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La Veuve Noire
Leonora de Hengebach
Messages : 264
crédits : 1837
crédits : 1837
Info personnage
Race: Humaine
Vocation: Guerrier assassin
Alignement: Loyale neutre
Rang: B
Tandis que la bataille entre le lycan et le vampire faisait rage, Léonora luttait pour se remettre debout. La douleur était un feu qui courait le long de ses veines, mais son esprit restait focalisé sur l'affrontement. Elle savait qu'elle devait agir, qu'elle ne pouvait laisser Séraphin combattre seul. Avec effort, elle se redressa, chercha une manière de contribuer à la victoire qui leur était indispensable. Le destin de leur mission, se jouait dans l'issue de cet affrontement.
Léonora, malgré la douleur qui martelait chaque parcelle de son être, sentit une poussée d'adrénaline au moment où elle aperçut Zafrina et son tourbillon de flammes ainsi que les autres vampires s'abattre sur Séraphin. La vue de son compagnon, pris au piège au milieu d'une horde, raviva en elle une détermination farouche. Elle ne pouvait rester là, à le regarder lutter seul.
Ignorant autant que possible la douleur, elle concentra sa mana, sentant l'énergie s'accumuler dans ses mains avec une intensité brûlante. Elle visait maintenant Zafrina, consciente que si elle parvenait à la mettre hors de combat, leurs adversaires s'en trouveraient ébranlés.
Avec une précision née de l'urgence, Léonora lança une série d’éclairs ciblés. Elle invoqua des chaînes d'énergie qui surgirent de l’air, cherchant à entraver les mouvements de Zafrina. Tout en concentrant une partie de son attention sur elle, Léonora se lança également vers les vampires qui menaçaient de submerger Séraphin. Chaque coup qu'elle envoyait était une lame affûtée, taillant à travers les rangs ennemis avec efficacité.
Avec une force intérieure puisée dans la nécessité de protéger son compagnon d'armes, Léonora se dirigea vers Zafrina, ses pas résonnaient et marquaient sa volonté. Son regard était une lueur d'intensité dans l'ombre, une promesse silencieuse de lutte jusqu'au dernier souffle.
Lorsqu'elle l’atteignit Zafrina une nouvelle fois maîtrisée, sa détermination était palpable quand son regard croisa celui de la vampire.
C’est la fin. Dit-elle d'une voix calme.
Avec détermination, Léonora enfonça profondément sa dague dans le ventre de Zafrina. Le métal froid pénétra la chair du vampire, et un cri de douleur s'échappa de ses lèvres alors que la lame s'enfonçait plus profondément. Léonora maintint fermement son couteau, ne laissant aucune chance à Zafrina de se libérer de son emprise. Le vampire se débattit, cherchant à se libérer, mais Léonora tint bon, ses muscles tendus par l'effort et la détermination. Elle pouvait sentir chaque souffle haletant du Haut-Vampire s'échapper lentement de son corps.
Dans un ultime sursaut de résistance, Zafrina attrapa le bras de Léonora avec une force inattendue. Une vague de douleur brûlante traversa le corps de la brune alors que la peau sous la prise du vampire commençait à se consumer. La sensation était intense, dévorante, comme si le feu lui-même dévorait sa chair. C'était l'ultime acte de désespoir de Zafrina, un dernier effort pour infliger des dommages avant que ses forces ne la quittent.
Avec une résolution implacable, Léonora maintint sa prise sur son couteau, refusant de le lâcher même dans la douleur brûlante en serrant les dents. Elle sentit la force de Zafrina faiblir, ses mouvements devenir plus faibles, le vampire perdait lentement conscience.
Alors que la bataille touchait à sa fin avec les deux Hauts-Vampires stoppés, certains vampires tentèrent de fuir, cherchant à échapper aux limiers. Certains furent rattrapés dans leur fuite désespérée. Les batailles cessèrent peu à peu.
Léonora resta aux côtés de Zafrina, essoufflée par l'intensité du combat et les émotions qui l'avaient traversée, sentait le poids de la bataille peser sur ses épaules, alors que la vampire luttait pour maintenir le fil sa vie.
Léonora, malgré la douleur qui martelait chaque parcelle de son être, sentit une poussée d'adrénaline au moment où elle aperçut Zafrina et son tourbillon de flammes ainsi que les autres vampires s'abattre sur Séraphin. La vue de son compagnon, pris au piège au milieu d'une horde, raviva en elle une détermination farouche. Elle ne pouvait rester là, à le regarder lutter seul.
Ignorant autant que possible la douleur, elle concentra sa mana, sentant l'énergie s'accumuler dans ses mains avec une intensité brûlante. Elle visait maintenant Zafrina, consciente que si elle parvenait à la mettre hors de combat, leurs adversaires s'en trouveraient ébranlés.
Avec une précision née de l'urgence, Léonora lança une série d’éclairs ciblés. Elle invoqua des chaînes d'énergie qui surgirent de l’air, cherchant à entraver les mouvements de Zafrina. Tout en concentrant une partie de son attention sur elle, Léonora se lança également vers les vampires qui menaçaient de submerger Séraphin. Chaque coup qu'elle envoyait était une lame affûtée, taillant à travers les rangs ennemis avec efficacité.
Avec une force intérieure puisée dans la nécessité de protéger son compagnon d'armes, Léonora se dirigea vers Zafrina, ses pas résonnaient et marquaient sa volonté. Son regard était une lueur d'intensité dans l'ombre, une promesse silencieuse de lutte jusqu'au dernier souffle.
Lorsqu'elle l’atteignit Zafrina une nouvelle fois maîtrisée, sa détermination était palpable quand son regard croisa celui de la vampire.
C’est la fin. Dit-elle d'une voix calme.
Avec détermination, Léonora enfonça profondément sa dague dans le ventre de Zafrina. Le métal froid pénétra la chair du vampire, et un cri de douleur s'échappa de ses lèvres alors que la lame s'enfonçait plus profondément. Léonora maintint fermement son couteau, ne laissant aucune chance à Zafrina de se libérer de son emprise. Le vampire se débattit, cherchant à se libérer, mais Léonora tint bon, ses muscles tendus par l'effort et la détermination. Elle pouvait sentir chaque souffle haletant du Haut-Vampire s'échapper lentement de son corps.
