Invité
Invité
*pendant que aryan se pousse avec Sans Nom *
Pendant que les tourtereaux roucoulent à plein dans sa chambre, Halewyn est assis à son bureau, totalement habillé contrairement à son habitude. Iel rearde les devis pour les réparations de dégât de sa demeure tout en réfléchissant sur la nécessité de déménager. Autant pour assurer la sécurité de ses femmes et de ses invités que la sienne. Iel a besoin d'un réel terrain neutre. Là ou les démons et leurs Mortels, ou Immortels pourraient être tranquilles que le premier qui met le pied dans l'intention manifeste de trucider se retrouve sur le menu du jour en tartare.
Parce que c'est beau, mais chez lui manifestement, il y en a qui se prennent comme dans un moulin semblerait. Même si iel doit remercier l'emplumé. Les images de Désir... qu'iel appelle Rose pour le moment autant par pudeur pour ne pas qu'aucun mortel ne l'asservisse, lui ont bien indiqué qu'il y avait des êtres hostiles à Justice.. Alors, pour le moment, autant pour protéger ses femmes que ses invités, le démon les a envoyées faire un aller retour à Melorn pour qu'elles transigent les tissus et prennent des vacances.
Et, surtout, pour ne pas les mettre en danger. Elles sont ses Mortelles, elles le servent et en retour il y a un minimum sociétal acceptable à tenir du genre veiller à la sécurité de son logis. Melkor est dehors avec sa Blanche Neige, montant inlassablement la garde sur le terrain mieux que ne le ferait le plus féroce des molosses.
La clepsydre vibre et bascule avec un léger bruit de clochette, indiquant au démon que c'est le temps d'aller faire chauffer de l'eau. Trop loin pour percevoir els âmes de Désir et de son Immortel, iel sifflote sombrement un air macabre tout en s'adonnant à la tache quotidienne de préparer ce qu'il fallait pour les ablutions de tout le monde.
C'est en remontant avec le plateau qu'Halewyn fronca les sourcils... C'était vide... a maison était totalement vide. Le coeur noir du démon rata un battement au même moment que le plateau tomba sur le sol, inondant le plancher.
.
Pendant que les tourtereaux roucoulent à plein dans sa chambre, Halewyn est assis à son bureau, totalement habillé contrairement à son habitude. Iel rearde les devis pour les réparations de dégât de sa demeure tout en réfléchissant sur la nécessité de déménager. Autant pour assurer la sécurité de ses femmes et de ses invités que la sienne. Iel a besoin d'un réel terrain neutre. Là ou les démons et leurs Mortels, ou Immortels pourraient être tranquilles que le premier qui met le pied dans l'intention manifeste de trucider se retrouve sur le menu du jour en tartare.
Parce que c'est beau, mais chez lui manifestement, il y en a qui se prennent comme dans un moulin semblerait. Même si iel doit remercier l'emplumé. Les images de Désir... qu'iel appelle Rose pour le moment autant par pudeur pour ne pas qu'aucun mortel ne l'asservisse, lui ont bien indiqué qu'il y avait des êtres hostiles à Justice.. Alors, pour le moment, autant pour protéger ses femmes que ses invités, le démon les a envoyées faire un aller retour à Melorn pour qu'elles transigent les tissus et prennent des vacances.
Et, surtout, pour ne pas les mettre en danger. Elles sont ses Mortelles, elles le servent et en retour il y a un minimum sociétal acceptable à tenir du genre veiller à la sécurité de son logis. Melkor est dehors avec sa Blanche Neige, montant inlassablement la garde sur le terrain mieux que ne le ferait le plus féroce des molosses.
La clepsydre vibre et bascule avec un léger bruit de clochette, indiquant au démon que c'est le temps d'aller faire chauffer de l'eau. Trop loin pour percevoir els âmes de Désir et de son Immortel, iel sifflote sombrement un air macabre tout en s'adonnant à la tache quotidienne de préparer ce qu'il fallait pour les ablutions de tout le monde.
C'est en remontant avec le plateau qu'Halewyn fronca les sourcils... C'était vide... a maison était totalement vide. Le coeur noir du démon rata un battement au même moment que le plateau tomba sur le sol, inondant le plancher.
.
Invité
Invité
Vissé sur son fauteuil, Narcisse soupesait sa lame entre ses doigts fins, contemplant les vestiges d'une époque maintenant bien révolue. Ses jours de chevaliers dataient d'un temps ancien qu'il avait souhaité oublier, jeter aux oubliettes. Il se souvenait encore de cette sensation grisante, de l'adrénaline qui parcourait ses veines lorsque l'ennemi venait frapper à sa porte, aux portes de Melorn, de la cité qui l'avait vu naître. Un long soupir s'échappa de l'entre ouverture de ses lèvres et une brise vint secouer sa chevelure ébène par l'entrebâillement d'une fenêtre. Ses yeux dérivent naturellement sur sa silhouette, sur ce reflet que lui renvoie le miroir et sa tête se pencha lentement sur le côté, l'incompréhension le gagnant lentement. Pourquoi s'était-il mis en tête de retrouver le démon, de lui venir en aide, lui qui était un égoïste notoire vivant au jour le jour, sans attaches ? Il se pinça la lèvre, les bras croisés devant son torse ciselé tout en rengainant sa lame dans son fourreau en entendant les talons de Mirabel claquer contre les escaliers en marbre du manoir.
La directrice tapa doucement contre la porte en chêne massif qui bloquait l'accès à la chambre de son partenaire, passant la tête dans son embrasure pour quérir sa présence. « Narcisse ?... Je peux entrer ? ». Sans se retourner, refermant les boutons de ses manches d'un air concentré, le couturier acquiesça. « J'ai fait ce que tu m'as demandé. Je… Je n'ai pas réussi à retrouver la personne que tu cherchais… ». Elle vit les épaules du jeune homme se raidir et se dépêcha de poursuivre. « Mais ! Notre palefrenier s'est souvenu de sa dernière visite et surtout de ses montures. Celles-ci n'ont pas été complexes à retrouver. Nous devrions y être en quelques heures tout au plus. Je vais prévenir ta garde et nous partirons à l'aube. ». Un minuscule sourire de satisfaction vint étirer les traits du couturier qui faisait rouler ses épaules, préparant ses muscles à des efforts conséquents, tentant manifestement de se rappeler que n'importe quoi et précisément n'importe qui pouvait l'attendre au bout du chemin.
