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  • Ven 2 Sep - 21:40
    SSISSKA
    Race : Hybride
    Sexe : Féminin -Asexuée
    Âge : 25 ans
    Métier : Criminelle
    Taille & poids : 1m82 - 55 kgs
    Alignement : Neutre mauvais
    Faction : République
    Rang : B
    Religion : Athée
    Avatar : Vraska - MTG

    Pouvoirs et objets

    Vocation : Mage noir

    Pétrification - Palier 1 : 1000

    Contrôle mental - Palier 1 : 250

    Nyctalopie - Palier 1

    Télépathie - Palier 1

    Poison - Palier 1 & 2 & 3 (invention)
    Poison (invention):

    Immunités - Poison / Venin : 1000 (Faiblesse associée : Glace)

    Immunité de race : Douleur physique

    Faiblesse de race : Psychique

    Reste : 1750 crédits (note : en vue de création d'un pouvoir poison)

    Potions : Métamorphose et Respiration Aquatique

    Description physique et mentale


    “Le prodige et le monstre ont les mêmes racines.” (Victor Hugo)

    PHYSIQUE

    Je suis un monstre, une abomination, quelque chose qui ne devrait pas être, une erreur de la nature. Ma mère était humaine, mais elle a emporté le secret de mes origines dans la tombe en me donnant naissance. Certains ont voulu découvrir ce que j’étais mais cela a-t-il vraiment de l’importance ?
    Je suis humanoïde, deux bras, deux jambes, les attributs habituels d’une femme humaine, mais je suis aussi bien plus que cela. Ma silhouette est allongée, filiforme, d’apparence gracile et fragile. Mes formes féminines sont peu marquées.

    Ce qui est le plus frappant, ce sont mes cheveux, ou plutôt l’absence d’une chevelure normale, car sur mon crâne s’agitent des tentacules pareils a des queues de serpents et qui semblent chacun animée d’une vie propre. Viennent ensuite mes yeux, d’un jaune délavé fendu de noir et qui se parent d’or lorsque mes pouvoirs s’expriment. Mais plus dérangeant est mon absence de paupières qui fait qu’ils ne se ferment jamais et qu’il est difficile de soutenir mon regard.

    Je suis totalement dépourvue d’une quelconque pilosité. Ma peau est à moitié couverte d’écailles verdâtres et mouchetées de brun, sur mon dos, ma nuque, mes épaules, mes avant-bras, le haut de mes cuisses et mes mollets. Elle n’est pas élastique comme celle des autres races, elle est étrangement lisse ce qui fait que je mue au fur et à mesure que je grandis. Et je ne cesse jamais de grandir, bien moins vite maintenant que je suis adulte, mais je gagne toujours une paire de centimètres par an, ce qui signifie une mue qui dure plusieurs jours et durant laquelle je suis vulnérable.

    Non visible, je possède derrière mes dents du haut deux crochets à venin qui peuvent se déployer en cas de besoin pour mordre. Je suis carnivore, même si je suis capable de manger quasiment de tout si cela s’avère nécessaire. Aussi je me nourris principalement de rongeurs, de petits oiseaux, que je gobe vivant et entier. L’animal est ensuite digéré en quelques heures durant lesquels je suis moins vive et éveillée qu’à l’habitude, ce qui explique pourquoi je me nourris une seule fois par jour.  

    Mon sang est rouge, mais mon corps ne se régule pas thermiquement. Je ne sue jamais, ne tremble jamais, cependant le froid est un ennemi vicieux car il engourdit mes membres, ralentit mes fonctions vitales et je peux potentiellement en mourir.

    Enfin mes ongles sont des griffes et je vais pieds nus, incapable de porter des chaussures. Ah oui, ma langue est tout à fait normale, et pas bifides comme celle des serpents, ce qui ne m'empêche pas d'avoir une voix sifflante et inquiétante.

    CARACTERE

    Evacuez les clichés classiques de l'enfance heureuse et toutes les mièvreries associées. J'ai été plongée dès ma naissance dans un monde obscur et sans lumière, chassée pour mon apparence monstrueuse, abandonnée à mon triste sort car personne n'osait mettre fin à la vie de l'abomination que j'étais. J'ai survécu et de là est né ma résilience.

    J'ai grandi dans la boue et la crasse, me battant avec les rats pour savoir qui allait manger l'autre. Je me suis cachée comme un animal traqué, j'ai chapardé car je n'avais rien, j'ai survécu tant bien que mal à l'abri de l'ombre des ruelles sordides grâce au dégoût et à la peur que j'inspirais. Car personne ne jugeait bon de perdre son temps avec une erreur de la nature. De là sont nées mon aigreur et ma haine.

