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Neera Storm
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Xera
Ayshara Ryssen
Le Boucher
Lucifer
Cendre
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Stadzank
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Isolde Malkyn
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L'Âme des Cendres
PNJ
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Un portefeuille de la taille d’un parpaing, avec les initiales "M.G." dessus. Je regarde à l’intérieur et eh ! C’est qu’il est rempli de fric ! Ouais, bon, en temps d’apocalypse zombie, l’or ne vaut plus comme monnaie d’échange… mis à part avec les avares. Du coup, je vais le garder, hein.
Mis à part ça, je n’ai rien trouvé d’autre. Au moins, je ne suis pas à poil…
Je me demande dans quel trou paumé je suis. Pas de carte, pas de boussole, juste mon expérience et ma jugeote pour trouver le bon chemin. D’abord, j’écoute autour de moi. Le moindre bruit, comme un bruissement ou une traînée de boue peuvent annoncer le pire. En parlant de boue, étant donné que je n’ai aucune idée de comment un machin en reconnaît un autre et ne lui saute pas dessus pour le bouffer, je m’en tartine la peau depuis des lunes. Certains voient, enfin… je crois, donc logique qu’ils nous courent après. Pour les autres, j’ai toujours imaginé qu’ils se repéraient aux sons et à l’odeur. La chair fraîche, ça ne doit plus courir les rues, ou plutôt les bois. Donc grosso merdo, mon seul soucis, c’est celui de faire le moins de bruit possible. Facile, hein, quand le sol est recouvert de feuilles mortes et de brindilles qui craquent ?
Ça fait plus d’une heure que je marche, je ne vois pas le temps passer parce que j’imagine tous les scénarios possibles dans lesquels je clamse à l’avenir. Des fois, j’ai envie de mourir parce que putain, ce que j’ai la flemme de traverser encore ce genre de conneries… QUI voudrait vivre ça ? Eleanor doit bien se foutre de ma gueule depuis l’autre côté. Cette garce.
Bref, je chasse ce genre de pensées en même temps que la branche devant moi et je tombe sur le truc le plus improbable dans cette histoire. Deux. Putains. D’auberges. Sans déc’ ?
Je suis déjà tombée dans un guet-apens, genre quelques heures auparavant. Ça ne risque pas de se produire à nouveau. Si j’avais su que je devais me méfier autant des vivants que des morts, les petits crétins qui m’ont pendue par les pieds auraient fini à la casserole. Aaaaaah parce que oui, maintenant que j’y pense. Le monde a commencé à devenir drôle depuis que j’ai bouffé une fae. Ben quoi ? J’avais pas mangé depuis trois jours, j’allais pas faire la difficile.
Je reste à l’écart et j’observe ce qu’il se passe, tapie dans l’ombre de la forêt. Mes sens sont en alerte. Je crois que je commence à avoir envie de pisser.
Mis à part ça, je n’ai rien trouvé d’autre. Au moins, je ne suis pas à poil…
Je me demande dans quel trou paumé je suis. Pas de carte, pas de boussole, juste mon expérience et ma jugeote pour trouver le bon chemin. D’abord, j’écoute autour de moi. Le moindre bruit, comme un bruissement ou une traînée de boue peuvent annoncer le pire. En parlant de boue, étant donné que je n’ai aucune idée de comment un machin en reconnaît un autre et ne lui saute pas dessus pour le bouffer, je m’en tartine la peau depuis des lunes. Certains voient, enfin… je crois, donc logique qu’ils nous courent après. Pour les autres, j’ai toujours imaginé qu’ils se repéraient aux sons et à l’odeur. La chair fraîche, ça ne doit plus courir les rues, ou plutôt les bois. Donc grosso merdo, mon seul soucis, c’est celui de faire le moins de bruit possible. Facile, hein, quand le sol est recouvert de feuilles mortes et de brindilles qui craquent ?
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Ça fait plus d’une heure que je marche, je ne vois pas le temps passer parce que j’imagine tous les scénarios possibles dans lesquels je clamse à l’avenir. Des fois, j’ai envie de mourir parce que putain, ce que j’ai la flemme de traverser encore ce genre de conneries… QUI voudrait vivre ça ? Eleanor doit bien se foutre de ma gueule depuis l’autre côté. Cette garce.
Bref, je chasse ce genre de pensées en même temps que la branche devant moi et je tombe sur le truc le plus improbable dans cette histoire. Deux. Putains. D’auberges. Sans déc’ ?
Je suis déjà tombée dans un guet-apens, genre quelques heures auparavant. Ça ne risque pas de se produire à nouveau. Si j’avais su que je devais me méfier autant des vivants que des morts, les petits crétins qui m’ont pendue par les pieds auraient fini à la casserole. Aaaaaah parce que oui, maintenant que j’y pense. Le monde a commencé à devenir drôle depuis que j’ai bouffé une fae. Ben quoi ? J’avais pas mangé depuis trois jours, j’allais pas faire la difficile.
Je reste à l’écart et j’observe ce qu’il se passe, tapie dans l’ombre de la forêt. Mes sens sont en alerte. Je crois que je commence à avoir envie de pisser.
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Stadzank
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Race: Gobelin
Vocation: Guerrier assassin
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Ouh ça picote... Son pied lui faisait horriblement mal, le gobelin avait été puni d'avoir donné un coup de pied au hasard et il s'en mordait les doigts, quoique. Lorsqu'il regarda la cause de sa douleur, il fut immédiatement intrigué par la petite boîte métallique : un trésor ? Encore mieux une boîte à biscuits ? L'ouverture de cette boîte le laissa un peu dubitatif : une aiguille, du fil, des bandages, plusieurs petits pots avec une sorte d'onguent qui pue dedans et une petite fiole d'alcool. L'assassin était un peu déçu, son ventre criait famine et ce "kit" ne lui servirait à rien s'il n'avait personne pour le soigner... Enfin si on pouvait réellement soigner une blessure causée par un zombie ?
Le petit homme vert continua ensuite tranquillement son périple à travers la forêt sans entendre le moindre bruit suspect et s'autorisa quelques séances de ramassage : champignons, baies sauvages, châtaignes et un peu des racines. Toutes ces petites trouvailles lui donna du baume au cœur et il se mit même à fredonner une petite comptine revisitée à la sauce apocalypse :
Promenons-nous dans les bois,
Pendant que le zombie n'y est pas,
Si le zombie y é-tait,
il nous man-ge-rait,
Mais comme il n'y est pas,
Il nous man-gera pas !
Alors qu'il prospectait à ce qui ressemblait à un bon petit coin à champignon, l'ex assassin impérial tomba sur une petite cabane de bûcheron : voilà un coin idéal pour passer la nuit au sec et pour se faire un petit feu pour se réchauffer, voir un petit bouillon en utilisant la petite caisse métallique comme casserole ! Cependant, des bruits à l'intérieur de la maisonnette l'empêcha d'ouvrir la porte... Et si c'était un zombie ? Mais ça pouvait aussi être un autre survivant... De toute façon, il était à un point où il préférait mourir maintenant plutôt que d'une lente agonie provoquée par la faim et le froid.
Toc, toc, toc.
Y a quelqu'un qui mange aut'chose que d'la chair de gobelin là-dedans ?
Le petit homme vert continua ensuite tranquillement son périple à travers la forêt sans entendre le moindre bruit suspect et s'autorisa quelques séances de ramassage : champignons, baies sauvages, châtaignes et un peu des racines. Toutes ces petites trouvailles lui donna du baume au cœur et il se mit même à fredonner une petite comptine revisitée à la sauce apocalypse :
Promenons-nous dans les bois,
Pendant que le zombie n'y est pas,
Si le zombie y é-tait,
il nous man-ge-rait,
Mais comme il n'y est pas,
Il nous man-gera pas !