Si la nature d'Halewyn lui importait peu, il connaissait les tenants et les aboutissants de la réputation des démons, aussi, il se doutait qu'iel possédait de nombreux ennemis. « Pas besoin de la garde, ils peuvent rester ici. C'est une affaire personnelle. » « Mais… » « Fais-moi confiance, pour une fois. Je suis toujours revenu entier. Je dois m'en occuper seul. ». Une moue interrogative sur le visage, l'Elfe à la peau hâlée restait perplexe face aux agissements de celui qu'elle côtoyait depuis presque trois cents ans. Lui qui se complaisait dans l'oisiveté, ignorant ses responsabilités, riant au nez et à la barbe de ceux qui attentaient à sa vie, se montrait si sérieux que cela en devenait improbable. Elle jeta un coup d'œil au calendrier accroché sur le mur de la chambre de Narcisse alors que ce dernier disparaissait dans son dos. Ses yeux se plissèrent sur une date en particulier et lorsqu'elle s'approcha, elle dut relever le pan de rideau qui lui cachait la vérité pour constater que le bal de Maël avait été surligné en rouge.
Quelques heures plus tard, usant de ses talents de téléportation, l'Elfe se trouvait aux portes de Justice. Une ville qu'il ne connaissait que trop peu, cette dernière apparaissant comme bien trop sévère pour accueillir ses nombreux services. Cachant sa lame sous la cape épaisse qui dansait élégamment dans son dos, faisant claquer ses chaussures en cuir noir sur les pavés de la cité républicaine, Narcisse se dirigea droit vers l'adresse qui lui avait été communiquée. Ses pas étaient rapides, agiles, sa précipitation certaine. Peut-être était-il venu en vain. Sans doute le démon s'était-il déjà enfui. Après tout, il n'avait eu aucune réponse à sa missive, probablement pour ne pas indiquer sa localisation à quelqu'un qui pouvait intercepter leurs échanges. Une fois devant la bâtisse, il s'arrêta net en constatant du mouvement sur le toit, la silhouette de deux individus s'éclipsant avec une discrétion toute relative. Et lorsqu'un fracas arriva jusqu'à ses oreilles pointues, le couturier ouvrit la porte d'un coup sec, cherchant l'origine du son. Il se mit à siffler, soulevant la lame qui dormait dans son fourreau, la faisant léviter à ses côtés alors qu'il montait les escaliers sans discrétion aucune.
Il la/le vit. Sa chevelure carmine qui dansait au creux de ses reins, sa silhouette fine, sa fragrance si particulier qui lui chatouillait déjà les narines. Et maintenant qu'il était là, il ne savait plus que faire, plus que dire. Comment justifier l'avoir retrouvé ainsi ? Allait-il l'effrayer ? Une vague de doutes s'empara du couturier qui fut tenté de rebrousser chemin, mais il ancra ses pieds dans le sol. Sa voix rauque et masculine s'éleva dans les airs tandis que sa main venait naturellement se poser sur son épaule. « Halewyn ? Je… ». Il n'avait pas d'explications. Rien de cohérent. « Qu'est-ce qui se passe ? ». Son bras passa derrière son cou, enlaçant le démon dans une étreinte qui se voulait protectrice, lui procurant chaleur et douceur dans le même mouvement. Au même instant, sa lame tomba sur le sol bruyamment, signifiant la fin des hostilités. Narcisse était heureux de n'avoir eu à blesser personne, mais plus encore, il était heureux d'être ici. Avec iel. Là où était sa place.
La directrice tapa doucement contre la porte en chêne massif qui bloquait l'accès à la chambre de son partenaire, passant la tête dans son embrasure pour quérir sa présence. « Narcisse ?... Je peux entrer ? ». Sans se retourner, refermant les boutons de ses manches d'un air concentré, le couturier acquiesça. « J'ai fait ce que tu m'as demandé. Je… Je n'ai pas réussi à retrouver la personne que tu cherchais… ». Elle vit les épaules du jeune homme se raidir et se dépêcha de poursuivre. « Mais ! Notre palefrenier s'est souvenu de sa dernière visite et surtout de ses montures. Celles-ci n'ont pas été complexes à retrouver. Nous devrions y être en quelques heures tout au plus. Je vais prévenir ta garde et nous partirons à l'aube. ». Un minuscule sourire de satisfaction vint étirer les traits du couturier qui faisait rouler ses épaules, préparant ses muscles à des efforts conséquents, tentant manifestement de se rappeler que n'importe quoi et précisément n'importe qui pouvait l'attendre au bout du chemin.
Si la nature d'Halewyn lui importait peu, il connaissait les tenants et les aboutissants de la réputation des démons, aussi, il se doutait qu'iel possédait de nombreux ennemis. « Pas besoin de la garde, ils peuvent rester ici. C'est une affaire personnelle. » « Mais… » « Fais-moi confiance, pour une fois. Je suis toujours revenu entier. Je dois m'en occuper seul. ». Une moue interrogative sur le visage, l'Elfe à la peau hâlée restait perplexe face aux agissements de celui qu'elle côtoyait depuis presque trois cents ans. Lui qui se complaisait dans l'oisiveté, ignorant ses responsabilités, riant au nez et à la barbe de ceux qui attentaient à sa vie, se montrait si sérieux que cela en devenait improbable. Elle jeta un coup d'œil au calendrier accroché sur le mur de la chambre de Narcisse alors que ce dernier disparaissait dans son dos. Ses yeux se plissèrent sur une date en particulier et lorsqu'elle s'approcha, elle dut relever le pan de rideau qui lui cachait la vérité pour constater que le bal de Maël avait été surligné en rouge.
Quelques heures plus tard, usant de ses talents de téléportation, l'Elfe se trouvait aux portes de Justice. Une ville qu'il ne connaissait que trop peu, cette dernière apparaissant comme bien trop sévère pour accueillir ses nombreux services. Cachant sa lame sous la cape épaisse qui dansait élégamment dans son dos, faisant claquer ses chaussures en cuir noir sur les pavés de la cité républicaine, Narcisse se dirigea droit vers l'adresse qui lui avait été communiquée. Ses pas étaient rapides, agiles, sa précipitation certaine. Peut-être était-il venu en vain. Sans doute le démon s'était-il déjà enfui. Après tout, il n'avait eu aucune réponse à sa missive, probablement pour ne pas indiquer sa localisation à quelqu'un qui pouvait intercepter leurs échanges. Une fois devant la bâtisse, il s'arrêta net en constatant du mouvement sur le toit, la silhouette de deux individus s'éclipsant avec une discrétion toute relative. Et lorsqu'un fracas arriva jusqu'à ses oreilles pointues, le couturier ouvrit la porte d'un coup sec, cherchant l'origine du son. Il se mit à siffler, soulevant la lame qui dormait dans son fourreau, la faisant léviter à ses côtés alors qu'il montait les escaliers sans discrétion aucune.