Dans un ultime sursaut de résistance, Zafrina attrapa le bras de Léonora avec une force inattendue. Une vague de douleur brûlante traversa le corps de la brune alors que la peau sous la prise du vampire commençait à se consumer. La sensation était intense, dévorante, comme si le feu lui-même dévorait sa chair. C'était l'ultime acte de désespoir de Zafrina, un dernier effort pour infliger des dommages avant que ses forces ne la quittent.
Avec une résolution implacable, Léonora maintint sa prise sur son couteau, refusant de le lâcher même dans la douleur brûlante en serrant les dents. Elle sentit la force de Zafrina faiblir, ses mouvements devenir plus faibles, le vampire perdait lentement conscience.
Alors que la bataille touchait à sa fin avec les deux Hauts-Vampires stoppés, certains vampires tentèrent de fuir, cherchant à échapper aux limiers. Certains furent rattrapés dans leur fuite désespérée. Les batailles cessèrent peu à peu.
Léonora resta aux côtés de Zafrina, essoufflée par l'intensité du combat et les émotions qui l'avaient traversée, sentait le poids de la bataille peser sur ses épaules, alors que la vampire luttait pour maintenir le fil sa vie.
Légende du Razkaal
Seraphin du Razkaal
Messages : 253
crédits : 494
crédits : 494
Info personnage
Race: Lycanthrope
Vocation: Guerrier assassin
Alignement: Chaotique Mauvais
Rang: B
Journal du Limier
Liberty, Manoir de Hengebach
Tandis que la frénésie de la bataille s'estompait, la sauvagerie de Seraphin commençait à s'apaiser, laissant place à un silence presque solennel. Les restes méconnaissables de Leondro sous lui témoignaient de la furie déchaînée qu'il venait de traverser, une fureur qui s'était dissipée une bonne minute après qu'elle avait éclaté. Reprenant peu à peu ses esprits, il laissait derrière lui sa monstrueuse forme lupine pour révéler sa silhouette humaine, épuisée et couverte de marques de la bataille.
La douleur lancinante à son épaule et le goût ferreux qui envahissait sa bouche ne faisaient que souligner l'intensité du combat qu'il venait de livrer. Se tenant l'épaule, Seraphin se relevait lentement, scrutant les débris du carnage autour de lui. Ses yeux se posaient sur Leonora, debout, imposante malgré les épreuves, au-dessus d'une Zafrina vaincue.
Le monde autour de lui reprenait forme, chaque son, chaque mouvement lui rappelant là où il se trouvait. La mémoire du gémissement de Léonora, qui avait déclenché en lui un ouragan de rage, lui revenait avec acuité. Observant les vampires restants, certains en fuite, d'autres capturés ou exécutés, ainsi que ceux qui cerclaient sa position, il comprenait sans un mot que c'était la belle qui l'avait prémuni des vilains lors sa "déconnexion".
L'approchant, il arrachait péniblement les deux couteaux encore fichées dans son corps, une grimace de douleur traversant son visage, échangeant avec elle un regard lourd de non-dits, un mélange de gratitude et d'inquiétude.
"Où es-tu blessée ?" demandait-il d'une voix rauque, signalant du regard un Limier de sa meute qui se tenait prêt à intervenir. Un sourire teinté d'humour éclaircissait son visage marqué par les combats. "Désolé pour la... "rage", je ne sais pas ce qui m'a pris," ajoutait-il, feignant l'ignorance de la véritable raison de sa colère dévorante – ses sentiments pour elle, exacerbés par la vision de sa douleur.
Autour d'eux, la bibliothèque reprenait peu à peu vie, entre les Limiers qui s'occupaient des blessés et ceux qui sécurisaient la zone. Le d'Elusie, malgré ses propres blessures, restait concentré sur sa consœur, souhaitant lui fournir toute l'aide nécessaire. Dans ce moment de calme après la tempête, la Tueuse et le Tueur se tenaient côte à côte, unis non seulement par la bataille qu'ils venaient de livrer, mais par un lien plus profond, tissé dans le feu et le sang.
La douleur lancinante à son épaule et le goût ferreux qui envahissait sa bouche ne faisaient que souligner l'intensité du combat qu'il venait de livrer. Se tenant l'épaule, Seraphin se relevait lentement, scrutant les débris du carnage autour de lui. Ses yeux se posaient sur Leonora, debout, imposante malgré les épreuves, au-dessus d'une Zafrina vaincue.
Le monde autour de lui reprenait forme, chaque son, chaque mouvement lui rappelant là où il se trouvait. La mémoire du gémissement de Léonora, qui avait déclenché en lui un ouragan de rage, lui revenait avec acuité. Observant les vampires restants, certains en fuite, d'autres capturés ou exécutés, ainsi que ceux qui cerclaient sa position, il comprenait sans un mot que c'était la belle qui l'avait prémuni des vilains lors sa "déconnexion".
L'approchant, il arrachait péniblement les deux couteaux encore fichées dans son corps, une grimace de douleur traversant son visage, échangeant avec elle un regard lourd de non-dits, un mélange de gratitude et d'inquiétude.
"Où es-tu blessée ?" demandait-il d'une voix rauque, signalant du regard un Limier de sa meute qui se tenait prêt à intervenir. Un sourire teinté d'humour éclaircissait son visage marqué par les combats. "Désolé pour la... "rage", je ne sais pas ce qui m'a pris," ajoutait-il, feignant l'ignorance de la véritable raison de sa colère dévorante – ses sentiments pour elle, exacerbés par la vision de sa douleur.
Autour d'eux, la bibliothèque reprenait peu à peu vie, entre les Limiers qui s'occupaient des blessés et ceux qui sécurisaient la zone. Le d'Elusie, malgré ses propres blessures, restait concentré sur sa consœur, souhaitant lui fournir toute l'aide nécessaire. Dans ce moment de calme après la tempête, la Tueuse et le Tueur se tenaient côte à côte, unis non seulement par la bataille qu'ils venaient de livrer, mais par un lien plus profond, tissé dans le feu et le sang.
torture, blessure, infirmité, supplice psychologique, mort etc...
