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"Mais faites attention un peu !" T'offusquas-tu de toute ta rage futile lorsque la gente demoiselle se prit un premier coup, puis, en l'espace d'un battement de cil, un suivant vint à joindre son visage d'ange. Tout se passa si vite, vos mains se séparant et bientôt elle qui disparaissait derrière le balourd frappant sur qui voulait bien se retrouver devant lui, sans pour autant vraiment en laisser le choix.
Sans grande réussite, tu tentas de repousser le goliath, cherchant à lui agripper une manche pour essayer de le renvoyer vers le centre de la salle, là où la majorité des combats avaient lieux. Mais, ta force manquante et son envie d'en découdre ne te permirent que de te prendre un coup de coude en pleins dans le poitrail, te coupant le souffle tout en t'envoyant en retrait. Tu titubas mollement en arrière, la respiration courte et les idées qui commençaient à chauffer. Il fallait relâcher un peu de pression pour ne guère agir à la va vite, en se laissant emporter. Par le passé, tu avais déjà géré pire situation, des simulacres de révoltes d'esclaves, cherchant à en découdre et trouver quelconque libération. Et malgré ta frêle carrure, tu étais toujours parvenu à les maîtriser rien qu'en usant quelques unes de tes bottes secrètes. Mais ce n'était pas le lieu.
Un autre coup vint à te faire trébucher, te retrouvant sur les genoux. Sans t'en apercevoir, tu t'étais retrouvé plus proche de l'affrontement qu'auparavant et, dans cette mêlée générale qui n'avait ni queue ni tête, les poings, pieds et fournitures volaient autour de toi tels des rapaces prêt à piquer sur leurs proies.
A peine commenças tu à te relever qu'un assaut te caressa la chevelure vaporeuse, bientôt suivi par une chopine métallique s'écrasant contre ton bas dos. Oh comme tu enrageais et n'arrivais qu'avec peine à la retrouver du regard.
Finalement, le sol n'était pas plus mal et tu décidas, dans la plus grande des humilités, à retourner jusqu'au comptoir et le petit ilot qui n'était plus si sûr. A quatre pattes, sans l'ombre d'héroïsme dans ton avancée, tu parvins non sans te faire écraser à deux reprises plusieurs doigts à rejoindre ton lieu de sureté. Hors du combat qui prenait toujours plus d'ampleur, chaque bagarreur couvrant toujours plus d'espace, tu pus enfin te redresser, frappant à plusieurs reprises tes vêtements à présents salies de poussières, d'alcool et d'autres choses dont tu ne voulais connaître l'origine.
Une nouvelle mission t'attendait à présent, la retrouver et parvenir à vous mettre en sécurité. Chose qui n'avait rien d'aisé à cause de ta petite taille et du brouhaha général, tant de mouvement et biens des êtres plus grands que toi, sans prendre aucun risque tu ne parvenais à la trouver. Tout allait si vite que tu avais bien du mal à t'en dépêtrer.
Quelle diablerie avait bien pu piquer cette auberge pour que tel dramaturgie n'arrive ce soir ?
Sans grande réussite, tu tentas de repousser le goliath, cherchant à lui agripper une manche pour essayer de le renvoyer vers le centre de la salle, là où la majorité des combats avaient lieux. Mais, ta force manquante et son envie d'en découdre ne te permirent que de te prendre un coup de coude en pleins dans le poitrail, te coupant le souffle tout en t'envoyant en retrait. Tu titubas mollement en arrière, la respiration courte et les idées qui commençaient à chauffer. Il fallait relâcher un peu de pression pour ne guère agir à la va vite, en se laissant emporter. Par le passé, tu avais déjà géré pire situation, des simulacres de révoltes d'esclaves, cherchant à en découdre et trouver quelconque libération. Et malgré ta frêle carrure, tu étais toujours parvenu à les maîtriser rien qu'en usant quelques unes de tes bottes secrètes. Mais ce n'était pas le lieu.
Un autre coup vint à te faire trébucher, te retrouvant sur les genoux. Sans t'en apercevoir, tu t'étais retrouvé plus proche de l'affrontement qu'auparavant et, dans cette mêlée générale qui n'avait ni queue ni tête, les poings, pieds et fournitures volaient autour de toi tels des rapaces prêt à piquer sur leurs proies.
