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Konrad Lightborn
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Sous mes yeux se déroulait un spectacle que je ne pus m’empêcher de trouver indécent. Je pris donc l’elfe doucement par le bras et lui demandai :
—Tu es sûre que tu veux faire ça ? On vendra probablement très bien sans hein. Et on a pas un stock illimité.
Et puis le fonctionnaire annonça qu’il nous achetait quinze choppes. J’en tombais des nues. Quel… mais quel… les mots me manquaient pour décrire son comportement. Moi aussi j’avais remarqué la tenue de l’elfe et son charme, mais j’essayais au moins de bien me tenir ! Pour me remettre de mes émotions je me servis une gorgée de Bleuette que je bus aussitôt. J’en profitais pour vérifier que le panneau qui annonçait mes potions contre la gueule de bois était toujours là, toujours bien visible. Je devais faire des affaires, moi aussi.
Ma camarade de cornes annonça qu’elle et Gerda étaient un peu comme des sœurs, et que cette dernière lui avait parlé de moi, en omettant que j’avais des cornes. Elle complimenta mes bijoux et demanda si elle pouvait les toucher. Ravie que mes cornes et mes bijoux lui plaisent, fière que j’étais de les avoir, je consentit à sa demande avec plaisir :
—Bien sûr que tu peux les toucher ! C’est Gerda qui a fait les bijoux ! Ils sont exceptionnels n’est-ce pas ?
Quand elle me toucha les cornes, je ressentit une pointe d’angoisse qui remonta d’une ancienne mauvaise expérience, mais elle passa bien vite, moi essayant de profiter de l’instant présent. Et heureusement que j’étais distraite par cette interaction avec mon interlocutrice car si j’avais vu ce que Bronwynn avait fait, je ne m’en serais pas remise de sitôt.
—Tu es sûre que tu veux faire ça ? On vendra probablement très bien sans hein. Et on a pas un stock illimité.
Et puis le fonctionnaire annonça qu’il nous achetait quinze choppes. J’en tombais des nues. Quel… mais quel… les mots me manquaient pour décrire son comportement. Moi aussi j’avais remarqué la tenue de l’elfe et son charme, mais j’essayais au moins de bien me tenir ! Pour me remettre de mes émotions je me servis une gorgée de Bleuette que je bus aussitôt. J’en profitais pour vérifier que le panneau qui annonçait mes potions contre la gueule de bois était toujours là, toujours bien visible. Je devais faire des affaires, moi aussi.
Ma camarade de cornes annonça qu’elle et Gerda étaient un peu comme des sœurs, et que cette dernière lui avait parlé de moi, en omettant que j’avais des cornes. Elle complimenta mes bijoux et demanda si elle pouvait les toucher. Ravie que mes cornes et mes bijoux lui plaisent, fière que j’étais de les avoir, je consentit à sa demande avec plaisir :
—Bien sûr que tu peux les toucher ! C’est Gerda qui a fait les bijoux ! Ils sont exceptionnels n’est-ce pas ?
Quand elle me toucha les cornes, je ressentit une pointe d’angoisse qui remonta d’une ancienne mauvaise expérience, mais elle passa bien vite, moi essayant de profiter de l’instant présent. Et heureusement que j’étais distraite par cette interaction avec mon interlocutrice car si j’avais vu ce que Bronwynn avait fait, je ne m’en serais pas remise de sitôt.
- résumé:
- Marceline demande à Bronwynn si elle est sûre qu’elle veut faire ce qu’elle a entrepris de faire, puis laisse Thylie toucher ses cornes en lui parlant de ses bijoux de cornes.
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Que ceux qui pensent que se toucher les cornes a des connotations indécentes arrêtent tout de suite de lire.
C'est qu'ils n'en ont jamais porté...
J'approche ma main, glissant mes doigts dans les bijoux délicats qui ornent ses cornes. Gerda est une petite futée, elle a le chic pour trouver des marchés de niche et clairement celui des bijoux de cornes en est un ! Mais ce qu'on ne peut pas lui reprocher c'est son goût très sur pour les belles choses et les bijoux que portent l'elfe noire sont vraiment magnifiques, mettant parfaitement en valeur ses jolies cornes.
- Je crois que je suis jalouse !
Des bijoux bien entendu, surtout que Gerda m'a promis de nouveaux modèles pour moi mais que je n'en ai pas encore vu la couleur ! Mais je ne lui en veux pas, elle est toujours tellement débordée...
Mais je suis aussi jalouse des cornes de Marceline. Elles sont à l'image de leur porteuse, plutôt petites, se dressant fièrement sur sa tête avec de jolies courbes que je suis doucement du bout des doigts appréciant la rugosité délicate du contact. En comparaison les miennes sont plutôt droites, fines et surtout toutes lisses. Même si j'en ai quatre ce qui est une rareté dont je suis plutôt fière elles me semblent terriblement banales en comparaison.
Je soupire en enlevant ma main.
- J'aimerai bien avoir les mêmes.
Et je ne parle pas uniquement des bijoux.
- Par contre je n'avais jamais vu d'elfe avec des cornes.
Un léger clin d'œil en faisant un signe de tête vers Bronwynn qui n'en porte pas avant d'ajouter.
- En tout cas, çà te va vraiment super bien !
Et je suis une connaisseuse en matière de cornes...
C'est qu'ils n'en ont jamais porté...
J'approche ma main, glissant mes doigts dans les bijoux délicats qui ornent ses cornes. Gerda est une petite futée, elle a le chic pour trouver des marchés de niche et clairement celui des bijoux de cornes en est un ! Mais ce qu'on ne peut pas lui reprocher c'est son goût très sur pour les belles choses et les bijoux que portent l'elfe noire sont vraiment magnifiques, mettant parfaitement en valeur ses jolies cornes.
- Je crois que je suis jalouse !
Des bijoux bien entendu, surtout que Gerda m'a promis de nouveaux modèles pour moi mais que je n'en ai pas encore vu la couleur ! Mais je ne lui en veux pas, elle est toujours tellement débordée...
Mais je suis aussi jalouse des cornes de Marceline. Elles sont à l'image de leur porteuse, plutôt petites, se dressant fièrement sur sa tête avec de jolies courbes que je suis doucement du bout des doigts appréciant la rugosité délicate du contact. En comparaison les miennes sont plutôt droites, fines et surtout toutes lisses. Même si j'en ai quatre ce qui est une rareté dont je suis plutôt fière elles me semblent terriblement banales en comparaison.
Je soupire en enlevant ma main.
- J'aimerai bien avoir les mêmes.
Et je ne parle pas uniquement des bijoux.
- Par contre je n'avais jamais vu d'elfe avec des cornes.
Un léger clin d'œil en faisant un signe de tête vers Bronwynn qui n'en porte pas avant d'ajouter.
- En tout cas, çà te va vraiment super bien !
Et je suis une connaisseuse en matière de cornes...
- Spoiler:
- Thylie continue de discuter tranquillement avec @Marceline Cornebouc et ses jolies cornes.