Alors qu'il prospectait à ce qui ressemblait à un bon petit coin à champignon, l'ex assassin impérial tomba sur une petite cabane de bûcheron : voilà un coin idéal pour passer la nuit au sec et pour se faire un petit feu pour se réchauffer, voir un petit bouillon en utilisant la petite caisse métallique comme casserole ! Cependant, des bruits à l'intérieur de la maisonnette l'empêcha d'ouvrir la porte... Et si c'était un zombie ? Mais ça pouvait aussi être un autre survivant... De toute façon, il était à un point où il préférait mourir maintenant plutôt que d'une lente agonie provoquée par la faim et le froid.
Toc, toc, toc.
Y a quelqu'un qui mange aut'chose que d'la chair de gobelin là-dedans ?
La Danse-Mort
Isolde Malkyn
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L'apocalypse zombie
Animation Halloween
En fouillant les alentours dans l’espoir de trouver une arme pour tuer une de ces immondes créatures, Isolde tomba sur un livre. Et pas n’importe lequel, un guide de survie, rédigé par le fils de la Présidente de la République. Rien que ça ! L’idée la fit sourire. Pourtant, rien ne semblait drôle dans cet univers sombre. Mais il fallait bien avouer que la situation penchait vers le grotesque. Soit, à défaut de pouvoir s’armer utilement, autant essayer de s’instruire. La brune ouvrit le guide et s’abreuva de tous les points essentiels qu’il pouvait contenir. Après tout, il s’agissait d’un guide de survie et à cet instant, c’était tout ce à quoi consistait son existence. Survivre. Puis, au pire des cas, elle pourrait toujours le balancer de toutes ses forces à la tête du premier zombie qu’elle croisait. Avec un peu de chance, cela pouvait toujours fonctionner.
Isolde prit l’initiative de changer d’endroit, il fallait bouger pour survivre, chercher de la nourriture où elle se trouvait. Puis, elle aurait apprécié également trouver un véritable abri. Parce que les débris, les branches de bois et les tas de feuilles, elle commençait à s’en lasser ! Armée de son stupéfiant guide de survie, la jeune Malkyn s’aventura alors dans la forêt. Elle entendit des voix, qui ne ressemblaient pas aux murmures entêtants des mangeurs de cerveaux… Elle s’avança donc vers le lieu, découvrant une auberge… « La dernière lueur » Pourquoi pas. Si le lieu regroupait des survivants, avec potentiellement des soins, de la nourriture, des armes… Elle avait l’habitude d’être seule, mais quand venait l’éventuelle fin du monde… Autant se regrouper un minimum. Elle se décida alors à frapper à la porte, qui ne tentait rien… Et entrer. Elle ne s’attendait évidemment pas à être accueillie les bras ouverts, pour autant, un peu d’aide ne serait jamais de refus en ces temps troublés. Si elle pouvait profiter de quelques solides gaillards pour éviter de se faire dévorer, elle n’allait pas hésiter.
CENDRES
Isolde prit l’initiative de changer d’endroit, il fallait bouger pour survivre, chercher de la nourriture où elle se trouvait. Puis, elle aurait apprécié également trouver un véritable abri. Parce que les débris, les branches de bois et les tas de feuilles, elle commençait à s’en lasser ! Armée de son stupéfiant guide de survie, la jeune Malkyn s’aventura alors dans la forêt. Elle entendit des voix, qui ne ressemblaient pas aux murmures entêtants des mangeurs de cerveaux… Elle s’avança donc vers le lieu, découvrant une auberge… « La dernière lueur » Pourquoi pas. Si le lieu regroupait des survivants, avec potentiellement des soins, de la nourriture, des armes… Elle avait l’habitude d’être seule, mais quand venait l’éventuelle fin du monde… Autant se regrouper un minimum. Elle se décida alors à frapper à la porte, qui ne tentait rien… Et entrer. Elle ne s’attendait évidemment pas à être accueillie les bras ouverts, pour autant, un peu d’aide ne serait jamais de refus en ces temps troublés. Si elle pouvait profiter de quelques solides gaillards pour éviter de se faire dévorer, elle n’allait pas hésiter.
CENDRES
Invité
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L’apocalypse zombie
──────────────── • • • ────────────────
Avec Cendrillon
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Avec Cendrillon
Ce fut ainsi que je me retrouvai à courir pour ma vie, traversant buissons et autres fourrés et ne manquant pas de m’égratigner au passage. Les bruits jadis apaisants des gazouillements et grésillements de toutes les petites bestioles mignonnes qu’étaient les oiseaux et les insectes laissaient maintenant place à des couinements, des gémissements et des cris plaintifs de macchabées sautant sur la première viande fraiche venue.
La forêt en était infestée, et si parfois je croisais la route d’êtres bien vivants, il m’était impossible de me joindre à eux parce qu’à chaque fois que je tentais une approche, soit ils se méfiaient de moi, brandissant des spatules et des armes ridicules, soit ils finissaient dévorés sous mes yeux. Ou bien – et je le confesse : c’était souvent le cas – je passais mon chemin tandis que je n’avais pas la force mentale de les assister dans leurs propres ennuis de type « une dizaine de revenants les assaillent alors sauf qui peut ».
Arriva un moment ou je trébuchai sur une proéminence bien proéminente, me faisant immanquablement chuter comme une pathétique victime. Je me répandais en geignements et en derniers mots stupides avant ma fin, mais je m’aperçus que la Mort était loin de se présenter pour me faucher. Ces types étaient des gens cannés, ce qui était tout à fait normal, et ils avaient les articulations et les muscles déglingués, ce qui là aussi était tout à fait normal. Ce qui l’était moins, en revanche, c’était que malgré leur caractéristique d’êtres cannés et de possesseurs d’articulations et de muscles déglingués, ils marchaient et prodiguaient des bougonnements qui les faisaient apparaitre tant débiles que hagards. Le tout se résumait en un machin parfaitement effrayant qui m’avait incitée courir et donc trébucher sur une proéminence parfaitement proéminente.
J’étais par conséquent seule, une horde de cadavres stupidement sots aux trousses, mais aussi suffisamment stupidement lents pour me laisser de temps de contempler l’objet de ma chute.
Et en cet instant, je dus me résoudre à chercher au fond de ma mémoire ce que cela faisait d’être un être humain normal sans super-force telle qu’avant qu’elle ne se manifestât chez la petite fille de cinq ans que j’avais été à l’époque, lorsque j’avais malencontreusement jeté Roger par delà le toit de l’école alors que je voulais juste lui piquer ses cartes à jouer « Enchantement – la réunion ». C’était un état d’être assez naze. Tout était difficile à faire. Même soulever un pauvre portefeuille. Je plaignais les gens qui ne possédaient pas ce merveilleux pouvoir et je maudis les entités supérieures auxquelles je ne croyais pas de me l’avoir ôté. L’objet était affreusement lourd, et le prendre dans mes mains pour l’analyser me mettait dans une flemme tant immense, que je me serais laissée volontiers manger par les faces de linceul pour ne pas avoir à me lever et marcher.
« Mirelda Goldheart », une républicaine, taille : 1m70, sexe : femme… Mirelda Goldheart… Mireld… Que quoi ?!
Comme les zombies émettaient des gargarismes affligeants, j’émis un rire jaune pisse.
Peut-être que je pouvais essayer de la retrouver avant de marcher moi aussi avec une tête d’ahurie. Avoir un objectif, aussi ridicule fut-il, aidait parfois à rester en vie. Surtout lorsque tout ce à quoi nous aspirions était parti en fumée dans le carrosse factice de Cendrillon.
La forêt en était infestée, et si parfois je croisais la route d’êtres bien vivants, il m’était impossible de me joindre à eux parce qu’à chaque fois que je tentais une approche, soit ils se méfiaient de moi, brandissant des spatules et des armes ridicules, soit ils finissaient dévorés sous mes yeux. Ou bien – et je le confesse : c’était souvent le cas – je passais mon chemin tandis que je n’avais pas la force mentale de les assister dans leurs propres ennuis de type « une dizaine de revenants les assaillent alors sauf qui peut ».
