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Ses tentatives pour se mettre à la page du langage des jeunes la firent rire encore un peu. Il y mettait du coeur le bougre !
- Tu sais que tu n'es pas bien vieux déjà ? ... Oui !! Tout le reste peut attendre. Seulement le ciel. C'est vrai !
C'était ce qu'elle avait l’impression de retrouver lorsqu'elle était sous l'eau. Elle et l'océan. Rien d'autre. Rien de ce qui venait de la terre ferme ne pouvait l'atteindre. Rien du devoir, des décision, des obligations. C'était un réflexe viscérale. Le ciel avait un peu de ça aussi. La distance sans doute. Et la vue.
Nous discutions encore un peu des griffons, échangeons quelques anecdotes, et bientôt je disais au revoir à Bucéphale pour reprendre le bras de mon hôte et quitter les lieux. Pour partir en bon terme, je chipait de nouveau une pomme pour la lui donner et lui grattait encore un peu le front. Un roucoulement râpeux s'échappa de sa gorge, couinement bien connu des griffoniers.
- Va pour les bains... " Une fois raccompagnée elle ferait bien ce qu'elle voulait, mais au fait du côté patriarcale des reikois, elle ne se formalisa pas de la posture dirigiste de Tagar. Encore une fois, lâcher prise une fois de temps en temps était très loin d'être désagréable. " ça ira pour le travail ? Je me doute que je ne pourrais pas grand chose mais si je peux t'aider, n'hésite pas. J'en serai heureuse.
Il n'y avait pas de mesure ou de resistitution, ils n'étaient pas dans un échange de service. Mais elle serait heureuse de pouvoir l'aider alors qu'il faisait déjà tant pour elle.
- Tu sais que tu n'es pas bien vieux déjà ? ... Oui !! Tout le reste peut attendre. Seulement le ciel. C'est vrai !
C'était ce qu'elle avait l’impression de retrouver lorsqu'elle était sous l'eau. Elle et l'océan. Rien d'autre. Rien de ce qui venait de la terre ferme ne pouvait l'atteindre. Rien du devoir, des décision, des obligations. C'était un réflexe viscérale. Le ciel avait un peu de ça aussi. La distance sans doute. Et la vue.
Nous discutions encore un peu des griffons, échangeons quelques anecdotes, et bientôt je disais au revoir à Bucéphale pour reprendre le bras de mon hôte et quitter les lieux. Pour partir en bon terme, je chipait de nouveau une pomme pour la lui donner et lui grattait encore un peu le front. Un roucoulement râpeux s'échappa de sa gorge, couinement bien connu des griffoniers.
- Va pour les bains... " Une fois raccompagnée elle ferait bien ce qu'elle voulait, mais au fait du côté patriarcale des reikois, elle ne se formalisa pas de la posture dirigiste de Tagar. Encore une fois, lâcher prise une fois de temps en temps était très loin d'être désagréable. " ça ira pour le travail ? Je me doute que je ne pourrais pas grand chose mais si je peux t'aider, n'hésite pas. J'en serai heureuse.
Il n'y avait pas de mesure ou de resistitution, ils n'étaient pas dans un échange de service. Mais elle serait heureuse de pouvoir l'aider alors qu'il faisait déjà tant pour elle.
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Elle se doutait qu'il refuserait... Mais Gail se retournerait dans sa tombe si elle n'avait pas tenté le coup, autant par sincère générosité que par acquis de conscience familiale.
Une fois arrivée aux bains, Rowena écoute le protocole avec attention. Les thermes reikois semblent semblable à ceux de République par certains aspects et bien différents par d'autre... Sale chaude et au fraiche, c'était pour le moins incongru, mais ce n'était certainement pas elle qui allait s'en plaindre. Il y avait de l'eau ! Cela ne faisait pas un jour qu'elle était à terre et pourtant l'idée de ne pas pouvoir nager tous les jours comme elle le faisait pendant le voyage en navire lui paraissait inhabituellement pesant. A côté de ça, envisager un massage hors de l'eau - ce qui ne lui était pas arrivé depuis longtemps - était un petit sacrifice qui valait le coup.