    La suite est pire encore, car des hommes ont posé le regard sur moi en y voyant un moyen de faire du profit. J'ai été exhibée, étudiée, avilie, obligée de me soumettre pour échapper aux coups, aux brimades, à la douleur. A quoi bon lutter de toute manière quand on est incapable de s'accepter soi-même, lorsque votre estime de soi, maltraitée et foulée du pied durant des années, vous fuit pour faire de vous l'esclave des pervers et des obsédés. J'étais un jouet, créature malléable et soumise, attendant son heure. J'ai appris la patience.

    Peu à peu une idée s'est fait jour dans mon esprit, l'idée que j'étais autre chose que ce que le monde avait décidé que je sois. L'idée que je puisse être maîtresse de mon destin, l'idée que je puisse décider de ce que je voulais être. Une intuition fugace qui s'est muée en volonté farouche jusqu'à ce que je prenne complètement conscience de mes capacités, jusqu'à ce que je dise non et que je déploie mes ailes pour m'élever et gagner ma liberté. Je suis alors devenue sans pitié.

    L'enfant qui voulait être humaine est morte, elle a compris qu'elle ne le serait jamais. Alors je suis devenue autre chose, mon apparence devenant une arme pour insinuer la peur dans les esprits des plus faibles, mes pouvoirs me donnant la force d'imposer mes règles jusqu'à en être inflexible.

    Je suis un monstre, une abomination, une erreur de la nature et c'est cela qui fait de moi quelque chose d'unique.

    Alors je n'ai plus à avoir peur de ce que je suis et cela doit me rendre fière.

    Histoire ou test-rp


    « L’estime de soi vient en étant capable de définir le monde dans vos propres termes et en refusant de se conformer aux jugements des autres. » (Oprah Winfrey)

    MONSTRE


    Un cri de terreur résonne dans la nuit dans la petite chambre délabrée et miteuse qui me voit naître. Et ce n’est pas parce que ma mère vient de mourir en me mettant au monde.

    La sage-femme me pose en tremblant à même le sol froid et je crie à mon tour alors que je sens l’air pénétrer dans mes poumons pour la première fois. Je crie et je pleure mais je n’ai plus de mère pour me réconforter. Les quelques personnes présentes dans la pièce se signent en reculant en voyant la créature qui s’agite sur le sol en hurlant. Un bébé, ni vraiment humain, ni vraiment animal, au corps recouvert en partie d’écailles tirant sur le vert et le brun, mais surtout à la tête ornée de queues de serpents qui s’agitent spasmodiquement en tous sens.

    Cette créature, c’est moi, fruit de l’accouplement impossible d’une femme et d’un serpent.

    PARIA


    - Hey toi rends moi çà espèce de chapardeuse.

    Je cours en tenant précieusement le morceau de pain contre mon corps frêle. Je cours, pieds nus dans la boue, couverte de guenilles dans lesquelles je flotte, n’ayant plus que la peau sur les os. Je cours et je glisse, terminant ma course folle dans le caniveau pour voir le quignon de pain disparaitre dans des excréments encore chauds. J’essaie de me relever, mais on me saisit violemment par le col pour me soulever. Je m’agite en hurlant, la cordelette de ma cape en lambeaux me cisaillant la gorge.

    - Saloperie, j’peux t’dire que tu vas m’le payer cher !

    Le marchand abaisse ma capuche et hurle de terreur, me lâchant par la même occasion.

    Je me tourne vers lui, mon regard jaune fendu de noir croisant le sien.

    Il a un mouvement de recul avant de se saisir d’une pierre et de l’envoyer dans ma direction.

    - Putain, t’es quoi toi.

    J’ai grandi, mais des écailles couvrent toujours ma peau et des tentacules étranges continuent à gigoter sur ma tête alors que je m’enfuie dans les sombres ruelles de la cité pour m’y cacher.

    BETE DE FOIRE


    - Damoiselles et damoiseaux, gentes dames et beaux messieurs, si vous êtes là c’est pour voir les plus formidables et abjectes créatures que cette terre puisse porter.

    J’attends patiemment mon tour derrière le lourd rideau rapiécé qui me fait face.

    - Vous l’attendiez, nous l’avons trouvé.

    Un roulement de tambour grotesque et le rideau se lève.

    - L’enfant serpent !

    J’avance, couverte d’une robe de bure blanche trop grande pour moi, les yeux baissés. J’entends les exclamations de dégoût qui s’élèvent dans la foule en me voyant, jusqu’à ce que des voix s’élèvent, hargneuses et accompagnées de sifflements stridents.

    - C’est du chiqué ! On n’y croit pas !

    On me force alors à avancer plus prêt, à m’agenouiller au bord de l’estrade pour que les gens puissent les toucher.

    - Vous n’y croyez pas ? Alors venez vérifier par vous-même !

