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Légende du Razkaal
Seraphin du Razkaal
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Info personnage
Race: Lycanthrope
Vocation: Guerrier assassin
Alignement: Chaotique Mauvais
Rang: B
Journal du Limier
Liberty, Manoir de Hengebach
Il était tard.
Après avoir conduit les captifs vampires au Razkaal, le Prévot prit un moment pour lui-même, se lavant des stigmates de la bataille, enfilant des vêtements propres et se laissant soigner par les mains expertes de ses compagnons limiers. Les soins furent brefs, une nécessité plutôt qu'un réconfort, mais ils suffirent à le préparer pour ce qui l'attendait ensuite.
Un peu plus tard, il se trouvait alors devant le manoir de la Dame de Hengebach. Dans l'obscurité enveloppante de la nuit, il s'arrêta un instant. Les étoiles au-dessus lui offraient une voûte scintillante de possibilités, tandis que ses pensées vagabondaient sur les événements récents. La mission au sein du palais des vampires, les défis qu'ils avaient surmontés ensemble, et sa proposition initiale à Leonora de devenir un Limier à ses côtés, tout cela résonnait en lui avec une nouvelle intensité.
Il se trouvait à la croisée des chemins, tiraillé entre le désir de l'avoir près de lui, non seulement comme une alliée au combat, mais comme quelque chose de bien plus profond, et la peur de l'exposer aux ténèbres qui enveloppaient son monde. Devenir un limier, c'était embrasser un destin souvent solitaire, marqué par la violence et la confrontation constante avec les ombres du Razkaal.
Le Beau se recoiffa distraitement, une tentative futile de chasser ces pensées. Finalement, il se décida à frapper à la porte, le cœur battant d'anticipation. Que lui réserverait cette soirée ? Serait-ce un moment de partage et de réconfort mutuel, ou l'occasion de révéler des vérités qu'ils n'avaient pas encore osé s'avouer ?
Avec un soupir, il se remémora les murmures de ses démons intérieurs, qui, pour une fois, s'étaient tus devant l'ampleur de ses émotions. Il savait que peu importe les décisions à venir, la présence de la Belle dans sa vie avait allumé une étincelle de quelque chose de nouveau, quelque chose qu'il n'était pas encore prêt à nommer, mais qui, il l'espérait, pourrait le guider vers un avenir où la lumière percerait enfin les ténèbres qui l'entouraient.
Tout ce qu'il pouvait faire maintenant, c'était attendre qu'elle ouvre la porte et laisse entrer non seulement l'homme qu'il était devenu, mais également les doutes qu'il portait envers un avenir incertain.
torture, blessure, infirmité, supplice psychologique, mort etc...
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La Veuve Noire
Leonora de Hengebach
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Info personnage
Race: Humaine
Vocation: Guerrier assassin
Alignement: Loyale neutre
Rang: B
L’heure était tardive, une heure où les visites ne se rendaient plus. Léonora se blottissait près de la chaleur réconfortante de la cheminée. La lueur vacillante des flammes dansait sur son visage serein en apparence. Elle était plongée dans un livre ancien, ses doigts glissant sur les pages jaunies par le temps. Chaque mot semblait avoir une vie propre, murmurant des histoires oubliées depuis longtemps. Le silence de la nuit enveloppait la pièce, seulement brisé par le crépitement du feu et le doux chuchotement des pages tournées.
"Le Mystère des Ombres Dansantes".
Le livre raconte l'histoire d'un manoir, où des secrets enfouis depuis des générations commencent à refaire surface. Rima, en découvrant un vieux journal caché dans la bibliothèque du manoir, se plonge dans les récits des anciens habitants, dévoilant des mystères longtemps oubliés. Elle se retrouve entraînée dans une quête pour percer les mystères, se heurtant à des forces et à des conspirations anciennes alors qu'elle tente de démêler le passé sombre de sa famille. Le livre mêlait suspense, mystère et une touche de magie, transportant le lecteur dans un monde où le passé et le présent se confondent.
De temps en temps, Léonora levait les yeux de son livre pour contempler l’extérieur par la fenêtre. Il ne viendrait plus, sans doute retenu par ses obligations ou peut être avait-il simplement changé d’avis, que leur collaboration après réflexion, ne méritait de se déplacer une nouvelle fois, ce qui serait fort grossier pensa-t-elle.
Elle resterait donc seule, avec pour seule compagnie des mots imprimés et le réconfort de la cheminée. Et dans cette tranquillité, Léonora s’enfonça d’avantage dans le fauteuil, se perdant dans les méandres de son livre en espérant que le sommeil l'emporte doucement dans ses bras bienveillants. Puis, se redressa lentement de son fauteuil, le bruit du livre se refermant résonnant faiblement dans la pièce. Elle tourna son regard vers la porte alors que le serviteur annonçait l'arrivée du "Limer de la dernière fois, le d'Elusie".
Léonora inspira profondément à l'évocation de ce nom. Sa décision était prise, mûrement réfléchie.
Elle se leva avec une certaine appréhension, la jeune femme ajusta sa robe bleue de satin avec hâte avant de se diriger au centre de la pièce pour accueillir le limier. La porte s’ouvrit une seconde fois et elle accueillit le Prévôt avec une expression neutre, cachant habilement toute trace d'émotion. Elle hocha la tête, invitant silencieusement le d'Elusie à entrer.
Bonsoir. Merci d’avoir tenu votre engagement et d’être venu. Je vous en prie. Déclara-t-elle d'une voix posée.
Elle l’invita à s’asseoir et prit place dans le fauteuil en face. Léonora retint ses questions sur le sort des autres vampires emmenés des heures plus tôt. Cela ne la concernait plus.
"Le Mystère des Ombres Dansantes".
Le livre raconte l'histoire d'un manoir, où des secrets enfouis depuis des générations commencent à refaire surface. Rima, en découvrant un vieux journal caché dans la bibliothèque du manoir, se plonge dans les récits des anciens habitants, dévoilant des mystères longtemps oubliés. Elle se retrouve entraînée dans une quête pour percer les mystères, se heurtant à des forces et à des conspirations anciennes alors qu'elle tente de démêler le passé sombre de sa famille. Le livre mêlait suspense, mystère et une touche de magie, transportant le lecteur dans un monde où le passé et le présent se confondent.
De temps en temps, Léonora levait les yeux de son livre pour contempler l’extérieur par la fenêtre. Il ne viendrait plus, sans doute retenu par ses obligations ou peut être avait-il simplement changé d’avis, que leur collaboration après réflexion, ne méritait de se déplacer une nouvelle fois, ce qui serait fort grossier pensa-t-elle.
Elle resterait donc seule, avec pour seule compagnie des mots imprimés et le réconfort de la cheminée. Et dans cette tranquillité, Léonora s’enfonça d’avantage dans le fauteuil, se perdant dans les méandres de son livre en espérant que le sommeil l'emporte doucement dans ses bras bienveillants. Puis, se redressa lentement de son fauteuil, le bruit du livre se refermant résonnant faiblement dans la pièce. Elle tourna son regard vers la porte alors que le serviteur annonçait l'arrivée du "Limer de la dernière fois, le d'Elusie".