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La Veuve Noire
Leonora de Hengebach
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Debout devant le corps presque inerte de Zafrina, la de Hengebach reprenait ses esprits. Les événements s'étaient déroulés si vite, un enchevêtrement de violence qui avait laissé tout le monde étourdi. Mais alors que la réalité de la situation s'abattait sur elle, Léonora sentit la présence de Séraphin près d’elle, se rapprochant silencieusement pour se tenir à ses côtés.
Son inquiétude pour elle était palpable, il lui demanda d'une voix empreinte d'anxiété si elle était blessée. Léonora secoua doucement la tête, lui offrant un faible sourire pour le rassurer, et s’étonna de ressentir un réconfort inattendu en sa présence.
Tout va bien.
Léonora détourna son regard pour se concentrer sur Séraphin, qui se tenait là, une main pressée contre son épaule blessée. Elle fronça les sourcils en voyant la douleur qui se lisait sur son visage, la souffrance qu'il tentait vaillamment de dissimuler. Elle s'approcha de lui, posant doucement sa main sur la sienne.
Laissez-moi voir, murmura-t-elle, sa voix empreinte de préoccupation. Elle grimaça en voyant l'étendue des dégâts, réalisant que Séraphin avait été bien plus amoché qu'elle ne l'avait imaginé. Un soigneur s'approcha d'eux, son expression grave alors qu'il évaluait la blessure. Léonora se retira pour lui laisser de la place.
Surprise par ses excuses pour sa rage pendant le combat, elle tourna son visage vers Séraphin. Elle pointa du menton le corps inerte de Leondro gisait là, une silhouette fantomatique de ce qu'il avait été.
C’est à lui que vous devriez les présenter. Vivant, c’était ça ? ironisa-t-elle puis elle réalisa que le blessé était entièrement nu, ses vêtements déchirés gisaient sur le sol un peu plus loin, là où il avait pris sa forme lutine. Elle se racla la gorge pour apostropher le limier soigneur, ou peut être pour masquer sa gêne face au corps dénudé.
Votre cape...
Le soigneur hocha la tête, comprenant sa demande. Il défit sa cape et la tendit à Léonora, qui la prit. Sans perdre de temps, elle la déposa délicatement, la drapant autour de lui. Elle l'ajusta soigneusement, veillant à ce qu'elle le couvre entièrement. Face à lui, Léonora observa les mèches de cheveux emmêlées de sang qui tombaient sur son front. Avec précaution, elle glissa ses doigts dans les cheveux, déplaça doucement les mèches imbibées de sang qui s'étaient collées, révélant la peau pâle dessous. Chaque mouvement était délicat, empreint de précaution et délicatesse pour ne pas causer plus de douleur à Séraphin déjà blessé. Elle lui adressa un léger sourire, avant de se reculer.
La descente brutale de l'adrénaline laissa Léonora pâle, son corps semblant vaciller sous la douleur refoulée de la brûlure au bras et une vive douleur éclata sur son flanc. Elle posa la main instinctivement contre la blessure, sentant le sang chaud s'échapper lentement entre ses doigts. C’était intense, mais elle se força à rester debout. Sans doute un coup de dague lors du corps à corps avec la mêlée qui s’était dressée autour du Lycan.
Son inquiétude pour elle était palpable, il lui demanda d'une voix empreinte d'anxiété si elle était blessée. Léonora secoua doucement la tête, lui offrant un faible sourire pour le rassurer, et s’étonna de ressentir un réconfort inattendu en sa présence.
Tout va bien.
Léonora détourna son regard pour se concentrer sur Séraphin, qui se tenait là, une main pressée contre son épaule blessée. Elle fronça les sourcils en voyant la douleur qui se lisait sur son visage, la souffrance qu'il tentait vaillamment de dissimuler. Elle s'approcha de lui, posant doucement sa main sur la sienne.
Laissez-moi voir, murmura-t-elle, sa voix empreinte de préoccupation. Elle grimaça en voyant l'étendue des dégâts, réalisant que Séraphin avait été bien plus amoché qu'elle ne l'avait imaginé. Un soigneur s'approcha d'eux, son expression grave alors qu'il évaluait la blessure. Léonora se retira pour lui laisser de la place.
Surprise par ses excuses pour sa rage pendant le combat, elle tourna son visage vers Séraphin. Elle pointa du menton le corps inerte de Leondro gisait là, une silhouette fantomatique de ce qu'il avait été.
C’est à lui que vous devriez les présenter. Vivant, c’était ça ? ironisa-t-elle puis elle réalisa que le blessé était entièrement nu, ses vêtements déchirés gisaient sur le sol un peu plus loin, là où il avait pris sa forme lutine. Elle se racla la gorge pour apostropher le limier soigneur, ou peut être pour masquer sa gêne face au corps dénudé.
Votre cape...
Le soigneur hocha la tête, comprenant sa demande. Il défit sa cape et la tendit à Léonora, qui la prit. Sans perdre de temps, elle la déposa délicatement, la drapant autour de lui. Elle l'ajusta soigneusement, veillant à ce qu'elle le couvre entièrement. Face à lui, Léonora observa les mèches de cheveux emmêlées de sang qui tombaient sur son front. Avec précaution, elle glissa ses doigts dans les cheveux, déplaça doucement les mèches imbibées de sang qui s'étaient collées, révélant la peau pâle dessous. Chaque mouvement était délicat, empreint de précaution et délicatesse pour ne pas causer plus de douleur à Séraphin déjà blessé. Elle lui adressa un léger sourire, avant de se reculer.
La descente brutale de l'adrénaline laissa Léonora pâle, son corps semblant vaciller sous la douleur refoulée de la brûlure au bras et une vive douleur éclata sur son flanc. Elle posa la main instinctivement contre la blessure, sentant le sang chaud s'échapper lentement entre ses doigts. C’était intense, mais elle se força à rester debout. Sans doute un coup de dague lors du corps à corps avec la mêlée qui s’était dressée autour du Lycan.