- C'est plutôt audacieux de proposer à une sirène de rester dans un bain ' jusqu'à ce qu'elle en ait assez ' " le taquina-t-elle avant de le rassurer sur sa compréhension de la procédure à suivre. " A tout de suite.
Elle suivit le chemin indiqué vers l'espace pour se changer et plia soigneusement sa robe, déposée sur ses sandales et sa sacoche. Au moment de défait le lien qui soulignait sa poitrine, elle récupère une pièce de fer gardé sous son sein, la porte à ses lèvres et la glisse avec précaution entre les pans de tissus léger de sa robe lilas. Un rapide coup de peigne et, enroulée d'une grande serviette, elle gagnait l'espace des bains à proprement parlé.
Elle n'avait pas mi beaucoup de temps. C'était même un euphémisme. Sa tenue était particulièrement simple à retirer et elle n'éprouvait aucune envie de faire durer l'attente. Vêtue du linge blanc qui laissait peu de place à l'imagination, autant sur la nature de ses courbes orgueilleuses que sur sa musculature développée, ses pieds nus se posaient avec une assurance souple sur le carrelage. A son cou, le pendentif en forme de grue en vol était le seul bijou qu'elle avait gardé, et avec cette tenue bien plus courte exempte de toute chaussure, on voyait facilement que sa cheville gauche était tatouée de trois bracelet d'encre. Deux ocres, qui représentaient de petites frises géométriques rappelant les motifs des nomades du désert Reikois, et une ligne rouge. La teinte profonde de cette dernière donnait l'étrange impression d'une coupure si on ne la regardait que du coin de l’œil, mais heureusement, son épaisseur détrompait vite le curieux.
L'atmosphère était lourde, chauffée et même sur-chauffée. La jeune femme fit un signe de tête poli aux personnes présentes avant de s'assoir au bord de l'eau, plongeant ses longues jambes sous la surface avec un délice non feint. Tagar n'était pas encore présent, ou elle ne l'avait pas remarqué. En attendant, elle observait sans en avoir l'air, pour savoir s'il était de coutume de retirer ou non sa serviette dans l'eau, et de même pour se promener à l'extérieur. Elle n'aurait jamais pensé qu'à Ikuza, un tel lieu serait mixte ! Comme quoi les mœurs étaient moins vertueuses qu'il n'y paraissait ?
Une fois arrivée aux bains, Rowena écoute le protocole avec attention. Les thermes reikois semblent semblable à ceux de République par certains aspects et bien différents par d'autre... Sale chaude et au fraiche, c'était pour le moins incongru, mais ce n'était certainement pas elle qui allait s'en plaindre. Il y avait de l'eau ! Cela ne faisait pas un jour qu'elle était à terre et pourtant l'idée de ne pas pouvoir nager tous les jours comme elle le faisait pendant le voyage en navire lui paraissait inhabituellement pesant. A côté de ça, envisager un massage hors de l'eau - ce qui ne lui était pas arrivé depuis longtemps - était un petit sacrifice qui valait le coup.
- C'est plutôt audacieux de proposer à une sirène de rester dans un bain ' jusqu'à ce qu'elle en ait assez ' " le taquina-t-elle avant de le rassurer sur sa compréhension de la procédure à suivre. " A tout de suite.
Elle suivit le chemin indiqué vers l'espace pour se changer et plia soigneusement sa robe, déposée sur ses sandales et sa sacoche. Au moment de défait le lien qui soulignait sa poitrine, elle récupère une pièce de fer gardé sous son sein, la porte à ses lèvres et la glisse avec précaution entre les pans de tissus léger de sa robe lilas. Un rapide coup de peigne et, enroulée d'une grande serviette, elle gagnait l'espace des bains à proprement parlé.
