Pouvoirs et objets

Hiraeth

Race : Humain

Sexe : M

Âge : 27 ans

Métier : Caravanier

Taille & poids : 1m80, 70 kgs

Alignement : Chaotique neutre

Faction : CDM

Rang : D (vagabond - affilié au Reike)

Religion : Athée

Avatar : Aizawa Shouta, MHA

Pouvoirs et objets

Guerrier spécialisation Assassin (sans blague)

Pouvoirs :
Agilité/précision P1 et P2 : 1500c
Pétrification P1 : 2000 c
Vue augmentée P1 et P2 : 450 c
Total : 3950 c reste 50c

Cosmétique : Lors de l'utilisation des pouvoirs liés à la vue (Pétrification et Vue augmentée) Hiraeth soulève son cache-œil pour révéler une prunelle orangée ardente à la pupille fendue, quelle clâsse intersidérale (la justification se fera en RP).

Objets : attirail classique du nomade traversant des étendues arides et sauvages. Il se bat en double-armes : main gauche et cimeterre, et possède toujours dans ses poches de multiples petits couteaux de jet ou pointes à lancer, qui lui servent aussi de clous, de cure-ongles ou d'ouvre-bouteille dans ses moments désœuvrés. Pendant les voyages, il peut également se battre à la lance pour protéger le convoi.
Le convoi en lui-même est une caravane assez classique, des aazhos, du matériel de camping, quelques armes et... des marchandises Twisted Evil

Description physique et mentale

Intelligent, râleur, blasé, impulsif, opportuniste, flemmard, charmeur, moqueur.

La légende dit que l'homme à l’œil caché est marqué par le Démon.

Hiraeth porte en permanence un cache-œil dissimulant une cicatrice en forme de croix. Personne ne se souvient l'avoir vu sans (en tout cas, pas depuis qu'il le porte) et c'est devenu une légende au sein de la Caravane, qui s'est répandue : il aurait pactisé avec un Démon pour obtenir son Œil, qui lui permettrait selon les dires de paralyser son adversaire, de posséder plusieurs vies, de voler ou d'être omnipotent, suivant la fertilité de l'imagination des commères. En tout cas, cela lustre son image ce qui est bien utile quand on veut inspirer un minimum de respect.

L'homme à l’œil caché se nomme Hiraeth.

Le fieffé est issu de petite noblesse du Reike, et ses parents n'ont pas manqué de lui transmettre un savoir-faire de meneur d'hommes et une certaine étiquette. Il est capable de parler et de se tenir correctement, même si en temps normal il préfère s'avachir dans un parler peu policé et des positions inélégantes. Sa famille ? Aha. Allez lui poser la question, si vous y tenez.

Hiraeth est venu pour nous sauver de l'ornière.

S'entourer de marginaux, de délaissés et de raclures de caniveaux pour en faire de rusés marchands et d'honnêtes bandits, c'est son passe-temps favori. Il agit comme si tout le monde était égal, le reste du monde un peu moins égal à sa troupe. Et il aime aussi lancer un cri et être suivi par une horde. Les valeurs d'équipage de ses parents restent les siennes, même à terre.

La face impassible, le cœur solide, le poing levé,

Souvent impavide ou arborant un air blasé, il n'hésite pas à défendre ses troupes ou même l'innocent, quand ça lui chante. Sa pseudo-droiture héritée de son père lui vaut d'être regardé de haut par certains compères sans scrupules du milieu, ce qui lui en touche une sans faire bouger l'autre.

Il mène les Éperviers où bon lui semble.

Et quand même relativement souvent à la débauche ou à la filoche. La Caravane est équipée pour arpenter les espaces sauvages entre les cités, et se fond aussi bien dans les souks du Reike que dans les quartiers populaires de la République. S'il y a du fric à se faire en trimballant des marchandises/informations/messages/autre d'un point A à un point B, il est sur le coup.

Ensemble, parcourons le Sekaï,

Un grand échalas, aux muscles nerveux plutôt qu'épais. Il cache sa carrure sous des tenues amples de voyage la plupart du temps, ne se vêtant avec classe que si l'argent est au rendez-vous. Il porte ses cheveux noirs mi-long, cachant la partie aveugle de son visage, ou alors il se fend d'une coiffure remontée en chignon lâche ou en catogan. Il se rase mal, et a l'air à peine réveillé la plupart du temps, ce dont ses sbires aiment à se moquer.