Léonora inspira profondément à l'évocation de ce nom. Sa décision était prise, mûrement réfléchie.
Elle se leva avec une certaine appréhension, la jeune femme ajusta sa robe bleue de satin avec hâte avant de se diriger au centre de la pièce pour accueillir le limier. La porte s’ouvrit une seconde fois et elle accueillit le Prévôt avec une expression neutre, cachant habilement toute trace d'émotion. Elle hocha la tête, invitant silencieusement le d'Elusie à entrer.
Bonsoir. Merci d’avoir tenu votre engagement et d’être venu. Je vous en prie. Déclara-t-elle d'une voix posée.
Elle l’invita à s’asseoir et prit place dans le fauteuil en face. Léonora retint ses questions sur le sort des autres vampires emmenés des heures plus tôt. Cela ne la concernait plus.
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Seraphin du Razkaal
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Journal du Limier
Liberty, Manoir de Hengebach
Le Limier entra, accueilli par le calme qui régnait dans le manoir de la Dame de Hengebach. Un simple signe de tête, accompagné d'un sourire discret mais chargé de significations, fut son salut. Il la suivit dans le salon, s'installant dans le fauteuil qu'elle lui désigna. Son regard se promenait, captant les détails de la pièce qu'il connaissait déjà, mais comme s'il cherchait à y trouver un nouveau sens après les événements récents. L'atmosphère était curieusement neutre, presque détachée de ce qu'ils avaient vécu ensemble. Il ressentait une étrangeté, comme s'il se retrouvait face à une inconnue, malgré l'intimité partagée plus tôt. Cette sensation l'incommodait, l'amenant à se lever du fauteuil, à marcher lentement à travers la pièce. Ce mouvement semblait le libérer, favorisant l'ordre dans le flot de ses pensées.
Après ce moment, il se tourna vers la Dame, son regard portant un mélange de sérieux et de questionnement. "Notre mission de ce soir", commença-t-il, sa voix reflétant une tentative de formalisme. "Elle a démontré ta bravoure et ta compétence. Des qualités que j'admire... et qui seraient précieuses pour la Forteresse." Il marqua une pause, ses yeux ne quittant pas ceux de Leonora.
Puis, son ton devint plus personnel, plus vulnérable, tandis qu'il la fixait, une hésitation marquée dans son regard avant de se lancer dans un aveu qui semblait lui coûter. "Les mots que j'ai eus la dernière nuitée, essayant de te présenter la fonction de Limier sous un jour favorable... étaient, je le crains, dénués de tout fondement", commença-t-il, sa voix portant un poids de sincérité et de remords. "En y repensant, j'ai du mal à trouver une seule raison valable pour laquelle quelqu'un devrait choisir de rejoindre nos rangs."
Il se déplaça lentement dans la pièce, chaque pas semblant mesurer le poids de ses réflexions. "Le Razkaal... ce n'est pas un lieu pour ceux qui cherchent un sens ou une rédemption. C'est un endroit qui semble n'attirer que ceux qui, quelque part, cherchent à se punir ou trouvent que la chasse aux criminels, l'enfermement de ces derniers, a plus de valeur que leur propre existence."
Il marqua une pause, regardant la Belle avec une gravité profonde. "Je réalise que ce que je t'ai proposé pourrait plus ressembler à une malédiction qu'à une opportunité. La Forteresse nous consume tous, même ceux qui se sont préparés toute leur vie à ses ténèbres, et même un natif du Razkaal tel que moi finit par porter les cicatrices de cette lutte incessante contre la corruption et le mal". Il savait que dans son cas, il était trop tard, tout était fichu.
Ses démons, témoins silencieux de cette confession, ne murmuraient rien. C'était comme s'ils comprenaient la portée de ces aveux, reconnaissant la difficulté de leur hôte à concilier ses sentiments pour Leonora et la réalité brutale de sa profession.
"Je sais que ce n'est nullement à moi de décider pour toi Leonora, mais tu m'excuseras du fait que je ne souhaite pas te voir sombrer dans les abysses que beaucoup de nous, Limiers, affrontons chaque jour. Ta lumière... ta force... Je ne voudrais pas être celui qui te conduit vers un chemin pavé de souffrances et de pertes."
Il s'arrêta, son regard capturant le sien, cherchant une compréhension, un pardon peut-être, pour avoir envisagé, même un instant, de l'attirer dans cette existence. "Ce que je désire pour toi, c'est la liberté de choisir ton propre chemin, un autre chemin, loin des chaînes et des ombres qui nous entourent au Razkaal."
Dans cet aveu, le Damoiseau dévoilait non seulement ses doutes et ses peurs mais également la profondeur de ses sentiments pour la Dame de Hengebach.
Après ce moment, il se tourna vers la Dame, son regard portant un mélange de sérieux et de questionnement. "Notre mission de ce soir", commença-t-il, sa voix reflétant une tentative de formalisme. "Elle a démontré ta bravoure et ta compétence. Des qualités que j'admire... et qui seraient précieuses pour la Forteresse." Il marqua une pause, ses yeux ne quittant pas ceux de Leonora.
Puis, son ton devint plus personnel, plus vulnérable, tandis qu'il la fixait, une hésitation marquée dans son regard avant de se lancer dans un aveu qui semblait lui coûter. "Les mots que j'ai eus la dernière nuitée, essayant de te présenter la fonction de Limier sous un jour favorable... étaient, je le crains, dénués de tout fondement", commença-t-il, sa voix portant un poids de sincérité et de remords. "En y repensant, j'ai du mal à trouver une seule raison valable pour laquelle quelqu'un devrait choisir de rejoindre nos rangs."
Il se déplaça lentement dans la pièce, chaque pas semblant mesurer le poids de ses réflexions. "Le Razkaal... ce n'est pas un lieu pour ceux qui cherchent un sens ou une rédemption. C'est un endroit qui semble n'attirer que ceux qui, quelque part, cherchent à se punir ou trouvent que la chasse aux criminels, l'enfermement de ces derniers, a plus de valeur que leur propre existence."
Il marqua une pause, regardant la Belle avec une gravité profonde. "Je réalise que ce que je t'ai proposé pourrait plus ressembler à une malédiction qu'à une opportunité. La Forteresse nous consume tous, même ceux qui se sont préparés toute leur vie à ses ténèbres, et même un natif du Razkaal tel que moi finit par porter les cicatrices de cette lutte incessante contre la corruption et le mal". Il savait que dans son cas, il était trop tard, tout était fichu.
Ses démons, témoins silencieux de cette confession, ne murmuraient rien. C'était comme s'ils comprenaient la portée de ces aveux, reconnaissant la difficulté de leur hôte à concilier ses sentiments pour Leonora et la réalité brutale de sa profession.
"Je sais que ce n'est nullement à moi de décider pour toi Leonora, mais tu m'excuseras du fait que je ne souhaite pas te voir sombrer dans les abysses que beaucoup de nous, Limiers, affrontons chaque jour. Ta lumière... ta force... Je ne voudrais pas être celui qui te conduit vers un chemin pavé de souffrances et de pertes."