A peine commenças tu à te relever qu'un assaut te caressa la chevelure vaporeuse, bientôt suivi par une chopine métallique s'écrasant contre ton bas dos. Oh comme tu enrageais et n'arrivais qu'avec peine à la retrouver du regard.
Finalement, le sol n'était pas plus mal et tu décidas, dans la plus grande des humilités, à retourner jusqu'au comptoir et le petit ilot qui n'était plus si sûr. A quatre pattes, sans l'ombre d'héroïsme dans ton avancée, tu parvins non sans te faire écraser à deux reprises plusieurs doigts à rejoindre ton lieu de sureté. Hors du combat qui prenait toujours plus d'ampleur, chaque bagarreur couvrant toujours plus d'espace, tu pus enfin te redresser, frappant à plusieurs reprises tes vêtements à présents salies de poussières, d'alcool et d'autres choses dont tu ne voulais connaître l'origine.
Une nouvelle mission t'attendait à présent, la retrouver et parvenir à vous mettre en sécurité. Chose qui n'avait rien d'aisé à cause de ta petite taille et du brouhaha général, tant de mouvement et biens des êtres plus grands que toi, sans prendre aucun risque tu ne parvenais à la trouver. Tout allait si vite que tu avais bien du mal à t'en dépêtrer.
Quelle diablerie avait bien pu piquer cette auberge pour que tel dramaturgie n'arrive ce soir ?
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Au moment ou le poing voulu de nouveau percuter la mâchoire, Halewyn esquissa un entrechat si l'on puit dire, et esquiva, un éventail noir voletant dans les airs pour frapper le malotru à la temps.
Ca ne se fait pas frapper les filles.
Eructa t'elle en profitant de son mouvement pour lui fracasser le menton d'un coup de coude bien placé. Rowena le lui avait assez dit qu'iel n'était pas un combattant classique. Il faut frapper simplement pour que l'adversaire ne se relève pas. Et hop! Un coup de genou dans les valseuses plus tard, son adversaire s'écroule pendant que dans une envolée de jupons, la Shoumeienne passe sur le comptoir qu'elle se met à arpenter à la vitesse grand V.
Voyons, ou est son mortel du moment dans toute cette cohue? , Se demande t'elle en sautant par dessus un gars k.o. en retenant sa jupe d'une main, empoignant une bouteille d'alcool de prune de l'autre, qu'elle fracassa sur la tête du premier venu qui osa s'aventurer un peu trop près, gratifiant un deuxième d'un coup de pied bien senti avant de voir du remous sur le bord du mur, là bas... Ah...
Ah!!!
Bondissant comme une jeune chèvre les jours de printemps, Halewyn rejoint un Nefih passablement échevelé qu'elle agrippe au passage pour prendre la première porte venue et s'y engouffrer avec le jeune homme, dans un léger rire ingénu. Le noir se referma sur eux, les bruis de combat s'étouffant par la porte qui se referma derrière.
-Ca va? Lui demanda t'elle, essoufflée, j'ai pensé qu'il t'étais arrivé quelque chose. Tu es blessé?
Ca ne se fait pas frapper les filles.
Eructa t'elle en profitant de son mouvement pour lui fracasser le menton d'un coup de coude bien placé. Rowena le lui avait assez dit qu'iel n'était pas un combattant classique. Il faut frapper simplement pour que l'adversaire ne se relève pas. Et hop! Un coup de genou dans les valseuses plus tard, son adversaire s'écroule pendant que dans une envolée de jupons, la Shoumeienne passe sur le comptoir qu'elle se met à arpenter à la vitesse grand V.
Voyons, ou est son mortel du moment dans toute cette cohue? , Se demande t'elle en sautant par dessus un gars k.o. en retenant sa jupe d'une main, empoignant une bouteille d'alcool de prune de l'autre, qu'elle fracassa sur la tête du premier venu qui osa s'aventurer un peu trop près, gratifiant un deuxième d'un coup de pied bien senti avant de voir du remous sur le bord du mur, là bas... Ah...
Ah!!!
Bondissant comme une jeune chèvre les jours de printemps, Halewyn rejoint un Nefih passablement échevelé qu'elle agrippe au passage pour prendre la première porte venue et s'y engouffrer avec le jeune homme, dans un léger rire ingénu. Le noir se referma sur eux, les bruis de combat s'étouffant par la porte qui se referma derrière.
-Ca va? Lui demanda t'elle, essoufflée, j'ai pensé qu'il t'étais arrivé quelque chose. Tu es blessé?
