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Citoyen de La République
Ruby Draglame
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- visuel extérieur de mon auberge :
An+3, août
Le lendemain après le combat contre l'orc , je prenais le premier bâteau et je partais rentrer dans mon nouveau chez moi. L'ambiance était toujours bizarre à mon encontre quand j'arrivais ici. Certains étaient aux anges, car ils avaient fait de bonnes affaires grâce à moi et d'autres me voyaient comme une envahisseuse qui s'accaparait aussi les habitations à cause des effets de l'invasion. Je partais directement dans mon auberge et l'automne allait arriver rapidement. J'avais l' idée de convertir une partie du restaurant en petite taverne. Je pensais même louer cette partie pour l'organisation de mariage. Néanmoins, cela correspondait pour les clients très aisés qui pouvaient accaparer tout mon établissement le temps d'un week-end.
Je rentrais donc dans mon auberge et je me tenais au courant des derniers événements qui étaient passés pendant mon absence. Notamment j'apprenais qu'un groupe de marchands avaient pris la moitié des chambres du rez de chaussée pour une sorte de congrès entre eux. Je trouvais ça louche sur le moment, mais ce n'était pas contre le règlement et ils avaient donné un pourboire à chaque fois que l'on livrait les repas dans leurs chambres. Toutefois, les employés de l'accueil constataient des arrivées de personnes étrangères qui venaient dans ces chambres et cela paraissait très étrange.
Je voulais voir de quoi en il en retournait et je me faisais passer pour me une nouvelle client en me colorant les cheveux, les sourcils en noir avec une poudre. Je mettais un bandeau pour couvrir ma cicatrice et je me renseignais à l'extérieur pour savoir comment je pouvais entrer dans ces chambres sans évoquer les soupçons. Je décidais de faire bouger une cliente qui se trouvait juste à côté d'eux et je la plaçais dans une catégorie supérieure pour le désagrement. Je venais quelques jours plus tard et j'attendais le soir pour entendre ce qui se passait là-bas. Mes employés de l'accueil m'avaient averti que les arrivées pour ce groupe de marchands venaient le soir. Je leur demandais de m'avertir si une personne commandait spécifquement l'autre chambre qui était juste à côte de la chambre réservée par le groupe de marchands.
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Myriem de Boktor
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Kaizoku, 1 Aout de l’An 3
Si l’on m’avait dit qu’un jour je mettrais les pieds sur une île aussi mal famée ou de si mauvaise réputation que celle de Kaizouk je crois que je vous aurais ri au nez. Néanmoins j’ai appris qu’il ne fallait pas dire “fontaine je ne boirai jamais de ton eau”, car “jamais” cela n’existe pas et mes convictions je m’assois actuellement un peu trop dessus.
Dans ma recherche de soltions pour extraire mon ami Ruyven de son esclavage est venu une piste. Utiliser le minerai de Justice Solide. Dans quel but étrange me direz-vous? Vous ne voyez pas le lien de manière évidente? Eh bien parce que une théorie avance que pour détruire un tatouage magique Reikois il faudrait utiliser du feu divin, sauf que le dit feu peut s’avérer mortel, du coup, posséder de la justice solide avec soi permettrait d’amoindrir les effets du feu divin sur soi mais pas sur le tatouage.
Voilà pour la nouvelle théorie magique, et comme on dit en théorie tout se passe bien et en pratique… Bah en pratique je débarque donc peu rassurée sur l’île de Kaizoku accompagnée de Wan, d’ordinaire c’était Ruyven mon ombre mais il n’est justement pas là et comme Wan craint pour ma vie…
Maintenant pourquoi Kaizoku me direz vous? Parce qu’il paraîtrait d’après une rumeur récente que des marchands de minerais organisaient une sorte de vente un peu spéciale et pas très diviniste loin de toute autorité. C’est bon je n’ai perdu personne en cours d’explication? Parfait !