    Alors ils me touchent, avec crainte et répugnance au début, tout en gloussant de dégoût avant que les plus hardis n’exultent en saisissant mes tentacules à pleines mains pour tirer vicieusement dessus. Ça fait mal, alors je pleure en retenant un cri, mais personne ne s’en soucie.

    La seule chose qui les intéresse ce sont les tentacules-serpents qui s’agitent sur ma tête et mon dos couvert d’écailles…

    COBAYE


    - Messieurs s’il vous plait un peu de silence !

    Le brouhaha qui avait empli la pièce se calme peu à peu.

    - Nous ne sommes pas ici pour débattre de la pertinence de laisser cette… créature vivre ou non. Si elle est ici devant nous à présent c’est par la volonté des divins qui nous l’ont confié, à nous, hommes de science pour que nous puissions l’étudier.

    J’entends des murmures d’acquiescement qui parcourent la salle.

    - Il apparait de nos premières études qu’elle possède les quatre humeurs de tout être normalement constitué.

    De nouveaux des murmures.

    - Son sang est rouge, mais…

    Le silence se fait en attente de la suite.

    - …plus épais et plus sombre que le nôtre. Mais le plus surprenant est le déséquilibre flagrant en faveur de la bile noire que nous n’avions jamais vu auparavant ce qui explique que cette créature communique très peu et est en proie à une profonde mélancolie. Quant à ses caractéristiques reptiliennes, l’accouplement entre une humaine et un serpent est exclus, ce qui implique que la mère a surement été victime d’une affliction qui a empoisonné son sang. D’ailleurs…

    On me force à ouvrir la bouche alors que je tente de me débattre vainement avant d’y glisser une sorte d’éponge répugnante.  Je referme mes crocs dessus, le regard embué de larmes alors que tout le monde m’observe avec attention.

    - S’il te plait petite, montre donc à nos amis ce que tu peux faire pour le bien de la science.

    Je respire difficilement, les queues de serpents sur ma tête s’agitant frénétiquement.

    Soudain je gémis en serrant les dents alors que l’on vient de me frapper vicieusement avec un bâton dans le bas du dos. Je sens que l’homme s’impatiente et un nouveau coup me fait pleurer de douleur. Alors je fais ce qu’il souhaite.

    J’ouvre enfin la bouche, haletante et gémissante. Puis il brandit l’éponge pour la presser et récolter un liquide jaunâtre dans un petit récipient.
    Le venin à l’origine de sa nature est encore présent dans son corps.

    Le professeur approche d’une cage dans laquelle s’agitent deux souris assoiffées. Il verse le liquide dans un tube qui conduit à un minuscule abreuvoir sur lequel se précipite les pauvres rongeurs. Quelques minutes après elles agonisent, s’étouffant dans leur propre sang sous les exclamations des personnes présentes.

    - Mais j’imagine que vous vous posez comme moi une question cruciale concernant cet être contre-nature.

    De nouveau le silence avant qu’il ne déclame.

    - Est-elle capable de se reproduire ?

    Attention - 18+:

    REBELLE


    - NON !

    Je hurle mon refus comme s’il s’agissait de mon premier mot.

    Brusquement mes yeux se parent d’or et l’homme en face de moi, surpris par cette réaction imprévue d’une créature censée être soumise et obéissante. Et l’impensable se produit, il se fige, sa peau durcit presqu’instantanément me laissant face à… une statue de pierre.

    Je recule paniquée, ramenant mes bras nus contre ma poitrine, sans vraiment comprendre ce qui vient de se passer. Je répète comme une litanie ce même mot, « non », « non », « non », un mot que j’ai répété tant de fois en silence sans oser le laisser s’échapper d’entre mes lèvres. Car j’étais esclave, esclave de ceux qui m’ont exploitée depuis tant d’année, se servant de ma détresse et de mon mal-être pour faire de moi leur chose.

    Je tombe à genoux sur le sol, mon corps secoué de spasmes, alors que je griffe le parquet avec force, comme si je luttais contre une puissance invisible. Toute ma vie je me suis tue, toute ma vie on s’est servie de moi car je ne savais pas dire non, car on ne me laissait pas dire non.

    Je lève les yeux vers l’homme figé dans la pierre.

    Mais maintenant je sais que j’ai la force de prononcer ce mot.

    Non.

    PRÉDATRICE


    La porte s’ouvre et trois hommes entravés sont poussés sans ménagements dans la pièce souterraine.

    Je me lève déployant ma haute silhouette filiforme. Mes tentacules semblables à des queues de serpents s’agitent sur ma tête comme animés d’une vie propre. Je m’approche lentement, d’une démarche étrangement ondulante et mon regard jaune fendu de noir se pose sur chacun d’entre eux.

