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Port d'Ikusa, quelques jours après Le Repos du démon
D'accord, voyager à dos de griffon n'est réellement pas ce que Halewyn aimerait le plus. Si nous ajoutons sa faiblesse persistance, le démon n'est pas dans les meilleures dispositions non plus. Tagar s'est bien occupé d'iel et envoyé Melkor se dégourdir les pattes avec un messager pour la maison, et ce même si ils vont probablement arriver avant l,infatigable canasson.
Evidemment que ca lui fait des vacances. Et il y a d'autre chose qui tenaille le convalescent. La Faim. Les démons ne se nourrissent pas comme les mortels. Et si c'est accessoire et que, pour Halewyn du moins, n'est pas vital à son existence il n'en reste pas moins que pour se remettre, il lui semble que s'alimenter serait bien plaisant. Iel n'est pas assez en appétit cependant pour déroger à la sacro sainte règle du: on ne mange pas là ou dort. Et Tagar et son escorte de toute facon sont toujours dans son environnement immédiat.
Du coup, c'est trop de problèmes potentiels pour ce que cela rapporterait. Aussi bien prendre son mal en patience. Pense t'iel en sentant une âme dans le pont inférieur s'agiter sur sa couchette, en proie à un délicieux cauchemars. Dommage... Ce sera un autre jour
Mais enfin, aujourd'hui, le cri des goélands lui indique qu'ils vont toucher terre. Enfin... Trois jours dans cette embarcation et iel n'en peut déjà plus. Halewyn étouffe... Aussi se lève t'iel et enfile ce que le ministre Reikois avait préparé pour elle.
D'ailleurs, ca l'étonne qu'il n'ait pas encore déboulé dans la cabine qu'ils partagent. Habituellement, il ne la laisse jamais seule bien longtemps. Pense le démon en enfilant la délicate mousseline d'un vert tendre, beaucoup trop transparente et fragile pour une telle épopée mais Tagar voulait bien faire, la traitant en poupée délicate, fragile et hors de prix, sa maitresse en sommes même si ils ne font que des bisous.
Lissant les plis et replis d'une main experte, le démon pense qu'iel devra se procurer de nouvelles chemises et pantalons, n'osant invoquer sa magie tant qu'iel n'aura pas repris quelque forces. Iel sent un pouvoir s'agiter en iel, mais sans pouvoir mettre la main dessus. Bah elle y verra bien plus tard pense t'elle en prenant son ombrelle pour rejoindre Tagar sur le pont au moment même ou les procédures d'amarrages sont en cours. Les cheveux remontés en une coiffure savante dansaient légèrement dans la brise marine.
-C'est étrange mon ami assister à un tel spectacle aujourd'hui. Habituellement, je suis déjà loin. Soupira t'elle de sa voix de velours -Je réfléchissais à cela. Y a t'il des Ambassades ou des bureaux Républicains à Ikusa? Je ne veux pas t'être un fardeau plus que nécessaire
D'accord, voyager à dos de griffon n'est réellement pas ce que Halewyn aimerait le plus. Si nous ajoutons sa faiblesse persistance, le démon n'est pas dans les meilleures dispositions non plus. Tagar s'est bien occupé d'iel et envoyé Melkor se dégourdir les pattes avec un messager pour la maison, et ce même si ils vont probablement arriver avant l,infatigable canasson.
Evidemment que ca lui fait des vacances. Et il y a d'autre chose qui tenaille le convalescent. La Faim. Les démons ne se nourrissent pas comme les mortels. Et si c'est accessoire et que, pour Halewyn du moins, n'est pas vital à son existence il n'en reste pas moins que pour se remettre, il lui semble que s'alimenter serait bien plaisant. Iel n'est pas assez en appétit cependant pour déroger à la sacro sainte règle du: on ne mange pas là ou dort. Et Tagar et son escorte de toute facon sont toujours dans son environnement immédiat.
Du coup, c'est trop de problèmes potentiels pour ce que cela rapporterait. Aussi bien prendre son mal en patience. Pense t'iel en sentant une âme dans le pont inférieur s'agiter sur sa couchette, en proie à un délicieux cauchemars. Dommage... Ce sera un autre jour
Mais enfin, aujourd'hui, le cri des goélands lui indique qu'ils vont toucher terre. Enfin... Trois jours dans cette embarcation et iel n'en peut déjà plus. Halewyn étouffe... Aussi se lève t'iel et enfile ce que le ministre Reikois avait préparé pour elle.
- La tenue :
D'ailleurs, ca l'étonne qu'il n'ait pas encore déboulé dans la cabine qu'ils partagent. Habituellement, il ne la laisse jamais seule bien longtemps. Pense le démon en enfilant la délicate mousseline d'un vert tendre, beaucoup trop transparente et fragile pour une telle épopée mais Tagar voulait bien faire, la traitant en poupée délicate, fragile et hors de prix, sa maitresse en sommes même si ils ne font que des bisous.
Lissant les plis et replis d'une main experte, le démon pense qu'iel devra se procurer de nouvelles chemises et pantalons, n'osant invoquer sa magie tant qu'iel n'aura pas repris quelque forces. Iel sent un pouvoir s'agiter en iel, mais sans pouvoir mettre la main dessus. Bah elle y verra bien plus tard pense t'elle en prenant son ombrelle pour rejoindre Tagar sur le pont au moment même ou les procédures d'amarrages sont en cours. Les cheveux remontés en une coiffure savante dansaient légèrement dans la brise marine.
