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Affilié à la République
Koraki Exousia
Messages : 710
crédits : 8503
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Info personnage
Race: Hybride (Femme/Corbeau)
Vocation: Mage Noire
Alignement: Neutre Mauvais
Rang: D
Koraki Exousia
Race : Hybride humaine/corbeau
Sexe : Femme
Âge : 37 ans
Métier : Mairesse de Courage
Taille & poids : 1m 70 pour 65 kg
Alignement : Neutre-Mauvais
Faction : La République
Rang : A
Religion : Intérêt pour le Divinisme
Avatar : Carmilla de Styrie, Castlevania, Netflix
Pouvoirs et objets
Mage - Mage Noire
Magies d'Arcane et Corruption :
- Marionnettiste. Palier III.
- Nécromancie. Palier I.
- Malédiction. Palier I.
(Cosmétique : Durant event, PA et autres Rps spéciaux : Aucun changement. Le pouvoir "Malédiction" s'active selon les mêmes conditions que stipulé sur la fiche répertoire.
Durant RPs normaux : Image d'Epinal de la sorcière. Koraki pourra employer potions, ingrédients étranges, incantations sataniques, etc ... (Une partie de la personne à maudire reste un prérequis))
- Pétrification. Palier I.
- Séduction. Palier I.
- Pestilence. Palier III
- Invocation d'objets. Palier I
Gains d'events :
+4 utilisations de P2 et +2 utilisations de P3
Magies Elementaires :
- Magie Elementaire de l’ Ombre. Palier II.
- Magie Elementaire de Glace. Palier II.
- Magie Elementaire d’Ombre-Givre. Palier I.
Magies de Soin :
- Soin élémentaire. Palier I.
- Régénération. Palier II.
Magies Utilitaires :
- Vol. Palier I.
- Métamorphose. Palier I.
- Nyctalopie. Palier I.
- Communication avec les animaux. Palier I.
- Fusion élémentaire
Magies Psychiques :
- Attaque Mentale. Palier III. (Anneau du Razkaal)
- Pouvoir Exclusif :
- Pouvoir exclusif : Marionnettiste. (Arcane et Corruption)
Capacité à animer des objets (exclusivement, ni corps, ni familier, ni animaux, ni arme spéciale/objet spécifique possédé par un pj) en leur insufflant une conscience primaire, répondant aux ordres du lanceur de sort. Les objets peuvent être utilisés offensivement ou défensivement en plus de pouvoir répondre à des commandements de base comme l'espionnage et transmettre des informations.
Palier 1 (500 crédits +25 %) - Donner une conscience à des petits objets (couteaux, vases) à proximité (~30 m) en quantité modérée, durée d'action 1 h
Palier 2 (1000 crédits +25 %) - Donner une conscience à des objets plus lourds (petits meubles, chaise) , portée de 50m, durée d'action 3 h
Palier 3 (2000 crédits +25 %) - Donner une conscience à des objets lourds et en plus forte quantité (gros meubles et autres), portée de 100 m, durée d'action de 5 h.
OBJETS :
Potion :
- Potion de Mana Mineure.
- Respiration Aquatique
- Potion de Maternité
Armes et Objets Magiques :
- L’Anneau du Razkaal
- Visuel:
L'utilisateur de l'anneau accède à la magie d'attaque mentale au palier 3 et peut provoquer de sérieux dégâts psychiques sur un groupe (max 10) qu'il observe à moins de 10 m. La magie noire corrompt celui qui abuse de son pouvoir, avant de subir lui-même les effets néfastes de l'anneau.
-Le livre des morts
Relique Shoumeienne traitant de la magie de la non-vie
-Balai magique
Un balai pouvant voler. (Demande tout de même le sort de Vol)
Pendentif des éléments
[Un pendentif max/personnage]
Poison, palier 1.
Ne tient pas compte des restrictions liées aux vocations. Cependant, la maîtrise de cet élément sera bloqué au palier 1 et il est impossible de le combiner avec une utilisation de potion ou autres augmentations.
Objets précieux:
-Boucles d'oreilles elfique ayant appartenues à la reine Azshary
Description physique et mentale
Ne vous laissez pas attendrir par son beau visage, son sourire facile ou ses yeux pétillants de bonne humeur. Certes, c'est une femme désirable et la nature semble avoir tout fait pour lui faciliter la vie : une silhouette longue, gracieuse et élancée, un visage joliment dessiné, une peau d'albâtre, sans aucune imperfection, de longs cheveux neige tombant élégamment en cascade ... Les plus prudents lui disent en face qu'elle est la plus belle créature de Courage. Les plus acerbes disent dans son dos qu'elle n'en est qu'une seule des plus belles.
Ses tenues sont certes souvent les mêmes, de longues robes noires ou rouges, mais les divinités seules savent à quel point elles épousent son corps comme seul un homme pourrait en rêver. Sans parler de son goût pour la mode, disons ... Osé. En effet, même pour une nation aussi libertine que ne l'est la République, la Mairesse de Courage aime à affoler les esprits en se vêtant de tenue plus provocante les unes que les autres.