Arriva un moment ou je trébuchai sur une proéminence bien proéminente, me faisant immanquablement chuter comme une pathétique victime. Je me répandais en geignements et en derniers mots stupides avant ma fin, mais je m’aperçus que la Mort était loin de se présenter pour me faucher. Ces types étaient des gens cannés, ce qui était tout à fait normal, et ils avaient les articulations et les muscles déglingués, ce qui là aussi était tout à fait normal. Ce qui l’était moins, en revanche, c’était que malgré leur caractéristique d’êtres cannés et de possesseurs d’articulations et de muscles déglingués, ils marchaient et prodiguaient des bougonnements qui les faisaient apparaitre tant débiles que hagards. Le tout se résumait en un machin parfaitement effrayant qui m’avait incitée courir et donc trébucher sur une proéminence parfaitement proéminente.
J’étais par conséquent seule, une horde de cadavres stupidement sots aux trousses, mais aussi suffisamment stupidement lents pour me laisser de temps de contempler l’objet de ma chute.
Et en cet instant, je dus me résoudre à chercher au fond de ma mémoire ce que cela faisait d’être un être humain normal sans super-force telle qu’avant qu’elle ne se manifestât chez la petite fille de cinq ans que j’avais été à l’époque, lorsque j’avais malencontreusement jeté Roger par delà le toit de l’école alors que je voulais juste lui piquer ses cartes à jouer « Enchantement – la réunion ». C’était un état d’être assez naze. Tout était difficile à faire. Même soulever un pauvre portefeuille. Je plaignais les gens qui ne possédaient pas ce merveilleux pouvoir et je maudis les entités supérieures auxquelles je ne croyais pas de me l’avoir ôté. L’objet était affreusement lourd, et le prendre dans mes mains pour l’analyser me mettait dans une flemme tant immense, que je me serais laissée volontiers manger par les faces de linceul pour ne pas avoir à me lever et marcher.
« Mirelda Goldheart », une républicaine, taille : 1m70, sexe : femme… Mirelda Goldheart… Mireld… Que quoi ?!
Comme les zombies émettaient des gargarismes affligeants, j’émis un rire jaune pisse.
Peut-être que je pouvais essayer de la retrouver avant de marcher moi aussi avec une tête d’ahurie. Avoir un objectif, aussi ridicule fut-il, aidait parfois à rester en vie. Surtout lorsque tout ce à quoi nous aspirions était parti en fumée dans le carrosse factice de Cendrillon.
Dragon du Razkaal
Kieran Ryven
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Info personnage
Race: Drakyn
Vocation: Guerrier combattant
Alignement: Neutre Bon
Rang: C
Les idéaux sont pacifiques, l'histoire est violente.
Une autre histoire l'est tout autant, aujourd'hui, un tournant décisif. Des gens disent que c'est X'o-Rath ou Puantrus, d'autres que c'est la nature qui se réveille pour se venger de tous. Peu importe, on est tous dans un bourbier macabre, et beaucoup de personnes sont tombées.
C'est tout ce qu'il y a retenir.
J'ai tué des hommes au Reike, j'ai enfermé des personnes au Razkaal, maintenant je me perds dans les méandres de cette foutue forêt à compter les minutes, chacune d'elle comme un remerciement envers le destin de ma garder en vie. Le chaos vit en maître, partout. Prenant une petite lampée de flotte depuis ma gourde, j'essaie de me repérer dans ce désordre, un amoncellement de carnage et de destruction. Je tire une grimace écœurée, encore lassée. L'environnement avait un visage qui inspirait le deuil et le chagrin, notification terrible que quelque chose d'horrible vient de se produire et se métastase partout où on peut marcher.
Zombies.
J'avais pas bien pigé le truc au début. Mais comprendre que des individus mort-vivant sont venus nous chercher des noises pour manger notre fémur en guise de grillade, c'est pas forcément un réflexe pour tout le monde. Aujourd'hui durant cette apocalypse, plus rien ne compte, hormis sa propre survie. Pas évident, au début de voir tout ce carnage sans pouvoir aider qui que ce soit. Courir, se battre, et fuir. Voir des visages familiers se déformer pour devenir ces choses, désarticulées comme des pantins, la gueule ouverte en quête de chair fraîche. Que des bonnes nouvelles. Et pour continuer dans ces bonnes nouvelles, j'ai constaté il y a peu que mes ailes ne me servait plus à rien, qu'aucune flamme ne se matérialise dans le creux de mes mains et que ma force m'a quitté. Les odeurs - si ce n'est pas ces miasmes cadavériques qui brûlent les sinus - sont difficile à distinguer, et ma vue et moins vive. L'épée est plus lourde, mes jambes bougent moins vite.
Et je dois, plus que jamais, rester en vie, malgré ça.
Ma peau est plus dure, mais elle n'est pas immunisée aux infections, et l'image de moi en train de boîter vers ses prochaines victimes en poussant des râles étranges ne m'inspire pas des masses. Maintenant, je dois faire un choix. Rester seul et compter sur mes propres ressources, sachant que plus nous sommes dans un groupe plus nous attirons des problèmes. Ou bien, j'essaie de rejoindre un groupe, et en faisant bloc tirer le plus longtemps possible vers une zone éventuellement sécurisée.
En l'état, je suis seul, alors, il faut avancer dans tous les cas.
La forêt obscure et sinistre se déploie devant moi, enveloppée dans un voile ténébreux qui semble dévorer la lumière. Les arbres, silencieux et déformés, forment une canopée sombre, obscurcissant le ciel. Les feuilles mortes et les aiguilles de pin jonchent le sol, produisant un sinistre craquement sous mes pas, comme si la forêt elle-même me mettait en garde. Le sentier devant moi est étroit et tortueux, sinueux entre les arbres tordus. Des ombres indistinctes dansent le long des côtés, et des bruits étranges s'échappent de l'obscurité. L'air est imprégné d'une odeur âcre de moisissure et de terre humide, créant une atmosphère pas très agréable si on songe à faire un pique-nique.
Je pourrais presque les entendre, ces infectés. Imagination ? Aucune idée.
Les arbres semblent avoir des visages sculptés dans leur écorce, exprimant une tristesse profonde. Les branches pendantes ressemblent à des bras squelettiques prêts à m'attraper si je dévie du sentier. Les cris lugubres des oiseaux de nuit ajoutent à l'ambiance sinistre. Probablement des corbeaux qui passent leur meilleur festin en ce moment.
Je me tiens prêt.
Prêt à tous les détruire, s'il le faut.
Une autre histoire l'est tout autant, aujourd'hui, un tournant décisif. Des gens disent que c'est X'o-Rath ou Puantrus, d'autres que c'est la nature qui se réveille pour se venger de tous. Peu importe, on est tous dans un bourbier macabre, et beaucoup de personnes sont tombées.
C'est tout ce qu'il y a retenir.
J'ai tué des hommes au Reike, j'ai enfermé des personnes au Razkaal, maintenant je me perds dans les méandres de cette foutue forêt à compter les minutes, chacune d'elle comme un remerciement envers le destin de ma garder en vie. Le chaos vit en maître, partout. Prenant une petite lampée de flotte depuis ma gourde, j'essaie de me repérer dans ce désordre, un amoncellement de carnage et de destruction. Je tire une grimace écœurée, encore lassée. L'environnement avait un visage qui inspirait le deuil et le chagrin, notification terrible que quelque chose d'horrible vient de se produire et se métastase partout où on peut marcher.
Zombies.
