Page 2 sur 2 • 1, 2
Invité
Invité
Il resta silencieux un long moment aprés sa tirade. L'air de réfléchir vraiment a ce qu'elle venait de dire et de ne pas le prendre a la légére. Mais tout ce dont elle parlait, c’était au final incroyablement flou. Il n'avait pas ce rythme normal. Pas cette vie simple que la plupart des humanoides vivaient. Il en était même extrêmement loin. Il se pencha en avant et ramassa son carnet.
- Permettez moi d'écrire cette phrase. C'est assez..intéressant. J'aimerais pouvoir y réfléchir a nouveau plus tard.
Alors qu'il écrivait, il comprit aisément qu'elle voulait l'éloigner de toute source d'ennuis. Elle lui avait dit qu'elle était une garde forestière. Il la laissa se justifier un moment, avant de mettre la derniere marque d'encre et de refermer le petit carnet :
- Je crois que vous vous méprenez. Je n'ai pas besoin d’être protégé de quoi que ce soit.
Il se redressa et se mit même debout. Il observait un point invisible entre les arbres, comme si il avait vu quelque chose alors que ce n’était littéralement qu'une direction au hasard qui avait attiré ses pupilles, comme il faisait souvent. Il soupira.
- Comme vous aviez l'air de ne pas vouloir rentrer ici, au départ, nous pouvons gagner du temps, je peux vous emmener. Je reviendrais chercher ma carriole plus tard.
Il laissa ses deux grandes ailes blanches surgirent de part et d'autre de son corps. Proportionnel a sa taille, elles etaient plutot impressionnante, et surtout, c'etait sans doute surprenant quand on avait en tete qu'il etait censé etre « humain ». Mais il l'avait sous entendu, il n'avait pas menti. Il n'avait pas besoin d'aide.
- En volant, nous pouvons etre n'importe ou rapidement, dans votre foret.
Il n'avait pas envie de fermer les yeux. Même si il ne dormait jamais ou presque, il lui arrivait de reposer son esprit. Mais il n'avait pas vraiment le besoin, actuellement, de ralentir. Elle avait raison sur un point important.
- L'urgence est la, comme vous dites, et j'en ai bien conscience, en réalité. Mais si vous aussi vous etes fatiguée, nous pouvons prendre le temps en vérité.
Mais il n'avait pas eu une émotion aussi franche depuis un moment. Un petit brin d'excitation. Une aventure potentielle.
- Permettez moi d'écrire cette phrase. C'est assez..intéressant. J'aimerais pouvoir y réfléchir a nouveau plus tard.
Alors qu'il écrivait, il comprit aisément qu'elle voulait l'éloigner de toute source d'ennuis. Elle lui avait dit qu'elle était une garde forestière. Il la laissa se justifier un moment, avant de mettre la derniere marque d'encre et de refermer le petit carnet :
- Je crois que vous vous méprenez. Je n'ai pas besoin d’être protégé de quoi que ce soit.
Il se redressa et se mit même debout. Il observait un point invisible entre les arbres, comme si il avait vu quelque chose alors que ce n’était littéralement qu'une direction au hasard qui avait attiré ses pupilles, comme il faisait souvent. Il soupira.
- Comme vous aviez l'air de ne pas vouloir rentrer ici, au départ, nous pouvons gagner du temps, je peux vous emmener. Je reviendrais chercher ma carriole plus tard.
Il laissa ses deux grandes ailes blanches surgirent de part et d'autre de son corps. Proportionnel a sa taille, elles etaient plutot impressionnante, et surtout, c'etait sans doute surprenant quand on avait en tete qu'il etait censé etre « humain ». Mais il l'avait sous entendu, il n'avait pas menti. Il n'avait pas besoin d'aide.
- En volant, nous pouvons etre n'importe ou rapidement, dans votre foret.
Il n'avait pas envie de fermer les yeux. Même si il ne dormait jamais ou presque, il lui arrivait de reposer son esprit. Mais il n'avait pas vraiment le besoin, actuellement, de ralentir. Elle avait raison sur un point important.
- L'urgence est la, comme vous dites, et j'en ai bien conscience, en réalité. Mais si vous aussi vous etes fatiguée, nous pouvons prendre le temps en vérité.
Mais il n'avait pas eu une émotion aussi franche depuis un moment. Un petit brin d'excitation. Une aventure potentielle.
Invité
Invité
Il ne la lâchera pas tant qu'il n'aura pas eu son petit sursaut d'adrénaline. Réalisa Idunn qui eut bien conscience d'en avoir trop dit. Ca ne l'empêcha pas de sauter sur ses pieds pour faire le tour d'Aryan et de ses magnifiques ailes qui jaillissaient de son dos. Mais qu'est ce qu'il est? Réfléchissait t'elle à toute vitesse. Un hybride? NØn, de ce genre, ca vit à fond, ca mange, ca cri, ca rit, ca bouscule. Et surtout quand sa moitié part, ils s'en trouvent une autre pour la plupart.
Il ne mange pas, ne dort pas... Mais quel être vivant ne dort jamais? Un titan? Non, ceux qui ont été répertoriés sont gigantesques. Une harpie, une valkyrie? Non, ce sont des femmes et lui c'est un specimen mâle, objectivement parlant... Il ne reste qu'un ange ou un démon... Voyons, de quoi se rappelle t'elle. Les anges sont des envoyés des titans en majorité et es démons sont les envoyés de personnes. Les deux peuvent manipuler les gens. Les uns en pronant la vertue et l'autre bien... C'est aléatoire, les archives étant bien succinctes a ce niveau, l'un comme l'autre étant considérés comme des êtres de légende donc elle ne prenait rien de ce que disaient les livres comme argent comptant. Des gens bons et des mauvais, il y en avait de toutes les races. Peut-être minus les titans. Mais ce qu,elle savait c'est que les deux espèces étaient en opposition profonde.
-Ange ou démon? Demanda t'elle, taquine, en se plantant directement devant lui, les mains dans le dos et se balancant doucement telle une gamine de cent fois plus jeune. -Peu importe en fait, tu es une espèce à protéger et c'est mon rôle. En plus, j,essaye de ne jamais voler le premier soir.
Idunn savait parfaitement que c'était vaseux comme blague. Le fait est qu'ici et ou à la maison de son père, il sera en sécurité. Elle ne connaissait ni son pedigree ni rien et il était hors de question de le mettre en danger même si il disait le contraire. Les gens ca mens souvent pour se mettre en valeur.
De plus, vous devez veiller sur Serpent et trouver votre Ange, il n'a que vous et elle doit vous attendre.
Il ne mange pas, ne dort pas... Mais quel être vivant ne dort jamais? Un titan? Non, ceux qui ont été répertoriés sont gigantesques. Une harpie, une valkyrie? Non, ce sont des femmes et lui c'est un specimen mâle, objectivement parlant... Il ne reste qu'un ange ou un démon... Voyons, de quoi se rappelle t'elle. Les anges sont des envoyés des titans en majorité et es démons sont les envoyés de personnes. Les deux peuvent manipuler les gens. Les uns en pronant la vertue et l'autre bien... C'est aléatoire, les archives étant bien succinctes a ce niveau, l'un comme l'autre étant considérés comme des êtres de légende donc elle ne prenait rien de ce que disaient les livres comme argent comptant. Des gens bons et des mauvais, il y en avait de toutes les races. Peut-être minus les titans. Mais ce qu,elle savait c'est que les deux espèces étaient en opposition profonde.
-Ange ou démon? Demanda t'elle, taquine, en se plantant directement devant lui, les mains dans le dos et se balancant doucement telle une gamine de cent fois plus jeune. -Peu importe en fait, tu es une espèce à protéger et c'est mon rôle. En plus, j,essaye de ne jamais voler le premier soir.
Idunn savait parfaitement que c'était vaseux comme blague. Le fait est qu'ici et ou à la maison de son père, il sera en sécurité. Elle ne connaissait ni son pedigree ni rien et il était hors de question de le mettre en danger même si il disait le contraire. Les gens ca mens souvent pour se mettre en valeur.
De plus, vous devez veiller sur Serpent et trouver votre Ange, il n'a que vous et elle doit vous attendre.
Invité
Invité
Il s'etait attendu a provoquer une réaction, c’était souvent comme ça. Les rares fois ou il avait décidé que la personne en question pouvait voir sans soucis. Mais c’était la première fois qu'il se révélait ainsi depuis qu'il connaissait plus ou moins sa propre race. C’était Luviel qui la lui avait indiqué, une sœur de sang et d'existence. Et voilà qu'il se dévoilait cette fois tout naturellement devant cette quasi inconnue. Qui n'avait d'ailleurs pas l'air de vouloir le lacher.
- Vous n'avez vraiment pas besoin de me protéger...
Il remarqua le petit sourire, alors qu'elle se plantait a nouveau devant lui, tellement prêt qu'il avait le besoin de baisser le menton presque entièrement pour pouvoir la regarder, et capter cet air amusé. Elle se moquait de lui en fait ? Il avait capté l'allusion, oui. Et elle avait l'air assez fière d'elle.
- Alors disons que ce n'est pas un vol, mais une balade en contestant les lois de la gravité.
Il avait presque envie de se pencher et de la prendre sans lui demander son avis. Mais ca n'allait probablement pas lui plaire et il n'avait pas envie qu'elle commence a se débattre a plusieurs dizaines de mètres du sol. Devoir ainsi plonger, pour la rattraper, ca allait etre d'un grand ennui.