Noble de La République
Konrad Lightborn
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- Place principale, Ikusa -Zaïn était bin heureux de pouvoir discuter avec la naine tout en buvant doucement la bière qu'il lui avait servis, il écoutait avec une grande attention ce que lui expliquait l'échopière, étonné de la diversité magique des choppes en vente. En plus la bière était loin d'être mauvaise. Mais c'était le calme avant la tempête, alors qu'il était le seul client, il ne pouvait deviner qu'il serait noyé dans une foule dans moins d'une minute. Ceci-dit la première arrivée le réjoui, tout ravi qu'il était de tomber sur Tagar, l'homme le plus populaire du Reike... Du Sekai peut-être même, vu qu'il semblait connaitre la naine.
- Eh Tagar ! Avec une choppe de bière entre les mains, ça ne peut qu'aller bien, crois-moi. Plaisanta-t-il avec justesse.C'était comme si c'était la seule échoppe de la place : Une foule de connaissances de Tagar et de la naine firent irruption, Zaïn n'en cru pas ses yeux, des gens de toutes les horizons, espèces et personnalités firent leurs apparition. Il fut étonné quand la nouvelle arrivante - une onie - expliqua que la bière pouvait faire pisser bleue, expliquant enfin la teinte azurée de la boisson. Cela sembla rebuter un instant Tagar, mais Zaïn n'en eu cure et même fut plutôt amusé, vidant sa choppe d'une traite.Wow, encore une nouvelle arrivante, une ravissante elfe, qui sembla tout de suite raviver l'intérêt de Tagar pour la bière. Il fut quelque peu étonné de la réaction de son ami qui d'habitude était réservé voir timide pour ce genre de choses, la surprise transie alors l'hybride lorsqu'il le vit embrasser l'elfe, aussi jolie soit-elle... Zaïn observa vivement le fond de sa choppe... Pourtant la bière n'était pas si forte que ça, non ?
Il y avait une soudaine bonne humeur en ses lieux qui plaisait à Zaïn, mais ayant tout de même quelque chose de bizarre, comme si tout le monde connaissait tout le monde et qu'un brin de folie avait pris certains alors qu'il était à peine dix heure du matin. Même Zaïn qui était très extraverti trouvait tout ça fort étonnant, quoique réjouissant. Il n'allait quand même pas commander cinq choppes, estimant qu'il fallait économiser ses munitions pour le concours de beuverie à venir en fin de journée. Zaïn avait en effet prévu de remporter les deux concours au programme de la journée, hormis celui de la meilleure bière. De plus, il n'allait pas prendre cinq choppes car il avait quelqu'un dans sa vie, lui. Il intervint cependant pour remonter le moral à son ami Tagar :
- Alors crois-moi, 'Kady m'en a parlé et tu embrasse très bien... Cependant si elle avait été là je crois que tu ne serai plus en état de constater le fait. Signifia-t-il.
- Résumé :
Zaïn s'amusait d'observer les gens se retrouver, s'embrasser, se câliner et discuter gaiment de plus belle et rassura Tagar tant qu'à sa manière d'embrasser.
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Thème musical de Konrad
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Abadakor ... l'affaire se conclut ainsi.
Jamais ...
Je n'aurais ...
L'audace et l'assurance que Bron a.
C'est une certitude. Je ne suis pas timide pourtant non non. Ni une grande romantique dans le fond. On peut pas dire que je sois vraiment coincée non plus. (Même si je suis peut-être mauvaise juge de moi même ?). Je suis juste pas assez affirmée. Si quelqu'un me plait, j'imagine que je ferai le nécessaire pour qu'il ou elle le remarque. Quitte à prendre un peu de courage en bouteille avant. Mais genre un peu discrètement. Pas devant tout le monde. Je dois me retenir pour ne pas rester bouche bée et je me fais violence pour essayer de rester concentrée sur Marceline qui me parle et à qui je souris. Connaissant un peu mon associée, je suppose que c'est aussi bien qu'elle ne remarque rien ! Elle et Thylie se sont rencontrée. Une rencontre qui aurait pu être explosive mais qui finalement se passe plutôt bien. Elles se trouvent un point commun : la coquetterie cornesque. Ca me fait sourire et je fais un geste de la main quand elle déclare ses parures exceptionnelles.
- Ils sont inspirés par deux cornues exceptionnelles.
C'est la plus stricte vérité. Sans mes deux amies je n'aurais pas pris la peine de créer ces collections ... et sans doutes que je ne prendrai pas de temps à faire autant de recherches pour en varier les formes et les matières.
- Je vous montrerai sans faute mes derniers modèles !
Et je sais que je leur offrirai ceux qui leur plairont le plus. L'une et l'autre méritent ces petits cadeaux. Dans leur dos le baiser se termine. Je vois les mains de Brownie papillonner à mon attention et mon museau se plisse d'un air mutin. Je répond d'un ton prudent en choisissant mes mots pour que la teneur du message reste globalement cryptique aux oreilles de ceux qui avaient pas capté le geste.
- Pour sûr il l'a fait ... et pas que lui.
Dois-je avouer en mon fort intérieur que même moi j'ai été tentée de baisser le regard sur ce qu'il convient d'appeler un décolleté dorsal ? Tout à fait oui ... Mais j'ai l'excuse que l'objet du crime soit pile devant mon nez ! Essayez un peu de vivre le nez à hauteur de cul des gens, vous me direz si c'est facile de pas regarder.
Je regarde un Tagar étrangement dépité s'approcher de mon comptoir. Je lui ressers sans discuter une bière. (C'est que la première à du lui plaire !).
Je tend l'oreille, écoute ses confidences (C'est le rôle du tenancière il parait ? Je suis un peu nouvelle dans la profession !) et fronce de nouveau le museau.
- Je suis certaine que ce n'est pas le cas !
Je me retiens d'ajouter que c'est peut-être parce que Bron a du connaître des centaines de paire de lèvres différentes au cours de sa longue vie elfique mais même si l'argument parait logique, ca ne parait pas être très gentil pour mon amie de présenter les choses ainsi. Je suis heureuse qu'à la place, le premier homme qui semblait connaitre Tagar vint à la rescousse lui aussi, parlant d'une fille dont je n'ai pas la connaissance. Mais ca ne m'empêche pas de rebondir.
- Vous voyez ? Votre ami le dit aussi ! Haut les coeurs, je vous promet un hug de reconfort lorsque je viendrai prendre le thé chez vous pour honorer la livraison de mes choppes.
Vous avez vu comment je m'invite en toute souplesse chez les nobles maintenant ? Epatant, non ? Oh mais ce n'est pas que par pensée roublarde que je fais cette proposition. J'ai vraiment de l'affection pour ce jeune homme en quête de beaux sentiments et j'ai envie de lui remonter le moral.
- Ca vaut mieux que vous proposer une danse de consolation lorsque les artistes joueront tout à l'heure.
M'inviter à une table chic, je dis oui. Me sentir responsable de l'aplatissement d'orteils bien nés, c'est trop pour moi !
- Au fait, je m'appelle Gerda !
Dis-je alors en reposant une choppe pleine devant Zain. (il l'avait pas demandée ? Ah bah tant pis.).
- Vous êtes un ami de monsieur le contrôleur impérial alors ?