J'avais pas bien pigé le truc au début. Mais comprendre que des individus mort-vivant sont venus nous chercher des noises pour manger notre fémur en guise de grillade, c'est pas forcément un réflexe pour tout le monde. Aujourd'hui durant cette apocalypse, plus rien ne compte, hormis sa propre survie. Pas évident, au début de voir tout ce carnage sans pouvoir aider qui que ce soit. Courir, se battre, et fuir. Voir des visages familiers se déformer pour devenir ces choses, désarticulées comme des pantins, la gueule ouverte en quête de chair fraîche. Que des bonnes nouvelles. Et pour continuer dans ces bonnes nouvelles, j'ai constaté il y a peu que mes ailes ne me servait plus à rien, qu'aucune flamme ne se matérialise dans le creux de mes mains et que ma force m'a quitté. Les odeurs - si ce n'est pas ces miasmes cadavériques qui brûlent les sinus - sont difficile à distinguer, et ma vue et moins vive. L'épée est plus lourde, mes jambes bougent moins vite.
Et je dois, plus que jamais, rester en vie, malgré ça.
Ma peau est plus dure, mais elle n'est pas immunisée aux infections, et l'image de moi en train de boîter vers ses prochaines victimes en poussant des râles étranges ne m'inspire pas des masses. Maintenant, je dois faire un choix. Rester seul et compter sur mes propres ressources, sachant que plus nous sommes dans un groupe plus nous attirons des problèmes. Ou bien, j'essaie de rejoindre un groupe, et en faisant bloc tirer le plus longtemps possible vers une zone éventuellement sécurisée.
En l'état, je suis seul, alors, il faut avancer dans tous les cas.
La forêt obscure et sinistre se déploie devant moi, enveloppée dans un voile ténébreux qui semble dévorer la lumière. Les arbres, silencieux et déformés, forment une canopée sombre, obscurcissant le ciel. Les feuilles mortes et les aiguilles de pin jonchent le sol, produisant un sinistre craquement sous mes pas, comme si la forêt elle-même me mettait en garde. Le sentier devant moi est étroit et tortueux, sinueux entre les arbres tordus. Des ombres indistinctes dansent le long des côtés, et des bruits étranges s'échappent de l'obscurité. L'air est imprégné d'une odeur âcre de moisissure et de terre humide, créant une atmosphère pas très agréable si on songe à faire un pique-nique.
Je pourrais presque les entendre, ces infectés. Imagination ? Aucune idée.
Les arbres semblent avoir des visages sculptés dans leur écorce, exprimant une tristesse profonde. Les branches pendantes ressemblent à des bras squelettiques prêts à m'attraper si je dévie du sentier. Les cris lugubres des oiseaux de nuit ajoutent à l'ambiance sinistre. Probablement des corbeaux qui passent leur meilleur festin en ce moment.
Je me tiens prêt.
Prêt à tous les détruire, s'il le faut.
Divinité primordiale
L'Âme des Cendres
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Je manque de me couper en récupérant ce qu'il y a sur le sol. Je sais pas ce que c'est. C'est tranchant et suffisamment légers pour que je puisse les emporter avec moi, alors je les glisse dans ma poche et je continue d'avancer. Je me rappelle que j'ai entendu des éclats de voix. Je m'approche pour vérifier ce qu'il en est. Soit je suis seule depuis trop longtemps et j'ai affreusement besoin d'une présence amicale à mes côtés, soit je deviens totalement dingue mais... Je crois bien que ce sont les voix de Rim et Ayna que j'ai entendu. Ça me paraît dingue rien que d'y penser. Comment est-ce qu'elles pourraient vraiment être là ? Les chances qu'elles soient dans le même coin que moi, au même moment, sont trop faibles. Pourtant, je sais pas trop. J'ai envie d'y croire. J'avance sur quelques mètres, jusqu'à remarquer deux silhouettes qui se tiennent à peu près là où j'ai entendu les voix. À première vue, ce sont des vivants. C'est ce qu'on regarde en premier, maintenant. Il y en a un qui a une couleur de cheveux qui m'est étrangement familière. Ce roux aussi flamboyant, je ne l'ai connu que chez une seule personne. Je frotte mes yeux avant de continuer de m'approcher, pour m'assurer que je suis pas en train de délirer. Non, non. Les cheveux roux sont toujours là. Une brindille craque sous mes pas et je m'immobilise, le souffle court. J'ai peur que des macchabées arrivent à cause de ce que je viens de faire. Je crois bien que les deux silhouettes m'ont entendu, elles. Sauf que... Ce sont pas du tout Rim et Ayna. Déjà, ce sont des sacrés laiderons. Non mais VRAIMENT. Elles sont TROP moches. Ça se voit que c'est pas du tout le même visage. Bon, histoire de pas paraître impolie je fais quand même un petit geste de la main. C'est important de rester polie même en ces temps troublés. Je repose ma main sur mon bide qui me tiraille et je trace ma route. Je sais qu'on est dans le progrès, mais même dans les scénarios catastrophes il peut pas y avoir trop de représentants d'une même minorité dans un petit groupe : c'est la mort assurée.
Tiens, y'a de la lumière là-bas. Je vais devenir folle c'est pas possible. Y'a deux auberges juste dans le coin ? « La dernière lueur » et « le dernier espoir » ; sympa. En plus, ils ont l'air de se tirer la bourre parce que y'en a un qui a mis un panneau pour indiquer que c'est le meilleur. Je vais aller tester ça tout de suite ; surtout que j'ai quand même super faim et qu'ils ont commencé à ameuter une foule d'autres curieux comme moi. En arrivant devant le pas de porte de la dernière lueur, y'a une odeur de soufre qui me prends aux tripes et je dégobille tout ce que j'ai sur les pieds de je sais pas trop qui.
Ah, les joies de la grossesse.
Tiens, y'a de la lumière là-bas. Je vais devenir folle c'est pas possible. Y'a deux auberges juste dans le coin ? « La dernière lueur » et « le dernier espoir » ; sympa. En plus, ils ont l'air de se tirer la bourre parce que y'en a un qui a mis un panneau pour indiquer que c'est le meilleur. Je vais aller tester ça tout de suite ; surtout que j'ai quand même super faim et qu'ils ont commencé à ameuter une foule d'autres curieux comme moi. En arrivant devant le pas de porte de la dernière lueur, y'a une odeur de soufre qui me prends aux tripes et je dégobille tout ce que j'ai sur les pieds de je sais pas trop qui.
Ah, les joies de la grossesse.
Citoyen du monde
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Les journées étaient mornes et ennuyeuses et surtout elles manquaient de conversation, j'étais né lycan et un lycan c'est pas fait pour vivre seul mais en meute. Un peu comme la majorité des peuple me direz vous mais je préfère me concentrer sur mon seplendide nombril !
Je venais de fouiller en long, en large et en travers la vieille bicoque de bûcheron, il y avait des trous deci dela mais la structure était bonne et correcte, elle n'allait pas tomber si un grand méchant loup avait envie de souffler dessus, autant dire que je ne me sentais donc pas du tout comme un des fameux petits cochons.
J'avais tenté de vider le conduit de cheminée , quand j'étais sur le toit, que je jetais des cailloux ils tombaient tous directement en bas, c'était donc assez débouché pour moi pour lancer un feu. J'avais ramassé du bois mort dehors, des pignes de pin aussi et armé de ma poêle à frire, trophée s'il en est, je me demandais bien ce que j'allais pouvoir faire cuire, parce que bon j'avais rien trouvé et rien chassé non plus ces dernières journées et la faim se faisait sentir, j'avais comme qui dirait une vraie faim de loup.... je suis drôle quand je suis seul dans ma tête je sais !
Bref j'étais en train de regarder les brindilles s'enflammer après de longues heures d'essai et la on frappa à la porte, réflexe stupide j'ai éteint le feu, faut pas attirer les morts et là.... illumination : les zombies ne frappent pas à la porte pas plus qu'ils ne parlent.