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Journal du Limier
Liberty, Manoir de Hengebach
Dans le tumulte de la bataille qui s'était enfin apaisée, Séraphin se tenait là, face à Leonora, une proximité troublante entre eux révélant des émotions inédites. Alors qu'elle inspectait avec une délicatesse touchante ses blessures, une vague de réflexions submergea l'esprit du Limier. Pourquoi finissait-il toujours par accumuler les cicatrices à chaque confrontation ? La réponse semblait lui échapper, enfouie sous les couches de son vécu tumultueux.
Le regard de Séraphin s'assombrit, plongeant dans les abysses de son âme tourmentée. L'histoire de sa vie, une succession d'affrontements et de douleurs, lui revenait en mémoire. Chaque blessure semblait porter en elle un fragment de son histoire, une carte marquée des combats qu'il avait menés, pas seulement contre les autres, mais aussi contre lui-même. La douleur physique, à bien y réfléchir, était peut-être la seule constante dans son existence chaotique, un exutoire à la folie qui menaçait de le submerger, à cette sensation perpétuelle d'être un étranger dans son propre corps, partagé entre ses désirs et ceux de ses démons intérieurs.
Ses pensées dérivèrent vers le concept d'exutoire. Être blessé, ressentir la douleur, était-ce sa manière inconsciente de se rappeler qu'il était encore vivant, qu'il pouvait encore ressentir, malgré tout ? C'était comme si, à travers ses blessures, il cherchait à échapper à la confusion, à la solitude, à ce sentiment d'impuissance face à un monde qu'il ne pouvait ni comprendre ni contrôler pleinement. La douleur était réelle, tangible, elle était un repère dans le tumulte de son existence.
Et pourtant, lorsque Leonora le toucha, s'occupa de lui avec une attention qu'il n'avait jamais ressentie, c'était comme si, pour la première fois, quelqu'un voyait au-delà des ombres qui l'enveloppaient. Ce soin, ce contact, lui apportait un réconfort qu'il ne savait nommer, une chaleur qui s'infiltrait lentement dans les crevasses de son cœur gelé par les années de solitude.
Il se laissa faire, un silence lourd emplissant l'espace entre eux alors qu'il absorbait chaque sensation, chaque frôlement de ses doigts. Lorsqu'elle s'éloigna, l'impact de son absence fut étonnamment profond. Son rire nerveux, sa réponse tardive à sa plaisanterie, tout traduisait une vulnérabilité qu'il ne s'était jamais autorisé à explorer.
La gêne qui le saisit lorsqu'elle couvrit sa nudité était un sentiment nouveau, un embarras qu'il n'avait pas anticipé, une preuve supplémentaire de l'impact qu'elle avait sur lui. Il observait, captivé par ses gestes, par cette sollicitude qui lui était étrangère.
Quand il la vit fléchir sous la douleur, son instinct le poussa à agir. Il s'empressa de déchirer un pan de tissu de cette même cape avec laquelle elle l'avait draper, afin de venir panser les meurtrissures de sa peau, de venir soigner ses blessures avec une attention qu'il ne s'était jamais appliquée à lui-même. Fignolant de ses doigts le bandage sur son flanc, c'est avec une certaine chaleur que sa main resta appuyée sur sa peau, un geste intime, une tentative de guérir plus que les plaies visibles, de la soustraire à ses maux par le pouvoir de sa volonté.
Leur regard se croisa, un moment suspendu hors du temps, où toute l'intensité de leur lien semblait cristallisée. Puis, doucement, presque avec révérence, il approcha sa main de sa nuque, ses doigts se frayant un chemin à travers ses cheveux soyeux. Sans un mot, il la rapprocha, et leurs lèvres se rencontrèrent dans un baiser qui scella leur connexion, une promesse silencieuse d'une compréhension mutuelle au-delà des mots.
Dans ce geste, il y avait un aveu, un partage d'âmes, et peut-être, dans le silence qui suivit, une acceptation tacite des sentiments qu'elle avait fait naître en lui.
Le regard de Séraphin s'assombrit, plongeant dans les abysses de son âme tourmentée. L'histoire de sa vie, une succession d'affrontements et de douleurs, lui revenait en mémoire. Chaque blessure semblait porter en elle un fragment de son histoire, une carte marquée des combats qu'il avait menés, pas seulement contre les autres, mais aussi contre lui-même. La douleur physique, à bien y réfléchir, était peut-être la seule constante dans son existence chaotique, un exutoire à la folie qui menaçait de le submerger, à cette sensation perpétuelle d'être un étranger dans son propre corps, partagé entre ses désirs et ceux de ses démons intérieurs.
Ses pensées dérivèrent vers le concept d'exutoire. Être blessé, ressentir la douleur, était-ce sa manière inconsciente de se rappeler qu'il était encore vivant, qu'il pouvait encore ressentir, malgré tout ? C'était comme si, à travers ses blessures, il cherchait à échapper à la confusion, à la solitude, à ce sentiment d'impuissance face à un monde qu'il ne pouvait ni comprendre ni contrôler pleinement. La douleur était réelle, tangible, elle était un repère dans le tumulte de son existence.
Et pourtant, lorsque Leonora le toucha, s'occupa de lui avec une attention qu'il n'avait jamais ressentie, c'était comme si, pour la première fois, quelqu'un voyait au-delà des ombres qui l'enveloppaient. Ce soin, ce contact, lui apportait un réconfort qu'il ne savait nommer, une chaleur qui s'infiltrait lentement dans les crevasses de son cœur gelé par les années de solitude.
Il se laissa faire, un silence lourd emplissant l'espace entre eux alors qu'il absorbait chaque sensation, chaque frôlement de ses doigts. Lorsqu'elle s'éloigna, l'impact de son absence fut étonnamment profond. Son rire nerveux, sa réponse tardive à sa plaisanterie, tout traduisait une vulnérabilité qu'il ne s'était jamais autorisé à explorer.
La gêne qui le saisit lorsqu'elle couvrit sa nudité était un sentiment nouveau, un embarras qu'il n'avait pas anticipé, une preuve supplémentaire de l'impact qu'elle avait sur lui. Il observait, captivé par ses gestes, par cette sollicitude qui lui était étrangère.
