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La Chaleureuse Noyeuse
Takhys Suladran
Messages : 522
crédits : 1444
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Info personnage
Race: Sirène
Vocation: Mage élémentaliste
Alignement: Chaotique Neutre
Rang: C
Elle avait croisé son regard. Elle ne laissait rien transparaître. Elle se contentait simplement de patienter. Ce n'était qu'une question de secondes avant que sa nature d'aérien en vienne à boire la tasse. Elle ne regrettait pas d'avoir pris un peu de distance quand il remua volontairement le sable pour essayer de se camoufler. Par cet acte, il avait fait le choix de récupérer sa précieuse sacoche. S'il arrivait à rejoindre la surface alors qu'il suffoquait, espérant vainement que l'inéluctable ne se produise en posant fermement une de ses mains sur sa bouche, la Sirène admettra être impressionnée de la grande robustesse de sa race. Déjà qu'il tenait bien plus longtemps qu'un homme lambda...
Le Drakyn récupéra sa sacoche, qu'il cala dans sa bouche pour remonter vers la surface, usant de ses deux bras et de ses deux jambes pour nager du mieux qu'il pouvait vers la surface tant désirée. Ses mouvements devinrent besogneux. Puis, dans un dernier élan désespéré, son corps ne pouvant plus lutter, il tendit son bras vers la surface, comme pour chercher à la saisir... La Sirène l'observait toujours, gardant ses distances, se trouvant à quelques mètres en dessous de lui. Dans les raids de lumières qui perçaient la surface inaccessible désormais, sa proie se recroquevilla sur elle-même, serrant son petit bien de cuir, avant de lâcher un long chapelet de bulles. Cette sacoche devait avoir plus qu'une valeur sentimentale, pour préférer avaler un bon grand crû d'eau douce que de le délaisser au fond du lac et tenter de revenir le chercher plus tard... Il y avait des choses que la prédatrice aquatique ne comprendrait jamais.
Le Drakyn ne remuait plus, flottant entre deux eaux. Et forcément, quand on est inconscient, les muscles se relâchent un peu. La petite sacoche se glissa hors de ses prises. Takhys la rattrapa, la cala comme tantôt dans sa poitrine derrière sa tunique et s'approcha de sa proie. Du bout de l'index droit, elle le tâta. Point de réaction. Il était à point. Allez, elle allait se montrer gentille, encore une fois. Il avait bien joué lui aussi. Elle le saisit sous les aisselles et nagea vigoureusement vers la surface. Et une fois qu'elle sortit sa tête de l'eau, elle grommela de la masse lourde qu'était devenue le Drakyn. Hum, sans magie, on le sentait le poids mort ! Elle avait besoin d'un appui. Heureusement, la plage n'était pas loin. Après quelques coups de queue puissants, elle s'échoua avec sa victime et quand elle fut assurée que le dos fut bien calé sur le fond sableux de la berge ; et de la partie de basse eau de celle-ci , elle s'appuya d'abord sur ses bras, propulsa un peu son torse humanoïde vers l'arrière, afin de prendre de l'élan? Après quoi, immédiatement, elle se laissa retomber en avant, les mains à plat pour appuyer sans douceur sur l'extérieur du thorax du noyé. Pourquoi y mettre un tel coup ? Bien déjà rien de bien percutant, elle ne lui cassera pas une côte, vu la masse de muscles était le Drakyn, mais justement, il était tellement épais qu'elle avait besoin de pression pour faire ressortir un peu d'eau hors de sa poitrine. Les poumons compressés libérèrent un peu de cet ennemi mortel pour un respirant de la surface, elle employa sa magie pour la faire dégager dans sa totalité hors des voies respiratoires du Drakyn. Voilàààààà. Et bien, il en avait bu de la flotte... Bon, il se réveille le noyé ? Toujours pas ? Elle posa sa tête sur sa poitrine. Bon, au moins son cœur battait encore. Il réduisait son rythme, mais il battait encore. Bon !
Elle se recula hors de la plage, retournant à moitié dans l'eau. Les jambes épaisses du Drakyn traînait à moitié dans l'eau peu profonde. Il saignait encore. Elle devait aussi le goûter. Autant faire du deux en un non ? Elle n'eut qu'à légèrement tourner la jambe pour accéder à la blessure de toute à l'heure et y planter ses dents dans la chairmises à nu. Elle grimaça au goût fade... Bon, elle avait son verdict quant à en faire son prochain repas. Et l'autre qui n'était toujours pas réveillé ? Elle n'avait peut-être pas mordu assez fort. Elle remit cela, en plantant cette fois ses dents avec toute la hargne d'un requin bouledogue.
Le Drakyn récupéra sa sacoche, qu'il cala dans sa bouche pour remonter vers la surface, usant de ses deux bras et de ses deux jambes pour nager du mieux qu'il pouvait vers la surface tant désirée. Ses mouvements devinrent besogneux. Puis, dans un dernier élan désespéré, son corps ne pouvant plus lutter, il tendit son bras vers la surface, comme pour chercher à la saisir... La Sirène l'observait toujours, gardant ses distances, se trouvant à quelques mètres en dessous de lui. Dans les raids de lumières qui perçaient la surface inaccessible désormais, sa proie se recroquevilla sur elle-même, serrant son petit bien de cuir, avant de lâcher un long chapelet de bulles. Cette sacoche devait avoir plus qu'une valeur sentimentale, pour préférer avaler un bon grand crû d'eau douce que de le délaisser au fond du lac et tenter de revenir le chercher plus tard... Il y avait des choses que la prédatrice aquatique ne comprendrait jamais.
Le Drakyn ne remuait plus, flottant entre deux eaux. Et forcément, quand on est inconscient, les muscles se relâchent un peu. La petite sacoche se glissa hors de ses prises. Takhys la rattrapa, la cala comme tantôt dans sa poitrine derrière sa tunique et s'approcha de sa proie. Du bout de l'index droit, elle le tâta. Point de réaction. Il était à point. Allez, elle allait se montrer gentille, encore une fois. Il avait bien joué lui aussi. Elle le saisit sous les aisselles et nagea vigoureusement vers la surface. Et une fois qu'elle sortit sa tête de l'eau, elle grommela de la masse lourde qu'était devenue le Drakyn. Hum, sans magie, on le sentait le poids mort ! Elle avait besoin d'un appui. Heureusement, la plage n'était pas loin. Après quelques coups de queue puissants, elle s'échoua avec sa victime et quand elle fut assurée que le dos fut bien calé sur le fond sableux de la berge ; et de la partie de basse eau de celle-ci , elle s'appuya d'abord sur ses bras, propulsa un peu son torse humanoïde vers l'arrière, afin de prendre de l'élan? Après quoi, immédiatement, elle se laissa retomber en avant, les mains à plat pour appuyer sans douceur sur l'extérieur du thorax du noyé. Pourquoi y mettre un tel coup ? Bien déjà rien de bien percutant, elle ne lui cassera pas une côte, vu la masse de muscles était le Drakyn, mais justement, il était tellement épais qu'elle avait besoin de pression pour faire ressortir un peu d'eau hors de sa poitrine. Les poumons compressés libérèrent un peu de cet ennemi mortel pour un respirant de la surface, elle employa sa magie pour la faire dégager dans sa totalité hors des voies respiratoires du Drakyn. Voilàààààà. Et bien, il en avait bu de la flotte... Bon, il se réveille le noyé ? Toujours pas ? Elle posa sa tête sur sa poitrine. Bon, au moins son cœur battait encore. Il réduisait son rythme, mais il battait encore. Bon !
Elle se recula hors de la plage, retournant à moitié dans l'eau. Les jambes épaisses du Drakyn traînait à moitié dans l'eau peu profonde. Il saignait encore. Elle devait aussi le goûter. Autant faire du deux en un non ? Elle n'eut qu'à légèrement tourner la jambe pour accéder à la blessure de toute à l'heure et y planter ses dents dans la chairmises à nu. Elle grimaça au goût fade... Bon, elle avait son verdict quant à en faire son prochain repas. Et l'autre qui n'était toujours pas réveillé ? Elle n'avait peut-être pas mordu assez fort. Elle remit cela, en plantant cette fois ses dents avec toute la hargne d'un requin bouledogue.
Noble de La République
Arkalys Majalis
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Mon coeur ralentit, encore et encore jusqu'à ce que le silence m'emmène tout entier et les eaux avec eux. Je ne faisais plus qu'un avec cette immensité qui était promesse d'un danger à la fois silencieux et d'une quiétude que l'on rencontre très peu ailleurs que dans ce milieu. Tout s'assombrit et le néant était à nouveau là, me propulsant vers le haut comme s'il y avait un échappatoire. Plongé dans les ténèbres de l'inconscient et de mes cauchemars qui n'étaient en réalité que les bribes d'un passé qui ne m'appartenait pas, je sentis la pression de ces tourments diminuer puis soudain, me hisser.
Quelque chose de plus rugueux glissa sur les écailles de mon dos puis ce fut à nouveau le vide. Quelque chose prit appui sur moi et enclencha le processus d'expulsion de l'eau , me faisant tousser sans que je puisse encore ouvrir les yeux ni avoir ne serait-ce une fenêtre de lucidité m'extirper de l'état ,celui de la noyade. Une douce chaleur cependant se posa sur mon torse , me sortant de mes songes sans que j'ose dévoiler mes orbes cyans, tentant de calmer les battements par pur instinct de survit .
Je compris que quelqu'un se tenait sur moi et l'image de la sirène me traversa l'esprit encore embrumé. Pourquoi voudrait-elle vérifier si j'étais en vie ? N'était-ce pas elle qui avait fait en sorte depuis le début que cela m'arrive ? Plusieurs autres questions émergées dans ma tête ,doutant que ce soit vraiment elle qui finalement, semblait partir. Les yeux clos, je simulais un état qui me permettrait de réagir selon le cas de figure qui se présenter à moi. Étonnement, en jetant un bref regard , je reconnus la jeune femme à écailles elle aussi, se diriger vers l'un de mes pieds.
Je faillis lever un sourcil d'étonnement, me retenant de justesse de briser cette mascarade . Je ne voyais pas ce qu'elle espérait en se mettant à sa hauteur. Des chatouille en guise de réveil ? C'était très drôle à imaginer ,jusqu'à ce que je sente ses dents atteindre ma peau,me faisant presque grimacer. Me concentrant comme jamais pour ne rien laisser transparaitre, mon cerveau se mit à bouillonner entre le fait de me dire qu'il y avait un danger et qu'il fallait que je fasse quelque chose pour éviter que la douleur ne se répète. Mais quand on voulait ferrer un gros poisson ou plutôt une sirène, il valait mieux s'armer de patience et d'utiliser un appât, même si s'agissait de mon propre corps.
Ainsi donc elle une dent contre moi ou était-ce uniquement la faim qui guidait ses actions ? Décidément, je n'avais pas fini de m'interroger sur cette espèce, ne voyant pas le lien entre mon arrivé sur la berge à l'air libre et son envie de me croquer la jambe. Une chose est sûre, je ne pouvais rester passif au risque d'y perdre un trop gros morceau. Mais comment m'y prendre pour l'empêcher de me nuire sans la blesser ? Certains pourrait croire que cette pensée était trop naïve compte tenu de que qu'elle m'avait fait subir jusque-là. Pourtant, j'avais le sentiment qu'elle n'était pas si méchante que ce qu'il paraissait à notre première rencontre. J'allais certainement regretter de laisser la bonté guider mes actes une fois de plus.
La solution que je choisis pour la mettre hors d'état de nuire à mon corps était d'attendre qu'elle veuille me mordre à nouveau et à ce moment précis, d'un bond un seul et l'entourer de mes bras pour la bloquer .Quitte à la plaquer contre moi en provoquant une certaine gène et ensuite, la sortir complétement de l'eau, telle une prise que l'on souhaité ramener au plus vite dans un sceau. Sauf que dans cette situation, je voulais faire un brin de causette avec elle, histoire de savoir si je devais la considérer comme un ennemi ou non et savoir enfin son nom.
Le lapse de temps qu'il fallut pour qu'elle entame plus profondément ma chair me parut infini et si douloureux qu'il fut comme un levier à ma volonté de l'attraper. J'usais de ma vitesse pour foncer sur elle en me redressant, mes pupilles verticales sur ma cible , les bras tendus vers elle. Que je parvienne ou non à atteindre mon objectif, je n'aurais désormais plus l'effet de surprise pour mes prochaines approches.
Quelque chose de plus rugueux glissa sur les écailles de mon dos puis ce fut à nouveau le vide. Quelque chose prit appui sur moi et enclencha le processus d'expulsion de l'eau , me faisant tousser sans que je puisse encore ouvrir les yeux ni avoir ne serait-ce une fenêtre de lucidité m'extirper de l'état ,celui de la noyade. Une douce chaleur cependant se posa sur mon torse , me sortant de mes songes sans que j'ose dévoiler mes orbes cyans, tentant de calmer les battements par pur instinct de survit .
Je compris que quelqu'un se tenait sur moi et l'image de la sirène me traversa l'esprit encore embrumé. Pourquoi voudrait-elle vérifier si j'étais en vie ? N'était-ce pas elle qui avait fait en sorte depuis le début que cela m'arrive ? Plusieurs autres questions émergées dans ma tête ,doutant que ce soit vraiment elle qui finalement, semblait partir. Les yeux clos, je simulais un état qui me permettrait de réagir selon le cas de figure qui se présenter à moi. Étonnement, en jetant un bref regard , je reconnus la jeune femme à écailles elle aussi, se diriger vers l'un de mes pieds.
Je faillis lever un sourcil d'étonnement, me retenant de justesse de briser cette mascarade . Je ne voyais pas ce qu'elle espérait en se mettant à sa hauteur. Des chatouille en guise de réveil ? C'était très drôle à imaginer ,jusqu'à ce que je sente ses dents atteindre ma peau,me faisant presque grimacer. Me concentrant comme jamais pour ne rien laisser transparaitre, mon cerveau se mit à bouillonner entre le fait de me dire qu'il y avait un danger et qu'il fallait que je fasse quelque chose pour éviter que la douleur ne se répète. Mais quand on voulait ferrer un gros poisson ou plutôt une sirène, il valait mieux s'armer de patience et d'utiliser un appât, même si s'agissait de mon propre corps.
Ainsi donc elle une dent contre moi ou était-ce uniquement la faim qui guidait ses actions ? Décidément, je n'avais pas fini de m'interroger sur cette espèce, ne voyant pas le lien entre mon arrivé sur la berge à l'air libre et son envie de me croquer la jambe. Une chose est sûre, je ne pouvais rester passif au risque d'y perdre un trop gros morceau. Mais comment m'y prendre pour l'empêcher de me nuire sans la blesser ? Certains pourrait croire que cette pensée était trop naïve compte tenu de que qu'elle m'avait fait subir jusque-là. Pourtant, j'avais le sentiment qu'elle n'était pas si méchante que ce qu'il paraissait à notre première rencontre. J'allais certainement regretter de laisser la bonté guider mes actes une fois de plus.
La solution que je choisis pour la mettre hors d'état de nuire à mon corps était d'attendre qu'elle veuille me mordre à nouveau et à ce moment précis, d'un bond un seul et l'entourer de mes bras pour la bloquer .Quitte à la plaquer contre moi en provoquant une certaine gène et ensuite, la sortir complétement de l'eau, telle une prise que l'on souhaité ramener au plus vite dans un sceau. Sauf que dans cette situation, je voulais faire un brin de causette avec elle, histoire de savoir si je devais la considérer comme un ennemi ou non et savoir enfin son nom.
Le lapse de temps qu'il fallut pour qu'elle entame plus profondément ma chair me parut infini et si douloureux qu'il fut comme un levier à ma volonté de l'attraper. J'usais de ma vitesse pour foncer sur elle en me redressant, mes pupilles verticales sur ma cible , les bras tendus vers elle. Que je parvienne ou non à atteindre mon objectif, je n'aurais désormais plus l'effet de surprise pour mes prochaines approches.