-C'est étrange mon ami assister à un tel spectacle aujourd'hui. Habituellement, je suis déjà loin. Soupira t'elle de sa voix de velours -Je réfléchissais à cela. Y a t'il des Ambassades ou des bureaux Républicains à Ikusa? Je ne veux pas t'être un fardeau plus que nécessaire
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- Attends, attends, je t'en supplie. Tu parles trop vite et quand tu le fait en appuyant sur la base de tes lunettes ainsi, je n'arrive pas a me concentrer sur tes mots.
Archibald sortait de l'office Republicaine d'un air fatigué. A ses cotés, une jeune femme d'une trentaine d'années a belle taille, a la mine severe et aux longs cheveux longs attachés en chignon. Elle portait des lunettes, qu'elle remontait sur l'arete de son nez frénétiquement avec le pouce, alors que de son bras libre, elle portait une demi douzaine de dossiers sous le bras.
- Archibald, vous devez remplir la totalité des documents administratifs que j'ai sous le bras, rencontré deux personnes d'importances clés pour l'un des dossiers en question, faire un passage dans le quartier dont je vous ai parlé, avoir une entrevue avec le représentant délégué des affaires etrangeres présent a Ikusa, mais aussi...
Voila que Lyla s'y remettait. En plus du fait qu'il ai un paquet de choses a faire, le fait qu'elle connaisse son emploi du temps par cœur ne faisait qu'agraver son impression de n'avoir aucune chance de s'en sortir. Ikusa etait une belle ville, et encore plus quand on avait de l'argent. Meme si il ne pouvait pas profiter d'un bon nombre d'activité, n'ayant pas le tatouage reikois, ca restait quelque chose d'agréable a vivre. Rien que pour le climat, il ne lui déplaisait pas.
- Bon, bon, on va refaire le point en mangeant, je ne pourrais pas tous faire, tu sais ? On ne dirait pas comme ça, mais figure toi que je ne suis toujours pas capable de me démultiplier. Au grand damne de certains de mes anciens profs. Surtout ceux qui sont morts aujourd'hui. Paix a leurs ames.
Il sourit, en disant ça sur le ton de la plaisanterie, et la femme aux cheveux clairs eu un petit sourire en coin. Elle etait dure avec lui, mais elle n'aurait jamais pu esperer avoir un meilleur patron. Il etait doté d'une grande bonté d'ame, et malgré son air un peu feignant, il travaillait beaucoup, quand il croyait dans ce qu'il faisait.
Elle constata alors qu'il avait tourné les yeux vers un petit attroupement droit vers eux, devant le batiment qu'ils venaient de quitter. Plusieurs soldats entourant une caleche et deux personnages, dont l'une des deux a la criniere de feu etait plutot haute en couleur. Un petit eclat passa de façon subtile dans son regard. Elle ne le connaissait que trop bien.
- Attendez, nous de...
Trop tard, il avait commencé a partir dans cette direction et elle n'eut d'autres choix que de trottiner derrière lui. A son approche, les gardes se serrerent comme pour défendre les deux personnes. Ils devaient etre important, et il reconnu aussitôt l'un des deux. Impossible pour lui de ne pas avoir déjà vu le cœur du Reike. Qui avaient participés a tant d'activité, notamment dans la relation entre les deux académies.
- Ola, pardonnez mon apparition, mais vous semblez perdu. Je connais un peu les environs et le batiment, je me suis dis que je pourrais vous rendre service ?
Lui meme etait plutot du genre pas très connu, et il faisait totalement en sorte de ne jamais qu'on le voit en public sous son identité d'ambassadeur. Et Lyla devint un peu rouge, quand elle constata son expression. Elle révisa alors aussitôt son avis sur lui. Elle le detestait de tout son cœur.
Il avait une idée amusante derriere la tete.
Archibald sortait de l'office Republicaine d'un air fatigué. A ses cotés, une jeune femme d'une trentaine d'années a belle taille, a la mine severe et aux longs cheveux longs attachés en chignon. Elle portait des lunettes, qu'elle remontait sur l'arete de son nez frénétiquement avec le pouce, alors que de son bras libre, elle portait une demi douzaine de dossiers sous le bras.
- Archibald, vous devez remplir la totalité des documents administratifs que j'ai sous le bras, rencontré deux personnes d'importances clés pour l'un des dossiers en question, faire un passage dans le quartier dont je vous ai parlé, avoir une entrevue avec le représentant délégué des affaires etrangeres présent a Ikusa, mais aussi...
Voila que Lyla s'y remettait. En plus du fait qu'il ai un paquet de choses a faire, le fait qu'elle connaisse son emploi du temps par cœur ne faisait qu'agraver son impression de n'avoir aucune chance de s'en sortir. Ikusa etait une belle ville, et encore plus quand on avait de l'argent. Meme si il ne pouvait pas profiter d'un bon nombre d'activité, n'ayant pas le tatouage reikois, ca restait quelque chose d'agréable a vivre. Rien que pour le climat, il ne lui déplaisait pas.
- Bon, bon, on va refaire le point en mangeant, je ne pourrais pas tous faire, tu sais ? On ne dirait pas comme ça, mais figure toi que je ne suis toujours pas capable de me démultiplier. Au grand damne de certains de mes anciens profs. Surtout ceux qui sont morts aujourd'hui. Paix a leurs ames.
Il sourit, en disant ça sur le ton de la plaisanterie, et la femme aux cheveux clairs eu un petit sourire en coin. Elle etait dure avec lui, mais elle n'aurait jamais pu esperer avoir un meilleur patron. Il etait doté d'une grande bonté d'ame, et malgré son air un peu feignant, il travaillait beaucoup, quand il croyait dans ce qu'il faisait.