Il la/le vit. Sa chevelure carmine qui dansait au creux de ses reins, sa silhouette fine, sa fragrance si particulier qui lui chatouillait déjà les narines. Et maintenant qu'il était là, il ne savait plus que faire, plus que dire. Comment justifier l'avoir retrouvé ainsi ? Allait-il l'effrayer ? Une vague de doutes s'empara du couturier qui fut tenté de rebrousser chemin, mais il ancra ses pieds dans le sol. Sa voix rauque et masculine s'éleva dans les airs tandis que sa main venait naturellement se poser sur son épaule. « Halewyn ? Je… ». Il n'avait pas d'explications. Rien de cohérent. « Qu'est-ce qui se passe ? ». Son bras passa derrière son cou, enlaçant le démon dans une étreinte qui se voulait protectrice, lui procurant chaleur et douceur dans le même mouvement. Au même instant, sa lame tomba sur le sol bruyamment, signifiant la fin des hostilités. Narcisse était heureux de n'avoir eu à blesser personne, mais plus encore, il était heureux d'être ici. Avec iel. Là où était sa place.
Invité
Invité
Qui avait osé encore s'introduire chez iel pour prendre ses invité? Les pieds nageant dans l'eau, le nez levé, Halewyn avait les prunelles du rouge de la trahison... Communiquer télépathiquement avec Sans Nom lui était impossible, elle ne répondrait pas. Et comment ont ils pu sortir l'emplumé du lit? Voilà une bonne heure qu'iel l'avait vu et il ne montrait aucun signe de réveil. Alors iel ne pouvait décemment pas deviner qu'il s'était réveillé et était partit comme ca, tout simplement, comme un voleur. Dans tout se sscénarios mentaux, il était pris en otage soit ils ont fait chanter Sans Nom en lui faisant miroiter un remède. Dans certaines hypothèses, ils montaient par un escalier, par d,autres ils se téléportaient.
En fait, c'est le bruit de pas dans l'escalier et l'entrée d'une âme dans son champ de possession qui le fait revenir à la réalité. Ainsi donc ils ont le culot de revenir pour iel hein?Pivotant souplement sur ses pieds, le démon invoqua son éventail noir qu'iel ouvrit en un bruissement élégant.
Et c'est ce que vit Narcisse en arrivant en haut des escaliers. Deux yeux rouges flamboyants au dessus d'un éventail de combat en métal noir sur lequel était peint des SÞectres dansant sous une lune rouge. Iel était en position de danse en un sens, un pied légèrement avancé comme pour le premier pas et sa main libre dant le dos, de profil.
Halewyn faillit le pétrifier au premier regard, avec l'intention manifeste de le pousser en bas pour que l'ennemi se fracasse en milles morceaux. Ou l'éventrer. D'ailleurs il ne failli pas reconnaitre l'elfe en armure complète. Iel allait jouer avec lui extirper ses secrets et le ...
Les sourcils au dessus des yeux rouges se froncèrent d'incertitude. Narcisse? En armure? Quelle est cette perfidie? Son coeur se serra devant cettre trahison présumée... complètement démentie par son empathie naturelle. ŀe rouge vacilla parce qu'iel ne percevait que de l'inquiétude proviennent du mortel. C'est probablement ce qui lui sauva la vie. L'éventail se replia et le démon acceuillit l'accolade spontanée avec un soulagement perceptible, se sentant étrangement moins seul ce qui ne lui était pas arrivé depuis les spectres.
Le noir se perdit dans le regard de Narcisse. Halewyn avait tant de questions. Mais ce n'était pas le temps. Iel succube pris néammoins le temps de fermer les yeux un bref instant pour mieux poser son front sur celui de son amant pour souffler un peu.
-Tu tombe à point nommé mon ami...Tu es très sexy aussi mais ce n'est pas la question, tu l'es toujours. Je suis furieux! S'exclama Halewyn, toujours de son ton égal à un soupir, amis avec une intonation à glacer le plus courageux des combattants. -C'est la deuxième fois en trois jours qu'on s'introduit chez moi et qu'on s'en prend à mes invités. Pas le temps de tergiverser mon cher. Nous devons partir à leur recherche séance tenante. Une belle dame rose et un ange aux ailes en dégradé du blanc au noir. Nus tout les deux. Ca ne doit pas se rater! Ils ont maximum une heure d'avance sur nous.
Iel voulait manger leur entrailles à la petite cuiller, dévoyer ces intrus. Les renvoyer en pièces détachées. Pour la deuxième fois, en moins de trois jours, sa maison, son logis, son sanctuaire avait été désacralisé. Le démon inspira profondément et se dégagea doucement mais fermement. Iel ne demanderait pas à ce mortel la de se battre pour iel. Rowena lui avait appris à se battre, ce n'était pas pour jouer à la princesse en détresse. Néanmoins, son aide pourrait être précieuse.
-Ramasse ton épée mon cher, nous partons à leur poursuite...
En fait, c'est le bruit de pas dans l'escalier et l'entrée d'une âme dans son champ de possession qui le fait revenir à la réalité. Ainsi donc ils ont le culot de revenir pour iel hein?Pivotant souplement sur ses pieds, le démon invoqua son éventail noir qu'iel ouvrit en un bruissement élégant.
Et c'est ce que vit Narcisse en arrivant en haut des escaliers. Deux yeux rouges flamboyants au dessus d'un éventail de combat en métal noir sur lequel était peint des SÞectres dansant sous une lune rouge. Iel était en position de danse en un sens, un pied légèrement avancé comme pour le premier pas et sa main libre dant le dos, de profil.