Armé de mon épée ! Ah non je l'avais perdue ! Alors de mes griffes? Non je n'en avais plus non plus.... euh... de ma poêle à frire je suis allé entrouvrir la porte pour découvrir un petit gobelin plein d'humour, oui je trouvais drôle ses premiers mots, j'avais vraiment vraiment besoin de compagnie !
- Bah a défaut grive on mange des merles parfois mais j'ai jamais testé le ragoût de gob...
J'observais le nouvel arrivant et l'extérieur, ma vue perçante cherchant des morts qui marchent ou rampent... Rien pour le moment. J'ouvris la porte en grand et fit rentrer le petit gars.
- Bienvenue ici dans la maison de bois joli ! Moi c'est Leif et... je commençais à en avoir marre de causer seul, d'ailleurs c'est peut-être mon esprit qui t'a créé pour que je me sente moins seul même si j'aurais pensé qu'il aurait imaginé une belle rousse ou une jolie châtain aux pommettes pleines de tâches de rousseur.... Fin bref... Si t'es vivant ou une manifestation de ma démence, entre donc, j'essayais de faire un feu pour réchauffer l'ambiance.
Je venais de fouiller en long, en large et en travers la vieille bicoque de bûcheron, il y avait des trous deci dela mais la structure était bonne et correcte, elle n'allait pas tomber si un grand méchant loup avait envie de souffler dessus, autant dire que je ne me sentais donc pas du tout comme un des fameux petits cochons.
J'avais tenté de vider le conduit de cheminée , quand j'étais sur le toit, que je jetais des cailloux ils tombaient tous directement en bas, c'était donc assez débouché pour moi pour lancer un feu. J'avais ramassé du bois mort dehors, des pignes de pin aussi et armé de ma poêle à frire, trophée s'il en est, je me demandais bien ce que j'allais pouvoir faire cuire, parce que bon j'avais rien trouvé et rien chassé non plus ces dernières journées et la faim se faisait sentir, j'avais comme qui dirait une vraie faim de loup.... je suis drôle quand je suis seul dans ma tête je sais !
Bref j'étais en train de regarder les brindilles s'enflammer après de longues heures d'essai et la on frappa à la porte, réflexe stupide j'ai éteint le feu, faut pas attirer les morts et là.... illumination : les zombies ne frappent pas à la porte pas plus qu'ils ne parlent.
Armé de mon épée ! Ah non je l'avais perdue ! Alors de mes griffes? Non je n'en avais plus non plus.... euh... de ma poêle à frire je suis allé entrouvrir la porte pour découvrir un petit gobelin plein d'humour, oui je trouvais drôle ses premiers mots, j'avais vraiment vraiment besoin de compagnie !
- Bah a défaut grive on mange des merles parfois mais j'ai jamais testé le ragoût de gob...
J'observais le nouvel arrivant et l'extérieur, ma vue perçante cherchant des morts qui marchent ou rampent... Rien pour le moment. J'ouvris la porte en grand et fit rentrer le petit gars.
- Bienvenue ici dans la maison de bois joli ! Moi c'est Leif et... je commençais à en avoir marre de causer seul, d'ailleurs c'est peut-être mon esprit qui t'a créé pour que je me sente moins seul même si j'aurais pensé qu'il aurait imaginé une belle rousse ou une jolie châtain aux pommettes pleines de tâches de rousseur.... Fin bref... Si t'es vivant ou une manifestation de ma démence, entre donc, j'essayais de faire un feu pour réchauffer l'ambiance.
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Je vois une femme entrer dans l’une des deux auberges, puis une seconde dans l’autre, à quelques minutes d’intervalle. J’attends. J’attends encore. Pas de cris, donc personne n’a a dû se faire bouffer la cervelle à l’intérieur… pour l’instant. Je fais le tour, en restant accroupie et à distance de sécurité. Je ne suis pas parano’, juste prudente. Je m’enfonce un peu plus dans les bois et me soulage lorsque je suis sûre de ne pas être vulnérable. Woah. Pas bien de se retenir…
Après cela, je sors de l’ombre et m’avance jusqu’à… "La dernière lueur". Mon cul, c’est ça ouais et l’autre c’est quoi son nom d’abord ?
Je fais quoi ? J’entre par derrière, vole ce qu’il y a à voler et me taille ? Ou je vois d’abord ce que je peux tirer des gens qui sont réunis à l’intérieur ? Parce qu’avoir des personnes à jeter sur les zombies pour avoir l’opportunité de m’enfuir, c’est pratique. Mieux vaut les autres, plutôt que moi.
Pfff, en fait la première idée va être casse-couilles a réaliser puisque toutes les issues sont condamnées. Je ne cogite pas plus et pousse la porte. Par pitié, faites que ça ne soit pas une bande de wokistes qui débattent encore sur des sujets de merde, alors que c’est la fin de monde.
Après cela, je sors de l’ombre et m’avance jusqu’à… "La dernière lueur". Mon cul, c’est ça ouais et l’autre c’est quoi son nom d’abord ?
Je fais quoi ? J’entre par derrière, vole ce qu’il y a à voler et me taille ? Ou je vois d’abord ce que je peux tirer des gens qui sont réunis à l’intérieur ? Parce qu’avoir des personnes à jeter sur les zombies pour avoir l’opportunité de m’enfuir, c’est pratique. Mieux vaut les autres, plutôt que moi.
Pfff, en fait la première idée va être casse-couilles a réaliser puisque toutes les issues sont condamnées. Je ne cogite pas plus et pousse la porte. Par pitié, faites que ça ne soit pas une bande de wokistes qui débattent encore sur des sujets de merde, alors que c’est la fin de monde.
Noble de La République
Neera Storm
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Info personnage
Race: Demi-titan
Vocation: Mage élémentaliste
Alignement: Chaotique bon
Rang: B
Un monde mort. Détruit. Anéanti par les Titans.
Neera n’est habituellement pas pessimiste, mais pour l’heure, la jeune femme a l’impression d’être tombée en Enfer. Le pire, selon elle, n’est pas de devoir lutter contre des zombies. Avec un peu d’astuce, on peut les éviter, on peut même s’organiser ensemble pour leur tendre des pièges et les anéantir. Tant qu’on ne devient pas soi-même malade… Il y a toujours de l’espoir. Alors non, le pire n’est pas ces foutus morts-vivants. Ce qui est bien plus grave, c’est de de n’avoir plus aucun de ses pouvoirs. Ils se sont volatilisés, évaporés, alors même que la demi-titan les a toujours utilisés comme s’ils avaient fait toujours partie d’elle. Oh, bien sûr, la belle n’a pas que ça comme qualité : elle est astucieuse et intelligente, pédagogue et patiente, mais reconnaissons que dans un monde apocalyptique… Avoir des dons redoutables comme le maniement de la foudre ou de l’air, c’est toujours utile.
Ici, la professeure n’a plus rien, et reconnaissons donc que ses chances de survie sont particulièrement compromises. Cocasse quand on sait le sang qui parcoure les veines de Neera, non ? Quoi qu’il en soit, l’enseignante tente tant bien que mal de se frayer un chemin dans cette mystérieuse forêt sombre et sauvage. En faisant fi des bruits et des plaintes qu’on émet autour d’elle.
- Madame, j’ai peur…
- Et moi, j’ai faim…
- Taisez-vous. Si un zombie apparaît, on ne pourra pas l’entendre arriver.
Le ton de Neera est dur, mais il faut dire que c’est bien nécessaire pour survivre. Deux étudiants l’accompagnent encore, mais pour la première fois de sa vie, l’élémentaliste se demande si ce ne sont pas des boulets qui vont entrainer plus rapidement sa chute. Lasse, fatiguée, sale, avec la boue qui a recouvert ses vêtements, la Tornade fait pâle figure, puisqu’elle a déjà dû fuir plusieurs fois les morts-vivants en faisant fi des ronces et du milieu hostile de la forêt. Divers égratignures recouvre ses jambes, et c’est une chance qu’elle ne se soit pas cassé quelque chose en courant comme une furie lorsque ces créatures les ont pris en chasse. Les cris de ses élèves, cependant, la suivent encore, car combien d’entre eux a-t-elle perdu alors que son groupe a quitté Liberty ? Beaucoup trop. De quoi rager face à son impuissance. De quoi chercher encore plus à se protéger et à trouver des solutions. Mais pour combien de temps ?
