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Konrad Lightborn
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J’étais sur le point d’abandonner quand je me sentis happée par le bras ; heureusement Gerda manifesta sa voix, ce qui me fit comprendre que c’était elle qui m’emportait, sinon j’aurais eu peur.
Maiiiiiis ! Fis-je. Qu’est-ce qui s’passe Gerda ?
Pour toute réponse elle fourra dans ma main une potion et me dit de la boire. C’était une des miennes, une anti-gueule de bois. J’avais conçu ces potions pour enlever tous le effets de l’alcool, mais après une nuit de sommeil. Je l’engloutissait tout de même et je me sentais un peu mieux.
La naine ne m’aida pas à monter les marches et je dus me concentrer pour la suivre sans tomber. Une fois sur l’estrade je me mis à l’imiter, ne sachant pourquoi j’étais là. Avait-on gagné le concours de la meilleure bière ? C’était trop improbable !
Puis j’entendis la voix de Tagar scander nos noms ainsi que celui de la bleuette… avant de réclamer un discours ; et tout le monde l’imita. Un jour tu paieras Tagar ; pour tout ce que tu m’as fait, tu paieras.
Gerda n’avait pas l’air de trouver les mots et me regardait. Heureusement, c’était mon métier que de manipuler les mots, je pris donc une grande inspiration et me lançai :
—merci ! Merci !
Les gens se turent pour me laisser parler.
—Chers compatriotes, Merci du fond du coeur ! C’est avec passion et ferveur que nous avions mis au point la Bleuette et nous en avons toujours été très fières ! Mais aujourd’hui nous nous tenons sur cette estrade parce que vous nous y avez mises et nous vous en remercions tous très chaleureusement ! Merci encore et que la fête continue !
Je décidai de ne pas tenter les titans et de m’arrêter ainsi. C’était court mais ça devrait faire l’affaire. Mais j’espérais tout de même, étant encore à moitié bourrée, que j’avais effectivement dit ce que je croyais avoir dit et que je n’avais pas parue trop bourrée.
Résumé :
Je laisse @Gerda, @Rachelle Virsce ou @Thylie Wildfire décider si Marceline a réellement dit et fait ce qu’elle croit. Les autres j'ai pas confiance.
Marceline suit Gerda, boit une potion anti-gueule de bois que Gerda lui a donné, monte sur l’estrade et fait un discours.
Maiiiiiis ! Fis-je. Qu’est-ce qui s’passe Gerda ?
Pour toute réponse elle fourra dans ma main une potion et me dit de la boire. C’était une des miennes, une anti-gueule de bois. J’avais conçu ces potions pour enlever tous le effets de l’alcool, mais après une nuit de sommeil. Je l’engloutissait tout de même et je me sentais un peu mieux.
La naine ne m’aida pas à monter les marches et je dus me concentrer pour la suivre sans tomber. Une fois sur l’estrade je me mis à l’imiter, ne sachant pourquoi j’étais là. Avait-on gagné le concours de la meilleure bière ? C’était trop improbable !
Puis j’entendis la voix de Tagar scander nos noms ainsi que celui de la bleuette… avant de réclamer un discours ; et tout le monde l’imita. Un jour tu paieras Tagar ; pour tout ce que tu m’as fait, tu paieras.
Gerda n’avait pas l’air de trouver les mots et me regardait. Heureusement, c’était mon métier que de manipuler les mots, je pris donc une grande inspiration et me lançai :
—merci ! Merci !
Les gens se turent pour me laisser parler.
—Chers compatriotes, Merci du fond du coeur ! C’est avec passion et ferveur que nous avions mis au point la Bleuette et nous en avons toujours été très fières ! Mais aujourd’hui nous nous tenons sur cette estrade parce que vous nous y avez mises et nous vous en remercions tous très chaleureusement ! Merci encore et que la fête continue !
Je décidai de ne pas tenter les titans et de m’arrêter ainsi. C’était court mais ça devrait faire l’affaire. Mais j’espérais tout de même, étant encore à moitié bourrée, que j’avais effectivement dit ce que je croyais avoir dit et que je n’avais pas parue trop bourrée.
Résumé :
Je laisse @Gerda, @Rachelle Virsce ou @Thylie Wildfire décider si Marceline a réellement dit et fait ce qu’elle croit. Les autres j'ai pas confiance.
Marceline suit Gerda, boit une potion anti-gueule de bois que Gerda lui a donné, monte sur l’estrade et fait un discours.
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Tagar excite la foule qui reprend bien vite la demande de faire un discours. Il fallait s'y attendre ! Le moins qu'on puisse dire c'est que pour une fille à moitié pompette , Marceline assure. Sa prise de parole est à peu près claire, pas trop long. Ca se voit qu'elle est moitié pétée, elle a l'oeil qui brille et le sourire jusqu'aux oreilles. Face à un conseil de nobles ca aurait fait tâche mais ici face à la belle assemblée de soiffards, je l'estime parfait ! Il ne manque qu'une chose c'est une conclusion que je me hâte d'apporter.
- Merci d'avoir aimé notre bière ! Les discours longs sont casse pieds alors j'ai qu'une chose à dire en conclusion : La tournée est pour nous ! Venez emplir vos choppes !