- Si vous ne voulez pas d'aide, soit. Mais je ne compte pas attendre sans rien faire durant plusieurs jours. Je n'ai pas le temps. Sois je vous aide, sois je vais m'en aller. Ou bien je vais continuer a fouiller la foret.
Il avait l'impression qu'elle n'allait pas être contente de ce point, et c’était un peu ce qu'il cherchait. Il recula légérement de sa zone de présence, pas pour la fuir, mais surtout pour ne pas finir par craquer et s'envoler avec elle de force. C’était peu judicieux.
- Serpent peut veiller sur lui tout seul. Nous ne nous apprécions pas vraiment, a vrai dire.
Quand au fait qu'elle devait attendre, il se l’était dit durant la première partie de ses recherches. Il n'en etait désormais plus si sur. Il était quasiment certain qu'elle était capable de s'en tirer seule, a un moment ou a un autre. Soit elle s’était enfuie, soit elle était morte, il n'y avait rien entre les deux pour lui. Pas la moindre nuance.
- ...Plutot que de croire que vous savez mieux que moi la protection dont j'ai besoin, ce qui est, je prefere le dire, assez vexant, pourquoi ne pas plutot me dire exactement tout ce qui est arrivé sur ce probleme ? Vous pouvez au moins commencer par me raconter ?
Elle devait sous estimer l'etendue de ses pouvoirs. Et lui aussi en fait, n'avait aucune conscience de toute les prouesses dont il etait capable. Mais ca allait peut etre finir par revenir a un moment ou a un autre...
- Vous n'avez vraiment pas besoin de me protéger...
Il remarqua le petit sourire, alors qu'elle se plantait a nouveau devant lui, tellement prêt qu'il avait le besoin de baisser le menton presque entièrement pour pouvoir la regarder, et capter cet air amusé. Elle se moquait de lui en fait ? Il avait capté l'allusion, oui. Et elle avait l'air assez fière d'elle.
- Alors disons que ce n'est pas un vol, mais une balade en contestant les lois de la gravité.
Il avait presque envie de se pencher et de la prendre sans lui demander son avis. Mais ca n'allait probablement pas lui plaire et il n'avait pas envie qu'elle commence a se débattre a plusieurs dizaines de mètres du sol. Devoir ainsi plonger, pour la rattraper, ca allait etre d'un grand ennui.
- Si vous ne voulez pas d'aide, soit. Mais je ne compte pas attendre sans rien faire durant plusieurs jours. Je n'ai pas le temps. Sois je vous aide, sois je vais m'en aller. Ou bien je vais continuer a fouiller la foret.
Il avait l'impression qu'elle n'allait pas être contente de ce point, et c’était un peu ce qu'il cherchait. Il recula légérement de sa zone de présence, pas pour la fuir, mais surtout pour ne pas finir par craquer et s'envoler avec elle de force. C’était peu judicieux.
- Serpent peut veiller sur lui tout seul. Nous ne nous apprécions pas vraiment, a vrai dire.
Quand au fait qu'elle devait attendre, il se l’était dit durant la première partie de ses recherches. Il n'en etait désormais plus si sur. Il était quasiment certain qu'elle était capable de s'en tirer seule, a un moment ou a un autre. Soit elle s’était enfuie, soit elle était morte, il n'y avait rien entre les deux pour lui. Pas la moindre nuance.
- ...Plutot que de croire que vous savez mieux que moi la protection dont j'ai besoin, ce qui est, je prefere le dire, assez vexant, pourquoi ne pas plutot me dire exactement tout ce qui est arrivé sur ce probleme ? Vous pouvez au moins commencer par me raconter ?
Elle devait sous estimer l'etendue de ses pouvoirs. Et lui aussi en fait, n'avait aucune conscience de toute les prouesses dont il etait capable. Mais ca allait peut etre finir par revenir a un moment ou a un autre...
Invité
Invité
La phrase laisse la petite femme de marbre. Evidemment qu'il n'a pas besoin d'être protégé. Comme tout les humains. Le laisser seul dans la réservepar contre... C'est un peu plus embêtant, Idunn n'ayant pas envie que deux espèces protégées se battent entre elles.
Une balade contestant les lois de la gravité. Ca me a comme concept. Nous pourrions même gagner du temps à la place des corbeaux. Je pourrai me renseigner aux voisins cette nuit.Pour le problème, je ne sais pas exactement, ce n'est pas moi qui enquête dessus. J'aurais été en conflit d'intérêt. ije dois juste garder la zone.
D'un geste tendre, elle enjoint Eau à éteindre Feu, la lumière dorée laissant place au halo argenté de la nuit.
J'espère que tu vois dans le noir parceque pas moi. Nous n'aurons qu'à nous arrêter là ou tu vois de la lumière.
Oui,l'occuper, le laisser se dépenser. Les gens fougueux et débordants d'énergie sont les plus suceptibles de faire des conneries. Et, surtout ne pas le laisser se balader seul. Aussi fort puisse t'il être, il reste un étranger et devoir euthanasier des bêtes derriere lui, ca ne serait pas bien. Quand à Serpent, avec gentillesse, elle prend le morceau de cuir chaud et le referme comme un sac avec une lanièere large qu'elle noue asez pour faire une andoulière, en s'assurant que l'animal soit confortable.
-Si Serpent ne t'appréciait pas un minimum, il ne t'aurait pas rejoins. Garde le sac
Dit elle en le lui tendant, patientant qu'il l'enfile avant de tendre les bras, joueuse.
Alors comment on fonctionne? Je n'ai jamais été dans le ciel.
Une balade contestant les lois de la gravité. Ca me a comme concept. Nous pourrions même gagner du temps à la place des corbeaux. Je pourrai me renseigner aux voisins cette nuit.Pour le problème, je ne sais pas exactement, ce n'est pas moi qui enquête dessus. J'aurais été en conflit d'intérêt. ije dois juste garder la zone.
D'un geste tendre, elle enjoint Eau à éteindre Feu, la lumière dorée laissant place au halo argenté de la nuit.
J'espère que tu vois dans le noir parceque pas moi. Nous n'aurons qu'à nous arrêter là ou tu vois de la lumière.
Oui,l'occuper, le laisser se dépenser. Les gens fougueux et débordants d'énergie sont les plus suceptibles de faire des conneries. Et, surtout ne pas le laisser se balader seul. Aussi fort puisse t'il être, il reste un étranger et devoir euthanasier des bêtes derriere lui, ca ne serait pas bien. Quand à Serpent, avec gentillesse, elle prend le morceau de cuir chaud et le referme comme un sac avec une lanièere large qu'elle noue asez pour faire une andoulière, en s'assurant que l'animal soit confortable.
-Si Serpent ne t'appréciait pas un minimum, il ne t'aurait pas rejoins. Garde le sac
Dit elle en le lui tendant, patientant qu'il l'enfile avant de tendre les bras, joueuse.
Alors comment on fonctionne? Je n'ai jamais été dans le ciel.
Invité
Invité
Alors qu'elle avait l'air bien opposé a l'idée de s'envoler juste avant, finalement, elle accepta, et il en fut satisfait. Elle n’était pas de ces créatures qui ne réfléchissait pas et restait enfermé dans des décisions prises. Elle savait improviser, analyser, changer d'avis. Il n'avait pas besoin d'en savoir beaucoup plus.
- D'accord, on va faire ça alors.
Il recula, la laissant se préparer. Elle semblait danser entre l'eau et le feu, éteignant le second avec le premier, puis prépara le petit sac pour serpent. Il avait failli dire que c’était inutile, et finalement c'etait agréable de la voir faire ceci. Autant ne pas la déranger et qu'elle se concentre sur son action. Elle se pencha ensuite et récupéra serpent a l'intérieur qui s'y lova sans demander son reste.
- Vous parlez aux animaux, vous aussi ?
Comme Hava ? Peut être. Après tout la créature l'avait écouté sans rechigner comme il faisait souvent, en restant inerte dans un coin. Peut être même qu'il avait l'impression d'avoir retrouvé sa petite démone favorite. Il n'etait pas dans la tete de l'animal, et n'avait clairement pas le meme niveau de compréhension de la bete que les deux femmes respectives.
- Pour s'envoler c'est simple, mais la plupart du temps il y a une différence de pression et ca peut tourner, alors j'irais juste au dessus du niveau des arbres si cela vous conviens.
Elle se planta devant lui, et comme il faisait une bonne petite quarantaine de centimetres de plus qu'elle, il du se pencher, sans poser ses mains sur son corps, prévenant d'abord.
- Il faut que je vous tienne bien. Dites moi ou vous preferez.
Avec Hava, une main sous les fesses, l'autre dans le dos, et ils partaient a toute allure. Mais elle avait l'habitude des cieux, alors que cette Idunn n'en était clairement pas familière. Quand elle eu désigné la façon dont elle souhaitait qu'il la prenne, il s'executa, jusqu'à la tenir solidement dans ses bras.
- Allons y alors ?
Il fit un simple mouvement d'aile, et ses pieds décolèrent du sol. Ca pouvait etre un choc, et pourtant c'etait assez lent dans le mouvement. Elle pu sentir l'air venir lui caresser le visage, alors qu'ils etaient déjà a deux doigts de dépasser les grands arbres haut de quelques metres.