Si vous n'êtes pas séduit par ce que vous voyez, vous pourriez l'être par ce que vous sentez. Partout où l'amène sa démarche que l'on ne saurait définir entre le sensuel et le sexuel, une douce flagrance la suit. Rose, jasmin ou lotus, cela dépendra de son humeur. Ses plus proches collaborateurs peuvent parfois deviner son état d'esprit au parfum qu'elle choisit.
Si vous résistez à votre vue et votre odorat, alors ce sera votre ouïe qui vous trahira. Son rire cristallin apaisera vos craintes, tandis que sa voix suave sera pour vous comme une invitation aux pensées les moins pieuses. Vous tournerez alors votre regard vers ses yeux brillant comme des pièces d'or et qui vous apparaîtront comme des invitations à la luxure. Ses yeux juvéniles minauderont tandis qu'ils descendent doucement vers vos lèvres, votre cou, votre torse et ... jamais plus bas. Elle détournera pudiquement son regard, se mordant néanmoins ses lèvres si douces, que vous la supplierez de pouvoir les embrasser. Elle pourrait être séduite par l'idée, posant ses doigts sur votre visage. Vous sentirez alors cette peau douce et vous tomberez.
Ce que vous ignorez, c'est que si vous succombez à ses charmes, vous pourriez perdre plus que votre bourse.
Depuis le rachat de sa maison de passe et la prospérité qui s'en suivit, depuis son alliance avec Mirelda Goldheart et le siège de Maire qu'elle obtint, elle s'est dégagée beaucoup de temps qui lui permet de s'adonner à la lecture et la correspondance épistolaire. Les traités de politique, d'agriculture, de philosophie, d'économie ou de géographie s'accumulent chaque jour en plus grand nombre sur les rangs de sa bibliothèque, sans jamais rassasier sa curiosité. Ses lectures nourrissent ses connaissances. Ses connaissances affutent sa réflexion. Sa réflexion devient le terreau d'une ambition dont elle repousse constamment les limites. Elle a commencé comme simple bête de foire, la voici, dix ans plus tard, à la tête de la ville de Courage. Ses yeux se tournent à présent vers d'autres horizons, d'autres buts, qu'elle seule connait.
Pour cela, elle ne fera montre d'aucun scrupule et rien ne se dressera devant elle. Qui le pourrait ? La moitié des politiciens sollicitent ses services quand l'autre lui a déjà emprunté de l'argent sous table. Quant aux hommes intègres et à la morale irréprochable ... Ils succomberont à ses charmes ou subiront son courroux. Et vous ne voudrez pas l'affronter.
Si cela devait arriver, vous découvririez son secret. Ses ongles deviendrait des serres acérées, sa bouche un bec cruel, ses yeux vireraient au jaune le plus animal et les ailes qu'elle gardaient soigneusement cachées sous sa cape se déploieraient. Elle serait alors pour vous l'Oiseau du Malheur, l'annonciateur de votre mort.
Alors, vous vous souviendrez du conseil qu'on vous avait donné.
L'Ambrosiaque, son lupanar de luxe, entendra son cri de rage, sans en comprendre la raison. Lorsqu'elle sortira de la pièce dans laquelle vous êtes mort, elle brûlera une plume noire au premier cierge qu'elle croisera et dira une prière pour votre âme. Sans scrupules, certes, mais avec un respect pour la mort. Votre corps, par contre, n'aura pas de tels égards, car elle s'en nourrira et fera ainsi disparaître toutes les preuves de son crime.
Vous aurez alors compris, trop tard, que la rage de Koraki n'est surpassée que par son ambition.
On ne mesure la dangerosité d'un oiseau de proie qu'à l'ombre qu'il émet. Et la sienne grandie chaque jour.
Ses tenues sont certes souvent les mêmes, de longues robes noires ou rouges, mais les divinités seules savent à quel point elles épousent son corps comme seul un homme pourrait en rêver. Sans parler de son goût pour la mode, disons ... Osé. En effet, même pour une nation aussi libertine que ne l'est la République, la Mairesse de Courage aime à affoler les esprits en se vêtant de tenue plus provocante les unes que les autres.
Si vous n'êtes pas séduit par ce que vous voyez, vous pourriez l'être par ce que vous sentez. Partout où l'amène sa démarche que l'on ne saurait définir entre le sensuel et le sexuel, une douce flagrance la suit. Rose, jasmin ou lotus, cela dépendra de son humeur. Ses plus proches collaborateurs peuvent parfois deviner son état d'esprit au parfum qu'elle choisit.
Si vous résistez à votre vue et votre odorat, alors ce sera votre ouïe qui vous trahira. Son rire cristallin apaisera vos craintes, tandis que sa voix suave sera pour vous comme une invitation aux pensées les moins pieuses. Vous tournerez alors votre regard vers ses yeux brillant comme des pièces d'or et qui vous apparaîtront comme des invitations à la luxure. Ses yeux juvéniles minauderont tandis qu'ils descendent doucement vers vos lèvres, votre cou, votre torse et ... jamais plus bas. Elle détournera pudiquement son regard, se mordant néanmoins ses lèvres si douces, que vous la supplierez de pouvoir les embrasser. Elle pourrait être séduite par l'idée, posant ses doigts sur votre visage. Vous sentirez alors cette peau douce et vous tomberez.