Déclaration qui évidemment est accueillie par des vivats enthousiastes de la part des soiffards. Ca déclenche un vent de panique à notre comptoir alors qu'une marée d'assoiffés viennent se jeter par vagues pressantes devant l'étal. Il faut qu'on y retourne vite ! Le temps de serrer la main aux organisateurs, faire quelques signes joyeux au public et lancer à Marceline alors qu'on redescend.
- T'as assuré partenaire !
Je gratifie l'elfe d'un hug joyeux et spontané avant de me diriger vers les marches pour descendre.
- Je vais en renfort de nos troupes sinon ca va être la débâcle.
Même en ayant prévu du monde pour tenir les rangs, la déclaration de la tournée générale va faire des dégâts. Faut aller aider ! (Et même si la bière sera offerte, ce sera l'occasion de parler des potions défrisantes et de faire la réclame des choppes enchantées. Je descend de l'estrade, essaye de me frayer un chemin jusqu'à mon étal tout en répondant d'un sourire ou de quelques mots aux gens qui nous témoigneraient leur amitié et leurs félicitations en chemin.
Résumé :
Après le discours Good Enough de la Marceline pompette, Gerda choisit de ne pas s'attarder à faire un grand discours et annonce plutôt une tournée pour elles ! Ce qui créée un instant de panique derrière le comptoir Grisepierre alors qu'une armée de soiffards le prend soudainement d'assaut. Gerda félicite Marceline et essaye ensuite de se frayer un chemin dans la foule pour aller aider leurs troupes !
- Merci d'avoir aimé notre bière ! Les discours longs sont casse pieds alors j'ai qu'une chose à dire en conclusion : La tournée est pour nous ! Venez emplir vos choppes !
Déclaration qui évidemment est accueillie par des vivats enthousiastes de la part des soiffards. Ca déclenche un vent de panique à notre comptoir alors qu'une marée d'assoiffés viennent se jeter par vagues pressantes devant l'étal. Il faut qu'on y retourne vite ! Le temps de serrer la main aux organisateurs, faire quelques signes joyeux au public et lancer à Marceline alors qu'on redescend.
- T'as assuré partenaire !
Je gratifie l'elfe d'un hug joyeux et spontané avant de me diriger vers les marches pour descendre.
- Je vais en renfort de nos troupes sinon ca va être la débâcle.
Même en ayant prévu du monde pour tenir les rangs, la déclaration de la tournée générale va faire des dégâts. Faut aller aider ! (Et même si la bière sera offerte, ce sera l'occasion de parler des potions défrisantes et de faire la réclame des choppes enchantées. Je descend de l'estrade, essaye de me frayer un chemin jusqu'à mon étal tout en répondant d'un sourire ou de quelques mots aux gens qui nous témoigneraient leur amitié et leurs félicitations en chemin.
Résumé :
Après le discours Good Enough de la Marceline pompette, Gerda choisit de ne pas s'attarder à faire un grand discours et annonce plutôt une tournée pour elles ! Ce qui créée un instant de panique derrière le comptoir Grisepierre alors qu'une armée de soiffards le prend soudainement d'assaut. Gerda félicite Marceline et essaye ensuite de se frayer un chemin dans la foule pour aller aider leurs troupes !
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Rachelle Virsce
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Info personnage
Race: Hybride - Souris
Vocation: Guerrier Assassin
Alignement: Loyal bon
Rang: C
[F-Event] Festival de la
bière naine
bière naine
—Les règles sont suffisamment simples, répondit l’hybride à l’elfe qui venait de les énoncer. Au moins, je suis certaine de ne pas m’y perdre.
Ainsi, elle commença à boire tout ce que Marceline lui tendait. Tout d’abord pleine d’entrain et de confiance en elle puis peu à peu avec plus de difficulté. La souris n’avait pas réellement la carrure ni l’entraînement pour tenir l’alcool et ce n’était que grâce à son sa rigueur et son envie jubilatoire de l’emporter par esprit de compétition, qu’elle parvenait à tenir assise. Son ouïe commençait à se brouiller et elle avait du mal à se repérer. Etait-elle toujours attablée avec sa muse ?
Sous le coup de l’alcool, elle montra légèrement les crocs lorsque Gerda récupéra Marceline d’un coup en s’excusant. La souris qui était enivrée par le trop plein de bleuette semblait traiter les informations avec un temps de retard. Elle ne comprit pas tout de suite qui ni pourquoi l’on venait de lui prendre sa protégée.
Cela aurait pu avoir l’air menaçant si elle ne ressemblait pas à une souris duveteuse et si elle n’avait pas grogné en direction du vide, pensant que la naine s’y trouvait.
Elle tenta de se relever, mais comprenant qu’il s’agissait là d’une très mauvaise idée si elle souhaitait garder le contenant de ses intestins en place, décida de se rassoir. Et enfin, la souris eut l’épiphanie qu’il lui manquait pour comprendre ce qu’il venait de se passer.
Comprenant que son amie sortait triomphante du concours et que le contrôleur impérial réclamait un discours, elle éclata d’un rire cristallin. Sous l’emprise de la boisson, la souris s’en retrouvait bien moins coincée et sérieuse qu’à l’accoutumée.
—Oh oui ! Un discours ! Un discours !