- Respirez bien, et si ca ne va pas on peux redescendre quand vous voulez.
Il lui caressa gentiment le dos, en s'arretant pour écouter ses directives quand a la direction a suivre. Lui, voyait comme en plein jour.
- D'accord, on va faire ça alors.
Il recula, la laissant se préparer. Elle semblait danser entre l'eau et le feu, éteignant le second avec le premier, puis prépara le petit sac pour serpent. Il avait failli dire que c’était inutile, et finalement c'etait agréable de la voir faire ceci. Autant ne pas la déranger et qu'elle se concentre sur son action. Elle se pencha ensuite et récupéra serpent a l'intérieur qui s'y lova sans demander son reste.
- Vous parlez aux animaux, vous aussi ?
Comme Hava ? Peut être. Après tout la créature l'avait écouté sans rechigner comme il faisait souvent, en restant inerte dans un coin. Peut être même qu'il avait l'impression d'avoir retrouvé sa petite démone favorite. Il n'etait pas dans la tete de l'animal, et n'avait clairement pas le meme niveau de compréhension de la bete que les deux femmes respectives.
- Pour s'envoler c'est simple, mais la plupart du temps il y a une différence de pression et ca peut tourner, alors j'irais juste au dessus du niveau des arbres si cela vous conviens.
Elle se planta devant lui, et comme il faisait une bonne petite quarantaine de centimetres de plus qu'elle, il du se pencher, sans poser ses mains sur son corps, prévenant d'abord.
- Il faut que je vous tienne bien. Dites moi ou vous preferez.
Avec Hava, une main sous les fesses, l'autre dans le dos, et ils partaient a toute allure. Mais elle avait l'habitude des cieux, alors que cette Idunn n'en était clairement pas familière. Quand elle eu désigné la façon dont elle souhaitait qu'il la prenne, il s'executa, jusqu'à la tenir solidement dans ses bras.
- Allons y alors ?
Il fit un simple mouvement d'aile, et ses pieds décolèrent du sol. Ca pouvait etre un choc, et pourtant c'etait assez lent dans le mouvement. Elle pu sentir l'air venir lui caresser le visage, alors qu'ils etaient déjà a deux doigts de dépasser les grands arbres haut de quelques metres.
- Respirez bien, et si ca ne va pas on peux redescendre quand vous voulez.
Il lui caressa gentiment le dos, en s'arretant pour écouter ses directives quand a la direction a suivre. Lui, voyait comme en plein jour.
Invité
Invité
Je ne parle pas aux animaux comme dans les légendes. Répondit la garde forestière en aidant le reptile à se placer confortablement. Je suis attentive à leur comportement, si ils manifestent des signes de détresse ou d'inconfort. Les gens aussi ont des comportements types. Je pense que ca se nomme le non verbal. J'ai grandi en foret, du coup j'ai appris.
Termine t'elle en ajustant le tout sur l'ange, prenant bien attention de ne pas lui froisser de plume. Ils seront confortables tout deux? Excellent. Pendant ce temps, il lui donne les consignes qu'elle écoute avec attention pendant qu'il se penche par dessus elle, lui faisant de l'ombre comme un prédateur. Relevant la tête, la demi orc tient son terrain avec un calme exemplaire, seul son entrainement l'emmpêchant de fuir. Aryan avait quand même un truc d'inquiétant. Ce a quoi elle opposa la carte de l'humour pourri.
Tant que tu ne me pelote pas, je demande juste de ne pas me lâcher?
Il la prit alors comme sa démone favorite. Dos et fesses, tandis qu'elle s'accrocha fermement à son cou. Idunn était anormalement lourde pour quelqu'un d'aussi petit. Et il prirent la voie des cieux. Au début, elle n'ouvrit pas les yeux, sentant le vent sur ses joues et le battement des aimmenses ailes. Il y avait quelque chose de déstabilisant à ne pas sentir Terre sous ses pieds. Ca ne lui semblait pas naturel.
Ensuite, elle ouvrit les yeux pour contempler le panorama et en fut bouche bée. La cime des arbres faisaient leplus somtueux des tapis éclairé par la lune. ŀe ciel, ouvert, était un grand pan de velours indigo piqueté de diamants. C'était magnifique. Magique... Pendant quelques minutes, elle se laissa transporter, avant de voir une infime lueur orangée au loin.
-Par là, juste en bas presque!!! Si je ne me trompe pas, c'est la cabane du vieux Gus le doyen de la Réserve. Si quelqu'un peut me répondre c'est lui.
C'est là que ca se gâta. ŀe virage sur l'aile de l'ange ne fut pas du tout du goût de son estomac qui protesta bruyamment. Tout se mit èa tourner pour a demi-orc. Les cimes et le ciel... Par chance, ils eurent le temps d'arriver et d'atterrir, laissant juste ce qu'il fallait de temps pour l'archère qu'elle puisse sauver sa dignité en allant vomir derrière le premier arbre venu.
-Par la Mère.... *vomit*
Termine t'elle en ajustant le tout sur l'ange, prenant bien attention de ne pas lui froisser de plume. Ils seront confortables tout deux? Excellent. Pendant ce temps, il lui donne les consignes qu'elle écoute avec attention pendant qu'il se penche par dessus elle, lui faisant de l'ombre comme un prédateur. Relevant la tête, la demi orc tient son terrain avec un calme exemplaire, seul son entrainement l'emmpêchant de fuir. Aryan avait quand même un truc d'inquiétant. Ce a quoi elle opposa la carte de l'humour pourri.
Tant que tu ne me pelote pas, je demande juste de ne pas me lâcher?
Il la prit alors comme sa démone favorite. Dos et fesses, tandis qu'elle s'accrocha fermement à son cou. Idunn était anormalement lourde pour quelqu'un d'aussi petit. Et il prirent la voie des cieux. Au début, elle n'ouvrit pas les yeux, sentant le vent sur ses joues et le battement des aimmenses ailes. Il y avait quelque chose de déstabilisant à ne pas sentir Terre sous ses pieds. Ca ne lui semblait pas naturel.
Ensuite, elle ouvrit les yeux pour contempler le panorama et en fut bouche bée. La cime des arbres faisaient leplus somtueux des tapis éclairé par la lune. ŀe ciel, ouvert, était un grand pan de velours indigo piqueté de diamants. C'était magnifique. Magique... Pendant quelques minutes, elle se laissa transporter, avant de voir une infime lueur orangée au loin.
-Par là, juste en bas presque!!! Si je ne me trompe pas, c'est la cabane du vieux Gus le doyen de la Réserve. Si quelqu'un peut me répondre c'est lui.
C'est là que ca se gâta. ŀe virage sur l'aile de l'ange ne fut pas du tout du goût de son estomac qui protesta bruyamment. Tout se mit èa tourner pour a demi-orc. Les cimes et le ciel... Par chance, ils eurent le temps d'arriver et d'atterrir, laissant juste ce qu'il fallait de temps pour l'archère qu'elle puisse sauver sa dignité en allant vomir derrière le premier arbre venu.
-Par la Mère.... *vomit*
Invité
Invité
- Vous peloter ? Ah, votre corps vous voulez dire ? Je n'y vois pas tellement d'interet.
Il avait dit ça de façon neutre, sans songer que sur le coup, ca pouvait etre un peu vexant. Bah, elle allait s'en remettre, il en etait sur. Il déscendit légérement la main sur ses fesses, l'autre dans son dos, et la laissa passer un bras derriere sa nuque pour se mettre le plus confortable possible. Il décola d'un unique battement d'aile, la force de ses muscles se dévoilant en cet instant.
- Evitez de regarder en bas si vous avez le vertige.
Car le panorama etait vertigineux. Il ne s'arreta pas juste au dessus des arbres, il continua a grimper, dépassant une petite volute de fumée pour permettre a la jeune femme d'observer la totalité de sa foret a perte de vue. Elle n'avait peut etre jamais vu un tel spectacle. Ce chez elle si différent depuis cette hauteur. Un autre monde.
- C'est vrai que c'est assez grand...a pied ca aurait effectivement mit du temps.
Mais surtout, le fait de pouvoir voler donner immédiatement un tout autre caractere aux possibilités de déplaplcement qu'il avait évoqué. Elle l'avait regardé avec des grands yeux, comme si il racontait véritablement n'importe quoi. Maintenant elle comprenait ce qu'il avait voulu dire. En effet, tout etait plus simple comme ça.
- Ah, oui, la cabane la bas. J'ai justement laissé mon attirait non loin de ce point, alors c'est parfait.
Il s'etait arrété de façon un peu seche dans les airs, sans y penser, habitude pour lui qu'il n'avait jamais eu besoin de controler avec Hava. Quand elle etait dans ses bras, elle avait l'habitude, et la plupart du temps, elle suivait elle meme en volant. Il tourna et sentit aussitôt le petit corps se tendre contre lui. Et avoir un bref tremblement qu'il reconnu aisément.
- Pas sur moi.
Il dit ça sur un ton stoique en accelerant un peu d'un nouveau battement d'aile, causant une caresse agréable sur le visage de la semi-orc qui pu l'aider a resister un peu. Elle avait quand meme légérement changé de couleur, et délicatement, il lui caressa le dos sans rien ajouter, pour l'aider a tenir. Il ne volait jamais avec personne a part Hava, il ne savait absolument pas que ca pouvait causer ce genre de soucis.