Ce que vous ignorez, c'est que si vous succombez à ses charmes, vous pourriez perdre plus que votre bourse.
Depuis le rachat de sa maison de passe et la prospérité qui s'en suivit, depuis son alliance avec Mirelda Goldheart et le siège de Maire qu'elle obtint, elle s'est dégagée beaucoup de temps qui lui permet de s'adonner à la lecture et la correspondance épistolaire. Les traités de politique, d'agriculture, de philosophie, d'économie ou de géographie s'accumulent chaque jour en plus grand nombre sur les rangs de sa bibliothèque, sans jamais rassasier sa curiosité. Ses lectures nourrissent ses connaissances. Ses connaissances affutent sa réflexion. Sa réflexion devient le terreau d'une ambition dont elle repousse constamment les limites. Elle a commencé comme simple bête de foire, la voici, dix ans plus tard, à la tête de la ville de Courage. Ses yeux se tournent à présent vers d'autres horizons, d'autres buts, qu'elle seule connait.
Pour cela, elle ne fera montre d'aucun scrupule et rien ne se dressera devant elle. Qui le pourrait ? La moitié des politiciens sollicitent ses services quand l'autre lui a déjà emprunté de l'argent sous table. Quant aux hommes intègres et à la morale irréprochable ... Ils succomberont à ses charmes ou subiront son courroux. Et vous ne voudrez pas l'affronter.
Si cela devait arriver, vous découvririez son secret. Ses ongles deviendrait des serres acérées, sa bouche un bec cruel, ses yeux vireraient au jaune le plus animal et les ailes qu'elle gardaient soigneusement cachées sous sa cape se déploieraient. Elle serait alors pour vous l'Oiseau du Malheur, l'annonciateur de votre mort.
- Visuel de la véritable forme de Koraki:
Alors, vous vous souviendrez du conseil qu'on vous avait donné.
L'Ambrosiaque, son lupanar de luxe, entendra son cri de rage, sans en comprendre la raison. Lorsqu'elle sortira de la pièce dans laquelle vous êtes mort, elle brûlera une plume noire au premier cierge qu'elle croisera et dira une prière pour votre âme. Sans scrupules, certes, mais avec un respect pour la mort. Votre corps, par contre, n'aura pas de tels égards, car elle s'en nourrira et fera ainsi disparaître toutes les preuves de son crime.
Vous aurez alors compris, trop tard, que la rage de Koraki n'est surpassée que par son ambition.
On ne mesure la dangerosité d'un oiseau de proie qu'à l'ombre qu'il émet. Et la sienne grandie chaque jour.
Histoire
« Peu importe la personne que vous êtes, votre vie sera parsemée de rencontres. La plupart du temps, elles seront fugaces, ne comptant que comme une simple ligne aléatoire sur le livre de votre existence. Certaines seront purement et simplement oubliées sitôt la rencontre achevées, d’autres seront plus mémorables, d’autres encore constitueront des chapitres entiers. Elles se succéderont, inlassablement, jusqu’à ce que votre temps soit achevé et que vous mourriez.
Cependant, combien, parmi ces mortels innombrables, peuvent se targuer d’avoir fait une rencontre qui les marqua à tel point que c’est l’intrigue même de leur vie qui s’en trouva basculée ? Bien peu, pour dire vrai.
Et pourtant, c’est ce qui m’ arriva.»
La nouvelle était tombée dans la matinée : Sancta la Sainte était en ruine. Cela n’était pas dût à une invasion barbare comme le Reike en avait l’habitude ou à une nouvelle guerre civile stupide sur fond religieux, non. Elle était l’œuvre d’un seul être : un Titan.
Les badauds, dans les rues, en parlaient. Les commerçants, dans leurs échoppes, en parlaient. Les politiciens, à la Maison Bleue, en parlait. La République entière n’avait que cela à l’esprit. Qu’allait faire le gouvernement ? Kaizoku allait-elle être envahie alors que les pays voisins avaient besoin d’aide ? Justice, si proche de Shoumeï, allait-elle elle aussi être rasée ?
La peur et la paranoïa envahirent les cœurs de tout les républicains, pauvres comme riches.
Sauf Koraki.
La Mairesse de Courage se tenait dans son bureau, comme à l’accoutumée, aveugle et sourde aux craintes de l’extérieur. Elle avait tout comme eux entendue la nouvelle, mais n’en éprouvait pourtant qu’une profonde lassitude, que venait peu à peu remplacer une incommensurable rage.
Elle se leva de son siège, se servit un verre un vin, s’alluma une cigarette, puis entrepris de faire le tour de son bureau, espérant que cette marche lui ordonne les idées. Cependant, de ce fait, elle finie par arriver devant le grand miroir qui ornait l’un de ces murs. Son regard se croisa, et avec vint l’arrêt.
Elle resta quelques instants à contempler son reflet. Ce qu’elle y vit ne fit qu’alimenter sa haine, car elle tomba sur les infamants signes de sa vieillesse prématurée. Les rides se multipliaient de semaines en semaines, la fermeté de ses joues s’affaiblissaient, l’éclat de sa peau s’atténuait. Elle approchait de sa fin.