Elle commença à applaudir avec entrain. S’arrêtant seulement pour écouter les dires de Gerda et Marceline dont elle eut du mal à en comprendre le fond à cause de son euphorie. Elle en retenait juste un côté positif.
Puis lentement, elle se leva. Elle priera plus tard de pouvoir contrôler le temps pour empêcher ce qu’elle était sur le point de faire.
—Tu gères Marceline ! s’écria-t-elle comme une groupie adolescente, sautillant sur elle-même. C’est mon amante en plus ! On va se marier ! N’est-elle pas parfaite !?
Pour ne rien arranger, elle tituba vers l’avant pour s’écrouler contre une autre table. Renversant sa choppe. Ses pensées se mélangeaient au sein de son esprit alcoolisé.
—Longue vie au Reike et à la bleuette ! Je veux un bisou !
Oh comme elle allait s’en vouloir d’avoir accepté ce petit jeu de boisson. Sans doute s’enterrerait-elle au plus profond du désert le temps de se faire oublier après ça.
- Résumé:
- —Après avoir bien trop bu pour la petite souris qu'elle est, Rachelle part en roue libre pour la première fois de sa vie. Annonçant son futur mariage avec Marceline.
CENDRES
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À la fin de mon discours, Gerda décida qu’il fallait rajouter quelque chose. Sans doute voulait-elle s’inclure dans l’engouement général pour ne pas être délaissée, et que sa part du travail soit reconnu. Quoi qu’il en soit elle ajouta qu’on offrait une tournée générale ?! Mais ! C’était approprié mais n’étais-ce pas excessif ?
Je ne pus protester, l’annonce avait été faite.
Alors que ma partenaire me félicitait pour avoir « assuré »,j’entendis une voix que je connaissais très bien s’exciter plus que les autres. Nous devions effectivement vite rejoindre notre stand pour servir tout le monde, mais je devais encore plus vite rejoindre ma bien-aimée qui scandait qu’on allait se marier. J’avais déjà chaud aux joues, mais je sentis une nouvelle vague de chaleur les parcourir. Bon d’accord, elle voulait se marier, et moi aussi, mais j’aurais voulu une demande romantique ou j’sais pas ou un truc du genre ou autre chose ! Et surtout pas une déclaration criée, complètement bourrée, devant tout le monde ! Et voilà qu’elle voulait un bisou. Je me dépêche de la rejoindre et qui je trouve en train de la relever et de la féliciter pour son mariage ? Tagar. La source de tous mes malheurs. Enfin pas tout à fait mais c’était tout comme. Plus tout à fait maîtresse de moi-même je vis rouge.
—Hey ! Bat-les pattes, toi ! C’est ma copine ! Lui criai-je presque en arrivant.
Puis je me rendis compte qu’il était contrôleur royal et que mal lui parler pouvait m’attirer des ennuis, même si je n’avait rien à me reprocher.
—Euh, pardon, monsieur ; je veux dire, merci de votre aide, mais je vous donnez pas cette peine, je m’occupe d’elle.
Je me gardais bien de lui dire que nous n’étions pas fiancées, ça ne ferait qu’empirer les choses. Je pris mon amante qui essayait de m’embrasser par le bras et l’emmenai derrière le stand de la Bleuette où s’affairaient Gerda et les employés ; laissant le contrôleur derrière moi. Rachelle tenait à peine debout et avait une main sur le ventre, probablement sur le point de rejeter toute la Bleuette qu’elle avait bu. Je me dépêchai donc de lui enfourner une potion anti-gueule de bois dans le museau en lui disant :
—toi et moi, on va avoir une discussion sérieuse tout à l’heure.
Encore à moitié bourrée j’eus du mal à servir les clients qui se bousculaient pour avoir leur dose de Bleuette. Tous ces évènements commençaient à me taper sur le système.
Je ne pus protester, l’annonce avait été faite.
Alors que ma partenaire me félicitait pour avoir « assuré »,j’entendis une voix que je connaissais très bien s’exciter plus que les autres. Nous devions effectivement vite rejoindre notre stand pour servir tout le monde, mais je devais encore plus vite rejoindre ma bien-aimée qui scandait qu’on allait se marier. J’avais déjà chaud aux joues, mais je sentis une nouvelle vague de chaleur les parcourir. Bon d’accord, elle voulait se marier, et moi aussi, mais j’aurais voulu une demande romantique ou j’sais pas ou un truc du genre ou autre chose ! Et surtout pas une déclaration criée, complètement bourrée, devant tout le monde ! Et voilà qu’elle voulait un bisou. Je me dépêche de la rejoindre et qui je trouve en train de la relever et de la féliciter pour son mariage ? Tagar. La source de tous mes malheurs. Enfin pas tout à fait mais c’était tout comme. Plus tout à fait maîtresse de moi-même je vis rouge.
—Hey ! Bat-les pattes, toi ! C’est ma copine ! Lui criai-je presque en arrivant.
Puis je me rendis compte qu’il était contrôleur royal et que mal lui parler pouvait m’attirer des ennuis, même si je n’avait rien à me reprocher.
—Euh, pardon, monsieur ; je veux dire, merci de votre aide, mais je vous donnez pas cette peine, je m’occupe d’elle.