Halewyn faillit le pétrifier au premier regard, avec l'intention manifeste de le pousser en bas pour que l'ennemi se fracasse en milles morceaux. Ou l'éventrer. D'ailleurs il ne failli pas reconnaitre l'elfe en armure complète. Iel allait jouer avec lui extirper ses secrets et le ...
Les sourcils au dessus des yeux rouges se froncèrent d'incertitude. Narcisse? En armure? Quelle est cette perfidie? Son coeur se serra devant cettre trahison présumée... complètement démentie par son empathie naturelle. ŀe rouge vacilla parce qu'iel ne percevait que de l'inquiétude proviennent du mortel. C'est probablement ce qui lui sauva la vie. L'éventail se replia et le démon acceuillit l'accolade spontanée avec un soulagement perceptible, se sentant étrangement moins seul ce qui ne lui était pas arrivé depuis les spectres.
Le noir se perdit dans le regard de Narcisse. Halewyn avait tant de questions. Mais ce n'était pas le temps. Iel succube pris néammoins le temps de fermer les yeux un bref instant pour mieux poser son front sur celui de son amant pour souffler un peu.
-Tu tombe à point nommé mon ami...Tu es très sexy aussi mais ce n'est pas la question, tu l'es toujours. Je suis furieux! S'exclama Halewyn, toujours de son ton égal à un soupir, amis avec une intonation à glacer le plus courageux des combattants. -C'est la deuxième fois en trois jours qu'on s'introduit chez moi et qu'on s'en prend à mes invités. Pas le temps de tergiverser mon cher. Nous devons partir à leur recherche séance tenante. Une belle dame rose et un ange aux ailes en dégradé du blanc au noir. Nus tout les deux. Ca ne doit pas se rater! Ils ont maximum une heure d'avance sur nous.
Iel voulait manger leur entrailles à la petite cuiller, dévoyer ces intrus. Les renvoyer en pièces détachées. Pour la deuxième fois, en moins de trois jours, sa maison, son logis, son sanctuaire avait été désacralisé. Le démon inspira profondément et se dégagea doucement mais fermement. Iel ne demanderait pas à ce mortel la de se battre pour iel. Rowena lui avait appris à se battre, ce n'était pas pour jouer à la princesse en détresse. Néanmoins, son aide pourrait être précieuse.
-Ramasse ton épée mon cher, nous partons à leur poursuite...
Invité
Invité
L'espace d'un instant, aussi fugace soit-il, Narcisse avait senti la rafale d'émotions qui parcouraient le corps fin du démon. Ses doigts vinrent flatter sa nuque et ses omoplates, cherchant tant bien que mal à détendre ses muscles qu'il sentait se raidir dans son étreinte. Sans un mot, l'Elfe tentait d'amoindrir les maux qui s'immiscaient dans l'esprit de son amant, lui-même perplexe face à son propre comportement. Il en ignorait la raison, mais il ne pouvait supporter le ton de sa voix déformé par une haine justifiée, son regard empli de rage qu'il avait croisé en haut des escaliers. Sa main libre alla se faufiler dans sa chevelure carmine, la caressant avec une grande tendresse et il déposa un baiser sur le front d'Halewyn alors qu'iel rationalisait enfin la situation dans laquelle Narcisse venait de s'empêtrer.
" Je suis venu aussi vite que possible. ". Il dut se retenir d'insister sur sa capacité à retrouver celui qui lui était cher, de peur de l'effrayer. Sa démarche avait beau partir d'une bonne intention, elle n'en restait pas moins sordide, encore plus s'il s'ajoutait à la longue liste des personnes s'étant introduites dans son logis. " Je ne voulais pas te surprendre, tu m'en vois profondément navré, Halewyn. J'ignorais comment t'informer de ma venue sans donner le lieu où tu résidais et… " Un long soupir s'échappa de l'entre ouverture de ses lèvres et il resserra un peu plus son étreinte sur le démon. " Tout ceci n'a aucune importance. Tu es en sécurité maintenant. Je ne laisserais personne s'introduire chez toi, tant que je suis là. " Puis une interrogation le frappa. Deux individus, complètement nus, une belle à la chevelure rose et un ange. Cette description lui semblait étrangement familière et il resta quelques secondes sans dire un mot, mettant de l'ordre dans ses pensées. Le démon s'inquiétait manifestement d'un possible enlèvement, néanmoins le couturier possédait une autre version de l'histoire. Ne trouvant pas les mots pour qualifier ce qu'il avait vu, Narcisse secoua la tête, pointant du doigt une fenêtre dans laquelle leurs reflets les regardaient en retour. " Je dois te montrer quelque chose. ".
Il siffla doucement, sa lame revenant à son niveau pour se ranger dans son fourreau. Par la même occasion, le plateau fut également déposé sur un meuble avec son contenu, tout du moins ce qui était récupérable. Sa main dans son dos, les yeux fermés, Narcisse fit apparaître une illusion sous forme de tableaux mouvants devant Halewyn, décrivant exactement les mouvements qu'il avait discerné sur le toit. La fuite volontaire de ceux qu'iel cherchait, leur trahison éhontée. Une fois la vérité en possession de son tendre ami, Narcisse se tourna vers lui en mettant fin à son sort. " Si tu veux les retrouver, je te suivrai, je ne poserai pas de questions. Mais il était capital pour moi que tu saches qu'ils sont partis d'eux-mêmes et qu'ils ne sont, à priori, pas en danger. ". Le cliquetis de son armure suivant ses mouvements qui se voulaient graciles, l'Elfe gratifia son vis à vis d'un sourire charmeur, le souvenir de leur soirée passée ensemble ainsi que son plus récent compliment lui revenant à l'esprit, avant de déposer un délicat et chaste baiser sur ses lèvres. " Tu es d'une beauté à couper le souffle, Halewyn... Mais là n'est pas le sujet. Montre moi la voie, je suis juste derrière toi. "
" Je suis venu aussi vite que possible. ". Il dut se retenir d'insister sur sa capacité à retrouver celui qui lui était cher, de peur de l'effrayer. Sa démarche avait beau partir d'une bonne intention, elle n'en restait pas moins sordide, encore plus s'il s'ajoutait à la longue liste des personnes s'étant introduites dans son logis. " Je ne voulais pas te surprendre, tu m'en vois profondément navré, Halewyn. J'ignorais comment t'informer de ma venue sans donner le lieu où tu résidais et… " Un long soupir s'échappa de l'entre ouverture de ses lèvres et il resserra un peu plus son étreinte sur le démon. " Tout ceci n'a aucune importance. Tu es en sécurité maintenant. Je ne laisserais personne s'introduire chez toi, tant que je suis là. " Puis une interrogation le frappa. Deux individus, complètement nus, une belle à la chevelure rose et un ange. Cette description lui semblait étrangement familière et il resta quelques secondes sans dire un mot, mettant de l'ordre dans ses pensées. Le démon s'inquiétait manifestement d'un possible enlèvement, néanmoins le couturier possédait une autre version de l'histoire. Ne trouvant pas les mots pour qualifier ce qu'il avait vu, Narcisse secoua la tête, pointant du doigt une fenêtre dans laquelle leurs reflets les regardaient en retour. " Je dois te montrer quelque chose. ".