Elle n'avait pas mi beaucoup de temps. C'était même un euphémisme. Sa tenue était particulièrement simple à retirer et elle n'éprouvait aucune envie de faire durer l'attente. Vêtue du linge blanc qui laissait peu de place à l'imagination, autant sur la nature de ses courbes orgueilleuses que sur sa musculature développée, ses pieds nus se posaient avec une assurance souple sur le carrelage. A son cou, le pendentif en forme de grue en vol était le seul bijou qu'elle avait gardé, et avec cette tenue bien plus courte exempte de toute chaussure, on voyait facilement que sa cheville gauche était tatouée de trois bracelet d'encre. Deux ocres, qui représentaient de petites frises géométriques rappelant les motifs des nomades du désert Reikois, et une ligne rouge. La teinte profonde de cette dernière donnait l'étrange impression d'une coupure si on ne la regardait que du coin de l’œil, mais heureusement, son épaisseur détrompait vite le curieux.
L'atmosphère était lourde, chauffée et même sur-chauffée. La jeune femme fit un signe de tête poli aux personnes présentes avant de s'assoir au bord de l'eau, plongeant ses longues jambes sous la surface avec un délice non feint. Tagar n'était pas encore présent, ou elle ne l'avait pas remarqué. En attendant, elle observait sans en avoir l'air, pour savoir s'il était de coutume de retirer ou non sa serviette dans l'eau, et de même pour se promener à l'extérieur. Elle n'aurait jamais pensé qu'à Ikuza, un tel lieu serait mixte ! Comme quoi les mœurs étaient moins vertueuses qu'il n'y paraissait ?
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- Non ça va, je t'attendais. " ... Histoire de savoir si lui garderait sa serviette dans l'eau ou non.
Parfois, Rowena se demandait si c'était elle qui débloquait ou les gens autours. L'invitation de Tagar lui faisait le même effet. Ils savaient l'un et l'autre qu'ils se trouvaient attirant. Ils savaient l'un et l'autre qu'il était promis à une femme. Il savait qu'en l'invitant là, il la verrait nue et la sirène n'était pas franchement du genre pudique. Mais il fallait l'avouer, c'était peut-être la première fois qu'elle se faisait invité à être scrutée dans le plus simple appareil par un homme avec lequel elle avait flirté mais qu'elle n'avait pas moralement le droit de toucher... En même temps, elle avait été claire sur ses mœurs et son... ouverture d'esprit. Alors la morale, elle avait de plus en plus envie de la laisser au placard.
Enfoncé dans l'eau jusqu'au buste, sa peau pâle n'était floutée que par la légère perturbation de la surface. Le regard qu'elle posait sur lui, loin d'être agressif, n'était pas neutre pour autant. Elle aimait admirer de belles choses. Tagar avait un corps remarquablement svelte et entretenu... Et elle le croyait suffisamment malin pour le savoir malgré toute l'innocence derrière laquelle il se cachait de temps à autre.
Interrompue avant qu'elle ne lui réponde, deux jeunes gens s'imposèrent dans leur rencontre. Pendant qu'ils se présentent, leurs regards se tournant vers la républicaine, cette dernière ouvrit sa serviette, dévoilant les fines cicatrices d'impact qui grêlaient son corps, pour glisser dans l'eau en un murmure aqueux. Au moins, elle ne ressemblait pas à un monstre dans ce contexte. Eve était particulièrement entretenue aussi.
Un sourire charmé sur les lèvres, Rowena inclina respectueusement la tête. Encore heureux, elle n'était pas susceptible. Il la présentait comme une campagnarde. Si elle avait la chance de rencontre les Saladins, ils avaient tout autant la chance de la rencontrer elle. Mieux valait éviter de leur dire ce qu'elle avait pensé de l'officier qui portait leur nom à Maël...