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Honteusement, tu n'eus rien du preux chevalier, et c'est bien la demoiselle qui gambada avec aisance au milieu des coups et du fatras pour venir s'enquérir de ton secours. Te prenant de ses deux fines mains pour t'extirper hors de tout danger, derrière une porte plongé dans l'obscurité vous enfermer. Pour l'heure, vous étiez en sécurité bien que tu ne saches absolument point où vous étiez. Sans doute point les cuisines, serait-ce un placard à balais ?
Perdu dans le noir complet, tu t'agrippais à elle pour ne point la perdre. En rien tu ne craignais l'obscurité, ce que tu redoutais, en revanche, était que vous vous sépariez pour avoir bien du mal à vous retrouver, tâtonnant devant vous avec incertitude tandis que seule votre voix de repère servirait.
Aussi, à ses douces questions, prouvant l'égard qu'elle te portait, tu n'avais que des bonnes nouvelles à lui donner. Bien que quelques coups t'aient touché, rien de grave ne t'était arrivé et hors du combat tu avais pu te sauver sans réel égratignure.
"Oui je vais bien, trois fois rien pour dire vrai. Plus de peur que de mal quoi que ce coup dans l'abdomen le souffle me coupa. Mais vous très cher, comment allez vous ? Les brutes vous ont frappés, je vous ai vu saigner . . . Si je ne sais guère me battre, je sais en revanche soigner, en avez vous besoin ?" Ta voix reflétait avec aisance l'inquiétude que tu lui portais. Même si c'était avec une grâce et une déconcertante facilité qu'elle t'avait extrait du chaos qui régnait, elle n'en restait pas moins peut-être blessé. Et si la demoiselle avais pu te paraître fragile au premier abord, tu étais à présent persuadé que bien de nombreux secrets elle avait à te dévoiler. Et déjà il te tardait d'en découvrir davantage.
Mais d'abord, il te semblait important de réellement vous mettre en sécurité. "Savez vous où nous nous trouvons ? Je dois bien avouer ne rien y voir et ne guère avoir eu le temps de repérer par quelle porte nous entrâmes."
Perdu dans le noir complet, tu t'agrippais à elle pour ne point la perdre. En rien tu ne craignais l'obscurité, ce que tu redoutais, en revanche, était que vous vous sépariez pour avoir bien du mal à vous retrouver, tâtonnant devant vous avec incertitude tandis que seule votre voix de repère servirait.
Aussi, à ses douces questions, prouvant l'égard qu'elle te portait, tu n'avais que des bonnes nouvelles à lui donner. Bien que quelques coups t'aient touché, rien de grave ne t'était arrivé et hors du combat tu avais pu te sauver sans réel égratignure.
"Oui je vais bien, trois fois rien pour dire vrai. Plus de peur que de mal quoi que ce coup dans l'abdomen le souffle me coupa. Mais vous très cher, comment allez vous ? Les brutes vous ont frappés, je vous ai vu saigner . . . Si je ne sais guère me battre, je sais en revanche soigner, en avez vous besoin ?" Ta voix reflétait avec aisance l'inquiétude que tu lui portais. Même si c'était avec une grâce et une déconcertante facilité qu'elle t'avait extrait du chaos qui régnait, elle n'en restait pas moins peut-être blessé. Et si la demoiselle avais pu te paraître fragile au premier abord, tu étais à présent persuadé que bien de nombreux secrets elle avait à te dévoiler. Et déjà il te tardait d'en découvrir davantage.
Mais d'abord, il te semblait important de réellement vous mettre en sécurité. "Savez vous où nous nous trouvons ? Je dois bien avouer ne rien y voir et ne guère avoir eu le temps de repérer par quelle porte nous entrâmes."
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-Je te remercie de ta sollicitude, mais je n'aurai peut-être qu'une ecchymose. Les voyages ont ca de bien
Dans le noir, deux irisations brèves se firent voir tandis qu'Halewyn balaya l'endroit du regard, se collant un peu sur le Mortel, le corp tonique de la femme était agréablement chaud, fleurant les fleurs sauvages. Prenant son temps pour répondre en reportant son visage vers l'homme en étouffant un léger rire, le démon cachant l'éclat de son regard derrière ses cils, sa main libre vagabondant sur l'épaule du mortel avant d'aller chercher quelque chose derrière, plaquant son corp fin et souple contre celui de l'élémentaire un cours moment. .