- Pouvoir:
- Pouvoir: Vitesse palier 1
Arkalys discute en 666699
La Chaleureuse Noyeuse
Takhys Suladran
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Race: Sirène
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Il avait commencé à remuer. Bien, il reprenait donc conscience. Elle ne quittait pas pour autant son objectif de tantôt. De toute façon, c'était trop tard, maintenant que ses dents mordirent la chair du Drakyn. Au moins, se réveilla-t-il plus vite pour éventuellement purger le reste d'eau qui stagnerait encore dans quelques alvéoles pulmonaires. Bon, alors, cet avis gustatif ? Pire ou mieux que ce qu'elle avait déjà pu "goûter", quand elle était sous l'eau ? Elle grimaça. C'était vraiment insipide. Même hors de l'eau, cette chair n'avait pas de goût. Elle avait eu trop d'espoir pour la saveur potentielle de cette espèce. L'humain était bien plus goûteux et surtout, moins gourmand en dépense d'énergie pour le noyer. Elle retiendra que les Drakyns n'étaient pas à prendre à la légère. Et plus encore pour ce qui allait s'enchaîner.
Estimant qu'il était temps pour elle de rejoindre le lac et ses eaux douces et profondes, elle entama à peine son déplacement un peu lourdaud ; un peu comme les phoques quand ils sont sur les plages de galets gris, vous voyez... que le terrestre écailleux eut une réaction vive, si rapide que l'Aquarienne n'eut pas le temps d'appeler l'eau à elle pour se protéger. Ses bras puissants la saisirent à la taille et la soulevèrent du sol, comme si elle ne pesait pas grand-chose. Ses yeux écarquillés par un tel déploiement de force et surtout, si soudain, elle planta ses yeux bruns pailletés d'ambre dans ceux du Drakyn. Elle ne s'était pas attendue à une telle réaction de la part de sa proie.
La surprise passée, elle réagit promptement. S'il pensait la pêcher, il se trompait ! D'un coup de queue, elle frappa ses jambes, espérant qu'en tombant, elle puisse se libérer. Il ne dut pas s'attendre à se faire frapper à une réaction défensive de la sorte, le terrestre chuta et heureusement, tomba en arrière sur le dos. Mais il la tenait toujours aussi fermement dans ses bras. Elle grimaça, avant de sentir un changement physique. Hors de l'eau, sa queue n'était plus humidifiée. Son corps entama son adaptation à la vie terrestre. Et ce ne fut pas sans douleur.
La jeune femme se crispa sous l'intensité de la souffrance qu'engendrait la transformation de sa longue queue musclée en deux appendices longs et moins souples qu'étaient les jambes. Elle essaya, comme à chaque fois, de ne pas hurler à la douleur croissante. Elle gémit, puis se mordit les lèvres pour se retenir de crier. Il était hors de question de s'abaisser à ce stade des effets néfastes de sa forme humaine. Une fois le processus terminé, respirant de manière plus posée, elle essaya de reprendre un semblant de dignité, toujours coincée dans les bras du Drakyn. Puis, un étrange sourire naquit à ses lèvres devenues d'un beau rosé proche de la couleur d'une aube flamboyante. Sa peau avait perdu de sa teinte bleu pâle pour devenir, elle aussi, plus rosée, plus humaine. Sa longue chevelure était devenue une belle cascade d'or qui encadrait son beau visage.
"Bien, très cher… On dirait que je suis désormais dans une impasse... Que comptez-vous faire désormais ? Car juste au cas où, que vous ne le sauriez pas... je n'ai que ma poitrine qui est légèrement vêtue, avec mon plastron. Le reste est ... Elle se permit un léger rire. "dénudé et collé contre vous… Passer d'une queue à deux magnifiques jambes ne fait pas qu'on ait les vêtements qui vont avec pour dissimuler et cacher l'essentiel... >
Elle lâcha un nouveau rire.
"Personnellement, cela me dérange pas, cette forme de contact corporel rapproché... "
Estimant qu'il était temps pour elle de rejoindre le lac et ses eaux douces et profondes, elle entama à peine son déplacement un peu lourdaud ; un peu comme les phoques quand ils sont sur les plages de galets gris, vous voyez... que le terrestre écailleux eut une réaction vive, si rapide que l'Aquarienne n'eut pas le temps d'appeler l'eau à elle pour se protéger. Ses bras puissants la saisirent à la taille et la soulevèrent du sol, comme si elle ne pesait pas grand-chose. Ses yeux écarquillés par un tel déploiement de force et surtout, si soudain, elle planta ses yeux bruns pailletés d'ambre dans ceux du Drakyn. Elle ne s'était pas attendue à une telle réaction de la part de sa proie.
La surprise passée, elle réagit promptement. S'il pensait la pêcher, il se trompait ! D'un coup de queue, elle frappa ses jambes, espérant qu'en tombant, elle puisse se libérer. Il ne dut pas s'attendre à se faire frapper à une réaction défensive de la sorte, le terrestre chuta et heureusement, tomba en arrière sur le dos. Mais il la tenait toujours aussi fermement dans ses bras. Elle grimaça, avant de sentir un changement physique. Hors de l'eau, sa queue n'était plus humidifiée. Son corps entama son adaptation à la vie terrestre. Et ce ne fut pas sans douleur.
La jeune femme se crispa sous l'intensité de la souffrance qu'engendrait la transformation de sa longue queue musclée en deux appendices longs et moins souples qu'étaient les jambes. Elle essaya, comme à chaque fois, de ne pas hurler à la douleur croissante. Elle gémit, puis se mordit les lèvres pour se retenir de crier. Il était hors de question de s'abaisser à ce stade des effets néfastes de sa forme humaine. Une fois le processus terminé, respirant de manière plus posée, elle essaya de reprendre un semblant de dignité, toujours coincée dans les bras du Drakyn. Puis, un étrange sourire naquit à ses lèvres devenues d'un beau rosé proche de la couleur d'une aube flamboyante. Sa peau avait perdu de sa teinte bleu pâle pour devenir, elle aussi, plus rosée, plus humaine. Sa longue chevelure était devenue une belle cascade d'or qui encadrait son beau visage.
"Bien, très cher… On dirait que je suis désormais dans une impasse... Que comptez-vous faire désormais ? Car juste au cas où, que vous ne le sauriez pas... je n'ai que ma poitrine qui est légèrement vêtue, avec mon plastron. Le reste est ... Elle se permit un léger rire. "dénudé et collé contre vous… Passer d'une queue à deux magnifiques jambes ne fait pas qu'on ait les vêtements qui vont avec pour dissimuler et cacher l'essentiel... >
Elle lâcha un nouveau rire.
"Personnellement, cela me dérange pas, cette forme de contact corporel rapproché... "
Noble de La République
Arkalys Majalis
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Avec chance, je parvenais jusqu'à ma cible qui ne put réagir aussi vivement que sous l'eau maintenant qu'elle était sur la terre ferme. Au point d'y voir dans son regard qui fixa le miens qu'elle était stupéfaite par le déroulement de mes actions suivantes , inversant sur cet instant, nos rôles respectifs. Mes pupilles verticales finirent par mettre en joue ses yeux d'une couleur unique , me demandant pourquoi la jeune femme pesait si lourd alors qu'elle était assez svelte. Bien plus concentré à rejoindre l'équipement que j'avais délaissé avant de faire mon premier plongeon, je ne pris pas la peine de me poser plus de question, la soulevant sans difficulté tout en la maintenant fermement par la taille contre moi. Cela n'était pas sans rappeler le sort qu'elle m'avait réservé plus tôt avec sa prison de glace. Sauf qu'elle pouvait contrairement à moi, encore bouger la partie inférieure de son corps .
Détail qui ne manqua pas de me faire tomber en omettant de prendre en compte cette possibilité, recevant un coup sur mes jambes qui fléchirent plus par déséquilibre que par douleur. Mais la blessure qu'elle m'avait infligée , que ce soit par ses dents ou sa lame, n'avait pas arrangé les choses et me sentant partir en avant, je dus m'immobiliser pour me balancer en arrière, de crainte de m'affaisser complétement sur elle et de lui casser des os sous l'impact de la chute. Heureusement, mon dos rencontra le sol humide sans pour autant que je lâche ma prise qui s'était mise à réagir de façon étrange, sans que je comprenne ce soudain changement d'attitude qui était lié au changement de milieu.
Comme si une douleur aiguë l'avait accablée, je sentis son corps se contracter alors que j'étais certain de ne lui infliger le moindre mal à la tenant de cette manière. Le doute s'était mis à m'envahir plus encore en l'entendant de manière étouffé émettre des sons, alors que je n'avais pas bougé d'un pouce. Quelque chose se produisait et j'avais l'impression d'être un simple spectateur aux yeux bandé, alors que la raison était pourtant aussi claire que de l'eau de roche. Au moment où je voulus lui demander si elle allait bien, j'entendis que sa respiration saccadée avait laissé place à un rythme plus lent, tandis que ses cheveux changeaient de couleur comme certaines parties de son corps, rendant sa beauté marine plus adéquate avec celui qui permettait aux êtres comme moi de respirer.
Sa voix, que j'avais presque pas eu l'occasion d'entendre malgré le temps appréciable que nous avions passé ensemble, me mit en évidence certains aspects de sa transformation après m'avoir informé qu'elle attendait une décision de ma part. Concentré sur ce qu'elle venait de me détailler , il me fallut quelques secondes pour me rendre compte de cette évidence qui n'installa pas qu'une gêne visible sur mon visage surpris. Je penchais ma tête sur le côté et vis effectivement les doigts de pieds de la sirène qui ressemblait à une humaine à s'y méprendre. Si la nudité visuelle n'avait pas grand effet sur moi, le fait est que son postérieur soit contre moi ne pouvait me laisser de marbre. Je n'avais en aucun cas anticipé cette réalité qui ne semblait nullement importunée celle qui n'avait plus d'écailles à la place des jambes.
-Je vois, humm....
Dans cette course qui fut d'une courte durée, j'avais néanmoins atterri à ôté de mon attirail. Il me suffisait de tendre l'un de mes bras pour attraper ce qui pourrait me permettre de prendre complétement l'ascendant sur cette inconnue sans devoir user de la force brute. Comme tout bon gardien, j'avais le nécessaire pour ce genre de situation mais avant toute chose, je devais être sûr qu'elle ne m'échapperait pas pendant que je prendrais l'objet que j'avais vu dépasser de ma cape au sol à seulement un mètre de nous. Je fis glisser mes mains en repoussant cette image, celle de notre configuration et entourais son bassin à l'aide d'un de mes bras. Je me décalais sur le côté en déposant délicatement tout le corps de la blondinette là où mon dos avait dû réchauffer la surface. Le reste fut effectué d'un seul élan.
Rapidement, je me mis à califourchon sur elle en plantant mon regard dans le sien sans ciller, faisant abstraction de cette proximité qui brisait totalement notre espace de confort respectif. Je ne pouvais cacher mon embarras, qu'importe si mon attention se portait maintenant sur ses poignets que j'entourais aisément de mes paumes, les rabattants au-dessus de sa tête , de façon que cela soit assez confortable. D'une seule main, je maintenais cette entrave , légèrement penché vers elle puis d'une voix calme, je pris la parole en repassant au début les propos qu'elle avait tenus lorsque nous avions fini échoué ensemble:
-Je crois que nous avons déjà eu assez de contact inopiné , surtout que c'est la première fois que nous nous rencontrons. Dis-je avec un léger sourire gêné étaillant mes propos :-Je ne vais pas m'en plaindre, surtout que vous m'avez évité une noyade certaine.Je vous remercie pour cela. J'inclinais légèrement ma tête puis je repris:-Mais voyez vous, j'aimerais récupérer ce que vous avez pris malin plaisir à me chiper.
Je me courbais sur le côté pour attraper une corde noire que je réservais pour les détenus assez inoffensifs. Mais ayant laissé sous l'eau ma chaine et mon espadon,je ne pouvais faire autrement, conscient qu'elle n'était pas la plus vulnérable créature des environs. Mon mollet pouvait attester, sentant la douleur de sa morsure à chaque seconde, un rappel de sa dangerosité que je me tachais rapidement d'attacher avec ce lien, entourant ses poignets sans laisser la moindre ouverture qui lui permettrait de se débattre, assez pour m'empêcher d'effectuer ce ligotage. Tout en effectuant un dernier noeud, je lui proposais:
-Je suis certain qu'elles sont logées là où vous êtes encore vêtue. Je fixais l'endroit en question avant de posé mes orbes cyans sur celle pailletée de la sirène bipède:-Comme vous avez pu le voir, la taille de mes mains risque , en plus d'être offensant, désagréable si j'envisageais de les récupérer par mes propres moyens. Il serait plus que préférable que vous le fassiez vous-même.
J'osais espérer que ce trait d'humour sur notre contact corporel qu'elle avait cité en riant était prétexte à me mettre mal à l'aise afin de détourner mon attention. C'était même plus que certains, effrayant naturellement les individus qui me croisaient en règle générale. J'attrapais le bout de la corde lié à elle afin qu'elle ne m'échappe pas et me levais, attrapant ma cape qui m'attendait impatiemment en lui faisant dos pour ensuite la rejoindre. Une fois à son niveau,tout en regardant l'eau du lac pour éviter de mon montrer grossier avec sa nudité partielle, je déposais à l'aide d'un regard de biais le tissu sur ses jambes, grattant ensuite l'arrière de l'une de mes cornes en me rappelant que nous n'avions pas encore fait la moindre présentation ni mi en lumière le but de ses agissements. J'esquissais un nouveau sourire, demandant amusé:
-J'aimerais beaucoup connaitre votre nom et votre raison de vouloir me mordre à sang de cette façon. Les sirènes vampires n'existent pas il me semble ?
Détail qui ne manqua pas de me faire tomber en omettant de prendre en compte cette possibilité, recevant un coup sur mes jambes qui fléchirent plus par déséquilibre que par douleur. Mais la blessure qu'elle m'avait infligée , que ce soit par ses dents ou sa lame, n'avait pas arrangé les choses et me sentant partir en avant, je dus m'immobiliser pour me balancer en arrière, de crainte de m'affaisser complétement sur elle et de lui casser des os sous l'impact de la chute. Heureusement, mon dos rencontra le sol humide sans pour autant que je lâche ma prise qui s'était mise à réagir de façon étrange, sans que je comprenne ce soudain changement d'attitude qui était lié au changement de milieu.
Comme si une douleur aiguë l'avait accablée, je sentis son corps se contracter alors que j'étais certain de ne lui infliger le moindre mal à la tenant de cette manière. Le doute s'était mis à m'envahir plus encore en l'entendant de manière étouffé émettre des sons, alors que je n'avais pas bougé d'un pouce. Quelque chose se produisait et j'avais l'impression d'être un simple spectateur aux yeux bandé, alors que la raison était pourtant aussi claire que de l'eau de roche. Au moment où je voulus lui demander si elle allait bien, j'entendis que sa respiration saccadée avait laissé place à un rythme plus lent, tandis que ses cheveux changeaient de couleur comme certaines parties de son corps, rendant sa beauté marine plus adéquate avec celui qui permettait aux êtres comme moi de respirer.
Sa voix, que j'avais presque pas eu l'occasion d'entendre malgré le temps appréciable que nous avions passé ensemble, me mit en évidence certains aspects de sa transformation après m'avoir informé qu'elle attendait une décision de ma part. Concentré sur ce qu'elle venait de me détailler , il me fallut quelques secondes pour me rendre compte de cette évidence qui n'installa pas qu'une gêne visible sur mon visage surpris. Je penchais ma tête sur le côté et vis effectivement les doigts de pieds de la sirène qui ressemblait à une humaine à s'y méprendre. Si la nudité visuelle n'avait pas grand effet sur moi, le fait est que son postérieur soit contre moi ne pouvait me laisser de marbre. Je n'avais en aucun cas anticipé cette réalité qui ne semblait nullement importunée celle qui n'avait plus d'écailles à la place des jambes.
-Je vois, humm....
