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Citoyen du monde
Launegisiles l'Implacable
Messages : 12
crédits : 768
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Info personnage
Race: Humain
Vocation: Guerrier combattant
Alignement: Loyal Neutre
Rang: D
Launegisiles l'implacable
Race : Humain
Sexe : Masculin
Âge : 41 ans
Métier : Paladin de Xo'Rath
Taille & poids : 1m80 pour 95 Kg
Alignement : Loyal neutre
Faction : Volonté des titans (CdM)
Rang : D ou E
Religion : Xo'Rathien (Volonté des titans)
Avatar : Anato Finstark
Pouvoirs et objets
Guerrier – Combattant.
- Force surhumaine Palier II
- Vitesse surhumaine II
- Ombre I
- L’étoile de Xo’Rath : Cette imposante épée à deux mains dont la lame est faite de phantacier est un cadeau qui lui a été accordé par le Saint Père Malazach dans le sillage de la destruction de Célestia et la mort de tout ceux que Launegisiles considérait comme les membres de sa famille. Cette arme imposante, surnommée « L’étoile de Xo’Rath » dois son nom à la gemme noire en forme d’étoile qui orne le pommeau de l’arme. Launegisiles manie cette arme avec autant de zèle que d’habileté. (Arme en phantacier)
Reste 200 crédits pour des troupes.
- Force surhumaine Palier II
- Vitesse surhumaine II
- Ombre I
- L’étoile de Xo’Rath : Cette imposante épée à deux mains dont la lame est faite de phantacier est un cadeau qui lui a été accordé par le Saint Père Malazach dans le sillage de la destruction de Célestia et la mort de tout ceux que Launegisiles considérait comme les membres de sa famille. Cette arme imposante, surnommée « L’étoile de Xo’Rath » dois son nom à la gemme noire en forme d’étoile qui orne le pommeau de l’arme. Launegisiles manie cette arme avec autant de zèle que d’habileté. (Arme en phantacier)
Reste 200 crédits pour des troupes.
Description physique et mentale
Launegisiles a toujours été un poète dans l’âme, dont l’esprit gangréné par la foi l’a toujours placé en porte à faux avec ses camarades de la rose noire. Ils s’imaginaient les gardiens du royaume des morts, les bergers de Xo’Rath, dont la seule fonction était de donner les derniers sacrements à ceux qui rejoignaient l’étreinte aimante du Père de la Mort. Oubliant les commandements des dieux, oubliant la Sainte Croisade que tout ceux qui portaient la véritable foi dans leurs cœurs se devaient de mener à la pointe de l’épée contre les barbares du Reike et les hédonistes de la République.
Il avait été plein de colère et silencieux quand il a vu son ordre se plier à la volonté de Seagan, qui avait transformé la foi pure et destructrice de Leurs Serviteurs en une parodie, un culte de la personnalité qui allait à l’encontre même de ce qu’Ils devaient être. Qui faisait naître dans le cœur de l’Implacable une ferveur iconoclaste qui ne fut tenue en laisse que par l’arrivée impromptue d’un homme aussi beau qu’il était sage. Le Saint Père Malazach, qui pris sous sa tutelle le dernier véritable fidèle de l’ordre de la Rose Noire.
Sous sa tutelle, Launegisiles est devenu un fanatique, oui, mais un fanatique capable de réfléchir. Un homme aussi froid, cruel et insensible que la Mort elle-même. Dont le visage est aussi sévère que sa foi n’est sincère, qui ne s’émeut de rien si ce n’est de la beauté d’un champ de pétales noires après que la volonté des Titans soit faite.
Du moins, c’est ce qu’il était avant que les portes d’argents ne tombent sous les coups d’un démon fait de crocs et de bronze, que le chœur des fidèles de leurs dernier bastion ne tombe entre les mains de l’Ennemi de toujours et que jusqu’au Saint des Saints ne soit souillé. Depuis, il a retrouvé cette fureur froide que ne peuvent ressentir que ceux ayant embrassé pleinement l’étreinte de Xo’Rath. Et c’est avec une détermination macabre que le paladin que le paladin aurait pris sa place devant l’entrée de la crypte de Célestia, si Malazach ne l’avait pas convaincu de partir avant l’arrivée de la marée d’airain.
