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Noble du Reike
Tagar Reys
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crédits : 2345
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15 octobre de l’an 3
La vie est une garce.
C’est ce que je pense quand je vois la moitié de mes hommes se tordre de douleur, vaincu par un ennemi aussi fourbe qu’insaisissable, une biche daubée du cul. Personnellement, j’en ai aussi mangé, ce qui rend la situation aussi injuste, car je n’ai absolument rien, comme l’autre moitié de mes gardes du corps d’ailleurs.
Le plus dépité dans tout cela, c’est Robert, nommé sous-officier de l'escouade, lui qui est très méfiant d’habitude, mais extrêmement compétent, il n’a rien vu venir. À ses côtés, se trouve Denise, une simple soldate possédant un fort sens de l'honneur et aucun second degré qui attend patiemment les ordres. Ils se tournent tous les deux vers moi et je leur dis :
On n’a pas le choix, il faut recruter du monde.
Et le moins que l’on puisse dire, c’est que dans ce relais de voyageur, cela ne va pas être facile. Je dois rencontrer des personnes très importantes à Taisen et il reste encore une journée de voyage. Avec seulement cinq hommes pour assurer ma sécurité, ce sera trop juste pour nous défendre en cas d’attaque et je n’ai guère envie de me suicider pour éviter d’être capturé comme me l’avait gentiment suggéré l’Empereur. Je décide donc de prendre le taureau par les cornes et je me mets debout sur une chaise en plein milieu de l’auberge, indiquant aux nombreuses personnes se trouvant là :
Je recrute des personnes sachant se battre pour nous accompagner à la ville voisine de Taisen. La paye sera bonne, mais le départ doit être fait immédiatement.
Voilà, j’espère que je vais avoir du monde et des personnes un peu compétentes. Ce serait dommage qu’ils fuient au moindre signe de danger. J’ai quand même de la chance dans mon malheur, je ne suis pas bien connu du grand public, je devrais donc pouvoir passer inaperçu.
La vie est une garce.
C’est ce que je pense quand je vois la moitié de mes hommes se tordre de douleur, vaincu par un ennemi aussi fourbe qu’insaisissable, une biche daubée du cul. Personnellement, j’en ai aussi mangé, ce qui rend la situation aussi injuste, car je n’ai absolument rien, comme l’autre moitié de mes gardes du corps d’ailleurs.
Le plus dépité dans tout cela, c’est Robert, nommé sous-officier de l'escouade, lui qui est très méfiant d’habitude, mais extrêmement compétent, il n’a rien vu venir. À ses côtés, se trouve Denise, une simple soldate possédant un fort sens de l'honneur et aucun second degré qui attend patiemment les ordres. Ils se tournent tous les deux vers moi et je leur dis :
On n’a pas le choix, il faut recruter du monde.
Et le moins que l’on puisse dire, c’est que dans ce relais de voyageur, cela ne va pas être facile. Je dois rencontrer des personnes très importantes à Taisen et il reste encore une journée de voyage. Avec seulement cinq hommes pour assurer ma sécurité, ce sera trop juste pour nous défendre en cas d’attaque et je n’ai guère envie de me suicider pour éviter d’être capturé comme me l’avait gentiment suggéré l’Empereur. Je décide donc de prendre le taureau par les cornes et je me mets debout sur une chaise en plein milieu de l’auberge, indiquant aux nombreuses personnes se trouvant là :
Je recrute des personnes sachant se battre pour nous accompagner à la ville voisine de Taisen. La paye sera bonne, mais le départ doit être fait immédiatement.
Voilà, j’espère que je vais avoir du monde et des personnes un peu compétentes. Ce serait dommage qu’ils fuient au moindre signe de danger. J’ai quand même de la chance dans mon malheur, je ne suis pas bien connu du grand public, je devrais donc pouvoir passer inaperçu.
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