Le résultat c’est que je suis ici, sur l'île et que je viens d’entrer dans l’auberge où doivent se tenir les ventes. Je suis arrivée, capuche sur le visage et c’est Wan qui a négocié une chambre, près des marchands, c’était ce qui devait être demandé. Une chambre pour deux que nous partagions. En retrait j’observais sans rien voir de particulier cependant.
Une fois les clés de la chambre du rez de chaussée en main nous sommes allés nous y reposer puis nous nous sommes changés. Il paraissait a visage découvert pour sa part, quand à moi, par excès de zèle ou de paranoia aigue, j’avais choisie une tenue sombre comme souvent, élégante, riche pour le coup et je portais un demi masque ce qui permettait de cacher une partie de mon visage. De longs gants noirs terminaient la tenue.
- Tenue du soir:
Citoyen de La République
Ruby Draglame
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Ruby allait commencer à écouter les discussion de la chambre voisine du groupe de marchands, quand une employée lui fit remarquer qu'un couple avait demandé l'autre chambre adjacente à celle du groupe suspect. Je me demandais une rapide description du couple pour les repérer plus tard dans la soirée.
La rousse savait que les invités arrivaient tard le soir pour être reçus par le groupe de marchands, toutefois cette nuit fut différente des autres. Premièrement, il eut un peu de bruit dans le couloir, et je n'arrivais pas entendre un début de conversation dans ma chambre. Je décidais de sortir pour donner l'impression d'une voisine qui voulait dormir, mais elle ne pouvait pas à cause du son provoqué par le groupes des invités. Ils semblaient attendre devant la porte et l'un des marchands était devant eux. Il comptait les invités et il les scrutait puis il regardait un bout de papier. Je commençais à m'approcher du groupe quand tout à coup il me regardait et il me fit un geste de la main. Il me lança :
« Vous, voilà, mais ou est votre pièce de collection ? »
Je ne savais pas de quoi il parlait sur le moment et je devais improviser. Je pensais prendre ma lame coupée qui était entreposée dans un long étui pour instrument de musique normalement. Je partais la chercher dans ma chambre. Entretemps, ce marchand appelait une employée qui s'apprêtait à déposer le repas devant la porte. Toutefois, elle ne pouvait pas amener le chariot devant la porte à cause du groupe d'invités. Le marchant lui donnait un pourboire afin d'averti le couple. Elle se présentait devant la porte et elle tapait pour se signaler. Dès que celle-ci s'ouvrait, mon employée allait expliquer à la personne qui se serait devant que la soirée allait commencer. Myriem et Yang étaient prévenus un peu en retard et ils devaient rejoindre le groupe d'invités.
Ruby sortit de sa chambre avec son long étui et elle attendait la venue du couple comme les autres invités. Le marchand prenait le chariot et il toqua à la porte avec une manière particulière. Quand il voyait le couple et il poussait la porte. Ruby décidait de rentre en dernière à cause de son étui, mais elle ne fermait pas la marche, c'était le marchand. Le couple allait découvrir l'univers d'un marché clandestin au sein d'un phare.
La rousse savait que les invités arrivaient tard le soir pour être reçus par le groupe de marchands, toutefois cette nuit fut différente des autres. Premièrement, il eut un peu de bruit dans le couloir, et je n'arrivais pas entendre un début de conversation dans ma chambre. Je décidais de sortir pour donner l'impression d'une voisine qui voulait dormir, mais elle ne pouvait pas à cause du son provoqué par le groupes des invités. Ils semblaient attendre devant la porte et l'un des marchands était devant eux. Il comptait les invités et il les scrutait puis il regardait un bout de papier. Je commençais à m'approcher du groupe quand tout à coup il me regardait et il me fit un geste de la main. Il me lança :
« Vous, voilà, mais ou est votre pièce de collection ? »
Je ne savais pas de quoi il parlait sur le moment et je devais improviser. Je pensais prendre ma lame coupée qui était entreposée dans un long étui pour instrument de musique normalement. Je partais la chercher dans ma chambre. Entretemps, ce marchand appelait une employée qui s'apprêtait à déposer le repas devant la porte. Toutefois, elle ne pouvait pas amener le chariot devant la porte à cause du groupe d'invités. Le marchant lui donnait un pourboire afin d'averti le couple. Elle se présentait devant la porte et elle tapait pour se signaler. Dès que celle-ci s'ouvrait, mon employée allait expliquer à la personne qui se serait devant que la soirée allait commencer. Myriem et Yang étaient prévenus un peu en retard et ils devaient rejoindre le groupe d'invités.
Ruby sortit de sa chambre avec son long étui et elle attendait la venue du couple comme les autres invités. Le marchand prenait le chariot et il toqua à la porte avec une manière particulière. Quand il voyait le couple et il poussait la porte. Ruby décidait de rentre en dernière à cause de son étui, mais elle ne fermait pas la marche, c'était le marchand. Le couple allait découvrir l'univers d'un marché clandestin au sein d'un phare.
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Myriem de Boktor
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Devrai-je préciser que jamais ni Wan ni moi n’avions approché même de loin quelque chose d’un peu illégal ou non conventionnel? Dois-je préciser que nous avancions totalement à l’aveugle dans cette histoire? Nous avions appris que des métaux rares allaient être mis en vente, nous avions trouvé le lieu et par le biais d’un miracle des divins sans nul doute nous avions réussi à faire parti des invités à cette vente atypique.
Nous avions avec nous un vase ancien, millénaire même, qui venait de la famille Jing pour tout dire, un vase d’exception de par son âge, mais était-ce le genre d’objet qui susciterait l’intérêt nous n’en savions rien du tout, il avait une valeur plus que certaine et sur le marché de l’Art pourrait se vendre un très très bon prix.
Nous attendions donc la suite des événements quand on vint nous chercher, c’était l’heure. Nous étions prêts, dissimulés derrière des masques pour ne pas être reconnues, même si personne ne devait nous connaître. Nous avons pris le vase et nous sommes sortis de la chambre, c’était pesant comme ambiance de ne pas savoir ce qu’il allait se passer et comment.
Nous avons suivi la servante qui nous mena jusqu’au gorille gardant la porte de la suite du rez de chaussée, la plus grande “chambre” avait donc été choisie pour se faire. Derrière nous une belle rousse qui tenait une lame ancienne.
Sans rien dire, nous avons montré notre “objet” au cerbère. Il le prit et l’observa, étude attentive il n’était pas qu’un simple tas de muscle.
- C’est bon entrez, asseyez vous, et attendez le début des échanges pour parler, vous ne devez jamais initier un échange sinon vous ressortez immédiatement. Pas de question sur pourquoi et comment, combien ou quoi sont les seules questions possibles.
Il ouvrit la porte et nous laissa entrer dans la chambre changée en une sorte de salle de ventes, elle était pleine à craquer et chacun transportait des objets anciens, étranges parfois mais surement rares. Derrière nous la rousse fut accueillie de la même façon et la présentation de son épée même cassée lui valu le droit de rentrer à son tour.
Nous n’avions pas encore bougé, ne sachant pas trop quoi et comment chercher, aucun de nous deux n’était expert en minerai rare bien entendu, et nous n’avions que des on-dits pour reconnaître de la justice solide. Nos regards balayaient les étals, scrutaient les mains des gens.
Je me tournais vers Wan, seule la rousse qui entrait à ce moment put elle aussi entendre ma question.
- Et maintenant comment on reconnait du minerai de justice solide dans ce foutoir organisé où on ne peut poser aucune question?
Nous avions avec nous un vase ancien, millénaire même, qui venait de la famille Jing pour tout dire, un vase d’exception de par son âge, mais était-ce le genre d’objet qui susciterait l’intérêt nous n’en savions rien du tout, il avait une valeur plus que certaine et sur le marché de l’Art pourrait se vendre un très très bon prix.
Nous attendions donc la suite des événements quand on vint nous chercher, c’était l’heure. Nous étions prêts, dissimulés derrière des masques pour ne pas être reconnues, même si personne ne devait nous connaître. Nous avons pris le vase et nous sommes sortis de la chambre, c’était pesant comme ambiance de ne pas savoir ce qu’il allait se passer et comment.
Nous avons suivi la servante qui nous mena jusqu’au gorille gardant la porte de la suite du rez de chaussée, la plus grande “chambre” avait donc été choisie pour se faire. Derrière nous une belle rousse qui tenait une lame ancienne.
Sans rien dire, nous avons montré notre “objet” au cerbère. Il le prit et l’observa, étude attentive il n’était pas qu’un simple tas de muscle.
- C’est bon entrez, asseyez vous, et attendez le début des échanges pour parler, vous ne devez jamais initier un échange sinon vous ressortez immédiatement. Pas de question sur pourquoi et comment, combien ou quoi sont les seules questions possibles.
Il ouvrit la porte et nous laissa entrer dans la chambre changée en une sorte de salle de ventes, elle était pleine à craquer et chacun transportait des objets anciens, étranges parfois mais surement rares. Derrière nous la rousse fut accueillie de la même façon et la présentation de son épée même cassée lui valu le droit de rentrer à son tour.
Nous n’avions pas encore bougé, ne sachant pas trop quoi et comment chercher, aucun de nous deux n’était expert en minerai rare bien entendu, et nous n’avions que des on-dits pour reconnaître de la justice solide. Nos regards balayaient les étals, scrutaient les mains des gens.
Je me tournais vers Wan, seule la rousse qui entrait à ce moment put elle aussi entendre ma question.
- Et maintenant comment on reconnait du minerai de justice solide dans ce foutoir organisé où on ne peut poser aucune question?
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Ruby Draglame
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Je n'en croyais pas mes yeux, quand je voyais la scène qui se déroulait devant moi. Je devais arrêter tout de suite, mais sans que soit la bagarre générale. Il y avait ce soit-disant garde qui faisait respecter l'ordre et la femme brune masquée devant moi lançait une question à voix haute. Je profitais de ce moment pour sortir mon arme de la malle et je lui répondais amicalement :
« En règle générale, ils vont annoncer le type de pièrre est présentée comme mon épée cassée qui est faite en justice solide. Toutefois …. »
Je m'arrêtais et je décidais de retirer mon bandeau et je reprenais en faisant face au garde du corps mon armé pointée vers lui :
« Vous allez ramasser vos cliques et vos claques de mon auberge, sinon je fais appel aux autorités. Si quelqu'un ose venir je vais emmener votre garde directement aux autorités et il va se montrer très bavard pour sauver sa peau. Vous partez ce soir et je me répète. Il n'y aura pas de remboursement et dépêchez vous . »
Je m'arrêtais et je lançais plus fort :
« Vous allez renseigner Madame sur le lieu où l'on peut mieux la renseigner sur les pièrres rares. Vous devez sûrement connaître quelqu'un qui a ce savoir. Allez allez, une information pour Madame »
Je stoppais et je regardais si les marchands allaient suivre mon ultimatum. J'avais tous mes sens aiguisés et je me concentrais fortement pour faire un déplacement instantannée. Des pétales de couleurs commençaient à joncher le sol de la pièce et ils formaient une courbe.
« En règle générale, ils vont annoncer le type de pièrre est présentée comme mon épée cassée qui est faite en justice solide. Toutefois …. »
Je m'arrêtais et je décidais de retirer mon bandeau et je reprenais en faisant face au garde du corps mon armé pointée vers lui :
« Vous allez ramasser vos cliques et vos claques de mon auberge, sinon je fais appel aux autorités. Si quelqu'un ose venir je vais emmener votre garde directement aux autorités et il va se montrer très bavard pour sauver sa peau. Vous partez ce soir et je me répète. Il n'y aura pas de remboursement et dépêchez vous . »
Je m'arrêtais et je lançais plus fort :
« Vous allez renseigner Madame sur le lieu où l'on peut mieux la renseigner sur les pièrres rares. Vous devez sûrement connaître quelqu'un qui a ce savoir. Allez allez, une information pour Madame »
Je stoppais et je regardais si les marchands allaient suivre mon ultimatum. J'avais tous mes sens aiguisés et je me concentrais fortement pour faire un déplacement instantannée. Des pétales de couleurs commençaient à joncher le sol de la pièce et ils formaient une courbe.
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Myriem de Boktor
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J’avoue j’étais totalement perdue quand à l’événement auquel nous participions, nous étions des gens honorables et nous avions cru avoir une opportunité de participer à une vente aux enchères de métaux précieux. Nous aurions pu nous montrer plus pragmatiques et moins naïfs sûrement et nous dire que si cela avait lieu sur Kaizoku c’est que cela n’était rien d’autre qu’un événement totalement illégal et… loin de notre monde et de nos convictions originelles, voulons nous vraiment nous fourvoyer avec des malandrins ou pirates de ce monde? Pas vraiment.
Une jeune femme s’adressa à nous et répondis à notre interrogation, son épée était dans le métal que nous cherchions.
-- Vous ne vendez pas votre épée par hasard?
Autant chercher une réponse simple à notre problème non? Mais hélas nous n’avons pas eu le temps de faire quoi que ce soit que la jeune femme ôta le bandeau qu’elle avait sur l’oeil. Mais pourquoi diable avait-elle fait cela? Pourquoi se cacher derrière un tel artifice alors qu’elle avait deux yeux fonctionnels?
Elle prit la parole et expliqua en quelques secondes que la vente aux enchères était annulée, que tous allaient devoir quitter les lieux dans les plus brefs délais sous peine d’être arrêtés par les autorités. Incrédules, dans l’incompréhension nous avons entendu ensuite sa requête sur la pierre de justice.
Pour le coup un des marchands se leva et s’avança.
- Mais bien entendu, nous allons vous donner cette information, cela va de soit, vous annulez notre vente alors que nous avons payé pour l’usage de ces lieux, il n’y a nul combat, nulle rixe, nul conflit mais vous nous refusez de travailler. Vous êtes une voleuse. Alors votre pierre de justice vous allez la trouver au fond de votre séant vous et la brune, bien profondément inserée. Gardez la précieusement et sachez que plus un marchand ne viendra dans cette auberge vu votre peu de parole. Prendre l’argent c’est simple, tenir un engagement…
Il cracha au sol et retourna prendre ses affaires. Les autres marchands firent de même, ils ne voulaient pas d’ennuis, ils avaient cru que la tenancière du lieu avait conscience de cette vente aux enchères, elle était connue, prévue et ils avaient payé rubis sur l’ongle et sauraient s’en souvenir.
En silence, dans le calme, ils sortirent tous avec leurs lots qu’ils n’avaient pu vendre. Les clients, comme Wan et moi étaient totalement sous le choc de cet arrêt de la vente avant même qu’elle ne début, quelle dévaine. Mais nous ne souhaitions pas le moindre ennui aussi nous avons poliment salué la belle rousse, et avons quitté les lieux après avoir repris nos affaires. On ne m’y reprendrait plus à vouloir traiter avec des gens de Kaizoku.
Une jeune femme s’adressa à nous et répondis à notre interrogation, son épée était dans le métal que nous cherchions.
-- Vous ne vendez pas votre épée par hasard?
Autant chercher une réponse simple à notre problème non? Mais hélas nous n’avons pas eu le temps de faire quoi que ce soit que la jeune femme ôta le bandeau qu’elle avait sur l’oeil. Mais pourquoi diable avait-elle fait cela? Pourquoi se cacher derrière un tel artifice alors qu’elle avait deux yeux fonctionnels?
Elle prit la parole et expliqua en quelques secondes que la vente aux enchères était annulée, que tous allaient devoir quitter les lieux dans les plus brefs délais sous peine d’être arrêtés par les autorités. Incrédules, dans l’incompréhension nous avons entendu ensuite sa requête sur la pierre de justice.
Pour le coup un des marchands se leva et s’avança.
- Mais bien entendu, nous allons vous donner cette information, cela va de soit, vous annulez notre vente alors que nous avons payé pour l’usage de ces lieux, il n’y a nul combat, nulle rixe, nul conflit mais vous nous refusez de travailler. Vous êtes une voleuse. Alors votre pierre de justice vous allez la trouver au fond de votre séant vous et la brune, bien profondément inserée. Gardez la précieusement et sachez que plus un marchand ne viendra dans cette auberge vu votre peu de parole. Prendre l’argent c’est simple, tenir un engagement…
Il cracha au sol et retourna prendre ses affaires. Les autres marchands firent de même, ils ne voulaient pas d’ennuis, ils avaient cru que la tenancière du lieu avait conscience de cette vente aux enchères, elle était connue, prévue et ils avaient payé rubis sur l’ongle et sauraient s’en souvenir.
En silence, dans le calme, ils sortirent tous avec leurs lots qu’ils n’avaient pu vendre. Les clients, comme Wan et moi étaient totalement sous le choc de cet arrêt de la vente avant même qu’elle ne début, quelle dévaine. Mais nous ne souhaitions pas le moindre ennui aussi nous avons poliment salué la belle rousse, et avons quitté les lieux après avoir repris nos affaires. On ne m’y reprendrait plus à vouloir traiter avec des gens de Kaizoku.
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Ruby Draglame
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J'étais satisfaite de la tournure dont les choses prenaient. J'attendais que tout le monde sortait de la chambre et je sifflais une employée dans le couloir pour commencer à nettoyer toutes les chambres occupées par ses marchands. J'allais dans le couloir et je rengainais mon arme dans l'étui. Je commençais à me diriger vers l'accueil pour voir la réaction du chef des marchands, en tout cas celui qui avait réservé une bonne partie des chambres du rez de chaussée.
Il rendait les differentes clefs avec un air énervé, mais il allait avoir une surprise quand il s'apprêtait à repartir. Le personnel lui tendait dixcrètement une bourse qui correspondait au nombre de jours restants non occupés par son groupe. Il s'apprêtait à remercier et il ne comprenait pas mon comporteement dans la chambre. Il vit qu'il y avait une mot qui mentionnait de ne pas faire de commentaire et de partir sans un mot. Ruby mentionnait qu'elle avait agit ainsi dans l'intérêt des deux partis. Elle lui rappelait que l'ile était sous loi martiale et sa taverne n'était plus un havre pour ce genre commerce maintenant.
La rousse observait le groupe de marchands très énervés sortir de l'auberge dans la soirée. Elle partait dans son appartement qui se situait tout en haut de l'auberge.
Il rendait les differentes clefs avec un air énervé, mais il allait avoir une surprise quand il s'apprêtait à repartir. Le personnel lui tendait dixcrètement une bourse qui correspondait au nombre de jours restants non occupés par son groupe. Il s'apprêtait à remercier et il ne comprenait pas mon comporteement dans la chambre. Il vit qu'il y avait une mot qui mentionnait de ne pas faire de commentaire et de partir sans un mot. Ruby mentionnait qu'elle avait agit ainsi dans l'intérêt des deux partis. Elle lui rappelait que l'ile était sous loi martiale et sa taverne n'était plus un havre pour ce genre commerce maintenant.
La rousse observait le groupe de marchands très énervés sortir de l'auberge dans la soirée. Elle partait dans son appartement qui se situait tout en haut de l'auberge.
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