Invité
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Chapitre 1
A la république
A la république
Année 3 • Fausses notes et chasseur de tête
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Avec Khalez
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Avec Khalez
J'ai voulu observer des rindos, pour ça je me suis fait voler ma musique, mon projet est parti à l'eau, parce que camper dehors, c'était une idée merdique.
J'ai voulu observer un orc un peu badaud, pour ça on s'est fritté à toute une clique, mon projet c'était de me les mettre à dos, parce que partir sans mon sarode, ca m'rendait neurasthénique.
Ils ont voulu braconner des peaux et des os, pour ça ils ont oublié un hic, mon projet c'était de leur faire regretter d'avoir voulu tuer des rindos, c'est qu'ils m'ont volé ma musique !
On les a tabassé, on a chassé les corrompus véreux, j'ai récupéré mon adoré, mon instrument si précieux.
Le maire a voulu observer des tableaux, pour ça un limier rapplique, son projet c'était de mettre fin à ce commerce de peaux, monsieur le maire, faire de la contrebande, c'était une idée merdique.
J'ai voulu observer un orc un peu badaud, pour ça on s'est fritté à toute une clique, mon projet c'était de me les mettre à dos, parce que partir sans mon sarode, ca m'rendait neurasthénique.
Ils ont voulu braconner des peaux et des os, pour ça ils ont oublié un hic, mon projet c'était de leur faire regretter d'avoir voulu tuer des rindos, c'est qu'ils m'ont volé ma musique !
On les a tabassé, on a chassé les corrompus véreux, j'ai récupéré mon adoré, mon instrument si précieux.
Le maire a voulu observer des tableaux, pour ça un limier rapplique, son projet c'était de mettre fin à ce commerce de peaux, monsieur le maire, faire de la contrebande, c'était une idée merdique.
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Année 3 • Histoire de concurrence et de haute couture
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Avec Narcisse
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Avec Narcisse
Avec un ventre qui cri famine et une voix qui paie pas de mine, je m’achemine vers une petite taverne concurrencée par de la vermine. Le tenancier me dit : « Navré gamine, peux pas faire la charité, le resto d’en face nous assassine » Et moi de lui répondre : « J’ai grand besoin de stimuler ma thiamine, mon ventre me cri famine ! »
Sympa, le type me propose : « Bon ben fait nous un peu de prose, si tu me colles des sourires sur tous ces visages moroses, je ne remettrais pas ta demande en cause. » « Vous le dire même je l’ose, des clients vous en aurez la dose, ce sera quelque chose. »
Il y est allé de sa petite publicité, les gens se sont amassés, mon sarode je l’ai accordé, j’ai entonné mes petites aventures passées, j’avais le nez plein dans mes pensées, mais une fois terminé, les gens m’en ont donné, plein de sourires illuminés, des applaudissements endiablés, rarement aussi enthousiasmés, des ailes m’en ont poussées, grandies même, quand un lumina tout éclairé de gaité et de beauté en avait rajouté.
Des discussions longues que nous avons eues, a point une admiration tout ingénue. Narcisse le couturier reconnu, m’avait galvanisée, je n’en étais pas revenue, loin dans les nues, jusqu’au dehors dans les rues, c’était la lumière de cette rencontre inattendue qui allait éclairé mon futur plus que je ne l’aurais cru.
Voyager avec Narcisse, ou que puisse mon talent se hisser aux talons de ses services, voilà que je me fisse des rêves que jamais je ne saisisse, un peu de notoriété grâce à mes caprices complices de la chance que Narcisse voulut que je saisisse. J’entrevoyais les délices non factices de voyages adoucis du supplice de la solitude.
Sympa, le type me propose : « Bon ben fait nous un peu de prose, si tu me colles des sourires sur tous ces visages moroses, je ne remettrais pas ta demande en cause. » « Vous le dire même je l’ose, des clients vous en aurez la dose, ce sera quelque chose. »
Il y est allé de sa petite publicité, les gens se sont amassés, mon sarode je l’ai accordé, j’ai entonné mes petites aventures passées, j’avais le nez plein dans mes pensées, mais une fois terminé, les gens m’en ont donné, plein de sourires illuminés, des applaudissements endiablés, rarement aussi enthousiasmés, des ailes m’en ont poussées, grandies même, quand un lumina tout éclairé de gaité et de beauté en avait rajouté.
Des discussions longues que nous avons eues, a point une admiration tout ingénue. Narcisse le couturier reconnu, m’avait galvanisée, je n’en étais pas revenue, loin dans les nues, jusqu’au dehors dans les rues, c’était la lumière de cette rencontre inattendue qui allait éclairé mon futur plus que je ne l’aurais cru.
Voyager avec Narcisse, ou que puisse mon talent se hisser aux talons de ses services, voilà que je me fisse des rêves que jamais je ne saisisse, un peu de notoriété grâce à mes caprices complices de la chance que Narcisse voulut que je saisisse. J’entrevoyais les délices non factices de voyages adoucis du supplice de la solitude.
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Année 4 • Cherche informations épicées pour manuscrit fade
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Avec Liz Nahesa
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Avec Liz Nahesa
Rp en cours...
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Année 4 • Le jour de la Force
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Entretemps d’un périple en République,
Proche du lac Rebirth
Après la réserve faunique,
Les étendues sableuse m’avaient happée.
Des bestioles dans leur genre uniques
– Non pas qu’elles fussent fantastiques,
Simplement, jamais croisées dans la république –
S’étaient attaquées à mes effets.
Champas et satiété recherchée
Taverne et gosier désaltéré
Des affichettes guindées
Me menèrent vers des combats épiques.
Un humain bien épais
Comme sa moustache et son épée
Pas mal éduqué
Concourait avec moi à qui finirait rond barrique.
Paris empoché, paris dépochés,
Nous rîmes devant moult bastons
L’envie poignant d’être aussi bons
Nous finîmes aux pieds des taverniers.
Proche du lac Rebirth
Après la réserve faunique,
Les étendues sableuse m’avaient happée.
Des bestioles dans leur genre uniques
– Non pas qu’elles fussent fantastiques,
Simplement, jamais croisées dans la république –
S’étaient attaquées à mes effets.
Champas et satiété recherchée
Taverne et gosier désaltéré
Des affichettes guindées
Me menèrent vers des combats épiques.
Un humain bien épais
Comme sa moustache et son épée
Pas mal éduqué
Concourait avec moi à qui finirait rond barrique.
Paris empoché, paris dépochés,
Nous rîmes devant moult bastons
L’envie poignant d’être aussi bons
Nous finîmes aux pieds des taverniers.
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Chapitre ?
Un HRP se glissant par là...
Un HRP se glissant par là...
L'apocalypse zombie
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Faites place car j’ai la gueule de bois.
Point d’eau fraiche et trop de vin je bois.
—————
La peau blanche et brûlante,
Cendrillon toute contre moi.
Fait monter fièvre ardente,
Me met aux abois.
L’amour éclate spitante,
Je me perds dans mes émois.
Ma nuit chantante
Fait rêver de drôles de bois :
Faites place à boire donnez-moi.
Point d’eau fraiche, du bon vin de noix.
—————
J’ai fais rencontre amusante,
Un vieux monsieur sans foie.
D’une voix mourante :
« De ton cerveau, nourris-moi ! ».
C’est une course haletante,
Mes jambes à mon cou je fil droit.
« Je suis une alcoolique puissante !
Plus de force mais j’ai au moins mon foie ! ».
Faites place feue ma crise de foie.
Nul n’est hardi de boire autant que moi.
—————
Des armes inquiétantes,
Et des cadavres sans fois ni loi.
Je suis trouvère fort incompétente,
Dans le vide une chute d’effrois
Je me réveillai suffocante,
Cendrillon à côté de moi,
Elle n’était plus zombie effrayante,
Sa peau blanche et sa chaleur contre moi.
Eh bien malgré son chagrin,
Je l’ai quittée le lendemain.
Car depuis toujours,
Nous les troubadour,
Quand trop de vin l’on bois
Qu’on a la gueule de bois.
Point d’eau fraiche et trop de vin je bois.
—————
La peau blanche et brûlante,
Cendrillon toute contre moi.
Fait monter fièvre ardente,
Me met aux abois.
L’amour éclate spitante,
Je me perds dans mes émois.
Ma nuit chantante
Fait rêver de drôles de bois :
Faites place à boire donnez-moi.
Point d’eau fraiche, du bon vin de noix.
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J’ai fais rencontre amusante,
Un vieux monsieur sans foie.
D’une voix mourante :
« De ton cerveau, nourris-moi ! ».
C’est une course haletante,
Mes jambes à mon cou je fil droit.
« Je suis une alcoolique puissante !
Plus de force mais j’ai au moins mon foie ! ».
Faites place feue ma crise de foie.
Nul n’est hardi de boire autant que moi.
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Des armes inquiétantes,
Et des cadavres sans fois ni loi.
Je suis trouvère fort incompétente,
Dans le vide une chute d’effrois
Je me réveillai suffocante,
Cendrillon à côté de moi,
Elle n’était plus zombie effrayante,
Sa peau blanche et sa chaleur contre moi.
Eh bien malgré son chagrin,
Je l’ai quittée le lendemain.
Car depuis toujours,
Nous les troubadour,
Quand trop de vin l’on bois
Qu’on a la gueule de bois.
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