Il s'arrêta, son regard capturant le sien, cherchant une compréhension, un pardon peut-être, pour avoir envisagé, même un instant, de l'attirer dans cette existence. "Ce que je désire pour toi, c'est la liberté de choisir ton propre chemin, un autre chemin, loin des chaînes et des ombres qui nous entourent au Razkaal."
Dans cet aveu, le Damoiseau dévoilait non seulement ses doutes et ses peurs mais également la profondeur de ses sentiments pour la Dame de Hengebach.
C'était un moment de vulnérabilité rare pour le Possédé, une fenêtre ouverte sur l'homme derrière le titre, luttant pour trouver un équilibre entre le devoir et le cœur.
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Leonora de Hengebach
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Séraphin, ne resta pas longtemps installé dans le confort du grand salon. Peu de temps après s'être assis, il se leva, une nervosité apparente dans ses mouvements. Léonora observa attentivement, remarquant le changement soudain dans son comportement. Il parcourut la pièce de quelques pas mesurés. Elle ressentit un mélange de curiosité et de préoccupation. Elle savait que l'apparente inquiétude de Séraphin pouvait signifier que les enjeux de leur discussion étaient peut-être plus profonds qu'elle ne l'avait imaginé.
Il se tourna vers elle, son expression était maintenant sérieuse. Il se lança dans le bilan de la soirée. Malgré la tension palpable, son ton adopta une nuance d'approbation, voire de satisfaction, envers Léonora qui l’écoutait attentivement, soutenant son regard avec une confiance tranquille. Son visage affichait une concentration profonde, Séraphin pesait et la considérait, non seulement pour sa valeur immédiate mais aussi pour les implications qu'il pourrait avoir sur l'avenir de leurs plans.
Bien que marqué par une formalité en surface, était chargé d'un sous-texte de... Qulque chose qui était difficile de saisir réellement. Alors que la conversation se poursuivait, un changement subtil s'opéra dans l'attitude de Séraphin. Initialement venu avec l'intention de solidifier le rôle de Léonora à ses côtés en tant que Limier, une partenaire à travers les ombres, il se trouva contre toute attente, à adopter une position de prudence, voire de dissuasion. Il avait vu en Léonora une partenaire capable, une alliée précieuse, mais cela amenait trop des risques pour elle.
Assise, Léonora suivait du regard Séraphin alors qu'il arpentait la pièce, une manifestation physique de son conflit intérieur, comme s'il luttait contre lui-même et les implications de ce qu'il avait proposé à Léonora, chose qu’il regrettait à cet instant. Dans le silence du grand salon, ponctué seulement par le crépitement de la cheminée, Léonora restait immobile, surtout silencieuse, même après la révélation qu’il venait de lui faire, lui qui était né au cœur même du Razkaal.
Les mots du prévôt la concernant, étaient imprégnés d'une sincérité touchante. En la décrivant comme quelqu'un de lumineux et forte, il révélait non seulement son admiration pour elle mais aussi ses craintes profondes quant aux conséquences de la voie qu'ils s'apprêtaient à emprunter ensemble. Il ne souhaitait pas la voir sombrer dans les ténèbres qu'ils étaient destinés à affronter.
Léonora fut touchée par la profondeur de la préoccupation de l’homme. Elle percevait maintenant la complexité des sentiments de Séraphin à son égard, plus profonds.
Je comprends, commença-t-elle, sa voix empreinte d'une gravité douce. Votre hésitation à me voir embrasser pleinement le rôle de Limier n'est pas tant une question de doute en mes capacités, mais plutôt une marque de respect pour ce que je représente... Elle marqua une pause. Cependant, Léonora se leva, je suis consciente des risques, des sacrifices que cela impliquait. Mon choix ne tient absolument pas compte de vos paroles qui tentent de me dissuader. Mon choix était déjà fait et ne changera pas. Avec un air de réflexion marqué sur son visage, elle se tourna vers Séraphin, capturant son attention avec une gravité mesurée. Ce soir m'a enseigné bien plus que je n'aurais pu l'imaginer commence-t-elle, sa voix portant le poids de ses révélations intérieures. Chaque moment, chaque échange, a été une leçon sur moi-même. Elle fit une pause, laissant ses mots s'imprégner dans l'esprit du limer, puis continua. La véritable force, j'ai découvert, réside dans la capacité à rester fidèle à ses convictions.
Le silence qui suit les mots de Léonora est lourd de significations non dites. Elle ressent l'ampleur de la situation, la complexité de leurs sentiments entrelacés dans un échange qui a dépassé les frontières de la simple collaboration. Ce qui s’est passé entre nous, a ouvert une porte que nous n’aurions jamais du franchir. Ce que nous avons partagé ce soir dépasse les limites de notre alliance. Elle hésita un instant, puis reprit. Je ne pourrais jamais avoir l’esprit tranquille si nous luttons côte à côte. Tu as pris plus de risques que tu n’aurais dû pour moi lorsque j’étais en difficulté et je ne serai jamais totalement dans ma mission s’il devait t'arriver quelque chose. Je me vois donc contrainte de refuser ton offre.
La messe était dite, en bien des choses.
Il se tourna vers elle, son expression était maintenant sérieuse. Il se lança dans le bilan de la soirée. Malgré la tension palpable, son ton adopta une nuance d'approbation, voire de satisfaction, envers Léonora qui l’écoutait attentivement, soutenant son regard avec une confiance tranquille. Son visage affichait une concentration profonde, Séraphin pesait et la considérait, non seulement pour sa valeur immédiate mais aussi pour les implications qu'il pourrait avoir sur l'avenir de leurs plans.
Bien que marqué par une formalité en surface, était chargé d'un sous-texte de... Qulque chose qui était difficile de saisir réellement. Alors que la conversation se poursuivait, un changement subtil s'opéra dans l'attitude de Séraphin. Initialement venu avec l'intention de solidifier le rôle de Léonora à ses côtés en tant que Limier, une partenaire à travers les ombres, il se trouva contre toute attente, à adopter une position de prudence, voire de dissuasion. Il avait vu en Léonora une partenaire capable, une alliée précieuse, mais cela amenait trop des risques pour elle.
Assise, Léonora suivait du regard Séraphin alors qu'il arpentait la pièce, une manifestation physique de son conflit intérieur, comme s'il luttait contre lui-même et les implications de ce qu'il avait proposé à Léonora, chose qu’il regrettait à cet instant. Dans le silence du grand salon, ponctué seulement par le crépitement de la cheminée, Léonora restait immobile, surtout silencieuse, même après la révélation qu’il venait de lui faire, lui qui était né au cœur même du Razkaal.
Les mots du prévôt la concernant, étaient imprégnés d'une sincérité touchante. En la décrivant comme quelqu'un de lumineux et forte, il révélait non seulement son admiration pour elle mais aussi ses craintes profondes quant aux conséquences de la voie qu'ils s'apprêtaient à emprunter ensemble. Il ne souhaitait pas la voir sombrer dans les ténèbres qu'ils étaient destinés à affronter.
Léonora fut touchée par la profondeur de la préoccupation de l’homme. Elle percevait maintenant la complexité des sentiments de Séraphin à son égard, plus profonds.