C’est lorsqu’elle entend une voix que la demi-titan s’immobilise et que ses yeux s’écarquillent. Se cachant derrière un arbre, un bref éclat au sol n’attire son regard et la magicienne se penche pour voir si elle pourrait ne pas trouver quelque chose d’utile. Mais cette voix… Cette voix, ne serait-ce pas celle de…
- Rim ? Rim, c’est bien toi ?
Neera n’est habituellement pas pessimiste, mais pour l’heure, la jeune femme a l’impression d’être tombée en Enfer. Le pire, selon elle, n’est pas de devoir lutter contre des zombies. Avec un peu d’astuce, on peut les éviter, on peut même s’organiser ensemble pour leur tendre des pièges et les anéantir. Tant qu’on ne devient pas soi-même malade… Il y a toujours de l’espoir. Alors non, le pire n’est pas ces foutus morts-vivants. Ce qui est bien plus grave, c’est de de n’avoir plus aucun de ses pouvoirs. Ils se sont volatilisés, évaporés, alors même que la demi-titan les a toujours utilisés comme s’ils avaient fait toujours partie d’elle. Oh, bien sûr, la belle n’a pas que ça comme qualité : elle est astucieuse et intelligente, pédagogue et patiente, mais reconnaissons que dans un monde apocalyptique… Avoir des dons redoutables comme le maniement de la foudre ou de l’air, c’est toujours utile.
Ici, la professeure n’a plus rien, et reconnaissons donc que ses chances de survie sont particulièrement compromises. Cocasse quand on sait le sang qui parcoure les veines de Neera, non ? Quoi qu’il en soit, l’enseignante tente tant bien que mal de se frayer un chemin dans cette mystérieuse forêt sombre et sauvage. En faisant fi des bruits et des plaintes qu’on émet autour d’elle.
- Madame, j’ai peur…
- Et moi, j’ai faim…
- Taisez-vous. Si un zombie apparaît, on ne pourra pas l’entendre arriver.
Le ton de Neera est dur, mais il faut dire que c’est bien nécessaire pour survivre. Deux étudiants l’accompagnent encore, mais pour la première fois de sa vie, l’élémentaliste se demande si ce ne sont pas des boulets qui vont entrainer plus rapidement sa chute. Lasse, fatiguée, sale, avec la boue qui a recouvert ses vêtements, la Tornade fait pâle figure, puisqu’elle a déjà dû fuir plusieurs fois les morts-vivants en faisant fi des ronces et du milieu hostile de la forêt. Divers égratignures recouvre ses jambes, et c’est une chance qu’elle ne se soit pas cassé quelque chose en courant comme une furie lorsque ces créatures les ont pris en chasse. Les cris de ses élèves, cependant, la suivent encore, car combien d’entre eux a-t-elle perdu alors que son groupe a quitté Liberty ? Beaucoup trop. De quoi rager face à son impuissance. De quoi chercher encore plus à se protéger et à trouver des solutions. Mais pour combien de temps ?
C’est lorsqu’elle entend une voix que la demi-titan s’immobilise et que ses yeux s’écarquillent. Se cachant derrière un arbre, un bref éclat au sol n’attire son regard et la magicienne se penche pour voir si elle pourrait ne pas trouver quelque chose d’utile. Mais cette voix… Cette voix, ne serait-ce pas celle de…
- Rim ? Rim, c’est bien toi ?
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Hum.
Putain de Titans.
L’apocalypse les a frappés de manière soudaine et imprévisible. On pourrait même croire que les Titans ont gagné. Et pourtant… pourtant, aussi longtemps que vivra Tensai, le Drakyn ne renoncera pas à lutter contre ces satanées engeances. Le guerrier n’est pas quelqu’un qui se laisse abattre, même quand tout semble perdu. Aussi, dès que le sort du Sekai a été fixé, le Conquérant a rassemblé le plus de gardes royaux possibles pour faire une percée jusqu’à une mystérieuse forêt. Combien de zombies a-t-il tué entre temps ? Le colosse n’a pas compté. Il n’a certes plus aucun pouvoir, mais l’homme a toujours veillé à avoir un entrainement qui maintienne sa condition physique. Combattre n’est donc pas réellement un souci : le véritable problème est de ne pas se laisser submerger par le nombre de morts-vivants qui veulent votre peau. Il faut donc analyser rapidement la situation, éviter les luttes indésirables qui ne feront qu’affaiblir leurs condition, et chercher à établir une résistance avec des Reikois ou des survivants. C’est ainsi que des pas ne l’emmènent devant deux auberges très proches. L’auberge du dernier espoir et l’auberge de la dernière lueur. Tensai n’en a que fichtre des noms utilisés par les taverniers : par contre, une silhouette que le colosse ne connaît que trop bien se dessine à l’horizon. Son épouse, son âme sœur, semble considérer de manière pensive les deux établissements, et elle semble même avoir été attirée par quelque chose. Impossible pour la mère de Draknys de l’entendre arriver, et il faut bien admettre que le Conquérant ne réfléchit pas. Il comble la distance qui le sépare de sa bien-aimée, tout simplement, et la saisit à l’improviste pour venir la serrer dans ses bras.
- Ayshara.
Un simple mot, mais qui trahit à la fois son soulagement et son affection pour l’Impératrice du Reike. Et, malheureusement pour leurs ennemis, il n’en faut pas plus pour que Tensai voie sa vigueur et sa résolution renouvelées. Doutait-il qu’elle soit en vie ? Pas vraiment, son alter ego ne peut mourir si aisément. N’est-elle pas l’une des âmes les plus intelligentes du Sekai ? Une flamme qui trahit sa détermination brûle dans ses yeux, et bien à regret, Tensai met fin à ce moment de tendresse pour libérer Ayshara et se tourner vers les deux édifices.
- J’ai fait une percée depuis la capitale. Je cherchais des résistants et je suis tombé pour toi. Je suis heureux de te voir, mon amour, sourit le colosse, mais les heures qui vont suivre vont être bien sombres. A ces mots, la douceur de son regard s’évanouit, son visage devient plus sérieux et il enchaine. Deux auberges. Soit nous nous séparons et l’un de nous entre dans chacune d’elle. Soit nous restons ensemble. Peu importe laquelle nous choisissons au demeurant. J’aimerais retrouver Deydreus au plus vite. Zéphyr aussi ne doit pas être loin. Un silence. Je veux la tête de ces engeances, et par les Astres, nous allons montrer de quel bois nous nous chauffons, au Reike.
Putain de Titans.
L’apocalypse les a frappés de manière soudaine et imprévisible. On pourrait même croire que les Titans ont gagné. Et pourtant… pourtant, aussi longtemps que vivra Tensai, le Drakyn ne renoncera pas à lutter contre ces satanées engeances. Le guerrier n’est pas quelqu’un qui se laisse abattre, même quand tout semble perdu. Aussi, dès que le sort du Sekai a été fixé, le Conquérant a rassemblé le plus de gardes royaux possibles pour faire une percée jusqu’à une mystérieuse forêt. Combien de zombies a-t-il tué entre temps ? Le colosse n’a pas compté. Il n’a certes plus aucun pouvoir, mais l’homme a toujours veillé à avoir un entrainement qui maintienne sa condition physique. Combattre n’est donc pas réellement un souci : le véritable problème est de ne pas se laisser submerger par le nombre de morts-vivants qui veulent votre peau. Il faut donc analyser rapidement la situation, éviter les luttes indésirables qui ne feront qu’affaiblir leurs condition, et chercher à établir une résistance avec des Reikois ou des survivants. C’est ainsi que des pas ne l’emmènent devant deux auberges très proches. L’auberge du dernier espoir et l’auberge de la dernière lueur. Tensai n’en a que fichtre des noms utilisés par les taverniers : par contre, une silhouette que le colosse ne connaît que trop bien se dessine à l’horizon. Son épouse, son âme sœur, semble considérer de manière pensive les deux établissements, et elle semble même avoir été attirée par quelque chose. Impossible pour la mère de Draknys de l’entendre arriver, et il faut bien admettre que le Conquérant ne réfléchit pas. Il comble la distance qui le sépare de sa bien-aimée, tout simplement, et la saisit à l’improviste pour venir la serrer dans ses bras.