Dans cette course qui fut d'une courte durée, j'avais néanmoins atterri à ôté de mon attirail. Il me suffisait de tendre l'un de mes bras pour attraper ce qui pourrait me permettre de prendre complétement l'ascendant sur cette inconnue sans devoir user de la force brute. Comme tout bon gardien, j'avais le nécessaire pour ce genre de situation mais avant toute chose, je devais être sûr qu'elle ne m'échapperait pas pendant que je prendrais l'objet que j'avais vu dépasser de ma cape au sol à seulement un mètre de nous. Je fis glisser mes mains en repoussant cette image, celle de notre configuration et entourais son bassin à l'aide d'un de mes bras. Je me décalais sur le côté en déposant délicatement tout le corps de la blondinette là où mon dos avait dû réchauffer la surface. Le reste fut effectué d'un seul élan.
Rapidement, je me mis à califourchon sur elle en plantant mon regard dans le sien sans ciller, faisant abstraction de cette proximité qui brisait totalement notre espace de confort respectif. Je ne pouvais cacher mon embarras, qu'importe si mon attention se portait maintenant sur ses poignets que j'entourais aisément de mes paumes, les rabattants au-dessus de sa tête , de façon que cela soit assez confortable. D'une seule main, je maintenais cette entrave , légèrement penché vers elle puis d'une voix calme, je pris la parole en repassant au début les propos qu'elle avait tenus lorsque nous avions fini échoué ensemble:
-Je crois que nous avons déjà eu assez de contact inopiné , surtout que c'est la première fois que nous nous rencontrons. Dis-je avec un léger sourire gêné étaillant mes propos :-Je ne vais pas m'en plaindre, surtout que vous m'avez évité une noyade certaine.Je vous remercie pour cela. J'inclinais légèrement ma tête puis je repris:-Mais voyez vous, j'aimerais récupérer ce que vous avez pris malin plaisir à me chiper.
Je me courbais sur le côté pour attraper une corde noire que je réservais pour les détenus assez inoffensifs. Mais ayant laissé sous l'eau ma chaine et mon espadon,je ne pouvais faire autrement, conscient qu'elle n'était pas la plus vulnérable créature des environs. Mon mollet pouvait attester, sentant la douleur de sa morsure à chaque seconde, un rappel de sa dangerosité que je me tachais rapidement d'attacher avec ce lien, entourant ses poignets sans laisser la moindre ouverture qui lui permettrait de se débattre, assez pour m'empêcher d'effectuer ce ligotage. Tout en effectuant un dernier noeud, je lui proposais:
-Je suis certain qu'elles sont logées là où vous êtes encore vêtue. Je fixais l'endroit en question avant de posé mes orbes cyans sur celle pailletée de la sirène bipède:-Comme vous avez pu le voir, la taille de mes mains risque , en plus d'être offensant, désagréable si j'envisageais de les récupérer par mes propres moyens. Il serait plus que préférable que vous le fassiez vous-même.
J'osais espérer que ce trait d'humour sur notre contact corporel qu'elle avait cité en riant était prétexte à me mettre mal à l'aise afin de détourner mon attention. C'était même plus que certains, effrayant naturellement les individus qui me croisaient en règle générale. J'attrapais le bout de la corde lié à elle afin qu'elle ne m'échappe pas et me levais, attrapant ma cape qui m'attendait impatiemment en lui faisant dos pour ensuite la rejoindre. Une fois à son niveau,tout en regardant l'eau du lac pour éviter de mon montrer grossier avec sa nudité partielle, je déposais à l'aide d'un regard de biais le tissu sur ses jambes, grattant ensuite l'arrière de l'une de mes cornes en me rappelant que nous n'avions pas encore fait la moindre présentation ni mi en lumière le but de ses agissements. J'esquissais un nouveau sourire, demandant amusé:
-J'aimerais beaucoup connaitre votre nom et votre raison de vouloir me mordre à sang de cette façon. Les sirènes vampires n'existent pas il me semble ?
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La Chaleureuse Noyeuse
Takhys Suladran
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Les quelques secondes de silence étaient presque savoureuses. Le Drakyn avait constaté de ses propres yeux l'état à demi-nue de sa prise. Il ne parut pas plus surpris ou mal à l'aise. Les deux peut-être ? Comme elle avait cherché à le noyer et de lui avoir mordu sans sommation son mollet, il avait de quoi être très stoïque en se retrouvant collé à une magnifique femme dévêtue. Ou alors, il était très prude.
Souriante, elle décida de ne pas bouger ou de tenter de se libérer des bras puissants de son ancienne proie. Les rôles s'étaient inversés. Si jamais il venait à se montrer hostile envers elle, ce qui serait légitime dans un sens, là, elle saura répliquer. Là, pour l'instant, elle voulait voir comment il allait se comporter dans cette nouvelle donne. Un des bras s'écarta de son bassin, pendant qu'il n'enserra plus fortement son bras sur elle. Elle ne tressaillit point, surveillant le moindre de ses gestes. Après quoi, il bascula sur le côté, de telle manière qu'il se retrouva à califourchon sur la Sirène devenue humaine.
Takhys sentit la force d'une de ses mains assurer une bonne poigne à ses poignets, qu'il avait placés au-dessus de sa crinière dorée quelque peu en bataille sur le sol. Quand enfin il brisa le silence, elle ne manqua pas de rire dans une bien étrange légèreté.
"Pourtant, vous en rajoutez encore, mon cher... "[/b]
Il redoutait de se montrer offensant pour récupérer son bien ? Il était amusant le Drakyn, très courtois, se voulant très… Comment ils disent déjà ? Respectueux de sa féminité ? Elle lâcha un nouveau rire cristallin, pendant qu'elle continuait à suivre le moindre de ses faits et gestes.
"Vous n'êtes pas un contact prêt..."
Comme ses effets n'étaient pas loin de lui, la proie devenu le chasseur se tendit sur le côté pour attraper une corde noire, pour lui ligoter les poignées. Là aussi, elle ne bougea pas, se laissant faire. Si elle le désirait vraiment, elle saurait s'en défaire sans grande difficulté. Mais elle était curieuse de comment cette rencontre se terminerait.
"J'ai les mains liées, je risque d'être moins habile pour réussir à vous mordre si vous veniez à plonger dans la douceur de cette vallée que vous avez brièvement fixée. "
Son sourire se fit alors prédateur, évitant de se rappeler le goût sans saveur qui était passé sur sa langue. Puis, le Drakyn, tenant ce qui restait de la longueur de corde qui ligotait les poignets de la jeune femme, se releva, attrapa sa cape, qui vint se déposer sur les jambes sans croiser son regard. Oh, que c'était gentil de sa part, il ne voulait pas profiter de sa nudité ! Elle se retint de rire, à nouveau mais ne le fit point quand il demanda à commencer les présentations et les raisons de ses offensifs sur lui
"Et si vous vous nommiez avant, mon cher ? La politesse veut que ce sont les hommes qui se présentent en avant, non ? Ensuite, ne saviez pas que les Sirènes, comme les Tritons sont des carnassières ? Le vampirisme n'est pas existant au sein de notre espèce… Vous avez de la chance... Pour vous rassurer, si vous êtes encore en vie, c'est que je ne vous ai pas trouvé à mon goût, en terme gustatif bien entendu. "
Elle gloussa, puis, doucement, elle invoqua un peu d'eau, qui remonta le long de la jambe au mollet blessé.
" Détendez vous, je répare mes méfaits. Dans quelques instants, vous serez comme neuf. Après nous parlerons de comment vous récupérez votre besace... "
Souriante, elle décida de ne pas bouger ou de tenter de se libérer des bras puissants de son ancienne proie. Les rôles s'étaient inversés. Si jamais il venait à se montrer hostile envers elle, ce qui serait légitime dans un sens, là, elle saura répliquer. Là, pour l'instant, elle voulait voir comment il allait se comporter dans cette nouvelle donne. Un des bras s'écarta de son bassin, pendant qu'il n'enserra plus fortement son bras sur elle. Elle ne tressaillit point, surveillant le moindre de ses gestes. Après quoi, il bascula sur le côté, de telle manière qu'il se retrouva à califourchon sur la Sirène devenue humaine.
Takhys sentit la force d'une de ses mains assurer une bonne poigne à ses poignets, qu'il avait placés au-dessus de sa crinière dorée quelque peu en bataille sur le sol. Quand enfin il brisa le silence, elle ne manqua pas de rire dans une bien étrange légèreté.
"Pourtant, vous en rajoutez encore, mon cher... "[/b]
Il redoutait de se montrer offensant pour récupérer son bien ? Il était amusant le Drakyn, très courtois, se voulant très… Comment ils disent déjà ? Respectueux de sa féminité ? Elle lâcha un nouveau rire cristallin, pendant qu'elle continuait à suivre le moindre de ses faits et gestes.
"Vous n'êtes pas un contact prêt..."
Comme ses effets n'étaient pas loin de lui, la proie devenu le chasseur se tendit sur le côté pour attraper une corde noire, pour lui ligoter les poignées. Là aussi, elle ne bougea pas, se laissant faire. Si elle le désirait vraiment, elle saurait s'en défaire sans grande difficulté. Mais elle était curieuse de comment cette rencontre se terminerait.
"J'ai les mains liées, je risque d'être moins habile pour réussir à vous mordre si vous veniez à plonger dans la douceur de cette vallée que vous avez brièvement fixée. "
Son sourire se fit alors prédateur, évitant de se rappeler le goût sans saveur qui était passé sur sa langue. Puis, le Drakyn, tenant ce qui restait de la longueur de corde qui ligotait les poignets de la jeune femme, se releva, attrapa sa cape, qui vint se déposer sur les jambes sans croiser son regard. Oh, que c'était gentil de sa part, il ne voulait pas profiter de sa nudité ! Elle se retint de rire, à nouveau mais ne le fit point quand il demanda à commencer les présentations et les raisons de ses offensifs sur lui
"Et si vous vous nommiez avant, mon cher ? La politesse veut que ce sont les hommes qui se présentent en avant, non ? Ensuite, ne saviez pas que les Sirènes, comme les Tritons sont des carnassières ? Le vampirisme n'est pas existant au sein de notre espèce… Vous avez de la chance... Pour vous rassurer, si vous êtes encore en vie, c'est que je ne vous ai pas trouvé à mon goût, en terme gustatif bien entendu. "
Elle gloussa, puis, doucement, elle invoqua un peu d'eau, qui remonta le long de la jambe au mollet blessé.
" Détendez vous, je répare mes méfaits. Dans quelques instants, vous serez comme neuf. Après nous parlerons de comment vous récupérez votre besace... "
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Arkalys Majalis
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-Vous marquez un point.
Dis-je face à cette évidence, sans pour autant être trop décontenancé. Il semblait qu'elle était doté d'une repartie habile ,ce qui n'était pas pour me déplaire, aimant les esprits vifs. Ses gestes ne l'avaient pas été lorsque je m'étais placé au-dessus elle, remarquant qu'elle observait les moindres de mes mouvements, sans pour autant qu'elle ait l'air de se sentir en mauvaise posture. En plus de cet attrait étrange, cette dernière était même plus à l'aise que je ne l'aurai pensé face à sa nudité, de toutes les façons qu'il soit. Son rire mélodieux me le confirma, comme sa réponse quelque peut déroutante.
Elle avait beau justifié qu'ainsi les poignets ligotés, elle serait bien handicapée pour tenter toute morsure, mon instinct me dictait que ce ne serait peut-être pas la pire chose qu'il pourrait m'arriver. Ses orbes pailletée me faisaient penser à ceux d'un aigle, prêt à fondre sur sa proie au moindre écart que je comptais , dans tous les cas, échapper en trouvant une autre voie que celle qu'elle tenta de me conforter. Puis ce n'était pas le genre de la maison de me laisser tenter par le contact de ses charmes, certain de leur douceur comme elle disait. Malgré moi,cette pensée teinta légèrement mes joues, répondant qu'a son affirmation qui ne m'avait pas empêché de lui emprisonner fermement ses mains.
-Je n'ai aucun doute là-dessus mais je ne suis pas sûr qu'elle soit entre de bonnes mains.
Dis-je en lui faisant un clin d'oeil, tout en esquissant un sourire à la fois amusé et gêné. Si jusque-là elle avait été assez ouverte au dialogue , elle avait cependant l'air de vouloir contrôler ne serait-ce les informations que nous échangions. J'avais fait preuve de courtoisie mais manqué d'en avoir en lui demandant son prénom en premier, faute d'avoir eu l'occasion auparavant. Ce manque de tact ne lui avait pas échappé, me donnant l'impression que soit les coutumes de ceux de son espèce étaient similaires aux nôtres, soit, qu'elle côtoyait de très près les nôtres, montrant un gout pour la politesse.
En silence, j'écoutais ces informations sur ceux comme elle qui respiraient sous l'eau, ne cachant nullement mon étonnement. Je notais intérieurement ces éléments, me promettant de lire davantage de livres sur eux, me rendant compte que je ne m'étais jamais vraiment penché sur leur particularité, négligent même ces attraits qui avec un peu de connaissance, m'auraient permis de réagir autrement.Sans venir aux extrêmes non plus. En y réfléchissant ,le résultat aurait pu être le même, n'ayant pas eu l'ascendant sur sa capacité à se mouvoir dans le lac.
-Je regrette ,vous venez de me l'apprendre.
En y repensant,c'était intrigant comment elle avait jusque-là ag avec moi. C'était comme si elle aimait frôler les limites, comme un divertissement qui m'avait valu une noyade qu'elle avait finalement mis fin en me ramenant à la surface, celle-là même où nous nous tenions. Elle avait beau m' expliquer que si je respirais, cela tenait au gout gustatif décevant de ma chair, pourtant, rien ne justifie réellement ce choix-là. Je préférai laisser ces questions obscures rejoindre le fond de l'étendue , acceptant que certaines d'entre elles ne seraient jamais révélées. Ma voix grave s'éleva doucement, le calme m'ayant rejoint en ayant l'impression contrôlée en partie la situation avec cette corde:
-Veuillez excuser cette grossièreté. Je me tournais vers elle, la toisant un instant , sans lâcher prise sur le lien qui nous unissait,. J'inclinais légèrement ma tête en guise de salutation, posant mon regard sur ses lèvres inconsciement à la fin de ma réponse:-Arkanon, le drakyn qui s'est fait voler un bien, mais pas seulement...
J'apportais un peu de légèreté, ne voyant aucun intérêt à lui révéler le reste de mon identité. J'espère qu'elle allait elle aussi me donner le sien, sinon ,je devrais garder ce surnom de chipeuse de billes pendant une durée indéterminée.Je m'asseyais non loin d'elle, profitant des rayons du soleil qui séchaient doucement l'eau qui glissait sur mes écailles pour la plupart peu visible, hormis vers mes bras. Cela pouvait s'avérer , risquer de me maintenir à côté d'elle, avec juste ce qu'il fallait pour que notre zone de confort soit correcte. Mais je ne me voyais pas me tenir debout alors qu'elle était allongée , comme si j'avais emprisonné un vulgaire bétail au bout d'une longe. J'eus un léger rire en repensant à ette histoire gustative saupoudrée d'un compliment:
-Je suis ravi de ne pas être totalement à votre gout . Je regardais sa crinière d'une teinte me rappelant les champs de blé rayonnant sous l'astre du jour:-Vos cheveux bleutés vous vont à merveille aussi.
Je ne savais pas vraiment si sa beauté était plus en valeur lorsqu'elle avait une allure d'une humaine ou de ces habitants des profondeurs. Me trouvant peu raisonnable de penser ainsi, manquant de me relever lorsque je sentis quelque chose s'approcher de ma plaie. Accroupis, je vis que la source de cette eau provenait de la sirène qui m'intima de garder mon calme, cherchant à première vue à guérir ma blessure. Je ne savais sur quel pied danser avec elle, à la fois méfiant et emprunt à lui accorder un minimum de confiance étrangement. Je comptais sur ma réactivité pour déjouer ses tentatives qui n'avaient pas l'air de venir, laissant sa magie opérer sans broncher, les muscles tendus par l'hésitation.Elle pouvait à tout moment retourner ce sort contre moi.