- Ravie. J'imagine qu'il y a beaucoup à faire pour une famille comme la votre en ce moment. Tagar est tellement occupé lui-même...
Parfois, Rowena se demandait si c'était elle qui débloquait ou les gens autours. L'invitation de Tagar lui faisait le même effet. Ils savaient l'un et l'autre qu'ils se trouvaient attirant. Ils savaient l'un et l'autre qu'il était promis à une femme. Il savait qu'en l'invitant là, il la verrait nue et la sirène n'était pas franchement du genre pudique. Mais il fallait l'avouer, c'était peut-être la première fois qu'elle se faisait invité à être scrutée dans le plus simple appareil par un homme avec lequel elle avait flirté mais qu'elle n'avait pas moralement le droit de toucher... En même temps, elle avait été claire sur ses mœurs et son... ouverture d'esprit. Alors la morale, elle avait de plus en plus envie de la laisser au placard.
Enfoncé dans l'eau jusqu'au buste, sa peau pâle n'était floutée que par la légère perturbation de la surface. Le regard qu'elle posait sur lui, loin d'être agressif, n'était pas neutre pour autant. Elle aimait admirer de belles choses. Tagar avait un corps remarquablement svelte et entretenu... Et elle le croyait suffisamment malin pour le savoir malgré toute l'innocence derrière laquelle il se cachait de temps à autre.
Interrompue avant qu'elle ne lui réponde, deux jeunes gens s'imposèrent dans leur rencontre. Pendant qu'ils se présentent, leurs regards se tournant vers la républicaine, cette dernière ouvrit sa serviette, dévoilant les fines cicatrices d'impact qui grêlaient son corps, pour glisser dans l'eau en un murmure aqueux. Au moins, elle ne ressemblait pas à un monstre dans ce contexte. Eve était particulièrement entretenue aussi.
Un sourire charmé sur les lèvres, Rowena inclina respectueusement la tête. Encore heureux, elle n'était pas susceptible. Il la présentait comme une campagnarde. Si elle avait la chance de rencontre les Saladins, ils avaient tout autant la chance de la rencontrer elle. Mieux valait éviter de leur dire ce qu'elle avait pensé de l'officier qui portait leur nom à Maël...
- Ravie. J'imagine qu'il y a beaucoup à faire pour une famille comme la votre en ce moment. Tagar est tellement occupé lui-même...
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Des guerriers qui règnent... bah voyons... Et on se demande pourquoi il y a tant de problème au Reike, tant de violence et d'injustice... Rowena n'éprouvait que le plus profond dédain pour les guerriers qui pensaient pouvoir administrer des terres ou des gens juste parce qu'ils étaient capable d'agiter une épée ou de former des sortilèges. Pourtant en bonne hôte bien élevée, elle n'en laissa rien paraitre et rit avec la bonne ambiance générale tout en gardant un certain contrôle.
Heureusement, l'en ne lui arrivait pas au cou et il lui suffisait de bien respirer pour ne pas sentir trop urgemment la tendance de son corps a reprendre sa forme véritable dans son élément vital... Et le bon mot sur la mère de Tagar l'amuse tout de même, il faut l'avouer.
- Sa mère, sa mère, Tagar est assez âgé pour décider ce qu'il fait de son propre corps. S'il se contraint à la chasteté, c'est de son propre chef. " sourit-elle en glissant un regard amusé sur son ami, taquine mais pas méchante.
Eve s'approche à son tour, donnant son avis hautement documenté sur la santé des hommes célibataires. La pression sociale qu'elle lui met est aussi hilarante que la grimace que fait Tagar en retour. Mais bon, le frère et la sœur ont tout de même quelque chose pour les servir aux yeux de la républicaine : Tagar a vraiment l'air détendu avec eux. Amis d'enfances, ils doivent au moins avoir été là pour lui dans les moments difficiles.