-Je crois que je me suis très mal prise. Nous sommes dans la petite réserve dédiée aux en cas froids en salle... Tu désire du saucisson ou des cerises au marasquin? Je vois bien un ou deux carafons de je ne sais quoiMMM.... je vois des plateaux de jambons pré découpés aussi... Oh, il y a un pain aux olives. Il semble un peu sec par contre.
Tout contre la joue de Nefih, il y eu un souffle chaud fleurant la cannelle, la jeune femme allant dire quelque chose au moment même ou la porte vibra avec fracas sur ses gonds sous un impact conséquent. Une table venait de percuter la porte en fait mais ils ne pouvaient pas le savoir en fait
Je crois que ... Nous devrions attendre pour sortir... ca n'a pas l'air de vouloir se calmer je ne le crains et les vigiles se font désirer.. Tu n'es pas trop inconfortable j'espère non?
Dans un léger effleurement, Halewyn bougea un peu, caressant le corp du troubadour devant elle sans en avoir l'air.
Je devrais m'excuser de t'avoir trainé ici. Je pensais que c'était les cuisines, j'aurais du regarder avant.
murmura la voix de soupir tandis qu'Halewyn adoucissait son aura. Tant qu'à être coincé dans cet endroit exigu, aussi bien en profiter non? Surtout qu'elle était en jupes et Nefih faisait pile poil la bonne taille pour s'encastrer agréablement.
Dans le noir, deux irisations brèves se firent voir tandis qu'Halewyn balaya l'endroit du regard, se collant un peu sur le Mortel, le corp tonique de la femme était agréablement chaud, fleurant les fleurs sauvages. Prenant son temps pour répondre en reportant son visage vers l'homme en étouffant un léger rire, le démon cachant l'éclat de son regard derrière ses cils, sa main libre vagabondant sur l'épaule du mortel avant d'aller chercher quelque chose derrière, plaquant son corp fin et souple contre celui de l'élémentaire un cours moment. .
-Je crois que je me suis très mal prise. Nous sommes dans la petite réserve dédiée aux en cas froids en salle... Tu désire du saucisson ou des cerises au marasquin? Je vois bien un ou deux carafons de je ne sais quoiMMM.... je vois des plateaux de jambons pré découpés aussi... Oh, il y a un pain aux olives. Il semble un peu sec par contre.
Tout contre la joue de Nefih, il y eu un souffle chaud fleurant la cannelle, la jeune femme allant dire quelque chose au moment même ou la porte vibra avec fracas sur ses gonds sous un impact conséquent. Une table venait de percuter la porte en fait mais ils ne pouvaient pas le savoir en fait
Je crois que ... Nous devrions attendre pour sortir... ca n'a pas l'air de vouloir se calmer je ne le crains et les vigiles se font désirer.. Tu n'es pas trop inconfortable j'espère non?
Dans un léger effleurement, Halewyn bougea un peu, caressant le corp du troubadour devant elle sans en avoir l'air.
Je devrais m'excuser de t'avoir trainé ici. Je pensais que c'était les cuisines, j'aurais du regarder avant.
murmura la voix de soupir tandis qu'Halewyn adoucissait son aura. Tant qu'à être coincé dans cet endroit exigu, aussi bien en profiter non? Surtout qu'elle était en jupes et Nefih faisait pile poil la bonne taille pour s'encastrer agréablement.
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Par chance, ou peut-être miracle, la gente anonyme ne souffrait d'aucun mal si ce n'est des bleu similaire à ceux que tu aurais demain en te levant. Avec allégresse, elle se jouait de toi, laissant son corps et ses mains flirter avec ton vêtement, caressant avec délicatesse ton épaule comme ta taille. Aussi lui rendis tu la pareille avec un certain plaisir, laissant tes mains parcourir le haut de son dos jusqu'à ses reins, avec toute la douceur dont tu étais capable. Et lorsqu'elle se plaqua contre toi, tu la reçus sans contremesure, enlaçant sa taille avec davantage de vigueur afin de la maintenir contre toi, laissant ton torse flirtait avec sa poitrine, vos souffles chaud projetés l'un contre le visage de l'autre.