-J'espère que vous n'essayez pas de me jouer un mauvais tour ? Une question qu'elle pouvait me répondre par un mensonge bien entendu mais que je ne pus m'empêcher de demander, pour la jauger:-Je dois vous avouer que c'est la première fois que côtoie une sirène de prés et je dois dire que c'est assez instructif et à la fois, intriguant. Comme votre proposition à me rendre ce que vous avez chipé depuis un temps que je pense suffisant . Je vous écoute.
Dis-je face à cette évidence, sans pour autant être trop décontenancé. Il semblait qu'elle était doté d'une repartie habile ,ce qui n'était pas pour me déplaire, aimant les esprits vifs. Ses gestes ne l'avaient pas été lorsque je m'étais placé au-dessus elle, remarquant qu'elle observait les moindres de mes mouvements, sans pour autant qu'elle ait l'air de se sentir en mauvaise posture. En plus de cet attrait étrange, cette dernière était même plus à l'aise que je ne l'aurai pensé face à sa nudité, de toutes les façons qu'il soit. Son rire mélodieux me le confirma, comme sa réponse quelque peut déroutante.
Elle avait beau justifié qu'ainsi les poignets ligotés, elle serait bien handicapée pour tenter toute morsure, mon instinct me dictait que ce ne serait peut-être pas la pire chose qu'il pourrait m'arriver. Ses orbes pailletée me faisaient penser à ceux d'un aigle, prêt à fondre sur sa proie au moindre écart que je comptais , dans tous les cas, échapper en trouvant une autre voie que celle qu'elle tenta de me conforter. Puis ce n'était pas le genre de la maison de me laisser tenter par le contact de ses charmes, certain de leur douceur comme elle disait. Malgré moi,cette pensée teinta légèrement mes joues, répondant qu'a son affirmation qui ne m'avait pas empêché de lui emprisonner fermement ses mains.
-Je n'ai aucun doute là-dessus mais je ne suis pas sûr qu'elle soit entre de bonnes mains.
Dis-je en lui faisant un clin d'oeil, tout en esquissant un sourire à la fois amusé et gêné. Si jusque-là elle avait été assez ouverte au dialogue , elle avait cependant l'air de vouloir contrôler ne serait-ce les informations que nous échangions. J'avais fait preuve de courtoisie mais manqué d'en avoir en lui demandant son prénom en premier, faute d'avoir eu l'occasion auparavant. Ce manque de tact ne lui avait pas échappé, me donnant l'impression que soit les coutumes de ceux de son espèce étaient similaires aux nôtres, soit, qu'elle côtoyait de très près les nôtres, montrant un gout pour la politesse.
En silence, j'écoutais ces informations sur ceux comme elle qui respiraient sous l'eau, ne cachant nullement mon étonnement. Je notais intérieurement ces éléments, me promettant de lire davantage de livres sur eux, me rendant compte que je ne m'étais jamais vraiment penché sur leur particularité, négligent même ces attraits qui avec un peu de connaissance, m'auraient permis de réagir autrement.Sans venir aux extrêmes non plus. En y réfléchissant ,le résultat aurait pu être le même, n'ayant pas eu l'ascendant sur sa capacité à se mouvoir dans le lac.
-Je regrette ,vous venez de me l'apprendre.
En y repensant,c'était intrigant comment elle avait jusque-là ag avec moi. C'était comme si elle aimait frôler les limites, comme un divertissement qui m'avait valu une noyade qu'elle avait finalement mis fin en me ramenant à la surface, celle-là même où nous nous tenions. Elle avait beau m' expliquer que si je respirais, cela tenait au gout gustatif décevant de ma chair, pourtant, rien ne justifie réellement ce choix-là. Je préférai laisser ces questions obscures rejoindre le fond de l'étendue , acceptant que certaines d'entre elles ne seraient jamais révélées. Ma voix grave s'éleva doucement, le calme m'ayant rejoint en ayant l'impression contrôlée en partie la situation avec cette corde:
-Veuillez excuser cette grossièreté. Je me tournais vers elle, la toisant un instant , sans lâcher prise sur le lien qui nous unissait,. J'inclinais légèrement ma tête en guise de salutation, posant mon regard sur ses lèvres inconsciement à la fin de ma réponse:-Arkanon, le drakyn qui s'est fait voler un bien, mais pas seulement...
J'apportais un peu de légèreté, ne voyant aucun intérêt à lui révéler le reste de mon identité. J'espère qu'elle allait elle aussi me donner le sien, sinon ,je devrais garder ce surnom de chipeuse de billes pendant une durée indéterminée.Je m'asseyais non loin d'elle, profitant des rayons du soleil qui séchaient doucement l'eau qui glissait sur mes écailles pour la plupart peu visible, hormis vers mes bras. Cela pouvait s'avérer , risquer de me maintenir à côté d'elle, avec juste ce qu'il fallait pour que notre zone de confort soit correcte. Mais je ne me voyais pas me tenir debout alors qu'elle était allongée , comme si j'avais emprisonné un vulgaire bétail au bout d'une longe. J'eus un léger rire en repensant à ette histoire gustative saupoudrée d'un compliment:
-Je suis ravi de ne pas être totalement à votre gout . Je regardais sa crinière d'une teinte me rappelant les champs de blé rayonnant sous l'astre du jour:-Vos cheveux bleutés vous vont à merveille aussi.
Je ne savais pas vraiment si sa beauté était plus en valeur lorsqu'elle avait une allure d'une humaine ou de ces habitants des profondeurs. Me trouvant peu raisonnable de penser ainsi, manquant de me relever lorsque je sentis quelque chose s'approcher de ma plaie. Accroupis, je vis que la source de cette eau provenait de la sirène qui m'intima de garder mon calme, cherchant à première vue à guérir ma blessure. Je ne savais sur quel pied danser avec elle, à la fois méfiant et emprunt à lui accorder un minimum de confiance étrangement. Je comptais sur ma réactivité pour déjouer ses tentatives qui n'avaient pas l'air de venir, laissant sa magie opérer sans broncher, les muscles tendus par l'hésitation.Elle pouvait à tout moment retourner ce sort contre moi.
-J'espère que vous n'essayez pas de me jouer un mauvais tour ? Une question qu'elle pouvait me répondre par un mensonge bien entendu mais que je ne pus m'empêcher de demander, pour la jauger:-Je dois vous avouer que c'est la première fois que côtoie une sirène de prés et je dois dire que c'est assez instructif et à la fois, intriguant. Comme votre proposition à me rendre ce que vous avez chipé depuis un temps que je pense suffisant . Je vous écoute.
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Takhys Suladran
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Race: Sirène
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La Sirène demeurait concentrée sur son sortilège de soins, nulle étonnée de la brève réaction du Drakyn quand il sentit l'eau gravir son mollet blessé, l'enrouler et commencer à dispenser de ses bienfaits. Après avoir bu une bonne grosse tasse du lac Rebirth, comment ne pas être effrayé en voyant de l'eau sortir de nulle part... Elle s'était retenue de se moquer, estimant que ce serait gâcher ce début de conversation. Le Drakyn faisait preuve d'un sang-froid à toute épreuve, restant serein malgré les circonstances de cette rencontre. Tout autre bipède aurait fui ou aurait tenté de se venger des entourloupes mortelles de l'Aquarienne. Et pourtant, il était là, la tenant liée par les poignets. Si elle le désirait, cette corde qui mordait la peau fine de ses articulations serait tranchée en peu de temps.
Pendant qu'elle terminait de soigner sa morsure, elle regarda non sans un étrange éclat amusé dans ses yeux bruns pailleté d'ambre ce Drakyn bien étrange à ses yeux... étrange ou naïf ? Ou qui se jouait d'elle en paraissant tout gentil ? Cette dernière possibilité sonnait faux bizarrement...
"Vous êtes bien étrange, pour un Drakyn. Je me nomme Takhys Suladran, simple Sirène traînant ses écailles dans ce vaste monde et où elle l'entend ; Ravie de vous connaître, Arkanon, le Drakyn du Reike... Je me demande comment j'ai pu passer à côté de votre tatouage... "fit-elle avec un sourire faussement surpris. Elle l'avait vu, quand elle l'avait remonté, noyé à ses soins. Des fois, quand on joue, on ne fait pas attention à ce genre de points. Et puis dans l'eau, il fait plus sombre, et on se focalise sur l'essentiel...
Elle lui rendit son regard toisant en tirant un peu sur la corde, afin de le titiller un peu.
"Quelle courtoisie en effet...et quel beau flatteur que vous êtes... Vous ne croisez pas souvent des femmes, me trompais-je ? "Elle gloussa avec un timbre cristallin."Profitez de me côtoyer, et que je sois sous mon beau jour... D'ordinaire, mes congénères sont moins... gentils que moi. Je vous invite d'ailleurs à en apprendre le maximum sur mon espèce, ça vous épargnera de boire un verre du lac la prochaine fois."Elle rit"La bière, c'est bien meilleur. "
L'eau qui entourait le mollet, céda d'un coup, retombant sur le sol de la berge en un bruit d'éclaboussure, se faufilant dans les interstices de la terre, du sable, l'humidifiant au passage.
"Voilà, vous n'aurez même pas une cicatrice visible. Totalement guérie, la morsure. Quand à vous jouer un mauvais tour, tout est encore possible, mais je ne vais pas gâcher mon petit plaisir, n'est ce pas ? La surprise n'en sera que plus savoureuse. Mais je veux bien vous souffler une petite information. Elle leva ses deux mains ligotées"Si je le désire, je peux me libérer de votre corde rien qu'en la tranchant. Mais je joue le jeu, c'est plus amusant. "Elle rebaissa ses mains. "Donc, je suis intrigante ? Je serai curieuse que vous détailliez cela de vos mots. Pour votre bien donc... la proposition est simple. C'est vous qui allez venir le récupérer... et promis, point d'eau, point de morsure. Personnellement, je ne tiens pas à me remanger un coup de corne...."
Pendant qu'elle terminait de soigner sa morsure, elle regarda non sans un étrange éclat amusé dans ses yeux bruns pailleté d'ambre ce Drakyn bien étrange à ses yeux... étrange ou naïf ? Ou qui se jouait d'elle en paraissant tout gentil ? Cette dernière possibilité sonnait faux bizarrement...
"Vous êtes bien étrange, pour un Drakyn. Je me nomme Takhys Suladran, simple Sirène traînant ses écailles dans ce vaste monde et où elle l'entend ; Ravie de vous connaître, Arkanon, le Drakyn du Reike... Je me demande comment j'ai pu passer à côté de votre tatouage... "fit-elle avec un sourire faussement surpris. Elle l'avait vu, quand elle l'avait remonté, noyé à ses soins. Des fois, quand on joue, on ne fait pas attention à ce genre de points. Et puis dans l'eau, il fait plus sombre, et on se focalise sur l'essentiel...
Elle lui rendit son regard toisant en tirant un peu sur la corde, afin de le titiller un peu.
"Quelle courtoisie en effet...et quel beau flatteur que vous êtes... Vous ne croisez pas souvent des femmes, me trompais-je ? "Elle gloussa avec un timbre cristallin."Profitez de me côtoyer, et que je sois sous mon beau jour... D'ordinaire, mes congénères sont moins... gentils que moi. Je vous invite d'ailleurs à en apprendre le maximum sur mon espèce, ça vous épargnera de boire un verre du lac la prochaine fois."Elle rit"La bière, c'est bien meilleur. "
L'eau qui entourait le mollet, céda d'un coup, retombant sur le sol de la berge en un bruit d'éclaboussure, se faufilant dans les interstices de la terre, du sable, l'humidifiant au passage.
"Voilà, vous n'aurez même pas une cicatrice visible. Totalement guérie, la morsure. Quand à vous jouer un mauvais tour, tout est encore possible, mais je ne vais pas gâcher mon petit plaisir, n'est ce pas ? La surprise n'en sera que plus savoureuse. Mais je veux bien vous souffler une petite information. Elle leva ses deux mains ligotées"Si je le désire, je peux me libérer de votre corde rien qu'en la tranchant. Mais je joue le jeu, c'est plus amusant. "Elle rebaissa ses mains. "Donc, je suis intrigante ? Je serai curieuse que vous détailliez cela de vos mots. Pour votre bien donc... la proposition est simple. C'est vous qui allez venir le récupérer... et promis, point d'eau, point de morsure. Personnellement, je ne tiens pas à me remanger un coup de corne...."
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Arkalys Majalis
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Finalement, la magie avait opéré , soignant doucement mes tissus . Je me détendis un peu, pensant à tort qu'elle aurait profité de régénérer ma chair pour mieux reprendre le dessus de la situation. Ce bref échange de regards, ou tour à tour on s'était étudié sans vraiment le cacher à l'un à l'autre,était à la fois amusant et inquiétant. Également tout ce qui s'était produit depuis mon arrivé au lac. J'appris le nom de celle qui y nageait mais pas que. Elle avait l'air d'être une femme indépendante et encore moins fébrile que je le pensais. Se balader où elle le souhaitait comme elle disait, pouvait s'avérer dangereux, surtout seule face à habitant du Reike qu'elle souligna parlant de mon tatouage qu'elle avait visiblement remarquée depuis un moment, faisant mine d'être surprise.
-J'ai peine à vous croire. J'imagine que vous ne me dévoilerez pas votre camp je me trompe ?
Dis-je face à ses expressions théâtrales assez divertissantes, lâchant un petit rire discret . Je supposais qu'elle ne faisait pas partie de l'empire, donnant encore plus de raison de sa part de vouloir me jouer un mauvais tour. Contribuait-elle à la vie de la Réplublique ou aux autres citoyens du Sekai ? Tant de questions brulaient mes lèvres pendant que je la fixais,sentant la petite pression qu'elle exerça sur la corde qui mit fin à mes interrogations pour en soulever d'autres bien plus personnel. Mais elle se trompait sur certains points me concernant que je me permis de rectifier lorsqu'elle finit par m'apprendre la nature moins amicale qu'il n'y paraissait de son espèce .
-Je dirai plutôt qu'elles préfèrent resté éloignées loin de moi.
Dis-je tandis qu'une lueur sombre passa brièvement devant mes pupilles verticales, sentant le poids de cette malédiction peser plus lourdement encore sur mes épaules en lui révélant cela. Je n'allais pas lui faire part du reste, n'étant pas là pour parler de moi ni donner plus d'importance à ce qui me suivait comme mon ombre. Sans compter qu'après avoir été élevé en étant traité comme un fléau, je ne me voyais pas autrement que comme un Drakyn repoussant, sur tous les aspects qui soient. Ne vouant faire d'autres vagues, je n'avais jamais voulu boire la moindre goute d'alcool pour que l'on n'ait pas encore plus de faciliter à me pointer du doigt.
-Je veux bien croire qu'une mousse aurait meilleure goût, mais je crains que cela n'exhibe mes envies de danser. Je lui fis un clin d'oeil, nous imaginant faire une valse ensemble durant un bref instant,bien plus à l'aise dans cet exercice où j'excellais contrairement à ma nage digne d'un béhémot à nageoire mais qui se débrouille bien en apnée:-Peut être voudriez-vous m'en apprendre davantage ?
Tentais-je, sachant que , ce qui était écrit dans les livres pouvait parfois être erronés. Autant avoir affaire à une sirène directement qui comme elle le disait, était moins encline à me faire couler que ses congénères. Takhys avait été plutôt courtoise jusque-là, si l'on enlevait la noyade et les autres petits désagréments . D'ailleurs ces dites blessures finirent par ne devenir qu'un mauvais souvenir, penchant ma tête un peu inquiet quand l'eau fut à nouveau affectée par la graviter, reprenant ses propriétés premières. Je reportais mon attention une nouvelle fois vers la blondinette qui ne me garantissait pas totalement qu'elle ne tenterait pas quelque chose contre moi. Du moins, c'est ce que je ressentais à travers ses paroles.
Plus encore quand elle m'avoua qu'elle pouvait à tout moment se délivrer de ces liens aux poignets , regardant sa bouche qui cachait des armes tranchantes , assez pour les couper sans nul doute. Elle préférait pourtant les garder, ce qui me désarma quelque peu, m'interrogeant sur ces raisons , n'y trouvant que des réponses que je préférais chasser de mon esprit , tant elles paraissaient déplacé. Décidément, elle avait le don de pousser les réflexions en dehors du raisonnable. Je me recentrais sa demande, celle concernant mon ressenti à propos d'elle. Au moment où je voulus lui répondre, elle ajouta une nouvelle fois qu'elle voulait que j'aille moi-même récupérer mon bien, sans son aide.