La proposition de Tagar, d'ailleurs, reçoit une approbation massive et ils se déplacent en petit groupe vers le bord indiqué. En passant, la républicaine ne peut s'empêcher d'ajouter :
- Je ne pensais pas que quelqu'un avait déjà eu l'audace de conseiller à Tagar d'aller contre les volontés de sa mère. Sans ce garde fou, tu aurais pu être un véritable don juan étant donné ton abord facile avec les femmes.
Doucement, en respirant à fond, Rowena s'était enfoncé dans l'eau, assise au milieu d'eux tous, à côté de Tagar. De chaque côté de son cou, répondant à la présence massive de l'onde autour d'elle, trois trait rosés étaient discrètement apparus, lisse comme d'anciennes cicatrices. Elle ferma les yeux un instant, respirant doucement pour se fixer dans ce nouveau contexte - non elle ne plongerait pas entièrement.... - puis s'appliqua à revenir pleinement à la conversation.
- Je te taquine mais je suis vraiment heureuse pour toi. " souffla-t-elle à son voisin en lui effleurant nonchalamment l'épaule. Puis à l'intention d'Adam et Eve. " J'imagine que vous avez une foule d'anecdotes sur Tagar puisque vous êtes ses amis d'enfance. Vous ne voudriez pas en partager quelques unes ?
Heureusement, l'en ne lui arrivait pas au cou et il lui suffisait de bien respirer pour ne pas sentir trop urgemment la tendance de son corps a reprendre sa forme véritable dans son élément vital... Et le bon mot sur la mère de Tagar l'amuse tout de même, il faut l'avouer.
- Sa mère, sa mère, Tagar est assez âgé pour décider ce qu'il fait de son propre corps. S'il se contraint à la chasteté, c'est de son propre chef. " sourit-elle en glissant un regard amusé sur son ami, taquine mais pas méchante.
Eve s'approche à son tour, donnant son avis hautement documenté sur la santé des hommes célibataires. La pression sociale qu'elle lui met est aussi hilarante que la grimace que fait Tagar en retour. Mais bon, le frère et la sœur ont tout de même quelque chose pour les servir aux yeux de la républicaine : Tagar a vraiment l'air détendu avec eux. Amis d'enfances, ils doivent au moins avoir été là pour lui dans les moments difficiles.
La proposition de Tagar, d'ailleurs, reçoit une approbation massive et ils se déplacent en petit groupe vers le bord indiqué. En passant, la républicaine ne peut s'empêcher d'ajouter :
- Je ne pensais pas que quelqu'un avait déjà eu l'audace de conseiller à Tagar d'aller contre les volontés de sa mère. Sans ce garde fou, tu aurais pu être un véritable don juan étant donné ton abord facile avec les femmes.
Doucement, en respirant à fond, Rowena s'était enfoncé dans l'eau, assise au milieu d'eux tous, à côté de Tagar. De chaque côté de son cou, répondant à la présence massive de l'onde autour d'elle, trois trait rosés étaient discrètement apparus, lisse comme d'anciennes cicatrices. Elle ferma les yeux un instant, respirant doucement pour se fixer dans ce nouveau contexte - non elle ne plongerait pas entièrement.... - puis s'appliqua à revenir pleinement à la conversation.
- Je te taquine mais je suis vraiment heureuse pour toi. " souffla-t-elle à son voisin en lui effleurant nonchalamment l'épaule. Puis à l'intention d'Adam et Eve. " J'imagine que vous avez une foule d'anecdotes sur Tagar puisque vous êtes ses amis d'enfance. Vous ne voudriez pas en partager quelques unes ?
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C'est attendrissant de le voir ainsi dans un cadre tellement personne. Ils s'étaient toujours vu dans des situations complexes, dures ou désespérées. La traque. Les blessures. Le terrorisme. La guerre. Et il avait fallut attendre qu'il ne se souvienne que d'une infime portion de leur relation pour qu'il se mette à nu... Littéralement d'ailleurs. Il était bien loin le jeune homme sui remontait le drap blanc de l’hôpital sur sa poitrine pour ne pas se montrer trop indécent.