Elle constata alors qu'il avait tourné les yeux vers un petit attroupement droit vers eux, devant le batiment qu'ils venaient de quitter. Plusieurs soldats entourant une caleche et deux personnages, dont l'une des deux a la criniere de feu etait plutot haute en couleur. Un petit eclat passa de façon subtile dans son regard. Elle ne le connaissait que trop bien.
- Attendez, nous de...
Trop tard, il avait commencé a partir dans cette direction et elle n'eut d'autres choix que de trottiner derrière lui. A son approche, les gardes se serrerent comme pour défendre les deux personnes. Ils devaient etre important, et il reconnu aussitôt l'un des deux. Impossible pour lui de ne pas avoir déjà vu le cœur du Reike. Qui avaient participés a tant d'activité, notamment dans la relation entre les deux académies.
- Ola, pardonnez mon apparition, mais vous semblez perdu. Je connais un peu les environs et le batiment, je me suis dis que je pourrais vous rendre service ?
Lui meme etait plutot du genre pas très connu, et il faisait totalement en sorte de ne jamais qu'on le voit en public sous son identité d'ambassadeur. Et Lyla devint un peu rouge, quand elle constata son expression. Elle révisa alors aussitôt son avis sur lui. Elle le detestait de tout son cœur.
Il avait une idée amusante derriere la tete.
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Ikusa by calèche... Se promener comme une jolie chose, un bibelot et en être fière... Embijoutée et couverte des plus chères soieries. L'image de la femme parfaite by Coeur du Reike. Tagar a énormément de travail, le démon le concoit parfaitement, mais il prend quand même le temps de la couver, d'en prendre soin et de l'exhiber accessoirement comme le plus précieux des oeufs de fabergé. Un oiseau exotique en somme. Et pourtant, il l'a vue se battre... Il l'a vue se contenter du confort le plus rudimentaire. Iel l'a vue tel qu'iel est. Et il continue de la percevoir comme une femme à protéger.
Lui et ses gardes qui ont la mine bien basse et envisagent la sauveuse de leur patron d'un oeil nouveau. Une chance que Tagar lui a fait promettre de ne pas leur en tenir rigueur, elle les aurait énucléé et se serait fait des yeux de mortels dans le vinaigre. Bande d'incapables... Sans elle, il serait mort tout simplement. Pense t'elle alors qu'ils devisent agréablement le long du trajet des sujets les plus mondains. Elle se croirait de retour àa l'avant-guerre, dans son rôle de courtisane. Si d'aucun associent ce métier avec celui de prostituée, rien n'est plus faux. Les subtilités ne sont pas connues de tout le monde. Oui, elle est la mieux placée pour veiller sur lui. Mais pourtant tout ce qu'elle désire en ce moment est de rentrer, pour pouvoir se sustenter en toute intimité et se régénérer. De toute façon, la sélection naturelle devrait le laisser tranquille dans l'avenir proche n'est ce pas?
Aussi n'est avec une grâce aussi marquée que ses pensées les plus profondes sont cachées derrière le magnifique visage, que la dame en question acepte du bout des doigts la main galamment tendue. Sa chevelure CARMINE, magnifiquement entretenue, brille d'un élat singulier sous la forte lumière Reikoise, lui donnant l'air d'une rose rouge avec ses vêtements dorés et vert tendre. L'oeil noir légèrement ourlé de khôl balaya les environs peendant qu'elle prit le temps d'ouvrir son ombrelle pour se protéger du soleil.
Tu es déjà bien bon Tagar de t'être occupé de moi jusqu'ici. Je m'en veux légèrement de te laisser en plan comme cela. Je me demande comment vous vous débrouillerez sans moi...
Ils furent interrompus par un malotrus qui s'avanca hardiment versle groupe, causant une position de défense parmis les gardes et un long et discret soupir d'ennui de la belle qui s'avanca, s'interposant de facon fort subtile entre le ministre et l'inconnu àa qui elle tendit sa main à baiser pendant qu'elle le couvait de son regard de velours noir. Il était brun, d'un certain âge et manifestement fort intrépide. Ou intéressé. Non mais qui allait à la rencontre de quelqu'un comme ca à brûle pourpoint?
Messire, pardonnez la nervosité de mon escorte. L'on me nomme Halewyn Giovinetta Sampiero.
Dit elle, tout sourire et grâce, le trouvant en elle-même très louche.
Lui et ses gardes qui ont la mine bien basse et envisagent la sauveuse de leur patron d'un oeil nouveau. Une chance que Tagar lui a fait promettre de ne pas leur en tenir rigueur, elle les aurait énucléé et se serait fait des yeux de mortels dans le vinaigre. Bande d'incapables... Sans elle, il serait mort tout simplement. Pense t'elle alors qu'ils devisent agréablement le long du trajet des sujets les plus mondains. Elle se croirait de retour àa l'avant-guerre, dans son rôle de courtisane. Si d'aucun associent ce métier avec celui de prostituée, rien n'est plus faux. Les subtilités ne sont pas connues de tout le monde. Oui, elle est la mieux placée pour veiller sur lui. Mais pourtant tout ce qu'elle désire en ce moment est de rentrer, pour pouvoir se sustenter en toute intimité et se régénérer. De toute façon, la sélection naturelle devrait le laisser tranquille dans l'avenir proche n'est ce pas?