Incapable de cacher ma surprise lorsqu'elle décida ne pas m'apporter assistance, je ne pus m'empêcher d'ouvrir la bouche avant de la refermer. Je fermais les yeux en prenant une grande inspiration pour me recentrer une nouvelle fois, les réouvrants pour la dévisageant en esquissant un sourire mi amusé, mi gêné. Mais je n'allais pas abandonner pour autant. Quand je m'étais fixé un objectif, il était rare que je m'en détourne, au combien cela me mettrait mal à l'aise ou me diriger vers une situation cocasse.
-Je vous remercie d'avoir guéri ma plaie. Mais puisque vous insistez, je ne vais pas vous contrarier.
J'enroulais ensuite doucement la corde autour de mon avant-bras pendant que je me rapprochais d'elle à genoux, ne perdant pas de vue que cette conversation pourrait se transformer en quelque chose de moins plaisant. Une fois à son niveau, je posais ma main derrière son dos pour qu'elle se redresse, de manière à ce qu'elle soit bien assise, me positionnant ensuite derrière elle. N'oubliant pas ce qu'elle m'avait demandé, je répondais en regroupant ses cheveux dans l'une de mes mains .
-Vous êtes aussi imprévisible que ces courants marins qui font chavirer nombre de bateaux.Mais pas seulement.
Je les fis glisser vers l'avant pour qu'elle recouvre son décolleté,levant ensuite mon bras entouré par la corde pour qu'elle lève les siens , attrapant ses deux poignets avec cette même main, bien assez large pour tenir les siennes fermement. Puisqu'elle pouvait couper facilement ce qui ne semblait pouvoir le retenir, je le ferai moi-même, essayant de garder mon objectif en tête sans penser que nos corps se touchaient presque ou seulement pour entraver l'autre.
-Votre voix semble chanter à chaque mot un mystère qui inspire...
Un peu de poésie pour m'occuper l'esprit m'aidait à me préparer à ce que j'allais entreprendre, sentant mes joues se réchauffer par avance. Mes doigts s'approchèrent non pas des collines qui renfermaient ma besace, mais de ce qui les avait jusque-là caché de mes yeux. Je desserrais son corset doucement ,jusqu'à ce que plus rien ne le retienne, mettant entièrement à nu celle qui s'en accommodait assez bien depuis le début. A défaut de vouloir éviter de caresser sa peau , je n'avais trouvé que cette seule solution, l'exposant dans son plus simple apparat face au plan d'eau silencieux. Comme ce paquet de billes qui devait être tombé sur ma cape ayant servi à cacher sa féminité il y a quelques minutes de cela.
-À la fois la crainte et fascinations.
Concentré du mieux que je pouvais , lentement, je baissais mon bras au niveau de son flanc pour récupérer le dernier bien qu'une femme m'avait offert et pas seulement.Frôlant de prés ses courbes que je ne pouvais qu'imaginer, fixant sa nuque pour que ce ne soit pas le reste qui me soit dévoilé, j'eus l'impression que cette distance était sans fin,tant cela m'intimidé. Sans m'en rendre compte, j'avais légèrement resserré ma poigne qui la retenait en la tirant légèrement en arrière, ayant du mal à soutenir cette proximité, priant les astres qu'elle ne bouge pendant mon entreprise. Enfin , je sentis l'objet qui m'avait valu de dénudé la dénommé Takhys, du moins , je le pensais. J'empoignais celui-ci et finis par dire en expulsant de l'air par le soulagement d'avoir évité que ma dextre ne fasse la moindre maladresse:
-Vous ne m'aurez pas rendu la tâche facile Takhys.Dis-je en souriant, demandant dans un même élan, repensant à ce qu'elle avait dit auparavant:-Je me demande dans quelle contrée vous préférez boire votre bière.
-J'ai peine à vous croire. J'imagine que vous ne me dévoilerez pas votre camp je me trompe ?
Dis-je face à ses expressions théâtrales assez divertissantes, lâchant un petit rire discret . Je supposais qu'elle ne faisait pas partie de l'empire, donnant encore plus de raison de sa part de vouloir me jouer un mauvais tour. Contribuait-elle à la vie de la Réplublique ou aux autres citoyens du Sekai ? Tant de questions brulaient mes lèvres pendant que je la fixais,sentant la petite pression qu'elle exerça sur la corde qui mit fin à mes interrogations pour en soulever d'autres bien plus personnel. Mais elle se trompait sur certains points me concernant que je me permis de rectifier lorsqu'elle finit par m'apprendre la nature moins amicale qu'il n'y paraissait de son espèce .
-Je dirai plutôt qu'elles préfèrent resté éloignées loin de moi.
Dis-je tandis qu'une lueur sombre passa brièvement devant mes pupilles verticales, sentant le poids de cette malédiction peser plus lourdement encore sur mes épaules en lui révélant cela. Je n'allais pas lui faire part du reste, n'étant pas là pour parler de moi ni donner plus d'importance à ce qui me suivait comme mon ombre. Sans compter qu'après avoir été élevé en étant traité comme un fléau, je ne me voyais pas autrement que comme un Drakyn repoussant, sur tous les aspects qui soient. Ne vouant faire d'autres vagues, je n'avais jamais voulu boire la moindre goute d'alcool pour que l'on n'ait pas encore plus de faciliter à me pointer du doigt.
-Je veux bien croire qu'une mousse aurait meilleure goût, mais je crains que cela n'exhibe mes envies de danser. Je lui fis un clin d'oeil, nous imaginant faire une valse ensemble durant un bref instant,bien plus à l'aise dans cet exercice où j'excellais contrairement à ma nage digne d'un béhémot à nageoire mais qui se débrouille bien en apnée:-Peut être voudriez-vous m'en apprendre davantage ?
Tentais-je, sachant que , ce qui était écrit dans les livres pouvait parfois être erronés. Autant avoir affaire à une sirène directement qui comme elle le disait, était moins encline à me faire couler que ses congénères. Takhys avait été plutôt courtoise jusque-là, si l'on enlevait la noyade et les autres petits désagréments . D'ailleurs ces dites blessures finirent par ne devenir qu'un mauvais souvenir, penchant ma tête un peu inquiet quand l'eau fut à nouveau affectée par la graviter, reprenant ses propriétés premières. Je reportais mon attention une nouvelle fois vers la blondinette qui ne me garantissait pas totalement qu'elle ne tenterait pas quelque chose contre moi. Du moins, c'est ce que je ressentais à travers ses paroles.
Plus encore quand elle m'avoua qu'elle pouvait à tout moment se délivrer de ces liens aux poignets , regardant sa bouche qui cachait des armes tranchantes , assez pour les couper sans nul doute. Elle préférait pourtant les garder, ce qui me désarma quelque peu, m'interrogeant sur ces raisons , n'y trouvant que des réponses que je préférais chasser de mon esprit , tant elles paraissaient déplacé. Décidément, elle avait le don de pousser les réflexions en dehors du raisonnable. Je me recentrais sa demande, celle concernant mon ressenti à propos d'elle. Au moment où je voulus lui répondre, elle ajouta une nouvelle fois qu'elle voulait que j'aille moi-même récupérer mon bien, sans son aide.
Incapable de cacher ma surprise lorsqu'elle décida ne pas m'apporter assistance, je ne pus m'empêcher d'ouvrir la bouche avant de la refermer. Je fermais les yeux en prenant une grande inspiration pour me recentrer une nouvelle fois, les réouvrants pour la dévisageant en esquissant un sourire mi amusé, mi gêné. Mais je n'allais pas abandonner pour autant. Quand je m'étais fixé un objectif, il était rare que je m'en détourne, au combien cela me mettrait mal à l'aise ou me diriger vers une situation cocasse.
-Je vous remercie d'avoir guéri ma plaie. Mais puisque vous insistez, je ne vais pas vous contrarier.
J'enroulais ensuite doucement la corde autour de mon avant-bras pendant que je me rapprochais d'elle à genoux, ne perdant pas de vue que cette conversation pourrait se transformer en quelque chose de moins plaisant. Une fois à son niveau, je posais ma main derrière son dos pour qu'elle se redresse, de manière à ce qu'elle soit bien assise, me positionnant ensuite derrière elle. N'oubliant pas ce qu'elle m'avait demandé, je répondais en regroupant ses cheveux dans l'une de mes mains .
-Vous êtes aussi imprévisible que ces courants marins qui font chavirer nombre de bateaux.Mais pas seulement.
Je les fis glisser vers l'avant pour qu'elle recouvre son décolleté,levant ensuite mon bras entouré par la corde pour qu'elle lève les siens , attrapant ses deux poignets avec cette même main, bien assez large pour tenir les siennes fermement. Puisqu'elle pouvait couper facilement ce qui ne semblait pouvoir le retenir, je le ferai moi-même, essayant de garder mon objectif en tête sans penser que nos corps se touchaient presque ou seulement pour entraver l'autre.
-Votre voix semble chanter à chaque mot un mystère qui inspire...
Un peu de poésie pour m'occuper l'esprit m'aidait à me préparer à ce que j'allais entreprendre, sentant mes joues se réchauffer par avance. Mes doigts s'approchèrent non pas des collines qui renfermaient ma besace, mais de ce qui les avait jusque-là caché de mes yeux. Je desserrais son corset doucement ,jusqu'à ce que plus rien ne le retienne, mettant entièrement à nu celle qui s'en accommodait assez bien depuis le début. A défaut de vouloir éviter de caresser sa peau , je n'avais trouvé que cette seule solution, l'exposant dans son plus simple apparat face au plan d'eau silencieux. Comme ce paquet de billes qui devait être tombé sur ma cape ayant servi à cacher sa féminité il y a quelques minutes de cela.
-À la fois la crainte et fascinations.
Concentré du mieux que je pouvais , lentement, je baissais mon bras au niveau de son flanc pour récupérer le dernier bien qu'une femme m'avait offert et pas seulement.Frôlant de prés ses courbes que je ne pouvais qu'imaginer, fixant sa nuque pour que ce ne soit pas le reste qui me soit dévoilé, j'eus l'impression que cette distance était sans fin,tant cela m'intimidé. Sans m'en rendre compte, j'avais légèrement resserré ma poigne qui la retenait en la tirant légèrement en arrière, ayant du mal à soutenir cette proximité, priant les astres qu'elle ne bouge pendant mon entreprise. Enfin , je sentis l'objet qui m'avait valu de dénudé la dénommé Takhys, du moins , je le pensais. J'empoignais celui-ci et finis par dire en expulsant de l'air par le soulagement d'avoir évité que ma dextre ne fasse la moindre maladresse:
-Vous ne m'aurez pas rendu la tâche facile Takhys.Dis-je en souriant, demandant dans un même élan, repensant à ce qu'elle avait dit auparavant:-Je me demande dans quelle contrée vous préférez boire votre bière.
Arkalys discute en 666699
La Chaleureuse Noyeuse
Takhys Suladran
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Info personnage
Race: Sirène
Vocation: Mage élémentaliste
Alignement: Chaotique Neutre
Rang: C
Elle se permit d'abord de faire un petit sourire.
"Je suis une Sirène. Donc… Techniquement, je viens d'Aquaria. Notre magnifique cité a pu retrouver sa quasi-splendeur d'autrefois, par le soutien de la part du Reike et de la République. Donc, dois-je réellement m'inclure dans une de ses deux nations ? "Son sourire s'étendit pour essayer de marquer un petit air de mystère. Elle ne lui révélera pas qu'elle était reconnue comme citoyenne république, tant qu'elle n'aura pas l'assurance que le Reikois ne se retournera pas contre elle en apprenant la nouvelle. Il était si courtois pourtant, pourrait-on penser. Mais la belle blonde se méfiait toujours de la splendeur qui ressortait de ses interlocuteurs... Dans la mer, ce qui était magnifique, qui attirait les regards était synonyme de danger et de mort.
Elle ne souffla aucun mot quand elle remarqua la mine devenir un peu sombre sur le visage du Drakyn.
"Je ne sais les raisons de vos propos, mais toutes ne demeurent pas à distance de votre personne. La preuve, je suis là. Je suis juste plus aventurière que d'autres. Vous êtes un Drakyn, on voit déjà en vous un prédateur. Un autre prédateur, s'il sent un risque pour lui, naturellement, il va s'en éloigner. Voilà déjà un détail. Après, pour ce que vous souhaitez en apprendre plus, je suis là, posez les interrogations qui vous passeraient par l'esprit. Je vous invite à m'en inonder même."susurra-t-elle avec un clin d'oeil "Et danser ? Je serai curieuse de voir vos talents. Ils doivent être d'un haut niveau. Je suis sûre que vous pourriez m'apprendre quelques pas. "
Pour l'instant, elle était ligotée, toujours sous la vigilance aiguisée du Drakyn. Il était encore un peu tôt pour se permettre une plus grande largesse de discussion. Après tout, elle avait manqué de le noyer non ? et puis, elle avait pris son bien précieux, cette petite sacoche de cuir qu'elle avait toujours entre ses deux collines de poitrine généreuses. Elle se retint de rire quant à la réaction de son interlocuteur, quand il comprit que ce sera à lui d'aller le chercher.
Toujours avec son sourire provocateur, elle le suivit de son regard brun pailleté d'ambre, sans bouger le moindre petit doigt.
"Mais de rien"dit-elle dans un léger gloussement cristallin quand il la remercia pour le soin pour sa blessure. Quand il se mit à jouer un peu les poètes, elle ne put s'empêcher de trouver cela attrayant. Il était plein de surprises. Elle restait attentive, ne se laissant pas attendrir par les vers légers et mielleux à ses oreilles. Le moindre mouvement de ses mains, le moindre de ses déplacements, elle n'en perdit pas un morceau, sauf quand il se mit derrière elle. Jusqu'au bout, elle s'était laissé faire docilement, n'émettant aucune résistance.
Elle crut comprendre où il voulut en venir quand il repoussa sa crinière blonde vers l'avant, comme pour mettre un voile de pudeur sur le sommet de sa poitrine. Puis, quand il porta ses doigts sur son corset, elle se retint de rire. Le petit malin. Quand la besace fut libérée, tombant sur la cape, qui dissimulait le reste de sa féminité. Le Drakyn put alors le récupérer en toute... sécurité pudique. Doucement, elle tourna la tête et se mit à rire, amusée de l'idée prise par de celui-ci, pour s'épargner tout geste déplacé à son égard.
"Je ne peux que louer votre intelligence. Et que de précautions prises à mon égard, je vais finir que vous êtes très chaste pour un Reikois... "
Allez, si elle prenait le risque de répondre à son autre petite question, maligne aussi cette fois ?
"Aux abords du Lac Rebirth, côté Républicain. Le houblon qui y pousse y est très frais et cela s'en ressent dans les bières du coin. Cela vous sied, Messire ? "
Elle lui fit un sourire provocateur, avant de reprendre.
"Bien et si vous me libérez plus... concrètement ? j'ai fait la démonstration que je savais parfaitement me tenir… Sauf si vous souhaitez découvrir ce qu'implique un corset dénué...."souffler dans un ton langoureux.
"Je suis une Sirène. Donc… Techniquement, je viens d'Aquaria. Notre magnifique cité a pu retrouver sa quasi-splendeur d'autrefois, par le soutien de la part du Reike et de la République. Donc, dois-je réellement m'inclure dans une de ses deux nations ? "Son sourire s'étendit pour essayer de marquer un petit air de mystère. Elle ne lui révélera pas qu'elle était reconnue comme citoyenne république, tant qu'elle n'aura pas l'assurance que le Reikois ne se retournera pas contre elle en apprenant la nouvelle. Il était si courtois pourtant, pourrait-on penser. Mais la belle blonde se méfiait toujours de la splendeur qui ressortait de ses interlocuteurs... Dans la mer, ce qui était magnifique, qui attirait les regards était synonyme de danger et de mort.
Elle ne souffla aucun mot quand elle remarqua la mine devenir un peu sombre sur le visage du Drakyn.