Tu sentais l'excitation venir, oubliant peu à peu le capharnaüm qui régnait à côté, bien que tu ne cherchais à rien précipiter. Après tout, il était une belle soirée et cette rencontre charmante tu voulais en profiter. Tu rias lorsqu'elle indiqua ce qui vous entourait. Voilà qu'il était cocasse d'ici se retrouver, mais tu t'en moquais bien et, sans doute même, tu préférais être ici que dans les cuisines ou sans nul doute du monde s'y trouvait. Certainement aurais-tu préféré avoir une lumière éclairant cette beauté, mais tu ne pouvais point tout avoir et cette aléa te convenait. Néanmoins, parmi toutes les propositions qu'elle fit, ce n'était guère de tout cela dont tu avais faim.
Un choc soudain t'extirpa de la simplicité de l'instant, de ce contact si proche que vous aviez, enlacé l'un contre l'autre, pour te ramener à la dure réalité. Au dehors le brouhaha continuait, et quelque chose d'imposant venait de rencontrer la porte avec moult animosité. Etiez vous bloqué ? Peut-être. Une part de toi était soucieux de le vérifier, mais une autre était désireuse de vous retrouver enfermé dans cet espace exigu afin de ne point la relâcher. Les gardes tu t'en souciais peu, autant que la bagarre qui dégénérait car en cet instant davantage elle caressa ton être et tu appréciais.
Davantage tu t'approchas d'elle, une main dans son dos venant se fermer autour de sa nuque tandis que l'autre parcourait le bas de son dos, tu y laissais tes doigts glisser avec insouciance. Tu avanças ton visage vers le sien, effleurant sa joue de la tienne pour lui murmurer à l'oreille quelques douces paroles. "Ne vous en fait point très cher, nous sommes ici mieux qu'ailleurs. Et ce n'est guère de tout ceci que je cri famine, mais de la beauté que vous êtes." Terminant ta phrase, tu penchas légèrement ta tête afin de déposer quelques baisers dans son cou tandis que ta main quittait peu à peu son dos pour s'aventurer au haut de ses fesses.
Ton cœur palpitait de plus en plus vite et la chaleur de ton être ne faisait que grimper en température. Bientôt, les balafres que tu portais à l'instar des scarifications laissèrent la lumière du brasier éclairer d'une lueur tamisé le visage de la succulente demoiselle. Pourtant, tu ne pouvais guère assister à ce spectacle plaisant, continuant avec soin à parcourir le haut de son corps de tes lèvres brûlantes. Il était certains que si vous continuiez sur cette voie, la salle n'aura plus rien de froide pour les pauvres aliments, néanmoins, ce détail en cet instant même pas ne t'effleurait l'esprit.
Tu sentais l'excitation venir, oubliant peu à peu le capharnaüm qui régnait à côté, bien que tu ne cherchais à rien précipiter. Après tout, il était une belle soirée et cette rencontre charmante tu voulais en profiter. Tu rias lorsqu'elle indiqua ce qui vous entourait. Voilà qu'il était cocasse d'ici se retrouver, mais tu t'en moquais bien et, sans doute même, tu préférais être ici que dans les cuisines ou sans nul doute du monde s'y trouvait. Certainement aurais-tu préféré avoir une lumière éclairant cette beauté, mais tu ne pouvais point tout avoir et cette aléa te convenait. Néanmoins, parmi toutes les propositions qu'elle fit, ce n'était guère de tout cela dont tu avais faim.
Un choc soudain t'extirpa de la simplicité de l'instant, de ce contact si proche que vous aviez, enlacé l'un contre l'autre, pour te ramener à la dure réalité. Au dehors le brouhaha continuait, et quelque chose d'imposant venait de rencontrer la porte avec moult animosité. Etiez vous bloqué ? Peut-être. Une part de toi était soucieux de le vérifier, mais une autre était désireuse de vous retrouver enfermé dans cet espace exigu afin de ne point la relâcher. Les gardes tu t'en souciais peu, autant que la bagarre qui dégénérait car en cet instant davantage elle caressa ton être et tu appréciais.
Davantage tu t'approchas d'elle, une main dans son dos venant se fermer autour de sa nuque tandis que l'autre parcourait le bas de son dos, tu y laissais tes doigts glisser avec insouciance. Tu avanças ton visage vers le sien, effleurant sa joue de la tienne pour lui murmurer à l'oreille quelques douces paroles. "Ne vous en fait point très cher, nous sommes ici mieux qu'ailleurs. Et ce n'est guère de tout ceci que je cri famine, mais de la beauté que vous êtes." Terminant ta phrase, tu penchas légèrement ta tête afin de déposer quelques baisers dans son cou tandis que ta main quittait peu à peu son dos pour s'aventurer au haut de ses fesses.