- Dragon, ça lui va assez bien. " rit-elle en sourdine. Comme tout Dragon, la Mère de Tagar protégeait son trésor.
Même gamin, il était déjà galant... Et visiblement Eve aurait bien aimé profité un peu de sa galanterie, s'il n'avait pas été si vertueux. Certains regards et certains contacts ne trompaient que Tagar lui-même probablement. La républicaine, tout en ramenant l'eau jusqu'à ses épaules en de lents mouvements pensifs, s'était sans difficulté tournée vers Adam qui, lui aussi, avait des regards qui ne trompaient pas.
- Au travail. Une coopération entre les services fiscaux reikois et les services judiciaires républicains. La version courte ? Je lui ai ramené un transfuge responsable du vol de plusieurs milliers de pièces d'or en pierre précieuses et il m'a offert un diner... Je suis sûre que vous savez à quel point il est fin gourmet.
Le sourire de la jeune femme s'étire d'un cran lorsqu'elle souffle plus particulièrement au musculeux apollon :
- ... Et lui n'oublie pas que mes yeux se trouvent plus haut.
De la façon la plus dégagée du monde, sans plus s'attarder sur le regard vagabond du reikois, elle se cala un peu mieux , la tête calée contre le rebord. Eve rit de bon cœur et la républicaine eu du mal à la trouvé charitable envers son frère étant donné la façon dont elle l'avait elle aussi regardé lorsqu'elle s'était glissée dans l'eau. Elle s'abstint pourtant d'ajouter quoi que ce soit concernant le baiser qui avait eu lieu à la restitution du dit transfuge. Par contre elle ajouta avec un sourire amusé.
- On s'est recroisé lorsqu'il a été fait héros national de la République aussi, puis à Maël où il m'a offert un palais.
- Dragon, ça lui va assez bien. " rit-elle en sourdine. Comme tout Dragon, la Mère de Tagar protégeait son trésor.
Même gamin, il était déjà galant... Et visiblement Eve aurait bien aimé profité un peu de sa galanterie, s'il n'avait pas été si vertueux. Certains regards et certains contacts ne trompaient que Tagar lui-même probablement. La républicaine, tout en ramenant l'eau jusqu'à ses épaules en de lents mouvements pensifs, s'était sans difficulté tournée vers Adam qui, lui aussi, avait des regards qui ne trompaient pas.
- Au travail. Une coopération entre les services fiscaux reikois et les services judiciaires républicains. La version courte ? Je lui ai ramené un transfuge responsable du vol de plusieurs milliers de pièces d'or en pierre précieuses et il m'a offert un diner... Je suis sûre que vous savez à quel point il est fin gourmet.
Le sourire de la jeune femme s'étire d'un cran lorsqu'elle souffle plus particulièrement au musculeux apollon :
- ... Et lui n'oublie pas que mes yeux se trouvent plus haut.
De la façon la plus dégagée du monde, sans plus s'attarder sur le regard vagabond du reikois, elle se cala un peu mieux , la tête calée contre le rebord. Eve rit de bon cœur et la républicaine eu du mal à la trouvé charitable envers son frère étant donné la façon dont elle l'avait elle aussi regardé lorsqu'elle s'était glissée dans l'eau. Elle s'abstint pourtant d'ajouter quoi que ce soit concernant le baiser qui avait eu lieu à la restitution du dit transfuge. Par contre elle ajouta avec un sourire amusé.
- On s'est recroisé lorsqu'il a été fait héros national de la République aussi, puis à Maël où il m'a offert un palais.