Je comprends, commença-t-elle, sa voix empreinte d'une gravité douce. Votre hésitation à me voir embrasser pleinement le rôle de Limier n'est pas tant une question de doute en mes capacités, mais plutôt une marque de respect pour ce que je représente... Elle marqua une pause. Cependant, Léonora se leva, je suis consciente des risques, des sacrifices que cela impliquait. Mon choix ne tient absolument pas compte de vos paroles qui tentent de me dissuader. Mon choix était déjà fait et ne changera pas. Avec un air de réflexion marqué sur son visage, elle se tourna vers Séraphin, capturant son attention avec une gravité mesurée. Ce soir m'a enseigné bien plus que je n'aurais pu l'imaginer commence-t-elle, sa voix portant le poids de ses révélations intérieures. Chaque moment, chaque échange, a été une leçon sur moi-même. Elle fit une pause, laissant ses mots s'imprégner dans l'esprit du limer, puis continua. La véritable force, j'ai découvert, réside dans la capacité à rester fidèle à ses convictions.
Le silence qui suit les mots de Léonora est lourd de significations non dites. Elle ressent l'ampleur de la situation, la complexité de leurs sentiments entrelacés dans un échange qui a dépassé les frontières de la simple collaboration. Ce qui s’est passé entre nous, a ouvert une porte que nous n’aurions jamais du franchir. Ce que nous avons partagé ce soir dépasse les limites de notre alliance. Elle hésita un instant, puis reprit. Je ne pourrais jamais avoir l’esprit tranquille si nous luttons côte à côte. Tu as pris plus de risques que tu n’aurais dû pour moi lorsque j’étais en difficulté et je ne serai jamais totalement dans ma mission s’il devait t'arriver quelque chose. Je me vois donc contrainte de refuser ton offre.
La messe était dite, en bien des choses.
Légende du Razkaal
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crédits : 494
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Journal du Limier
Liberty, Manoir de Hengebach
Devant la Dame de Hengebach, le Tueur d'Elusie se tenait immobile, écoutant ses paroles avec une attention particulière, son regard oscillant entre appréhension et révélation intérieure. Il réalisa, avec une lucidité soudaine, qu'il s'était inquiété pour elle non par condescendance, mais parce qu'il voyait en elle une lumière qu'il craignait d'éteindre par ses propres ténèbres. Ses avertissements n'étaient pas tant pour elle que pour lui-même, un aveu de ses propres peurs et regrets. La réponse de Leonora, loin d'aller à l'encontre de ses attentes, lui offrait une perspective nouvelle, celle d'une femme dépassant les simples considérations de risque, consciente de sa propre valeur et de son chemin.
Lorsque Leonora refusa finalement son offre, affirmant sa compréhension des risques et son refus déterminé de le voir se mettre en danger pour elle, Seraphin se retrouva face à un miroir de ses propres sentiments. Ce n'était pas seulement la mission ou le danger qui les liait, mais quelque chose de bien plus profond et complexe. La solitude et le doute qu'il ressentait à cet instant étaient le reflet de la porte qu'ils avaient tous deux ouverte, une porte sur des sentiments qu'il avait longtemps tenus à distance, par devoir plus que par choix.
Le silence qui suivit sa simple réponse, un "Entendu" presque trop faible pour porter le poids de ce moment, était lourd d'un non-dit douloureux. Le Possédé, cet être façonné pour la solitude et le combat, trouvait en la Maîtresse-des-Ombres un miroir de sa propre complexité, une résonance qu'il n'avait pas anticipée.
Ses Nevi'im, habituellement si prompts à s'immiscer dans ses pensées, respectaient ce moment de vulnérabilité, laissant leur hôte affronter seul cette intersection de chemins, lui qui aurait souhaiter pour tout au monde qu'ils jouaient leur rôle usuel en ce moment, libérant ainsi leur hôte du poids de la décision, lui épargnant le fardeau du doute.
Il resta là, quelques secondes de plus, comme suspendu dans le temps, cherchant peut-être dans le regard de la Belle, ou même du destin, un indice sur la marche à suivre. Puis, avec un signe de tête, il se résolut à enfiler de nouveau le masque du Prévôt, celui du Limier imperturbable et infaillible, celui de "Seraphin l'Outil", celui du natif du Razkaal qui a et ne connaitra jamais la chaleur d'un amour, ô grand jamais non... La décision de partir n'était pas seulement un geste physique, mais un adieu silencieux à ce qui aurait pu être, à une intimité effleurée mais jamais pleinement réalisée.
"Prenez soin de vous, Leonora de Hengebach", dit-il finalement, sa voix empreinte d'une douceur inattendue, un hommage à leur éphémère proximité. Puis, enveloppé dans les ombres de la demeure, il prenait le pas, d'un pas vide de sens, à l'image du vide soudain dans son cœur.
Lorsque Leonora refusa finalement son offre, affirmant sa compréhension des risques et son refus déterminé de le voir se mettre en danger pour elle, Seraphin se retrouva face à un miroir de ses propres sentiments. Ce n'était pas seulement la mission ou le danger qui les liait, mais quelque chose de bien plus profond et complexe. La solitude et le doute qu'il ressentait à cet instant étaient le reflet de la porte qu'ils avaient tous deux ouverte, une porte sur des sentiments qu'il avait longtemps tenus à distance, par devoir plus que par choix.
Le silence qui suivit sa simple réponse, un "Entendu" presque trop faible pour porter le poids de ce moment, était lourd d'un non-dit douloureux. Le Possédé, cet être façonné pour la solitude et le combat, trouvait en la Maîtresse-des-Ombres un miroir de sa propre complexité, une résonance qu'il n'avait pas anticipée.
Ses Nevi'im, habituellement si prompts à s'immiscer dans ses pensées, respectaient ce moment de vulnérabilité, laissant leur hôte affronter seul cette intersection de chemins, lui qui aurait souhaiter pour tout au monde qu'ils jouaient leur rôle usuel en ce moment, libérant ainsi leur hôte du poids de la décision, lui épargnant le fardeau du doute.
Il resta là, quelques secondes de plus, comme suspendu dans le temps, cherchant peut-être dans le regard de la Belle, ou même du destin, un indice sur la marche à suivre. Puis, avec un signe de tête, il se résolut à enfiler de nouveau le masque du Prévôt, celui du Limier imperturbable et infaillible, celui de "Seraphin l'Outil", celui du natif du Razkaal qui a et ne connaitra jamais la chaleur d'un amour, ô grand jamais non... La décision de partir n'était pas seulement un geste physique, mais un adieu silencieux à ce qui aurait pu être, à une intimité effleurée mais jamais pleinement réalisée.
"Prenez soin de vous, Leonora de Hengebach", dit-il finalement, sa voix empreinte d'une douceur inattendue, un hommage à leur éphémère proximité. Puis, enveloppé dans les ombres de la demeure, il prenait le pas, d'un pas vide de sens, à l'image du vide soudain dans son cœur.
torture, blessure, infirmité, supplice psychologique, mort etc...