"Je ne sais les raisons de vos propos, mais toutes ne demeurent pas à distance de votre personne. La preuve, je suis là. Je suis juste plus aventurière que d'autres. Vous êtes un Drakyn, on voit déjà en vous un prédateur. Un autre prédateur, s'il sent un risque pour lui, naturellement, il va s'en éloigner. Voilà déjà un détail. Après, pour ce que vous souhaitez en apprendre plus, je suis là, posez les interrogations qui vous passeraient par l'esprit. Je vous invite à m'en inonder même."susurra-t-elle avec un clin d'oeil "Et danser ? Je serai curieuse de voir vos talents. Ils doivent être d'un haut niveau. Je suis sûre que vous pourriez m'apprendre quelques pas. "
Pour l'instant, elle était ligotée, toujours sous la vigilance aiguisée du Drakyn. Il était encore un peu tôt pour se permettre une plus grande largesse de discussion. Après tout, elle avait manqué de le noyer non ? et puis, elle avait pris son bien précieux, cette petite sacoche de cuir qu'elle avait toujours entre ses deux collines de poitrine généreuses. Elle se retint de rire quant à la réaction de son interlocuteur, quand il comprit que ce sera à lui d'aller le chercher.
Toujours avec son sourire provocateur, elle le suivit de son regard brun pailleté d'ambre, sans bouger le moindre petit doigt.
"Mais de rien"dit-elle dans un léger gloussement cristallin quand il la remercia pour le soin pour sa blessure. Quand il se mit à jouer un peu les poètes, elle ne put s'empêcher de trouver cela attrayant. Il était plein de surprises. Elle restait attentive, ne se laissant pas attendrir par les vers légers et mielleux à ses oreilles. Le moindre mouvement de ses mains, le moindre de ses déplacements, elle n'en perdit pas un morceau, sauf quand il se mit derrière elle. Jusqu'au bout, elle s'était laissé faire docilement, n'émettant aucune résistance.
Elle crut comprendre où il voulut en venir quand il repoussa sa crinière blonde vers l'avant, comme pour mettre un voile de pudeur sur le sommet de sa poitrine. Puis, quand il porta ses doigts sur son corset, elle se retint de rire. Le petit malin. Quand la besace fut libérée, tombant sur la cape, qui dissimulait le reste de sa féminité. Le Drakyn put alors le récupérer en toute... sécurité pudique. Doucement, elle tourna la tête et se mit à rire, amusée de l'idée prise par de celui-ci, pour s'épargner tout geste déplacé à son égard.
"Je ne peux que louer votre intelligence. Et que de précautions prises à mon égard, je vais finir que vous êtes très chaste pour un Reikois... "
Allez, si elle prenait le risque de répondre à son autre petite question, maligne aussi cette fois ?
"Aux abords du Lac Rebirth, côté Républicain. Le houblon qui y pousse y est très frais et cela s'en ressent dans les bières du coin. Cela vous sied, Messire ? "
Elle lui fit un sourire provocateur, avant de reprendre.
"Bien et si vous me libérez plus... concrètement ? j'ai fait la démonstration que je savais parfaitement me tenir… Sauf si vous souhaitez découvrir ce qu'implique un corset dénué...."souffler dans un ton langoureux.
Noble de La République
Arkalys Majalis
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Elle avait accepté de me parler de ceux de son espèce, qu'ils provenaient d'une ville sous-marine bien connue et à la fois mystérieuse que j'avais maintes fois imaginé. Jusque-là, je n'appris pas grand-chose, connaissant déjà ce fait, la laissant parvenir à ma réelle question qu'elle détourna bien habilement . Ainsi donc, elle préférait taire sa bannière, ce qui me laissait penser qu'elle faisait plutôt partie de la Réplublique, taisant ma conclusion hâtive qui pourrait la froisser si jamais elle parvenait à sortir de mes lèvres.
Cette hypothèse qu'elle me soumetta m'amena à réfléchir, n'ayant encore jamais vu cela sous cet angle précisement. Je pensais faire peur mais au point d'être considéré comme un prédateur comme elle disait. À ses yeux à elle au moins, n'ayant pas pris le risque de me dévoiler sa faction, montrant qu'elle se méfiait de moi. Elle avait raison, quand bien même elle aimait arpenter des contrées seule et côtoyer de prés un inconnu, le danger n'était pas moins présent. Je restais silencieux, souriant lorsqu'elle m'incita à lui poser davantage de questions ,maniant le verbe pour rendre chacune de ses phrases moins innocente. Je ne pus cacher ma surprise quand elle me proposa de lui apprendre quelques pas de danse, préférant rester sur ma réserve ne sachant si elle plaisantait ou non.
-Ne me tentez pas.
Dis-je presque sur un ton de défi, ne rebondissant pas volontairement sur le sujet auquel elle avait préféré rester vague. L'idée d'une danse avec la sirène me paraissait au premier abord assez dangereux mais après tout, tout ce qui s'était passé ne l'avait pas été ? Au moins, durant tout le temps où j'avais dû user d'un certain stratagème pour que je n'ai pas à plonger ma main dans ses formes généreuses, elle s'était tenue tranquille, voyant au combien cela semblait l'amuser, épiant chacun de mes gestes prête à sortir les dents . Lorsque j'eus fini, elle avait tourné la tête vers moi, riant puis me félicitant ma retenu qui n'avait pas été sans peine. Je me mis à rire à mon tour, répondant:
-Je vous remercie mais, c'est seulement parce que je mets un point d'honneur à éviter de plonger les autres de l'embarras et le désagrément.
Peu à l'aise avec les compliments, j 'étais assez gêné pour sentir mes joues se teinter. En plus de cela, il était clair que j'avais eu à quelques reprises, eus des idées honteuses que je m'étais dépêché de les faire voler en éclats. Je n'étais pas si chaste comme elle le disait, juste mal à l'aise avec la proximité. L'endroit qu'elle me décrivit était loin d'être proche si l'on y aller à pied, imaginant des champs de houblon bouger au grès du vent dans un territoire que je ne connaissais pas. Alors comme ça, elle mettait les pieds ou les écailles je devrais dire, du côté de la République? J'avais encore plus le sentiment qu'elle ne faisait pas que cela.
-Totalement, Takhys Suladran. Au moins , je sais à peu près où chercher si jamais il me vient l'envie de danser.
Dis-je sans éprouver rien d'autre qu'un certain plaisir face à cette petite effrontée qui prenait des risques à me dire cela, à moins qu'elle me dupe complétement en inventant l'exact opposé de l'établissement qui lui laissait une moustache blanche de mousse. Bien évidemment, sa revendication était légitime, étant donné que j'avais récupéré mon dû que je m'étais empressé d'enfoncer dans le fond de la poche de mon pantalon. Comme depuis le début, de manière séduisante, elle semblait vouloir me faire une proposition qui me déstabilisa un peu, laissant un silence s'installer pour me laisser le temps de réfléchir avant de lui dire:
-Vous n'avez pas été très sage non plus mais, je ne vois aucune raison de vous retenir ainsi cependant....Je desserrais la corde jusqu'à ce qu'elle tombe entièrement au sol, libérant les poignets de la sirène. J'attrapais doucement la cape la faisant glisser ensuite sur ses épaules craignant qu'elle n'attrape froids et pour cacher sa nudité :-Je préfère laisser cette découverte à l'élu qui pourra les caresser.
Je me levais avec un rire gêné , lui tendant ma main pour l'aider à se relever si elle souhaitait s'aider de la prise que je lui offrais, regardant le sable. Je n'étais pas en chasse d'intrus sur le sol Reikois, estimant qu'il me serait difficile d'accomplir ma mission première m'ayant mené ici. Je l'avais presque oublié comme mon arme au fond de l'eau. Puis cette sirène m'intriguait, assez pour vouloir en apprendre davantage sur elle même si cela devait être remis à plus tard. Je demandais non sans grande curiosité, tentant de rencontrer ses yeux pailletés:
-J'aimerais savoir si votre chant est aussi joli qu'est-ce qu'il est décrit .
Si cela se trouve, elle allait profitait d'être détaché pour tenter quelque chose ou tout simplement fuir. J'espérais au moins obtenir cette réponse ,ébouriffant ma chevelure pour qu'elle finisse de sécher rapidement me demandant si elle avait vu que je portais lorsque j'étais inconscient, le tatouage des gardiens du berceau derrière l'une de mes oreilles.
Cette hypothèse qu'elle me soumetta m'amena à réfléchir, n'ayant encore jamais vu cela sous cet angle précisement. Je pensais faire peur mais au point d'être considéré comme un prédateur comme elle disait. À ses yeux à elle au moins, n'ayant pas pris le risque de me dévoiler sa faction, montrant qu'elle se méfiait de moi. Elle avait raison, quand bien même elle aimait arpenter des contrées seule et côtoyer de prés un inconnu, le danger n'était pas moins présent. Je restais silencieux, souriant lorsqu'elle m'incita à lui poser davantage de questions ,maniant le verbe pour rendre chacune de ses phrases moins innocente. Je ne pus cacher ma surprise quand elle me proposa de lui apprendre quelques pas de danse, préférant rester sur ma réserve ne sachant si elle plaisantait ou non.
-Ne me tentez pas.
Dis-je presque sur un ton de défi, ne rebondissant pas volontairement sur le sujet auquel elle avait préféré rester vague. L'idée d'une danse avec la sirène me paraissait au premier abord assez dangereux mais après tout, tout ce qui s'était passé ne l'avait pas été ? Au moins, durant tout le temps où j'avais dû user d'un certain stratagème pour que je n'ai pas à plonger ma main dans ses formes généreuses, elle s'était tenue tranquille, voyant au combien cela semblait l'amuser, épiant chacun de mes gestes prête à sortir les dents . Lorsque j'eus fini, elle avait tourné la tête vers moi, riant puis me félicitant ma retenu qui n'avait pas été sans peine. Je me mis à rire à mon tour, répondant:
-Je vous remercie mais, c'est seulement parce que je mets un point d'honneur à éviter de plonger les autres de l'embarras et le désagrément.
Peu à l'aise avec les compliments, j 'étais assez gêné pour sentir mes joues se teinter. En plus de cela, il était clair que j'avais eu à quelques reprises, eus des idées honteuses que je m'étais dépêché de les faire voler en éclats. Je n'étais pas si chaste comme elle le disait, juste mal à l'aise avec la proximité. L'endroit qu'elle me décrivit était loin d'être proche si l'on y aller à pied, imaginant des champs de houblon bouger au grès du vent dans un territoire que je ne connaissais pas. Alors comme ça, elle mettait les pieds ou les écailles je devrais dire, du côté de la République? J'avais encore plus le sentiment qu'elle ne faisait pas que cela.
-Totalement, Takhys Suladran. Au moins , je sais à peu près où chercher si jamais il me vient l'envie de danser.
Dis-je sans éprouver rien d'autre qu'un certain plaisir face à cette petite effrontée qui prenait des risques à me dire cela, à moins qu'elle me dupe complétement en inventant l'exact opposé de l'établissement qui lui laissait une moustache blanche de mousse. Bien évidemment, sa revendication était légitime, étant donné que j'avais récupéré mon dû que je m'étais empressé d'enfoncer dans le fond de la poche de mon pantalon. Comme depuis le début, de manière séduisante, elle semblait vouloir me faire une proposition qui me déstabilisa un peu, laissant un silence s'installer pour me laisser le temps de réfléchir avant de lui dire:
-Vous n'avez pas été très sage non plus mais, je ne vois aucune raison de vous retenir ainsi cependant....Je desserrais la corde jusqu'à ce qu'elle tombe entièrement au sol, libérant les poignets de la sirène. J'attrapais doucement la cape la faisant glisser ensuite sur ses épaules craignant qu'elle n'attrape froids et pour cacher sa nudité :-Je préfère laisser cette découverte à l'élu qui pourra les caresser.
Je me levais avec un rire gêné , lui tendant ma main pour l'aider à se relever si elle souhaitait s'aider de la prise que je lui offrais, regardant le sable. Je n'étais pas en chasse d'intrus sur le sol Reikois, estimant qu'il me serait difficile d'accomplir ma mission première m'ayant mené ici. Je l'avais presque oublié comme mon arme au fond de l'eau. Puis cette sirène m'intriguait, assez pour vouloir en apprendre davantage sur elle même si cela devait être remis à plus tard. Je demandais non sans grande curiosité, tentant de rencontrer ses yeux pailletés:
-J'aimerais savoir si votre chant est aussi joli qu'est-ce qu'il est décrit .
Si cela se trouve, elle allait profitait d'être détaché pour tenter quelque chose ou tout simplement fuir. J'espérais au moins obtenir cette réponse ,ébouriffant ma chevelure pour qu'elle finisse de sécher rapidement me demandant si elle avait vu que je portais lorsque j'étais inconscient, le tatouage des gardiens du berceau derrière l'une de mes oreilles.
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Takhys Suladran
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Race: Sirène
Vocation: Mage élémentaliste
Alignement: Chaotique Neutre
Rang: C
Plus la conversation s'étendait, plus Takhys trouvait ce Reikois plus... civilisé que les autres. Oh, elle l'avait remarqué sans vraiment y prêter attention, trop occupée à s'amuser de lui à ses dépens. Maintenant, elle avait tout le loisir d'y accorder un peu plus d'attention. Toujours avec ses lèvres marquées par son sourire enjoué, elle ne perdait pas de vue le Drakyn.
"Justement, très cher, tentez...."Le titilla-t-elle pour voir s'il serait capable de faire sa petite démonstration de danse. Qu'est-ce que cela lui coûterait après tout ? Ou alors, il demeurait méfiant, tout en jouant les hommes sereins. Cette possibilité donnait du mordant à la volonté de la Sirène de pousser un peu plus loin l'affaire. Mais patience est mère de vertu. Elle avait tout son temps.
"Un Reikois qui met un point d'honneur à ne pas me mettre mal à l'aise... Cela est bien une première pour moi. Si je ne m'abuse, bien de vos homologues humains auraient profité de ma légèreté vestimentaire actuelle pour se montrer plus entreprenants, voir pire. Cette forme de courtoisie est propre à votre espèce, ou parce que vous avez reçu une éducation convenable ? "Puis elle rit. "Pour ce qui est de danser dans les champs de houblon, vous saurez, après une petite recherche, où me trouver. Mon nom n'est pas un mystère pour certains terrestres. A moins que vous ne souhaitiez un peu d'aide ? "termina-t-elle en inclinant très légèrement la tête sur le côté.
Après quoi, elle libéra un bon grand rire cristallin, totalement amusée par les propres du Drakyn.
"Qui a dit que j'étais une personne sage ? "Elle frotta passablement ses poignets, pendant que son ancienne proie plaça sa cape sur ses graciles épaules. D'une main, elle tient les pans de tissus et de l'autre, accepta l'aide tendue, en prenant la main de l'homme cornu. Avec grâce et agilité, elle se remit sur ses deux jambes. Ses yeux pétillèrent de malice à la demande d'entendre son Chant de Sirène. Elle passa ses doigts dans sa crinière d'or, les remettant un peu en place avant de répondre.
"Très bien. J'espère que je serai à la hauteur de vos attentes...."
Et elle se mit à user de sa belle voix, sans retenir la force de son Chant.
"Justement, très cher, tentez...."Le titilla-t-elle pour voir s'il serait capable de faire sa petite démonstration de danse. Qu'est-ce que cela lui coûterait après tout ? Ou alors, il demeurait méfiant, tout en jouant les hommes sereins. Cette possibilité donnait du mordant à la volonté de la Sirène de pousser un peu plus loin l'affaire. Mais patience est mère de vertu. Elle avait tout son temps.
"Un Reikois qui met un point d'honneur à ne pas me mettre mal à l'aise... Cela est bien une première pour moi. Si je ne m'abuse, bien de vos homologues humains auraient profité de ma légèreté vestimentaire actuelle pour se montrer plus entreprenants, voir pire. Cette forme de courtoisie est propre à votre espèce, ou parce que vous avez reçu une éducation convenable ? "Puis elle rit. "Pour ce qui est de danser dans les champs de houblon, vous saurez, après une petite recherche, où me trouver. Mon nom n'est pas un mystère pour certains terrestres. A moins que vous ne souhaitiez un peu d'aide ? "termina-t-elle en inclinant très légèrement la tête sur le côté.