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Rowena ne peut s'empêcher de rire en voyant la réaction qu'elle a déclenché. C'est exactement ce qu'elle avait espérer. Il faut dire que Tagar est une bonne cible pour les taquineries. Affable et aimable, toujours d'humeur égale, jamais énervé. Cela donnait forcément envie de le chahuter un peu... Mais bonne joueuse la sirène estime que la question qu'il pose est un appel du pied pour mettre le hola. Elle-même n'est pas gênée pour deux ou trois questions, mais les dites questions ont la fâcheuse tendance de retomber sur le nez du jeune homme.
- Non, je suis entourée de charmants reikois. " sourit-elle. " On peut rester encore un peu ?
Elle n'avait pas menti, une sirène était difficile à arracher d'un bassin à l'eau aussi pure. Adam, intéressé par son côté militaire - ou peut-être seulement désireux de connaitre le niveau de ses prouesses physiques - relance la conversation et pendant un moment ils discutent de souvenirs plus ou moins enthousiastes de frères d'arme et d’anecdotes de combats plutôt légères. Mais même avec la légère complicité qui pointait entre Eve et elle, elle ne voulait pas non plus étendre le moment au point que Tagar ne le trouve plus agréable.
Bientôt, elle proposa à son compagnon de passer au massage et glissa dans l'onde avec grâce pour aller chercher sa serviette, remontant sur le bord du bassin sans se rendre compte qu'il y avait un escalier quelques mètres plus loin. L’atmosphère était suffisamment chaude pour que la sortie du bassin ne soit pas désagréable et Rowena ne s'enroula dedans que pour le plaisir de sentir le tissus particulièrement doux contre sa peau.
Tout en coinçant le bout de sa serviette sur sa poitrine, elle rejoignit Tagar et adressa un signe de main aux deux amis laissés dans l'eau, se laissant guider vers les salles privées à l'arrière.
- Ils sont charmants... Un peu brute de décoffrage et humour de baraquement, mais charmants. " souffla-t-elle à Targar en quittant Adam et Eve des yeux. " Tu connais vraiment tout le monde ici, c'est fou. Enfin tu connais tout le monde partout. J'ai l’impression qu'à chaque fois que je devient l'ami de quelqu'un peu importe son origine, il te connait déjà et t'estime par la même occasion. "
- Non, je suis entourée de charmants reikois. " sourit-elle. " On peut rester encore un peu ?
Elle n'avait pas menti, une sirène était difficile à arracher d'un bassin à l'eau aussi pure. Adam, intéressé par son côté militaire - ou peut-être seulement désireux de connaitre le niveau de ses prouesses physiques - relance la conversation et pendant un moment ils discutent de souvenirs plus ou moins enthousiastes de frères d'arme et d’anecdotes de combats plutôt légères. Mais même avec la légère complicité qui pointait entre Eve et elle, elle ne voulait pas non plus étendre le moment au point que Tagar ne le trouve plus agréable.
Bientôt, elle proposa à son compagnon de passer au massage et glissa dans l'onde avec grâce pour aller chercher sa serviette, remontant sur le bord du bassin sans se rendre compte qu'il y avait un escalier quelques mètres plus loin. L’atmosphère était suffisamment chaude pour que la sortie du bassin ne soit pas désagréable et Rowena ne s'enroula dedans que pour le plaisir de sentir le tissus particulièrement doux contre sa peau.
Tout en coinçant le bout de sa serviette sur sa poitrine, elle rejoignit Tagar et adressa un signe de main aux deux amis laissés dans l'eau, se laissant guider vers les salles privées à l'arrière.
- Ils sont charmants... Un peu brute de décoffrage et humour de baraquement, mais charmants. " souffla-t-elle à Targar en quittant Adam et Eve des yeux. " Tu connais vraiment tout le monde ici, c'est fou. Enfin tu connais tout le monde partout. J'ai l’impression qu'à chaque fois que je devient l'ami de quelqu'un peu importe son origine, il te connait déjà et t'estime par la même occasion. "
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- C'est parce que je ne portais pas de maillot.