Résumé
Gerda bavarde avec Thyllie et Marceline. Elle répond à la question de Bron l'audacieuse et essaye de rassurer Tagar après l'avoir resservi en bière, aidée par Zain.
Jamais ...
Je n'aurais ...
L'audace et l'assurance que Bron a.
C'est une certitude. Je ne suis pas timide pourtant non non. Ni une grande romantique dans le fond. On peut pas dire que je sois vraiment coincée non plus. (Même si je suis peut-être mauvaise juge de moi même ?). Je suis juste pas assez affirmée. Si quelqu'un me plait, j'imagine que je ferai le nécessaire pour qu'il ou elle le remarque. Quitte à prendre un peu de courage en bouteille avant. Mais genre un peu discrètement. Pas devant tout le monde. Je dois me retenir pour ne pas rester bouche bée et je me fais violence pour essayer de rester concentrée sur Marceline qui me parle et à qui je souris. Connaissant un peu mon associée, je suppose que c'est aussi bien qu'elle ne remarque rien ! Elle et Thylie se sont rencontrée. Une rencontre qui aurait pu être explosive mais qui finalement se passe plutôt bien. Elles se trouvent un point commun : la coquetterie cornesque. Ca me fait sourire et je fais un geste de la main quand elle déclare ses parures exceptionnelles.
- Ils sont inspirés par deux cornues exceptionnelles.
C'est la plus stricte vérité. Sans mes deux amies je n'aurais pas pris la peine de créer ces collections ... et sans doutes que je ne prendrai pas de temps à faire autant de recherches pour en varier les formes et les matières.
- Je vous montrerai sans faute mes derniers modèles !
Et je sais que je leur offrirai ceux qui leur plairont le plus. L'une et l'autre méritent ces petits cadeaux. Dans leur dos le baiser se termine. Je vois les mains de Brownie papillonner à mon attention et mon museau se plisse d'un air mutin. Je répond d'un ton prudent en choisissant mes mots pour que la teneur du message reste globalement cryptique aux oreilles de ceux qui avaient pas capté le geste.
- Pour sûr il l'a fait ... et pas que lui.
Dois-je avouer en mon fort intérieur que même moi j'ai été tentée de baisser le regard sur ce qu'il convient d'appeler un décolleté dorsal ? Tout à fait oui ... Mais j'ai l'excuse que l'objet du crime soit pile devant mon nez ! Essayez un peu de vivre le nez à hauteur de cul des gens, vous me direz si c'est facile de pas regarder.
Je regarde un Tagar étrangement dépité s'approcher de mon comptoir. Je lui ressers sans discuter une bière. (C'est que la première à du lui plaire !).
Je tend l'oreille, écoute ses confidences (C'est le rôle du tenancière il parait ? Je suis un peu nouvelle dans la profession !) et fronce de nouveau le museau.
- Je suis certaine que ce n'est pas le cas !
Je me retiens d'ajouter que c'est peut-être parce que Bron a du connaître des centaines de paire de lèvres différentes au cours de sa longue vie elfique mais même si l'argument parait logique, ca ne parait pas être très gentil pour mon amie de présenter les choses ainsi. Je suis heureuse qu'à la place, le premier homme qui semblait connaitre Tagar vint à la rescousse lui aussi, parlant d'une fille dont je n'ai pas la connaissance. Mais ca ne m'empêche pas de rebondir.
- Vous voyez ? Votre ami le dit aussi ! Haut les coeurs, je vous promet un hug de reconfort lorsque je viendrai prendre le thé chez vous pour honorer la livraison de mes choppes.
Vous avez vu comment je m'invite en toute souplesse chez les nobles maintenant ? Epatant, non ? Oh mais ce n'est pas que par pensée roublarde que je fais cette proposition. J'ai vraiment de l'affection pour ce jeune homme en quête de beaux sentiments et j'ai envie de lui remonter le moral.
- Ca vaut mieux que vous proposer une danse de consolation lorsque les artistes joueront tout à l'heure.
M'inviter à une table chic, je dis oui. Me sentir responsable de l'aplatissement d'orteils bien nés, c'est trop pour moi !
- Au fait, je m'appelle Gerda !
Dis-je alors en reposant une choppe pleine devant Zain. (il l'avait pas demandée ? Ah bah tant pis.).
- Vous êtes un ami de monsieur le contrôleur impérial alors ?
Résumé
Gerda bavarde avec Thyllie et Marceline. Elle répond à la question de Bron l'audacieuse et essaye de rassurer Tagar après l'avoir resservi en bière, aidée par Zain.
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Sur ordre de l'impératrice, vous devez vous assurez du bon déroulement des festivités. Mon cul ouais !
Révoltée, comme à son habitude, Grey grinçait des dents en ressassant ses ordres alors que les gardes retardataires daignaient enfin se pointer. Les festivités battaient déjà leurs pleins et l'alcool coulait à flot. Pourquoi déjà ? Il était neuf heure du matin, voilà pourquoi ! En réalité, il y avait déjà eu une petite foule avant neuf heure qui picolait déjà. Cet événement était plus que populaire, c'était un véritable rassemblement de tous les poivrots du Reike.
Le garde royal marchait parmi les hommes qu'elle avait à sa disposition, cherchant à sentir s'il y en avait déjà qui avait bu, puis satisfaite, se plaça devant eux et leur donna leurs instructions.
-Vous êtes les petits veinards, vous démarrez votre service maintenant et serez assignés ailleurs vers midi. Bien que la matinée s'annonce…
Elle jeta un regard derrière elle, c'était déjà le bordel.
-… Plutôt calme, laissez-moi vous répéter vos ordres. Pas de resquilleurs, pas de fraude, pas d'arme, pas d'agression physique, verbale ou sexuelle, pas de fauteur de trouble, pas de voleur et SURTOUT pas un mot de travers envers le Reike. En cas de comas, des lits de camps ont été installés un peu plus loin et c'est à vous de trainer les pochards jusque-là bas.
Grey les laissa assimiler les informations et reprit.
-Et enfin, si l'un de-vous est pris à picoler. Nous tirerons un membre au sort que je lui briserais personnellement et il finira en cellule de dégrisement pendant une semaine entière avec pour seule compagnie un verre d'eau. Me suis-je bien faite comprendre ?
Personne n'eut la folie de faire la blague dégrisement/peau grise.
-À vos postes et tâchez d'avoir l'air sérieux ! Aboya-t-elle.
Comme instruit, ils se répartirent sur la place sur laquelle se tenait le festival. Se tenant elle-même à une certaine distance du foutoir, elle analysait avec difficulté tout ce qui se produisait à la fois. Et dire qu'il n'était que neuf heure… La journée promettait d'être longue.
Résumé : Grey s'entretient rapidement avec ses soldats, les menaces amicalement, puis les dispersent. La première manœuvre des gardes est évidemment de vérifier si tous les badauds ont leur bracelet en bois remis à l'entrée.
Révoltée, comme à son habitude, Grey grinçait des dents en ressassant ses ordres alors que les gardes retardataires daignaient enfin se pointer. Les festivités battaient déjà leurs pleins et l'alcool coulait à flot. Pourquoi déjà ? Il était neuf heure du matin, voilà pourquoi ! En réalité, il y avait déjà eu une petite foule avant neuf heure qui picolait déjà. Cet événement était plus que populaire, c'était un véritable rassemblement de tous les poivrots du Reike.