- Ayshara.
Un simple mot, mais qui trahit à la fois son soulagement et son affection pour l’Impératrice du Reike. Et, malheureusement pour leurs ennemis, il n’en faut pas plus pour que Tensai voie sa vigueur et sa résolution renouvelées. Doutait-il qu’elle soit en vie ? Pas vraiment, son alter ego ne peut mourir si aisément. N’est-elle pas l’une des âmes les plus intelligentes du Sekai ? Une flamme qui trahit sa détermination brûle dans ses yeux, et bien à regret, Tensai met fin à ce moment de tendresse pour libérer Ayshara et se tourner vers les deux édifices.
- J’ai fait une percée depuis la capitale. Je cherchais des résistants et je suis tombé pour toi. Je suis heureux de te voir, mon amour, sourit le colosse, mais les heures qui vont suivre vont être bien sombres. A ces mots, la douceur de son regard s’évanouit, son visage devient plus sérieux et il enchaine. Deux auberges. Soit nous nous séparons et l’un de nous entre dans chacune d’elle. Soit nous restons ensemble. Peu importe laquelle nous choisissons au demeurant. J’aimerais retrouver Deydreus au plus vite. Zéphyr aussi ne doit pas être loin. Un silence. Je veux la tête de ces engeances, et par les Astres, nous allons montrer de quel bois nous nous chauffons, au Reike.
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Tensai Ryssen
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[J'ai oublié de changer de compte plus haut, du coup, je reposte avec Tensai sans relancer le dé !]
Hum.
Putain de Titans.
L’apocalypse les a frappés de manière soudaine et imprévisible. On pourrait même croire que les Titans ont gagné. Et pourtant… pourtant, aussi longtemps que vivra Tensai, le Drakyn ne renoncera pas à lutter contre ces satanées engeances. Le guerrier n’est pas quelqu’un qui se laisse abattre, même quand tout semble perdu. Aussi, dès que le sort du Sekai a été fixé, le Conquérant a rassemblé le plus de gardes royaux possibles pour faire une percée jusqu’à une mystérieuse forêt. Combien de zombies a-t-il tué entre temps ? Le colosse n’a pas compté. Il n’a certes plus aucun pouvoir, mais l’homme a toujours veillé à avoir un entrainement qui maintienne sa condition physique. Combattre n’est donc pas réellement un souci : le véritable problème est de ne pas se laisser submerger par le nombre de morts-vivants qui veulent votre peau. Il faut donc analyser rapidement la situation, éviter les luttes indésirables qui ne feront qu’affaiblir leurs condition, et chercher à établir une résistance avec des Reikois ou des survivants. C’est ainsi que des pas ne l’emmènent devant deux auberges très proches. L’auberge du dernier espoir et l’auberge de la dernière lueur. Tensai n’en a que fichtre des noms utilisés par les taverniers : par contre, une silhouette que le colosse ne connaît que trop bien se dessine à l’horizon. Son épouse, son âme sœur, semble considérer de manière pensive les deux établissements, et elle semble même avoir été attirée par quelque chose. Impossible pour la mère de Draknys de l’entendre arriver, et il faut bien admettre que le Conquérant ne réfléchit pas. Il comble la distance qui le sépare de sa bien-aimée, tout simplement, et la saisit à l’improviste pour venir la serrer dans ses bras.
- Ayshara.
Un simple mot, mais qui trahit à la fois son soulagement et son affection pour l’Impératrice du Reike. Et, malheureusement pour leurs ennemis, il n’en faut pas plus pour que Tensai voie sa vigueur et sa résolution renouvelées. Doutait-il qu’elle soit en vie ? Pas vraiment, son alter ego ne peut mourir si aisément. N’est-elle pas l’une des âmes les plus intelligentes du Sekai ? Une flamme qui trahit sa détermination brûle dans ses yeux, et bien à regret, Tensai met fin à ce moment de tendresse pour libérer Ayshara et se tourner vers les deux édifices.
- J’ai fait une percée depuis la capitale. Je cherchais des résistants et je suis tombé pour toi. Je suis heureux de te voir, mon amour, sourit le colosse, mais les heures qui vont suivre vont être bien sombres. A ces mots, la douceur de son regard s’évanouit, son visage devient plus sérieux et il enchaine. Deux auberges. Soit nous nous séparons et l’un de nous entre dans chacune d’elle. Soit nous restons ensemble. Peu importe laquelle nous choisissons au demeurant. J’aimerais retrouver Deydreus au plus vite. Zéphyr aussi ne doit pas être loin. Un silence. Je veux la tête de ces engeances, et par les Astres, nous allons montrer de quel bois nous nous chauffons, au Reike.
Hum.
Putain de Titans.
L’apocalypse les a frappés de manière soudaine et imprévisible. On pourrait même croire que les Titans ont gagné. Et pourtant… pourtant, aussi longtemps que vivra Tensai, le Drakyn ne renoncera pas à lutter contre ces satanées engeances. Le guerrier n’est pas quelqu’un qui se laisse abattre, même quand tout semble perdu. Aussi, dès que le sort du Sekai a été fixé, le Conquérant a rassemblé le plus de gardes royaux possibles pour faire une percée jusqu’à une mystérieuse forêt. Combien de zombies a-t-il tué entre temps ? Le colosse n’a pas compté. Il n’a certes plus aucun pouvoir, mais l’homme a toujours veillé à avoir un entrainement qui maintienne sa condition physique. Combattre n’est donc pas réellement un souci : le véritable problème est de ne pas se laisser submerger par le nombre de morts-vivants qui veulent votre peau. Il faut donc analyser rapidement la situation, éviter les luttes indésirables qui ne feront qu’affaiblir leurs condition, et chercher à établir une résistance avec des Reikois ou des survivants. C’est ainsi que des pas ne l’emmènent devant deux auberges très proches. L’auberge du dernier espoir et l’auberge de la dernière lueur. Tensai n’en a que fichtre des noms utilisés par les taverniers : par contre, une silhouette que le colosse ne connaît que trop bien se dessine à l’horizon. Son épouse, son âme sœur, semble considérer de manière pensive les deux établissements, et elle semble même avoir été attirée par quelque chose. Impossible pour la mère de Draknys de l’entendre arriver, et il faut bien admettre que le Conquérant ne réfléchit pas. Il comble la distance qui le sépare de sa bien-aimée, tout simplement, et la saisit à l’improviste pour venir la serrer dans ses bras.
- Ayshara.
Un simple mot, mais qui trahit à la fois son soulagement et son affection pour l’Impératrice du Reike. Et, malheureusement pour leurs ennemis, il n’en faut pas plus pour que Tensai voie sa vigueur et sa résolution renouvelées. Doutait-il qu’elle soit en vie ? Pas vraiment, son alter ego ne peut mourir si aisément. N’est-elle pas l’une des âmes les plus intelligentes du Sekai ? Une flamme qui trahit sa détermination brûle dans ses yeux, et bien à regret, Tensai met fin à ce moment de tendresse pour libérer Ayshara et se tourner vers les deux édifices.
- J’ai fait une percée depuis la capitale. Je cherchais des résistants et je suis tombé pour toi. Je suis heureux de te voir, mon amour, sourit le colosse, mais les heures qui vont suivre vont être bien sombres. A ces mots, la douceur de son regard s’évanouit, son visage devient plus sérieux et il enchaine. Deux auberges. Soit nous nous séparons et l’un de nous entre dans chacune d’elle. Soit nous restons ensemble. Peu importe laquelle nous choisissons au demeurant. J’aimerais retrouver Deydreus au plus vite. Zéphyr aussi ne doit pas être loin. Un silence. Je veux la tête de ces engeances, et par les Astres, nous allons montrer de quel bois nous nous chauffons, au Reike.
Divinité primordiale
L'Âme des Cendres
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Le membre 'Tensai Ryssen' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'Armes' :
(Petite manip pour récup le lancer qui a foiré, voici le lien vers l'original https://www.rp-cendres.com/t2801-de-tensai#24239 )
'Armes' :
(Petite manip pour récup le lancer qui a foiré, voici le lien vers l'original https://www.rp-cendres.com/t2801-de-tensai#24239 )
Compte staff - Merci de ne pas me MP.
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Zéphyr Zoldyck
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Peut-être que Zéphyr fut le premier à recevoir des rapports alarmants avant la fin du monde.
Certains de ses espions avaient le don de télépathie, et quand ils virent l’apocalypse arriver, ce fut tout naturellement qu’ils prévinrent leur chef afin qu’il prît les dispositions nécessaires.
Enfin, c’était quand même mettre beaucoup d’espoir sur ses épaules. Contrairement à Tensai, qui avait tué un Titan, l’Oreille ne restait qu’un homme, faillible de surcroît. Sa première réaction, d’ailleurs, fut celle de la surprise, alors que d’un coup, les voix de son esprit cessaient et que la magie dans le Sekai disparaissait. Ses clones disséminés dans Ikusa disparurent tel un bruissement de fumée, et puis… Puis, ce fut le début de la fin. Les zombies apparurent les uns après les autres, créant la peur, l’anarchie, la confusion parmi ses pairs. Habitué à improviser, le maître-espion avait vite repris ses esprits et avait réorganisé ses propres troupes. N’étant pas au palais au moment de l’apocalypse, l’homme avait pallié à l’urgence et avait commandé à ses hommes les plus proches de quitter la cité, envahie par bien trop de morts-vivants. Une vision qui ressemblait bien trop à celle de Sable d’Or. Il ne manquait plus que l’apparition de Requiem et de ses frères pour marquer le triomphe de X’Orath. Mais les Reikois, combattifs de nature, n’étaient pas prêts à baisser les bras, pas encore. Accompagné de ses frères d’armes, l’Oreille avait su survivre jusque-là sans trop de difficultés. Il était facile d’établir une stratégie à plusieurs, de jouer l’appât pour ensuite leur tendre des pièges d’infortune. Cela étant dit, ce monde était hostile, bien plus hostile que tout ce qu’ils avaient connus jusqu’ici. Et justement, la fin se faisait bien sentir.
- Eh, boss.
- Hum ?
- Pourquoi on ne va pas vers les tavernes, un peu plus loin ?
- Parce qu’elles vont certainement attirer l’attention de ces pourritures.
- Et alors ? On ne ferait pas mieux d’être avec les défenseurs ?
- Je veux déterminer si les morts-vivants semblent venir d’un coin précis. A ton avis, pourquoi on se fait discret depuis plusieurs jours en créchant dans des arbres et en remontant leurs traces ?
- C’est qu’on ne va pas savoir continuer trop longtemps comme ça…
- Je sais, Eskel, je sais. Je n’ai pas dit qu’on resterait les bras croisés s’il y a une attaque. On tentera de les prendre en étau pour les décimer comme des sauvages.
- Mais si ça tombe, il n’y a plus que des couards républicains là-dedans…
- Actuellement, ricane Zéphyr d’un air las, il n’y a plus de Reikois, plus de Shoumeïens, plus de Républicains. Juste des humains qui tentent de survivre. Et on va les renvoyer mordre la poussière, comme on l’a fait à Sable d’Or.
La conversation retombe alors que le maître-espion avise un sac abandonné au pied d’un arbre. Sans doute perdu suite à la fuite de quelques malheureux. Il s’y penche pour trouver peut-être quelque matériel utile, puis son regard se pose sur son environnement jusqu’à monter vers le ciel étoilé du Sekai.
En ce instant précis, il fait calme.
Mais quelque chose lui dit que ça ne restera pas longtemps ainsi…
Certains de ses espions avaient le don de télépathie, et quand ils virent l’apocalypse arriver, ce fut tout naturellement qu’ils prévinrent leur chef afin qu’il prît les dispositions nécessaires.
Enfin, c’était quand même mettre beaucoup d’espoir sur ses épaules. Contrairement à Tensai, qui avait tué un Titan, l’Oreille ne restait qu’un homme, faillible de surcroît. Sa première réaction, d’ailleurs, fut celle de la surprise, alors que d’un coup, les voix de son esprit cessaient et que la magie dans le Sekai disparaissait. Ses clones disséminés dans Ikusa disparurent tel un bruissement de fumée, et puis… Puis, ce fut le début de la fin. Les zombies apparurent les uns après les autres, créant la peur, l’anarchie, la confusion parmi ses pairs. Habitué à improviser, le maître-espion avait vite repris ses esprits et avait réorganisé ses propres troupes. N’étant pas au palais au moment de l’apocalypse, l’homme avait pallié à l’urgence et avait commandé à ses hommes les plus proches de quitter la cité, envahie par bien trop de morts-vivants. Une vision qui ressemblait bien trop à celle de Sable d’Or. Il ne manquait plus que l’apparition de Requiem et de ses frères pour marquer le triomphe de X’Orath. Mais les Reikois, combattifs de nature, n’étaient pas prêts à baisser les bras, pas encore. Accompagné de ses frères d’armes, l’Oreille avait su survivre jusque-là sans trop de difficultés. Il était facile d’établir une stratégie à plusieurs, de jouer l’appât pour ensuite leur tendre des pièges d’infortune. Cela étant dit, ce monde était hostile, bien plus hostile que tout ce qu’ils avaient connus jusqu’ici. Et justement, la fin se faisait bien sentir.
- Eh, boss.
- Hum ?
- Pourquoi on ne va pas vers les tavernes, un peu plus loin ?
- Parce qu’elles vont certainement attirer l’attention de ces pourritures.
- Et alors ? On ne ferait pas mieux d’être avec les défenseurs ?
- Je veux déterminer si les morts-vivants semblent venir d’un coin précis. A ton avis, pourquoi on se fait discret depuis plusieurs jours en créchant dans des arbres et en remontant leurs traces ?
- C’est qu’on ne va pas savoir continuer trop longtemps comme ça…
- Je sais, Eskel, je sais. Je n’ai pas dit qu’on resterait les bras croisés s’il y a une attaque. On tentera de les prendre en étau pour les décimer comme des sauvages.
- Mais si ça tombe, il n’y a plus que des couards républicains là-dedans…
- Actuellement, ricane Zéphyr d’un air las, il n’y a plus de Reikois, plus de Shoumeïens, plus de Républicains. Juste des humains qui tentent de survivre. Et on va les renvoyer mordre la poussière, comme on l’a fait à Sable d’Or.
La conversation retombe alors que le maître-espion avise un sac abandonné au pied d’un arbre. Sans doute perdu suite à la fuite de quelques malheureux. Il s’y penche pour trouver peut-être quelque matériel utile, puis son regard se pose sur son environnement jusqu’à monter vers le ciel étoilé du Sekai.
En ce instant précis, il fait calme.
Mais quelque chose lui dit que ça ne restera pas longtemps ainsi…
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