour la première fois la cadette des Noirvitrail. A l’âge de 10 ans, la pression exercée sur elle fut tellement forte que la coque de verre de son esprit se brisa, libérant du même coup son potentiel magique et la capacité qu’elle maîtrise le mieux aujourd’hui : le clonage. Accablé par le stress et les difficultés sans cesse croissante, l’inconscient d’Athénaïs façonna la forme de son pouvoir en une capacité incroyable. Si elle ne pouvait réussir toute seule … peut-être que deux Athénaïs ou plus pouvaient surmonter tous les obstacles ? La découverte des pouvoirs d’Athénais fut prise comme un signe des ancêtres selon les enseignements du Shierak : une preuve de la bonne fortune prochaine du clan. Les Noirvitrail, conscients qu’Athénaïs était un atout sur lequel il fallait miser, et faisant peu cas de son état de santé mental, firent des pieds et des mains pour négocier auprès de l’université Magic son intégration dans le cursus d’études magiques. Malgré les dettes et le peu de renommée de son nom, Athénaïs fut acceptée à l’université Magic pour intégrer le cursus des façonneurs.

    De l’université à l’armée  

    Athénaïs découvrit rapidement que sa place à l’université Magic était précaire. Boursière et surtout pistonnée par sa famille, sa légitimité fut sans cesse remise en question. Après tout, son nom portait malheur et pourquoi faire confiance à une descendante métis dont même les Reikois de la République ne voulaient pas à proximité ? L’univers clos de l’université Magic se révéla être un vrai panier de crabes … et Athénaïs ne dut qu’à sa force de travail et à son sens des responsabilités pour tenir le cap et exceller dans son domaine d’expertise. S’attirant les jalousies de ses pairs, elle vécut relativement seule et isolée, se plongeant dans ses études jusqu’à ce que ses efforts portent leurs fruits. Sous stress permanent face à l’éventualité de l’échec, la jeune femme cacha ses démons intérieurs sous un visage avenant et souriant. N’ayant pas de talent particulier pour la magie élémentaire, le cursus des façonneurs fut pour elle une vraie libération.

    La demoiselle se réfugia dans ce qu’elle savait faire de mieux : la création d’objets magiques. Profitant de l’attitude neutre des professeurs à son égard, elle parvint à assimiler les secrets de la création d’objets magiques en un temps record, grâce à ses talents pour le clonage. Ses dons attirèrent rapidement l’attention de l’armée républicaine, qui vit en elle un moyen d’équiper les hauts gradés, mais surtout de disposer d’une femme capable de se multiplier et d’accomplir de nombreuses tâches en simultané. La proposition de l’enrôler en tant qu’officier dans l’armée républicaine fut accueillie avec ravissement par sa famille – mais moins par Athénaïs elle-même. En effet, l’acceptation dans l’armée républicaine était une forme de reconnaissance de tous les efforts que le clan avait fait pour laver son nom au fil des générations. Implicitement, la République redonnait ses « lettres de noblesse » aux Noirvitrail, après tant de vexations et de brimades.

    Athénaïs n’eut pas vraiment le choix. L’armée ne l’avait jamais attirée, seulement voilà … on ne discute pas les décisions du clan. Athénaïs était un moyen et non une finalité en soi. La jeune femme se retrouva bien vite dans les camps d’entrainement des forces républicaines, à suivre le quotidien des soldats et des officiers. Evoluant dans un environnement où seul le travail et le respect de la hiérarchie comptaient, la jeune femme se sentit étonnamment comme un poisson dans l’eau. Elle fut rapidement placée au rang d’archimage affectée à la mise en place et à l’entretien des défenses magiques des villes de la République. Pendant plusieurs années, elle participa à la création et à la mise en œuvre des enchantements protecteurs des murailles républicaines ainsi qu’à la création d’objets magiques pour les hauts gradés de l’armée.  