    Je ne suis plus la créature apeurée et faible que j’ai été durant tant d’années. Car j’ai pris conscience de mon pouvoir, des dons que ma nature improbable me confère et qui font de moi quelque chose d’unique. J’étais proie, jusqu’au jour où je me suis libérée des murs que j’avais moi-même érigé autour de moi pour devenir prédatrice.

    Ils ont peur, je le vois dans leurs yeux. Ils ont peur car je suis effrayante, une monstruosité, une abomination contre nature, une chose qui ne devrait pas être. J’ai mis du temps à me rendre compte du pouvoir que mon apparence même pouvait avoir sur les esprits les plus faibles et superstitieux. Quant aux plus récalcitrants, il me suffisait de les plier à la force de ma volonté.

    Ils baissent le regard, incapables de soutenir le mien dénué de paupières ce qui fait que mes yeux ne se ferment jamais. Encore une particularité physique hérité des serpents qui me rend encore plus anormale. Ma voix est sifflante et basse alors que je m’adresse à eux.

    - Ainsssi vous ne sssaviez pas que vous étiez sssur mon territoire.

    Un claquement de langue sec alors que je prends le menton d’un des hommes entre mes griffes pour croiser son regard.

    - On m’a dit un jour que l’ignoranssse menait à la mort.

    Les tentacules sur mon crâne s’agitent et viennent caresser le visage de l’homme qui ouvre la bouche pour hurler de terreur. Mais mes yeux se parent soudain d’or et son cri reste bloqué dans sa gorge alors qu’il se transforme instantanément en statue de pierre. Les autres, eux, ne sont pas pétrifiés, et leurs supplications sont une douce mélodie à mes oreilles tandis que je me tourne vers eux.

    - Je n’ai besoin que d’un unique messsssager. Et vous êtes deux.

    Un sourire malsain étire mes lèvres fines.

    - Alors vous allez vous battre à mort jusqu’à ssse qu’il n’en reste qu’un…

    GORGONE


    Après la révélation du choc vient l’acceptation avant que l’on se pose la vraie question. Quelle est ma destinée ?

    J’ai constitué un royaume de l’ombre, patiemment, en me reposant sur tous les oubliés, cette masse grouillante des invisibles, ces orphelins des rues, ces mendiants misérables et tous ces désœuvrés sur lesquels la société pose un voile pudique pour ne pas avoir à s’en soucier. Des inutiles qui ont pourtant des yeux et des oreilles, mes petits moineaux qui viennent me chuchoter d’inavouables secrets.

    Je me sers d’eux, j’exploite leur détresse comme on a exploité la mienne. Mais en retour je leur offre de quoi survivre, de l’affection, une forme d’amour dont tout le monde à besoin. Et ils me servent, main d’œuvre docile et corvéable à merci au service de mes ambitions nihilistes.

    Grâce à eux je me suis imposée dans le milieu de la pègre. Le dégoût a fait place au respect, l’indifférence à la crainte, l’insouciance à la terreur sourde de l’ombre qui s’étend sur Liberty. Mon ombre, et un nom est apparu, chuchoté, un nom que l’on prononce en jetant un regard par-dessus son épaule au cas où.

    GORGONE


    Groupes d'intérêts


    La Pègre : Ssisska est une figure de l'ombre de la pègre, connue dans le milieu sous le nom de Gorgone. Elle a réussi à réunir autour d'elle un groupe de démunis et de désœuvrés dont personne ne se soucie vraiment et qu'il l'aide à étendre peu à peu son influence dans le milieu.

    derrière l'écran

    Pseudo : C'est de nouveau Soléa
    Comment avez-vous connu le forum ? Déjà là...
    Avis sur le forum : Trop chouette !
    Fréquence de connexion : Régulière
    Invité
    Invité
    Anonymous
  • Sam 3 Sep - 19:35
    Voilà j'ai fini ma fiche !

    Bonne lecture !
    Citoyen du monde
    Citoyen du monde
    Seagan
    Seagan
    Messages : 241
    crédits : 1037

    Info personnage
    Race: Lumina
    Vocation: Mage - Soutien
    Alignement: Neutre bon
    Rang: D
    qui suis-je ?:
    https://www.rp-cendres.com/t119-seagan-le-monarque-dechu-terminehttps://www.rp-cendres.com/t247-seagan-le-monarque-dechu
  • Dim 4 Sep - 10:36
    Coucou, je viens de lire ta fiche et pour être honnête, c'était là une très bonne fiche. J'ai presque eu la larme lors de l'explication de ton passé. J'avais envie que d'une chose, c'est qu'elle se rebelle. Bravo.

    Bon jeu parmi nous.

    Validé


    L'amour est éternel.
    La mort
    est une porte séparant le Royaume des Gardiens,
    à celui de nos Titans, le Sekai.
    Puisse l'amour en notre foi guider notre peuple
    dans le chemin de l'absolution de nos péchés.

    Ainsi soit-il.
    Permission de ce forum:

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