Il siffla doucement, sa lame revenant à son niveau pour se ranger dans son fourreau. Par la même occasion, le plateau fut également déposé sur un meuble avec son contenu, tout du moins ce qui était récupérable. Sa main dans son dos, les yeux fermés, Narcisse fit apparaître une illusion sous forme de tableaux mouvants devant Halewyn, décrivant exactement les mouvements qu'il avait discerné sur le toit. La fuite volontaire de ceux qu'iel cherchait, leur trahison éhontée. Une fois la vérité en possession de son tendre ami, Narcisse se tourna vers lui en mettant fin à son sort. " Si tu veux les retrouver, je te suivrai, je ne poserai pas de questions. Mais il était capital pour moi que tu saches qu'ils sont partis d'eux-mêmes et qu'ils ne sont, à priori, pas en danger. ". Le cliquetis de son armure suivant ses mouvements qui se voulaient graciles, l'Elfe gratifia son vis à vis d'un sourire charmeur, le souvenir de leur soirée passée ensemble ainsi que son plus récent compliment lui revenant à l'esprit, avant de déposer un délicat et chaste baiser sur ses lèvres. " Tu es d'une beauté à couper le souffle, Halewyn... Mais là n'est pas le sujet. Montre moi la voie, je suis juste derrière toi. "
Invité
Invité
Le pourquoi du comment Narcisse l'avait trouvé n'effleura pas une seconde Halewyn. Il ne s'était posé, en un an, que rarement chez iel, du coup le démon présumait que le couturier avait recu une lettre de chez iel, ou, plus probablement, s'était renseigné en utilisant l'adresse de livraison des magnifiques tenues qu'il lui avait créés. Aucunement n'a t'iel pu concevoir que l'elfe s'était résou à une tactique si... démoniaque pour le retrouver suite à sa lettre. Il y avait beaucoup de choses qu'iel ne connaissait pas chez ce mortel.
Comme sa magie entre autre, se fit t'iel la réflexion en regardant la scène dans la fenêtre qui lui montra ce qui s'était passé. Halewyn ne sentait nulle perfidie chez son visiteur qui put le voir presque se dégonfler aussi rapidement qu'un ballon de baudruche en se passant une main dans sa longue crinière carmine.
-Ah... Ils aurait pu avertir tout de même. Constata t'iel, toute agressivité disparue -Cela confirme que je dois impérativement investir dans une auberge et dans la sécurité qui va avec.
Les bonnes manières sont mortes, pensa t,iel, amusé malgré luide son éclat. C'était une chance que Narcisse soit là en fait. Il l'a empêchée de dégrader forterment ses relations avec ses voisins. Le cliquetis de l'armure de son visiteur le fit se retourner juste à temps pour recenoir un chaste baiser qui finit tout à fait de calmer son coup de sang.
" Tu es d'une beauté à couper le souffle, Halewyn... Mais là n'est pas le sujet. Montre moi la voie, je suis juste derrière toi. "
Ce fut autour de la main du démon de remonter doucement jusqu'à la nuque de Narcisse, tandis qu'Halewyn adoucit légèrement ses traits pour donner du poids à la minauderie qui se préparait. Tout grands yeux de bichede, elle caressa le doux visage du chevalier avant de l'embrasser avec une douceur infinie. Cette armure plaisait énormément au démon qui fantasmait ouvertement de la lui enlever avec les dents, pièce par pièce... afin d'accéder à la friandise délicieusement sucrée qu'iel savait à l'intérieur. Fantasme contrebalancé par la curiosité dévorante qu'iel ressentait face à cette tenue pour le moins étonnante. Notez qu'Halewyn ne peut même concevoir qu'on vienne à sa rescousse tel un chevalier servant et de lui-même, sans manipulation.
Ils sont libres, ils auraient juste pu avertir. Merci Narcisse...Et maintenant.... L'autre main caressa le métal, le réchauffant agréablement pour le porteur. -Reprenons du début mon cher. Comment puis je me faire pardonner mon inhospitalité initiale? Tu as du temps devant toi pour que je t'offre du thé ou tu venais me faire coucou avant d'aller batailler pour la veuve et l'orphelin?
Comme sa magie entre autre, se fit t'iel la réflexion en regardant la scène dans la fenêtre qui lui montra ce qui s'était passé. Halewyn ne sentait nulle perfidie chez son visiteur qui put le voir presque se dégonfler aussi rapidement qu'un ballon de baudruche en se passant une main dans sa longue crinière carmine.
-Ah... Ils aurait pu avertir tout de même. Constata t'iel, toute agressivité disparue -Cela confirme que je dois impérativement investir dans une auberge et dans la sécurité qui va avec.
Les bonnes manières sont mortes, pensa t,iel, amusé malgré luide son éclat. C'était une chance que Narcisse soit là en fait. Il l'a empêchée de dégrader forterment ses relations avec ses voisins. Le cliquetis de l'armure de son visiteur le fit se retourner juste à temps pour recenoir un chaste baiser qui finit tout à fait de calmer son coup de sang.
" Tu es d'une beauté à couper le souffle, Halewyn... Mais là n'est pas le sujet. Montre moi la voie, je suis juste derrière toi. "
Ce fut autour de la main du démon de remonter doucement jusqu'à la nuque de Narcisse, tandis qu'Halewyn adoucit légèrement ses traits pour donner du poids à la minauderie qui se préparait. Tout grands yeux de bichede, elle caressa le doux visage du chevalier avant de l'embrasser avec une douceur infinie. Cette armure plaisait énormément au démon qui fantasmait ouvertement de la lui enlever avec les dents, pièce par pièce... afin d'accéder à la friandise délicieusement sucrée qu'iel savait à l'intérieur. Fantasme contrebalancé par la curiosité dévorante qu'iel ressentait face à cette tenue pour le moins étonnante. Notez qu'Halewyn ne peut même concevoir qu'on vienne à sa rescousse tel un chevalier servant et de lui-même, sans manipulation.