Je me gardais bien de lui dire que nous n’étions pas fiancées, ça ne ferait qu’empirer les choses. Je pris mon amante qui essayait de m’embrasser par le bras et l’emmenai derrière le stand de la Bleuette où s’affairaient Gerda et les employés ; laissant le contrôleur derrière moi. Rachelle tenait à peine debout et avait une main sur le ventre, probablement sur le point de rejeter toute la Bleuette qu’elle avait bu. Je me dépêchai donc de lui enfourner une potion anti-gueule de bois dans le museau en lui disant :
—toi et moi, on va avoir une discussion sérieuse tout à l’heure.
Encore à moitié bourrée j’eus du mal à servir les clients qui se bousculaient pour avoir leur dose de Bleuette. Tous ces évènements commençaient à me taper sur le système.
- résumé:
- Marceline se dépêche de rejoindre une Rachelle complètement bourrée pour éviter qu’elle ne fasse plus de bêtises qu’elle n’en a déjà fait. Après avoir un peu mal parlé à Tagar et s’être excusée, elle entraîne Rachelle derrière le stand de la Bleuette et lui fait boire une potion anti-gueule de bois. Puis, elle s’affaire à servir les clients.
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Beaucoup de choses se passent simultanément. Entre la ruée des soiffards et l'assaut de gens qui viennent nous témoigner leur sympathie, je n'ai pas trop de mes deux mains et de ma petite cervelle agitée. Et pourtant, je parviens à capter au milieu de ce brouhaha une information de toute première importance.
- Vous allez vous marier ?!
Je suis à la fois stupéfaite et ravie. Ravie évidement parce que c'est Marceline, tout ce qui lui arrivera de bien me fera plaisir. (Reste à déterminer si le mariage est considéré comme un "bien". A entendre certains couples ce n'est pas si sûr). Mais surtout stupéfaite parce que je m'y attendais pas du tout ! Je tombe des nues. Déjà je pensais que la culture Reikoise désapprouvait les unions entre personnes du même sexe et que donc ce genre d'annonce se serait faite plus discrètement. Mais surtout : comment ca se fait qu'elles ne m'aient pas demandé de faire les alliances ? Marceline ne m'aurait pas fait confiance pour tenir le secret ? J'aurais été muette comme une tombe pourtant !
- C'est trop bien félicitations ! Il FAUT que je vous fasse vos alliances.
Si on avait pas été en pleine tournée générale, j'aurais immédiatement tout lâché pour gratifier les deux femmes d'un hug chaleureux. C'est peut être aussi bien que je me garde de faire ça car visiblement l'annonce n'est pas du goût de Marceline et entraine sa souricette un peu à l'écart pour lui causer. Oh oh ? Ca sent déjà le remontage de bretelles ?
Résumé
C'est la panique au comptoir après l'annonce de la tournée générale. Pourtant, l'annonce de Rachelle ne passe pas inaperçue ! Surprise mais ravie par la déclaration, Gerda les félicite.
- Vous allez vous marier ?!
Je suis à la fois stupéfaite et ravie. Ravie évidement parce que c'est Marceline, tout ce qui lui arrivera de bien me fera plaisir. (Reste à déterminer si le mariage est considéré comme un "bien". A entendre certains couples ce n'est pas si sûr). Mais surtout stupéfaite parce que je m'y attendais pas du tout ! Je tombe des nues. Déjà je pensais que la culture Reikoise désapprouvait les unions entre personnes du même sexe et que donc ce genre d'annonce se serait faite plus discrètement. Mais surtout : comment ca se fait qu'elles ne m'aient pas demandé de faire les alliances ? Marceline ne m'aurait pas fait confiance pour tenir le secret ? J'aurais été muette comme une tombe pourtant !
- C'est trop bien félicitations ! Il FAUT que je vous fasse vos alliances.
Si on avait pas été en pleine tournée générale, j'aurais immédiatement tout lâché pour gratifier les deux femmes d'un hug chaleureux. C'est peut être aussi bien que je me garde de faire ça car visiblement l'annonce n'est pas du goût de Marceline et entraine sa souricette un peu à l'écart pour lui causer. Oh oh ? Ca sent déjà le remontage de bretelles ?
Résumé
C'est la panique au comptoir après l'annonce de la tournée générale. Pourtant, l'annonce de Rachelle ne passe pas inaperçue ! Surprise mais ravie par la déclaration, Gerda les félicite.
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Rachelle Virsce
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Super titre du RP
La souris put comprendre vaguement ce qu’il se passait autour d’elle. Elle sentit l’aide de quelqu’un qui tenta tout d’abord de la relever. Mais même dans son état, elle comprit qu’il ne s’agissait point de sa muse. Paniquée à l’idée de ne pas avoir connaissance de qui l’aidait, elle commença à paniquer légèrement.
Cette panique ne fût que de courte durée, car bien vite, l’elfe sembla arriver au pas de course en s’époumonant.
Se retrouvant dans les bras de la cornue à la peau d’ébène, l’hybride se mit à rire d’un ton un peu béta.
—Marceline, mon héroïne.
A ton contact mon cœur tremble sous ma poitrine.
Pour toi, je suis prête à combattre la ruine.
Malheureusement, à la vue de son état, il ne fallait pas attendre énormément des rimes de la souris qui peinait à trouver les mots.
A la place, elle tenta de chercher les lèvres de son amantes à plusieurs reprises sans forcément les trouver. Finissant sa course dans le cou de sa bien aimée, à bout de force.