Il a fait un serment, ce jour-là, alors qu’il regardait au loin les brûlots de Célestia qu’il pouvait voir jusque dans la mer de ses songes. D’apporter la mort à ceux qui semblaient invincible et de ne jamais oublier le sang des fidèles qui avait coulé sans que Xo’Rath ne puisse prendre son dû.
La nuit du massacre, il se fouetta le dos avec un fléau dont les dents étaient en phantacier, peint son armure de son propre sang sous les auspices du Saint Père, et prêta le serment macabre dont eux-seuls sont au courant.
Il avait été plein de colère et silencieux quand il a vu son ordre se plier à la volonté de Seagan, qui avait transformé la foi pure et destructrice de Leurs Serviteurs en une parodie, un culte de la personnalité qui allait à l’encontre même de ce qu’Ils devaient être. Qui faisait naître dans le cœur de l’Implacable une ferveur iconoclaste qui ne fut tenue en laisse que par l’arrivée impromptue d’un homme aussi beau qu’il était sage. Le Saint Père Malazach, qui pris sous sa tutelle le dernier véritable fidèle de l’ordre de la Rose Noire.
Sous sa tutelle, Launegisiles est devenu un fanatique, oui, mais un fanatique capable de réfléchir. Un homme aussi froid, cruel et insensible que la Mort elle-même. Dont le visage est aussi sévère que sa foi n’est sincère, qui ne s’émeut de rien si ce n’est de la beauté d’un champ de pétales noires après que la volonté des Titans soit faite.
Du moins, c’est ce qu’il était avant que les portes d’argents ne tombent sous les coups d’un démon fait de crocs et de bronze, que le chœur des fidèles de leurs dernier bastion ne tombe entre les mains de l’Ennemi de toujours et que jusqu’au Saint des Saints ne soit souillé. Depuis, il a retrouvé cette fureur froide que ne peuvent ressentir que ceux ayant embrassé pleinement l’étreinte de Xo’Rath. Et c’est avec une détermination macabre que le paladin que le paladin aurait pris sa place devant l’entrée de la crypte de Célestia, si Malazach ne l’avait pas convaincu de partir avant l’arrivée de la marée d’airain.
Il a fait un serment, ce jour-là, alors qu’il regardait au loin les brûlots de Célestia qu’il pouvait voir jusque dans la mer de ses songes. D’apporter la mort à ceux qui semblaient invincible et de ne jamais oublier le sang des fidèles qui avait coulé sans que Xo’Rath ne puisse prendre son dû.
La nuit du massacre, il se fouetta le dos avec un fléau dont les dents étaient en phantacier, peint son armure de son propre sang sous les auspices du Saint Père, et prêta le serment macabre dont eux-seuls sont au courant.
De porter l’Etoile de Xo’Rath.
Et d’apporter la mort au Courroux.
Et d’apporter la mort au Courroux.
Histoire ou test-rp
- Que vois-tu dans la nuit, mon enfant ?
- Je vois la mort, Père, dans toute sa beauté. Et pourtant, je peine à m’en réjouir.
C’était la fin d’une ère. Le dernier bastion des fidèles, souillé par des bottes impures et les dalles des plus grands temples gorgées du sang sacré des croyants. La Horde du Courroux avait enfin apporté la mort aux ruines de l’antique Célestia, qui brûlait dans la nuit, là-bas, au loin. Cette mort avait bien trop attendu, Célestia n’était rien de plus qu’une vieille femme maintenue en vie par les espoirs et les efforts d’égarés qui craignaient la Fin de Toutes Choses. Bouffie par un dernier souffle qui ne parvenait pas à passer ses lèvres desséchées, veillée par un idiot qui ne voulait que se grandir en ignorant le devoir sacré qui leurs incombait.