Quand il la vit fléchir sous la douleur, son instinct le poussa à agir. Il s'empressa de déchirer un pan de tissu de cette même cape avec laquelle elle l'avait draper, afin de venir panser les meurtrissures de sa peau, de venir soigner ses blessures avec une attention qu'il ne s'était jamais appliquée à lui-même. Fignolant de ses doigts le bandage sur son flanc, c'est avec une certaine chaleur que sa main resta appuyée sur sa peau, un geste intime, une tentative de guérir plus que les plaies visibles, de la soustraire à ses maux par le pouvoir de sa volonté.
Leur regard se croisa, un moment suspendu hors du temps, où toute l'intensité de leur lien semblait cristallisée. Puis, doucement, presque avec révérence, il approcha sa main de sa nuque, ses doigts se frayant un chemin à travers ses cheveux soyeux. Sans un mot, il la rapprocha, et leurs lèvres se rencontrèrent dans un baiser qui scella leur connexion, une promesse silencieuse d'une compréhension mutuelle au-delà des mots.
Dans ce geste, il y avait un aveu, un partage d'âmes, et peut-être, dans le silence qui suivit, une acceptation tacite des sentiments qu'elle avait fait naître en lui.
Pour la première fois, il ne souhaitait plus souffrir, si ce n'est que pour elle.
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Aux premiers signes de faiblesse chez Léonora, Séraphin fut à ses côtés en un instant, sa préoccupation pour elle surpassait sa propre douleur. Il arracha un pan de sa cape, comme un geste qui témoignerait de son dévouement envers elle. Avec une douceur surprenante pour de ce qu’elle se faisait de l’idée du Limier, Séraphin commença à panser sa blessure. Ses mains étaient précautionneuses, veillant à ne pas lui causer plus de douleur qu'elle n'en endurait déjà. Chaque geste qu'il effectuait était empreint d’attention, révélant un aspect de son caractère que Léonora n'avait pu que supposer jusqu’ici.
Elle l’observait, une vague de gratitude mêlée à la douleur. La sensation du tissu pressé contre sa peau lui apportait un soulagement immédiat, bien que temporaire, à moins que cela ne vienne de la chaleur de sa main contre sa peau.
Puis, avec une lenteur qui semblait suspendre le temps lui-même, Séraphin se pencha pour embrasser Léonora. C'était un baiser doux, chargé de toute l'intensité, un geste de réconfort.
Bien que le baiser ait été empreint d'une douceur réconfortante, Léonora, avec une détermination qui lui était propre, se détacha rapidement de Séraphin. Dans ses yeux, un feu brûlait, révélant une force indomptable. Dans son regard, non pas un rejet de Séraphin mais une femme qui choisissait librement, non seulement les batailles qu'elle décidait de mener mais également les moments d'intimité qu'elle souhaitait partager. Ce n'était pas une question de désir, mais de principe ; une déclaration silencieuse que même dans la proximité, elle restait maîtresse de ses choix. Elle choisissez qui, où et comment.
Après avoir affirmé son mécontentement silencieux, Léonora se laissa finalement emporter par l'élan de la tendresse. Elle se blottit de nouveau dans les bras de Séraphin, sentant sa chaleur réconfortante l'envelopper. Leurs lèvres se rejoignirent dans un nouveau et doux baiser. Léonora glissa sa main sur le torse nu de Séraphin, sentant le battement de son cœur sous sa paume, qui la rassurait dans cette étreinte.
Elle l’observait, une vague de gratitude mêlée à la douleur. La sensation du tissu pressé contre sa peau lui apportait un soulagement immédiat, bien que temporaire, à moins que cela ne vienne de la chaleur de sa main contre sa peau.
Puis, avec une lenteur qui semblait suspendre le temps lui-même, Séraphin se pencha pour embrasser Léonora. C'était un baiser doux, chargé de toute l'intensité, un geste de réconfort.
Bien que le baiser ait été empreint d'une douceur réconfortante, Léonora, avec une détermination qui lui était propre, se détacha rapidement de Séraphin. Dans ses yeux, un feu brûlait, révélant une force indomptable. Dans son regard, non pas un rejet de Séraphin mais une femme qui choisissait librement, non seulement les batailles qu'elle décidait de mener mais également les moments d'intimité qu'elle souhaitait partager. Ce n'était pas une question de désir, mais de principe ; une déclaration silencieuse que même dans la proximité, elle restait maîtresse de ses choix. Elle choisissez qui, où et comment.
Après avoir affirmé son mécontentement silencieux, Léonora se laissa finalement emporter par l'élan de la tendresse. Elle se blottit de nouveau dans les bras de Séraphin, sentant sa chaleur réconfortante l'envelopper. Leurs lèvres se rejoignirent dans un nouveau et doux baiser. Léonora glissa sa main sur le torse nu de Séraphin, sentant le battement de son cœur sous sa paume, qui la rassurait dans cette étreinte.
Légende du Razkaal
Seraphin du Razkaal
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Le baiser, un instant suspendu dans le temps, était une révélation. Une douceur imprévue, un souffle de vie au milieu des cendres. Mais la réaction de Leonora, son retrait, lui fit prendre conscience de la complexité des liens humains. La détermination dans son regard lui parlait plus qu'elle ne le réalisait. Ce n'était pas un refus de lui, mais une affirmation d'elle-même, de sa force et de son autonomie.
Les démons, habituellement si bruyants et envahissants, observaient en silence. Même eux, les entités chaotiques qui l'avaient accompagné tout au long de sa vie tumultueuse, semblaient respecter la gravité de ce moment. C'était une reconnaissance tacite que quelque chose de significatif se passait, quelque chose qui dépassait leurs habituelles railleries et tentatives de le pousser vers la destruction. Ils étaient témoins d'une intimité rare, un moment de pureté dans une existence marquée par le conflit.
Quand Leonora se blottit contre lui une seconde fois, Seraphin ressentit un mélange complexe d'apaisement et de confusion. Cette chaleur, ce contact, il les avait tant recherchés dans la violence des combats, sans jamais les trouver. Et voilà qu'ils se présentaient dans la douceur d'un geste, dans le silence partagé entre deux âmes blessées.