Puis d’un coup, l’elfe lui fit boire de force une substance inconnue. Et bien vite, la souris pu penser plus clairement. Une zone de brouillard continuait de planer sur son esprit, mais au moins elle semblait de nouveau capable d’entendre sans le bourdonnement incessant. Et rapidement, elle se rendit compte de ce qu’elle venait de faire.
—Je t’en prie, commença-t-elle à dire d’une faible voix. Dis moi que je rêve. Je… je ne me suis pas mis en scène de la sorte ?
La voix de Gerda lui vint aux oreilles, lui apprenant qu’elle se portait volontaire pour faire les alliances et ne sachant quoi répondre, la souris baissa son chapeau sur le visage sans le moindre mot. Oh comme elle avait envie de creuser un trou dans le sable pour s’y réfugier jusqu’à l’année prochaine.
—Je veux disparaître… se plaignit-elle finalement dans un murmure. J’ai du être si ridicule. Je ne pensais pas que l’alcool avait un effet si puissant sur l’organisme.
Elle se tut finalement, pensive. Puis, après avoir réfléchi, elle se leva finalement pour prendre la main de Marceline. Il y avait plus important que la honte. Ses sentiments étaient plus forts qu'une petite gêne.
—Cela dit, continua-t-elle. Je ne mentais pas. Et je compte assumer chacun de mes mots. Dans quelques jours, alors que la pleine lune sera haute dans le ciel, retrouvons nous à la sortie sud de la ville. J’aurai quelque chose à te montrer. Et je te ferais ma demande de manière plus officielle. Je n’ai pas honte de te vouloir mienne, j’assume mes dires. Tu m’es importante. Pour notre jeu, nous n’avons qu’à dire que tu en sors victorieuse, contrairement à moi, tu n’as pas fait de bêtises.
Elle serra alors fermement Marceline dans ses bras.
—J'espère pouvoir aider à distribuer l’alcool, dites moi juste ce que j’ai à faire. Tant que je n’ai pas à marcher avec des chopes en main, ça devrait le faire.
Puis finalement elle tourna la tête vers Gerda.
—Dame Gerda. Ce serait un honneur qu’une amie de Marceline se charge de la confection des alliances. Je vous propose d’en reparler lorsque j’aurai fait une demande plus officielle et que l’alcool n’aura plus d’emprise sur moi. Bien que cette potion m’a déjà bien aidé.
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Rachelle reprit quelque peu ses esprits et commença à se lamenter sur ses propres actions. Je la laissai donc et me mis à servir les boissons aux soiffards qui s’accumulaient devant notre stand. Je n’avais qu’à l’écouter ; elle saurait se relever de cette honte qui la rongeait en cet instant et se faire pardonner par elle-même.
- Vous allez vous marier ?! Demanda Gerda, tout sourire.
Évidemment, Gerda et probablement d’autres, comme Tagar, avaient entendu ce qu’avait dit Rachelle. Il faudrait que je gère les choses diplomatiquement pour pas que l’on sache que nous n’étions pas fiancées et pour éviter d’autres fâcheuses conséquences. J’aurais dû capituler plus tôt dans notre stupide concours. Gerda se proposa de faire nos alliances et sachant que Rachelle n’avait pas fini sa rédemption, je ne dis rien. Celle-ci finit par attraper ma main, m’arrêtant dans mes actions. Je l’écoutais attentivement et fut contente que, honteuse, elle ne parle pas assez fort pour que d’autres que moi et Gerda n’entende. À ses dires je me radoucit. Sa rédemption était acceptable. Je la laissai me prendre dans ses bras et lui souffla :
—Je n’aurais jamais honte de toi. Je ne serais jamais fâchée contre toi. Je te le promet.
Elle se proposa ensuite d’aider à distribuer l’alcool et accepta la proposition de Gerda de fabriquer les alliances, Sans parler trop fort encore une fois et j’en fus contente. Je la guidait ensuite vars les fûts pour qu’elle puisse nous aider :
—Les tonneaux sont là, je te laisse te débrouiller pour le reste. Fais attention tout de même.
- Vous allez vous marier ?! Demanda Gerda, tout sourire.
Évidemment, Gerda et probablement d’autres, comme Tagar, avaient entendu ce qu’avait dit Rachelle. Il faudrait que je gère les choses diplomatiquement pour pas que l’on sache que nous n’étions pas fiancées et pour éviter d’autres fâcheuses conséquences. J’aurais dû capituler plus tôt dans notre stupide concours. Gerda se proposa de faire nos alliances et sachant que Rachelle n’avait pas fini sa rédemption, je ne dis rien. Celle-ci finit par attraper ma main, m’arrêtant dans mes actions. Je l’écoutais attentivement et fut contente que, honteuse, elle ne parle pas assez fort pour que d’autres que moi et Gerda n’entende. À ses dires je me radoucit. Sa rédemption était acceptable. Je la laissai me prendre dans ses bras et lui souffla :
—Je n’aurais jamais honte de toi. Je ne serais jamais fâchée contre toi. Je te le promet.