Aussi n'est avec une grâce aussi marquée que ses pensées les plus profondes sont cachées derrière le magnifique visage, que la dame en question acepte du bout des doigts la main galamment tendue. Sa chevelure CARMINE, magnifiquement entretenue, brille d'un élat singulier sous la forte lumière Reikoise, lui donnant l'air d'une rose rouge avec ses vêtements dorés et vert tendre. L'oeil noir légèrement ourlé de khôl balaya les environs peendant qu'elle prit le temps d'ouvrir son ombrelle pour se protéger du soleil.
Tu es déjà bien bon Tagar de t'être occupé de moi jusqu'ici. Je m'en veux légèrement de te laisser en plan comme cela. Je me demande comment vous vous débrouillerez sans moi...
Ils furent interrompus par un malotrus qui s'avanca hardiment versle groupe, causant une position de défense parmis les gardes et un long et discret soupir d'ennui de la belle qui s'avanca, s'interposant de facon fort subtile entre le ministre et l'inconnu àa qui elle tendit sa main à baiser pendant qu'elle le couvait de son regard de velours noir. Il était brun, d'un certain âge et manifestement fort intrépide. Ou intéressé. Non mais qui allait à la rencontre de quelqu'un comme ca à brûle pourpoint?
Messire, pardonnez la nervosité de mon escorte. L'on me nomme Halewyn Giovinetta Sampiero.
Dit elle, tout sourire et grâce, le trouvant en elle-même très louche.
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Voila que les deux semblaient se battre pour passer devant l'un a l'autre. La premiere, une jeune femme assez agréable a l'oeil qui voulait obtenir un baise main. Il inclina d'abord un peu la tete dans sa direction en signe de respect. Mais alors qu'il aller se pencher pour lui froler le dos de la main, l'autre prenait la place un peu en force, comme pour mettre en place une sorte de dominance avec elle. Un Reikois aprés tout, c'etait assez classique, une sorte de tradition chez eux.
- Dame Sampiero donc, et sire Tagar ? C'est avec plaisir que je vous rencontre aujourd'hui.
Lyla arriva a cet instant précis, un peu essoufflée d'avoir trottiné derriere lui. C'est qu'il avait de grandes enjambées le bougre. Et il avait déjà engagé la conversation en plus. Il se retourna vers elle et lui fit un grand sourire étrange. Avec un regard qu'elle ne connaissait que trop bien. Celui qui disait « suis ce que je fais sinon t'es viré ». Elle soupira, ayant trop l'habitude de sa façon de faire.
- Oh, une ressortissante Republicaine. C'est un plaisir de voir une femme de chez nous. Mon nom est Archibald. Je suis en effet Republicain. Je dirige un complexe agricole au sud de Courage.
Il regarda les soldats.
- Vous devez etre un peu plus importante que moi pour avoir une telle escorte. C'est impressionnant, et j'ose le dire, un brin intimidant.
Son charisme etait tel qu'il pouvait etre intimidant a cause de sa largeur d'épaules et de sa présence naturelle. Un mage confirmé comme Tagar pouvait meme sentir qu'il n'avait pas affaire a n'importe qui. Il se pencha un peu vers eux deux, comme pour murmurer un nouveau secret d'une importance capitale.
- Figurez vous que je suis aussi en quete de rentrer chez nous, en Republique. Nous pourrions peut etre vous aider, ma dame.
Il désigna Lyla du coin du menton, en parlant encore moins fort.
- Je suis en voyage d'affaire avec l'ambassadrice Eledani ici présente. C'est un secret d'etat, je fais confiance a votre discretion pour ne pas trop l’ébruiter, elle est très populaire.
Lyla ouvrit de grands yeux en devenant cramoisie. Ca, elle ne l'avait pas vu venir. Elle fit un petit sourire timide et génée a Tagar, avant de détourner le regard. Dans quelle galere l'avait il encore mit avec ses petits jeux ?
- En tout cas, parler debout au milieu de la rue n'est pas forcément la chose la plus agréable. Nous pouvons peut etre aller quelque part pour en parler ?
- Dame Sampiero donc, et sire Tagar ? C'est avec plaisir que je vous rencontre aujourd'hui.
Lyla arriva a cet instant précis, un peu essoufflée d'avoir trottiné derriere lui. C'est qu'il avait de grandes enjambées le bougre. Et il avait déjà engagé la conversation en plus. Il se retourna vers elle et lui fit un grand sourire étrange. Avec un regard qu'elle ne connaissait que trop bien. Celui qui disait « suis ce que je fais sinon t'es viré ». Elle soupira, ayant trop l'habitude de sa façon de faire.
- Oh, une ressortissante Republicaine. C'est un plaisir de voir une femme de chez nous. Mon nom est Archibald. Je suis en effet Republicain. Je dirige un complexe agricole au sud de Courage.
Il regarda les soldats.
- Vous devez etre un peu plus importante que moi pour avoir une telle escorte. C'est impressionnant, et j'ose le dire, un brin intimidant.
Son charisme etait tel qu'il pouvait etre intimidant a cause de sa largeur d'épaules et de sa présence naturelle. Un mage confirmé comme Tagar pouvait meme sentir qu'il n'avait pas affaire a n'importe qui. Il se pencha un peu vers eux deux, comme pour murmurer un nouveau secret d'une importance capitale.
- Figurez vous que je suis aussi en quete de rentrer chez nous, en Republique. Nous pourrions peut etre vous aider, ma dame.
Il désigna Lyla du coin du menton, en parlant encore moins fort.
- Je suis en voyage d'affaire avec l'ambassadrice Eledani ici présente. C'est un secret d'etat, je fais confiance a votre discretion pour ne pas trop l’ébruiter, elle est très populaire.