Il vint atterir un peu plus tot que ce qu'il aurait pu faire, pour lui épargner deux minutes de souffrance supplémentaire. Il la déposa gentiment sur ses pieds et recula, détournant les yeux pour lui laisser l'intimité de son soulagement. Il observa les alentours et marcha jusqu'à la cariolle laissé la, les chevaux levant a peine la tete de leur festin quand il passa négligemment la main sur la tete de l'un d'eux.
- Désolé, madame, de vous laisser dans un tel etat. Il faudrait pratiquer un peu pour que cela soit plus naturel pour vous.
Ses ailes avaient disparut dans aucun mouvement, juste comme ça, et il fit déscendre serpent qui trouva refuge a l'intérieur de l'habitacle. Puis il s'étira un peu, les épaules un poil alourdit par les mouvements et retourna jusqu'à elle, lui caressant légérement le dos a nouveau.
- Voila, soufflez bien et ca devrait passer.
Il avait dit ça de façon neutre, sans songer que sur le coup, ca pouvait etre un peu vexant. Bah, elle allait s'en remettre, il en etait sur. Il déscendit légérement la main sur ses fesses, l'autre dans son dos, et la laissa passer un bras derriere sa nuque pour se mettre le plus confortable possible. Il décola d'un unique battement d'aile, la force de ses muscles se dévoilant en cet instant.
- Evitez de regarder en bas si vous avez le vertige.
Car le panorama etait vertigineux. Il ne s'arreta pas juste au dessus des arbres, il continua a grimper, dépassant une petite volute de fumée pour permettre a la jeune femme d'observer la totalité de sa foret a perte de vue. Elle n'avait peut etre jamais vu un tel spectacle. Ce chez elle si différent depuis cette hauteur. Un autre monde.
- C'est vrai que c'est assez grand...a pied ca aurait effectivement mit du temps.
Mais surtout, le fait de pouvoir voler donner immédiatement un tout autre caractere aux possibilités de déplaplcement qu'il avait évoqué. Elle l'avait regardé avec des grands yeux, comme si il racontait véritablement n'importe quoi. Maintenant elle comprenait ce qu'il avait voulu dire. En effet, tout etait plus simple comme ça.
- Ah, oui, la cabane la bas. J'ai justement laissé mon attirait non loin de ce point, alors c'est parfait.
Il s'etait arrété de façon un peu seche dans les airs, sans y penser, habitude pour lui qu'il n'avait jamais eu besoin de controler avec Hava. Quand elle etait dans ses bras, elle avait l'habitude, et la plupart du temps, elle suivait elle meme en volant. Il tourna et sentit aussitôt le petit corps se tendre contre lui. Et avoir un bref tremblement qu'il reconnu aisément.
- Pas sur moi.
Il dit ça sur un ton stoique en accelerant un peu d'un nouveau battement d'aile, causant une caresse agréable sur le visage de la semi-orc qui pu l'aider a resister un peu. Elle avait quand meme légérement changé de couleur, et délicatement, il lui caressa le dos sans rien ajouter, pour l'aider a tenir. Il ne volait jamais avec personne a part Hava, il ne savait absolument pas que ca pouvait causer ce genre de soucis.
Il vint atterir un peu plus tot que ce qu'il aurait pu faire, pour lui épargner deux minutes de souffrance supplémentaire. Il la déposa gentiment sur ses pieds et recula, détournant les yeux pour lui laisser l'intimité de son soulagement. Il observa les alentours et marcha jusqu'à la cariolle laissé la, les chevaux levant a peine la tete de leur festin quand il passa négligemment la main sur la tete de l'un d'eux.
- Désolé, madame, de vous laisser dans un tel etat. Il faudrait pratiquer un peu pour que cela soit plus naturel pour vous.
Ses ailes avaient disparut dans aucun mouvement, juste comme ça, et il fit déscendre serpent qui trouva refuge a l'intérieur de l'habitacle. Puis il s'étira un peu, les épaules un poil alourdit par les mouvements et retourna jusqu'à elle, lui caressant légérement le dos a nouveau.
- Voila, soufflez bien et ca devrait passer.
Invité
Invité
Idunn étant une femme quand même, est incertaine de comment elle doit se sentir face à l'affirmation d'Aryan concernant son corp. Avec une telle phrase, il lui rappelle en une seconde comment elle est... elle. Devrait elle lui flanquer sa main dans la figure pour cette insulte voilée ou être soulagée qu'il ne marque aucun intérêt? Dilemme cornélien.
Merci de me rappeler que je suis petite, verte et moche.
Finit t'elle par dire avec un sourire jaune en prenant place dans les bras étonnamment musculeux. Habituellement, l'archer mage n'est pas friande de contact physique, surtout avec ceux qu'elle ne connait pas. Aussi se raidit elle quand il passe sa main sous ses fesses, mais entoure le coup de l'Homme de bras étrangements solides.
Mais surtout, le fait de pouvoir voler donner immédiatement un tout autre caractere aux possibilités de déplaplcement qu'il avait évoqué. Elle l'avait regardé avec des grands yeux, comme si il racontait véritablement n'importe quoi. Maintenant elle comprenait ce qu'il avait voulu dire. En effet, tout etait plus simple comme ça.
Et comme nous savons déjà comment se passe le voyage, cher lecteur, permetton nous de passer tout de suite à l'atterrisage et rvenons au moment ou elle se vide de l'écureuil précédemment ingurgité dans un buisson de salsepareille.
- Désolé, madame, de vous laisser dans un tel etat. Il faudrait pratiquer un peu pour que cela soit plus naturel pour vous. Voila, soufflez bien et ca devrait passer.
Se relevant en s'essuyant la bouche avec une feuille que Peuplier lui tend obligeamment, Idunn sourit de nouveau.
- Ca va aller. Comme tu as dit, je n'ai jamais volé. Ca va aller. Si nous marchions un peu jusque chez Gus, ca va me permettre de me replacer les idées. Tu veux venir avec moi ou tu me laisse y aller seule?
Se relevant, la demi orc regarde autour avan de pointer une direction aussi surement qu'en plein jour. En tant que tel, le clair de la lune pleine aidait beaucoup.
Merci de me rappeler que je suis petite, verte et moche.
Finit t'elle par dire avec un sourire jaune en prenant place dans les bras étonnamment musculeux. Habituellement, l'archer mage n'est pas friande de contact physique, surtout avec ceux qu'elle ne connait pas. Aussi se raidit elle quand il passe sa main sous ses fesses, mais entoure le coup de l'Homme de bras étrangements solides.
Mais surtout, le fait de pouvoir voler donner immédiatement un tout autre caractere aux possibilités de déplaplcement qu'il avait évoqué. Elle l'avait regardé avec des grands yeux, comme si il racontait véritablement n'importe quoi. Maintenant elle comprenait ce qu'il avait voulu dire. En effet, tout etait plus simple comme ça.
Et comme nous savons déjà comment se passe le voyage, cher lecteur, permetton nous de passer tout de suite à l'atterrisage et rvenons au moment ou elle se vide de l'écureuil précédemment ingurgité dans un buisson de salsepareille.
- Désolé, madame, de vous laisser dans un tel etat. Il faudrait pratiquer un peu pour que cela soit plus naturel pour vous. Voila, soufflez bien et ca devrait passer.
Se relevant en s'essuyant la bouche avec une feuille que Peuplier lui tend obligeamment, Idunn sourit de nouveau.
- Ca va aller. Comme tu as dit, je n'ai jamais volé. Ca va aller. Si nous marchions un peu jusque chez Gus, ca va me permettre de me replacer les idées. Tu veux venir avec moi ou tu me laisse y aller seule?
Se relevant, la demi orc regarde autour avan de pointer une direction aussi surement qu'en plein jour. En tant que tel, le clair de la lune pleine aidait beaucoup.
Invité
Invité
Il avait haussé les sourcils à la réponse d'Idunn qui paraissait vexée. Hum. Et bien il avait sans doute manqué de tact, mais il avait cru que c'est ce qu'elle voulait entendre. Voila qu'elle sous entendait l'inverse. Elle était compliqué pour une humanoïde. D'habitude elles étaient souriantes et louchaient sur lui sans trop comprendre ce qu'il disait. Bon, il en connaissait quelques unes d'un peu plus difficile, certes, et il n’était de toute manière pas vraiment dans un état propre a l'habituelle séduction instinctive qu'il mettait en place.
Puis avant qu'il n'ait pu répondre, ils étaient en l'air, et elle s’était petit a petit crispé. Pourtant ils n'allaient pas spécialement vite. Elle devait être sensible. Au niveau du cœur ou du système intestinal. Ou bien les deux. En tout cas elle devint un peu blafarde, signe qu'il valait mieux rapidement couper court a la balade.
Quand elle acheva de répendre tout son mal, et qu'elle s'essuya la bouche, il hocha la tete doucement en guise d'acceptation de son malheur. Elle n’était pas moche, au contraire. Mais le dire comme ça ferait un peu trop forcé, comme pour se rattraper d'une erreur. Il garda donc ça pour lui pour le moment.
- Je ne vais pas vous laisser seule, voyons, belle dame. Nous sommes venus ensemble, nous irons ensemble.
Il lui proposa sa main, plutot que son bras, comme pour lui montrer qu'il n'avait vraiment aucun soucis de proximité avec elle, contrairement a ce qu'elle, de son coté, aurait pu croire. Elle avait réveillé chez lui une certaine connaissance des alentours qu'il avait laissé tombé depuis un moment dans l'obscurité.
- Merci de me permettre...de retrouver la couleur de la lune.
Il leva la tête, continuant de marcher, peu importe qu'elle ai prit sa main ou non. Il était content d’être la. Parfois le destin était un bon guide. La vie n’était pas fini, ce n’était que la continuité du chemin. Avec elle, peut etre sans. Tant qu'il y aurait un but, alors il pourrait continuer a avancer. Il sourit soudainement, et éclata d'un bref rire.
- Oui, je l'avais oublié. Quel idiot !
Il baissa la tete vers elle, pour continuer de la regarder, et opina du chef alors qu'ils approchaient de la cabane en question. Elle etait vraiment douée pour se repérer en tout cas, ca c'etait sur.
- Vous etiez bien loin du compte, tout a l'heure, belle Idunn. Dans la lumiere de l'astre lunaire, vous etes éclatante. Vraiment. Vous me donnez envie d'ecrire sur vous.
Rajouter a sa collection le récit de la belle femme de la nature, perdue dans les bois, dans son existence, souhaitant découvrir le monde. Décrire son guide d'un soir, qui l'avait aidé a reprendre un souffle alors qu'il manquait d'air.
- Mais ce n'est pas le moment. Allons voir ce bon vieux Gus.
Il ajouta ça naturellement, en la laissant passer devant, au niveau de la porte.
Puis avant qu'il n'ait pu répondre, ils étaient en l'air, et elle s’était petit a petit crispé. Pourtant ils n'allaient pas spécialement vite. Elle devait être sensible. Au niveau du cœur ou du système intestinal. Ou bien les deux. En tout cas elle devint un peu blafarde, signe qu'il valait mieux rapidement couper court a la balade.
Quand elle acheva de répendre tout son mal, et qu'elle s'essuya la bouche, il hocha la tete doucement en guise d'acceptation de son malheur. Elle n’était pas moche, au contraire. Mais le dire comme ça ferait un peu trop forcé, comme pour se rattraper d'une erreur. Il garda donc ça pour lui pour le moment.
- Je ne vais pas vous laisser seule, voyons, belle dame. Nous sommes venus ensemble, nous irons ensemble.
Il lui proposa sa main, plutot que son bras, comme pour lui montrer qu'il n'avait vraiment aucun soucis de proximité avec elle, contrairement a ce qu'elle, de son coté, aurait pu croire. Elle avait réveillé chez lui une certaine connaissance des alentours qu'il avait laissé tombé depuis un moment dans l'obscurité.
- Merci de me permettre...de retrouver la couleur de la lune.
Il leva la tête, continuant de marcher, peu importe qu'elle ai prit sa main ou non. Il était content d’être la. Parfois le destin était un bon guide. La vie n’était pas fini, ce n’était que la continuité du chemin. Avec elle, peut etre sans. Tant qu'il y aurait un but, alors il pourrait continuer a avancer. Il sourit soudainement, et éclata d'un bref rire.
- Oui, je l'avais oublié. Quel idiot !
Il baissa la tete vers elle, pour continuer de la regarder, et opina du chef alors qu'ils approchaient de la cabane en question. Elle etait vraiment douée pour se repérer en tout cas, ca c'etait sur.
- Vous etiez bien loin du compte, tout a l'heure, belle Idunn. Dans la lumiere de l'astre lunaire, vous etes éclatante. Vraiment. Vous me donnez envie d'ecrire sur vous.
Rajouter a sa collection le récit de la belle femme de la nature, perdue dans les bois, dans son existence, souhaitant découvrir le monde. Décrire son guide d'un soir, qui l'avait aidé a reprendre un souffle alors qu'il manquait d'air.
- Mais ce n'est pas le moment. Allons voir ce bon vieux Gus.
Il ajouta ça naturellement, en la laissant passer devant, au niveau de la porte.
Invité
Invité
Un rire amusé sonnant comme Rivière sur un lit de galets répondit au compliment de l'ange qu'elle poussa amicalement de l'épaule, ce qui lui donna un coup sur la hanche. Bon... Ce n'était pas grave, elle était habituée depuis le temps .
-Dis, tu complimente tout le monde comme ca ou juste celles qui viennent de vomir leur dîner dans les buissons? Si tu écris la dessus, je narrerai l'épisode du pervers des bois.
Blagua t'elle justa avant de monter comme un jeune chevreau la volée de marche amenant ;a la cahute de Gus qui tenait presque plus d'une forteresse dans un arbre, Ses fils et filles s'étant construit ce qui ressemblait à des huttes reliées entre elles par des échelles et des ponts de bois. Dans la réserve, la hauteur des logis des gardes chases évitaient quelques problèmes.
Q↑and ils ouvrirent la porte, c'était sur ce qui apparaissait come une salle commune. Tout était de bois sauf la pièce centrale qui était faite de pierre et dans laquelle brulait un feu jouyeux recouvert d'un pare étincelle. Deux tables longues sur des tréteaux bas étaient disposés de part et d'autre. Elle le pris par le bras et lui demanda de descendre son oreille fine vers elle, pour mieux le mettre au jus.
-Ici ils font tout. Gus a une grande famille 5 enfants et au moins dix petits enfants, la majorités mariés. Ils attenent la 4e génération je crois. et la majorité sont gardes chasses. On les appelle les Fourmis. Ils sont de vraies commères aussi si quelqu'un de la réserve sait. C'est lui, il ne bouge plus d'ici depuis qu'il s'est recu du venin de Lanconda dans les yeux.
Idunn... L'appela une voix de vieillard d'un amas de fourrure autour du feu. C'est toujours un plaisir de t'entendre. Mais toujours aussi commère que les autres. Viens par ici et emmène le visiteur.
Avec un grand sourire, elle pris Aryan par la main et le traina vers le coin le plus éloigné du feu. En effet, dans le noir et assis dans un fauteuil à haut dossier, était un colosse. Si l'âge avait fait fondre quelques couche de muscles, il n'en restait pas moins bâti comme un ours, sa chevelure blanche et la barbe impeccablement taillée qui déposa sa lourde hache à ses côtés avant que la demi orc ne lui saute au cou.
Papi!!!!Je suis contente de savoir que tu va toujours bien.
Tu ne viens pas assez souvent.Grommela l'homme, bourru. Ton babillage incessant emplit l'air quand même. Avant que le regard aveugle ne cille et qu'un large sourire ne soulève les coins de la barbe. Alors ces nouvelles du monde?
Je te présente Aryan Papi, il cherche sa femme et il pense que des esclavagistes auraient pu l'avoir capturé ou amenée dans la réserve. Broda t'elle au plus simple. Mais il va te raconter lui même ca sera plus simple je crois.
-Dis, tu complimente tout le monde comme ca ou juste celles qui viennent de vomir leur dîner dans les buissons? Si tu écris la dessus, je narrerai l'épisode du pervers des bois.
Blagua t'elle justa avant de monter comme un jeune chevreau la volée de marche amenant ;a la cahute de Gus qui tenait presque plus d'une forteresse dans un arbre, Ses fils et filles s'étant construit ce qui ressemblait à des huttes reliées entre elles par des échelles et des ponts de bois. Dans la réserve, la hauteur des logis des gardes chases évitaient quelques problèmes.
Q↑and ils ouvrirent la porte, c'était sur ce qui apparaissait come une salle commune. Tout était de bois sauf la pièce centrale qui était faite de pierre et dans laquelle brulait un feu jouyeux recouvert d'un pare étincelle. Deux tables longues sur des tréteaux bas étaient disposés de part et d'autre. Elle le pris par le bras et lui demanda de descendre son oreille fine vers elle, pour mieux le mettre au jus.
-Ici ils font tout. Gus a une grande famille 5 enfants et au moins dix petits enfants, la majorités mariés. Ils attenent la 4e génération je crois. et la majorité sont gardes chasses. On les appelle les Fourmis. Ils sont de vraies commères aussi si quelqu'un de la réserve sait. C'est lui, il ne bouge plus d'ici depuis qu'il s'est recu du venin de Lanconda dans les yeux.
Idunn... L'appela une voix de vieillard d'un amas de fourrure autour du feu. C'est toujours un plaisir de t'entendre. Mais toujours aussi commère que les autres. Viens par ici et emmène le visiteur.
Avec un grand sourire, elle pris Aryan par la main et le traina vers le coin le plus éloigné du feu. En effet, dans le noir et assis dans un fauteuil à haut dossier, était un colosse. Si l'âge avait fait fondre quelques couche de muscles, il n'en restait pas moins bâti comme un ours, sa chevelure blanche et la barbe impeccablement taillée qui déposa sa lourde hache à ses côtés avant que la demi orc ne lui saute au cou.
Papi!!!!Je suis contente de savoir que tu va toujours bien.
Tu ne viens pas assez souvent.Grommela l'homme, bourru. Ton babillage incessant emplit l'air quand même. Avant que le regard aveugle ne cille et qu'un large sourire ne soulève les coins de la barbe. Alors ces nouvelles du monde?
Je te présente Aryan Papi, il cherche sa femme et il pense que des esclavagistes auraient pu l'avoir capturé ou amenée dans la réserve. Broda t'elle au plus simple. Mais il va te raconter lui même ca sera plus simple je crois.