Ton cœur palpitait de plus en plus vite et la chaleur de ton être ne faisait que grimper en température. Bientôt, les balafres que tu portais à l'instar des scarifications laissèrent la lumière du brasier éclairer d'une lueur tamisé le visage de la succulente demoiselle. Pourtant, tu ne pouvais guère assister à ce spectacle plaisant, continuant avec soin à parcourir le haut de son corps de tes lèvres brûlantes. Il était certains que si vous continuiez sur cette voie, la salle n'aura plus rien de froide pour les pauvres aliments, néanmoins, ce détail en cet instant même pas ne t'effleurait l'esprit.
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Aux chapelets de baisers délicats descendant le long de son cou, la dame lui offrit complaisamment sa jugulaire et sa gorge avec un gémissement approbateur, Sa peau, aussi douce que de la soie, sentait la brume se dissipant sous un chaud soleil d'été emportant dans ses gouttes les arômes des plus divines fleurs. Entêtante sans surcharger les sens. La peau blanche offerte était aussi savoureuse que le plus délicat nectar. Fine sa taille était, il aurait pu presque faire le tour de ses deux mains. Et pourtant, elle se pressait contre lui vigoureuse et souple. Sur le dos de la main de Nefih qui descendit le long d'un divin globe, la légèreté aérienne de la chevelure Le corset s'offrait aux doigts impatients de l'homme, tandis que ceux de la femme se plongeaient dans la crinière du troubadour avec la légèreté de la brise estivale.
Avec un soupir, elle murmura son nom, d'une telle façon que même les anges les plus purs n'auraient su rester de marbre. Les mains de l'élémentaire étaient chaudes, incitant à la passion.
Halewyn pris ce qui passait par là, une fraise bien juteuse et de l'autre main, en tirant doucement sur les cheveux, décolla sa bouche de sa personne. Et ils se regardèrent. En fait, elle admira la beauté atypique de cet homme dont la passion la nourrissait en cet instant même. Consentement tacite, certes. Il était, et c'était le cas de le dire, chaud bouillant, les reflets de ses balafres et cicatrices se reflétant dans les prunelles d'encre qui le regardait avec affection.
-Tu es magnifique Nefih. Dit elle simplement en portant la fraise à demi dans sa bouche avant de se porter à la rencontre de ce dernier, lui faisant d'abord goûter le fruit, puis ses propres lèvres en un baiser à causer la rédemption des démons et à faire déchoir les saints, les belles mains aux doigts fins d'artiste descendant le long de la chemise dans le but avoué et assumé de dévoiler encore plus de cette chair de feu et de cendres. L'élémentaire ne voulait qu'un répit, un moment d'éternité ou il se convaincrait peut-être que quelqu'un l'avait aimé sans question. Et elle était bien disposée pour le lui donner. Le chaos la rendait toujours énormément câline.
Avec un soupir, elle murmura son nom, d'une telle façon que même les anges les plus purs n'auraient su rester de marbre. Les mains de l'élémentaire étaient chaudes, incitant à la passion.
Halewyn pris ce qui passait par là, une fraise bien juteuse et de l'autre main, en tirant doucement sur les cheveux, décolla sa bouche de sa personne. Et ils se regardèrent. En fait, elle admira la beauté atypique de cet homme dont la passion la nourrissait en cet instant même. Consentement tacite, certes. Il était, et c'était le cas de le dire, chaud bouillant, les reflets de ses balafres et cicatrices se reflétant dans les prunelles d'encre qui le regardait avec affection.
-Tu es magnifique Nefih. Dit elle simplement en portant la fraise à demi dans sa bouche avant de se porter à la rencontre de ce dernier, lui faisant d'abord goûter le fruit, puis ses propres lèvres en un baiser à causer la rédemption des démons et à faire déchoir les saints, les belles mains aux doigts fins d'artiste descendant le long de la chemise dans le but avoué et assumé de dévoiler encore plus de cette chair de feu et de cendres. L'élémentaire ne voulait qu'un répit, un moment d'éternité ou il se convaincrait peut-être que quelqu'un l'avait aimé sans question. Et elle était bien disposée pour le lui donner. Le chaos la rendait toujours énormément câline.