Elle se proposa ensuite d’aider à distribuer l’alcool et accepta la proposition de Gerda de fabriquer les alliances, Sans parler trop fort encore une fois et j’en fus contente. Je la guidait ensuite vars les fûts pour qu’elle puisse nous aider :
—Les tonneaux sont là, je te laisse te débrouiller pour le reste. Fais attention tout de même.
- résumé:
- Marceline écoute ce qu’a à dire Rachelle en distribuant la boisson.
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Le festival de la bière naine
Feat les fêtards du Sekai
➤ FLASH-EVENT
Il est actuellement 15 h
Début de la grande parade divertissante !
Début de la grande parade divertissante !
Tandis que les activités du Festival continuent de bon train, la sécurité de l'événement met en place plusieurs barrières afin que les participants de la parade puissent passer en toute quiétude.
Une rumeur circule disant que le couple royal serait de la partie. Info ou intox ?
Il semblerait également que l'illustre chanteur, Roméo Trobo, ait fait son entrée au sein du site et qu'il se préparerait pour son spectacle, mais il s'agit d'une information difficile à confirmer pour les simples festivaliers !
Les premiers chars sont attendus d'une minute à l'autre !
Carte de la parade (du grand art !) :
[HRP : Si votre personnage souhaite parader d'une façon ou d'une autre devant tout le monde, vous pouvez m'en informer en mp sur discord ]
- À lire - Les règles de participation:
- Hola !
Il s'agit d'un flash-event pas trop sérieux x) Le but est de jouer vos personnages en mode fête et il n'y a aucune avancée scénaristique majeure de prévue.
Pour s'y retrouver, voici quelques règles :
- Aucune inscription ni d'exigence de participation. Vous pouvez venir à l'event et quitter quand ça vous chante.
- Il n'y a pas d'ordre dans les tours et vous pouvez poster quand ça vous dit. Il n'y a pas besoin d'attendre l'intervention du MJ entre vos posts.
Veuillez cependant éviter les doubles posts.
- Le Maître du jeu dictera les heures et les activités du planning, mais pour le reste vous êtes assez libres d'interprétation.
- Vous pouvez jouer un visiteur, un commerçant ou un garde s'occupant de la sécurité des lieux !
- Nous vous prions de faire des posts plutôt concis et de résumé vos actions à la fin de vos messages.
- Le nombre de participants est illimité. Tout le monde peut rejoindre ce topic si c'est cohérent avec le personnage.
- Durée de l'événement : une semaine irl.
Enjoy !
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Je remplis des godets. J'ouvre des tonneaux. Je salue des gens. Je fais parfois la réclame de nos potions anti-gueule de bois ou nos de choppes enchantées et récolte l'argent tendu. La force de l'habitude fait que rien de tout ca ne me demande grande attention. Je parviens donc à parfaitement suivre ce qui se passe non loin de moi. Même si je feins l'indifférence, l'amatrice de beaux potins que je suis se réjouit intérieurement d'assister à ces évènements. Ce n'est que lorsque la souris dégrisée s'adresse directement à moi que je me sens en droit de réagir.
Je ne peux évidemment pas m'empêcher d'avoir un infime tic au coin des lèvres quand Rachelle m'appelle "Dame". Avec ce "dame" vient inévitablement une vague de questions que je n'aime pas me poser. Est-ce que je commence déjà à paraitre vieille ? Est-ce que ma brève période de jeunesse est déjà sur son déclin ? Je sais qu'elle ne durera pas longtemps ... surtout quand je la compare avec l'incroyable longévité et l'"éternelle beauté des amies elfes à côté de qui j'ai grandi. La vie n'est pas très juste.
Mais ce n'est pas de la méchanceté de la part de Rachelle. Alors en dehors de cette minuscule et involontaire réaction, je répond par un sourire chaleureux à la femme-souris.
- Formidable ! Je serai à votre entière disposition.
Je pense cependant que je trouverai un moyen de prendre les devants avant qu'elle me contacte. On ne peut décemment pas faire une demande comme il faut sans avoir acheté les bagues de fiançailles à l'avance. Je prendrais le temps de lui expliquer tout ca, plus tard. Loin des oreilles indiscrètes et pointues de Marceline.
Il faudra de longues minutes encore avant que nous ne parvenions à endiguer le flot des soiffards venus profiter en masse de la tournée offerte.
A leur départ, l'étal ressemble à un champ de bataille dévasté. Les godets vides jonchent les planches du comptoir. Certains se sont couchés et ont roulé jusqu'au sol où ils gisent. Nous ramassons les morts et les empilons dans de grandes bassines en bois en prévision de la grande vaisselle à venir.
Pourtant quelque chose attire notre attention à tous. L'arrivée de la grande parade est annoncée ! Je lance avec enthousiasme
- On y va ! On fera la vaisselle plus tard.
De toutes façons la majorité des gens seront en train d'y assister. Je quitte l'étal, l'abandonnant au bon soin de quelques employés de faction et je commence à essayer de me trouver un poste d'observation.
Et puis une rumeur finit par arriver à mes oreilles.
- Roméo Trobo est arrivé ? Han ! Il est où ?? Je dois trouver un point d'observation !
Je joue des coudes, essaye de repérer des points en hauteur ou des têtes connues à rejoindre. Assister à ce genre de spectacle n'est jamais facile quand on est nain et qu'il n'y a pas d'estrade. Il suffit que n'importe quelle personne plus grande décide de se placer devant moi pour être condamnée à ne rien voir du tout.