Ils sont libres, ils auraient juste pu avertir. Merci Narcisse...Et maintenant.... L'autre main caressa le métal, le réchauffant agréablement pour le porteur. -Reprenons du début mon cher. Comment puis je me faire pardonner mon inhospitalité initiale? Tu as du temps devant toi pour que je t'offre du thé ou tu venais me faire coucou avant d'aller batailler pour la veuve et l'orphelin?
Invité
Invité
Alors que la magie de l’Elfe se diffusait dans l’air, animant des pantins dans une illusion parfaite qui décrivait les mouvements des deux fugitifs qui jouaient avec les nerfs de son démon préféré, ce dernier le/la regardait entre l’inquiétude de l’entendre si inquiet(e) et le plaisir de retrouver sa charmante compagnie. Ses sentiments se mélangeaient et bientôt en arriva un nouveau, l’incompréhension puis la gêne. Autant par le fait d’avoir mis Halewyn en porte à faux par rapport à ses proches que de s’être dépêché à sa demeure dans un accoutrement pareil dans le but d’affronter monts et marées en son nom. Narcisse se pinça la lèvre, le regard fuyant, ses bras toujours enroulés autour de la taille du démon qu’il chérissait. « Je suis navré qu’ils ne t’aient pas mis au courant et que cela ait pu te causer de la peine. Disons que je suis arrivé au bon moment pour constater leur départ, que cela ne t’empêche pas de leur faire comprendre qu’on ne t’inquiète pas sans raison. ». Les sourcils légèrement froncés, l’ancien chevalier paraissait tout à coup beaucoup plus sévère. S’il avait l’habitude qu’on lui fasse perdre son temps, voire même qu’il aimait que ce soit le cas sans véritablement l’admettre, il ne concevait pas que cela puisse être le cas d’Halewyn qui malgré les apparences semblait être toujours très occupé(e).
Apaisé par le doux baiser du démon dont la main caressait affectueusement sa joue, Narcisse détendit ses muscles progressivement et ferma les yeux à son tour, profitant du moment qu’ils partageaient avec un plaisir non dissimulé. Cela faisait des lustres depuis sa dernière sortie impromptue à Justice et ses yeux verts se mirent à errer sur le mobilier, constatant la beauté du logis d’Halewyn qu’il n’avait jusqu’ici jamais eu l’occasion d’admirer. En voyant ses doigts habiles réchauffer le métal de son armure, il ne put se retenir de sourire un peu plus franchement. « Pour être honnête avec toi, cela fait bien longtemps que je ne suis pas sorti dans cette tenue. Elle date d’une autre époque, celle ou je maniais plus l’épée que l’aiguille. ». D’un geste agile, il détacha une de ses épaulières, puis l’autre, pour les déposer sur le côté. « J’ai toujours du temps pour toi, et ... ». Il sembla hésiter. Halewyn avait cette aura, cette démarche, laissant transparaître une confiance en soi immuable, au point qu’elle ne considéra pas un seul instant que l’Elfe était venu ainsi pour iel. Le couturier se surprit durant quelques secondes à véritablement considérer les sentiments d’autrui pour formuler sa réponse, un effort dont il se dispensait bien d’ordinaire, considérant que les autres feraient avec ses choix quand bien même cela ne leur plaisait pas. Une moue dubitative sur le visage, il se reprit rapidement en secouant la tête.
« Je suis venu pour toi. ». Une sincérité pure, presque brute. « Comme tu ne répondais pas, ce que je ne te reproche en aucun cas, et que ta lettre indiquait de possibles dangers, je... ». Il s’arrêta durant quelques secondes avant de prendre une longue inspiration et de récupérer la confiance en lui qui le caractérisait tant. Il ignorait pourquoi il se sentait si mal à l’aise, mais cela devait cesser. « Je me suis dit que je pouvais venir passer un peu de temps à tes côtés pour te changer les idées. ». Il claqua des doigts, faisant tomber l’armure qu’il portait sur le sol avant de la tasser dans un coin toujours en usant de sa télékinésie, se révélant dans un de ses plus beaux costumes, tout de noir vêtu si ce n’est sa veste dans les tons verts émeraude. Sa main libre toujours dans sa chevelure de flammes, entortillant quelques mèches autour de ses doigts fins, le jeune homme se perdait dans le regard du démon. « J’ai libéré ma journée, je suis à toi aujourd’hui. Que ce soit pour du thé ou pour autre chose. ». Il le/la gratifia d’un clin d’oeil avant de se pencher en avant, déposant un baiser sur sa joue, se retenant avec fermeté de descendre dans son cou alors que ses bras glissaient sous ses jambes pour la soulever pour l’emmener au rez-de-chaussée. Le plateau suivit leur descente, lévitant dans leur dos et une fois en bas, il installa soigneusement Halewyn au niveau de sa cuisine. « Je préparerais bien le tout pour toi, mais il va falloir m’apprendre où tout se trouve. Quoique, je pourrais essayer de deviner... ». Il passa dans son dos, posant sa main au niveau de sa taille pour le/la garder près de lui, ne pouvant résister à cette curiosité qui le titillait. « Si je peux me permettre de poser la question, qui sont ces gens qui se sont enfuis de chez toi ? Je ne tiens pas à être indiscret, mais s’ils ont besoin d’un endroit pour faire profil bas, mes biens sont toujours disponibles pour eux, pour toi. ». Son regard se planta dans le sien. « Je le pensais et je le pense toujours, Halewyn... ».