Mais maintenant que Célestia mourrait enfin, Launegisiles était incapable de s’en réjouir, comme l’aurait fait un bon Xo’Rathien. Se réjouir de la mort, de la fin de Toute Choses était l’un des commandements les plus importants du crédo de son ordre, d’admirer la beauté de la vie qui prends fin en laissant derrière elle rien de plus que la quiétude de la mort. C’est le dogme qu’il avait suivi toute sa vie, aussi bien pendant la grande guerre que depuis qu’il avait pris le rôle de gardien des cryptes. Et aussi bien les dieux que sa propre chair flagellée en étaient témoins, il était de ceux qui souhaitaient que ce jour ne vienne pour qu’une vie ne se termine et qu’une nouvelle ne commence.
Pourtant, là, sur cette colline morne. Il ne pouvait rien faire d’autre que reposer les mains sur cette épée dont la lame était faite du même métal que celui du chat-à-neuf-queues avec lequel il expiait sa faiblesse dans le sang en labourant la chair trop faible de son dos.
L’étoile de Xo’Rath, reposait sous sa paume, une marque d’estime de celui qui avait réussis à le convaincre de partir et d’abandonner les morts à l’étreinte de leurs maîtres.
D’en faire des martyrs, pour endurcir le cœur des véritables fidèles restant pour qu’enfin, le dessein ultime des dieux ne se mette en route. Que les étoiles, le soleil et la lune elle-même ne meurent pour que le berger des morts ne vienne enfin guider toutes les âmes vers leur ultime royaume et ne leurs accorde enfin la vraie paix.
Aussi, Launegisiles l’homme devait mourir ce soir, avec Célestia. Pour qu’une nouvelle existence ne s’ouvre à lui, libérée de toutes les faiblesses de la chair et du cœur. Qu’il oublie dans le sang et la caresse du phantacier ce qui animait sa chair et faisait battre son cœur. Pour que ne reste plus que l’instrument de Xo’Rath et l’incarnation de sa charge, celle que les mortels craignaient plus que tout.
Nu, il reposait sa main sur le gantelet de son armure, disposée sous la forme d’un gisant, les mains jointes sur le pommeau de l’Étoile. L’homme, lui, ne portait rien. Nu comme à son premier souffle, n’ayant pour seul vêtement que le chat-à-neuf-queues serti de griffes de phantacier.
- Qui était cet homme ?
- Launegisiles Zamken de Célestia, fils de Théodore Zamken et d’Agnès Valdor. Chevalier de la rose noire, gardien des cryptes sacrées... Fidèle de Xo’Rath.
Sa main passait le long du gantelet noir. Contournant le gisant une fois, il entama une deuxième ronde autour de ce cadavre qui aurait du être le sien ce soir. S’armant d’un cierge dont la cire fondue tomba sur sa main sans lui arracher ne serait-ce qu’un sifflement de douleur, il alluma un à un les cierges.
- Mari de Ludmila Bora. Soufflait-il. Père de Frédéric Zamken, béni à la naissance par le berger de la fin de toutes choses.
Il vint ensuite prendre un agenouilloir de bois noueux et rempli d’échardes. Qu’il posa derrière la tête, surplombant le gisant dans sa petite pente. Il hésita un instant, ses cheveux détachés, blonds comme un champ de blé mourant dans l’hiver, tombaient sur ses yeux.
- Il embrasse l’étreinte du Premier à être Mort.
A ces mots, Launegisiles ramena le fouet à son épaule dans un claquement sonore. Son corps entier se tendit en sentant le phantacier venir labourer sa chair, jusqu’à répandre son toucher glacial dans tout son corps. Faisant couler son sang le long de la pente, tâchant l’armure de pourpre, coulant dans l’acier jusqu’à s’écouler dans des rigoles creusées dans le flanc de cette colline, pour être récoltée dans une large timbale de bois.