Résumé
Gerda se réjouit de pouvoir faire les anneaux de Rachelle et de Marceline. Les derniers soiffards quittent l'étal et laissent derrière eux un comptoir majoritairement dévasté. L'annonce de l'arrivée prochaine du défile pousse Gerda à abandonner de nouveau son stand. Elle rentre dans la foule dans l'espoir de trouver un joli point d'observation ou des têtes connues avec qui partager ce moment.
Je ne peux évidemment pas m'empêcher d'avoir un infime tic au coin des lèvres quand Rachelle m'appelle "Dame". Avec ce "dame" vient inévitablement une vague de questions que je n'aime pas me poser. Est-ce que je commence déjà à paraitre vieille ? Est-ce que ma brève période de jeunesse est déjà sur son déclin ? Je sais qu'elle ne durera pas longtemps ... surtout quand je la compare avec l'incroyable longévité et l'"éternelle beauté des amies elfes à côté de qui j'ai grandi. La vie n'est pas très juste.
Mais ce n'est pas de la méchanceté de la part de Rachelle. Alors en dehors de cette minuscule et involontaire réaction, je répond par un sourire chaleureux à la femme-souris.
- Formidable ! Je serai à votre entière disposition.
Je pense cependant que je trouverai un moyen de prendre les devants avant qu'elle me contacte. On ne peut décemment pas faire une demande comme il faut sans avoir acheté les bagues de fiançailles à l'avance. Je prendrais le temps de lui expliquer tout ca, plus tard. Loin des oreilles indiscrètes et pointues de Marceline.
Il faudra de longues minutes encore avant que nous ne parvenions à endiguer le flot des soiffards venus profiter en masse de la tournée offerte.
A leur départ, l'étal ressemble à un champ de bataille dévasté. Les godets vides jonchent les planches du comptoir. Certains se sont couchés et ont roulé jusqu'au sol où ils gisent. Nous ramassons les morts et les empilons dans de grandes bassines en bois en prévision de la grande vaisselle à venir.
Pourtant quelque chose attire notre attention à tous. L'arrivée de la grande parade est annoncée ! Je lance avec enthousiasme
- On y va ! On fera la vaisselle plus tard.
De toutes façons la majorité des gens seront en train d'y assister. Je quitte l'étal, l'abandonnant au bon soin de quelques employés de faction et je commence à essayer de me trouver un poste d'observation.
Et puis une rumeur finit par arriver à mes oreilles.
- Roméo Trobo est arrivé ? Han ! Il est où ?? Je dois trouver un point d'observation !
Je joue des coudes, essaye de repérer des points en hauteur ou des têtes connues à rejoindre. Assister à ce genre de spectacle n'est jamais facile quand on est nain et qu'il n'y a pas d'estrade. Il suffit que n'importe quelle personne plus grande décide de se placer devant moi pour être condamnée à ne rien voir du tout.
Résumé
Gerda se réjouit de pouvoir faire les anneaux de Rachelle et de Marceline. Les derniers soiffards quittent l'étal et laissent derrière eux un comptoir majoritairement dévasté. L'annonce de l'arrivée prochaine du défile pousse Gerda à abandonner de nouveau son stand. Elle rentre dans la foule dans l'espoir de trouver un joli point d'observation ou des têtes connues avec qui partager ce moment.
Invité
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Pendor se taille un chemin à travers la foule, un peu comme il peut. Il n'a pas vraiment la carrure pour s'imposer, et, l'épreuve peut d'abord sembler laborieuse. Mais, avec un peu de chance, de patience et de détermination, il finit par passer. S'il porte des vêtements sobres, ils sont clairement de bonne facture et aux teintures éclatantes ; tandis que la broche de lion accrochée à sa cape laisse sous-entendre une noblesse qui pousse même les plus ivres à faire preuve d'un peu de jugeotte en lui faisant place.
S'il n'avait pas vraiment le cœur à boire, il avait croisé certains de ses anciens soldats qui furent ravis de l'inviter. Il s'est laissé prêter aux différentes sessions de "dégustation", mais est finalement resté fidèle à lui-même, et donc, excessivement raisonnable. C'est pour rester dans cette lancée qu'il a profité de la parade pour fuir une dégustation trop poussée, et il a abandonné ses vieux compagnons. Il se dit que, pour la forme, il va rester regarder le défilé, puis, rentrera tranquillement.
Il parvient jusqu'au cordon mis en place pour le passage de l'attraction, et trouve une place absolument parfaite. Il se glisse comme une fleur devant quelqu'un de petite taille, avant de réaliser à quel point il venait d'être malpoli ; pour rester poli. Il le réalise de façon visible, puisqu'il agite sa tête en relevant un peu son menton pour voir qu'il y a effectivement quelqu'un dans sa vision périphérique. D'un pas sur le côté, il se décale pour faire face à cette personne, et ne manque pas de s'excuser :
« Toutes mes excuses, ma dame. Je ne peux prétendre que je ne vous avais point vu. J'avais l'esprit ailleurs » il est honnête, le ton est sincère ; est-ce que ça va suffire à cette personne peut-être éméchée ?