Et pourtant, alors même qu’elle n’avait que cinq décennies d’espérance de vie, voila qu’un nouvelle apocalypse titanique semblait désirer lui interdire d’en jouir pleinement.
Sa main trembla, se serra, au point d’en briser le verre. Ignorant la douleur, elle frappa le miroir infâme, aggravant ses blessures, avant de siffler, transie de rage :
- Ce n’était pas mon destin.
Puis une voix survint, semblant surgir d’entre les ombres.
- La destinée … J’adore ce concept.
- Qui est là ? Questionna t-elle devant cette intrusion. Montrez-vous !
- 5 000 ans, loin de ce monde plein de vie. Et voilà qu’il y’ à 33 ans, alors que je reportais à nouveau mon attention sur le Sekai, je tombe sur toi. Petit être misérable que la vie elle-même abjurait.
Elle ne répondit pas à l’insulte, scrutant les alentours pour définir l’origine de cette voix profonde et caverneuse. Pourtant, qu’importe où elle jette son regard, elle ne voit que les ténèbres insondables. Son bureau, son palais municipal, sa ville elle-même avait disparue. Elle était seule, face au néant.
Et soudain surgit une ombre, auréolée d’une froide lueur. Elle sut alors alors qui il était.
- Vous … ?
- Ce ne sera plus très long, reprit-il d’un ton hypocritement doux. Tu me rejoindrais plus tôt que tu ne le penses … Ta vie n’est après tout qu’un amer caprice de l’Âme des Cendres. Dans dix années, tout au plus, du périras. Et on oubliera ton nom.
- Fermez-là. Vous n’êtes rien, ici, s’écria t-elle.
- Rien ?
L’ombre s’estompa, remplacée par un rire tonitruant et malsain. Les ténèbres disparurent soudainement, remplacées par la vision d’une cité emplit de sang, de feu et de mort. Sancta, première victime de cette nouvelle guerre.
- Je suis X’o-Rath ! Reprit la voix. J’ai fais trembler les Rois et les Empires, les Dragons et les Titans. La vie m’appartient, car j’en suis la fin ! Et toi, petite hybride … Tu m’obéiras et tu accompliras ma volonté.
La Catin semblait flotter au dessus des bâtiments enflammés, témoin impuissante et invisible de l’indicible horreur titanique. Les cris des mourants comme des réfugiés lui parvinrent, innombrables, en une douce mélodie. Ce qu’elle admirait là était une œuvre d’art, un spectacle grandiose de la puissance incommensurable des Titans. Et les cris de ces victimes n’était rien d’autre qu’un délicieux opéra, composé à la seule gloire du Sombre Titan.
- C’est magnifique, souffla t-elle, aveugle aux ombres qui, insidieusement, se rapprochaient d’elle.
- Oui. Et tu en sera l’une des artisanes. Une soldate obéissante.
Ce dernier mot lui fit quitter la cité enflammée des yeux, alors qu’ils allaient se perdre dans l’infini de l’horizon. «Obéir » ? A un Titan ? Était-ce là le bût de sa vie calomniée ?
Elle resta un instant, à considérer cette proposition qui n’en était pas une. Elle se retrouvait coincée entre la servitude et l’annihilation, sans possibilité de retour arrière. Elle regarde sa main meurtrie, secouée de tremblement. Pourtant, ils n’étaient pas dût à la douleur ou la blessure, mais à la colère qui grimpait de nouveau en elle. Celle d’être une femme bafouée, dont les désirs et les rêves sont ignorés pour satisfaire ceux d’un autre, pour la seule et unique raison que cet autre était bien plus puissant qu’elle.
Ses dents se serrent, à tel point qu’en en viendrait à les croire prêtes à se fendre. Puis elle se tourne vers l’Ombre, les yeux fulminant d’une rage qu’elle n’avait plus connue depuis plus de 20 années.
- Non, déclara t-elle en le défiant de ses yeux d’or.
- « Non » ? Comment oses-tu ? MEURS !
Les ombres se jettent sur elle, portant avec elles toutes les promesses d’une mort rapide et d’une damnation éternelle. Pourtant, la Catin leur fait façe, imperturbable. Et avant qu’elles ne la touche, elle déclara d’une voix débordant d’assurance :
- Je t’obéirais en tant que Reine !
Tout s’arrête, ombres comme scène d’apocalypse. Le temps s’est figé, car il accorde à la Mairesse et au Titan l’intervalle nécessaire à leur discussion.
- Si tu m’observes depuis ma naissance, Titan Noir, tu sais ce que je vaux, continue la politicienne. La Mort ne me sied pas, mais la domination est une amante que je compte conquérir, envers et contre tous, y compris contre toi. Je ne me laisserais pas dompter par un Titan qui s’est caché pendant cinq millénaires. Si je dois te servir, alors ce sera de mon plein gré, X’o-Rath. Car si je te sers, c’est pour obtenir ce que je désire.
- Le pouvoir ?
- L’immortalité. C’est la seule chose qu’il me faut pour dominer ce monde.