Ensemble, vie et mort liées, peines et gloire liées,

Il reste peu de membres de l'équipage qui l'a vu grandir, dans la Caravane. Ceux-ci le connaissent depuis l'enfance et lui sont totalement dévoués. La Caravane fonctionne comme une famille, et absorbe les nouveaux pour les agréger à son idéal un peu fou en ces temps où la mort frappe pour rien, partout, pour une race ou un mot de travers, une chiasse ou un geomi.

Les Éperviers partageront richesses.

L'objectif final d'Hiraeth, à part de profiter éhontément de chaque plaisir que cette chienne de vie lui offre, est d'amasser assez de clinquants pour armer son bateau à lui, retourner voir si c'est pas trop le merdier à Kaizoku et faire le jour sur la disparition du navire de son enfance. Peut-être finir sa courte vie d'humain en se la coulant douce à l'île Cœur ou à l'île Jardin. En attendant, chaque membre de la Caravane reçoit sa part du butin et la dépense comme bon lui semble.

(Préface de Dieter dit « Feuille morte », Livre I de la Caravane).

...qui est aussi un petit enfoiré qui me doit dix clinquants et une bourse de Mélange.
(Postface de la préface d'Oko Jero dit « paie tes dettes ou je t'explose »).

Histoire ou test-rp

« Son père vient du Reike, c'était l'aîné d'une famille de petite noblesse très attachée à ses privilèges, je ne te dirais pas laquelle. Il a plaqué toutes ses obligations pour suivre sa mère, une fieffée femelle qui n'avait pas dans l'idée de devenir une bonne petite épouse soumise aux privilèges réduits. Elle faisait mauvais genre à Kyouji, elle agitait un peu trop le bocal des mégères, ça en gênait certains. Lui, il la badait comme pas possible, et c'était pas le seul, mais c'est celui qu'elle a choisi. Au départ, j'étais à peu près sûr qu'elle se servait de sa fortune sans vraiment aimer l'homme derrière. Mais faut croire que ça a évolué. »

Le basané ricane, lève son verre et en boit quelques gorgées.

« Faut dire que le Coincé, comme on l'appelait au début, il s'est sacrément amélioré depuis ses débuts. Il est passé du p'tit nobliau délicat au meneur d'hommes respecté sur son rafiot. Il a amélioré la qualité de vie avec son foutu savoir, nous a appris qu'une rapière c'est pas juste un ustensile pour parader, et a sauvé pas mal des nôtres du scorbut, de la cirrhose ou d'autres démonte-tripaille bien moches.
La Capitaine, elle avait déjà de l'expérience de tout ça. Il ne lui manquait que les clinquants pour racheter un bateau, un équipage. Ils nous ont rassemblés peu à peu, et quand le petit est né, c'était en pleine mer sur ce bout de bois mal équarri, au milieu de nos gueules cassées. »

Son verre est fini, et il s'en sert un autre.

« J'vois que tu bois pas trop et que tu causes encore moins. Pas grave, ça me va.

Moi, j'étais un terrestre, mais j'ai rejoint l'équipage parmi les premiers. Ça a fini par me plaire, l'idée de voyager de partout, comme ça, de démonter des riches, de négocier des marchandises en se sucrant au passage, de bousiller des gueules qui l'ouvrent un peu trop. Bon, c'était peut-être parce que j'étais en fuite et salement recherché aussi. Providence, pour moi, cette jolie petite famille.

Bref, le gamin a poussé comme un champi étoilé, doué et intelligent, mais feignasse comme pas deux. Il a reçu de son père une éducation de noble reikois, enfin, ce qu'il a pu lui transmettre, et puis son amour de la liberté aussi. De sa mère, quelques gnons, mais aussi la science du combat et la hargne de vivre, et cette manière de mener les troupes par le cœur, sans forcer. Il a bien appris, le salopiaud. J'avais à peine cligné des yeux que le voilà plus grand que moi. Heureusement, la nature est clémente avec certains sang-mêlés... »

L'éclat de ses yeux clairs, beaucoup trop clairs au milieu de tout ce noir, ne déconcerte même pas son interlocuteur silencieux, qui le couve d'un regard équanime. Le mage éclate d'un petit rire guilleret.