    Un duo mal assorti

    Athénaïs tomba sur la magistrate Alleria Greywind vers ses 23 ans. Celle-ci, par le plus grand des hasards, cherchait à constituer une équipe pour monter une expédition au Reike. La descendante Noirvitrail étant l’une des rares officiers parlant le Reikois, elle fut désignée volontaire pour cette mission.

    Voyageant discrètement dans le Reike pour accomplir une mission des plus confidentielles pour le compte de la République, la Magistrate et Athénaïs développèrent un lien étroit de collaboration professionnelle, bien que les deux soient diamétralement opposées en matière de personnalités. Là où Alleria était colérique et impulsive, Athénaïs conservait une posture douce et mesurée … mais les deux partagaient l’essentiel : le sens de la loyauté.

    A leur retour du Reike, Athénaïs rentra directement sous les ordres de la Magistrate militaire de la République. Bien que cette promotion fît des jaloux en haut-lieu, ce fut pour la famille d’Athénaïs la reconnaissance formelle de la valeur des Noirvitrail. Malheureusement pour Athénaïs, Alleria Greywind est une patronne exigeante, peut-être trop pour son propre bien. La nouvelle adjointe de la Magistrate l’accompagnait personnellement dans ses déplacements quotidiens et n’en répondait qu’à ses ordres directs. Le fait de pouvoir se cloner lui permit de traiter avec efficacité la paperasse et l’ensemble des besoins liés à la fonction d’Alleria, ce qui lui assura une position de choix que beaucoup lui envièrent.

    Lorsqu’Alleria quitta ses fonctions, Athénaïs resta sans affectation pendant plusieurs mois, profitant de l’occasion pour parfaire ses connaissances et souffler un peu. Participant avec Rowena Ironsoul à la conception d’un artefact en phantacier pour la limière du Razkaal, elle fut prise, malgré elle, dans l’écheveau des destinées qui participèrent au renforcement des forces de la République après les attentats du débat national.

    Et durant ces deux dernières années ?

    Athénaïs rencontra Parwan Sahriki par une belle soirée d’été. Les deux femmes nouèrent progressivement des liens solides, qui se concrétisèrent par un pèlerinage sur les territoires sacrés du Shierak. Parwan et Athénaïs se quittèrent quand les Titans s’éveillèrent, chacune appelée par son devoir envers sa nation. Pendant plusieurs années, Athénaïs de Noirvitrail pria pour que Parwan soit saine et sauve et fit tout ce qu’elle put pour éviter que la cité de Justice, accueillant une partie des réfugiés du Shoumeï, ne sombre dans l’anarchie. Sous son action, la ville de Justice put se renforcer et accueillir les réfugiés de l’ancienne théocratie. Faisant office de médiatrice entre les différentes classes de la société républicaine, Athénaïs fit des pieds et des mains pour gérer la situation à son niveau, ce qui l’amena rapidement dans les sphères de la politique.

    Poussée par un soutien populaire de plus en plus important, la jeune femme se retrouve aujourd’hui bien placée pour obtenir une place à la mairie de Justice comme conseillère. Malheureusement pour elle, les principales personnes qui auraient pu être conseillers avec elle ont disparu ces dernières années. La possibilité de devenir conseillère de la mairie de Justice lui permettrait de redonner ses lettres de noblesse à sa famille. Mais est-elle taillée pour un tel rôle, elle qui n’était jusqu’alors que l’adjointe de personnalités plus importante ?

    En parallèle, Athénaïs a continué ses études. Elle qui avait suivi le cursus d'honneur de l'artisanat et des forges magiques se retrouve à 28 ans en dernière année pour obtenir son deuxième fragment d'étoile en stratégies militaires magiques. Elle ne s'attendait pas elle-même à poursuivre aussi longtemps cette discipline qu'elle avait entamé suite à la pression de ses parents, mais son contact avec l'ancienne magistrate militaire l'a confortée dans l'idée qu'elle avait son rôle à jouer en tant qu'experte des forges magiques au sein des forces armées républicaines. Mais pour obtenir toute sa légitimité, il lui manque de passer la Voie de Diamant, qui correspond à celle des études militaires magiques.