Au moment d'entrer, la sirène s'était penché à son oreille, laissant flotter un sourire sibyllin sur ses lèvres, ses yeux asymétrique scrutant ceux de Tagar alors que son corps effleurait le sien. Après tout il avait vu tout ce qu'il y avait à voir de toute façon. Sans attendre, elle le devançait à l'intérieur et déposait sa serviette pour s'allonger sur le vendre, la figure logée dans les coussins.
En république, deux jolies demoiselles portant des noms de pierre précieuse ne se trouvaient pas exactement dans les bains de grand luxe... ou alors des termes bien particulières ou elles se trouvaient tout aussi dévêtues que leurs clients. L'idée manque de faire rire Rowena qui souffle un peu fort par le nez.
- Eve et toi êtes proches. Son manège était rigolo à voir. " Elle repensait à son insistance pour faire se contorsionner Tagar. " Au bout d'un moment je n'arrivais plus à savoir si elle te touchait pour marquer son territoire ou te pousser à me montrer davantage ton corps.
L'atmosphère douce est particulièrement agréable pour les yeux sensibles de la jeune femme. Née dans l'ombre et habitué au peu de lumière, ils virent doucement au noir, ses pupilles particulièrement dilatées. Elle respire, le parfum est savamment étudier comme le reste, pour qu'ils se détendent de la façon la plus agréable possible.
Elle cala sa tête sur le côté, dans la direction de Tagar, nullement gênée par la présence des masseuse. En tant que noble, le petit personnel n'était jamais loin et Tagar ne l'aurait pas invité dans un lieu où le personnel en question n'était pas de confiance. Par contre, voir le jeune homme étendu là à une distance de bras, dans le plus simple appareil était particulièrement surréaliste...
- Tu as un dos sublime, mais ne t'étonne pas si ta femme se montre jalouse quand elle la verra agir comme ça à ton égare. " ajouta-t-elle avec un léger rire dans la voix.
Au moment d'entrer, la sirène s'était penché à son oreille, laissant flotter un sourire sibyllin sur ses lèvres, ses yeux asymétrique scrutant ceux de Tagar alors que son corps effleurait le sien. Après tout il avait vu tout ce qu'il y avait à voir de toute façon. Sans attendre, elle le devançait à l'intérieur et déposait sa serviette pour s'allonger sur le vendre, la figure logée dans les coussins.
En république, deux jolies demoiselles portant des noms de pierre précieuse ne se trouvaient pas exactement dans les bains de grand luxe... ou alors des termes bien particulières ou elles se trouvaient tout aussi dévêtues que leurs clients. L'idée manque de faire rire Rowena qui souffle un peu fort par le nez.
- Eve et toi êtes proches. Son manège était rigolo à voir. " Elle repensait à son insistance pour faire se contorsionner Tagar. " Au bout d'un moment je n'arrivais plus à savoir si elle te touchait pour marquer son territoire ou te pousser à me montrer davantage ton corps.
L'atmosphère douce est particulièrement agréable pour les yeux sensibles de la jeune femme. Née dans l'ombre et habitué au peu de lumière, ils virent doucement au noir, ses pupilles particulièrement dilatées. Elle respire, le parfum est savamment étudier comme le reste, pour qu'ils se détendent de la façon la plus agréable possible.
Elle cala sa tête sur le côté, dans la direction de Tagar, nullement gênée par la présence des masseuse. En tant que noble, le petit personnel n'était jamais loin et Tagar ne l'aurait pas invité dans un lieu où le personnel en question n'était pas de confiance. Par contre, voir le jeune homme étendu là à une distance de bras, dans le plus simple appareil était particulièrement surréaliste...
- Tu as un dos sublime, mais ne t'étonne pas si ta femme se montre jalouse quand elle la verra agir comme ça à ton égare. " ajouta-t-elle avec un léger rire dans la voix.
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