Invité
Invité
Il ignora sa remarque, sa blague. Elle avait l'air de vouloir en rire et c'etait tant mieux au final. Mais lui ne trouvait pas ça très amusant. Elle avait vraiment l'air de croire qu'il avait dit ça juste pour se dédouaner. Ce n'etait pas le cas, il le pensait vraiment. Elle etait jolie, et avait ses petites particularités qui la rendait vraiment intéressante de son point de vu. Oui, intéressante, c’était le terme.
Il oublia la suite de cette pensée en posant les yeux sur la petite communauté de bois qui s'etait formé dans les arbres. Fascinant, encore une fois. C'etait vraiment une zone agréable a exploré. Un vrai microcosme lié a la nature, a la faune et la flore des lieux. Rien que naviguer entre ces différents points devaient demander une condition physique assez élevé. Le genre qui se développait toute une vie de travail dehors.
- C'est une belle suite d'édifice.
Il n'avait pas songé qu'ils allaient peut etre tomber sur quelqu'un de vraiment agé. Un humain vu la façon dont elle en parlait. Mais la question etait de savoir depuis combien de temps elle le connaissait. Car elle faisait relativement jeune. La nature de son existence etait encore un peu trouble, et ajoutait a la curiosité qui émanait de sa personne.
Il vola simplement jusqu'à la plateforme pour pouvoir pénétrer les lieux avec elle, se penchant légérement. Il etait grand, et visiblement, ici, un peu moins. C'etait naturel que des travailleurs soient naturellement un peu plus tassé en terme de taille. Sans doute un peu plus trapue.
Il leva la tete quand la voix les fit venir, et la laissa évoluer en avant, suivant avec la sérénité qui s'échappait de lui et le caractérisait. Peut etre une forme de sagesse insondable, meme. Elle lui prit la main pour le tirer avec lui, et il constata la sensation de sa peau pouvait avoir dans sa main. Etrange. Non, la sensation ne venait pas d'elle, mais de lui.
L'homme etait comme Aryan l'avait imaginé. Pas spécialement grand, mais une force de la nature. Parfait pour ce type d'endroit. Il ne devait plus grimper beaucoup cela dit, mais gardait la force physique pour etre capable de s'occuper des taches du quotidien, laissant celles plus éloignés sans doute a sa descendance, désormais. Il les laissa parler et s'inclina légèrement quand elle évoqua son cas.
- Pour tous vous dire, je ne pense pas vraiment qu'ils sont ici. Disons plutôt que je n'avais plus aucune autre piste ou chercher.
Il s'appuya légèrement contre le mur, ses yeux argentés continuant de faire le tour de la pièce, curieux, franc, avant de se reposer sur le colosse.
- Il n'y a pas grand chose a raconter. Mon amie s'est fait enlevé proche de Melorn, au nord, il y a un mois environ. Des professionnels. Des mercenaires sans doute mais je n'ai pas beaucoup d'informations supplémentaires sur eux. Je sais juste que deux d'entre eux sont morts dans le desert, mais elle n'etait déjà plus avec eux.
Il avait quand meme reussit a remonter quelque piste, mais vraiment rien de plus. Il etait sur que c'etait en Republique qu'on l'avait livré. Courage, Liberty, c'etait dans une de ces deux villes. Mais difficile de la retrouver, pour dire la vérité. Peut etre que dans la reserve, lieu ou le braconnage devait etre très lucratif, ils pourraient avoir des informations sur des criminels réputés dans ce type de capture.
- Je n'ai pas grand chose de plus a vous dire. Je peux vous montrer mon amie, mais pas sur que cela ne vous serve a grand chose.
Si ils voulaient, ils n'auraient qu'a utiliser une illusion pour qu'elles soient soudainement deux eux deux, dans la piece.
Il oublia la suite de cette pensée en posant les yeux sur la petite communauté de bois qui s'etait formé dans les arbres. Fascinant, encore une fois. C'etait vraiment une zone agréable a exploré. Un vrai microcosme lié a la nature, a la faune et la flore des lieux. Rien que naviguer entre ces différents points devaient demander une condition physique assez élevé. Le genre qui se développait toute une vie de travail dehors.
- C'est une belle suite d'édifice.
Il n'avait pas songé qu'ils allaient peut etre tomber sur quelqu'un de vraiment agé. Un humain vu la façon dont elle en parlait. Mais la question etait de savoir depuis combien de temps elle le connaissait. Car elle faisait relativement jeune. La nature de son existence etait encore un peu trouble, et ajoutait a la curiosité qui émanait de sa personne.
Il vola simplement jusqu'à la plateforme pour pouvoir pénétrer les lieux avec elle, se penchant légérement. Il etait grand, et visiblement, ici, un peu moins. C'etait naturel que des travailleurs soient naturellement un peu plus tassé en terme de taille. Sans doute un peu plus trapue.
Il leva la tete quand la voix les fit venir, et la laissa évoluer en avant, suivant avec la sérénité qui s'échappait de lui et le caractérisait. Peut etre une forme de sagesse insondable, meme. Elle lui prit la main pour le tirer avec lui, et il constata la sensation de sa peau pouvait avoir dans sa main. Etrange. Non, la sensation ne venait pas d'elle, mais de lui.
L'homme etait comme Aryan l'avait imaginé. Pas spécialement grand, mais une force de la nature. Parfait pour ce type d'endroit. Il ne devait plus grimper beaucoup cela dit, mais gardait la force physique pour etre capable de s'occuper des taches du quotidien, laissant celles plus éloignés sans doute a sa descendance, désormais. Il les laissa parler et s'inclina légèrement quand elle évoqua son cas.
- Pour tous vous dire, je ne pense pas vraiment qu'ils sont ici. Disons plutôt que je n'avais plus aucune autre piste ou chercher.
Il s'appuya légèrement contre le mur, ses yeux argentés continuant de faire le tour de la pièce, curieux, franc, avant de se reposer sur le colosse.
- Il n'y a pas grand chose a raconter. Mon amie s'est fait enlevé proche de Melorn, au nord, il y a un mois environ. Des professionnels. Des mercenaires sans doute mais je n'ai pas beaucoup d'informations supplémentaires sur eux. Je sais juste que deux d'entre eux sont morts dans le desert, mais elle n'etait déjà plus avec eux.
Il avait quand meme reussit a remonter quelque piste, mais vraiment rien de plus. Il etait sur que c'etait en Republique qu'on l'avait livré. Courage, Liberty, c'etait dans une de ces deux villes. Mais difficile de la retrouver, pour dire la vérité. Peut etre que dans la reserve, lieu ou le braconnage devait etre très lucratif, ils pourraient avoir des informations sur des criminels réputés dans ce type de capture.
- Je n'ai pas grand chose de plus a vous dire. Je peux vous montrer mon amie, mais pas sur que cela ne vous serve a grand chose.
Si ils voulaient, ils n'auraient qu'a utiliser une illusion pour qu'elles soient soudainement deux eux deux, dans la piece.
Invité
Invité
Gus écoutait attentivement, la main d'Idunn sur son épaule. La jeune dryade se tenait coite et il lui en était gré. Parce qe le vieux savait. Son père lui avait dit et il avait eu quelques disputes avec Placidu à ce sujet, l'elfe ne voulant rien révéler pour la sécurité de la jeune. Il y aurait un moment ou il e dirait à un de ses fils, afin que la vérité perdure quelque part. Déposant la hache au sol à son pied, il pose ensuite ses grands battoirs sur ses genoux.
Grmpf. D'accord, il faut bien commencer quelques part. Montre nous. Idunn. Déċrit moi s'il te plait.
Sourit il dun ton engageant, ce qu'elle fit avec calme une fois qu'Aryan se soit exécuté.
Mmmm... Un mètre soixante. Apparence jeune. Physique fin, efique. Carnation d'un rose cendré pâle. Cheveux très longs d'un rose plus soutenu. Deux grands yeux comme Biche eux aussi roses. Deux cornes frontales d'environ 5 centimères. Deux ailes en coucher de soleil, je calcule un bon trois mètre trente d'envergure.
Le vieil homme marqua un temps de réflexion. Puis sourit de nouveau.
La beauté c'est qu'on a eu, pour la majorité une vie d'aventure avant de reprendre le flambeau familial. J'ai crapahuté moi aussi dans mon jeune temps. Et mes fils et filles aussi. On m'a raconté que les dirigeants de la pègre de Liberty cherchaient des êtres d'exceptions. Des hybrides entre autre. J'ai entendu entre les branches le nom de Kebossa et de Ssisska. Je ne traite pas avec eux, mais je pense que si des gens peuvent t'aider à la retrouver, ca pourraient être elles. Fais attention juste de ne pas perdre tes ailes au passage, traiter avec la Pègre peut être pire que de traiter avec les démons.
Comment savait t'il que l'ange était ailé? Idunn se couvrit la bouche, cachant son sourire mutin. Sacré papi.
J'ai une petite fille établie à Liberty. Estelle... Elle est blanchisseuse et veuve. Elle pourrait te louer une chambre si tu lui dit que c'est Papi qui tenvoie. Pas Gus, Papi. Je peux t'aider à d'autre chose gamin? Tu as besoin d'un endroit pour dormir? De la soupe?
Grmpf. D'accord, il faut bien commencer quelques part. Montre nous. Idunn. Déċrit moi s'il te plait.
Sourit il dun ton engageant, ce qu'elle fit avec calme une fois qu'Aryan se soit exécuté.