    Groupes d'intérêts

    [République] : Athénaïs est loyale à la République qui l’a vue naître et se battra jusqu’au bout pour en préserver l’existence. Si elle est consciente que son pays est perclus de problèmes et que tout n’y est pas aussi idyllique que suggéré, elle le sait personnellement. Sa famille a pu expérimenter à la fois le meilleur et le pire de ce que la République avait à offrir. Pourtant, cela n’empêche pas la magicienne de se donner corps et âme pour ce qu’elle estime être l’un des plus beaux projets d’émancipation de l’humanité.

    [Reike] : Athénaïs entretient des relations mitigées avec le Reike. Si ses racines sont reikoises, elle ne se sent bien qu’au milieu des Reikois de la République et qu’auprès des nomades du désert. La magicienne méprise le maintien de l’esclavage et surtout, essaye de comprendre pourquoi cette nation a banni son clan et tant d’autres depuis des générations.

    [Université] : La façonneuse a toujours eu une relation compliquée avec l’université de Liberty. Même si elle fut une élève brillante, le simple fait de réussir alors qu’elle n’était qu’une simple descendante de l’Orée souleva pendant des années l’ire de ses camarades bien nés. Le respect qu’elle a pu obtenir, elle s’est battue pour l’avoir et considère désormais que l’université est sa maison, quand bien même il y aurait encore des rats dans les plafonds !

    [Armée] : L’armée, contrairement à l’université, a reconnu beaucoup plus tôt le sens des responsabilités et la diligence de la magicienne. En partageant le quotidien des soldats et en mettant concrètement la main à la pâte avec les soldats, la magicienne a pu gagner le respect de ses pairs. Elle a gardé de très bons contacts en son sein et sait que sa carrière la mènera inévitablement à prendre plus de responsabilités en son sein.

    [Shierak] : Athénaïs a redécouvert son rapport à la religion grâce à Parwan. Les deux femmes apprirent énormément l’une de l’autre et Athénaïs est fière d’avoir pu accomplir son premier pèlerinage sur les lieux de culte du Shierak. Etant donné qu’il s’agit de la seule religion encore active au Sekai dont le panthéon n’essaie pas explicitement de vous tuer, Athénaïs considère les fidèles du Shierak avec beaucoup de sympathie.
    .

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    Pseudo : Mood
    Comment avez-vous connu le forum ? Par une belle soirée d’été
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    Athénaïs de Noirvitrail, Façonneuse de la République (terminée) Signat12

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    Louise Aubépine
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    Info personnage
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    qui suis-je ?:
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  • Lun 25 Juil - 22:10
    Bon retour Athenaïs de Noirvitrail !
    Nous sommes heureux de te revoir.

    C'est une très belle fiche et comme tu as déjà corrigé ce que nous avons vu en privé, je ne vois aucune raison de ne pas te valider.

    Après avoir vécu telle une paria toute sa vie, il est temps pour toi de briller tel un diamant sur la voie que tu comptes suivre.

    Peut-être sauras-tu pardonner au Reike pour ses fautes passées, notre bonne reine du pays du désert a fait de nombreuses réformes concernant l'esclavage.

    Quoi qu'il en soit, c'est bel et bien en tant que républicaine de cœur que tu t'apprêtes une fois encore, à entrer en Sekai.

    Tu es officiellement, validée !

    PS : Je suis obligé de le remettre ici pour en garder une trace écrite, même si nous l'avons déjà vu par MP. - Prends tout de même garde que ta capacité contextuelle ne te permet pas d'utiliser les objets que tu créé qui pourraient avoir la moindre utilité non-cosmétique. Sinon, il faudra passer par la boutique pour les acheter.
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