Lyla ouvrit de grands yeux en devenant cramoisie. Ca, elle ne l'avait pas vu venir. Elle fit un petit sourire timide et génée a Tagar, avant de détourner le regard. Dans quelle galere l'avait il encore mit avec ses petits jeux ?
- En tout cas, parler debout au milieu de la rue n'est pas forcément la chose la plus agréable. Nous pouvons peut etre aller quelque part pour en parler ?
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La scène, en plus d'être surréaliste, sonnait atrocement faux. Pourquoi un délégué diplomatique laisserait un ambassadeur courir derrière? Pourquoi cette dernière rougirait t'elle comme une pucelle qui a vu son premier homme nu quand il la présente? Son calme et sa prestance naturelle d'homme mûr? Se sa main de libre, Halewyn dégaine un éventail crème et l'agite lentement, songeuse, soudainement plus magnanime envers les pauvres guerriers qui devaient ce coltiner cette absence s'instinct de survie au quotidien.
Parce que même eux devaient voir que ce ne pouvait être vrai n'est ce pas? C'est une blague? Il va assurément revenir à la vérité la plus logique... Non?
Le Coeur du Reike murmura, la faisant s'arrêter de s'éventer d'ébahissement.
Je pensais que c’était un homme, il s’est transformé ?
Ce fut au tour des joues d'Halewyn de rosir tandis qu'elle combattit une furieuse envie de répliquer Après tout, il était le Ministre des finances. Elle se contenta donc de reprendre son mouvement, bien cachée sous son ombrelle, ouvrit la bouche....
Et Tagar répondit pour elle évidemment... Et d'ensuite de demander son avis. Aussi le démon lui fit t'elle son plus adorable sourire, l'oeil pétillant et la tête inclinée juste ce qu'il fallait pour donner un angle fragile à con cou délicat, une petite mèche rouge flirtant avec sa clavicule.
-Evidemment, je n'aurais point accepté de refus de toute façon. Un peu de thé glacé nous aidera assurément à passer au travers de la journée. Dame Ambassadrice Dit la voix de soupir avec une infime intonation indéchiffrable, la bouche rose s'ourlant d'un sourire mutin. -Avez vous la place dans votre emploi du temps fort chargé? Il me déplairait de vous causer quelque embarras diplomatique que ce soit.
Un nom n'était qu'un nom majoritairement, un amas de lettres faisant un son, ou un un amas de mots supposés prendre sens ensembles. On pouvait appeler une rose, crottin, ou marguerite, elle n'en reste pas moins elle, peu importe son dénominateur. Il n'y avait que les mortels pour y accorder tant de sens et d'importance en fait. Le fait est qu'elle avait parfaitement deviné, c'était perceptible à l'éclat singulier des prunelles noires, mais ne disait rien pour ne pas embarrasser le ministre du Reike plus avant. Elle ne savait pas trop qui ils étaient et déployait tout son charme pour essayer de déjouer la sélection naturelle en préparation. De toute façon, elle n'avait aucune preuve que son intuition était juste. Elle priait de se tromper cependant, la démone n'avait pas la force arcanique actuellement pour protéger le Reikois.
C'était même le contraire, elle se fiait à lui et à son escorte pour la protéger elle, pendant cette phase si vulnérable.
Parce que même eux devaient voir que ce ne pouvait être vrai n'est ce pas? C'est une blague? Il va assurément revenir à la vérité la plus logique... Non?
Le Coeur du Reike murmura, la faisant s'arrêter de s'éventer d'ébahissement.
Je pensais que c’était un homme, il s’est transformé ?
Ce fut au tour des joues d'Halewyn de rosir tandis qu'elle combattit une furieuse envie de répliquer Après tout, il était le Ministre des finances. Elle se contenta donc de reprendre son mouvement, bien cachée sous son ombrelle, ouvrit la bouche....
Et Tagar répondit pour elle évidemment... Et d'ensuite de demander son avis. Aussi le démon lui fit t'elle son plus adorable sourire, l'oeil pétillant et la tête inclinée juste ce qu'il fallait pour donner un angle fragile à con cou délicat, une petite mèche rouge flirtant avec sa clavicule.
-Evidemment, je n'aurais point accepté de refus de toute façon. Un peu de thé glacé nous aidera assurément à passer au travers de la journée. Dame Ambassadrice Dit la voix de soupir avec une infime intonation indéchiffrable, la bouche rose s'ourlant d'un sourire mutin. -Avez vous la place dans votre emploi du temps fort chargé? Il me déplairait de vous causer quelque embarras diplomatique que ce soit.
Un nom n'était qu'un nom majoritairement, un amas de lettres faisant un son, ou un un amas de mots supposés prendre sens ensembles. On pouvait appeler une rose, crottin, ou marguerite, elle n'en reste pas moins elle, peu importe son dénominateur. Il n'y avait que les mortels pour y accorder tant de sens et d'importance en fait. Le fait est qu'elle avait parfaitement deviné, c'était perceptible à l'éclat singulier des prunelles noires, mais ne disait rien pour ne pas embarrasser le ministre du Reike plus avant. Elle ne savait pas trop qui ils étaient et déployait tout son charme pour essayer de déjouer la sélection naturelle en préparation. De toute façon, elle n'avait aucune preuve que son intuition était juste. Elle priait de se tromper cependant, la démone n'avait pas la force arcanique actuellement pour protéger le Reikois.
C'était même le contraire, elle se fiait à lui et à son escorte pour la protéger elle, pendant cette phase si vulnérable.