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La Veuve Noire
Leonora de Hengebach
Messages : 264
crédits : 1837
crédits : 1837
Info personnage
Race: Humaine
Vocation: Guerrier assassin
Alignement: Loyale neutre
Rang: B
Il semblait que malgré ses explications, Séraphin n'était pas convaincu ou peut-être même contrarié par les raisons données pour son refus de rejoindre les limiers. Peut-être qu'il avait ses propres attentes ou espoirs qui n'ont pas été rencontrés ou simplement n’avait-il pas saisi ce qu’elle tentait de lui faire passer. Dans tous les cas, il préféra prendre congé plutôt que de discuter davantage. C'est parfois difficile de faire passer clairement des messages, mais Léonora pensait qu’ils étaient pourtant dans la même attente.
Séraphin… Elle se précipita à travers la pièce, ses pas résonnant légèrement sur le parquet. Séraphin, appela-t-elle d'une voix douce mais déterminée, sa main tendue dans sa direction.
Reste, s'il te plaît... Elle prit une profonde inspiration, tu as tes raisons pour partir, mais... s'il te plaît, j’aimerai que tu restes… Avec une douce détermination, elle glissa sa main dans la sienne, cherchant à transmettre ses sentiments. Elle lui fit face et releva délicatement le visage de Séraphin vers elle.
Leurs mains entrelacées, un silence enveloppant régna entre eux, chargé de significations non dites. Puis, avec un léger mouvement, elle resserra doucement sa prise. C'était un petit geste, mais il parlait plus que des mots ne le pourraient jamais. Peut-être, juste peut-être, il y avait un espoir pour qu'il reste, un espoir nourri par ce simple échange de chaleur humaine dans un moment de doute.
Reste… Prenant une décision impulsée par le désir de briser la barrière entre eux, elle réduisit la distance qui les séparait, son cœur battant la chamade. Lentement, presque timidement, elle leva le menton et approcha ses lèvres des siennes. Un frisson parcourut son corps alors qu'elle sentait le souffle de Séraphin sur sa peau. Leurs lèvres se rencontrèrent dans un doux échange, un mélange de passion contenue et de tendresse. C'était un baiser chargé d'émotions, exprimant tout ce qu'ils n'avaient pas était entendu avec des mots.
Séraphin… Elle se précipita à travers la pièce, ses pas résonnant légèrement sur le parquet. Séraphin, appela-t-elle d'une voix douce mais déterminée, sa main tendue dans sa direction.
Reste, s'il te plaît... Elle prit une profonde inspiration, tu as tes raisons pour partir, mais... s'il te plaît, j’aimerai que tu restes… Avec une douce détermination, elle glissa sa main dans la sienne, cherchant à transmettre ses sentiments. Elle lui fit face et releva délicatement le visage de Séraphin vers elle.
Leurs mains entrelacées, un silence enveloppant régna entre eux, chargé de significations non dites. Puis, avec un léger mouvement, elle resserra doucement sa prise. C'était un petit geste, mais il parlait plus que des mots ne le pourraient jamais. Peut-être, juste peut-être, il y avait un espoir pour qu'il reste, un espoir nourri par ce simple échange de chaleur humaine dans un moment de doute.
Reste… Prenant une décision impulsée par le désir de briser la barrière entre eux, elle réduisit la distance qui les séparait, son cœur battant la chamade. Lentement, presque timidement, elle leva le menton et approcha ses lèvres des siennes. Un frisson parcourut son corps alors qu'elle sentait le souffle de Séraphin sur sa peau. Leurs lèvres se rencontrèrent dans un doux échange, un mélange de passion contenue et de tendresse. C'était un baiser chargé d'émotions, exprimant tout ce qu'ils n'avaient pas était entendu avec des mots.
Légende du Razkaal
Seraphin du Razkaal
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L'appel de Leonora le stoppa net, son nom prononcé avec une douceur irrésistible résonnant dans le vide qu'il avait tenté de créer autour de lui. Il se retourna, la main de la belle dans la sienne, un pont fragile mais réel entre leurs mondes si distincts. La tendresse de son geste, l'invitation à rester, transperçait l'armure qu'il avait bâtie autour de son cœur. C'était un appel auquel il ne pouvait se soustraire, même s'il le voulait.
Leurs mains entrelacées furent le symbole d'une connexion retrouvée, un fil ténu mais tenace les liant malgré les tempêtes de doutes et de craintes. Le silence entre eux était lourd, chargé de non-dits, de promesses et de peurs, mais aussi d'une étrange espérance. Lorsque la Demoiselle resserra sa prise, quelque chose en lui s'adoucit, se rendant compte que la force brute n'était pas la seule manière de combattre ou de protéger.
"Reste..." Cette simple requête, murmurée avec une vulnérabilité partagée, fit vaciller ses résolutions. Il se sentait soudainement moins Limier, plus homme, face à l'infini des possibles que leurs cœurs entrelacés esquissaient dans l'ombre de la nuit.
Et alors que leurs lèvres se joignirent dans un baiser, Seraphin permit enfin à ses barrières de s'effondrer, accueillant la chaleur, la tendresse et la passion qu'elle lui offrait. C'était un moment suspendu, un aveu muet de leur connexion unique, un échange d'âmes autant que de souffles.
Dans ce baiser, il trouva plus qu'une confirmation de leurs sentiments mutuels ; il découvrit une invitation à embrasser la complexité de la vie, avec ses risques et ses récompenses. Leonora, avec sa force et sa lumière, lui rappelait que même un cœur marqué par les ombres pouvait encore trouver la lumière.
Alors qu'ils se séparaient doucement, un sourire aussi fin qu'un cheveu trouva son chemin sur le fil de ses lèvres "Je reste", dit-il simplement, sa voix un murmure dans l'air chargé de magie du moment. Pour la première fois depuis longtemps, le Traqueur ne voyait pas l'avenir en ennemi, mais comme un champ de bataille sur lequel ils pourraient marcher côte à côte, non plus en tant que guerriers solitaires, mais en tant qu'alliés, en tant que quelque chose de plus.
C'est dans ce nouvel élan qu'il entreprit de faire sienne la douce, la cerclant de ses bras avant de la soulever, comme pour observer l'océan de ses yeux sous cet angle nouveau, avant qu'il ne laisse emporter par la gravité, tombant ainsi en arrière sur ce siège qui prit des airs de nuages. Là, enveloppés dans l'étreinte de l'instant, c'est dans le creux de son cou qu'il vint trouver refuge, là où le parfum de sa peau éveille en lui des images de roses, là où de ses lèvres il vint apposer un baiser, un murmure de non-dits qui scelle une promesse silencieuse.
Leurs mains entrelacées furent le symbole d'une connexion retrouvée, un fil ténu mais tenace les liant malgré les tempêtes de doutes et de craintes. Le silence entre eux était lourd, chargé de non-dits, de promesses et de peurs, mais aussi d'une étrange espérance. Lorsque la Demoiselle resserra sa prise, quelque chose en lui s'adoucit, se rendant compte que la force brute n'était pas la seule manière de combattre ou de protéger.
"Reste..." Cette simple requête, murmurée avec une vulnérabilité partagée, fit vaciller ses résolutions. Il se sentait soudainement moins Limier, plus homme, face à l'infini des possibles que leurs cœurs entrelacés esquissaient dans l'ombre de la nuit.