L’être divin ne répond pas. Son Ombre ne fait qu’observer cette mortelle qui le défiait, sans éprouver une once de crainte, pesant le pour et le contre de ses revendications. Enfin, au bout d’un temps qui sembla interminable, il rit de nouveau, s’éloignant de Koraki pour aller rejoindre les ténèbres d’où il venait. Et avec lui l’accompagnait la scène de désolation. Lorsqu’il disparut définitivement, elle était de retour dans son bureau.
Sans réellement comprendre ce qu’elle venait de vivre, elle chercha quelques instants les signes de la présence du Titan de la Mort, en vain. Ses sourcils se froncèrent devant cet échec, car elle ne comprenait pas sa réponse. Avait-elle échouée ? Était-elle déjà damnée ?
Cette révélation, elle l’obtint lors d’un unique battement de cœur. Sa main se crispa sur sa poitrine, tentant de contenir cette douleur qui venait de la transpercer. Lors du second battement, un cri s’échappa d’entre ses lèvres. Au troisième, elle se jeta au sol.
La simple volonté de X’o-Rath eut des impacts physiques sur la Catin, dont le signe le plus spectaculaire fut l’abandon par sa chevelure de son abyssale noirceur pour la teinte du linceul. L’or de ses yeux brillèrent d’un éclat nouveau, plus froid et plus implacable qu’il ne l’avait jamais été. Serres de naissance et ongle d’apparat fusionnèrent pour accorder une nouvelle force à la poigne de fer de la Reine des Maquerelles.
Comme tout accouchement, cette naissance s’opéra dans la douleur.
Lorsque tout s’acheva enfin et qu’elle put se relever, son premier réflexe fut de s’observer dans la glace. Un long moment durant, elle admira les changements de son corps, palpant sa peau qui semblait avoir regagnée une jeunesse certaine. La beauté qui avait été son arme durant plus d’une décennie avait été rehaussé d’une sombre, froide et factice jeunesse.
Il lui sembla que sa propre condition d’hybride s’estompa. Qu’était-elle devenue ?
En réalité, elle était toujours la même : une aberration de la nature, fruit du viol d’un mortel sur un animal. Une aberration … Digne d’épouser un Dieu.
Non, elle n’était pas encore immortelle, elle le savait. Le Sombre Divin l’a mettait à l’épreuve. Qu’elle se montre digne de son attention et elle obtiendrait la vie éternelle. Cependant, il n’était pas partie sans lui faire don d’un dernier présent, car il était indéniable que la puissance qu’était la sienne avait été complété d’une nouvelle vigueur.
- Vous ne pensez sérieusement pas me faire croire à ce conte de fée ? Lui déclara finalement son invité, avachi dans son fauteuil.
L’homme qui lui faisait face était un colosse, envoyé par la pègre organisée de Courage dans le bût d’éviter que la cité ne sombre dans un bain de sang, comme l’avait exigé la Présidente. Il était le dernier intermédiaire entre la politicienne et le monde du marché noir, dont elle faisait pourtant partie.
Seulement, des forces supérieures étaient à l'œuvre. Le temps allait lui manquer. Elle ne pouvait plus se permettre d'en perdre avec de stupides querelles économiques.
Il fallait y mettre un terme.
Un verre de vin à la main, la Catin tournait autour de l'homme, lentement, paisiblement, ses pieds battant la cadence à un rythme mesuré.
TIC. TAC. TIC. TAC.
Elle s'arrêta soudainement, avant de tourner son doux visage en direction de l'émissaire et de lui répondre.
- Non … Non assurément. Ce n’est qu’une banale histoire que j'ai inventé, bien entendu.
- Alors pourquoi perdre votre temps à me la raconter ? S'énerva t-il.
D'un simple tressaillement de cils, le pouvoir de la Mairesse s'éveilla et la chaise sur laquelle se tenait l'infortuné mafieux s'anima et l'emprisonna entre ses accoudoirs. Il tenta de résister, faisant chuter verre de vin et plateau de mignardises dans sa vaine esquisse de libération. Seulement, contre le pouvoir de Koraki Exousia, il ne pouvait rien. La volonté de la Reine des Catins était de fer et sa magie en était le reflet. Quiconque s'opposait à elle ou ne lui témoignait pas le respect qui lui était dût ne pouvait que subir son courroux.
- Tout simplement car tout sommeil, même éternel, mérite d'être précédé d'une bonne histoire, susurre t-elle.
Son visage se tord, alors que ses lèvres fines et douces sont remplacées par un ignoble bec osseux, ponctué d'innombrables dents malines.
L'homme qui se tient face à elle ne peut que hurler devant cette hideuse apparition, lui qui avait laissé son esprit vagabonder sur les plaisirs malsains qu'il aurait aimé assouvir avec le précédent corps de la Mairesse. Pour tout réponse à sa détresse, ce n'est qu'un rire dédaigneux qui s'échappe de cette gueule de cauchemar.
- Oui, crier bon, même si inutile. Maintenant, toi parler ... Où sont "amis" ?
L'anneau à son annulaire crépite, prêt à être employé. Il n'attendait que cela et la maquerelle aussi.