Apaisé par le doux baiser du démon dont la main caressait affectueusement sa joue, Narcisse détendit ses muscles progressivement et ferma les yeux à son tour, profitant du moment qu’ils partageaient avec un plaisir non dissimulé. Cela faisait des lustres depuis sa dernière sortie impromptue à Justice et ses yeux verts se mirent à errer sur le mobilier, constatant la beauté du logis d’Halewyn qu’il n’avait jusqu’ici jamais eu l’occasion d’admirer. En voyant ses doigts habiles réchauffer le métal de son armure, il ne put se retenir de sourire un peu plus franchement. « Pour être honnête avec toi, cela fait bien longtemps que je ne suis pas sorti dans cette tenue. Elle date d’une autre époque, celle ou je maniais plus l’épée que l’aiguille. ». D’un geste agile, il détacha une de ses épaulières, puis l’autre, pour les déposer sur le côté. « J’ai toujours du temps pour toi, et ... ». Il sembla hésiter. Halewyn avait cette aura, cette démarche, laissant transparaître une confiance en soi immuable, au point qu’elle ne considéra pas un seul instant que l’Elfe était venu ainsi pour iel. Le couturier se surprit durant quelques secondes à véritablement considérer les sentiments d’autrui pour formuler sa réponse, un effort dont il se dispensait bien d’ordinaire, considérant que les autres feraient avec ses choix quand bien même cela ne leur plaisait pas. Une moue dubitative sur le visage, il se reprit rapidement en secouant la tête.
« Je suis venu pour toi. ». Une sincérité pure, presque brute. « Comme tu ne répondais pas, ce que je ne te reproche en aucun cas, et que ta lettre indiquait de possibles dangers, je... ». Il s’arrêta durant quelques secondes avant de prendre une longue inspiration et de récupérer la confiance en lui qui le caractérisait tant. Il ignorait pourquoi il se sentait si mal à l’aise, mais cela devait cesser. « Je me suis dit que je pouvais venir passer un peu de temps à tes côtés pour te changer les idées. ». Il claqua des doigts, faisant tomber l’armure qu’il portait sur le sol avant de la tasser dans un coin toujours en usant de sa télékinésie, se révélant dans un de ses plus beaux costumes, tout de noir vêtu si ce n’est sa veste dans les tons verts émeraude. Sa main libre toujours dans sa chevelure de flammes, entortillant quelques mèches autour de ses doigts fins, le jeune homme se perdait dans le regard du démon. « J’ai libéré ma journée, je suis à toi aujourd’hui. Que ce soit pour du thé ou pour autre chose. ». Il le/la gratifia d’un clin d’oeil avant de se pencher en avant, déposant un baiser sur sa joue, se retenant avec fermeté de descendre dans son cou alors que ses bras glissaient sous ses jambes pour la soulever pour l’emmener au rez-de-chaussée. Le plateau suivit leur descente, lévitant dans leur dos et une fois en bas, il installa soigneusement Halewyn au niveau de sa cuisine. « Je préparerais bien le tout pour toi, mais il va falloir m’apprendre où tout se trouve. Quoique, je pourrais essayer de deviner... ». Il passa dans son dos, posant sa main au niveau de sa taille pour le/la garder près de lui, ne pouvant résister à cette curiosité qui le titillait. « Si je peux me permettre de poser la question, qui sont ces gens qui se sont enfuis de chez toi ? Je ne tiens pas à être indiscret, mais s’ils ont besoin d’un endroit pour faire profil bas, mes biens sont toujours disponibles pour eux, pour toi. ». Son regard se planta dans le sien. « Je le pensais et je le pense toujours, Halewyn... ».
Invité
Invité
L'empathie de Narcisse fait rire Halewyn doucement. Iel n,avait strictementaucune envie que l'elfe s'éloigne... Iel ne savait pas trop si c'était en réaction au mortel et ca le rendait légèrement perplexe sur sa personne, mais bon.votre succube favorite avait cette particularité de pouvoir chevaucher avec hardiesse le présent, sans trop se préoccuper de l'avenir ou d'hier.
Ne t'en fais pas avec ca. J'étais le cauchemar de mes supérieurs lors de la guerre... J'ai toujours eu une proprension à m'égarer temporairement alors je ne peut point leur en vouloir... .
Rétorqua t'iel avec un baiser délicat en se noyant dans le vert... Iel appréciait cette visite inopinée à sa juste valeur. Une toute nouvelle facette de son amant se dévoilait devant ses yeux gourmands... Non pas emplit de luxure... Enfin, évidemment que si mais pas que... Mais simplement que Narcisse pouvait avoir cette attention pleine et entière qui n'appartenait qu'à lui.
Oh... donc, si je comprends bien, tu es maitre de tout ce qui est phallique et transperce, peu importe la taille et tu es disponible pour mes moindres caprices? Tu es littéralement l'elfe parfait... Je suis conquise.
Badina Halewyn avant de s'adoucir subitement devant la révélation de Narcisse. Iel fronca les sourcils en réféchissant.
Mais, ma fleur... Je n'ai recu aucune lettre de ta part! Iel sourit en s'approchant de nouveau, pour y ceuillir un autre baiser plus appuyé juste après que L'armure se soit effondrée au sol. Ne portant pas attention que sa douce friandise du jour ne repousse le tout dans un coin, iel laissait passer cette douce chaleur qui lui habitait la poitrine. Iel ne la comprenait pas du tout, aussi le démon la catalogua t'iel simplement comme ca me fait plaisir que tu sois là. Ce ne fut que quand le Mortel lui assura qu'il était tout à iel aujourd'hui qu'Halewyn eut un petit sourire coquin en laissant un doigt vagabond courir le long du torse qui était avantageusement souligné.
C'est simple, Halewyn en salivait d'anticipation. Narcisse avait, comme mortel, un petit goût de revenez y... Il était simple et sans faux semblants. Ce qui était, iel devait bien l'avouer, fort reposant. Quand il la pris dans ses bras, Halewyn rit encore, se laissant transporter comme la déesse qu'iel incarnait. C'est qu'il était fort quand même , le démon faisant 85 kilos.
Puisque nous avons toute la journée, pourquoi ne pas reprendre des forces? Je peux te montrer la cuisine mais ne me demande pas de cuisiner, j'ai empoisonné la moitié de mon unité la seule fois ou j'ai été de corvée. Mais je crois que j'ai recu une livraison de raviolis ce matin. Si tu désire, je peux te servir d'assiette. En bas à droite mon cher et tendre ami. Je devrais apprendre la télékinésie d'ailleurs. Cela me semble fort pratique,
La tête dans le cou de Narcisse, le démon lui énumérait des idées ludiques d'utilisation de la télékinésie, en lui embrassant la jugulaire quand ils firent irruption dans la cuisine.