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Il manque d'éclater de rire devant la phrase de Tagar. C'est normal que le cœur soit au courant d'informations de ce type, le contraire l'aurait étonné, mais ca reste une blague qu'il trouve a mourir de rire. Et en plus, le Reikois ne semble pas tout a fait sur de lui. Il est d'ailleurs fortement motivé par la pensée d'un petit thé dans un coin calme. Il hocha la tete, content de la direction que prenait les choses...jusqu'a ce prendre une violente claque derriere la tete.
- Archibald, vous devriez avoir honte.
Il se redressa, clignant douloureusement des yeux, se massant la tete, alors que Lyla s'etait mit a coté de lui. Elle le regardait d'un air un peu furieux, mais passablement...animé ? Elle secoua la tete en le regardant de haut. Elle etait douée pour ça. Malgré son habitude de respecter les protocoles, c'etait egalement commun de jongler ainsi avec ses petites facéties.
- Pardonnez le, madame, mesire. Il a tendance a dire les choses les plus ridicules qui lui passe par la tete avec un flegme de tous les diables. Nous serons ravis de vous accompagner mais je crois que c'est moi qui vais parler dorénavant.
Il lui fit un petit sourire amical. Elle n'avait pas contredis son histoire, en tout cas. A vrai dire, il avait surtout les yeux sur Halewyn. L'aura qui émanait de cette femme etait pour la moins...étrange. Et sa curiosité de professeur etait en train de se reveiller, comme souvent. Toujours en se massant la tete, il observait les soldats, un a un. Ils ne revenaient clairement pas d'une petite marche digestive. Ils etaient tendu, les observant tous les deux avec des regards, presque prêt a frapper au moindre petit doute.
- Nous avons terminés ce que nous faisons ici, alors nous avons tous le temps du monde a vous consacrer avant de se mettre en route dans l'autre sens, vers notre pays.
Ils avaient prévu de prendre la route dans la nuit, pour profiter de la fraicheur du desert. Il etait resistant, mais pas un grand amateur des chaleurs ardentes que seuls ceux ayant naquit et vécu sous ses traits pouvaient totalement combattre sereinement. L'idée etait donc de faire une sieste l'aprés-midi. Son escorte se debrouillait, mais il aimait bien etre eveillé durant les voyages. C'etait plus agréable.
- Votre escorte va t'elle suivre ? Ca fait beaucoup d'hommes en armure pour une si belle journée.
Il sentit toute les sentinelles se tendre, et cela le fit rire intérieurement. C'etait trop facile. Ils etaient a fleur de peau, comme si ils avaient faillit faire une grosse boulette peu de temps auparavant. C'etait d'ailleurs peut etre le cas, et plusieurs d'entre eux avaient l'air particulierement fatigués.
- Et bien si il ne reste rien a dire, nous vous suivons avec plaisir. Derriere, Archibald.
Elle avait dit ça avec autorité, et il recula dans son dos avec bonhomie, tout souriant, attendant les instructions de leurs guides du jour.
- Archibald, vous devriez avoir honte.
Il se redressa, clignant douloureusement des yeux, se massant la tete, alors que Lyla s'etait mit a coté de lui. Elle le regardait d'un air un peu furieux, mais passablement...animé ? Elle secoua la tete en le regardant de haut. Elle etait douée pour ça. Malgré son habitude de respecter les protocoles, c'etait egalement commun de jongler ainsi avec ses petites facéties.
- Pardonnez le, madame, mesire. Il a tendance a dire les choses les plus ridicules qui lui passe par la tete avec un flegme de tous les diables. Nous serons ravis de vous accompagner mais je crois que c'est moi qui vais parler dorénavant.
Il lui fit un petit sourire amical. Elle n'avait pas contredis son histoire, en tout cas. A vrai dire, il avait surtout les yeux sur Halewyn. L'aura qui émanait de cette femme etait pour la moins...étrange. Et sa curiosité de professeur etait en train de se reveiller, comme souvent. Toujours en se massant la tete, il observait les soldats, un a un. Ils ne revenaient clairement pas d'une petite marche digestive. Ils etaient tendu, les observant tous les deux avec des regards, presque prêt a frapper au moindre petit doute.
- Nous avons terminés ce que nous faisons ici, alors nous avons tous le temps du monde a vous consacrer avant de se mettre en route dans l'autre sens, vers notre pays.
Ils avaient prévu de prendre la route dans la nuit, pour profiter de la fraicheur du desert. Il etait resistant, mais pas un grand amateur des chaleurs ardentes que seuls ceux ayant naquit et vécu sous ses traits pouvaient totalement combattre sereinement. L'idée etait donc de faire une sieste l'aprés-midi. Son escorte se debrouillait, mais il aimait bien etre eveillé durant les voyages. C'etait plus agréable.
- Votre escorte va t'elle suivre ? Ca fait beaucoup d'hommes en armure pour une si belle journée.
Il sentit toute les sentinelles se tendre, et cela le fit rire intérieurement. C'etait trop facile. Ils etaient a fleur de peau, comme si ils avaient faillit faire une grosse boulette peu de temps auparavant. C'etait d'ailleurs peut etre le cas, et plusieurs d'entre eux avaient l'air particulierement fatigués.
- Et bien si il ne reste rien a dire, nous vous suivons avec plaisir. Derriere, Archibald.
Elle avait dit ça avec autorité, et il recula dans son dos avec bonhomie, tout souriant, attendant les instructions de leurs guides du jour.
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Je vais suivre derrière avec monsieur. Dit Halewyn avec bonhomie pour respecter le protocole le plus élémentaire. Comme cela, nous n'apprendrons aucun secret d'état malencontreux qui pourrais mettre un malaise entre nous.... Monsieur le ministre, madame l'embassadrice... Monsieur Archibald... Me prêterez vous votre bras le temps de cette petite marche?