- Comment aurait-il dû mourir ?
La question du Saint Père Malazach eut du mal à atteindre les oreilles sifflantes de Launegisiles qui accusait à peine la morsure du phantacier et, haletant, il répondit.
- Devant les portes d’argent, un martyr mort avec les souvenirs d’une ville perdue dans les… Il grogna, grinçant des dents en sentant la morsure glaciale de l’air qui soufflait sur les plaies béantes de son dos. Dans les flammes qui brûlent le Saint Siège des Dieux…
Encore une fois, il leva le fléau par-dessus son autre épaule, arrachant la chair qui pendait en lambeaux dans son dos et griffait ses vertèbres.
- Qui est-tu, toi ?
La tête se penchait en arrière, le dos cambré comme si la tension allait le soulager de la douleur, les épaules se soulevant au rythme de sa respiration effrénée, le visage crispé et couvert de sueur tandis qu’il s’infligait, encore et encore la morsure du phantacier pour purger son âme et son cœur de toutes ces choses qui avaient fait de lui l’homme qui aurait du reposer à la place de son gisant. La réponse tardait à venir, aussi le phantacier revint à nouveau retourner sa chair et exposer à l’air libre la rougeur de ses muscles et le vin de son corps. Il avait été un homme, un jeune homme autrefois, aimant et tendre. Un homme, marié et qui aurais du être père, dont le destin fut ré-écris et béni par Xo’Rath. Un homme qui avait du sourire et remercier le dieu le plus craint de tous alors que le chagrin rongeait sa conscience et sa foi, tout comme les bénédictions de Puantrus se régalaient du terreau fertile qu’était ce qu’il restait désormais de sa famille.
A chaque coup, Malazach lui semblait plus beau, plus il scarifiait et blessait son âme, plus la vision de l’homme cadavérique disparaissait pour laisser place à celle d’un homme aimant et tendre, aussi beau que l’était le don de son Père. Et quand les dents du fouet se bloquèrent dans un muscle qui semblait gelé par le phantacier. Il vit enfin la lumière, lâche le fouet en laissant le sang couler le long des plaies de son dos et teindre son armure de rouge. Les yeux de la foi, les yeux de la folie.
- De cet homme… Je n’ai plus que le nom. Commençait-il en écartant les bras en admiration. Je suis Launegisiles, paladin de Xo’Rath… Et je fais le serment de répandre son cadeau aux infidèles et d’être… Le bras armé qui portera la lueur de son Étoile jusque dans le cœur des faux-dieux du désert… Je suis Launegisiles… Et je suis implacable. Je suis votre, Saint Père. Ordonnez moi, et je suivrais.
- Je vois la mort, Père, dans toute sa beauté. Et pourtant, je peine à m’en réjouir.
C’était la fin d’une ère. Le dernier bastion des fidèles, souillé par des bottes impures et les dalles des plus grands temples gorgées du sang sacré des croyants. La Horde du Courroux avait enfin apporté la mort aux ruines de l’antique Célestia, qui brûlait dans la nuit, là-bas, au loin. Cette mort avait bien trop attendu, Célestia n’était rien de plus qu’une vieille femme maintenue en vie par les espoirs et les efforts d’égarés qui craignaient la Fin de Toutes Choses. Bouffie par un dernier souffle qui ne parvenait pas à passer ses lèvres desséchées, veillée par un idiot qui ne voulait que se grandir en ignorant le devoir sacré qui leurs incombait.
Mais maintenant que Célestia mourrait enfin, Launegisiles était incapable de s’en réjouir, comme l’aurait fait un bon Xo’Rathien. Se réjouir de la mort, de la fin de Toute Choses était l’un des commandements les plus importants du crédo de son ordre, d’admirer la beauté de la vie qui prends fin en laissant derrière elle rien de plus que la quiétude de la mort. C’est le dogme qu’il avait suivi toute sa vie, aussi bien pendant la grande guerre que depuis qu’il avait pris le rôle de gardien des cryptes. Et aussi bien les dieux que sa propre chair flagellée en étaient témoins, il était de ceux qui souhaitaient que ce jour ne vienne pour qu’une vie ne se termine et qu’une nouvelle ne commence.