Et alors que leurs lèvres se joignirent dans un baiser, Seraphin permit enfin à ses barrières de s'effondrer, accueillant la chaleur, la tendresse et la passion qu'elle lui offrait. C'était un moment suspendu, un aveu muet de leur connexion unique, un échange d'âmes autant que de souffles.
Dans ce baiser, il trouva plus qu'une confirmation de leurs sentiments mutuels ; il découvrit une invitation à embrasser la complexité de la vie, avec ses risques et ses récompenses. Leonora, avec sa force et sa lumière, lui rappelait que même un cœur marqué par les ombres pouvait encore trouver la lumière.
Alors qu'ils se séparaient doucement, un sourire aussi fin qu'un cheveu trouva son chemin sur le fil de ses lèvres "Je reste", dit-il simplement, sa voix un murmure dans l'air chargé de magie du moment. Pour la première fois depuis longtemps, le Traqueur ne voyait pas l'avenir en ennemi, mais comme un champ de bataille sur lequel ils pourraient marcher côte à côte, non plus en tant que guerriers solitaires, mais en tant qu'alliés, en tant que quelque chose de plus.
C'est dans ce nouvel élan qu'il entreprit de faire sienne la douce, la cerclant de ses bras avant de la soulever, comme pour observer l'océan de ses yeux sous cet angle nouveau, avant qu'il ne laisse emporter par la gravité, tombant ainsi en arrière sur ce siège qui prit des airs de nuages. Là, enveloppés dans l'étreinte de l'instant, c'est dans le creux de son cou qu'il vint trouver refuge, là où le parfum de sa peau éveille en lui des images de roses, là où de ses lèvres il vint apposer un baiser, un murmure de non-dits qui scelle une promesse silencieuse.
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Leonora de Hengebach
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Séraphin l'encadra de ses bras, un geste à la fois protecteur et tendre, la souleva en soutenant leur regard et guidé par un élan commun, ils se retrouvèrent sur le siège, la jeune femme sur les genoux de l’homme. Les lèvres du limier trouvèrent le chemin vers le creux de son cou, un endroit délicat, sensible. Léonora sentit un frisson parcourir sa peau, une vague de plaisir intense née de ce contact. La douceur de ses lèvres sur sa peau, l'air chaud de sa respiration, tout concourait à intensifier le moment, transformant un simple geste en une exploration de sensibilité et de désir. Léonora ferma les yeux, se laissant emporter par les sensations, son cœur battant à tout rompre, ses mains trouvant naturellement leur chemin sur les épaules de Séraphin, le rapprochant encore plus d'elle. Les mots étaient superflus, leurs corps parlaient une langue ancienne et universelle. Et pour Léonora, c'était une invitation à plonger plus profondément dans leur intimité, à explorer de vastes et nouveaux territoires.
Elle était un no man's land, une terre de solitude où elle avait érigé des pièges et des remparts pour protéger son cœur des intrus. Elle s'était forgée une forteresse impénétrable, croyant ainsi garder à distance la douleur et les déceptions. Mais sans qu'elle ne sache comment, Séraphin avait trouvé les brèches dans ses murs, les failles dans ses défenses, dans un contexte plutôt étonnant une nuit plus tôt. Elle découvrait, avec une douceur mêlée d'intensité, ce que signifiait réellement éprouver de l'attirance pour un homme, ressentir le désir ardent de se rapprocher, de connaître l'autre non seulement par la parole mais par le toucher, le regard, le souffle.
Léonora, tourna légèrement vers Séraphin, ses yeux plongeant dans les siens, une lueur indéfinissable dansant dans son regard, avant de poser son front contre le sien. Sa voix, teintée d'une chaleur plus profonde porte en elle un frémissement presque imperceptible, un souffle de désir qui transcende la simple invitation à partager un repas. Elle lui proposa simplement, J’ai fait garder le dîner au chaud, si tu n’as pas encore pris de repas…
Son invitation, murmurée avec une douceur qui se voulait détachée, portait en elle une promesse non dite, comme si un menu bien plus riche et complexe que ce que les plats pourraient suggérer, peut être… C'était comme si, à travers cette proposition, Léonora ouvrait une porte jusque-là dissimulée, derrière laquelle se trouvaient des désirs et des sentiments qu'elle n'avait pas anticipés, ou peut-être qu'elle n'avait pas osé reconnaître jusqu'à cet instant, peut être...
Elle était un no man's land, une terre de solitude où elle avait érigé des pièges et des remparts pour protéger son cœur des intrus. Elle s'était forgée une forteresse impénétrable, croyant ainsi garder à distance la douleur et les déceptions. Mais sans qu'elle ne sache comment, Séraphin avait trouvé les brèches dans ses murs, les failles dans ses défenses, dans un contexte plutôt étonnant une nuit plus tôt. Elle découvrait, avec une douceur mêlée d'intensité, ce que signifiait réellement éprouver de l'attirance pour un homme, ressentir le désir ardent de se rapprocher, de connaître l'autre non seulement par la parole mais par le toucher, le regard, le souffle.
Léonora, tourna légèrement vers Séraphin, ses yeux plongeant dans les siens, une lueur indéfinissable dansant dans son regard, avant de poser son front contre le sien. Sa voix, teintée d'une chaleur plus profonde porte en elle un frémissement presque imperceptible, un souffle de désir qui transcende la simple invitation à partager un repas. Elle lui proposa simplement, J’ai fait garder le dîner au chaud, si tu n’as pas encore pris de repas…
Son invitation, murmurée avec une douceur qui se voulait détachée, portait en elle une promesse non dite, comme si un menu bien plus riche et complexe que ce que les plats pourraient suggérer, peut être… C'était comme si, à travers cette proposition, Léonora ouvrait une porte jusque-là dissimulée, derrière laquelle se trouvaient des désirs et des sentiments qu'elle n'avait pas anticipés, ou peut-être qu'elle n'avait pas osé reconnaître jusqu'à cet instant, peut être...
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Dans la douceur de cette nuit enveloppée de pénombre, où les ombres dansent timidement au rythme de la flamme vacillante des bougies, le Damoiseau se métamorphose en amant épris de sa Damoiselle. Il est à présent un navigateur audacieux, explorant l'océan céladon des yeux de Leonora, où chaque regard partagé devient une promesse d'aventures inédites et passionnées.
En cette soirée, le Limier se dépouille de son armure, troquant la froideur de ses quêtes solitaires contre la chaleur de l'intimité partagée.
Il avait substitué la traque aux criminels à celle du cœur de sa Dame.
Il avait substitué la claustration des scélérats à sa propre captivité, dans l'infinie océan céladon que lui offrait ses pupilles.
Il avait substitué les complaintes de ces mêmes vilains à l'absolution de leurs chairs unies.
Il avait substitué le froid des cellules Razkaliennes à la chaleur ensorcelante de son souffle, de sa chair.
Il avait substitué le cri des spectres au chuchotement de ses invitations.
Il avait substitué le goût du sang à celui de son derme, doux, enivrant.
Il avait substitué la poigne de ses lames à celle de ses hanches, dont les formes semblaient avoir été sculptées pour accueillir sa main.
Il avait substitué les champs de bataille à l'alcôve des confidences, où chaque effleurement, chaque souffle partagé tisse les fils d'un lien indéfectible.