« Ça a fini par tourner court, hein, comme toujours avec les jolies histoires. Le bordel qu'a mis le barbare au Nord a fait bouger les frontières, et pendant qu'on ramassait les fruits de la guerre, Kaizoku s'est fait démonter par la Ripou-Blique. Papa et Maman ont couru défendre la terre de la liberté, et Bébé devenu grand est resté à terre avec quelques moches pas trop vieux. J'étais du lot.
Depuis, on écume les plaines et on se balade partout, on rachète, on revend, sur et sous le manteau, on recrute, on fait de l'or avec du vieux plomb dégueulasse, avec les hommes comme avec la camelote. Pour sûr, le minaud devient quelqu'un, j'ai entendu parler l'autre jour du « nomade à l’œil de démon » dans une taverne, ça en balance !

J'ai choisi de rester, et je m'en trouve bien. Chais pas jusqu'où on ira, mais Hiraeth, je vais le suivre de près. C'est un peu comme mon neveu, depuis le temps... »

Il termine son verre cul-sec, le repose avec un claquement sur la table et se lève sans même vaciller.
Saluant son vis-à-vis silencieux, il se tourne vers la porte et franchit l'espace de quelques pas assurés, avant de se retourner.

« J'allais oublier... Tu ne répéteras rien, n'est-ce pas ? Chuis un des derniers à tout savoir, je t'ai pas tout raconté hein, faut en garder pour une prochaine.

Je blague. Je sais que tu seras muet... comme une tombe. »

Le mage lève vaguement la main en un simulacre de salut, sort et ferme la porte.
Sur la table, le crâne humain, dent creuse et oreille inexistante, fixe le verre vide d'une orbite béante.

Groupes d'intérêts

Piraterie : Né sur un bateau pirate bien que profondément marqué par les valeurs du Reike, Hiraeth aime la liberté, les codes et le fonctionnement des équipages pirates. Il est pirate à terre et a choisi de fonctionner différemment, mais il est bien disposé envers ce groupe.

La Pègre : Prolongement logique de sa vie après la prise de Kaizoku par la République, Hiraeth s'est coulé dans la pègre comme un ivrogne dans le fossé. Il fait figure de gentille petite frappe avec son code d'honneur tout pourri et ses quatre matelots, mais présente l'avantage d'être fiable et souple. Il a l'ambition d'y laisser sa marque, mais pas au détriment de sa troupe ou de sa vie.

Citoyens de Kaizoku : Il s'intéresse au sort des citoyens de Kaizoku, et serait ravi d'apprendre que la Ripou-blique se soit fait bouter hors des îles, mais il est réaliste. Il cherche à obtenir des informations sur ses parents et leur équipage disparu, mais sans en faire une obsession. S'il pourra donner un coup de pouce aux velléités indépendantistes de l'île il le fera, mais sans se mettre en danger inutilement. Pareil pour l'île Cœur dont il comprend les motivations, au passage.

Suprémacisme impérial : La guerre, ça rapporte.

Esclavagisme : Un sujet clivant pour la Caravane. Oui, ça rapporte. Non, c'est pas moral. On a une morale, nous ? On a une valeur : liberté. Ce n'est pas compatible. Sans compter que combien d'entre nous l'ont vécu ?

Prophétie de la Lune et du Soleil : C'est la croyance originelle de sa famille, dont il n'a que faire. Que l'impératrice ponde des dragons, ça ne lui a jamais mis les pieds au chaud ou la bouffe dans l'écuelle.

Société des Sept Gardiens : Qu'il serait intéressant d'en faire partie... de détourner des profits... d'y avoir des informateurs... de leur chourer un bateau...

derrière l'écran

Pseudo : Hiraeth

Comment avez-vous connu le forum ? En mal de RP malgré une grande activité en JDR, je renoue avec le passé des forums RPG en visitant un topsite et que vois-je ? Surprised

Avis sur le forum : Un lore détaillé et intéressant, de l'activité, des rps de qualité, des events... MOUHAHAHAHAHAHAAAAAAAA trobien.

Fréquence de connexion : Multiquotidienne

MOUHAHAHAHAHAHAAHAAAAAAAA ENFIIIIN ! ENFIIIIIIIIIIIIIN !

Terminé.

cheers

Bonjour Hiraeth,

Je pense que tu vas bien pouvoir t'amuser avec ce personnage, je ne sais pas pourquoi mais je t'imagine assez bien avoir un RP avec Bigorneau, ça pourrait bien le faire :p

En tout cas, tu pourras te promener partout avec la caravane de ton perso, et ça annonce des rencontres intéressantes ^^

Amuse-toi bien sur le forum o/

Merci !

Et oui j'aime bien les fruits de mer Razz

Allez hop, sur les routes !