Mmmm... Un mètre soixante. Apparence jeune. Physique fin, efique. Carnation d'un rose cendré pâle. Cheveux très longs d'un rose plus soutenu. Deux grands yeux comme Biche eux aussi roses. Deux cornes frontales d'environ 5 centimères. Deux ailes en coucher de soleil, je calcule un bon trois mètre trente d'envergure.
Le vieil homme marqua un temps de réflexion. Puis sourit de nouveau.
La beauté c'est qu'on a eu, pour la majorité une vie d'aventure avant de reprendre le flambeau familial. J'ai crapahuté moi aussi dans mon jeune temps. Et mes fils et filles aussi. On m'a raconté que les dirigeants de la pègre de Liberty cherchaient des êtres d'exceptions. Des hybrides entre autre. J'ai entendu entre les branches le nom de Kebossa et de Ssisska. Je ne traite pas avec eux, mais je pense que si des gens peuvent t'aider à la retrouver, ca pourraient être elles. Fais attention juste de ne pas perdre tes ailes au passage, traiter avec la Pègre peut être pire que de traiter avec les démons.
Comment savait t'il que l'ange était ailé? Idunn se couvrit la bouche, cachant son sourire mutin. Sacré papi.
J'ai une petite fille établie à Liberty. Estelle... Elle est blanchisseuse et veuve. Elle pourrait te louer une chambre si tu lui dit que c'est Papi qui tenvoie. Pas Gus, Papi. Je peux t'aider à d'autre chose gamin? Tu as besoin d'un endroit pour dormir? De la soupe?
Invité
Invité
Il l'a fit apparaître comme lors de son dernier souvenir d'elle. Pas vraiment heureuse. Songeuse. Emplit des questions que l'autre démon qu'ils venaient de rencontrer avait fait naitre dans son esprit et surtout dans son cœur. La situation n'etait pas agréable pour elle, et il avait su qu'il aurait du la retenir. Discuter. L'aider a éclairer les nuages de son esprit. Mais elle s'en etait aller, et sa présence ainsi que sa chaleur avec elle.
- La gorgone n'a rien a voir avec ça. Kebossa....je connais ce nom, en effet, également. Je ne voulais pas me diriger vers elle, tout simplement car si elle a prit possession de mon Hava, il est probable que rien de bon n'en ai découlé.
Mais il serait peut être bientôt temps d'aller la voir. Au moins pour savoir ce qu'il en était. Le fait que la pègre cherche des êtres d'exceptions n’était pas non plus une totale découverte. En revanche, ça lui donnait la confirmation qu'il y avait de grandes chances que ce soit par la qu'il faille se diriger. Bon, il etait venu jusqu'à la reserve pour peu d'informations, mais etrangement, il etait quand meme satisfait de ces échanges. Et d'avoir rencontré Idunn.
Il n'etait pas sur, cependant, de la personne a qui le vieux s'adresser. Idunn allait elle également partir pour Liberty ? Probablement. Elle avait l'air d'etre proche, comme un membre de la famille. Et pourtant, au creux de la voix, un secret etait clairement dissimulé.
- Non, je n'ai besoin de rien, merci beaucoup pour votre temps.
Il le fixa un bref instant. Et sourit. Avant de rigoler doucement. L'homme etait clairement agé, et pourtant....Aryan avait pour la premiere fois une nouvelle sensation étrange. Comme un pere regardant l'un de ses fils les plus malin. C'etait peut etre la vision de l'homme, ou bien sa façon de s'adresser a lui. Il n'en avait jamais été sur, mais il en avait la confirmation a present.
Il etait vieux. Bien plus vieux que ce dont il se souvenait. Cent ans ? Mille ans ? Impossible de savoir précisément, mais il avait désormais la sensation d'avoir toujours vécu, arpenté ces terres. Ici comme ailleurs, il etait déjà venu. Il avait déjà vu. Avant que l'air ne soit haut, avant que la ville n'ai poussé sur les terres du Sekai, avant que les nations soient nations. Il hocha la tête.
- Si vous voulez aller en ville, dame Idunn, je peut vous proposer a nouveau ma compagnie si vous en avez envie. Ce sera plus intéressant que faire le trajet seule.
Il n'avait pas bougé les yeux de ceux sans vie de l'aveugle. Il ne voyait pas, mais a la fois, semblait sentir de nombreuses choses. Et dans un sens, il etait capable de comprendre. De ressentir ce que lui devait avoir comme sensation. Des vieillards dans un monde en perpétuelle évolution, en constante jeunesse. Avec ses qualités, et ses nombreux défauts.
- Encore une fois merci pour les informations. Si je peux faire quelque chose en retour. Aujourd'hui ou bien demain. Ou dans un mois. Vous n'aurez aucun soucis a me contacter. N'est ce pas ?
Aryan etait connu dans tous le sekai, par bons nombres de personnes, particulierement les marchants, dont certains devaient venir jusqu'ici. Et le vieux Gus semblait avoir ses réseaux également. La mise en lien serait donc facile. Il leva finalement son regard vers Idunn et lui fit un petit signe de tete avant de sortir en premier. Histoire de lui laisser un instant d'intimité avec le vieillard.
De retour sous la lune, il se pencha pour récupérer serpent qui etait resté dehors, dans la petite toile fabriqué par idunn pour le transport. Il s'enroula autour de son cou, comme il l'aurait fait sur sa maitresse. Son amie. Sa femme ? Il n'y avait véritablement jamais pensé, mais d'un point de vu exterieur, c'etait probablement ce a quoi cela ressemblait.
Il fallait vraiment la retrouver.
- La gorgone n'a rien a voir avec ça. Kebossa....je connais ce nom, en effet, également. Je ne voulais pas me diriger vers elle, tout simplement car si elle a prit possession de mon Hava, il est probable que rien de bon n'en ai découlé.
Mais il serait peut être bientôt temps d'aller la voir. Au moins pour savoir ce qu'il en était. Le fait que la pègre cherche des êtres d'exceptions n’était pas non plus une totale découverte. En revanche, ça lui donnait la confirmation qu'il y avait de grandes chances que ce soit par la qu'il faille se diriger. Bon, il etait venu jusqu'à la reserve pour peu d'informations, mais etrangement, il etait quand meme satisfait de ces échanges. Et d'avoir rencontré Idunn.
Il n'etait pas sur, cependant, de la personne a qui le vieux s'adresser. Idunn allait elle également partir pour Liberty ? Probablement. Elle avait l'air d'etre proche, comme un membre de la famille. Et pourtant, au creux de la voix, un secret etait clairement dissimulé.
- Non, je n'ai besoin de rien, merci beaucoup pour votre temps.
Il le fixa un bref instant. Et sourit. Avant de rigoler doucement. L'homme etait clairement agé, et pourtant....Aryan avait pour la premiere fois une nouvelle sensation étrange. Comme un pere regardant l'un de ses fils les plus malin. C'etait peut etre la vision de l'homme, ou bien sa façon de s'adresser a lui. Il n'en avait jamais été sur, mais il en avait la confirmation a present.
Il etait vieux. Bien plus vieux que ce dont il se souvenait. Cent ans ? Mille ans ? Impossible de savoir précisément, mais il avait désormais la sensation d'avoir toujours vécu, arpenté ces terres. Ici comme ailleurs, il etait déjà venu. Il avait déjà vu. Avant que l'air ne soit haut, avant que la ville n'ai poussé sur les terres du Sekai, avant que les nations soient nations. Il hocha la tête.
- Si vous voulez aller en ville, dame Idunn, je peut vous proposer a nouveau ma compagnie si vous en avez envie. Ce sera plus intéressant que faire le trajet seule.
Il n'avait pas bougé les yeux de ceux sans vie de l'aveugle. Il ne voyait pas, mais a la fois, semblait sentir de nombreuses choses. Et dans un sens, il etait capable de comprendre. De ressentir ce que lui devait avoir comme sensation. Des vieillards dans un monde en perpétuelle évolution, en constante jeunesse. Avec ses qualités, et ses nombreux défauts.
- Encore une fois merci pour les informations. Si je peux faire quelque chose en retour. Aujourd'hui ou bien demain. Ou dans un mois. Vous n'aurez aucun soucis a me contacter. N'est ce pas ?
Aryan etait connu dans tous le sekai, par bons nombres de personnes, particulierement les marchants, dont certains devaient venir jusqu'ici. Et le vieux Gus semblait avoir ses réseaux également. La mise en lien serait donc facile. Il leva finalement son regard vers Idunn et lui fit un petit signe de tete avant de sortir en premier. Histoire de lui laisser un instant d'intimité avec le vieillard.
De retour sous la lune, il se pencha pour récupérer serpent qui etait resté dehors, dans la petite toile fabriqué par idunn pour le transport. Il s'enroula autour de son cou, comme il l'aurait fait sur sa maitresse. Son amie. Sa femme ? Il n'y avait véritablement jamais pensé, mais d'un point de vu exterieur, c'etait probablement ce a quoi cela ressemblait.
Il fallait vraiment la retrouver.
Invité
Invité
Il fallut une vingtaine de minutes avant qu'Idunn ne ressorte de la demeure avec un sac et un parchemin scellé. Marquant un moment de pause, elle balaya les bois du regard avant que ce dernier ne se pose sur l'ange et qu'un immense sourire rempli de dents blanches n'illumine le visage mutin.