Pourtant, là, sur cette colline morne. Il ne pouvait rien faire d’autre que reposer les mains sur cette épée dont la lame était faite du même métal que celui du chat-à-neuf-queues avec lequel il expiait sa faiblesse dans le sang en labourant la chair trop faible de son dos.
L’étoile de Xo’Rath, reposait sous sa paume, une marque d’estime de celui qui avait réussis à le convaincre de partir et d’abandonner les morts à l’étreinte de leurs maîtres.
D’en faire des martyrs, pour endurcir le cœur des véritables fidèles restant pour qu’enfin, le dessein ultime des dieux ne se mette en route. Que les étoiles, le soleil et la lune elle-même ne meurent pour que le berger des morts ne vienne enfin guider toutes les âmes vers leur ultime royaume et ne leurs accorde enfin la vraie paix.
Aussi, Launegisiles l’homme devait mourir ce soir, avec Célestia. Pour qu’une nouvelle existence ne s’ouvre à lui, libérée de toutes les faiblesses de la chair et du cœur. Qu’il oublie dans le sang et la caresse du phantacier ce qui animait sa chair et faisait battre son cœur. Pour que ne reste plus que l’instrument de Xo’Rath et l’incarnation de sa charge, celle que les mortels craignaient plus que tout.
Nu, il reposait sa main sur le gantelet de son armure, disposée sous la forme d’un gisant, les mains jointes sur le pommeau de l’Étoile. L’homme, lui, ne portait rien. Nu comme à son premier souffle, n’ayant pour seul vêtement que le chat-à-neuf-queues serti de griffes de phantacier.
- Qui était cet homme ?
- Launegisiles Zamken de Célestia, fils de Théodore Zamken et d’Agnès Valdor. Chevalier de la rose noire, gardien des cryptes sacrées... Fidèle de Xo’Rath.
Sa main passait le long du gantelet noir. Contournant le gisant une fois, il entama une deuxième ronde autour de ce cadavre qui aurait du être le sien ce soir. S’armant d’un cierge dont la cire fondue tomba sur sa main sans lui arracher ne serait-ce qu’un sifflement de douleur, il alluma un à un les cierges.
- Mari de Ludmila Bora. Soufflait-il. Père de Frédéric Zamken, béni à la naissance par le berger de la fin de toutes choses.
Il vint ensuite prendre un agenouilloir de bois noueux et rempli d’échardes. Qu’il posa derrière la tête, surplombant le gisant dans sa petite pente. Il hésita un instant, ses cheveux détachés, blonds comme un champ de blé mourant dans l’hiver, tombaient sur ses yeux.
- Il embrasse l’étreinte du Premier à être Mort.
A ces mots, Launegisiles ramena le fouet à son épaule dans un claquement sonore. Son corps entier se tendit en sentant le phantacier venir labourer sa chair, jusqu’à répandre son toucher glacial dans tout son corps. Faisant couler son sang le long de la pente, tâchant l’armure de pourpre, coulant dans l’acier jusqu’à s’écouler dans des rigoles creusées dans le flanc de cette colline, pour être récoltée dans une large timbale de bois.
- Comment aurait-il dû mourir ?
La question du Saint Père Malazach eut du mal à atteindre les oreilles sifflantes de Launegisiles qui accusait à peine la morsure du phantacier et, haletant, il répondit.
- Devant les portes d’argent, un martyr mort avec les souvenirs d’une ville perdue dans les… Il grogna, grinçant des dents en sentant la morsure glaciale de l’air qui soufflait sur les plaies béantes de son dos. Dans les flammes qui brûlent le Saint Siège des Dieux…
Encore une fois, il leva le fléau par-dessus son autre épaule, arrachant la chair qui pendait en lambeaux dans son dos et griffait ses vertèbres.
- Qui est-tu, toi ?
La tête se penchait en arrière, le dos cambré comme si la tension allait le soulager de la douleur, les épaules se soulevant au rythme de sa respiration effrénée, le visage crispé et couvert de sueur tandis qu’il s’infligait, encore et encore la morsure du phantacier pour purger son âme et son cœur de toutes ces choses qui avaient fait de lui l’homme qui aurait du reposer à la place de son gisant. La réponse tardait à venir, aussi le phantacier revint à nouveau retourner sa chair et exposer à l’air libre la rougeur de ses muscles et le vin de son corps. Il avait été un homme, un jeune homme autrefois, aimant et tendre. Un homme, marié et qui aurais du être père, dont le destin fut ré-écris et béni par Xo’Rath. Un homme qui avait du sourire et remercier le dieu le plus craint de tous alors que le chagrin rongeait sa conscience et sa foi, tout comme les bénédictions de Puantrus se régalaient du terreau fertile qu’était ce qu’il restait désormais de sa famille.
Launegisiles avais été un homme faible.
Qui s’était réfugié dans le fanatisme non pas par sincérité, mais pour oublier sa peine.
Alors sous les augures de l’horrible cadavre en putréfaction qui guidait son rite, il allait enfin trouver sa foi.
Qui s’était réfugié dans le fanatisme non pas par sincérité, mais pour oublier sa peine.
Alors sous les augures de l’horrible cadavre en putréfaction qui guidait son rite, il allait enfin trouver sa foi.
A chaque coup, Malazach lui semblait plus beau, plus il scarifiait et blessait son âme, plus la vision de l’homme cadavérique disparaissait pour laisser place à celle d’un homme aimant et tendre, aussi beau que l’était le don de son Père. Et quand les dents du fouet se bloquèrent dans un muscle qui semblait gelé par le phantacier. Il vit enfin la lumière, lâche le fouet en laissant le sang couler le long des plaies de son dos et teindre son armure de rouge. Les yeux de la foi, les yeux de la folie.
- De cet homme… Je n’ai plus que le nom. Commençait-il en écartant les bras en admiration. Je suis Launegisiles, paladin de Xo’Rath… Et je fais le serment de répandre son cadeau aux infidèles et d’être… Le bras armé qui portera la lueur de son Étoile jusque dans le cœur des faux-dieux du désert… Je suis Launegisiles… Et je suis implacable. Je suis votre, Saint Père. Ordonnez moi, et je suivrais.
Groupes d'intérêts
- Divinisme
- Volonté des titans.
- Corruption de l’arbre monde.
- Volonté des titans.
- Corruption de l’arbre monde.
derrière l'écran
Pseudo : Tulkas
Comment avez-vous connu le forum ? Franchement je sais plus.
Avis sur le forum : Very muy goed.
Fréquence de connexion : Journalière.
Empereur-dragon du Reike
Tensai Ryssen
Messages : 233
crédits : 3072
crédits : 3072
Info personnage
Race: Drakyn
Vocation: Guerrier combattant
Alignement: Chaotique neutre
Rang: S
Bien.
Dans le futur, je veux un duel entre Alasker et Launegisiles
Bon, ce sera dans un futur lointain mais eh, ce n'est pas tous les jours qu'on voit des PJ qui en veulent à la horde du Courroux /pan/
Pour le reste, je suis ravie d'accueillir un paladin de X'O-Rath. Puissiez-vous accomplir la volonté des Titans ! \o/
Dans le futur, je veux un duel entre Alasker et Launegisiles
Bon, ce sera dans un futur lointain mais eh, ce n'est pas tous les jours qu'on voit des PJ qui en veulent à la horde du Courroux /pan/
Pour le reste, je suis ravie d'accueillir un paladin de X'O-Rath. Puissiez-vous accomplir la volonté des Titans ! \o/
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