Qu'il accepte ou non, ce n'est pas grave, elle accompagne le Républicain en devisant de sujet aussi légers qu'inintéressants comme elle le fit en présence d'oreilles étrangères, s'enquérant des goûts de l'homme mûr avec une sincère curiosité. a part mentir, quels sont ses loisirs?C'est ce qu'elle essaye de savoir en fait. Quoi qu'il en soit, voici le quatuor qui arrive dans les lieux et la belle Shoumeienne est acceuillie comme l'habituée occasionnelle qu'elle est. Aprèes tout, elle est agréable, paie bien et donne de généreux pourboires Prenant place, elle veille avec discrétion à ce que tout le monde puisse choisir ce qui lui plait.
-Bonne suggestion approuva t'elle gentiment sans regarder la carte, les yeux brillants d'anticipation gourmande.-Dites, vous n'auriez pas refait votre financier double chocolat par hasard?Vous en resterait il assez pour notre escorte? Les pauvres ils n'ont pas mangé convenablement depuis notre embarquement à Mael et je crois que croquer hardiment dans un de vos financier leur remonterait le moral.
Qu'il accepte ou non, ce n'est pas grave, elle accompagne le Républicain en devisant de sujet aussi légers qu'inintéressants comme elle le fit en présence d'oreilles étrangères, s'enquérant des goûts de l'homme mûr avec une sincère curiosité. a part mentir, quels sont ses loisirs?C'est ce qu'elle essaye de savoir en fait. Quoi qu'il en soit, voici le quatuor qui arrive dans les lieux et la belle Shoumeienne est acceuillie comme l'habituée occasionnelle qu'elle est. Aprèes tout, elle est agréable, paie bien et donne de généreux pourboires Prenant place, elle veille avec discrétion à ce que tout le monde puisse choisir ce qui lui plait.
-Bonne suggestion approuva t'elle gentiment sans regarder la carte, les yeux brillants d'anticipation gourmande.-Dites, vous n'auriez pas refait votre financier double chocolat par hasard?Vous en resterait il assez pour notre escorte? Les pauvres ils n'ont pas mangé convenablement depuis notre embarquement à Mael et je crois que croquer hardiment dans un de vos financier leur remonterait le moral.
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Archibald lui tendit le bras avec toute sa bienveillance habituelle. Le contact n'apporta cependant aucune autre information que la suivante au démon : L'homme qui venait de lui sourire en lui présentant la plus rudimentaire des bonnes manieres avait une protection mentale de faire ne laissant filtrer par la moindre information qu'aurait pu tenter de glaner la rousse lors de ce contact. Il prit le pas de Tagar, juste derriere, alors que Lyla etait a ses cotés.
- Votre ami m'a l'air quelque peu sur les nerfs. Il est arrivé quelque chose il y a peu ?
C’était un peu exagéré, Tagar avait la bonne mine de tout bon noble Reikois qui se respecte, mais Archibald avait sentit une legere tension dans la façon qu'il avait eu de prendre les devant. Par habitude machiste comme pouvait souvent le faire les Reikois, ou bien pour une autre raison dont il ne connaissait pas la teneur. De toute façon, il n'allait pas forcer le sujet.
Juste devant, Lyla etait bien droite. C'etait une belle femme, grande, qui avait absolument tout de la notable républicaine. Et si elle etait actuellement a ce poste, c'est aussi parce qu'elle avait des ambitions un peu plus élevé. Cependant, malgré ça, elle était d'une loyauté sans faille, ce qui pouvait aussi devenir un point faible. Comme par exemple, quand il lui jouait ce genre de tour pour la mettre dans un sacré embarras.
- Veuillez me pardonner pour cette scène, messire Tagar. Archibald est un homme bon, mais il lui arrive parfois d’être un peu...impulsif.
Tout comme lui, peut être même encore plus, elle avait directement compris a qui elle avait a faire. Elle s'occupait de son agenda depuis un moment maintenant, et avant lui, d'un autre politicien assez important qui avait disparut de la scène pour diverse raison qu'il n’était pas bon de conter ici. Elle accepta d'entrer, suivi par le couple a l’arrière, et ils furent enfin a l'intérieur.
- Cet endroit est admirable.
Archibald avait commenté avec aplomb et sa bonhomie habituelle, et il prit place un peu en retrait des deux protagonistes principaux, après avoir tiré une chaise pour Halewyn en commentant sobrement d'un « madame ».
- Oh, oui, ce thé sera parfait.
C’était Lyla, cette fois, qui avait prit la parole pour commenter la proposition de l’hôte. Elle ajouta que ce serait parfait pour Archibald également, et ce dernier ne commenta pas. Il était toujours souriant, passant négligemment la main dans sa légére barbe. Lyla prit le bon ton de s'eclarcir la gorge aussitôt. Principe de base que de prendre le contrôle d'une conversation.
- Vous disiez avoir un petit soucis ? Pour retourner en Republique ? Nous sommes curieux de savoir ce que nous pourrions faire pour vous accommoder, madame, messire.
Avec talent, elle ouvrait la conversation aux deux. Archibald l'avait bien formé sur ça. Ainsi, il etait curieux de voir lequel des deux allaient prendre la parole en premier.
- Votre ami m'a l'air quelque peu sur les nerfs. Il est arrivé quelque chose il y a peu ?