Il avait substitué une vie de labeur et de géhenne à une nuit d'allégresse et de délices.
Dans cette étreinte, où se mêlent force et fragilité, Seraphin se fait poète, dessinant de ses mots un tableau où les plaisirs de la chair s'entrelacent avec la richesse d'une communion des esprits. Il joue avec la malice d'un arpenteur né, mais son cœur, ouvert et sincère, bat au rythme de ses véritables intentions : découvrir, avec Leonora, la mélodie cachée dans le silence de leurs échanges, dans l'intimité de leurs gestes.
Alors, face à son invitation il demeurait taquin, alignant le fil de ses doigts curieux qui se délectaient de ses formes à celui de ses mots qui se voulaient flatteurs.
"... Je ne sous-estime guère les plaisirs de ta table, mais je ne pense pas que nous ayons besoin d'aller où que ce soit pour débuter ce dîner", commentait le badineur, avant qu'il ne reprenne avec le même entrain : "Et je le confirme... les plats sont encore chauds, et il n'est point de mes habitudes de les laisser refroidir".
Alliant ses paroles sibyllines à ses gestes dilettants, c'est sur sa jugulaire qu'il jetait son dévolu, s'éprenant de la Dame de Hengebach avec le même entrain qu'un vampire, se délectant de sa peau avec un appétit vorace qui ne laissait place à aucun doute, à aucun manque d'ambition. Ses serres elles ne restaient pas timides non loin, faisant siennes ses hanches qu'il étreignait comme s'il avait peur qu'elles disparaissent, avant que ses phalanges ne s'inventent une vie de prospecteurs, venant avec application apprécier les angles de sa douce, filant leur chemin vers le bas de ses reines, vers le trône des désirs, réprouvant le tissu de ses linges qui étaient de trop dans cette affaire.
Son souffle lui venait caresser sa peau avec embuée qui trahissait les flammes ardentes d'amativité qui grésillaient au sein de l'homme, jusqu'à ce qu'il ne vienne être évincé par la sucrosité de sa langue qui, tandis que ses mains descendaient vers le bas, elle remontant le cours de sa gorge moite, négociant les virages jusqu'à atteindre ses antres de l'écoute, titillant le métal froid de ses boucles d'oreilles avant qu'il ne s'attarde sur ses lobes pendantes, qui devinrent victime de ses crocs, tandis qu'il la mordillait avec légèreté comme pour éveiller une jouissance nouvelle et inconnue jusque-là.
"L'idée d'explorer ce que tu as à offrir est plus alléchante que tout ce que ce monde peut offrir, Leo'..." murmurait d'une voix suave le vilain épris de sa vilaine.
En cette soirée, le Limier se dépouille de son armure, troquant la froideur de ses quêtes solitaires contre la chaleur de l'intimité partagée.
Il avait substitué la traque aux criminels à celle du cœur de sa Dame.
Il avait substitué la claustration des scélérats à sa propre captivité, dans l'infinie océan céladon que lui offrait ses pupilles.
Il avait substitué les complaintes de ces mêmes vilains à l'absolution de leurs chairs unies.
Il avait substitué le froid des cellules Razkaliennes à la chaleur ensorcelante de son souffle, de sa chair.
Il avait substitué le cri des spectres au chuchotement de ses invitations.
Il avait substitué le goût du sang à celui de son derme, doux, enivrant.
Il avait substitué la poigne de ses lames à celle de ses hanches, dont les formes semblaient avoir été sculptées pour accueillir sa main.
Il avait substitué les champs de bataille à l'alcôve des confidences, où chaque effleurement, chaque souffle partagé tisse les fils d'un lien indéfectible.
Il avait substitué une vie de labeur et de géhenne à une nuit d'allégresse et de délices.
Dans cette étreinte, où se mêlent force et fragilité, Seraphin se fait poète, dessinant de ses mots un tableau où les plaisirs de la chair s'entrelacent avec la richesse d'une communion des esprits. Il joue avec la malice d'un arpenteur né, mais son cœur, ouvert et sincère, bat au rythme de ses véritables intentions : découvrir, avec Leonora, la mélodie cachée dans le silence de leurs échanges, dans l'intimité de leurs gestes.
Alors, face à son invitation il demeurait taquin, alignant le fil de ses doigts curieux qui se délectaient de ses formes à celui de ses mots qui se voulaient flatteurs.
"... Je ne sous-estime guère les plaisirs de ta table, mais je ne pense pas que nous ayons besoin d'aller où que ce soit pour débuter ce dîner", commentait le badineur, avant qu'il ne reprenne avec le même entrain : "Et je le confirme... les plats sont encore chauds, et il n'est point de mes habitudes de les laisser refroidir".
Alliant ses paroles sibyllines à ses gestes dilettants, c'est sur sa jugulaire qu'il jetait son dévolu, s'éprenant de la Dame de Hengebach avec le même entrain qu'un vampire, se délectant de sa peau avec un appétit vorace qui ne laissait place à aucun doute, à aucun manque d'ambition. Ses serres elles ne restaient pas timides non loin, faisant siennes ses hanches qu'il étreignait comme s'il avait peur qu'elles disparaissent, avant que ses phalanges ne s'inventent une vie de prospecteurs, venant avec application apprécier les angles de sa douce, filant leur chemin vers le bas de ses reines, vers le trône des désirs, réprouvant le tissu de ses linges qui étaient de trop dans cette affaire.
Son souffle lui venait caresser sa peau avec embuée qui trahissait les flammes ardentes d'amativité qui grésillaient au sein de l'homme, jusqu'à ce qu'il ne vienne être évincé par la sucrosité de sa langue qui, tandis que ses mains descendaient vers le bas, elle remontant le cours de sa gorge moite, négociant les virages jusqu'à atteindre ses antres de l'écoute, titillant le métal froid de ses boucles d'oreilles avant qu'il ne s'attarde sur ses lobes pendantes, qui devinrent victime de ses crocs, tandis qu'il la mordillait avec légèreté comme pour éveiller une jouissance nouvelle et inconnue jusque-là.
"L'idée d'explorer ce que tu as à offrir est plus alléchante que tout ce que ce monde peut offrir, Leo'..." murmurait d'une voix suave le vilain épris de sa vilaine.
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Alors que l'atmosphère se chargeait de désir, Séraphin, peut-être emporté par l'intensité du moment, se montra soudainement plus entreprenant. Un moment délicat où chaque geste est chargé de sens, dans le silence de l'intimité partagée. Séraphin et Léonora se découvraient, s'apprivoisaient avec une tendresse infinie. Leurs regards se croisèrent, communicant des émotions qu'aucun mot ne saurait exprimer. Le désir s'éveillait doucement chez Léonora, comme une flamme vacillante prenant vie dans l'obscurité.
Séraphin, avec une douceur qui reflétait le respect qu'il portait à la brune, chaque caresse, chaque effleurement était empreint d'une intention, celui de son désir de la connaître plus intimement, de se lier à elle d'une manière plus profonde. Léonora, quant à elle, ressentit la chaleur de ces instants partagés, laissa son propre désir s'épanouir en réponse à celui de Séraphin. Leurs souffles se mêlaient, leurs mains s’effleuraient, fusionnant dans un élan de passion toute contenue. Leur histoire commune prit une nouvelle dimension, la naissance de nouveaux sentiments, doucement, mais avec une intensité irrésistible.
Son regard, était à la fois la promesse d'un bonheur inexploré et un rappel qu'elle se tenait à la lisière d'un monde qu’elle ne connaissait mais ne souhaitait repousser, dont l'entrée demandait un courage et une confiance qu'elle cherchait encore à rassembler.
La jeune femme s’abandonna à la sensation exquise de l'exploration, laissant Séraphin parcourir chaque parcelle de son être, avec une tendresse et une passion palpables. Ses sens s'éveillaient sous les caresses expertes de son amant, chaque contact faisait naître en elle un frisson délicieux. Elle se perdait dans les sensations, savourait chaque instant où les mains de Séraphin découvraient les vallées de son corps, comme s'il la lisait en braille et en elle comme dans un livre ouvert.
Ses yeux pétillaient d'une lueur espiègle, jouant avec lui dans cette danse taquine où les mots se mêlèrent aux caresses. Je suis tout à fait d'accord, il n'est pas nécessaire de chercher ailleurs ce qui est déjà là, à portée de main, ajouta-t-elle, laissant entendre une promesse implicite dans ses paroles. Le diner attendrait…
Léonora répondit à l'invitation de Séraphin en explorant à son tour le corps de son amant, laissant ses mains délicates parcourir avec une douceur enivrante ses contours. Elle laissa glisser le bout de ses doigts fins sous la tunique de l’homme, savourant la sensation de sa peau chaude. Ses caresses se faisaient légères, exploraient la naissance de son torse avec une délicatesse qui traduisait à la fois son désir, son respect, ses hésitations. Chaque effleurement faisaient naître en elle une vague de désir qui ne demandait qu'à être assouvie. Elle se perdait dans cette exploration sensorielle, laissant son corps répondre aux stimuli que lui offraient ceux de Séraphin, les frontières entre eux s'effaçaient peu à peu.
Quand il atteignit son cou, elle ferma les yeux, abandonnée à la délicieuse sensation de ses lèvres et de sa langue qui traçaient des chemins brûlants le long de sa peau. Mais c'est lorsque Séraphin s'attarda sur son oreille que Léonora se sentit fondre de plaisir. Cette zone sensible l’enflammait, faisait naître en elle une vague de plaisir qui la submergea peu à peu. Dans cet échange sensuel, chaque geste de Séraphin réveillait en elle des émotions qu'elle n'avait jamais ressenties auparavant.
Face à cette déclaration de désir et de passion, Léonora laissa échapper un souffle retenu, captivée par la suavité de la voix de Séraphin et par l'intensité de ses mots. Son cœur bâtait un peu plus vite, ses sens en éveil devant cette promesse enivrante. Elle rencontra le regard de Séraphin avec une intensité égale, ses propres yeux reflétaient le feu qui brûlait en elle. Un sourire malicieux se dessine sur ses lèvres alors qu'elle répondait d'une voix douce et une nouvelle fois taquine. Es-tu toujours aussi poétique dans tes déclarations ? Murmura-t-elle.
Puis, elle serra son corps de celui de Séraphin, leurs souffles se mêlaient. C'était la suite d'une exploration mutuelle, où les limites de la passion semblaient infinies, et où chaque instant était une invitation à se perdre dans les bras l'un de l'autre.
Séraphin, avec une douceur qui reflétait le respect qu'il portait à la brune, chaque caresse, chaque effleurement était empreint d'une intention, celui de son désir de la connaître plus intimement, de se lier à elle d'une manière plus profonde. Léonora, quant à elle, ressentit la chaleur de ces instants partagés, laissa son propre désir s'épanouir en réponse à celui de Séraphin. Leurs souffles se mêlaient, leurs mains s’effleuraient, fusionnant dans un élan de passion toute contenue. Leur histoire commune prit une nouvelle dimension, la naissance de nouveaux sentiments, doucement, mais avec une intensité irrésistible.
Son regard, était à la fois la promesse d'un bonheur inexploré et un rappel qu'elle se tenait à la lisière d'un monde qu’elle ne connaissait mais ne souhaitait repousser, dont l'entrée demandait un courage et une confiance qu'elle cherchait encore à rassembler.
La jeune femme s’abandonna à la sensation exquise de l'exploration, laissant Séraphin parcourir chaque parcelle de son être, avec une tendresse et une passion palpables. Ses sens s'éveillaient sous les caresses expertes de son amant, chaque contact faisait naître en elle un frisson délicieux. Elle se perdait dans les sensations, savourait chaque instant où les mains de Séraphin découvraient les vallées de son corps, comme s'il la lisait en braille et en elle comme dans un livre ouvert.
Ses yeux pétillaient d'une lueur espiègle, jouant avec lui dans cette danse taquine où les mots se mêlèrent aux caresses. Je suis tout à fait d'accord, il n'est pas nécessaire de chercher ailleurs ce qui est déjà là, à portée de main, ajouta-t-elle, laissant entendre une promesse implicite dans ses paroles. Le diner attendrait…
Léonora répondit à l'invitation de Séraphin en explorant à son tour le corps de son amant, laissant ses mains délicates parcourir avec une douceur enivrante ses contours. Elle laissa glisser le bout de ses doigts fins sous la tunique de l’homme, savourant la sensation de sa peau chaude. Ses caresses se faisaient légères, exploraient la naissance de son torse avec une délicatesse qui traduisait à la fois son désir, son respect, ses hésitations. Chaque effleurement faisaient naître en elle une vague de désir qui ne demandait qu'à être assouvie. Elle se perdait dans cette exploration sensorielle, laissant son corps répondre aux stimuli que lui offraient ceux de Séraphin, les frontières entre eux s'effaçaient peu à peu.
Quand il atteignit son cou, elle ferma les yeux, abandonnée à la délicieuse sensation de ses lèvres et de sa langue qui traçaient des chemins brûlants le long de sa peau. Mais c'est lorsque Séraphin s'attarda sur son oreille que Léonora se sentit fondre de plaisir. Cette zone sensible l’enflammait, faisait naître en elle une vague de plaisir qui la submergea peu à peu. Dans cet échange sensuel, chaque geste de Séraphin réveillait en elle des émotions qu'elle n'avait jamais ressenties auparavant.
Face à cette déclaration de désir et de passion, Léonora laissa échapper un souffle retenu, captivée par la suavité de la voix de Séraphin et par l'intensité de ses mots. Son cœur bâtait un peu plus vite, ses sens en éveil devant cette promesse enivrante. Elle rencontra le regard de Séraphin avec une intensité égale, ses propres yeux reflétaient le feu qui brûlait en elle. Un sourire malicieux se dessine sur ses lèvres alors qu'elle répondait d'une voix douce et une nouvelle fois taquine. Es-tu toujours aussi poétique dans tes déclarations ? Murmura-t-elle.
Puis, elle serra son corps de celui de Séraphin, leurs souffles se mêlaient. C'était la suite d'une exploration mutuelle, où les limites de la passion semblaient infinies, et où chaque instant était une invitation à se perdre dans les bras l'un de l'autre.
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