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De ses affres envoutants, la charmeuse avait tout pour te plaire, tel un cadeau envoyé par les astres eux-mêmes. De sa délicate odeur d'épice au goût de sa peau, rien ne te repoussait, pis encore, tout t'appelait dans un chant digne des plus talentueuses des sirènes. Et avec une insouciance déconcertante, tu volais vers ce rivage idyllique, une île sur laquelle tu étais prêt à passer le reste de tes jours pour peu qu'on te laisse faire. Tes pensées si protectrices s'étaient dissipées, incapable elles-mêmes de résister à ce mélodieux appel goût cannelle.
Tes mains glissaient sur son corps avec la même délicatesse que s'il s'agissait d'une soie impériale, d'une douceur improbable, presque insultante pour toutes les autres âmes. Sans t'en défendre, tu laissais à cette belligérante de l'amour parcourir ton propre corps de ses mains, laissant ses doigts glisser dans ta chevelure vaporeuse dont la chaleur ne faisait que continuer à s'élever. Puis elle te parla de sa divine voix. Des mots simples mais qui résonnèrent dans ton être comme jamais auparavant et tu éructas d'une fumée noire qui s'échappa de la multitudes de tes balafres et de tes scarifications, s'élevant autour de vous comme pour former un cocon protecteur, un instant ou plus rien autour n'aurait d'importance, ou vous seriez seul, l'un dans les bras de l'autre.
Lorsqu'elle se détacha subrepticement de toi, te refusant son cou pour fouiller autour de vous, cela te parut être le pire des supplices, pis encore que ces décennies de tortures, de ces décennies d'isolement où la folie ne faisait qu'un avec toi, pis encore que toutes les atrocités que tu avais commis et pour lesquelles tu t'en voulais. Elle était là, devant toi et pourtant si éloignée. Tu l'observas de tes pupilles embrasées par la passion, attendant tel un prédateur docile que sa proie accepte d'enfin se donner. Et lorsqu'elle revint une fraise à ses lèvres, les amenant aux tiennes pour t'offrir un baiser pour lequel tu serais prêt à bafouer tes plus fières idées, pour lequel tu serais prêt à tuer. De cette même vigueur tu lui rendis ce divin moment, ta main quittant le haut de son postérieur pour venir se glisser sous ses vêtements, dans le bas de son dos, glissant sur sa peau. Et jamais ce moment ne voulais tu arrêter.
Une seconde, quelques secondes, une minute ou bien plus ? Combien de temps l'avais tu ainsi gardé, plaqué contre toi vos lèvres soudées par cette passion débordante. Tu n'en avais aucune idée, et c'est bien l'air qui vint à te faire la relâcher. Et bien que vos visages se séparèrent, ton regard ne la quittas pas pour autant, se plongeant avec exaltation dans les deux orbes aussi noires que la plus sombre des nuits. "Quel est votre nom ?" Lui demandas-tu d'une douce voix. Cette anonyme ne s'en était cachée que trop longtemps, et tandis que sa main quittait avec aisance le tissu de tes vêtements pour courir sur ta peau, tu ne pouvais continuer sans enfin savoir comment l'appeler.
A son instar, tes doigts couraient sur sa peau à la blancheur hivernale, et, pris d'une envie débordante, à nouveau tu l'as serra contre toi pour l'embrasser de plus belle.
Et bientôt, dans la sérénade de vos brèves respirations et des palpitations de ton cœur, tes doigts quittèrent son dos pour, un à un, se faufiler avec lenteur sur les boutons de sa tenue. Dévoilant le haut de son corps avec un désir réfrénait afin que la bougie de cet instant magique ne puisse durer jusqu'à la fin de la nuit.
Tes mains glissaient sur son corps avec la même délicatesse que s'il s'agissait d'une soie impériale, d'une douceur improbable, presque insultante pour toutes les autres âmes. Sans t'en défendre, tu laissais à cette belligérante de l'amour parcourir ton propre corps de ses mains, laissant ses doigts glisser dans ta chevelure vaporeuse dont la chaleur ne faisait que continuer à s'élever. Puis elle te parla de sa divine voix. Des mots simples mais qui résonnèrent dans ton être comme jamais auparavant et tu éructas d'une fumée noire qui s'échappa de la multitudes de tes balafres et de tes scarifications, s'élevant autour de vous comme pour former un cocon protecteur, un instant ou plus rien autour n'aurait d'importance, ou vous seriez seul, l'un dans les bras de l'autre.
Lorsqu'elle se détacha subrepticement de toi, te refusant son cou pour fouiller autour de vous, cela te parut être le pire des supplices, pis encore que ces décennies de tortures, de ces décennies d'isolement où la folie ne faisait qu'un avec toi, pis encore que toutes les atrocités que tu avais commis et pour lesquelles tu t'en voulais. Elle était là, devant toi et pourtant si éloignée. Tu l'observas de tes pupilles embrasées par la passion, attendant tel un prédateur docile que sa proie accepte d'enfin se donner. Et lorsqu'elle revint une fraise à ses lèvres, les amenant aux tiennes pour t'offrir un baiser pour lequel tu serais prêt à bafouer tes plus fières idées, pour lequel tu serais prêt à tuer. De cette même vigueur tu lui rendis ce divin moment, ta main quittant le haut de son postérieur pour venir se glisser sous ses vêtements, dans le bas de son dos, glissant sur sa peau. Et jamais ce moment ne voulais tu arrêter.
Une seconde, quelques secondes, une minute ou bien plus ? Combien de temps l'avais tu ainsi gardé, plaqué contre toi vos lèvres soudées par cette passion débordante. Tu n'en avais aucune idée, et c'est bien l'air qui vint à te faire la relâcher. Et bien que vos visages se séparèrent, ton regard ne la quittas pas pour autant, se plongeant avec exaltation dans les deux orbes aussi noires que la plus sombre des nuits. "Quel est votre nom ?" Lui demandas-tu d'une douce voix. Cette anonyme ne s'en était cachée que trop longtemps, et tandis que sa main quittait avec aisance le tissu de tes vêtements pour courir sur ta peau, tu ne pouvais continuer sans enfin savoir comment l'appeler.
A son instar, tes doigts couraient sur sa peau à la blancheur hivernale, et, pris d'une envie débordante, à nouveau tu l'as serra contre toi pour l'embrasser de plus belle.
Et bientôt, dans la sérénade de vos brèves respirations et des palpitations de ton cœur, tes doigts quittèrent son dos pour, un à un, se faufiler avec lenteur sur les boutons de sa tenue. Dévoilant le haut de son corps avec un désir réfrénait afin que la bougie de cet instant magique ne puisse durer jusqu'à la fin de la nuit.
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Son nom? Pensa Halewyn. Son nom... Ont ils vraiment besoin de le savoir? Elle pourrait lui demander de la nommer, comme Sans-Nom. Mais ca lui semble inconhru tandis que le lacage de la chemise de son partenaire disparait, glissant au sol tel un serpent au même moment ou son corsage s'égare dans un bruit de pots de verre malmené,
L'on me nomme Giovinetta. Mais tu peux en changer si tu en as envie. Je veux te faire palisir. Laisse toi faire...
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mmmm..... Commenta la Shoumeienne la bouche pleine, quand les mains fines relâchèrent leur emprise sur les braies et les sous vêtements qu'elle venait de baisser, remontant sur le ventre et le torse qu'elle se mit à grifffer délicieusement . Elle avait simplement tout son temps, la nuit ne faisait que commencer.
L'on me nomme Giovinetta. Mais tu peux en changer si tu en as envie. Je veux te faire palisir. Laisse toi faire...
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mmmm..... Commenta la Shoumeienne la bouche pleine, quand les mains fines relâchèrent leur emprise sur les braies et les sous vêtements qu'elle venait de baisser, remontant sur le ventre et le torse qu'elle se mit à grifffer délicieusement . Elle avait simplement tout son temps, la nuit ne faisait que commencer.
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Mine de rien, il savait ce qu'il faisait le troubadour. Il n'était pas innocent aux jeux de placards, ceux qui ne laissait qu'un doux souvenir sur la langue, sans l'amertume du lendemain. Et il savait ce qu'il faisait, sans aucun doute
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Manifestement, ca ne lui satisfaisait pas... Ne faisait qu'attiser la flamme de son désir pour le Mortel pour lequel elle évoluait entre les doigts et les baisers, telle une flamme vive et évanescante, l'invitant à venir se bruler en elle.
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Manifestement, ca ne lui satisfaisait pas... Ne faisait qu'attiser la flamme de son désir pour le Mortel pour lequel elle évoluait entre les doigts et les baisers, telle une flamme vive et évanescante, l'invitant à venir se bruler en elle.
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