Nous avons tout le temps du monde. Soupira rêveusement le démon quand le guerrier le déposa sur le tabouret de la cuisine. La lumière chaude de cette belle journée d'été entrait par les carreaux immaculés. Posant son menton dans la paume de sa main en croisant les jambes de facon fort distingués, le démon eut un geste de la main négligent qui alluma le poêle.
-J'ai fais l'eau chaude!!! L'étagère à ta droite a plein de thérière et du thé en feuille. La belle boite ouvragée viens de Melorn. C'est le docteur BÆsileiah qui me l'a fait découvrir. Et changea de position pour mieux admirer le splendide paysage qui s'activait devant iel.
« Si je peux me permettre de poser la question, qui sont ces gens qui se sont enfuis de chez toi ? Je ne tiens pas à être indiscret, mais s’ils ont besoin d’un endroit pour faire profil bas, mes biens sont toujours disponibles pour eux, pour toi. ». Son regard se planta dans le sien. « Je le pensais et je le pense toujours, Halewyn... ».
Halewyn s'était glissé dans le dos de Narcisse et s'était plaqué tout contre lui, le coincant doucement mais fermement contre le comptoir, la belle main d'artiste courant sur l'autre. les dents du démon éraflaient sans l'entamer la peau tendre de la nuque de ce dernier qui ne pouvait manquer la manifestation inimitable du désir
-J'ai pas arrêté de rêver de toi depuis quelques jours... Ronronna t'iel en remontant mordiller le lobe d,une oreille ultra sensible. -Elle est ce que vous considéreriez comme ma soeur que j'ai pris sous mon aile et lui son Immortel. Je leur passerai le message. Les prunelles noires flamboyèrent possessivement.
Tu sais que dans mes derniers rêves récents tu partage toutes mes nuits et que je suis la Mairesse de Justice en partie pour toi?
Ne t'en fais pas avec ca. J'étais le cauchemar de mes supérieurs lors de la guerre... J'ai toujours eu une proprension à m'égarer temporairement alors je ne peut point leur en vouloir... .
Rétorqua t'iel avec un baiser délicat en se noyant dans le vert... Iel appréciait cette visite inopinée à sa juste valeur. Une toute nouvelle facette de son amant se dévoilait devant ses yeux gourmands... Non pas emplit de luxure... Enfin, évidemment que si mais pas que... Mais simplement que Narcisse pouvait avoir cette attention pleine et entière qui n'appartenait qu'à lui.
Oh... donc, si je comprends bien, tu es maitre de tout ce qui est phallique et transperce, peu importe la taille et tu es disponible pour mes moindres caprices? Tu es littéralement l'elfe parfait... Je suis conquise.
Badina Halewyn avant de s'adoucir subitement devant la révélation de Narcisse. Iel fronca les sourcils en réféchissant.
Mais, ma fleur... Je n'ai recu aucune lettre de ta part! Iel sourit en s'approchant de nouveau, pour y ceuillir un autre baiser plus appuyé juste après que L'armure se soit effondrée au sol. Ne portant pas attention que sa douce friandise du jour ne repousse le tout dans un coin, iel laissait passer cette douce chaleur qui lui habitait la poitrine. Iel ne la comprenait pas du tout, aussi le démon la catalogua t'iel simplement comme ca me fait plaisir que tu sois là. Ce ne fut que quand le Mortel lui assura qu'il était tout à iel aujourd'hui qu'Halewyn eut un petit sourire coquin en laissant un doigt vagabond courir le long du torse qui était avantageusement souligné.
C'est simple, Halewyn en salivait d'anticipation. Narcisse avait, comme mortel, un petit goût de revenez y... Il était simple et sans faux semblants. Ce qui était, iel devait bien l'avouer, fort reposant. Quand il la pris dans ses bras, Halewyn rit encore, se laissant transporter comme la déesse qu'iel incarnait. C'est qu'il était fort quand même , le démon faisant 85 kilos.
Puisque nous avons toute la journée, pourquoi ne pas reprendre des forces? Je peux te montrer la cuisine mais ne me demande pas de cuisiner, j'ai empoisonné la moitié de mon unité la seule fois ou j'ai été de corvée. Mais je crois que j'ai recu une livraison de raviolis ce matin. Si tu désire, je peux te servir d'assiette. En bas à droite mon cher et tendre ami. Je devrais apprendre la télékinésie d'ailleurs. Cela me semble fort pratique,
La tête dans le cou de Narcisse, le démon lui énumérait des idées ludiques d'utilisation de la télékinésie, en lui embrassant la jugulaire quand ils firent irruption dans la cuisine.
- image non contrctuelle de la cuisine:
Nous avons tout le temps du monde. Soupira rêveusement le démon quand le guerrier le déposa sur le tabouret de la cuisine. La lumière chaude de cette belle journée d'été entrait par les carreaux immaculés. Posant son menton dans la paume de sa main en croisant les jambes de facon fort distingués, le démon eut un geste de la main négligent qui alluma le poêle.
-J'ai fais l'eau chaude!!! L'étagère à ta droite a plein de thérière et du thé en feuille. La belle boite ouvragée viens de Melorn. C'est le docteur BÆsileiah qui me l'a fait découvrir. Et changea de position pour mieux admirer le splendide paysage qui s'activait devant iel.
« Si je peux me permettre de poser la question, qui sont ces gens qui se sont enfuis de chez toi ? Je ne tiens pas à être indiscret, mais s’ils ont besoin d’un endroit pour faire profil bas, mes biens sont toujours disponibles pour eux, pour toi. ». Son regard se planta dans le sien. « Je le pensais et je le pense toujours, Halewyn... ».
Halewyn s'était glissé dans le dos de Narcisse et s'était plaqué tout contre lui, le coincant doucement mais fermement contre le comptoir, la belle main d'artiste courant sur l'autre. les dents du démon éraflaient sans l'entamer la peau tendre de la nuque de ce dernier qui ne pouvait manquer la manifestation inimitable du désir
-J'ai pas arrêté de rêver de toi depuis quelques jours... Ronronna t'iel en remontant mordiller le lobe d,une oreille ultra sensible. -Elle est ce que vous considéreriez comme ma soeur que j'ai pris sous mon aile et lui son Immortel. Je leur passerai le message. Les prunelles noires flamboyèrent possessivement.
Tu sais que dans mes derniers rêves récents tu partage toutes mes nuits et que je suis la Mairesse de Justice en partie pour toi?
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum