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    Citoyen de La République
    Citoyen de La République
    Vermine
    Vermine
    Messages : 24
    crédits : 398

    Info personnage
    Race: Liche
    Vocation: Mage soutien
    Alignement: Neutre
    Rang: C
    qui suis-je ?:
    https://www.rp-cendres.com/t4206-vermine-termineehttps://www.rp-cendres.com/t4229-les-liens-de-vermine#40144https://www.rp-cendres.com/t4228-chronologie-vermine#40143
  • Mar 1 Oct - 16:47
    Vermine
    Race : Liche (anciennement humaine)
    Sexe : F
    Age : Environ 60 ans
    Métier : Limier
    Taille & poids : 1m67 | 49 kg
    Alignement : Neutre neutre
    Faction : République
    Rang : C
    Religion : Athée
    Avatar : OC

    Pouvoirs et objets


    Vocation : Mage soutien

    Ombre P1 -> 300 crédits
    Ombre P2 -> 600 crédits
    Télépathie P1 -> 250 crédits
    Nyctalopie -> 300 crédits
    Téléportation P1 -> 250 crédits
    Guérison des poisons, maladies et envoûtementsP1 -> 250 crédits
    Soin élémentaire P1 -> 250 crédits
    Soin élémentaire P2 -> 500 crédits
    Renforcement P1 -> 1000 Crédits

    Ce qui nous laisse un total de : 3700 crédits

    Immunité : Ombre
    Faiblesse : Lumière

    Description physique et mentale

    Vermine n’a jamais été un enfant de cœur. Ayant grandi dans les ruelles malfamées et exigus de la capitale, les pieds dans la boue jusqu’à avoir économisé assez d’argent pour s’offrir sa première vraie paire de chaussure et cadette d’une tripotée de marmot dont la moitié n’était qu’à moitié de son sang, elle a toujours possédé un caractère particulièrement marqué et une persévérance hors norme. Son entrée chez les Limiers n’a fait que forger un caractère déjà bien établi, faisant d’elle un soldat redoutable et soigneux. Ce sera toutefois sa mort ainsi que sa renaissance puis ensuite ses années de servitude qui feront de Vermine ce qu’elle est aujourd’hui.

    Son esprit oscille entre la raison et la folie, arpentant son cerveau comme un funambule sur un fil en attendant de savoir de quel côté va pencher la balance. D’ailleurs, personne n’est capable d’expliquer ce qui permet à Vermine de ne pas perdre complètement les pédales et chacun y va de sa petite supposition. La théorie la plus connue étant tout simplement liée à sa nature de liche. Pour autant, la jeune femme n’en a cure et se contente de cacher au mieux la démence qui la ronge de l’intérieur. Pas encore complètement détruite, elle s’est néanmoins vu retirer son rang de prévôt avant la fin de l’année pour laquelle elle avait été nommée, dues à quelques instabilités, bien que cela remonte à de nombreuses années, Vermine l'a toujours en travers de la gorge. Trop utile et pas suffisamment folle pour être enfermée une bonne fois pour toute, elle a tout de même conscience d’être sur une pente qui devient doucement mais sûrement glissante. Heureusement, la folie au Razkaal est une chose bien moins étrange pour les limiers que pour le commun des mortels et la tolérance y est bien plus grande.

    Du reste, Vermine apprécie les mauvaises blagues, l’humour noir, les grossièretés et les séances de torture. Elle n’a qu’une très petite conscience des politesses d’usage -non parce qu’elle est idiote mais parce qu’elle n’en a rien à foutre- et préfère la solitude aux grandes réunions amicales. Elle n’apprécie guère qu’on lui pose des questions au sujet de son passé. Principalement car cela lui rappelle qu’elle n’en garde que de maigres souvenirs,  son propre prénom lui est devenu étranger, remplacé par le surnom que les limiers lui ont donné : Vermine.

    Efficace, Persévérante, Franche, Réaliste, Soigneuse, Pessimiste, Colérique, Sadique, Grossière, Lunatique

    Grande et mince, pour ne pas dire maigrichonne, Vermine tient plus du spectre que de l’humain. Bien souvent enveloppée dans un nuage d’ombre qui rend sa silhouette brumeuse, elle ne s’encombre pas de fioriture et porte presque quotidiennement sa tenue de Limier -un justaucorps noir avec un pantalon tout aussi sombre, agrémenté ou non d’une armure en cuir souple qui lui permet de se déplacer aisément-, elle ne possède aucun bijou de valeur, seulement quelques babioles de son ancienne vie dont elle ne se souvient même plus la signification et qui n’ont pas vraiment de valeur. A l’instar de sa tenue, la jeune -plus ou moins- femme ne prend guère soin de ses cheveux qu’elle laisse librement retomber sur ses épaules, dans un méli mélo de boucles sombre qui lui tombent souvent sur le nez, s’enroulant parfois dans ses ombres à tel point que l’on peine à distinguer les uns des autres. Elle fait tout de même l’effort de les attacher lorsque c’est nécessaire -et qu’on lui force la main-.

    Ses yeux opalins mais surtout luminescent sont le symptômes principal de sa condition, les autres sont tout de même évident bien que moins notables ; sa peau n’inspire pas la santé et oscille entre un blanc transparent et un gris perle, contrastant avec les gigantesques cernes  noirs qui tombent sous ses yeux et ses lèvres bleue nuit. En sommes, Vermine n’est rien de plus que le vestige d’une femme qui a été jolie mais qui n’est désormais plus que la moitié de ce qu’elle a été.

    Son corps, on l’on compte aisément les côtes mais où l’on cherche les formes, est marqué par ses années de service. Parcouru de cicatrices blanchâtres, à la limite de la transparence, il n’a rien à envier aux hommes les plus valeureux. Sauf peut-être la capacité de guérison de la troisième phalange de son auriculaire droit. Coupée lors d’une mission plusieurs décennies auparavant, Vermine s’échine depuis tout ce temps à la recoller via des points de suture et autres magies, sans succès. Il n’est donc pas rare de retrouver ladite phalange dans sur un coin de bureau et parfois, malencontreusement, dans la soupe de son voisin.

    La dernière particularité de Vermine, réside dans les deux poinçons qui ornent son cou. S’il n’est pas difficile de deviner qu’une créature de la nuit en est à l’origine, elle ne se souvient pas dans quelles circonstances elles sont apparues. Les seules choses dont elle soit certaine sont : leurs anciennetés et la peur qui lui noue l’estomac lorsqu’elle tente de se rappeler.

    Histoire ou test-rp

    Le gamin essaye d’avoir l’air brave. Le pauvre a juste l’air con et à titre purement personnel, je trouve ça génial. Cette manière qu’ils ont de lever le nez comme si ça allait changer ma manière de les percevoir. J’ai presque envie de lui rire au nez, de le pointer du doigt et de me foutre de sa gueule. Juste pour lui rappeler, à cette pauvre tâche, qu’il est rien de plus qu’une merde comme les autres. C’est le Razkaal, pas les officiers ici. Bomber le torse, ça empêchera pas la pierre de lui bouffer le cerveau et de le faire baver comme un clébard, même plus capable de remuer la queue, dans moins de dix ans. Mais les jeunots, ils pensent pas comme ça. Ils voient juste le Razkaal pour ce qu’il est pas ; une prison dangereuse où ils peuvent briller. Alors que la vérité, c’est que s’y a bien un endroit où tu peux pas briller, c’est celui-là. Enfin, il peut essayer mais on va pas se mentir : ça durera probablement pas bien longtemps. Le Razkaal il te brise puis il te bouffe. Parfois l’inverse. Moi, il me digère lentement mais je suis comme un navet dans son bide. Je fermente et il a du mal à me chier. Lui et moi on fait un bras de fer depuis un paquet d’année, j’essaye de pas crever et lui il fait en sorte que ça arrive. On en est presque venu à un stade de vieux copains et puis dans le fond, on sait lui et moi qui va gagner ce combat. Je fais que repousser l'inéluctable. Enfin, je, j’ai jamais demandé à crever et à renaître. Quand je suis devenue Limier, j’avais pas l’intention de dépasser la trentaine. Aujourd’hui j’ai arrêté de compter les années. Je suis loin des cent ans. Si mes calculs sont bons, je dois être dans la soixantaine quelque chose comme ça mais on va pas se mentir : une fois l’immortalité acquise, y a plus vraiment d’intérêt à compter. Alors j’ai fini par perdre le fil et dans le fond, je m’en branle.

    L'apprenti est toujours là, je sens que le silence lui pèse. C’est pas difficile à deviner faut dire, il se retient à peine de trépigner d’un pied sur l’autre et il a la mâchoire plus tendue que la corde d’un pendu. Tant mieux, ça l'entraîne à être stressé, ils le sont jamais assez. Enfin, je lui fais l'aumône de jeter un coup d'œil au parchemin qu’il m’a apporté. La vérité c’est que je sais exactement ce qu’il contient parce que ce fils de pute de Ryven m’en a parlé pas plus tard qu’hier. J’ai hésité à lui enfoncer mes pouces dans les globes oculaires, juste pour voir si ça le surprendrais mais finalement, je suis là avec son ordre de merde. Faut dire, que c’est pas un mauvais bougre et surtout, qu’il pourrait me broyer avant que mon ongle ait traversé son œil. Lui crever les yeux, c’est pas la meilleure stratégie si je veux pas finir enfermé à l’endroit ou je vis.

    — Il y a de nouveaux prisonniers ? Que je lance avec un air surpris. L’avantage, c’est ce que j’ai pas à faire semblant d’être enjouée. Putain de merde, ça fait combien de temps qu’on m’a pas laissé m’amuser un peu ? Là, Ryven à dit que j’avais carte blanche. Probablement parce que les nouveaux cobayes sont sans importance ou de sacré fils de salope. Je sais pas, moi tout ce que j’y vois, c’est une séance d’amusement. Le prévôt, lui il y voit un test pour le gamin. Voir combien de temps il tient avant de gerber ses tripes. Jamais bien longtemps pour le premier, moi je table sur vingt cinq minutes. Selph -son mentor- à parié qu’il vomirait pas. Con comme une pelle celui-là. Mais il a parié un jour de perm’, je crache pas dessus.

    — Oui.

    — Et c’est Ryven qui t’envoie ?

    Je vois les lèvres du gamin se pincer, sa respiration s’arrêter et je peux pas m’empêcher de sourire. Bouffon.

    — Oui… Avoue-t-il.

    Il a l’air d’avoir conscience que sa présence me fait chier. D’un geste brusque, je plie le parchemin en boule. Il sursaute et je dois lutter contre l’envie de lui balancer ladite boule en pleine gueule. Selph est un con, son gamin va dégueuler en moins de vingt minutes. C’est limite s’il est pas déjà en train de gerber sur mes bottes tellement ma présence l’angoisse. Les humains n'aiment pas les liches de toute façon. Et faut dire que si je l’étais encore, peut-être que je m’aimerais pas aussi. Heureusement pour moi, c’est pas le cas. En tout cas, je résiste pas à l’envie d’en rajouter une couche.

    — J’aime pas m’encombrer. Dégage. J’ai pas besoin de forcer pour que le ton soit sec, je pense chacun des mots que je prononce. Et c’est pas parce que ce demeuré aux queues bleues me l’a demandé que je peux pas balancer le fond de ma pensée et puis le but c’est de le mettre à l’épreuve ? Bah voilà.

    — Il… Il a dit que vous diriez ça.

    Ç'a beau être un exercice, ça me rappelle pourquoi j’aime pas Ryven : il me cerne trop facilement et l’idée me déplaît.

    — Il t’a aussi parlé des points de suture de mon petit doigts qui se défont ?

    Je l’entends déglutir d’ici, pourtant après un hésitation il lâche :

    — Ryven a aussi dit que vous diriez ça.

    Baise ta mère Ryven.

    — Vous me faites tous chier. Et c’est un euphémisme, ils m’emmerdent tous avec leurs petits tests à la con. Coupez-leur deux doigts, voyez ceux qui restent et dégagez les autres. Je trouve ma méthode plus créative et plus rapide, mais les autres sont pas d’accord alors je me coltine de jouer les bonnes samaritaines et à quantifier les capacités vomitives de gosses avec un égo digne de leur putain de melon, pour satisfaire les besoins d’humanité d’un géant bleu. “On ne peut pas mutiler les recrues” avait dit Kieran. Mais faire perdre un temps précieux à Vermine, ça on peut ! Quel foutage de gueule. — On descend.

    — On descend ? Comme on descend en… En bas ? Sa voix perd deux octaves.

    Debout non loin de la porte, prête à prendre la direction des escaliers, je me tourne lentement pour le toiser des pieds à la tête. Grand mais maigrelet, des bras aussi long que mes jambes mais qui ne savent pas où se mettre et des jambes aussi mince que des roseaux. Il a les épaules voûtées comme si sa place était partout sauf ici, pas légitime pour un sous et ses cheveux châtains sont aussi bien coiffés que mes dessous de bras quand des poils y poussaient encore.

    - Ta gueule putain de merde, avant que je décide que ta bite est mieux entre tes dents qu’entre tes jambes.

    Je sais pas ce qui le terrifie entre le ton ou les mots mais il obéit, ferme son claque merde et m’emboite le pas. Le silence au Razkaal peut paraître lourd et profond. Moi je le trouve bavard, c’est comme s’il était perché sur mon épaule pour me souffler des idées. Plutôt sympa au demeurant. Encore que Monseigneur Ryven y trouverait sans doute à redire mais il est juste… récent, il a pas encore appris à copiner avec la pierre. Ça viendra. Ils passent tous par là. On dévale tranquillement un escalier où seuls les pas du gamins retentissent et ça doit le perturber le pauvre parce qu’il arrête pas de jeter des regards sur mes pieds comme s’il s’attendait à découvrir que je flotte. Qu’est-ce qu’il est con.

    J’ai pas le temps de m'épancher plus longtemps sur le niveau de son intelligence parce qu’on touche enfin au palier qui nous intéresse. Les portes sont toutes les unes à côtés des autres, sans fenêtre, juste closes, pas engageantes pour un sous j’imagine. Pourtant je frissonne, j’aime cet endroit et comme pour m'accueillir en retour, un cri suivit d’un gargouillis nous accueille. Les dieux m’en soit témoins, je ne passe pas assez de temps ici bas. Tranquillement, je viens ouvrir la porte la plus à droite, elle grince lorsque je la pousse et à l’intérieur on entend un souffle saccadé. Que c’est bon d’être ici ! Puis je lance un regard au futur limier. Il est pâle comme un mort et je sais de quoi je parle.

    — Entre, ils ne vont pas te manger. Mais peut-être que moi oui. Cette simple idée m’arrache un nouveau sourire, plus grand que le précédent.

    Je vois bien que le gosse a envie de fuir mais tout à son honneur, il obtempère et on entre ensemble dans la salle de torture.

    ***

    — Vingt minutes. Tu me dois une perm et deux gallons.

    J’aurais du parier plus, putain. Je regrette. Mais j’imagine que la gueule renfrognée de Seph est mon lot de consolation. Je vois ses dents grincer sur sa cigarette alors que je lui tends mon doigt, ma main et un set de couture. Le bougre est mauvais pour analyser les nouveaux mais c’est un des rares cons qui sait coudre ici et mon petit doigt s’est encore fait la malle. Probablement une merde qui vient avec le fait d’être à moitié mort. En tout cas, j’évite de trop le titiller, j’ai pas envie qu’il m’envoie paître et que je perde la phalange avant qu’il ait le temps de me la raccommoder. Encore.

    — Il va rester. C’est un bon gamin. Juste un peu…

    — Trouillard,  que je complète. Autant appeler un chat un chat.

    Pour me punir, le vieux Seph me plante l’aiguille suffisamment profond dans la chair pour me faire sursauter.

    — J’allais dire anxieux. Appelle ça comme tu veux.

    Il est en colère. Mes tests ne lui plaisent pas. Dommage pour lui. Mais va savoir pourquoi, je me sens obligée de me justifier.

    — Ryven à dit de le tester, je l’ai testé.

    Le limier hausse les épaules, c'est pas comme s'il avait d'autres choix que celui de pester au final.

    — C’est pas trop dur ? Il relève la tête, me scrute de ses petits yeux noisettes.

    — De quoi ?

    — De redevenir un sous-fifre. Après avoir été Prévôt pendant tout ce temps, encore et encore. Avec plus personne qui se souviens de toi.

    Ah-ah. Fils de pute. Vraiment quel enculé celui-là. Peut-être que finalement, je vais attendre qu’il ai fini de coudre et que je vais lui enfoncer l’aiguille dans le nez. Ce serait que justice.

    — C’est toujours mieux que les barreaux pour toujours. J’hésite à ajouter que je lui ai pas demandé son avis mais je pense qu’il le sait et qu’il s’en tape.

    — Après tout ce temps quand même… Qu’il répond, pas convaincu par ma réponse. Moi même elle me convainc pas mais qu’est-ce que j’y peux. Ca fait une paye que je reste planqué dans l'ombre, et au moins autant de temps que je m’efforce à ce que personne ne remarque à quel point le Razkaal fait partie de moi. Bien sûr que ça m’emmerde que le lézard me passe sous le nez, bien sur que je suis tentée à l’idée de lui arracher les écailles une par une pour m’en faire une armure mais est-ce ce que ça précipiterait pas ma chute ? Si, complètement et c’est pour ça que je peux juste fermer ma gueule et fantasmer toutes les choses que j’ai envie de lui faire, que j’ai envie de leur faire et que j’ai envie de me faire. Parce que c’est la parcelle de raison dans ma tête qui m’empêcher de flirter avec les voix qui me parlent constamment. Ces salopes sont diablement sexy en plus.

    — Je m’en branle, Seph. Coud au lieu de parler.

    La moitié de la première phalange avait déjà été rattachée au reste de la main.

    — Moi c’que j’en dis c’est que t’as pas viré cinglé. On t’as pas encore retrouvé en train de bouffer les copains. Je sais pas si c’est ton côté macchabé ou que t’as la caboche dure comme du béton, mais j’en connais pas des masses qui servent aussi longtemps.

    — Moi, ce que j’en dis, c’est que tu devrais pas présumé de ce que tu sais pas Seph, Et ce bouffon sait foutrement rien hormis que je m’appelle Vermine et que je suis suffisamment vieille pour qu’y ait pas grand monde qui sache depuis quand je suis là. Moi-même je suis plus très sûre mais ça fait pas un siècle, c’est la seule certitude que j’ai. Faut dire que ça a pas franchement d’importance, ma vie avant les limiers… Je sais pas, je sais plus et je m’en tape. Alors je me penche, à un cheveux que mon nez tape dans le sien et je fixe ses yeux alors que je retire ma main de la sienne. Il a recousu la moitié, je peux faire le reste.  — Parce que si l’occasion se présente de me faire des boules de geisha avec tes globes oculaires, j’y réfléchirais peut-être pas à deux fois.

    Le coup des boules de geisha, ça marche à chaque fois. Je vois les yeux de Seph s’agrandir, je le vois réfléchir à mes paroles mais je lui laisse pas le temps de rétorquer. Je récupère mon fil et mon aiguille et j’me tire du promontoire sur lequel on s’est rejoint.

    — Merci pour la couture, je finirais moi-même.

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    Pseudo : Sixte | Little
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    Empereur-dragon du Reike
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    Tensai Ryssen
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    qui suis-je ?:
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  • Mar 1 Oct - 22:48
    Hola Sixte,

    J'ai beaucoup aimé les moments où tu mentionnes Kieran, c'était beau xD Et ça m'a bien fait sourire xD

    En tout cas, c'est encore un autre genre que Sixte, Hélé, ou Phèdre, mais j'aime beaucoup le style de ton personnage 👀 Il y a un petit je ne sais quoi qu'on retrouve pas chez tes autres DC et ça va lui donner un certain charme je pense !

    Je n'ai rien vu qui me dérangeait concernant le lore donc te voilà validée o/ bon jeu sur le forum :p
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