Pour la première fois depuis longtemps, il sentit les barrières qu'il avait érigées autour de son cœur s'effriter. Ce n'était pas la victoire sur un ennemi ou la conquête d'un pouvoir qui lui apportait ce sentiment d'accomplissement, mais le simple fait d'être là, avec elle, dans un geste de soin et d'affection.
Les Nevi'im, dans leur silence, semblaient enfin reconnaître que leur protégé n'était pas uniquement l'incarnation de leurs aspirations destructrices. Il était aussi un homme, capable de tendresse, de protection et peut-être même... d'amour ?
Dans ce moment hors du temps, sur le champ de bataille de la vie du Limier, une nouvelle bataille se dessinait. Une lutte non pas pour le pouvoir ou la domination, mais pour la connexion, la compréhension et, peut-être, la guérison.
Et tandis que les flammes du feu de camp dansaient dans ses yeux, il se permit de croire, peut-être pour la première fois, qu'il y avait plus dans son avenir que la guerre et la solitude. Les démons restaient silencieux, respectueux du sacré de l'instant, eux-mêmes peut-être surpris de voir leur hôte s'éveiller à des possibilités qu'ils n'avaient jamais osé imaginer pour lui, tandis que de ses bras épuisés, il se laissait aller à ce moment solennel, ne cherchant plus à comprendre, à réagir, mais simplement à profiter, à vivre.
Les démons, habituellement si bruyants et envahissants, observaient en silence. Même eux, les entités chaotiques qui l'avaient accompagné tout au long de sa vie tumultueuse, semblaient respecter la gravité de ce moment. C'était une reconnaissance tacite que quelque chose de significatif se passait, quelque chose qui dépassait leurs habituelles railleries et tentatives de le pousser vers la destruction. Ils étaient témoins d'une intimité rare, un moment de pureté dans une existence marquée par le conflit.
Quand Leonora se blottit contre lui une seconde fois, Seraphin ressentit un mélange complexe d'apaisement et de confusion. Cette chaleur, ce contact, il les avait tant recherchés dans la violence des combats, sans jamais les trouver. Et voilà qu'ils se présentaient dans la douceur d'un geste, dans le silence partagé entre deux âmes blessées.
Pour la première fois depuis longtemps, il sentit les barrières qu'il avait érigées autour de son cœur s'effriter. Ce n'était pas la victoire sur un ennemi ou la conquête d'un pouvoir qui lui apportait ce sentiment d'accomplissement, mais le simple fait d'être là, avec elle, dans un geste de soin et d'affection.
Les Nevi'im, dans leur silence, semblaient enfin reconnaître que leur protégé n'était pas uniquement l'incarnation de leurs aspirations destructrices. Il était aussi un homme, capable de tendresse, de protection et peut-être même... d'amour ?
Dans ce moment hors du temps, sur le champ de bataille de la vie du Limier, une nouvelle bataille se dessinait. Une lutte non pas pour le pouvoir ou la domination, mais pour la connexion, la compréhension et, peut-être, la guérison.
Et tandis que les flammes du feu de camp dansaient dans ses yeux, il se permit de croire, peut-être pour la première fois, qu'il y avait plus dans son avenir que la guerre et la solitude. Les démons restaient silencieux, respectueux du sacré de l'instant, eux-mêmes peut-être surpris de voir leur hôte s'éveiller à des possibilités qu'ils n'avaient jamais osé imaginer pour lui, tandis que de ses bras épuisés, il se laissait aller à ce moment solennel, ne cherchant plus à comprendre, à réagir, mais simplement à profiter, à vivre.
torture, blessure, infirmité, supplice psychologique, mort etc...
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La Veuve Noire
Leonora de Hengebach
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Léonora et Séraphin se tenaient mutuellement, leurs cœurs battant au rythme de l'apaisement qui envahissait l'air. Aucun mot n'était nécessaire dans cet instant silencieux, où la présence de l'autre suffisait à combler le vide. Léonora sentait l’homme s'alléger peu à peu, tandis qu’elle savourait le répit dans ses bras. Pourtant, ils se trouvaient bien loin du lieu romantique habituel . Entre les mares de sang, les corps sans vie des vampires et Zafrina gisant mourante, l'horreur et la tragédie dominaient l'environnement.
L’intimité entre Léonora et Seraphin est brusquement interrompue par les gémissements de Zafrina, qui luttait toujours pour sa survie. Ces sons discordants viennent perturber l'atmosphère paisible, rappelant aux deux assassins la dure réalité.
Deux limiers qui s’étaient approchés se tenaient là, regardant le corps de Zafrina avec un mélange d'inquiétude et d'incertitude, d’autant plus face à cette situation inédite, impliquant le Cerbère à peine vêtu qui roucoulait avec la jolie brune. Ils se sentaient dépassés et démunis, leur formation et leur expérience semblaient insuffisantes pour faire face à une telle situation.
Léonora se détacha de Séraphin à contre coeur, comprenant que le moment d'intimité partagé devait céder le pas à la nécessité de rétablir une posture professionnelle. Son devoir en tant que prévôt primait sur les désirs personnels, même dans des moments aussi tendres. Avec un regard empreint de tendresse et de regret, la nécessité de se concentrer sur la situation avec Zafrina ne pouvait plus attendre.
Il faudrait se recentrer sur la mission.
Un des deux limiers prit son courage à deux mains et une profonde inspiration, pour s'adresser à leur chef. Sa voix résolue, rompit le silence qui enveloppait la scène.
Prévôt, commença-t-il, en choisissant ses mots avec soin, on en fait quoi maintenant ?
Avec l'efficacité et la détermination des limiers, les corps sans vie sont rapidement débarrassés. Pendant ce temps, d'autres limiers prennent en charge les esclaves, leur prodiguant des soins nécessaire après cette épreuve traumatisante et leur évacuation.
Léonora se tient là, prête à recevoir les ordres de Séraphin. Son regard est attentif, prêt à agir selon les directives données, elle n’était pas encore délivrée de sa mission.
L’intimité entre Léonora et Seraphin est brusquement interrompue par les gémissements de Zafrina, qui luttait toujours pour sa survie. Ces sons discordants viennent perturber l'atmosphère paisible, rappelant aux deux assassins la dure réalité.
Deux limiers qui s’étaient approchés se tenaient là, regardant le corps de Zafrina avec un mélange d'inquiétude et d'incertitude, d’autant plus face à cette situation inédite, impliquant le Cerbère à peine vêtu qui roucoulait avec la jolie brune. Ils se sentaient dépassés et démunis, leur formation et leur expérience semblaient insuffisantes pour faire face à une telle situation.
Léonora se détacha de Séraphin à contre coeur, comprenant que le moment d'intimité partagé devait céder le pas à la nécessité de rétablir une posture professionnelle. Son devoir en tant que prévôt primait sur les désirs personnels, même dans des moments aussi tendres. Avec un regard empreint de tendresse et de regret, la nécessité de se concentrer sur la situation avec Zafrina ne pouvait plus attendre.
Il faudrait se recentrer sur la mission.
Un des deux limiers prit son courage à deux mains et une profonde inspiration, pour s'adresser à leur chef. Sa voix résolue, rompit le silence qui enveloppait la scène.
Prévôt, commença-t-il, en choisissant ses mots avec soin, on en fait quoi maintenant ?
Avec l'efficacité et la détermination des limiers, les corps sans vie sont rapidement débarrassés. Pendant ce temps, d'autres limiers prennent en charge les esclaves, leur prodiguant des soins nécessaire après cette épreuve traumatisante et leur évacuation.
Léonora se tient là, prête à recevoir les ordres de Séraphin. Son regard est attentif, prêt à agir selon les directives données, elle n’était pas encore délivrée de sa mission.
Légende du Razkaal
Seraphin du Razkaal
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Journal du Limier
Liberty, Manoir de Hengebach
Alors que le moment de tendresse partagé avec la belle s'évanouissait face à la réalité brutale de leur environnement, la vue du corps de Zafrina revenait hanter l'atmosphère, rappelant au Prévot les responsabilités qui incombaient à son rôle. L'interruption par les limiers, bien que maladroite, n'était qu'un rappel supplémentaire de la gravité de la situation. Seraphin, tiré de ses rêveries par l'appel à l'action, se redressait, laissant derrière lui la douce étreinte pour endosser à nouveau le manteau du commandement.
"Nettoyez la zone. Assurez-vous que chaque vampire encore vivant soit sécurisé et transporté au Razkaal pour interrogation. On ne laisse rien au hasard", ordonnait-il d'une voix qui tranchait le silence, réaffirmant son autorité sur la scène chaotique qui se déroulait devant lui.
Ses démons, toujours en retrait pendant ce court moment d'intimité, se manifestaient de nouveau, leurs murmures formant une cacophonie familière dans l'esprit du Possédé.
... raillait Envie, tandis que Phantasme suggérait subtilement :
... et Cabale, pragmatique, ajoutait :
Se tournant vers la de Hengebach, le d'Elusie captait son regard, un mélange de professionnalisme et de regret pour l'instant perdu. "Je dois retourner à la forteresse, m'occuper des formalités de cet assaut. Sans masque, je ne peux t'inviter en ce lieu. Si tu le permets, je te rejoindrai plus tard dans la soirée", proposait-il, une légère hésitation dans sa voix, trahissant peut-être l'envie de prolonger leur moment d'intimité.
D'un signe de la main, il désignait l'un de ses Limiers, "Escortez Dame de Hengebach chez elle. Assurez-vous de sa sécurité," ordonnait-il, s'assurant qu'elle serait protégée même en son absence.
Alors qu'il s'apprêtait à partir avec sa meute, Seraphin lançait un dernier regard à Leonora, un mélange de promesses non dites et de reconnaissance pour ce qu'ils avaient partagé. Puis, dans un mouvement fluide, il se détournait et disparaissait dans la nuit avec ses Limiers, laissant derrière lui un silence chargé d'émotions.
Dans l'intimité de son esprit, alors qu'il s'éloignait, le Possédé ne pouvait s'empêcher de se laisser aller à quelques réflexions. "Elle est différente", se surprenait-il à penser, "Il y a quelque chose là... quelque chose de plus profond." Ses démons, encore une fois, restaient étonnamment silencieux, partageant peut-être, dans une rare unanimité, la complexité des sentiments de leur hôte.
Alors que la distance le séparait physiquement de la douce, lui se promettait de revenir, conscient que ce qui s'était passé entre eux avait changé quelque chose, peut-être pas le monde, mais assez pour altérer leur propre univers.
"Nettoyez la zone. Assurez-vous que chaque vampire encore vivant soit sécurisé et transporté au Razkaal pour interrogation. On ne laisse rien au hasard", ordonnait-il d'une voix qui tranchait le silence, réaffirmant son autorité sur la scène chaotique qui se déroulait devant lui.
Ses démons, toujours en retrait pendant ce court moment d'intimité, se manifestaient de nouveau, leurs murmures formant une cacophonie familière dans l'esprit du Possédé.
"De retour à la réalité, n'est-ce pas ?"
... raillait Envie, tandis que Phantasme suggérait subtilement :
"Elle pourrait être un poids pour toi, réfléchis-y..."
... et Cabale, pragmatique, ajoutait :
"Les responsabilités d'abord, tu sais comment cela fonctionne."
Se tournant vers la de Hengebach, le d'Elusie captait son regard, un mélange de professionnalisme et de regret pour l'instant perdu. "Je dois retourner à la forteresse, m'occuper des formalités de cet assaut. Sans masque, je ne peux t'inviter en ce lieu. Si tu le permets, je te rejoindrai plus tard dans la soirée", proposait-il, une légère hésitation dans sa voix, trahissant peut-être l'envie de prolonger leur moment d'intimité.
D'un signe de la main, il désignait l'un de ses Limiers, "Escortez Dame de Hengebach chez elle. Assurez-vous de sa sécurité," ordonnait-il, s'assurant qu'elle serait protégée même en son absence.
Alors qu'il s'apprêtait à partir avec sa meute, Seraphin lançait un dernier regard à Leonora, un mélange de promesses non dites et de reconnaissance pour ce qu'ils avaient partagé. Puis, dans un mouvement fluide, il se détournait et disparaissait dans la nuit avec ses Limiers, laissant derrière lui un silence chargé d'émotions.
Dans l'intimité de son esprit, alors qu'il s'éloignait, le Possédé ne pouvait s'empêcher de se laisser aller à quelques réflexions. "Elle est différente", se surprenait-il à penser, "Il y a quelque chose là... quelque chose de plus profond." Ses démons, encore une fois, restaient étonnamment silencieux, partageant peut-être, dans une rare unanimité, la complexité des sentiments de leur hôte.
Alors que la distance le séparait physiquement de la douce, lui se promettait de revenir, conscient que ce qui s'était passé entre eux avait changé quelque chose, peut-être pas le monde, mais assez pour altérer leur propre univers.
torture, blessure, infirmité, supplice psychologique, mort etc...
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La Veuve Noire
Leonora de Hengebach
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Race: Humaine
Vocation: Guerrier assassin
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Les limiers s'activaient avec un zèle renouvelé après les derniers ordres de Séraphin. La machine de la justice, une fois mise en mouvement, ne connaissait ni répit ni hésitation, chacun de ses agents jouant sa part avec une précision mécanique, guidée par la main ferme de leur prévôt. Pour Léonora, cependant, cette agitation marquait une fin plutôt qu'un commencement. Sa mission, du moins pour l'instant, s'arrêtait ici, car il ne lui était pas possible de rentrer au Razkaal, la forteresse lui était interdite.
Séraphin avait manifesté son désir de revoir Léonora rapidement, une émotion palpable teintant ses mots. Le regard de la jeune femme était intense et empli d'une promesse non dite et qui lui répondait favorablement à sa demande. Son acquiescement n'était pas seulement une réponse à son souhait mais un écho de son propre désir. Séraphin s’éloigna, jetant une dernière fois un regard vers elle. Puis, avec un soupir résolu, elle détourna le sien, laissant Séraphin disparaître.
C’est ainsi que Léonora se retrouvera escortée par un autre limier pour son retour chez elle, une mesure prise par Séraphin pour garantir sa sécurité. Fidèle à sa mission, il veillait avec une attention constante à sa sécurité, surveillant les environs, anticipant les dangers potentiels et s'assurant que leur chemin était dégagé.
La jeune femme se retira dans l'intimité de sa chambre. Se déshabilla lentement et laissa tomber les poids des combats et des émotions accumulées, libérant son corps des contraintes de la nuit. Sa robe usée tomba au sol, révélant les marques des épreuves qu'elle avait endurées. Elle se nettoya avec précaution, laissa l'eau chaude apaiser les tensions de ses muscles endoloris, effaçant la saleté et la fatigue accumulées. Les souvenirs de leur mission tournoyaient dans son esprit. Puis, prenant le temps de soigner ses blessures avec les onguents et les remèdes à sa disposition, elle se consacra à la tâche de guérir son corps. Chaque coupure, chaque ecchymose était traitée avec précaution, une prière silencieuse murmurée pour une guérison rapide et complète.
Dans le silence de sa chambre, éclairée par la douce lueur des bougies, Léonora se retrouva seule avec ses pensées, ses souvenirs et ses espoirs. Une fois qu'elle eut terminé, elle se glissa dans des vêtements propres et confortables. Alors qu'elle s'installait pour la nuit, enveloppée dans la chaleur de sa chambre, elle ne put s'empêcher de repenser au baiser échangé avec Séraphin, un doux souvenir qui éclairait son visage d'un sourire tendre. Dans cet instant fugace, elle revécut la douceur de leurs lèvres se rencontrant, l'électricité qui avait parcouru son corps à ce contact si intime, si révélateur de leurs sentiments partagés. Cependant, la question cruciale revint. Allait-elle rejoindre le rangs des limiers…
Séraphin avait manifesté son désir de revoir Léonora rapidement, une émotion palpable teintant ses mots. Le regard de la jeune femme était intense et empli d'une promesse non dite et qui lui répondait favorablement à sa demande. Son acquiescement n'était pas seulement une réponse à son souhait mais un écho de son propre désir. Séraphin s’éloigna, jetant une dernière fois un regard vers elle. Puis, avec un soupir résolu, elle détourna le sien, laissant Séraphin disparaître.
C’est ainsi que Léonora se retrouvera escortée par un autre limier pour son retour chez elle, une mesure prise par Séraphin pour garantir sa sécurité. Fidèle à sa mission, il veillait avec une attention constante à sa sécurité, surveillant les environs, anticipant les dangers potentiels et s'assurant que leur chemin était dégagé.
La jeune femme se retira dans l'intimité de sa chambre. Se déshabilla lentement et laissa tomber les poids des combats et des émotions accumulées, libérant son corps des contraintes de la nuit. Sa robe usée tomba au sol, révélant les marques des épreuves qu'elle avait endurées. Elle se nettoya avec précaution, laissa l'eau chaude apaiser les tensions de ses muscles endoloris, effaçant la saleté et la fatigue accumulées. Les souvenirs de leur mission tournoyaient dans son esprit. Puis, prenant le temps de soigner ses blessures avec les onguents et les remèdes à sa disposition, elle se consacra à la tâche de guérir son corps. Chaque coupure, chaque ecchymose était traitée avec précaution, une prière silencieuse murmurée pour une guérison rapide et complète.
Dans le silence de sa chambre, éclairée par la douce lueur des bougies, Léonora se retrouva seule avec ses pensées, ses souvenirs et ses espoirs. Une fois qu'elle eut terminé, elle se glissa dans des vêtements propres et confortables. Alors qu'elle s'installait pour la nuit, enveloppée dans la chaleur de sa chambre, elle ne put s'empêcher de repenser au baiser échangé avec Séraphin, un doux souvenir qui éclairait son visage d'un sourire tendre. Dans cet instant fugace, elle revécut la douceur de leurs lèvres se rencontrant, l'électricité qui avait parcouru son corps à ce contact si intime, si révélateur de leurs sentiments partagés. Cependant, la question cruciale revint. Allait-elle rejoindre le rangs des limiers…
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