C’était un peu exagéré, Tagar avait la bonne mine de tout bon noble Reikois qui se respecte, mais Archibald avait sentit une legere tension dans la façon qu'il avait eu de prendre les devant. Par habitude machiste comme pouvait souvent le faire les Reikois, ou bien pour une autre raison dont il ne connaissait pas la teneur. De toute façon, il n'allait pas forcer le sujet.
Juste devant, Lyla etait bien droite. C'etait une belle femme, grande, qui avait absolument tout de la notable républicaine. Et si elle etait actuellement a ce poste, c'est aussi parce qu'elle avait des ambitions un peu plus élevé. Cependant, malgré ça, elle était d'une loyauté sans faille, ce qui pouvait aussi devenir un point faible. Comme par exemple, quand il lui jouait ce genre de tour pour la mettre dans un sacré embarras.
- Veuillez me pardonner pour cette scène, messire Tagar. Archibald est un homme bon, mais il lui arrive parfois d’être un peu...impulsif.
Tout comme lui, peut être même encore plus, elle avait directement compris a qui elle avait a faire. Elle s'occupait de son agenda depuis un moment maintenant, et avant lui, d'un autre politicien assez important qui avait disparut de la scène pour diverse raison qu'il n’était pas bon de conter ici. Elle accepta d'entrer, suivi par le couple a l’arrière, et ils furent enfin a l'intérieur.
- Cet endroit est admirable.
Archibald avait commenté avec aplomb et sa bonhomie habituelle, et il prit place un peu en retrait des deux protagonistes principaux, après avoir tiré une chaise pour Halewyn en commentant sobrement d'un « madame ».
- Oh, oui, ce thé sera parfait.
C’était Lyla, cette fois, qui avait prit la parole pour commenter la proposition de l’hôte. Elle ajouta que ce serait parfait pour Archibald également, et ce dernier ne commenta pas. Il était toujours souriant, passant négligemment la main dans sa légére barbe. Lyla prit le bon ton de s'eclarcir la gorge aussitôt. Principe de base que de prendre le contrôle d'une conversation.
- Vous disiez avoir un petit soucis ? Pour retourner en Republique ? Nous sommes curieux de savoir ce que nous pourrions faire pour vous accommoder, madame, messire.
Avec talent, elle ouvrait la conversation aux deux. Archibald l'avait bien formé sur ça. Ainsi, il etait curieux de voir lequel des deux allaient prendre la parole en premier.
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Tagar est inquiet percoit Halewyn et ca se comprend, autant par son désir de quitter rapidement que par le fait qu'ileait travaillé autant durant la brève traversée. La dame se lève alors, dans un délicieux miroitement de mousse et de chainette dorée, pour lui donner deux baisers fraternels sur les joues.
-Je te remercie de ta sollicitude mon cher. Merci à vous tous de vous être retardés afin d'assouvir mon caprice. Je t'écrirai une fois rentrée. Ne t'inquiète plus pour moi.
Elle n'était pas, pour une fois, totalement tranquille. Sa blessure sapait ses facultées et ca l'agacait prodigieusement de ne pas pouvoir se fier sur sa magie. Lecon durement apprise de favoriser l'entrainement physique. Evidemment que son corp ne pouvait changer, au naturel, de musculature et d'apparence, mais s'entrainer encore plus à se battre et à se fier sur ses capacités physiques. Si iel voulait pouvoir se fier totalement sur iel-même en cas de pépin.
Affectant une confiance qu'iel était plus ou moins en train de ressentir, Dame Halewyn se rassied une fois le ministre parti et posa ses prunelles noires brillant d'intelligence sur le duo, un sourire mystérieux ourlant la bee bouche aux lèvres roses.
Monsieur, madame... Vous êtes chanceux que le Coeur ait été trop fortement préoccupé pour éventer votre bonne blague. C'était hilarant pour ma part, cela m'a beaucoup amusée, mais il y a encore quelques améliorations à apporter à votre jeu d'acteurs. Puis je humblement vous demander si vous êtes réellements Ambassadrice? Sans vouloir vous offenser.
En voulaient t'ils à son Mortel? était la question sous jacente à tout ce charabia. Que les abysses fassent que non, le démon n'étant pas en état de le défendre cette fois ci.
-Je te remercie de ta sollicitude mon cher. Merci à vous tous de vous être retardés afin d'assouvir mon caprice. Je t'écrirai une fois rentrée. Ne t'inquiète plus pour moi.
Elle n'était pas, pour une fois, totalement tranquille. Sa blessure sapait ses facultées et ca l'agacait prodigieusement de ne pas pouvoir se fier sur sa magie. Lecon durement apprise de favoriser l'entrainement physique. Evidemment que son corp ne pouvait changer, au naturel, de musculature et d'apparence, mais s'entrainer encore plus à se battre et à se fier sur ses capacités physiques. Si iel voulait pouvoir se fier totalement sur iel-même en cas de pépin.
Affectant une confiance qu'iel était plus ou moins en train de ressentir, Dame Halewyn se rassied une fois le ministre parti et posa ses prunelles noires brillant d'intelligence sur le duo, un sourire mystérieux ourlant la bee bouche aux lèvres roses.
Monsieur, madame... Vous êtes chanceux que le Coeur ait été trop fortement préoccupé pour éventer votre bonne blague. C'était hilarant pour ma part, cela m'a beaucoup amusée, mais il y a encore quelques améliorations à apporter à votre jeu d'acteurs. Puis je humblement vous demander si vous êtes réellements Ambassadrice? Sans vouloir vous offenser.
En voulaient t'ils à son Mortel? était la question sous jacente à tout ce charabia. Que les abysses fassent que non, le démon n'étant pas en état de le défendre cette fois ci.
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