Le garde royal marchait parmi les hommes qu'elle avait à sa disposition, cherchant à sentir s'il y en avait déjà qui avait bu, puis satisfaite, se plaça devant eux et leur donna leurs instructions.
-Vous êtes les petits veinards, vous démarrez votre service maintenant et serez assignés ailleurs vers midi. Bien que la matinée s'annonce…
Elle jeta un regard derrière elle, c'était déjà le bordel.
-… Plutôt calme, laissez-moi vous répéter vos ordres. Pas de resquilleurs, pas de fraude, pas d'arme, pas d'agression physique, verbale ou sexuelle, pas de fauteur de trouble, pas de voleur et SURTOUT pas un mot de travers envers le Reike. En cas de comas, des lits de camps ont été installés un peu plus loin et c'est à vous de trainer les pochards jusque-là bas.
Grey les laissa assimiler les informations et reprit.
-Et enfin, si l'un de-vous est pris à picoler. Nous tirerons un membre au sort que je lui briserais personnellement et il finira en cellule de dégrisement pendant une semaine entière avec pour seule compagnie un verre d'eau. Me suis-je bien faite comprendre ?
Personne n'eut la folie de faire la blague dégrisement/peau grise.
-À vos postes et tâchez d'avoir l'air sérieux ! Aboya-t-elle.
Comme instruit, ils se répartirent sur la place sur laquelle se tenait le festival. Se tenant elle-même à une certaine distance du foutoir, elle analysait avec difficulté tout ce qui se produisait à la fois. Et dire qu'il n'était que neuf heure… La journée promettait d'être longue.
- - -
Résumé : Grey s'entretient rapidement avec ses soldats, les menaces amicalement, puis les dispersent. La première manœuvre des gardes est évidemment de vérifier si tous les badauds ont leur bracelet en bois remis à l'entrée.
Noble de La République
Konrad Lightborn
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- Place Principale, Ikusa -Il tapa alors sur l'épaule de Tagar avec un large sourire, Zaïn savait que son ami avait longtemps cherché l'âme sœur sans parvenir à en garder une assez longtemps pour s'installer avec, surtout qu'il avait aussi le veto de sa mère qui l'handicapait à ce niveau. Il était d'ailleurs fort surprenant qu'un homme si beau, si riche, si cultivé, si gentil et qui voyage tant ai si peu de succès dans le domaine. Peut-être Zaïn pourrait lui donner quelques conseils sur le sujet, se souvenant de la timidité qu'il avait déployé pour séduire sa sœur, Arkady, et qu'à présent il n'avait pas cillé pour embrasser l'elfe qui lui vendait sa bière, c'était comme s'il passait de rien à tout.
Et la tenancière donna également du sien pour balayer les inquiétudes de Tagar, Zaïn étant prêt à parier que l'elfe muette était trop frivole pour avoir le temps de lui accorder trois baisers. Il semblait plutôt que Tagar soit tant en manque de présence féminine qu'il prenait le moindre détail au centuple de ce qui valait. "Enfin Tagar, ! connait-tu l'existence de ces établissements que nous nommons lupanars ? Va donc t'y essayer à l'occasion !" avait eu envie de dire Zaïn, mais cela aurait été plus inconvenant qu'humoristique. L'échoppiere qui s'avéra s'appeler Gerda, se présenta alors avec vivacité et entrain, enchainant d'emblée sur Zaïn, il répondit aimablement.
- Oh on en a vu des vertes et des pas mûres ensemble, mais plus de vertes par chance ! Moi c'est Zaïn, et merci pour cette bière magique, je cherchais justement quelque chose qu'on ne pouvait pas trouver au sein des auberges communes. Il leva sa choppe avant d'en prendre une gorgée, une main posée sur l'épaule de Tagar.Il s'était finalement décidé de ne pas acheter de choppe magique, il n'aurai qu'à rendre visite à Tagar à l'occasion et il lui en offrirai une parmi les quinze dont il venait de faire l'acquisition.
- Résumé :
Zaïn continue de soutenir Tagar et engage la discussion avec Gerda tout en buvant.
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Thème musical de Konrad
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La dénommée Thylie exprima sa jalousie par rapport à mes bijoux et je tentais de la rassurer en taquinant Gerda :
—Ne t’en fais pas, je suis sûre que notre amie commune se fera un plaisir de t’offrir de jolis bijoux pour tes cornes ! Que tu as très jolies d’ailleurs.
Ce qu’elle dit ensuite à propos d’avoir jamais vu d’elfe cornue me remplit de fierté.
—eh bien saches que c’est une spécificité de ma lignée et que j’en suis très fière ! Et merci beaucoup !
Je fis un sourire chaleureux à Gerda quand elle parla de son inspiration pour la remercier de son compliment. Je remarquais qu’elle parlait au contrôleur maléfique et tentait de le rassurer à propos de je ne savais quoi.
Était-il temps de se joindre à la fête et de laisser nos employés faire le travail ? Mais oui ça m’en avait tout l’air !
—devrions-nous rejoindre les festivités ? J’ai un souvenir à acheter.
Je pensait un instant à acheter à Gerda une de ses chopes, peut-être une qui battait la mesure quand il y avait de la musique… non, sans la vue elle serait surprise et pas dans le bon sens du terme. Peut-être tout simplement une qui gardait la bière au frais, après tout elle buvait lentement, Rachelle.
Les bijoux de cornes me donnèrent une idée…
—Dis-moi Gerda, toi qui fais si bien les bijoux de cornes, tu saurais faire des bijoux d’oreilles pour une hybride souris ?
Bien sûr, en attendant, il fallait toujours que je trouve un cadeau pour cette dernière.
—quelqu’un a des idées de cadeaux ? À part une choppe rafraîchissante, je vois pas ce que je pourrais offrir.
—Ne t’en fais pas, je suis sûre que notre amie commune se fera un plaisir de t’offrir de jolis bijoux pour tes cornes ! Que tu as très jolies d’ailleurs.
Ce qu’elle dit ensuite à propos d’avoir jamais vu d’elfe cornue me remplit de fierté.
—eh bien saches que c’est une spécificité de ma lignée et que j’en suis très fière ! Et merci beaucoup !
Je fis un sourire chaleureux à Gerda quand elle parla de son inspiration pour la remercier de son compliment. Je remarquais qu’elle parlait au contrôleur maléfique et tentait de le rassurer à propos de je ne savais quoi.
Était-il temps de se joindre à la fête et de laisser nos employés faire le travail ? Mais oui ça m’en avait tout l’air !
—devrions-nous rejoindre les festivités ? J’ai un souvenir à acheter.
Je pensait un instant à acheter à Gerda une de ses chopes, peut-être une qui battait la mesure quand il y avait de la musique… non, sans la vue elle serait surprise et pas dans le bon sens du terme. Peut-être tout simplement une qui gardait la bière au frais, après tout elle buvait lentement, Rachelle.
Les bijoux de cornes me donnèrent une idée…
—Dis-moi Gerda, toi qui fais si bien les bijoux de cornes, tu saurais faire des bijoux d’oreilles pour une hybride souris ?
Bien sûr, en attendant, il fallait toujours que je trouve un cadeau pour cette dernière.
—quelqu’un a des idées de cadeaux ? À part une choppe rafraîchissante, je vois pas ce que je pourrais offrir.
Citoyen du Reike
Rachelle Virsce
Messages : 63
crédits : 3940
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Info personnage
Race: Hybride - Souris
Vocation: Guerrier Assassin
Alignement: Loyal bon
Rang: C
[F-Event] Festival de la
bière naine
bière naine
Avec un air maussade sur le visage, la souris se retourna de nouveau sur le lit qu’elle occupait. Elle se sentait misérable et savait que son état actuel était entièrement de sa faute. Elle se souvenait de son récent argument avec Marceline qui avait tenté de l’inviter à cette fête de la bière naine. Elle avait tout d’abord expliqué qu’elle ne voulait pas y aller, prétextant qu’elle ne se sentait pas de sortir aujourd’hui. Bien sûr, c’était un mensonge. Depuis la perte de sa vue, la souris était devenue un poil irascible et honteuse de ne plus pouvoir servir dans l’armée, elle passait bon nombre d'heures à vivre cachée chez elle ou au sein de la roulotte de l’elfe cornue pour ne plus se montrer à la vue de tous. Et puis, elle avait encore du mal à se déplacer correctement en se fiant aux sons et odeurs même si par chance, ses sens là étaient affutés chez elle. Quoi qu’il en soit, Marceline qui comme à son habitude semblait lire en la souris comme dans un livre ouvert, s’était rendu compte de la supercherie et usant de ses mots doux, elle avait tenté de convaincre l’hybride de la suivre. Rachelle avait de nouveau refusé et devant l’insistance de son amie, elle avait fini par lui dire que l’alcool était une boisson pour les idiots.
Bien sûr, elle n’en pensait pas un mot. Au contraire, elle avait toujours apprécié en consommer même si elle le tenait vraiment très mal. Mais elle n’avait pu s’empêcher de se comporter de manière toxique envers celle qu’elle aimait à cause de la perte de sa vue qui l’obsédait. Marceline avait fini par quitter la pièce en solitaire et la souris après que la colère commença à retomber, se rendit compte d’à quel point elle avait mal agi. Après tout, Marceline n’avait jamais voulu que son bien et il y avait fort à parier qu’elle s’était rendu compte qu’une telle fête serait l’occasion parfaite pour faire disparaître les idées noires de la souris.
Rachelle posa doucement son bras sur son visage.
—Je suis une idiote, grommela-t-elle avant de jurer entre ses dents et de se relever d’un coup.
Elle se rendait compte d’à quel point elle était dans l’erreur et il lui était important de rattraper son erreur. Ensuite, si Marceline le souhaitait, elle lui pardonnerait peut-être d’avoir été si bête.
L’elfe avait raison depuis le début. Ce n’est pas en s’enfermant qu’elle finirait par aller mieux. Et dire qu’il y a quelques années, les rôles étaient inversés. Tout comme Marceline avait attrapé la main que lui tendait l’hybride, c’était au tour de cette dernière d’attraper la main de l’elfe. Et de ne plus jamais la lacher.
La souris attrapa son chapeau, sa cape et laissa son arme dans la pièce. Ne prenant avec elle que sa bourse et le médaillon qu’elle portait toujours autour du cou.
Elle s’arrêta devant la porte d’entrée, depuis le temps, elle parvenait à se déplacer dans la maison sans trop de souci. La jeune femme hésita quelques instants, avant de récupérer une simple canne en bois qui trainait dans l’entrée. Elle détestait utiliser sa canne d’aveugle qui était selon elle un signe de faiblesse, mais elle savait qu’il y aurait une foule importante. Il était hors de question de rentrer dans la plupart des fêtards alcoolisés.
Et finalement, la souris s’engagea dans les ruelles de la capitale. Elle se permit néanmoins de faire un détour par le marché. Prenant son temps pour ne pas trébucher, s’aidant de sa canne pour avancer. Comme elle le pensait, le marché était pratiquement vide. Ce qui était logique, après tout, la plupart des adultes devaient se trouver au festival.
Rachelle stoppa sa marche devant la boutique de fleurs. Ou du moins, à l’emplacement qu’elle pensait être le bon et à l’odeur environnante, elle put se dire qu’elle n’avait pas raté son coup.
—Je souhaiterais un bouquet s’il vous plaît.
—Bien sûr madame, se fit entendre une voix d’enfant. Qu’est-ce qu’il vous faudrait ?
La souris afficha un faible sourire. Ce n’était guère étonnant de rencontrer un enfant qui devait certainement s’occuper de la boutique de ses parents pendant que ces derniers festoyaient à une fête pour adultes.
—Tu es bien brave d’aider tes parents, lui dit-elle alors qu’elle se penchait pour renifler doucement les différentes fragrances de la boutique.
Ne pouvant voir, elle se décida à prendre celles dont l’odeur était la plus plaisante.
—Celles-ci, déclara-t-elle en pointant une direction. Un bouquet s’il te plait.
—Tout de suite madame !
Elle entendit le jeune garçon qui semblait s’atteler à la tâche avant que ce dernier ne lui donne le prix et le bouquet. La souris compta les pièces et ajouta un petit pourboire.
—Achète toi quelque chose qui te plait avec ça, lui souffla-t-elle. Dis toi que c’est un bonus pour l’aide que tu apporte à tes parents.
—Merci madame ! s’exclama joyeusement le jeune garçon avant que la souris ne rejoigne de nouveau la rue principale, bouquet en main. Elle espérait que ce cadeau l’aiderait à se faire pardonner de Marceline. Priant pour que le bouquet soit autant gracieux au regard qu’il ne l’était à l’odeur, la souris se dirigea en direction des cris de joie.
Une main la stoppa finalement et elle comprit rapidement qu’on lui réclamait le prix d’entrée.
—Excusez-moi, répondit-elle avant de payer.
Les gardes s’excusèrent en remarquant son bandeau sur les yeux et la canne qu’elle trainait mais de toute manière, la souris n’en tirait pas ombrage. C’était satisfaisant de savoir que les représentants de la loi continuaient de faire correctement leur travail avec un sérieux irréprochable.
Se retrouvant finalement au sein de la fête et légèrement un peu perdue. La souris releva la tête et commença à se concentrer pour renifler l’air. C’était peut-être un peu barbare ou animal de sa part, mais s’il y avait bien une odeur qu’elle avait appris à reconnaître depuis sa cécité, c’était bien celle de Marceline.
Se déplaçant lentement au sein de la fête à l’aide de sa canne, elle sentit la source de l’odeur se rapprocher. Et finalement, elle put en être certaine. Son amante n’était plus loin. Elle continua de s’avancer avant de tendre la main devant elle pour attraper ce qui sembla être la manche de son amie.
Elle tira doucement dessus, un air penaud sur le visage, se cachant derrière le bouquet de fleurs.
—Je suis désolée… dit-elle à voix basse. J’ai été stupide. Je ne pensais pas ce que j’ai pu te dire et… (Elle ne savait pas vraiment comment le dire et se contenta d’aller à l’essentiel.) Sauras tu me pardonner ?
Ses oreilles remuèrent doucement sous son chapeau, se rendant compte que Marceline n’était pas seule. Peut-être venait-elle de s’incruster au mauvais moment ? Elle qui mettait un point d’honneur à se comporter dignement, voilà qu’elle se retrouvait agacée de ne plus être capable de lire correctement une situation.
Elle grimaça un peu.
—Je ne voulais pas déranger. Veuillez m’excuser pour mon manque de politesse.
- Résumé:
- —Rachelle se rend à la fête avec un peu de retard, prenant un bouquet de fleurs avec elle pour se faire pardonner vis-à-vis de Marceline. Elle arrive devant cette dernière en la retrouvant à l'odeur et lui présente ses excuses avant de se rendre compte qu'elle n'est pas seule. Elle demande pardon pour avoir potentiellement coupé la parole ou autre.
CENDRES
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Le festival de la bière Naine
Feat. le Reike
Durant sa vie de janissaire, Huldrom avait été envoyé sur les pires champs de batailles. Une fois devenu soldat, le Nain s'était vu affecter à certaines tâches peu enviables. Cependant, rien de tout cela n'était aussi grave que la situation présente : un petit malin avait affecté le guerrier à un groupe de soldats chargé de la sécurité du grand festival de la bière Naine. Huldrom serait forcé de jouer les plantons, sans pouvoir ingurgiter une seule goutte d'alcool ! Injustice ! Calomnie !
Le festival était pourtant l'endroit où les meilleurs brasseurs de bière se trouvaient ! Tout amateur de bière qui se respecte se devait d'aller goûter les produits locaux et étrangers, et les marchands rivalisaient d'ingéniosité chaque année pour offrir les meilleurs produits à leur estimée clientèle. Huldrom avait même entendu parler de la fameuse Bleuette Grisepierre, brassée de sorte à vous faire uriner bleu ! Du génie ! De plus, le Nain connaissait la personne qui l'avait inventée : Gerda Grisepierre, où "la marchande", avec qui il était allé à l'aventure quelques mois plus tôt. Huldrom entretenait l'espoir que sa congénère lui garde un peu de bière au frais pour après la fin de son service. Son tour de garde l’emmenait de toute façon vers son stand, où il saisirait sa chance.
Il repensa aux consignes données par la garde royale chargée de la sécurité de l'événement, ses lèvres s'étirant en un petit sourire, caché derrière sa barbe. Huldrom était presque tenté de désobéir, si ce n'est pour défier à nouveau la jeune femme. Il s'était abstenu de faire un commentaire pendant son briefing, mais il comptait bien la prendre au mot : "l'étaler au sol" afin de pouvoir aller plus loin avec la guerrière qui avait gagné son respect. Celle-ci n'avait jamais vraiment quitté ses pensées depuis cette nuit dans une des nombreuses tavernes d'Ikusa, et une occasion pareille, Huldrom ne la raterait pas.
Alors que le Nain patrouillait sur la place, passant dans les différentes allées et regardant avec envie les étals des marchands, Huldrom arriva au stand qu'il cherchait, surmonté d'une banderole au texte bleu clignotant. Original, même si le Nain n'était pas choqué, connaissant le personnage de la propriétaire. Le stand Grisepierre avait apparemment beaucoup de succès : de nombreuses personnes y étaient déjà ! Des femmes cornues, un étrange personnage ressemblant à une souris et tenant un bouquet de fleur, un humain au cheveux blancs .... Un homme aux cheveux blancs ?
Le hasard fait apparemment bien les choses, car dans ce rassemblement se trouvaient des personnes qu'Huldrom avait déjà rencontrés : Tagar Reys, ou le "gratte-papier", un contrôleur impérial. Zaïn Tevon-Duncan, ou "longues-oreilles", un pugiliste et tenancier d'arène. Et évidemment, Gerda Grisepierre, pimpante comme à son habitude, et manifestement très satisfaite d'avoir autant de visite sur son stand.
Le soldat se dirigea nonchalamment vers le stand animé, tout en réfléchissant inconsciemment à des surnoms pour les personnes qu'il allait rencontrer pour la première fois.
- Résumé:
- Huldrom est affecté à la sécurité de l'événement, et patrouille dans les allées du festival, pestant contre son sort car il n'a pas le droit de toucher à son breuvage préféré. Il se dirige vers le stand de Gerda, espérant pouvoir réserver une pinte de bière pour la fin de son service, et remarque de plusieurs de ses connaissances y sont rassemblées.
CENDRES
Invité
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- Voyez vous cela ? Dis-je amusée à Zain. "Des vertes et des pas mures ?"
Une moue amusée étire ma frimousse. L'expression cache certainement de belles et fameuses anecdotes. Dont au moins une concerne cette fille que Tagar aurait déjà embrassée. Une connaissance commune aux deux garçons certainement. Puisque nous en sommes à discuter et à s'amuser, je lance à la cantonade, de manière à ce que qui aurait envie se sente le droit de répondre.
- Vous comptez participer à un de ces concours ?
J'espère intérieurement qu'aucun ne répondra "le lancer de nains". Bien que populaire, ce sport a quelque chose d'assez dégradant pour les miens je trouve. Mais il se trouve toujours un jeune courte-barbe aventureux et plein d'autodérision prêt à accepter le rôle contre juste compensation. Ca vaut toujours mieux qu'utiliser des esclaves pour ça.
- Personnellement, j'attend avec impatience le concert de Roméo Trobo. On dit ses textes formidables !
Ses chansons sont un peu cuculs à l'eau de rose ? Peut-être. Mais une naine solitaire n'a pas le droit de rêver un peu ??
Marceline me glisse une question discrète. Je lève le nez un instant pour réfléchir. Est-ce que je suis au courant de l'existence de la souricette dans la vie de Marceline ? Bien sûr. Indirectement on va dire, on a jamais été directement présentées. Mais quand on travaille longtemps avec quelqu'un, on finit par savoir quand quelque chose fait battre son coeur. Il y a des soupirs éloquents, des petites marques d'attentions. Comme la préoccupation de trouver un cadeau pour sa moitié. Je trouve ca adorable.
- Tu as raison, on doit profiter aussi de la fête. Tout est faisable en bijouterie, le tout est de trouver un modèle harmonieux qui sera joli. Elle a les oreilles perc... ? Whou bonjour Rachelle !
Oooh quand on parle de la souris on en voit la queue. J'espère qu'elle ne m'a pas entendue sinon la surprise serait éventée avant même d'avoir pu être envisagée.
- C'est Gerda
Dis-je pour renseigner l'aveugle sur l'identité de ma voix. Je peux imaginer qu'elle me connait de nom autant que je la connais de loin ? Voyant le bouquet en main et percevant le langage corporel des deux amoureuses, je décide qu'il est opportun pour moi de m'éloigner et de leur laisser un peu d'intimité ! Et quel meilleur prétexte trouver qu'aller agresser un nain de ma connaissance que je viens d'apercevoir patrouiller non loin de notre stand !
Nos regards se croisent et mon sourire s'élargit.
- Heyy Huldrom !
Je n'hésite pas aller à la rencontre du janissaire même si ses pas avaient déjà amorcé une approche vers nous. Je quitte bien provisoirement mon comptoir où de toutes façons d'autres petites mains s'affairent à distribuer la bière.
- Quelle surprise ! Comment tu vas ? Viens donc goûter notre bière.
Franche et engageante, je n'hésite pas à lui attraper d'autorité le bras pour l'inciter à avancer vers le comptoir. Un geste qui ferait sans doutes sourciller ses officiers s'ils le voyaient. Heureusement, deux nains parmi la foule, on ne fait pas vraiment partie des "têtes qui dépassons" dirons nous. J'aime bien chahuter un peu ce nain beaucoup trop sérieux pour son bien.
- Alors, quand est-ce qu'on prévoit de reprendre le trône de Gir Maldir ? J'ai hâte de te forger une couronne.
Une plaisanterie bien sûr. Le genre de projet fou et impensable que nous avons évoqué lors de notre retour de la forteresse abandonnée. Mon esprit fertile une fois un peu éméché invente des choses incroyables.
Résumé :
Gerda papotte. Ca vous surprend ? Quand elle voit que l'amoureuse de Marceline la rejoint, elle leur laisse un peu de tranquilité et profite de l'arrivée de Huldrom pour aller s'accrocher au bras du nain.
Une moue amusée étire ma frimousse. L'expression cache certainement de belles et fameuses anecdotes. Dont au moins une concerne cette fille que Tagar aurait déjà embrassée. Une connaissance commune aux deux garçons certainement. Puisque nous en sommes à discuter et à s'amuser, je lance à la cantonade, de manière à ce que qui aurait envie se sente le droit de répondre.
- Vous comptez participer à un de ces concours ?
J'espère intérieurement qu'aucun ne répondra "le lancer de nains". Bien que populaire, ce sport a quelque chose d'assez dégradant pour les miens je trouve. Mais il se trouve toujours un jeune courte-barbe aventureux et plein d'autodérision prêt à accepter le rôle contre juste compensation. Ca vaut toujours mieux qu'utiliser des esclaves pour ça.
- Personnellement, j'attend avec impatience le concert de Roméo Trobo. On dit ses textes formidables !
Ses chansons sont un peu cuculs à l'eau de rose ? Peut-être. Mais une naine solitaire n'a pas le droit de rêver un peu ??
Marceline me glisse une question discrète. Je lève le nez un instant pour réfléchir. Est-ce que je suis au courant de l'existence de la souricette dans la vie de Marceline ? Bien sûr. Indirectement on va dire, on a jamais été directement présentées. Mais quand on travaille longtemps avec quelqu'un, on finit par savoir quand quelque chose fait battre son coeur. Il y a des soupirs éloquents, des petites marques d'attentions. Comme la préoccupation de trouver un cadeau pour sa moitié. Je trouve ca adorable.
- Tu as raison, on doit profiter aussi de la fête. Tout est faisable en bijouterie, le tout est de trouver un modèle harmonieux qui sera joli. Elle a les oreilles perc... ? Whou bonjour Rachelle !
Oooh quand on parle de la souris on en voit la queue. J'espère qu'elle ne m'a pas entendue sinon la surprise serait éventée avant même d'avoir pu être envisagée.
- C'est Gerda
Dis-je pour renseigner l'aveugle sur l'identité de ma voix. Je peux imaginer qu'elle me connait de nom autant que je la connais de loin ? Voyant le bouquet en main et percevant le langage corporel des deux amoureuses, je décide qu'il est opportun pour moi de m'éloigner et de leur laisser un peu d'intimité ! Et quel meilleur prétexte trouver qu'aller agresser un nain de ma connaissance que je viens d'apercevoir patrouiller non loin de notre stand !
Nos regards se croisent et mon sourire s'élargit.
- Heyy Huldrom !
Je n'hésite pas aller à la rencontre du janissaire même si ses pas avaient déjà amorcé une approche vers nous. Je quitte bien provisoirement mon comptoir où de toutes façons d'autres petites mains s'affairent à distribuer la bière.
- Quelle surprise ! Comment tu vas ? Viens donc goûter notre bière.
Franche et engageante, je n'hésite pas à lui attraper d'autorité le bras pour l'inciter à avancer vers le comptoir. Un geste qui ferait sans doutes sourciller ses officiers s'ils le voyaient. Heureusement, deux nains parmi la foule, on ne fait pas vraiment partie des "têtes qui dépassons" dirons nous. J'aime bien chahuter un peu ce nain beaucoup trop sérieux pour son bien.
- Alors, quand est-ce qu'on prévoit de reprendre le trône de Gir Maldir ? J'ai hâte de te forger une couronne.
Une plaisanterie bien sûr. Le genre de projet fou et impensable que nous avons évoqué lors de notre retour de la forteresse abandonnée. Mon esprit fertile une fois un peu éméché invente des choses incroyables.
Résumé :
Gerda papotte. Ca vous surprend ? Quand elle voit que l'amoureuse de Marceline la rejoint, elle leur laisse un peu de tranquilité et profite de l'arrivée de Huldrom pour aller s'accrocher au bras du nain.
Invité
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Tagar répondit le premier, faisant remarquer qu’elle aimait bien les chapeaux. En fait, elle avait son chapeau qui ne la quittait jamais et je serais bien maladroite de lui en offrir un nouveau.
Je répondis à Gerda que je ne comptais pas participer aux concours, le lancer de nains me déplaisant et la beuverie étant de toute façon perdu d’avance, et c’était sans parler du fait que ça me faisait très peur de perdre connaissance. Seul le concours de la meilleure bière pouvait m’intéresser mais je laisserait Gerda elle-même participer avec notre création commune.
Pendant qu’elle me répondait à propos de la fête et des oreille de celle qui faisait battre mon coeur, je sentis qu’on me tirait sur la manche. Avant même de me retourner j’entendis Gerda saluer Rachelle et mon coeur bondit dans ma poitrine.
—Rachelle, tu es venue !
Elle me présentait un bouquet en même temps que ses excuses ; je pris le premier pour accepter les seconds et mon amour se retrouva dans mes bras au moment où elle finissait sa dernière phrase.
—T’en fais pas pour ça ; tu es là, c’est tout ce qui compte ! Bien sûr que je te pardonne. J’espère d’ailleurs ne pas avoir trop insisté, je m’en voudrais que tu te sois sentie forcée à venir.
Je m’écartais pour la regarder et lui embrasser la joue. Nous étions en public, je n’allais pas étaler notre relation devant tout le monde. Mais je lui pris la main et ne comptait pas la lâcher.
Je cherchai ensuite des yeux Gerda en humant le bouquet – Elle en avait choisi un parfum délicieux – qui tenait désormais fermement le bras d’un nain en uniforme. Décidément elle connaissait tout le monde.
Je glissais à Rachelle que ses fleurs étaient parfaites et décidai de les garder en main ; j’userais de ma télékinésie si il venait à me manquer des bras.
— tu veux peut-être boire un coup, Rachelle ? C’est la Bleuette que j’ai créée avec Gerda, et sans vouloir me vanter, moi je la trouve bonne !
Je nous en servis d’ailleurs une choppe chacune avec ma télékinésie et commença à boire dans la mienne. J’entendis à ce moment Gerda parler de faire goûter notre bière à son ami nain et lui en servit une choppe, toujours à l’aide de ma télékinésie. Un des meilleurs choix que j’avais jamais fait, celui d’apprendre cet art.
Je répondis à Gerda que je ne comptais pas participer aux concours, le lancer de nains me déplaisant et la beuverie étant de toute façon perdu d’avance, et c’était sans parler du fait que ça me faisait très peur de perdre connaissance. Seul le concours de la meilleure bière pouvait m’intéresser mais je laisserait Gerda elle-même participer avec notre création commune.
Pendant qu’elle me répondait à propos de la fête et des oreille de celle qui faisait battre mon coeur, je sentis qu’on me tirait sur la manche. Avant même de me retourner j’entendis Gerda saluer Rachelle et mon coeur bondit dans ma poitrine.
—Rachelle, tu es venue !
Elle me présentait un bouquet en même temps que ses excuses ; je pris le premier pour accepter les seconds et mon amour se retrouva dans mes bras au moment où elle finissait sa dernière phrase.
—T’en fais pas pour ça ; tu es là, c’est tout ce qui compte ! Bien sûr que je te pardonne. J’espère d’ailleurs ne pas avoir trop insisté, je m’en voudrais que tu te sois sentie forcée à venir.
Je m’écartais pour la regarder et lui embrasser la joue. Nous étions en public, je n’allais pas étaler notre relation devant tout le monde. Mais je lui pris la main et ne comptait pas la lâcher.
Je cherchai ensuite des yeux Gerda en humant le bouquet – Elle en avait choisi un parfum délicieux – qui tenait désormais fermement le bras d’un nain en uniforme. Décidément elle connaissait tout le monde.
Je glissais à Rachelle que ses fleurs étaient parfaites et décidai de les garder en main ; j’userais de ma télékinésie si il venait à me manquer des bras.
— tu veux peut-être boire un coup, Rachelle ? C’est la Bleuette que j’ai créée avec Gerda, et sans vouloir me vanter, moi je la trouve bonne !
Je nous en servis d’ailleurs une choppe chacune avec ma télékinésie et commença à boire dans la mienne. J’entendis à ce moment Gerda parler de faire goûter notre bière à son ami nain et lui en servit une choppe, toujours à l’aide de ma télékinésie. Un des meilleurs choix que j’avais jamais fait, celui d’apprendre cet art.
- résumé:
- Marceline répond aux gens, puis fais un gros câlin à rachelle avant de l’embrasser sur la joue et de lui prendre la main pour ne plus la lâcher. Puis elle sert de la bleuette à elle-même, à Rachelle et à Huldrom à l’aide de sa télékinésie.
Citoyen du Reike
Rachelle Virsce
Messages : 63
crédits : 3940
crédits : 3940
Info personnage
Race: Hybride - Souris
Vocation: Guerrier Assassin
Alignement: Loyal bon
Rang: C
Super titre du RP
Ce fut tout d’abord une voix masculine qui vint à ses oreilles. Une voix qu’elle avait déjà pu entendre par le passé. Un passé lointain de quelques années. Le possesseur de la voix n’avait pas réellement besoin de se présenter car elle n’oublierait pas si facilement le contrôleur qui lui avait autrefois été d’une grande aide avec ses conseils sur la gestion du Reike. Une pensée lui traversa néanmoins l’esprit. Elle se souvenait de cette discussion avec Marceline sur Tagar qui, sans le vouloir, l’avait mise dans une situation plus que délicate lors des événements de la Flèche. Toutefois, la souris ne pensait pas le contrôleur mauvais. Il n’avait fait que son travail, non, elle savait pertinemment qui était la personne étant responsable principale des malheurs qu’avaient dû subir l’elfe cornue. Et cette personne avait disparu depuis longtemps.
Elle s’inclina tout d’abord en direction de la voix de Tagar.
—Je suis heureuse d’apprendre que vous vous portez bien Sir Reys, déclara Rachelle avant de relever la tête. La guerre n’a été tendre avec personne alors c’est toujours un plaisir d’entendre une voix familière me prouvant la survie d’un de mes compagnons d’armes. Il faudra que vous me racontiez votre histoire à l’occasion. Je ne peux qu’imaginer votre présence en Shoumei durant ces terribles années. Mais pour l’heure. (Elle afficha un léger sourire.) Je ne désire pas parler de ce temps où nous croisions les armes contre les ennemis de l’Empire. Je suis ici pour me concentrer sur le présent, et profiter de la fête. Je vous souhaite également d’en profiter pleinement, contrôleur Reys.
Elle n’expliqua pas comment elle avait perdu la vue, de toute manière ils auraient l’occasion de discuter de sujets plus graves et de retracer la guerre une fois la fête terminée. L’heure était aux réjouissances et à l'alcool.
Elle se tourna vers Marceline qui lui avait pris la main. La serrant doucement, elle ne put s’empêcher de sourire, le cœur léger. Une fois de plus, l’elfe avait raison. Sortir lui faisait un bien fou.
Elle se retourna en direction d’une voix provenant plus bas. Une enfant ici ? Elle pensa tout d’abord à déclarer que ce n’était pas sérieux d’emmener un mineur à une fête basée sur l’alcool, mais lorsque cette dernière donna son nom, la souris assembla finalement les pièces du puzzle.
Elle se souvenait que Marceline lui avait un jour compté sa rencontre avec une naine se prénommant ainsi.
Elle se relâcha donc.
—C’est un plaisir de faire votre connaissance dame Gerda, dit finalement la souris en s’inclinant légèrement par politesse. Marceline m’a parlé de vous. En bien.
Et finalement, elle se tourna vers l’élue de son cœur qui lui avait offert son pardon. Une fois de plus, la souris pensa qu’elle ne méritait pas les sentiments de l’elfe.
—Tu as bien fait d’insister, lui souffla-t-elle. Ne te tracasse pas avec ça. Une fois de plus, tu avais raison.
Elle lui caressa discrètement la main. Avant de répondre à sa proposition.
—Boire ? Je crois que tu m’avais déjà parlé de cette bleuette mais je n’avais encore jamais eu le luxe de la tester. C’est la fameuse bière qui… (Elle s’arrêta finalement au milieu de sa phrase en se mordant un peu l’intérieur de la joue.) E-enfin, la fameuse bleuette. Je veux bien y goûter oui. Si vous avez mis du cœur à l’ouvrage, je ne vois pas pourquoi elle ne serait pas délicieuse.
- Résumé:
- —Rachelle salue Tagar en lui indiquant qu'elle est heureuse de le savoir en vie et lui indique qu'elle aimerait bien discuter de sujets plus graves lorsque le moment sera venu.
Elle fait la rencontre de Gerda et ne manque pas de la saluer avec politesse.
Finalement, elle accepte de goûter à cette bleuette.
CENDRES
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