Après quoi, elle libéra un bon grand rire cristallin, totalement amusée par les propres du Drakyn.
"Qui a dit que j'étais une personne sage ? "Elle frotta passablement ses poignets, pendant que son ancienne proie plaça sa cape sur ses graciles épaules. D'une main, elle tient les pans de tissus et de l'autre, accepta l'aide tendue, en prenant la main de l'homme cornu. Avec grâce et agilité, elle se remit sur ses deux jambes. Ses yeux pétillèrent de malice à la demande d'entendre son Chant de Sirène. Elle passa ses doigts dans sa crinière d'or, les remettant un peu en place avant de répondre.
"Très bien. J'espère que je serai à la hauteur de vos attentes...."
Et elle se mit à user de sa belle voix, sans retenir la force de son Chant.
- juste pour le fun:
Noble de La République
Arkalys Majalis
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Pourquoi me poussait elle à vouloir danser ? Qu'est-ce que cela lui apporterait ? J'avais de plus en plus de mal à la cerner, y voyant presque comme un défi que je préferais, relever peut-être plus tard, dans un autre lieu. En effet, ainsi peu vêtu, je risquais d'être assez embarrassé, au point de faire des faux pas si je sentais sa peau contre la mienne, sans oublier cet écart de taille qui pourrait vite devenir gênant. Cette pensée fut balayé par des propos portant sur la courtoisie qu'elle ne semblait pas être accoutumé, surtout par les individus peuplant le Reike.
Je ne pouvais la contre dire, bien d'accord que beaucoup d'entre eux avaient des moeurs légères et des paroles graveleuses, surtout avec la gent féminine qu'ils avaient encore du mal à considérer malgré certains changements au sein de l'Empire. Puis, il fallait avouer qu'il leur en fallait peu pour se montrer grossier, alors je n'imaginais pas ce qu'elle avait dû entendre et voir vu sa beauté naturelle et sa voix qui devait être propre aux sirènes. Je hochais ma tête, affirmant.
-Malheureusement ,je crains que vous ayez raison. Je rajoutais après un bref instant pensif:-Je ne pense pas que cela soit propre à mon espèce. Pour ma part,noblesse exige puis...je n'ai jamais considéré les femmes comme étant inférieure.
Je ne savais pas is j'avais bien fait d'avoir dévoilé que je faisais partie de la noblesse, me rassurant moi même en me disant qu'elle l'aurait bien deviné à un moment donné par mes actes et mes paroles. Celles de Takhys me donnèrent presque envie de lui en demander plus, attisant ma curiosité quand elle m'expliqua qu'elle n'était pas si inconnue que cela là aux environs des champs de houblon. Avait-elle un titre ? Un bien qui rassemblait du monde au point qu'elle soit connue ?
-Je préférerais le découvrir par moi même si vous n'y voyez aucun inconvénient.
Trouver les réponses par soi-même était plus gratifiant,tout en gardant une certaine surprise que j'aimais découvrir en temps voulu. J'étais assez patient de nature alors cela ne m'effrayait aucunement si la réponse soit à ma portée que d'ici quelques des lunes . Cela allait être compliqué de trouver une justification pour aller faire un saut dans ce territoire mais cela en valait la peine, j'étais certain. Je me mis à rire doucement quand elle fit allusion qu'elle n'était point sage, me demandante en la voyant toucher ses poignets si je n'avais pas trop serré le lien que j'avais fini par détacher.
À mon grand étonnement, elle voulut bien chanter comme je lui avais demandé. Mais étrangement, je me demandais si je n'avais pas pris trop de risques, me rappelant qu'il pouvait y avoir des effets mais je ne me souvenais plus vraiment lesquels. Je sentais la fatigue peser sur mes épaules, posant ma cape sur les siennes , la tenant avec l'une de ses mains. Elle accepta mon aide et se releva élégamment, comme a chacun de ses gestes, arrangeant rapidement sa chevelure d'or. Encore une fois, son poids m'étonna mais tout le monde sait qu'il ne faut jamais demandé cela à une femme et encore moins son âge. Je remarquais cette lueur dans ses yeux qui avait l'air tout sauf innocent, certain qu'elle ne doutait en aucun cas de ses capacités.
-Je n'ai aucun doute là-dessus.
Dis-je me reculant un peu, pour avoir de nouveau cette zone de confort puis une distance appréciable afin de réagir selon ce qu'elle comptait manigancer. Mes cyans la fixèrent intensément, encore plus lorsqu'elle commença à chanter, croisant les bras sur mon torse. D'abords,je fus impressionné par la délicatesse de cette voix, de ces notes qui semblaient presque irréelles. Chaque syllabe qu'elle prononçait était une mélodie qui me faisait vibrer, m'envoutant chaque seconde en peu plus, sans que je m'en aperçoive ou,parce que je ne pouvais me résoudre à lutter face à ce qui n'avait pas d'arme. N'arrivant à détacher mes yeux de ses lèvres qui décrivaient une sirène à son image,je me laissais emporté par son timbre de voix qui accaparait mon attention plus que de raison.Mes bras tombaient lentement le long de mon corps comme cette méfiance.
-...
Je voulus lui dire a quel point c'était magnifique mais aucun son ne put sortir, ne voulant écouter ma voix qui me faisait honte à ce moment précis, au point de vouloir de rester muet. Je me contentais de la regarder, fixant ses orbes pailletés lui suppliant intérieurement de continuer à chanter. J'eus l'impression que tout ce que j'avais pu entendre auparavant n'était en fait des chants d'amateurs comparés à ce que Takhys m'offrait.
Je ne pouvais la contre dire, bien d'accord que beaucoup d'entre eux avaient des moeurs légères et des paroles graveleuses, surtout avec la gent féminine qu'ils avaient encore du mal à considérer malgré certains changements au sein de l'Empire. Puis, il fallait avouer qu'il leur en fallait peu pour se montrer grossier, alors je n'imaginais pas ce qu'elle avait dû entendre et voir vu sa beauté naturelle et sa voix qui devait être propre aux sirènes. Je hochais ma tête, affirmant.
-Malheureusement ,je crains que vous ayez raison. Je rajoutais après un bref instant pensif:-Je ne pense pas que cela soit propre à mon espèce. Pour ma part,noblesse exige puis...je n'ai jamais considéré les femmes comme étant inférieure.
Je ne savais pas is j'avais bien fait d'avoir dévoilé que je faisais partie de la noblesse, me rassurant moi même en me disant qu'elle l'aurait bien deviné à un moment donné par mes actes et mes paroles. Celles de Takhys me donnèrent presque envie de lui en demander plus, attisant ma curiosité quand elle m'expliqua qu'elle n'était pas si inconnue que cela là aux environs des champs de houblon. Avait-elle un titre ? Un bien qui rassemblait du monde au point qu'elle soit connue ?
-Je préférerais le découvrir par moi même si vous n'y voyez aucun inconvénient.
Trouver les réponses par soi-même était plus gratifiant,tout en gardant une certaine surprise que j'aimais découvrir en temps voulu. J'étais assez patient de nature alors cela ne m'effrayait aucunement si la réponse soit à ma portée que d'ici quelques des lunes . Cela allait être compliqué de trouver une justification pour aller faire un saut dans ce territoire mais cela en valait la peine, j'étais certain. Je me mis à rire doucement quand elle fit allusion qu'elle n'était point sage, me demandante en la voyant toucher ses poignets si je n'avais pas trop serré le lien que j'avais fini par détacher.
À mon grand étonnement, elle voulut bien chanter comme je lui avais demandé. Mais étrangement, je me demandais si je n'avais pas pris trop de risques, me rappelant qu'il pouvait y avoir des effets mais je ne me souvenais plus vraiment lesquels. Je sentais la fatigue peser sur mes épaules, posant ma cape sur les siennes , la tenant avec l'une de ses mains. Elle accepta mon aide et se releva élégamment, comme a chacun de ses gestes, arrangeant rapidement sa chevelure d'or. Encore une fois, son poids m'étonna mais tout le monde sait qu'il ne faut jamais demandé cela à une femme et encore moins son âge. Je remarquais cette lueur dans ses yeux qui avait l'air tout sauf innocent, certain qu'elle ne doutait en aucun cas de ses capacités.
-Je n'ai aucun doute là-dessus.
Dis-je me reculant un peu, pour avoir de nouveau cette zone de confort puis une distance appréciable afin de réagir selon ce qu'elle comptait manigancer. Mes cyans la fixèrent intensément, encore plus lorsqu'elle commença à chanter, croisant les bras sur mon torse. D'abords,je fus impressionné par la délicatesse de cette voix, de ces notes qui semblaient presque irréelles. Chaque syllabe qu'elle prononçait était une mélodie qui me faisait vibrer, m'envoutant chaque seconde en peu plus, sans que je m'en aperçoive ou,parce que je ne pouvais me résoudre à lutter face à ce qui n'avait pas d'arme. N'arrivant à détacher mes yeux de ses lèvres qui décrivaient une sirène à son image,je me laissais emporté par son timbre de voix qui accaparait mon attention plus que de raison.Mes bras tombaient lentement le long de mon corps comme cette méfiance.
-...
Je voulus lui dire a quel point c'était magnifique mais aucun son ne put sortir, ne voulant écouter ma voix qui me faisait honte à ce moment précis, au point de vouloir de rester muet. Je me contentais de la regarder, fixant ses orbes pailletés lui suppliant intérieurement de continuer à chanter. J'eus l'impression que tout ce que j'avais pu entendre auparavant n'était en fait des chants d'amateurs comparés à ce que Takhys m'offrait.
- Lancè de dès::
- Echec lors du lancé de dès, Arka est envouté par la chant de Takhys* Au secours !!!*
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La Chaleureuse Noyeuse
Takhys Suladran
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Race: Sirène
Vocation: Mage élémentaliste
Alignement: Chaotique Neutre
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Le malheureux Drakyn aurait bien du mal à cerner la Sirène, qui avait l'esprit aussi changeant qu'un banc de poissons denses qui se mouvait au moindre sursaut du courant, à la moindre variation de pression, pour offrir un ballet tant magnifique qu'effrayant. Il peinait à la cerner alors qu'elle avait manqué de le noyer pour son simple amusement. Ce serait plutôt à Takhys de songer que le terrestre écailleux n'était guère évident à comprendre. Une autre proie aérienne aurait profité de se retrouver sur la terre ferme pour prendre ses jambes à son cou et fuir la créature aquatique. Mais là, non, Arkanon restait et conversait avec elle. Bah, tant mieux dans un sens, pour l'Aquarienne, non ?
"Noblesse oblige ? Noblesse de titre ou noblesse de cœur, très cher ? "dit-elle simplement, laissant ses doigts tenir la couverture contre elle, toujours dissimulant sa nudité. "Noble de cœur dans votre cas, alors. Même les prétendus nobles de la société reikois considèrent en majorité les femmes comme inférieures. Après, il faut voir ce que vous appelez une femme. Moi, je suis une Sirène, une autre espèce. Est-ce équivalent ou différent à vos yeux ? "termina-t-elle avant de rire comme tantôt, avec un timbre cristallin. La question avait le mérite d'être intéressante.
Puis, elle se contenta de sourire quand le Drakyn privilégia la recherche personnelle pour la retrouver, quand bien même, il viendrait en République. Il serait amusant de le voir un jour franchir le pas de la porte de sa petite taverne.
Quand elle répondit à l'attente du Drakyn, sa voix envoutante, portée par la magie de son Chant, commençait à faire son effet. Elle s'était attendue à plus de résistance de la part du Drakyn, mais de voir qu'il fondait déjà ses paroles captivantes la faisait déjà jubiler. Il était pris dans sa nasse musicale, au point d'en avoir les bras ballants. Il était désormais sous son charme ; il était de nouveau tout à elle ; Contrairement à ce qui avait pu se passer sous la surface, là, il était bien à elle. Avec son Chant, elle pouvait à présent faire ce que bon lui semblait avec lui.
Toujours en chantant, tenant d'une main la couverture, elle se rapprocha du Drakyn, passa le bout de ses doigts sur le haut de l'épaule du Reikois, l'effleurant dans une bien étrange délicatesse, avant de faire le tour de sa personne, toujours avec un sourire enjôleur à ses lèvres.
"Libérée du corset, la nudité en lumière,
Mais voilà le temps de dissimuler, de se taire.
Tissu mystérieux, cache la peau nue,
L'art de se voiler, en élégance revue.
Voile subtil, danse autour, délicat,
Protège l'intime, dans un raffinement éclat.
Dans les plis du secret, beauté préservée,
Une élégance retrouvée, subtile et bien-née..."
Arkanon ne pourrait guère résister à cela, maintenant qu'il était pris dans les mailles chantantes de la Sirène, qui continuera de chanter jusqu'à ce qu'il vienne prendre le corset. À peine l'aura-t-il en main qu'elle lui fera face, toute souriante, les cheveux d'or cascadant derrière ses épaules, abaissant dans une lente douceur, et toujours en chantant ; la couverture jusqu'à sa taille pour libérer son généreux buste. Elle n'aura qu'à se tourner pour offrir son dos nu à la peau délicate, pour qu'il puisse lasser le dit-corset. Bien entendu, toujours en s'exprimant en mélodie, elle en profitera pour se coller contre lui…
"Noblesse oblige ? Noblesse de titre ou noblesse de cœur, très cher ? "dit-elle simplement, laissant ses doigts tenir la couverture contre elle, toujours dissimulant sa nudité. "Noble de cœur dans votre cas, alors. Même les prétendus nobles de la société reikois considèrent en majorité les femmes comme inférieures. Après, il faut voir ce que vous appelez une femme. Moi, je suis une Sirène, une autre espèce. Est-ce équivalent ou différent à vos yeux ? "termina-t-elle avant de rire comme tantôt, avec un timbre cristallin. La question avait le mérite d'être intéressante.
Puis, elle se contenta de sourire quand le Drakyn privilégia la recherche personnelle pour la retrouver, quand bien même, il viendrait en République. Il serait amusant de le voir un jour franchir le pas de la porte de sa petite taverne.
Quand elle répondit à l'attente du Drakyn, sa voix envoutante, portée par la magie de son Chant, commençait à faire son effet. Elle s'était attendue à plus de résistance de la part du Drakyn, mais de voir qu'il fondait déjà ses paroles captivantes la faisait déjà jubiler. Il était pris dans sa nasse musicale, au point d'en avoir les bras ballants. Il était désormais sous son charme ; il était de nouveau tout à elle ; Contrairement à ce qui avait pu se passer sous la surface, là, il était bien à elle. Avec son Chant, elle pouvait à présent faire ce que bon lui semblait avec lui.
Toujours en chantant, tenant d'une main la couverture, elle se rapprocha du Drakyn, passa le bout de ses doigts sur le haut de l'épaule du Reikois, l'effleurant dans une bien étrange délicatesse, avant de faire le tour de sa personne, toujours avec un sourire enjôleur à ses lèvres.
- Spoiler:
"Libérée du corset, la nudité en lumière,
Mais voilà le temps de dissimuler, de se taire.
Tissu mystérieux, cache la peau nue,
L'art de se voiler, en élégance revue.
Voile subtil, danse autour, délicat,
Protège l'intime, dans un raffinement éclat.
Dans les plis du secret, beauté préservée,
Une élégance retrouvée, subtile et bien-née..."