A nouveau, des cris retentirent dans le bureau de la Reine des Catins, aussitôt couverts par un rire diabolique.
Cependant, combien, parmi ces mortels innombrables, peuvent se targuer d’avoir fait une rencontre qui les marqua à tel point que c’est l’intrigue même de leur vie qui s’en trouva basculée ? Bien peu, pour dire vrai.
Et pourtant, c’est ce qui m’ arriva.»
La nouvelle était tombée dans la matinée : Sancta la Sainte était en ruine. Cela n’était pas dût à une invasion barbare comme le Reike en avait l’habitude ou à une nouvelle guerre civile stupide sur fond religieux, non. Elle était l’œuvre d’un seul être : un Titan.
Les badauds, dans les rues, en parlaient. Les commerçants, dans leurs échoppes, en parlaient. Les politiciens, à la Maison Bleue, en parlait. La République entière n’avait que cela à l’esprit. Qu’allait faire le gouvernement ? Kaizoku allait-elle être envahie alors que les pays voisins avaient besoin d’aide ? Justice, si proche de Shoumeï, allait-elle elle aussi être rasée ?
La peur et la paranoïa envahirent les cœurs de tout les républicains, pauvres comme riches.
Sauf Koraki.
La Mairesse de Courage se tenait dans son bureau, comme à l’accoutumée, aveugle et sourde aux craintes de l’extérieur. Elle avait tout comme eux entendue la nouvelle, mais n’en éprouvait pourtant qu’une profonde lassitude, que venait peu à peu remplacer une incommensurable rage.
Elle se leva de son siège, se servit un verre un vin, s’alluma une cigarette, puis entrepris de faire le tour de son bureau, espérant que cette marche lui ordonne les idées. Cependant, de ce fait, elle finie par arriver devant le grand miroir qui ornait l’un de ces murs. Son regard se croisa, et avec vint l’arrêt.
Elle resta quelques instants à contempler son reflet. Ce qu’elle y vit ne fit qu’alimenter sa haine, car elle tomba sur les infamants signes de sa vieillesse prématurée. Les rides se multipliaient de semaines en semaines, la fermeté de ses joues s’affaiblissaient, l’éclat de sa peau s’atténuait. Elle approchait de sa fin.
Et pourtant, alors même qu’elle n’avait que cinq décennies d’espérance de vie, voila qu’un nouvelle apocalypse titanique semblait désirer lui interdire d’en jouir pleinement.
Sa main trembla, se serra, au point d’en briser le verre. Ignorant la douleur, elle frappa le miroir infâme, aggravant ses blessures, avant de siffler, transie de rage :
- Ce n’était pas mon destin.
Puis une voix survint, semblant surgir d’entre les ombres.
- La destinée … J’adore ce concept.
- Qui est là ? Questionna t-elle devant cette intrusion. Montrez-vous !
- 5 000 ans, loin de ce monde plein de vie. Et voilà qu’il y’ à 33 ans, alors que je reportais à nouveau mon attention sur le Sekai, je tombe sur toi. Petit être misérable que la vie elle-même abjurait.
Elle ne répondit pas à l’insulte, scrutant les alentours pour définir l’origine de cette voix profonde et caverneuse. Pourtant, qu’importe où elle jette son regard, elle ne voit que les ténèbres insondables. Son bureau, son palais municipal, sa ville elle-même avait disparue. Elle était seule, face au néant.
Et soudain surgit une ombre, auréolée d’une froide lueur. Elle sut alors alors qui il était.
- Vous … ?
- Ce ne sera plus très long, reprit-il d’un ton hypocritement doux. Tu me rejoindrais plus tôt que tu ne le penses … Ta vie n’est après tout qu’un amer caprice de l’Âme des Cendres. Dans dix années, tout au plus, du périras. Et on oubliera ton nom.
- Fermez-là. Vous n’êtes rien, ici, s’écria t-elle.
- Rien ?
L’ombre s’estompa, remplacée par un rire tonitruant et malsain. Les ténèbres disparurent soudainement, remplacées par la vision d’une cité emplit de sang, de feu et de mort. Sancta, première victime de cette nouvelle guerre.
- Je suis X’o-Rath ! Reprit la voix. J’ai fais trembler les Rois et les Empires, les Dragons et les Titans. La vie m’appartient, car j’en suis la fin ! Et toi, petite hybride … Tu m’obéiras et tu accompliras ma volonté.
La Catin semblait flotter au dessus des bâtiments enflammés, témoin impuissante et invisible de l’indicible horreur titanique. Les cris des mourants comme des réfugiés lui parvinrent, innombrables, en une douce mélodie. Ce qu’elle admirait là était une œuvre d’art, un spectacle grandiose de la puissance incommensurable des Titans. Et les cris de ces victimes n’était rien d’autre qu’un délicieux opéra, composé à la seule gloire du Sombre Titan.
- C’est magnifique, souffla t-elle, aveugle aux ombres qui, insidieusement, se rapprochaient d’elle.
- Oui. Et tu en sera l’une des artisanes. Une soldate obéissante.
Ce dernier mot lui fit quitter la cité enflammée des yeux, alors qu’ils allaient se perdre dans l’infini de l’horizon. «Obéir » ? A un Titan ? Était-ce là le bût de sa vie calomniée ?
Elle resta un instant, à considérer cette proposition qui n’en était pas une. Elle se retrouvait coincée entre la servitude et l’annihilation, sans possibilité de retour arrière. Elle regarde sa main meurtrie, secouée de tremblement. Pourtant, ils n’étaient pas dût à la douleur ou la blessure, mais à la colère qui grimpait de nouveau en elle. Celle d’être une femme bafouée, dont les désirs et les rêves sont ignorés pour satisfaire ceux d’un autre, pour la seule et unique raison que cet autre était bien plus puissant qu’elle.
Ses dents se serrent, à tel point qu’en en viendrait à les croire prêtes à se fendre. Puis elle se tourne vers l’Ombre, les yeux fulminant d’une rage qu’elle n’avait plus connue depuis plus de 20 années.
- Non, déclara t-elle en le défiant de ses yeux d’or.
- « Non » ? Comment oses-tu ? MEURS !
Les ombres se jettent sur elle, portant avec elles toutes les promesses d’une mort rapide et d’une damnation éternelle. Pourtant, la Catin leur fait façe, imperturbable. Et avant qu’elles ne la touche, elle déclara d’une voix débordant d’assurance :
- Je t’obéirais en tant que Reine !
Tout s’arrête, ombres comme scène d’apocalypse. Le temps s’est figé, car il accorde à la Mairesse et au Titan l’intervalle nécessaire à leur discussion.
- Si tu m’observes depuis ma naissance, Titan Noir, tu sais ce que je vaux, continue la politicienne. La Mort ne me sied pas, mais la domination est une amante que je compte conquérir, envers et contre tous, y compris contre toi. Je ne me laisserais pas dompter par un Titan qui s’est caché pendant cinq millénaires. Si je dois te servir, alors ce sera de mon plein gré, X’o-Rath. Car si je te sers, c’est pour obtenir ce que je désire.
- Le pouvoir ?
- L’immortalité. C’est la seule chose qu’il me faut pour dominer ce monde.
L’être divin ne répond pas. Son Ombre ne fait qu’observer cette mortelle qui le défiait, sans éprouver une once de crainte, pesant le pour et le contre de ses revendications. Enfin, au bout d’un temps qui sembla interminable, il rit de nouveau, s’éloignant de Koraki pour aller rejoindre les ténèbres d’où il venait. Et avec lui l’accompagnait la scène de désolation. Lorsqu’il disparut définitivement, elle était de retour dans son bureau.
Sans réellement comprendre ce qu’elle venait de vivre, elle chercha quelques instants les signes de la présence du Titan de la Mort, en vain. Ses sourcils se froncèrent devant cet échec, car elle ne comprenait pas sa réponse. Avait-elle échouée ? Était-elle déjà damnée ?
Cette révélation, elle l’obtint lors d’un unique battement de cœur. Sa main se crispa sur sa poitrine, tentant de contenir cette douleur qui venait de la transpercer. Lors du second battement, un cri s’échappa d’entre ses lèvres. Au troisième, elle se jeta au sol.
La simple volonté de X’o-Rath eut des impacts physiques sur la Catin, dont le signe le plus spectaculaire fut l’abandon par sa chevelure de son abyssale noirceur pour la teinte du linceul. L’or de ses yeux brillèrent d’un éclat nouveau, plus froid et plus implacable qu’il ne l’avait jamais été. Serres de naissance et ongle d’apparat fusionnèrent pour accorder une nouvelle force à la poigne de fer de la Reine des Maquerelles.
Comme tout accouchement, cette naissance s’opéra dans la douleur.
Lorsque tout s’acheva enfin et qu’elle put se relever, son premier réflexe fut de s’observer dans la glace. Un long moment durant, elle admira les changements de son corps, palpant sa peau qui semblait avoir regagnée une jeunesse certaine. La beauté qui avait été son arme durant plus d’une décennie avait été rehaussé d’une sombre, froide et factice jeunesse.
Il lui sembla que sa propre condition d’hybride s’estompa. Qu’était-elle devenue ?
En réalité, elle était toujours la même : une aberration de la nature, fruit du viol d’un mortel sur un animal. Une aberration … Digne d’épouser un Dieu.
Non, elle n’était pas encore immortelle, elle le savait. Le Sombre Divin l’a mettait à l’épreuve. Qu’elle se montre digne de son attention et elle obtiendrait la vie éternelle. Cependant, il n’était pas partie sans lui faire don d’un dernier présent, car il était indéniable que la puissance qu’était la sienne avait été complété d’une nouvelle vigueur.
- Vous ne pensez sérieusement pas me faire croire à ce conte de fée ? Lui déclara finalement son invité, avachi dans son fauteuil.
L’homme qui lui faisait face était un colosse, envoyé par la pègre organisée de Courage dans le bût d’éviter que la cité ne sombre dans un bain de sang, comme l’avait exigé la Présidente. Il était le dernier intermédiaire entre la politicienne et le monde du marché noir, dont elle faisait pourtant partie.
Seulement, des forces supérieures étaient à l'œuvre. Le temps allait lui manquer. Elle ne pouvait plus se permettre d'en perdre avec de stupides querelles économiques.
Il fallait y mettre un terme.
Un verre de vin à la main, la Catin tournait autour de l'homme, lentement, paisiblement, ses pieds battant la cadence à un rythme mesuré.
TIC. TAC. TIC. TAC.
Elle s'arrêta soudainement, avant de tourner son doux visage en direction de l'émissaire et de lui répondre.
- Non … Non assurément. Ce n’est qu’une banale histoire que j'ai inventé, bien entendu.
- Alors pourquoi perdre votre temps à me la raconter ? S'énerva t-il.
D'un simple tressaillement de cils, le pouvoir de la Mairesse s'éveilla et la chaise sur laquelle se tenait l'infortuné mafieux s'anima et l'emprisonna entre ses accoudoirs. Il tenta de résister, faisant chuter verre de vin et plateau de mignardises dans sa vaine esquisse de libération. Seulement, contre le pouvoir de Koraki Exousia, il ne pouvait rien. La volonté de la Reine des Catins était de fer et sa magie en était le reflet. Quiconque s'opposait à elle ou ne lui témoignait pas le respect qui lui était dût ne pouvait que subir son courroux.
- Tout simplement car tout sommeil, même éternel, mérite d'être précédé d'une bonne histoire, susurre t-elle.
Son visage se tord, alors que ses lèvres fines et douces sont remplacées par un ignoble bec osseux, ponctué d'innombrables dents malines.
L'homme qui se tient face à elle ne peut que hurler devant cette hideuse apparition, lui qui avait laissé son esprit vagabonder sur les plaisirs malsains qu'il aurait aimé assouvir avec le précédent corps de la Mairesse. Pour tout réponse à sa détresse, ce n'est qu'un rire dédaigneux qui s'échappe de cette gueule de cauchemar.
- Oui, crier bon, même si inutile. Maintenant, toi parler ... Où sont "amis" ?
L'anneau à son annulaire crépite, prêt à être employé. Il n'attendait que cela et la maquerelle aussi.
A nouveau, des cris retentirent dans le bureau de la Reine des Catins, aussitôt couverts par un rire diabolique.
Groupes d'intérêts
- La Pègre. C'est après tout le milieu dans lequel la Mairesse à évolué pendant plus d'une décennie, avant de d'arriver à la tête de Courage. A présent, ses anciens partenaires sont devenus ses ennemis. Qu'il en soit ainsi.
- Le Divinisme. Dès avant l'attaque des Titans, Koraki avait commencé à ressentir de l'intérêt pour X'o-Rath, voyant en lui un moyen d'obtenir cette immortalité tant désiré. A présent que le Sombre à refait surface sur Sekaï, les opportunités de voir ses projets se concrétiser semble plus tangible que jamais.
- Les Limiers du Razkaal. L' Anneau du Razkaal est une relique puissante, mais maudite. Si Koraki ne fera preuve d'aucune prudence dans son utilisation, elle n'en reste pas moins intriguée. La prison républicaine renferme probablement les secrets de l'anneau.
- Le Divinisme. Dès avant l'attaque des Titans, Koraki avait commencé à ressentir de l'intérêt pour X'o-Rath, voyant en lui un moyen d'obtenir cette immortalité tant désiré. A présent que le Sombre à refait surface sur Sekaï, les opportunités de voir ses projets se concrétiser semble plus tangible que jamais.
- Les Limiers du Razkaal. L' Anneau du Razkaal est une relique puissante, mais maudite. Si Koraki ne fera preuve d'aucune prudence dans son utilisation, elle n'en reste pas moins intriguée. La prison républicaine renferme probablement les secrets de l'anneau.
derrière l'écran
Pseudo : Koraki. Ou votre divine souveraine, c’est bien aussi.
Comment avez-vous connu le forum ? J’ai vu de la lumière et quand je suis entré, j’ai compris que c’était moi.
Avis sur le forum : Les annexes, surtout celles sur l’Université Magic, sont extraordinaires ! La personne qui les a rédigée devrait avoir une statue en cookie à son éffigie.
Fréquence de connexion : Tout les jours.
Citoyen du monde
Seagan
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T'as pris des risques en faisant "parle" Xo. Fort heureusement, tu l'as fait avec une bonne modération sans trop dévoiler ses plans. J'avoue que ta description physique et ensuite montrer l'apparence hybride m'a fait presque flipper. Surtout la très jolie description suave et sensuelle pour ensuite switcher sur cette forme hideuse ahaha.
Tu justifies bien ton accroche au divinisme et j'ai hâte de te rencontrer inrp.
Validé
Tu justifies bien ton accroche au divinisme et j'ai hâte de te rencontrer inrp.
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L'amour est éternel.
La mort est une porte séparant le Royaume des Gardiens,
à celui de nos Titans, le Sekai.
Puisse l'amour en notre foi guider notre peuple
dans le chemin de l'absolution de nos péchés.
Ainsi soit-il.
La mort est une porte séparant le Royaume des Gardiens,
à celui de nos Titans, le Sekai.
Puisse l'amour en notre foi guider notre peuple
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Ainsi soit-il.
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