S'il n'avait pas vraiment le cœur à boire, il avait croisé certains de ses anciens soldats qui furent ravis de l'inviter. Il s'est laissé prêter aux différentes sessions de "dégustation", mais est finalement resté fidèle à lui-même, et donc, excessivement raisonnable. C'est pour rester dans cette lancée qu'il a profité de la parade pour fuir une dégustation trop poussée, et il a abandonné ses vieux compagnons. Il se dit que, pour la forme, il va rester regarder le défilé, puis, rentrera tranquillement.
Il parvient jusqu'au cordon mis en place pour le passage de l'attraction, et trouve une place absolument parfaite. Il se glisse comme une fleur devant quelqu'un de petite taille, avant de réaliser à quel point il venait d'être malpoli ; pour rester poli. Il le réalise de façon visible, puisqu'il agite sa tête en relevant un peu son menton pour voir qu'il y a effectivement quelqu'un dans sa vision périphérique. D'un pas sur le côté, il se décale pour faire face à cette personne, et ne manque pas de s'excuser :
« Toutes mes excuses, ma dame. Je ne peux prétendre que je ne vous avais point vu. J'avais l'esprit ailleurs » il est honnête, le ton est sincère ; est-ce que ça va suffire à cette personne peut-être éméchée ?
- résumé:
- Pendor, n'ayant pas beaucoup bu, profite de la parade pour s'échapper du groupe de ses vieux compagnons d'armes. Il se trouve une place bien placée, mais réalise qu'il vient de piquer la place et surtout gâcher la vue d'une naine (Gerda, si t'as envie ofc), et s'écarte en s'excusant.
Invité
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Festival de la bière Naine
Feat festivaliers Reikois
- Tenue:
Perdue au milieu de la foule, Rizka avait l'impression de tanguer, ballottée par les mouvements anarchiques de ses semblables. Son cœur battait à tout rompre et son esprit s'égarait, embrumant ses pensées au fil des minutes, accentuant sa détresse. L'Elfe avait chaud, sa vision se voilant. Elle était à deux doigts de s'évanouir…
Quelle idée avait-t-elle eu de s'approcher, elle qui n'était pas habituée à tant d'agitation ? Simple curiosité, élan de courage… ou tout simplement l'envie de se sentir vivante un instant en se confrontant à sa peur. Peu importe la raison, cela restait une mauvaise idée dont elle payait le prix.
Tout aurait pu bien se passer pourtant. Elle avait fait des efforts pour profiter pleinement des festivités. Elle s'était parée d'une magnifique robe d'un bleu scintillant, de bijoux chatoyants et avait même joliment natté ses longs cheveux. La journée s'était d'ailleurs bien passée jusqu'ici, elle avait pu profiter des stands en toute quiétude et s'émerveiller de la qualité de ce festival. Mais il avait fallu qu'elle veuille voir d'un peu plus près la parade…
Glissant entre bousculade et mouvement de foule, la jeune femme avait fini par arriver près des cordages protégeant le cortège des passants. Cependant, c'était bien la dernière chose à laquelle elle pensait, bien trop pâle et tremblante. Perdant l'équilibre, elle se rattrapa à quelqu'un.
« D… Désolée. » bredouilla-t-elle.
CENDRES
Rizka s'est fait ballottée dans la foule jusqu'à se retrouver près des cordages de sécurité de la parade. Elle n'a pas l'air bien et s'est raccrochée a quelqu'un prise de vertige.
Invité
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Festival de la bière Naine
Feat festivaliers Reikois
Une voix rauque et chaude s’élève de la silhouette sur laquelle la jeune femme s’est appuyée. L’elfe relève ses pupilles couleur rubis, croisant celles de glace de leur propriétaire. Un homme, légèrement plus grand et d’une carrure accentuant la silhouette frêle de la brune. Tel le ying et le yang, il est à l’opposé de la jeune femme avec ses cheveux cours d’un blond étincelant. Rizka reste un instant pendue à son bras, s’y accrochant comme une moule à son rocher, fixant son attention sur lui avec intensité avant de détourner prestement le regard. Que venait-il de dire ? Les joues de la jeune femme se colorèrent légèrement mais elle restait toujours appuyée à lui. Après tout, il lui avait donné l’autorisation et elle avait bien trop peur de lâcher l’ancre miraculeuse ayant surgi sur son chemin.
« Je vous remercie. » Répond-t-elle, ajoutant aussitôt : « La foule me rend nerveuse. »
C’est un euphémisme. Toute cette masse informe et bruyante ressemblerait presque à un monstre à ses yeux. Heureusement, l’étranger représente actuellement un mur solide entre elle et la Chose. D’une certaine manière la situation arrangeait bien Rizka et un peu égoïstement, elle espérait pouvoir rester accrochée jusqu’à la fin de ce remue-ménage mais ce serait fort impoli que de ne pas recevoir l’aval du principal concerné.
« Vous êtes sûr que ça ne vous dérange pas ? Je ne voudrais pas vous gêner… »
Rizka détourna très légèrement la tête, l’air contrit, les sourcils légèrement froncés. Bien volontairement ou non, elle avait ce don de paraître si douce et vulnérable qu’il était difficile de refuser. Si on lui posait la question, elle nierait en avoir conscience.
CENDRES
Rizka s'est retrouvée au bras de Tagar. Elle cherche à l'amadouer pour rester en "sécurité"
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