Arkanon ne pourrait guère résister à cela, maintenant qu'il était pris dans les mailles chantantes de la Sirène, qui continuera de chanter jusqu'à ce qu'il vienne prendre le corset. À peine l'aura-t-il en main qu'elle lui fera face, toute souriante, les cheveux d'or cascadant derrière ses épaules, abaissant dans une lente douceur, et toujours en chantant ; la couverture jusqu'à sa taille pour libérer son généreux buste. Elle n'aura qu'à se tourner pour offrir son dos nu à la peau délicate, pour qu'il puisse lasser le dit-corset. Bien entendu, toujours en s'exprimant en mélodie, elle en profitera pour se coller contre lui…
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Arkalys Majalis
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Captivé par son chant dès les premiers instants, je ne sentis plus le sable sous mes pieds, ni le zéphyr qui avait caressé mes écailles jusqu'a les sécher. Je la fixais, m'imprégnant de cette poésie , suivant les lignes de sa silhouette à mesure qu'elle les décrivait. Je ne me rendis pas compte qu'elle se rapprochait doucement de moi ,jusqu'à ce que ses doigts effleurent mon épaule, sans que cela ne me sorte de ma torpeur. Mon corps se crispa instinctivement, sans pouvoir bouger non plus, alors qu'aucune douleur n'était présente au contraire.
Pris dans ce tumulte lié à une gêne, je sentis qu'il fallait que j'aille chercher ce que je lui avais retiré plus tôt. Alors comme partiellement délivrée de cette immobilité, j'allais satisfaire ce qui m'avait été soufflé,attrapant le corset qui avait été délaissé. Lorsque je me retournais, je fus surpris de la voir face à moi, plus encore qu'elle laisse glisser ma cape doucement pour qu'elle abandonne ses épaules et plus encore. Je ne pus détacher mon regard cette longue descente, ses charmes se dévoilant sans que je ne puisse m'interdire cette pensée, celle qu'ils devaient être d'une douceur à la hauteur de leur beauté. Puis une autre vint,celle qu'elle ferait un magnifique modèle pour une figure de proue pour un navire qui comme elle, côtoyait les eaux.
J'imaginais encore un peu ce bateau avant que mes yeux ne regagnent le tissu qui finit son chemin à ses hanches. Il me fallut quelques secondes pour me recentrer,tandis qu'elle se retournait, m'offrant son dos pour pouvoir poser sur elle le seul habit que j'avais ramassé lui appartenant. Je ne compris pas pourquoi j'avais eu cette facilité à le faire sans toutefois empêcher les rougeurs d'apparaitre sur mon visage.Ou je ne voulais pas le savoir en réalité, à la fois confus et ne pouvant m'empêcher de vouloir profiter de ces mélodies qui s'échappaient de ses lèvres.
Une fois que le corset épousa ses formes,non sans que je retienne mon souffle par cette proximité,j'usais de ma dextre pour de nouveau, prendre avec douceur sa cascade dorée. Je la fis glisser vers l'avant, devinant qu'il m'empêcherait d'effectuer ce qu'elle m'avait demandé, indirectement. J'entrepris de lacer avec toute la délicatesse que je pouvais faire preuve , faisant bien attention à ne pas trop serrer alors que l'aquarienne elle,fit exactement le contraire. Je sentis son corps se coller à moi, me faisant perdre le fil plus d'une fois ,embarrassé au point de lui demander non sans difficulté, dans un murmure à peine audible pour ne pas briser son chant, les joues en feu:
-Ne vous approchez pas comme ça...je ne vais pas y... arriver...
Je tentais de balayer ces images,ces sensations que j'espérais que les astres sauraient me pardonner en me focalisant sur ma tâche, ou presque. À maintes reprises, je dus poser l'une de mes mains sur son flanc, afin de retrouver un peu de distance pour continuer mon oeuvre,sentant le parfum de ses cheveux, qui n'était autre que celui du milieu aquatique où je l'avais rencontré. Je parvins non sans mal à terminer, posant mes mains sur ce qui lui servait de robe, étant dans l'incapacité à m'échapper, tant le chant était envoutant.
Je rapprochais deux extrémités pour former un noeud que je serrais fermement, afin qu'elle n'ait plus besoin de tenir la cape qui recouvrait cette zone que je préférai qu'elle reste cachée. Je posais ensuite mes doigts sur ses épaules nues,longeant lentement ses bras jusqu'à attraper ses phalanges,si petites et fragiles comparé aux miennes. Je fis cela dans un but bien précis, trouvant la force dans la gène que ne pus cacher et ignorer plus longtemps. Cela semblait être la seule échappatoire face à cette pudeur qui m'étreignait,si tentait qu'elle accepte ce que j'allais tenter.
Je commençais à faire un pas sur le côté, revenant à ma position initiale pour recommencer, l'invitant ainsi à prendre part à la danse, celle qu'elle m'avait incitée à faire à plusieurs reprises. Allait-elle vouloir m'accompagner ou m'ordonner de cesser ? Prenant le rythme qu'elle chantait, je continuais, levant mon bras avec des gestes précis montrant mon aisance dans ce domaine, la faisant pivoter élégamment tout en soulevant sa crinière de blé, afin qu'elle se retrouve face à moi. Je sondais ses traits pour deviner la suite alors que jusqu'ici, je ne pus rien anticiper. Je me rappelais alors qu'elle m'avait posé une question sans vraiment me laisser le temps d'y répondre. A voix basse, je lui donnais cette réponse simple et sincère:
-Que vous puissiez respirer sous l'eau ou non, toutes celles foulant les terres du Sekai méritent notre respect et plus encore.
Pris dans ce tumulte lié à une gêne, je sentis qu'il fallait que j'aille chercher ce que je lui avais retiré plus tôt. Alors comme partiellement délivrée de cette immobilité, j'allais satisfaire ce qui m'avait été soufflé,attrapant le corset qui avait été délaissé. Lorsque je me retournais, je fus surpris de la voir face à moi, plus encore qu'elle laisse glisser ma cape doucement pour qu'elle abandonne ses épaules et plus encore. Je ne pus détacher mon regard cette longue descente, ses charmes se dévoilant sans que je ne puisse m'interdire cette pensée, celle qu'ils devaient être d'une douceur à la hauteur de leur beauté. Puis une autre vint,celle qu'elle ferait un magnifique modèle pour une figure de proue pour un navire qui comme elle, côtoyait les eaux.
J'imaginais encore un peu ce bateau avant que mes yeux ne regagnent le tissu qui finit son chemin à ses hanches. Il me fallut quelques secondes pour me recentrer,tandis qu'elle se retournait, m'offrant son dos pour pouvoir poser sur elle le seul habit que j'avais ramassé lui appartenant. Je ne compris pas pourquoi j'avais eu cette facilité à le faire sans toutefois empêcher les rougeurs d'apparaitre sur mon visage.Ou je ne voulais pas le savoir en réalité, à la fois confus et ne pouvant m'empêcher de vouloir profiter de ces mélodies qui s'échappaient de ses lèvres.
Une fois que le corset épousa ses formes,non sans que je retienne mon souffle par cette proximité,j'usais de ma dextre pour de nouveau, prendre avec douceur sa cascade dorée. Je la fis glisser vers l'avant, devinant qu'il m'empêcherait d'effectuer ce qu'elle m'avait demandé, indirectement. J'entrepris de lacer avec toute la délicatesse que je pouvais faire preuve , faisant bien attention à ne pas trop serrer alors que l'aquarienne elle,fit exactement le contraire. Je sentis son corps se coller à moi, me faisant perdre le fil plus d'une fois ,embarrassé au point de lui demander non sans difficulté, dans un murmure à peine audible pour ne pas briser son chant, les joues en feu:
-Ne vous approchez pas comme ça...je ne vais pas y... arriver...
Je tentais de balayer ces images,ces sensations que j'espérais que les astres sauraient me pardonner en me focalisant sur ma tâche, ou presque. À maintes reprises, je dus poser l'une de mes mains sur son flanc, afin de retrouver un peu de distance pour continuer mon oeuvre,sentant le parfum de ses cheveux, qui n'était autre que celui du milieu aquatique où je l'avais rencontré. Je parvins non sans mal à terminer, posant mes mains sur ce qui lui servait de robe, étant dans l'incapacité à m'échapper, tant le chant était envoutant.
Je rapprochais deux extrémités pour former un noeud que je serrais fermement, afin qu'elle n'ait plus besoin de tenir la cape qui recouvrait cette zone que je préférai qu'elle reste cachée. Je posais ensuite mes doigts sur ses épaules nues,longeant lentement ses bras jusqu'à attraper ses phalanges,si petites et fragiles comparé aux miennes. Je fis cela dans un but bien précis, trouvant la force dans la gène que ne pus cacher et ignorer plus longtemps. Cela semblait être la seule échappatoire face à cette pudeur qui m'étreignait,si tentait qu'elle accepte ce que j'allais tenter.
Je commençais à faire un pas sur le côté, revenant à ma position initiale pour recommencer, l'invitant ainsi à prendre part à la danse, celle qu'elle m'avait incitée à faire à plusieurs reprises. Allait-elle vouloir m'accompagner ou m'ordonner de cesser ? Prenant le rythme qu'elle chantait, je continuais, levant mon bras avec des gestes précis montrant mon aisance dans ce domaine, la faisant pivoter élégamment tout en soulevant sa crinière de blé, afin qu'elle se retrouve face à moi. Je sondais ses traits pour deviner la suite alors que jusqu'ici, je ne pus rien anticiper. Je me rappelais alors qu'elle m'avait posé une question sans vraiment me laisser le temps d'y répondre. A voix basse, je lui donnais cette réponse simple et sincère:
-Que vous puissiez respirer sous l'eau ou non, toutes celles foulant les terres du Sekai méritent notre respect et plus encore.
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Le Chant de la Sirène vibrait dans l'air, douce, mélodieuse... envoûtante. Le Drakyn n'émit guère de résistance face aux sons qui sortaient d'entre les lèvres de la prédatrice aquatique devenue femme ; elle le dévoilait pleinement. Collant son corps contre celui du Drakyn, le malheureux peinait à terminer de nouer le corset, ne pouvant échapper à l'injonction chantée qui parvenait à ses oreilles. Pourtant, il y avait bien une petite résistance. Son "habilleur" fut gêné par la proximité voulue de la chanteuse et l'exprima en un léger murmure. D'ordinaire, ses proies totalement emprisonnées dans ses filets vocaux ne s'exprimaient guère. Voilà quelque chose qu'elle ne devrait pas négliger si elle venait à recroiser un Drakyn. Si le reikois écailleux arrivait à un poil tenir bon face à sa magie, après avoir été malmené à ses soins sous les flots, il serait possiblement capable d'éprouver plus de résistance... Heureusement qu'elle l'avait épuisé... ou pas assez visiblement. Son sourire demeura bien présent à son visage, que le terrestre ne put guère voir pour l'instant, terminant sa tâche.
"Voyons... vous saurez bien y arriver malgré ma proximité..."murmura-t-elle à son tour.
Le malheureux ne pouvait que faire avec de toute façon, réussissant à avoir l'espace nécessaire pour terminer de lacer les derniers fins liens du corset. Après, avec une belle délicatesse, l'aérien à demi-reptilien passa ses mains calleuses sur les frêles épaules dénudées de la Sirène après avoir terminé son ouvrage de nouage. Lentement, il descendit ses doigts le long des bras, pour glisser ses doigts épais et longs entre ceux fins et fragiles de la jeune femme. Elle le laissa faire, tout en continuant d'offrir sa voix enchanteresse à ses oreilles. Elle était curieuse de voir sa petite prise d'initiative, alors qu'il avait terminé d'accomplir la première volonté de l'Aquarienne.
D'un pas, il se mit à ses côtés, ses doigts entremêlés dans les siens. Elle tourna légèrement sa tête dans sa direction et se retint de sourire de ravissement en le voyant désappointé, le rouge marquant ses joues. Il était bien sensible pour un Drakyn reikois. Bon ! Que voulait-il donc faire ? Ah ! Il voulait danser. Elle ne refusa pas l'invitation et se mit à suivre ses déplacements pendant qu'il la guidait. N'avait-elle pas souhaité qu'il lui fasse la démonstration de ses talents ? Malgré le sable qui chatouillait le dessous de ses pieds nus, elle essaya de se montrer souple et agile pour répondre à la chorégraphie qu'avait entamée son partenaire du moment. Et elle le trouva doué. Bien sûr, il était aisé de dire qu'un tiers était plus compétent dans un certain domaine quand elle-même n'était pas vraiment expérimentée. Danser, elle savait, mais pas de quoi tenir durant une fête mondaine. Donc, elle fit au mieux. Elle se permit de tendre son Chant vers une note plus amusée quand Arkanon en vint à parler de respect à avoir pour toutes les femmes du Sekaï entier, qu'elles soient marines ou terrestres.
"Si vos paroles, telles lois, régnaient en ce monde,
Quelle danse étrange alors notre destin féconde.
Je m'étonne de votre respect, insensé, infini,
Malgré mes jeux cruels, où je vous ai surpris.
J'ai manqué de vous noyer dans mes eaux troubles,
De vous dévorer, de vous perdre dans mes doubles.
Pourtant, votre maintien, admirable et solennel,
Résiste à mes assauts, à mon jeu cruel.
Dans cette étrange danse où nos vies se mêlent,
Votre présence éclaire, votre énigme révèle."
Et lentement, toujours en maintenant son doux chant, elle se rapprocha plus du Drakyn. Par ses mots mélodieux, elle exigea de lui qu'il s'abaisse, pour avoir ses lèvres à portée des siennes. Quand cela fut fait, elle alla à leur rencontre, jouant la passion d'une damoiselle avide de découvrir la saveur du baiser de son héros du jour. Et forcément, dans ce petit jeu-là, le Chant cessa.
"Voyons... vous saurez bien y arriver malgré ma proximité..."murmura-t-elle à son tour.
Le malheureux ne pouvait que faire avec de toute façon, réussissant à avoir l'espace nécessaire pour terminer de lacer les derniers fins liens du corset. Après, avec une belle délicatesse, l'aérien à demi-reptilien passa ses mains calleuses sur les frêles épaules dénudées de la Sirène après avoir terminé son ouvrage de nouage. Lentement, il descendit ses doigts le long des bras, pour glisser ses doigts épais et longs entre ceux fins et fragiles de la jeune femme. Elle le laissa faire, tout en continuant d'offrir sa voix enchanteresse à ses oreilles. Elle était curieuse de voir sa petite prise d'initiative, alors qu'il avait terminé d'accomplir la première volonté de l'Aquarienne.
D'un pas, il se mit à ses côtés, ses doigts entremêlés dans les siens. Elle tourna légèrement sa tête dans sa direction et se retint de sourire de ravissement en le voyant désappointé, le rouge marquant ses joues. Il était bien sensible pour un Drakyn reikois. Bon ! Que voulait-il donc faire ? Ah ! Il voulait danser. Elle ne refusa pas l'invitation et se mit à suivre ses déplacements pendant qu'il la guidait. N'avait-elle pas souhaité qu'il lui fasse la démonstration de ses talents ? Malgré le sable qui chatouillait le dessous de ses pieds nus, elle essaya de se montrer souple et agile pour répondre à la chorégraphie qu'avait entamée son partenaire du moment. Et elle le trouva doué. Bien sûr, il était aisé de dire qu'un tiers était plus compétent dans un certain domaine quand elle-même n'était pas vraiment expérimentée. Danser, elle savait, mais pas de quoi tenir durant une fête mondaine. Donc, elle fit au mieux. Elle se permit de tendre son Chant vers une note plus amusée quand Arkanon en vint à parler de respect à avoir pour toutes les femmes du Sekaï entier, qu'elles soient marines ou terrestres.
"Si vos paroles, telles lois, régnaient en ce monde,
Quelle danse étrange alors notre destin féconde.
Je m'étonne de votre respect, insensé, infini,
Malgré mes jeux cruels, où je vous ai surpris.
J'ai manqué de vous noyer dans mes eaux troubles,
De vous dévorer, de vous perdre dans mes doubles.
Pourtant, votre maintien, admirable et solennel,
Résiste à mes assauts, à mon jeu cruel.
Dans cette étrange danse où nos vies se mêlent,
Votre présence éclaire, votre énigme révèle."
Et lentement, toujours en maintenant son doux chant, elle se rapprocha plus du Drakyn. Par ses mots mélodieux, elle exigea de lui qu'il s'abaisse, pour avoir ses lèvres à portée des siennes. Quand cela fut fait, elle alla à leur rencontre, jouant la passion d'une damoiselle avide de découvrir la saveur du baiser de son héros du jour. Et forcément, dans ce petit jeu-là, le Chant cessa.
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