Aryan!
S'exclama t'elle en se laissant glisser le long d'une corde pour mieux le rejoindre à pleine jambes. Avec un bonheur non feint, elle s'apercut que Serpent était autour de son cou, les deux semblaient s'être réconciliés.
Tıens, Gus te prête un sac de voyage. Il dit que comme ca tu sera obligé de revenir donner des nouvelles avant sa mort. Il y a aussi une jarre d'insectes et de l'eau pour Serpent. Des vêtements et un peu d'argent pour toi. ] Et ca... Elle lui tend le parchemin, c'est pour Estelle si tu te décide.
Une fois les cadeaux pris, elle se balanca, les mains dans le dos et l'expression plus douce.
Il t'aime bien, il dit que tu lui rappelle un certain jeune humain qui m'a couru après deux décennies... Donc on se doit de t'aider.
A la dernière phrase, elle lui tendit une main ferme et fraîche, calleuse par l'archerie.
Oh, j'espère qu'on reste en contact? Tu m'écris quand tu auras trouvé ta fiancée? Je prendrai congé pour venir vous faire pousser un beau jardin. Ici, tu sais, c'est toujorus bouot boulot boulot, mais on ne s'ennuie pas même si je reluque le monde. Comme dit Gus, j'ai la vagabondite aigue et ca nous arrive tous il semblerait.Prends soin de Serpent surtout, il a l'air sur le point de muer, il lui faut de l'humidité.
Puis elle l'attira à elle, ou plutôt se porta à l'ange avec spontanéité, l'enserrant de ses bras durs autour de la taille comme une... petite soeur? Le ferait. Et lui fit la remarque la plus perspicace depuis leur rencontre malgré ses propos qui, dû à son enthousiasme sautaient du coq a l'âne.
Allez, va!!! Un amour comme le tien n'attends pas. Ne laisse pas la vie te l'arracher comme elle l'a fait avec moi.
Aryan!
S'exclama t'elle en se laissant glisser le long d'une corde pour mieux le rejoindre à pleine jambes. Avec un bonheur non feint, elle s'apercut que Serpent était autour de son cou, les deux semblaient s'être réconciliés.
Tıens, Gus te prête un sac de voyage. Il dit que comme ca tu sera obligé de revenir donner des nouvelles avant sa mort. Il y a aussi une jarre d'insectes et de l'eau pour Serpent. Des vêtements et un peu d'argent pour toi. ] Et ca... Elle lui tend le parchemin, c'est pour Estelle si tu te décide.
Une fois les cadeaux pris, elle se balanca, les mains dans le dos et l'expression plus douce.
Il t'aime bien, il dit que tu lui rappelle un certain jeune humain qui m'a couru après deux décennies... Donc on se doit de t'aider.
A la dernière phrase, elle lui tendit une main ferme et fraîche, calleuse par l'archerie.
Oh, j'espère qu'on reste en contact? Tu m'écris quand tu auras trouvé ta fiancée? Je prendrai congé pour venir vous faire pousser un beau jardin. Ici, tu sais, c'est toujorus bouot boulot boulot, mais on ne s'ennuie pas même si je reluque le monde. Comme dit Gus, j'ai la vagabondite aigue et ca nous arrive tous il semblerait.Prends soin de Serpent surtout, il a l'air sur le point de muer, il lui faut de l'humidité.
Puis elle l'attira à elle, ou plutôt se porta à l'ange avec spontanéité, l'enserrant de ses bras durs autour de la taille comme une... petite soeur? Le ferait. Et lui fit la remarque la plus perspicace depuis leur rencontre malgré ses propos qui, dû à son enthousiasme sautaient du coq a l'âne.
Allez, va!!! Un amour comme le tien n'attends pas. Ne laisse pas la vie te l'arracher comme elle l'a fait avec moi.
Invité
Invité
Il passa la vingtaine de minutes la tête dans les nuages clairs de la nuit. Beaucoup de choses en si peu de temps. Et il avait a la fois l'impression d'avoir avancé, et d’être toujours dans la même situation. La vérité c’était que, d'avantage que d'avoir trouvé une piste plus franche qu'avant, il se sentait surtout bien. Mieux. Que depuis plusieurs semaines. Plusieurs mois.
- Oh, dame Idunn.
Elle revenait avec des affaires dans les mains. Elle etait sans doute plus vieille qu'elle en avait l'air. Et c'etait peut etre meme un point commun qu'ils avaient, tant elle ne semblait pas se rendre compte de ce qu'elle etait. Il n'avait eu besoin que d'un coup d'oeil pour comprendre qu'elle etait bien loin de se connaître. Comme lui. Ils avaient ça en commun, tous les deux.
- Oh, alors vous ne venez pas, finalement ?
Elle n’était peut être pas prête. Partir était quelque chose qui ne se faisait pas du jour au lendemain. Et emme etait un pendant literral de la nature. Ce n'etait pas sur qu'elle arrive a s'adapter a la ville. Mais tant qu'elle n'y aurait pas mit les pieds, elle ne pourrait pas le savoir.
- Merci, mais j'ai tous ce qu'il faut. Enfin, je prend au moins ça, pour Serpent. Il sera content. Peut etre.
Depuis l'accident de la riviere, il n'etait plus vraiment expressif. Par tristesse, ou bien, comme le soupçonnait l'ange, peut etre qu'il avait subit des dégats neurologiques a rester trop longtemps sous l'eau. Il ne l'avait sauvé que de justesse, après tout. Il etait bien plus vivant en présence d'Hava.
- ...Si vous voulez, je vous écrierez. Souvent même, j'aime beaucoup les échanges épistolaires. Si c'est vous, je vous enverrais mes découvertes. Sur elle, ou sur n’importe quoi d'autres. Vous avez l'air curieuse de connaître le monde.
Elle vint soudainement l'enlacer, et aprés un instant de surprise, il posa une main sur le haut de son dos, et l'autre lui caressa tendrement la tete, presque comme il aurait pu faire a sa cornue.
- Prenez soin de vous. Nous reviendrons vous visiter. Promis. Tré&s bientôt. Mais nous avons de longues années devant nous.
Elle comme lui, ils pourraient se revoir pendant longtemps, tant que personne ne venait pour les tuer. Il la repoussa gentiment et sourit, franchement. Oui. Plus que son amour, c'etait son pendant émotionnel qui l'attendait. Il ne savait pas vraiment ce qu'etait l'amour, et peut etre que ce n'etait pas exactement ce qui les liait, lui et Hava.
Peut etre que l'amour, lui, se trouvait ailleurs. Peut etre qu'il ne saurait jamais le ressentir.
Il se retourna, le sac a la main, et commença a s'éloigner, ses pieds quittant le sol. Il leva la main en l'air, sans la regarder.
Il n'aimait pas les adieux.
- Oh, dame Idunn.
Elle revenait avec des affaires dans les mains. Elle etait sans doute plus vieille qu'elle en avait l'air. Et c'etait peut etre meme un point commun qu'ils avaient, tant elle ne semblait pas se rendre compte de ce qu'elle etait. Il n'avait eu besoin que d'un coup d'oeil pour comprendre qu'elle etait bien loin de se connaître. Comme lui. Ils avaient ça en commun, tous les deux.
- Oh, alors vous ne venez pas, finalement ?
Elle n’était peut être pas prête. Partir était quelque chose qui ne se faisait pas du jour au lendemain. Et emme etait un pendant literral de la nature. Ce n'etait pas sur qu'elle arrive a s'adapter a la ville. Mais tant qu'elle n'y aurait pas mit les pieds, elle ne pourrait pas le savoir.
- Merci, mais j'ai tous ce qu'il faut. Enfin, je prend au moins ça, pour Serpent. Il sera content. Peut etre.
Depuis l'accident de la riviere, il n'etait plus vraiment expressif. Par tristesse, ou bien, comme le soupçonnait l'ange, peut etre qu'il avait subit des dégats neurologiques a rester trop longtemps sous l'eau. Il ne l'avait sauvé que de justesse, après tout. Il etait bien plus vivant en présence d'Hava.
- ...Si vous voulez, je vous écrierez. Souvent même, j'aime beaucoup les échanges épistolaires. Si c'est vous, je vous enverrais mes découvertes. Sur elle, ou sur n’importe quoi d'autres. Vous avez l'air curieuse de connaître le monde.
Elle vint soudainement l'enlacer, et aprés un instant de surprise, il posa une main sur le haut de son dos, et l'autre lui caressa tendrement la tete, presque comme il aurait pu faire a sa cornue.
- Prenez soin de vous. Nous reviendrons vous visiter. Promis. Tré&s bientôt. Mais nous avons de longues années devant nous.
Elle comme lui, ils pourraient se revoir pendant longtemps, tant que personne ne venait pour les tuer. Il la repoussa gentiment et sourit, franchement. Oui. Plus que son amour, c'etait son pendant émotionnel qui l'attendait. Il ne savait pas vraiment ce qu'etait l'amour, et peut etre que ce n'etait pas exactement ce qui les liait, lui et Hava.
Peut etre que l'amour, lui, se trouvait ailleurs. Peut etre qu'il ne saurait jamais le ressentir.
Il se retourna, le sac a la main, et commença a s'éloigner, ses pieds quittant le sol. Il leva la main en l'air, sans la regarder.
Il n'aimait pas les adieux.
Page 2 sur 2 • 1, 2
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum