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Un rire dément répond aux questions de l'elfe avant qu'une poigne étonnamment ferme d'une main noire ne le prenne par les menottes pour le déséquilibrer totalement. Il y a bien un moment de flou, ou notre héros perd quelques précieuses secondes de sa vie, les sens saturés de cette odeur prenante d'encens.
Et sans trop savoir comment il a été tiré jusque là, voilà votre mage noir favori couché sur des coussins moelleux, attaché à une poutre de soutien , une desdemoiselles l'embrassant sauvagement tandis que des courants d'airs se font sentir le long de ses vêtements, accompagnés d'un bruit de déchirure.
-Joue avec nous. Dit Elsa... à moins que ca ne soit Ana? Entre deux baisers aux goûts de champignons. La belles se met à rire, un rire se dédoublant, se quadruplant, jusqu'à devenir torrent de rivière multicolore serpentant un ciel du plus beau rose lumineux, quelques licornes hippocampes à ailes sautant parmis les vagues lumineuses à la façon de saumon lors de la fraie. Le soleil, brutal, se sépare tel un kaléidoscope parmis lesquels passent.... des hippotames en tutus dansant le ballet avec des girafes à colliers?
Mais si le voyageur baisse les yeux, il y a les ténèbres en bas. Des ténèbres affamées, tentaculesques et qui claquent des dents. Une tentacule passe sur sa cuisse, amenant avec elle une légère ligne d'écarlate pure de laquelle sort une volée de papillons carmins. Une autre brûlure de laquelle nait une branche du même carmin ornée d'une feuille d'or pur
Non, manifestement, ce n'est pas un champignon ordinaire qu'il vient d'ingurgiter. Et si l'elfe baisse les yeux sur son propre corp, il pourra voir une splendide crééature de rêve laper goulûment la sève de l'arbre qui pousse de sa personne, amenant une chaleur certaine dans le creux de ses reins et ce, même si ses griffes ne s'y attardent pas, préférant souligner ses côtes, une griffe après l'autre, un sillon après l'autre. C'est délicieusement douloureux en fait. Et de ces douleurs, naissent milles merveilles colorées
Et sans trop savoir comment il a été tiré jusque là, voilà votre mage noir favori couché sur des coussins moelleux, attaché à une poutre de soutien , une desdemoiselles l'embrassant sauvagement tandis que des courants d'airs se font sentir le long de ses vêtements, accompagnés d'un bruit de déchirure.
-Joue avec nous. Dit Elsa... à moins que ca ne soit Ana? Entre deux baisers aux goûts de champignons. La belles se met à rire, un rire se dédoublant, se quadruplant, jusqu'à devenir torrent de rivière multicolore serpentant un ciel du plus beau rose lumineux, quelques licornes hippocampes à ailes sautant parmis les vagues lumineuses à la façon de saumon lors de la fraie. Le soleil, brutal, se sépare tel un kaléidoscope parmis lesquels passent.... des hippotames en tutus dansant le ballet avec des girafes à colliers?
Mais si le voyageur baisse les yeux, il y a les ténèbres en bas. Des ténèbres affamées, tentaculesques et qui claquent des dents. Une tentacule passe sur sa cuisse, amenant avec elle une légère ligne d'écarlate pure de laquelle sort une volée de papillons carmins. Une autre brûlure de laquelle nait une branche du même carmin ornée d'une feuille d'or pur
Non, manifestement, ce n'est pas un champignon ordinaire qu'il vient d'ingurgiter. Et si l'elfe baisse les yeux sur son propre corp, il pourra voir une splendide crééature de rêve laper goulûment la sève de l'arbre qui pousse de sa personne, amenant une chaleur certaine dans le creux de ses reins et ce, même si ses griffes ne s'y attardent pas, préférant souligner ses côtes, une griffe après l'autre, un sillon après l'autre. C'est délicieusement douloureux en fait. Et de ces douleurs, naissent milles merveilles colorées
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Guet-apens en forêt
Feat Halewyn
Sa piètre tentative pour gagner du temps s'est avérée être un échec cuisant. Privé de sa magie et les mains liées, le prodige de Melorn est tout de suite bien inoffensif et ne peut que subir les lubies de ses ravisseuses. Voir le mage noir réduit à l'impuissance - pas physiologiquement au plus grand plaisir de ces dames - en serait presque risible et ça ne manque pas de frapper directement dans son égo naturellement démesuré, de quoi le faire redescendre d'un cran. Il semble avoir une absence pendant quelques secondes. Peut-être plus, il ne sait pas vraiment et c'est pour ainsi dire, le cadet de ses problèmes actuellement. Il n'aurait jamais cru penser ça mais, il regretterait presque la présence d'Halewyn. Ce Démon l'a volontairement laissé avec ces deux diablesses en toute connaissance de cause.
Lorsqu'il reprend conscience sous les assauts enragés des lèvres d'une des demoiselles, il ne sait pas vraiment laquelle. En d'autres circonstances, il aurait certainement jubiler d'être dans cette situation et en si bonne compagnie, bien qu'il en sache pas vraiment comment il a fini allongé sur des coussins. Submergé par autant de baisers que de questions, il est davantage préoccupé par un surprenant bruit de déchirure dont il ne connait pas exactement l'origine, lui faisant faire les gros yeux. Il a à peine le temps de soulever sa tête pour voir ce qu'il se passait avec ses vêtements que Ana - ou Elsa, il ne sait toujours pas - vient subitement obstruer son champ de vision. Un goût très désagréable de champignon apparait à l'intérieur même de sa bouche, il ne fait pas tout de suite le rapprochement. Tout va bien trop vite et il n'a pas le temps de comprendre ce qui lui arrive alors que ses sens s'en retrouvent soudainement brouillés par un effet psychédélique.
Aux dernières nouvelles, ils ne sont "que" trois dans la pièce et pourtant, les rires se multiplient à une vitesse effarante. Les murs se tordent sous ses yeux ébahis et les couleurs deviennent de véritables torrents arc-en-ciels. Le sombre plafond a laissé place à un ciel rose ensoleillé et aussi surprenant que ça puisse paraître, ce n'est même pas le plus perturbant. Il se fige à l'apparition des licornes... hippocampes ? Avec des ailes ? Ensuite, le Soleil artificielle se sépare et ouvre la voie à des hippopotames et des girafes qui se mettent à danser un peu partout autour de lui. Il ferme les yeux pendant quelques secondes puis les ouvre à nouveau en espérant naïvement que ses hallucinations vont disparaitre.
« Serait-ce donc ça l'enfer ? »
Est-il déjà mort ? Non mais il aurait sûrement préféré l'être pour au moins garder un soupçon de dignité. Il implorerait sûrement qu'on abrège ses souffrances s'il n'était pas trop fier pour ça. La douleur est une chose supportable pour lui. Certaines personnes sont capables d'endurer des heures et des jours entiers sous les tortures les plus violentes. Mais cet océan multicolore ? C'est au-dessus de ses forces.
Trop de lumière à son goût, il se met à chercher une échappatoire à travers les ténèbres étrangement plus attirante que le cirque qui se déroule au-dessus de sa tête. Il perçoit des formes abstraites sans comprendre exactement de quoi il s'agit, une tentacule glisse sur sa cuisse provoquant une réaction de panique et de dégoût chez l'Elfe captif, c'est dans cet élan de lucidité qu'il se met à se mouvoir, cherchant à se débattre bien que ça ne soit pas très convainquant honnêtement sous les effets de la drogue. Il ne comprend que maintenant que ses mains sont maintenant attachées à un morceau de bois avec un visage humain. La poutre lui sourit avec ses grandes dents blanches et lui fait même un clin d'oeil alors qu'il essaye en vain de libérer ses mains, baragouinant des morceaux de phrases.
« Je... Il vient de... me faire un clin d'oeil ? »
Il met du temps à se rendre compte de ce qu'il se passe plus bas sur son corps avec cette créature qui profite de lui sans son consentement, il y a bien trop d'éléments qui viennent saturer son esprit et il ne sait plus où donner de la tête et cette migraine qui surgit au même moment. Il se sent partir l'espace d'un instant, partagé entre une sensation de bien-être, cette chaleur qui caresse ses reins et cette douleur qui parcourt son corps. Entre extase et supplice. Il est comme déconnecté, il est là sans vraiment l'être et cela va durer encore quelques très longues minutes jusqu'à ce que les effets les plus importants des champignons s'estompent d'eux-mêmes. Pendant ce laps de temps, il préfère tout simplement ne pas savoir quelles idées perverses vont avoir les deux prêtresses à son sujet et ce n'est pas comme s'il y pouvait y faire quoi que ce soit. Il se contente de s'émerveiller malgré lui à la vue de ces animaux dansants et diaboliques qui le narguent sans remords.
CENDRES
Lorsqu'il reprend conscience sous les assauts enragés des lèvres d'une des demoiselles, il ne sait pas vraiment laquelle. En d'autres circonstances, il aurait certainement jubiler d'être dans cette situation et en si bonne compagnie, bien qu'il en sache pas vraiment comment il a fini allongé sur des coussins. Submergé par autant de baisers que de questions, il est davantage préoccupé par un surprenant bruit de déchirure dont il ne connait pas exactement l'origine, lui faisant faire les gros yeux. Il a à peine le temps de soulever sa tête pour voir ce qu'il se passait avec ses vêtements que Ana - ou Elsa, il ne sait toujours pas - vient subitement obstruer son champ de vision. Un goût très désagréable de champignon apparait à l'intérieur même de sa bouche, il ne fait pas tout de suite le rapprochement. Tout va bien trop vite et il n'a pas le temps de comprendre ce qui lui arrive alors que ses sens s'en retrouvent soudainement brouillés par un effet psychédélique.
Aux dernières nouvelles, ils ne sont "que" trois dans la pièce et pourtant, les rires se multiplient à une vitesse effarante. Les murs se tordent sous ses yeux ébahis et les couleurs deviennent de véritables torrents arc-en-ciels. Le sombre plafond a laissé place à un ciel rose ensoleillé et aussi surprenant que ça puisse paraître, ce n'est même pas le plus perturbant. Il se fige à l'apparition des licornes... hippocampes ? Avec des ailes ? Ensuite, le Soleil artificielle se sépare et ouvre la voie à des hippopotames et des girafes qui se mettent à danser un peu partout autour de lui. Il ferme les yeux pendant quelques secondes puis les ouvre à nouveau en espérant naïvement que ses hallucinations vont disparaitre.
« Serait-ce donc ça l'enfer ? »
Est-il déjà mort ? Non mais il aurait sûrement préféré l'être pour au moins garder un soupçon de dignité. Il implorerait sûrement qu'on abrège ses souffrances s'il n'était pas trop fier pour ça. La douleur est une chose supportable pour lui. Certaines personnes sont capables d'endurer des heures et des jours entiers sous les tortures les plus violentes. Mais cet océan multicolore ? C'est au-dessus de ses forces.
Trop de lumière à son goût, il se met à chercher une échappatoire à travers les ténèbres étrangement plus attirante que le cirque qui se déroule au-dessus de sa tête. Il perçoit des formes abstraites sans comprendre exactement de quoi il s'agit, une tentacule glisse sur sa cuisse provoquant une réaction de panique et de dégoût chez l'Elfe captif, c'est dans cet élan de lucidité qu'il se met à se mouvoir, cherchant à se débattre bien que ça ne soit pas très convainquant honnêtement sous les effets de la drogue. Il ne comprend que maintenant que ses mains sont maintenant attachées à un morceau de bois avec un visage humain. La poutre lui sourit avec ses grandes dents blanches et lui fait même un clin d'oeil alors qu'il essaye en vain de libérer ses mains, baragouinant des morceaux de phrases.
« Je... Il vient de... me faire un clin d'oeil ? »
Il met du temps à se rendre compte de ce qu'il se passe plus bas sur son corps avec cette créature qui profite de lui sans son consentement, il y a bien trop d'éléments qui viennent saturer son esprit et il ne sait plus où donner de la tête et cette migraine qui surgit au même moment. Il se sent partir l'espace d'un instant, partagé entre une sensation de bien-être, cette chaleur qui caresse ses reins et cette douleur qui parcourt son corps. Entre extase et supplice. Il est comme déconnecté, il est là sans vraiment l'être et cela va durer encore quelques très longues minutes jusqu'à ce que les effets les plus importants des champignons s'estompent d'eux-mêmes. Pendant ce laps de temps, il préfère tout simplement ne pas savoir quelles idées perverses vont avoir les deux prêtresses à son sujet et ce n'est pas comme s'il y pouvait y faire quoi que ce soit. Il se contente de s'émerveiller malgré lui à la vue de ces animaux dansants et diaboliques qui le narguent sans remords.
CENDRES
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Soudainement, tout s'arrête. Pas les hallucinations, mais les tentacules se rétractent comme sous l'effet d'un ordre d'une entité infiniement plus haute Une ombre recouvre le paysage, appartenant à une divinité tplus terrible. Lumineuse, aux yeux abyssaux et aux cheveux d'un rouge aussi carmin que tout ce qui jaillis de son corp.
La créature baisse les yeux sur lui, empalé par l'arbre qui traverse son corp et les tentacules qui lui caresse les cuisse, et soudainement, il se met à vibrer d'une colère telle que les ténèbres refluent à la vitesse grand V. Il y a des cris et des glapissement de douleur, des suppliques folles. Puis, le retrait, ne laissant qu'un paysage de sucettes et de maison en pain d'épices dans llequel évolue un Windigo, créature dantesque du plus pur cauchemar...
Il entend une conversation... Une voix impérieuse et mécontente enveloppée dans un carillon de velours aérien, des suppliques à lesquelles ne répondent qu'une fin impitoyable de non recevoir. Il y a un rire féminin moqueur, dément, avant que ce dernier ne se change en un glapissement brut coupé par un subit gargouillement on ne peut plus liquide.
Quand El reprend conscience, il est détaché et sur un amas de vieux coussins, proprement bandé dans une pièce fleurant atrocement le cuivre, aux murs éclaboussés de rouge. La belle noire, bouche fermée et faciès crispé en une expression de douleur indicible, s'occupe de finir de panser ses plaies. Les braseros répandent une faible lueur à l'odeur de charbon tout simplement.
-Bonne nuit Eliendir. Tu m'excusera, j'ai du te posséder un peu, tu étais on ne peut plus non coopératif. Ce qui est normal... Je leur ai sermonné milles fois sur la nécessité d'arrêter ces foutus champignons, ca les rendrait peut-être un peu moins tarés, et l'impératif du consentement éclairé dans mon culte. Tu es chanceux dans ta malchance, je suis arrivé à temps pour t'éviter l'inéluctable. Ta virilité était littéralement à un centimètre de ses lèvres.
L'acceuille ħalewyn, affalé voluptueusement dans une méridienne avant de prendre un couteau et de s'étirer vers la blonde attachée au mur,tête baissée avec de multiples traces de sévices apparents. D'un geste désinvolte, iel entaille la chair maigre d'une cuisse, soulevant la peau avec art pour se prélever une lichette de viande, rabattant ensuite le cuir par dessus, ce qui fait tressaillir la captive. Si le mage elfe voulait avoir une idée de ce qui se passait quand on déplaisait au faux dieu, il était maintenant aux premièeres loges pour être renseigné.
TØujorus allongé, iel démon s'étira voluptueusement comme une chatte sur un toi brûlant.
Si tu désire te venger, elle est tout à toi. Sache que je ne cautionne pas le viol. Sinon tout le reste est permissi les partis sont consentant. Au fais, comment va ta lucidité?
La créature baisse les yeux sur lui, empalé par l'arbre qui traverse son corp et les tentacules qui lui caresse les cuisse, et soudainement, il se met à vibrer d'une colère telle que les ténèbres refluent à la vitesse grand V. Il y a des cris et des glapissement de douleur, des suppliques folles. Puis, le retrait, ne laissant qu'un paysage de sucettes et de maison en pain d'épices dans llequel évolue un Windigo, créature dantesque du plus pur cauchemar...
Il entend une conversation... Une voix impérieuse et mécontente enveloppée dans un carillon de velours aérien, des suppliques à lesquelles ne répondent qu'une fin impitoyable de non recevoir. Il y a un rire féminin moqueur, dément, avant que ce dernier ne se change en un glapissement brut coupé par un subit gargouillement on ne peut plus liquide.
Quand El reprend conscience, il est détaché et sur un amas de vieux coussins, proprement bandé dans une pièce fleurant atrocement le cuivre, aux murs éclaboussés de rouge. La belle noire, bouche fermée et faciès crispé en une expression de douleur indicible, s'occupe de finir de panser ses plaies. Les braseros répandent une faible lueur à l'odeur de charbon tout simplement.
-Bonne nuit Eliendir. Tu m'excusera, j'ai du te posséder un peu, tu étais on ne peut plus non coopératif. Ce qui est normal... Je leur ai sermonné milles fois sur la nécessité d'arrêter ces foutus champignons, ca les rendrait peut-être un peu moins tarés, et l'impératif du consentement éclairé dans mon culte. Tu es chanceux dans ta malchance, je suis arrivé à temps pour t'éviter l'inéluctable. Ta virilité était littéralement à un centimètre de ses lèvres.
L'acceuille ħalewyn, affalé voluptueusement dans une méridienne avant de prendre un couteau et de s'étirer vers la blonde attachée au mur,tête baissée avec de multiples traces de sévices apparents. D'un geste désinvolte, iel entaille la chair maigre d'une cuisse, soulevant la peau avec art pour se prélever une lichette de viande, rabattant ensuite le cuir par dessus, ce qui fait tressaillir la captive. Si le mage elfe voulait avoir une idée de ce qui se passait quand on déplaisait au faux dieu, il était maintenant aux premièeres loges pour être renseigné.
TØujorus allongé, iel démon s'étira voluptueusement comme une chatte sur un toi brûlant.
Si tu désire te venger, elle est tout à toi. Sache que je ne cautionne pas le viol. Sinon tout le reste est permissi les partis sont consentant. Au fais, comment va ta lucidité?
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Guet-apens en forêt
Feat Halewyn
L'impression que la situation et ses hallucinations empirent à chaque fois qu'il ferme et rouvre les yeux, espérant à chaque fois que les éléphants en tutus disparaissent. Plus angoissant encore, les tentacules se rétractent soudainement bien qu'il met du temps à réellement comprendre ce qu'il se passe autour de lui. Son esprit est lent, embrumé mais il perçoit tout de même des formes, une ombre en particulier. Des cheveux rouges, particularité assez rare pour qu'il puisse aisément deviner à qui appartient cette chevelure.
C'est à peine s'il sent se rend compte de ce qu'il se passe réellement, la douleur est absente. Enfin, elle est bien présente mais sous l'effet des champignons, il n'en ressent que très peu les effets et heureusement au vu de son état. Il entend des cris, un tapage certain. Des cris de douleur ? Pas les siens en tout cas. Ses yeux dans le vague finissent par se poser sur cette maison en pain d'épice, des sucreries un peu partout et une créature difforme et cauchemardesque est simplement là, au milieu de ce paysage. Cela n'a pas le moindre sens même s'il commence à s'habituer aux différentes aberrations qui sont apparues pendant son petit bad trip. Les bribes d'une conversation arrivent jusqu'à ses oreilles, il n'en comprend pas le sens pourtant quelqu'un semble sincèrement énervé à cet instant. N'est-ce pas le rôle d'Eliëndir ? S'il y en a un qui devrait être en rogne, c'est bien lui. La colère n'est pas le sentiment prépondérant aussi surprenant que ça puisse paraître, il a même un très bref moment d'euphorie. Un Elfe allongé à moitié nu et aux sévices apparents sur sa peau qui se met à rire aux éclats avant de s'évanouir. Oui, c'est aussi absurde et ridicule que ça en a l'air.
Puis, il reprend conscience. Et une partie de sa lucidité au passage. Il ouvre d'abord ses deux paupières étrangement lourdes, son corps reste parfaitement immobile sur ce tas de coussins alors qu'il tourne ses deux globes oculaires dans leurs orbites pour analyser sa piètre situation. Il note d'abord les bandages sur son corps nu et la présence d'Ana. Il s'attarde un moment sur les murs recouverts d'un liquide rouge qu'il ne connait que trop bien et surtout sur la blonde à l'origine de ses tourments qui, dans cette position, doit bien regretter de s'en être prise à lui. D'un mouvement de ses narines, il hume cette désagréable odeur de charbon et de cuivre. Une voix le surprend en mettant fin au silence de la pièce, son regard passe d'un opposé à l'autre avant de se poser sur la silhouette d'Halewyn. Il l'écoute, peinant à être attentif à chacun de ses mots même s'il capte le plus important. D'ailleurs, lorsqu'elle mentionne sa virilité, il abaisse aussitôt son regard sur son propre corps. S'assurant que tout est bien à sa place, c'est déjà un bon début. Il aura le temps de vérifier plus tard que tout fonctionne toujours comme il se doit.
Il met bien quelques secondes à enfin réagir. Pendant que son hôte se délecte de la chair même de la blonde, il se redresse d'un seul coup mais il est subitement submergé par un odieux mal de tête. Il vient se prendre la tête à deux mains alors qu'il reprend tout juste ses esprits.
« J'ai besoin d'un grand verre de vin. Je suis trop sobre pour endurer tout ça. »
Il aurait pu dire n'importe quoi pour son retour à la réalité, quelque chose d'intelligent par exemple, n'importe quoi. Mais non. Il veut du vin, comme s'il n'avait pas déjà assez de problème avec l'alcool. Ne dit-on pas que le meilleur remède d'une cuite, c'est la cuite d'après ? Cela doit aussi bien valoir pour traiter certaines substances.
Personne ne dit ça ? Soit. Eliëndir lui, il le dit maintenant.
« J'ai l'impression que ma tête va exploser mais, je crois que je devrais m'en sortir. Je dois te remercier de m'avoir laissé avec tes deux charmantes amies, j'imagine. »
Il roule des yeux et tente de se relever pour se mettre sur ses deux jambes. Il se balade un moment à travers la pièce, d'abord à la recherche de ses vêtements ou de ce qu'il en reste. Quoi qu'il n'est pas spécialement pudique, honnêtement. Il se masse calmement la tempe pour calmer la douleur. Il s'approche de la blonde attachée au mur, visiblement dans un état déplorable. Il ne s'attarde pas vraiment sur ses formes à proprement parler mais plutôt sur les différentes plaies qu'elle affiche un peu partout sur son corps.
« Tu n'y es pas allé de main-morte. Qu'est-ce que tu vas faire d'elle ? Vous avez sincèrement besoin d'une thérapie dans ce village. »
Il s'installe quelque part au bout sur la même méridienne qu'Halewyn, grimaçant sous la douleur de ses propres blessures. Sans en demander l'autorisation à sa propriétaire, il s'allonge sur le coussin aux côtés du Démon, passant son bras derrière sa nuque pour soutenir sa tête. Bien décidé de se mettre à l'aise et le canapé semble bien plus confortable que le tas de coussins sur lequel il s'est réveillé même s'ils risquent d'être à l'étroit. Les deux yeux toujours rivés sur la blonde à moitié inconsciente, comme s'il s'agissait de la sculpture d'un artiste de renom.
« Mais je dois bien avouer, que c'est un spectacle vraiment splendide. »
Se venger ? Quelle idée. Il se délecte même de ce moment et de la souffrance de la prêtresse. D'autant plus qu'il n'a rien eu à faire du tout.
CENDRES
C'est à peine s'il sent se rend compte de ce qu'il se passe réellement, la douleur est absente. Enfin, elle est bien présente mais sous l'effet des champignons, il n'en ressent que très peu les effets et heureusement au vu de son état. Il entend des cris, un tapage certain. Des cris de douleur ? Pas les siens en tout cas. Ses yeux dans le vague finissent par se poser sur cette maison en pain d'épice, des sucreries un peu partout et une créature difforme et cauchemardesque est simplement là, au milieu de ce paysage. Cela n'a pas le moindre sens même s'il commence à s'habituer aux différentes aberrations qui sont apparues pendant son petit bad trip. Les bribes d'une conversation arrivent jusqu'à ses oreilles, il n'en comprend pas le sens pourtant quelqu'un semble sincèrement énervé à cet instant. N'est-ce pas le rôle d'Eliëndir ? S'il y en a un qui devrait être en rogne, c'est bien lui. La colère n'est pas le sentiment prépondérant aussi surprenant que ça puisse paraître, il a même un très bref moment d'euphorie. Un Elfe allongé à moitié nu et aux sévices apparents sur sa peau qui se met à rire aux éclats avant de s'évanouir. Oui, c'est aussi absurde et ridicule que ça en a l'air.
Puis, il reprend conscience. Et une partie de sa lucidité au passage. Il ouvre d'abord ses deux paupières étrangement lourdes, son corps reste parfaitement immobile sur ce tas de coussins alors qu'il tourne ses deux globes oculaires dans leurs orbites pour analyser sa piètre situation. Il note d'abord les bandages sur son corps nu et la présence d'Ana. Il s'attarde un moment sur les murs recouverts d'un liquide rouge qu'il ne connait que trop bien et surtout sur la blonde à l'origine de ses tourments qui, dans cette position, doit bien regretter de s'en être prise à lui. D'un mouvement de ses narines, il hume cette désagréable odeur de charbon et de cuivre. Une voix le surprend en mettant fin au silence de la pièce, son regard passe d'un opposé à l'autre avant de se poser sur la silhouette d'Halewyn. Il l'écoute, peinant à être attentif à chacun de ses mots même s'il capte le plus important. D'ailleurs, lorsqu'elle mentionne sa virilité, il abaisse aussitôt son regard sur son propre corps. S'assurant que tout est bien à sa place, c'est déjà un bon début. Il aura le temps de vérifier plus tard que tout fonctionne toujours comme il se doit.
Il met bien quelques secondes à enfin réagir. Pendant que son hôte se délecte de la chair même de la blonde, il se redresse d'un seul coup mais il est subitement submergé par un odieux mal de tête. Il vient se prendre la tête à deux mains alors qu'il reprend tout juste ses esprits.
« J'ai besoin d'un grand verre de vin. Je suis trop sobre pour endurer tout ça. »
Il aurait pu dire n'importe quoi pour son retour à la réalité, quelque chose d'intelligent par exemple, n'importe quoi. Mais non. Il veut du vin, comme s'il n'avait pas déjà assez de problème avec l'alcool. Ne dit-on pas que le meilleur remède d'une cuite, c'est la cuite d'après ? Cela doit aussi bien valoir pour traiter certaines substances.
Personne ne dit ça ? Soit. Eliëndir lui, il le dit maintenant.
« J'ai l'impression que ma tête va exploser mais, je crois que je devrais m'en sortir. Je dois te remercier de m'avoir laissé avec tes deux charmantes amies, j'imagine. »
Il roule des yeux et tente de se relever pour se mettre sur ses deux jambes. Il se balade un moment à travers la pièce, d'abord à la recherche de ses vêtements ou de ce qu'il en reste. Quoi qu'il n'est pas spécialement pudique, honnêtement. Il se masse calmement la tempe pour calmer la douleur. Il s'approche de la blonde attachée au mur, visiblement dans un état déplorable. Il ne s'attarde pas vraiment sur ses formes à proprement parler mais plutôt sur les différentes plaies qu'elle affiche un peu partout sur son corps.
« Tu n'y es pas allé de main-morte. Qu'est-ce que tu vas faire d'elle ? Vous avez sincèrement besoin d'une thérapie dans ce village. »
Il s'installe quelque part au bout sur la même méridienne qu'Halewyn, grimaçant sous la douleur de ses propres blessures. Sans en demander l'autorisation à sa propriétaire, il s'allonge sur le coussin aux côtés du Démon, passant son bras derrière sa nuque pour soutenir sa tête. Bien décidé de se mettre à l'aise et le canapé semble bien plus confortable que le tas de coussins sur lequel il s'est réveillé même s'ils risquent d'être à l'étroit. Les deux yeux toujours rivés sur la blonde à moitié inconsciente, comme s'il s'agissait de la sculpture d'un artiste de renom.
« Mais je dois bien avouer, que c'est un spectacle vraiment splendide. »
Se venger ? Quelle idée. Il se délecte même de ce moment et de la souffrance de la prêtresse. D'autant plus qu'il n'a rien eu à faire du tout.
CENDRES
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Amusé, Halewyn le laisse geindre, gémir et maudire tout son saoul en déambulant dans le plus simple appareil dans la pièce. Il est agréable à l'oeil, note t'iel et pas vilain du tout sous la ceinture. Iel succube comprend que ses fidèles se soient laissées tenter. Mais c'est quand même inacceptable. Une jouvencelle devrait pouvoir danser nue sans crainte au milieu d'une horde de mortels en rut et saoul. C'est sa conception de la chose. Parce que l'amer que donne le viol aux émotions humaines lui est atrocement indigeste. CĦaque démon a ses petits travers voyez vous.
Pour le moment, l'irritation de l'elfe est une nouveauté, pas mal plus intense et savoureuse que els échos de la folie ambiante. Aussi Halewyn lui fait il volontier une place sur l'étroite méridienne et commence à caresser la peau blanche du mage d'un bout de doigt aérien, presque absent, sa longue chevelure serpentant outrageusement, soulignant les courbes de l'entité, ses bijoux de naissance luisant doucement sous la lumière tamisée des braseros.
-Je ne me justifierai surement pas devant toi, mortel. Tu sais, un pagne t'avantagerais merveilleusement. Elle? Si tu n'en n'a pas l'utilité, je vais festoyer de son coeur plutôt que du tien cette nuit. Mais ca sera une cérémonie à laquelle tu n'assistera pas. Peut-être que si tu aime la viande, tu pourrais assister au banquet ensuite, mais je te propose de rester tranquillement à la maison, au chaud et en sécurité. Le viol est interdit, mais non les agressions et tu es trop mignon pour qu'il te manque des morceaux demain.
Etirant son cou en un angle fantasque, Halewyn sourit en contemplant son oeuvre.
Ce n'est pas ma plus belle oeuvre d'art. Tu sais, la plus belle torture et punition est celle qui marque l'âme. D'ailleurs,
L'oeil noir se reporte sur le beau blond, empreint d'une innocence toute juvénile..
C'est quoi une thérapie?
Pour le moment, l'irritation de l'elfe est une nouveauté, pas mal plus intense et savoureuse que els échos de la folie ambiante. Aussi Halewyn lui fait il volontier une place sur l'étroite méridienne et commence à caresser la peau blanche du mage d'un bout de doigt aérien, presque absent, sa longue chevelure serpentant outrageusement, soulignant les courbes de l'entité, ses bijoux de naissance luisant doucement sous la lumière tamisée des braseros.
-Je ne me justifierai surement pas devant toi, mortel. Tu sais, un pagne t'avantagerais merveilleusement. Elle? Si tu n'en n'a pas l'utilité, je vais festoyer de son coeur plutôt que du tien cette nuit. Mais ca sera une cérémonie à laquelle tu n'assistera pas. Peut-être que si tu aime la viande, tu pourrais assister au banquet ensuite, mais je te propose de rester tranquillement à la maison, au chaud et en sécurité. Le viol est interdit, mais non les agressions et tu es trop mignon pour qu'il te manque des morceaux demain.
Etirant son cou en un angle fantasque, Halewyn sourit en contemplant son oeuvre.
Ce n'est pas ma plus belle oeuvre d'art. Tu sais, la plus belle torture et punition est celle qui marque l'âme. D'ailleurs,
L'oeil noir se reporte sur le beau blond, empreint d'une innocence toute juvénile..
C'est quoi une thérapie?
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Guet-apens en forêt
Feat Halewyn
Contemplant l'oeuvre de son hôte, il prête une oreille à Halewyn pour l'écouter dans cette accalmie. La méridienne est d'ailleurs, comme il s'en doutait, bien plus agréable pour son petit dos fragile. Il sera parfait pour se reposer le temps de sa convalescence. L'Elfe affiche un petit rictus en coin lorsque le Démon mentionne l'envie de se repaitre du coeur de la blonde sadique. Décidément, personne ne peut juste se comporter normalement dans ce satané village ? Pourtant, ça ne devrait plus le surprendre. Peut-être finira-t-il même par s'habituer. Plus on est de fous, plus on rit.
« Charmant. Vraiment très rassurant, je te remercie. Mais ça me va très bien, je n'ai aucune envie de lever mes fesses d'ici de toute façon, je ne suis pas en état. Je ne suis pas sûr de partager le même régime alimentaire que toi et tes petits serviteurs. »
Il sourit à nouveau, s'apprêtant à acquiescer aux paroles d'Halewyn alors qu'elle vient plutôt interroger le mage noir sur quelque chose de tout à fait inattendu. Il ne peut cacher sa surprise, ricanant d'abord à la question sans vraiment savoir si le Démon est sérieux. En y réfléchissant bien, il n'est pas si improbable qu'en ayant toujours vécu au milieu de cette secte et en marge de la société, qu'Halewyn ne sache pas vraiment ce qu'il se passe à l'extérieur. Dans le doute et aussi parce que ça l'amuse, il décide de jouer le jeu.
« Hm Hm. Comment t'expliquer. Disons qu'il arrive que certaines personnes rencontrent des problèmes. Une maladie par exemple ou un quelconque trouble de l'esprit, je ne sais pas. Peu importe. Eh bien, à ces gens-là, on peut leurs prescrire une thérapie pour les aider à aller mieux. Un peu comme... un mode d'emploi. Tu comprends ? »
Il glisse discrètement sa tête sur le côté pour voir si Halewyn le suit dans son raisonnement presque enfantin.
« Dans une société moderne, il n'est pas courant ni autorisé de violer ou de tuer quiconque. Ni de consommer de la chair d'un être vivant capable de converser ou encore de boire du sang. En général, les gens civilisés préfèrent une bonne côtelette d'agneau cuite et boire du vin. Surtout boire du vin. Tu devrais essayer, je suis sûr que tu adorerais. C'est autre chose que de la chair crue dont tu te nourris en général. »
Il replace son bras sous sa nuque. Il réfléchit quelques instants puis reprend lorsqu'il se compte d'une chose.
« Soit dit en passant, tu ne m'as toujours pas dit ton nom. J'ai vu les gravures sur les murs. J'ai ma petite idée sur la question mais qui es-tu vraiment ? »
CENDRES
« Charmant. Vraiment très rassurant, je te remercie. Mais ça me va très bien, je n'ai aucune envie de lever mes fesses d'ici de toute façon, je ne suis pas en état. Je ne suis pas sûr de partager le même régime alimentaire que toi et tes petits serviteurs. »
Il sourit à nouveau, s'apprêtant à acquiescer aux paroles d'Halewyn alors qu'elle vient plutôt interroger le mage noir sur quelque chose de tout à fait inattendu. Il ne peut cacher sa surprise, ricanant d'abord à la question sans vraiment savoir si le Démon est sérieux. En y réfléchissant bien, il n'est pas si improbable qu'en ayant toujours vécu au milieu de cette secte et en marge de la société, qu'Halewyn ne sache pas vraiment ce qu'il se passe à l'extérieur. Dans le doute et aussi parce que ça l'amuse, il décide de jouer le jeu.
« Hm Hm. Comment t'expliquer. Disons qu'il arrive que certaines personnes rencontrent des problèmes. Une maladie par exemple ou un quelconque trouble de l'esprit, je ne sais pas. Peu importe. Eh bien, à ces gens-là, on peut leurs prescrire une thérapie pour les aider à aller mieux. Un peu comme... un mode d'emploi. Tu comprends ? »
Il glisse discrètement sa tête sur le côté pour voir si Halewyn le suit dans son raisonnement presque enfantin.
« Dans une société moderne, il n'est pas courant ni autorisé de violer ou de tuer quiconque. Ni de consommer de la chair d'un être vivant capable de converser ou encore de boire du sang. En général, les gens civilisés préfèrent une bonne côtelette d'agneau cuite et boire du vin. Surtout boire du vin. Tu devrais essayer, je suis sûr que tu adorerais. C'est autre chose que de la chair crue dont tu te nourris en général. »
Il replace son bras sous sa nuque. Il réfléchit quelques instants puis reprend lorsqu'il se compte d'une chose.
« Soit dit en passant, tu ne m'as toujours pas dit ton nom. J'ai vu les gravures sur les murs. J'ai ma petite idée sur la question mais qui es-tu vraiment ? »
CENDRES
Invité
Invité
Le monde du dehors, et un individu capable d'articuler au lieu de hurler de terreur. Un mortel qui lui pare de monde ''moderne'' et de mode d'emploi. e sgrands yeux en amandes s'éclairent tandis que le doigt vagabond du démon saute mine de rien du pansement à l'épiderme. Tranquillement, Halewyn se laisse porter sur les pensées légères du bellâtre arrogant
Un mode d'emploi pour les maux de l'esprit? Mais pourquoi faire? C'est bien à vous les mortels de tout cataloguer en fonction de cette moralité linéaire.
Pour violer je comprends, ca donne un amer indigeste à l'âme... Pour tuer par contre jamais ne goutera tu meilleure viande que celle attendrie par la terreur la plus pure. De sang épicé par la folie et l'horreur. Ton vin, tu n'as que cela à la bouche. ije sais que ca viens du raisin, mais je n'ai jamais vu de ce fruit ici... Qui a t'il de si extraordinaire ce ton jus fermenté? Tu devrais essayer de la liqueur d'érable ou de l'hyromel.
Soupire t'iel, rêveuse, tandis que le doigt vagabond enchaine innocemment les collines et les vallées du ventre de l'elfe. L'oreille ronde de la créature frétille quand le mage lui demande son nom. Aussi se penche t'il vers Eliendir pour lui murmurer a l'oreille, la main s'égarant lelong d'une cuisse, flirtant à la limite de la décence mortelle, lui susurrant de sa voix aérienne des paroles étranges montrant qu'iel n'est surement pas né de la dernière pluie non plus. .
-Pourquoi tiens tu à savoir comment je me nomme? Je te vois venir mage... Savoir les lettres formant le mot qui te permettra de mettre au jour l'incantation destiné à m'asservir n'est ce pas? Ici on me nomme Dıeu ou Déesse d'Halewyn qui est cet endroit. Donc appelle moi Halewyn, cela devrait suffire pour ta curiosité. Et tu peux chercher mon nom ou tu veux, il n'est écrit nul part et les vilageois ne le connaissent pas.
Iel déposa un léger baiser sur le coin de la bouche de son cadeau d'anniversaire, avant de poser le menton sur l'épaule de l'elfe touten continant de le caresser pour surfer sur ses pensées légères. .
Parle moi du monde moderne.
Ordonna t,iel d'une voix de soupir.
Un mode d'emploi pour les maux de l'esprit? Mais pourquoi faire? C'est bien à vous les mortels de tout cataloguer en fonction de cette moralité linéaire.
Pour violer je comprends, ca donne un amer indigeste à l'âme... Pour tuer par contre jamais ne goutera tu meilleure viande que celle attendrie par la terreur la plus pure. De sang épicé par la folie et l'horreur. Ton vin, tu n'as que cela à la bouche. ije sais que ca viens du raisin, mais je n'ai jamais vu de ce fruit ici... Qui a t'il de si extraordinaire ce ton jus fermenté? Tu devrais essayer de la liqueur d'érable ou de l'hyromel.
Soupire t'iel, rêveuse, tandis que le doigt vagabond enchaine innocemment les collines et les vallées du ventre de l'elfe. L'oreille ronde de la créature frétille quand le mage lui demande son nom. Aussi se penche t'il vers Eliendir pour lui murmurer a l'oreille, la main s'égarant lelong d'une cuisse, flirtant à la limite de la décence mortelle, lui susurrant de sa voix aérienne des paroles étranges montrant qu'iel n'est surement pas né de la dernière pluie non plus. .
-Pourquoi tiens tu à savoir comment je me nomme? Je te vois venir mage... Savoir les lettres formant le mot qui te permettra de mettre au jour l'incantation destiné à m'asservir n'est ce pas? Ici on me nomme Dıeu ou Déesse d'Halewyn qui est cet endroit. Donc appelle moi Halewyn, cela devrait suffire pour ta curiosité. Et tu peux chercher mon nom ou tu veux, il n'est écrit nul part et les vilageois ne le connaissent pas.
Iel déposa un léger baiser sur le coin de la bouche de son cadeau d'anniversaire, avant de poser le menton sur l'épaule de l'elfe touten continant de le caresser pour surfer sur ses pensées légères. .
Parle moi du monde moderne.
Ordonna t,iel d'une voix de soupir.
Invité
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Guet-apens en forêt
Feat Halewyn
La bouche en coeur, il hoche calmement la tête. Dit comme ça, il est vrai qu'un "mode d'emploi pour les maux de l'esprit" sonne d'une façon assez ridicule. L'Elfe n'en a jamais vu l'utilité dans son cas personnel, peut-être qu'il devrait d'ailleurs. Au fur et à mesure, il se met à afficher une mine presque outrée. Les yeux plissés vers le Démon comme s'il s'agissait d'un extraterrestre débarquant sur le Sekai. Les questions se multiplient et se bousculent dans son esprit, le décalage entre ce mystérieux personnage tyrannique et son manque de connaissance semblable à un enfant.
« Mais d'où est-ce que tu viens toi ? De l'hydromel, quelle idée. C'est bon pour les palais défectueux. Je te parle d'un vin à la robe pourpre chatoyante et au parfum enivrant. Quelque chose de véritablement raffiné, un alcool qui sied plus à des gens comme toi et moi. C'est tout un art, de la récolte du raisin à la mise en bouteille. Tu dois absolument goûter un bon cru et pas ce que boivent habituellement les Shoumeiens d'ailleurs. Ils n'y connaissent rien, ils ne sont bon qu'à prier des Dieux qui en réalité, le sont autant que toi. Ne le prend pas mal. »
Il glisse sa main livre sur son plexus, sentant celle du Démon se déplacer librement sur lui en caressant sa peau meurtrie jusqu'à sa lointaine cuisse. L'Elfe ne semble pas spécialement réagir ni montrer un quelconque désir ou une quelconque gêne, il feint le désintérêt le plus total. Visiblement bien plus intéressé par cette conversation de nature plus intellectuelle. La voix délicate de son hôte vient à son tour chatouiller le creux de son oreille alors que l'Elfe reprend tout d'un coup une mine plus sérieuse. Il glisse ses yeux violets dans le coin de ses orbites pour entrevoir la silhouette aux cheveux de feu.
Il reste silencieux le temps d'un instant, certainement le temps de réfléchir à un plan de secours. Le Démon se montre donc plus perspicace que prévu. Une petite partie de lui s'en réjouit, ça n'aurait pas été amusant si ça avait été aussi simple. Alors qu'il reporte calmement son regard sur le plafond en pierre, il affiche un petit sourire en coin en laissant son ravisseur se complaire dans sa petite victoire et laissant le doute planer au-dessus de ses véritables intentions.
« Déesse ? Curieux. Maintenant que j'y pense, tu étais représenté sous différentes apparences sur les bas-reliefs. Je me contenterais d'Halewyn, j'imagine. Décidement, tu es bien mystérieux. Et mon ami, il y a bien des façons de maudire une personne sans avoir son nom. Je pourrais te surprendre. »
Dit-il en enroulant délicatement une mèche de cheveux rouge autour de son index. Il marque une petite pause avant de reprendre.
« Soit. Par où commencer. Les mortels, comme tu dis, se regroupent majoritairement en trois grandes nations depuis qu'ils se sont affranchis des Titans. Tu sais sûrement ça ? Peu importe. La République, le Reike et Shoumei. Le pays dans lequel nous sommes actuellement. Il y a aussi les Cités-États mais on verra ça plus tard. Chaque nation se regroupent dans des villes ou des villages affiliés à un gouvernement... »
En bon orateur et en tant que futur professeur, Eliëndir n'a aucun mal à poursuivre ses explications sur la géopolitique du monde. Il s'attardera un peu plus sur les grandes nations sans manquer l'occasion de critiquer chacune d'entre elles bien comme il faut. Il mentionnera ensuite les Cités-États en se montrant particulièrement élogieux au sujet de Melorn ainsi que de son académie de magie qu'il vend comme la plus prestigieuse du continent. Bref, il ne se gênera pas pour partager une vision très subjective du monde de manière générale en évitant de mentionner ses ambitions personnelles. Il parle évidemment de la magie et des avancées majeures qui ont eu lieu lors de ce siècle. Les différentes moeurs qui séparent les peuples et les individus. Les castes ou le gouffre qui sépare les gens riches des gens qui survivent au jour le jour. Ce ne sont pas les sujets qui manquent et il pourrait y passer toute la nuit s'il ne tombe pas de sommeil avant.
« ... Il faut absolument que tu vois le monde de tes propres yeux comme je l'ai fais. Crois-moi, tu n'as encore rien vu. Pourquoi est-ce que tu restes ici ? Qu'est-ce que tu dois à ces gens ? J'ai une idée. Et si tu disais à tes fidèles de ramener des produits frais de la ville ? Je te montrerais ce que sont les vrais petits plaisirs de la vie. Et accessoirement, ça m'évitera de mourir de faim. J'aimerais autant éviter d'en arriver là. »
CENDRES
« Mais d'où est-ce que tu viens toi ? De l'hydromel, quelle idée. C'est bon pour les palais défectueux. Je te parle d'un vin à la robe pourpre chatoyante et au parfum enivrant. Quelque chose de véritablement raffiné, un alcool qui sied plus à des gens comme toi et moi. C'est tout un art, de la récolte du raisin à la mise en bouteille. Tu dois absolument goûter un bon cru et pas ce que boivent habituellement les Shoumeiens d'ailleurs. Ils n'y connaissent rien, ils ne sont bon qu'à prier des Dieux qui en réalité, le sont autant que toi. Ne le prend pas mal. »
Il glisse sa main livre sur son plexus, sentant celle du Démon se déplacer librement sur lui en caressant sa peau meurtrie jusqu'à sa lointaine cuisse. L'Elfe ne semble pas spécialement réagir ni montrer un quelconque désir ou une quelconque gêne, il feint le désintérêt le plus total. Visiblement bien plus intéressé par cette conversation de nature plus intellectuelle. La voix délicate de son hôte vient à son tour chatouiller le creux de son oreille alors que l'Elfe reprend tout d'un coup une mine plus sérieuse. Il glisse ses yeux violets dans le coin de ses orbites pour entrevoir la silhouette aux cheveux de feu.
Il reste silencieux le temps d'un instant, certainement le temps de réfléchir à un plan de secours. Le Démon se montre donc plus perspicace que prévu. Une petite partie de lui s'en réjouit, ça n'aurait pas été amusant si ça avait été aussi simple. Alors qu'il reporte calmement son regard sur le plafond en pierre, il affiche un petit sourire en coin en laissant son ravisseur se complaire dans sa petite victoire et laissant le doute planer au-dessus de ses véritables intentions.
« Déesse ? Curieux. Maintenant que j'y pense, tu étais représenté sous différentes apparences sur les bas-reliefs. Je me contenterais d'Halewyn, j'imagine. Décidement, tu es bien mystérieux. Et mon ami, il y a bien des façons de maudire une personne sans avoir son nom. Je pourrais te surprendre. »
Dit-il en enroulant délicatement une mèche de cheveux rouge autour de son index. Il marque une petite pause avant de reprendre.
« Soit. Par où commencer. Les mortels, comme tu dis, se regroupent majoritairement en trois grandes nations depuis qu'ils se sont affranchis des Titans. Tu sais sûrement ça ? Peu importe. La République, le Reike et Shoumei. Le pays dans lequel nous sommes actuellement. Il y a aussi les Cités-États mais on verra ça plus tard. Chaque nation se regroupent dans des villes ou des villages affiliés à un gouvernement... »
En bon orateur et en tant que futur professeur, Eliëndir n'a aucun mal à poursuivre ses explications sur la géopolitique du monde. Il s'attardera un peu plus sur les grandes nations sans manquer l'occasion de critiquer chacune d'entre elles bien comme il faut. Il mentionnera ensuite les Cités-États en se montrant particulièrement élogieux au sujet de Melorn ainsi que de son académie de magie qu'il vend comme la plus prestigieuse du continent. Bref, il ne se gênera pas pour partager une vision très subjective du monde de manière générale en évitant de mentionner ses ambitions personnelles. Il parle évidemment de la magie et des avancées majeures qui ont eu lieu lors de ce siècle. Les différentes moeurs qui séparent les peuples et les individus. Les castes ou le gouffre qui sépare les gens riches des gens qui survivent au jour le jour. Ce ne sont pas les sujets qui manquent et il pourrait y passer toute la nuit s'il ne tombe pas de sommeil avant.
« ... Il faut absolument que tu vois le monde de tes propres yeux comme je l'ai fais. Crois-moi, tu n'as encore rien vu. Pourquoi est-ce que tu restes ici ? Qu'est-ce que tu dois à ces gens ? J'ai une idée. Et si tu disais à tes fidèles de ramener des produits frais de la ville ? Je te montrerais ce que sont les vrais petits plaisirs de la vie. Et accessoirement, ça m'évitera de mourir de faim. J'aimerais autant éviter d'en arriver là. »
CENDRES
Invité
Invité
Un léger rire sonnant comme un carillon dans l'air forestier résonne dans l'air au regard en coin sérieux, les prunelles abyssales ne manifestant aucun courroux ou réconfort. En fait ce mortel a a discussion la plus intéressante qu'iel n'a eu depuis sa naissance. C'est rafraichissant... Manifestement son invité aussi trouve cela stimulant. Un petit défi, un jeu de cache cache pour savoir qui en connaitra le plus sur l'autre sans se dévoiler.
Et pourtant, Halewyn a un autre but en tête. Il est vrai que si la vie ici est relativement tranquille et de plus en plus monotone, l'idée quil y a quelque chose au delà de la demi journée du village est intrigante. Instinctivement, iel succube comprend la signification du mot ville.
« Déesse ? Curieux. Maintenant que j'y pense, tu étais représenté sous différentes apparences sur les bas-reliefs. Je me contenterais d'Halewyn, j'imagine. Décidement, tu es bien mystérieux. Et mon ami, il y a bien des façons de maudire une personne sans avoir son nom. Je pourrais te surprendre. »
Ŀe mystère mon cher est gage de sûreté. Toi plus qu'un autre est bien placé pour le savoir non?
Et Eliendir de raconter, et Halewyn, les yeux fermés de l'écouter tout en le laissant jouer avec sa longue mèche sanglante. Sans en avoir l'air, iel engrange consciensieusement les information fort partisanes du mages dont les quelques phrases soigneusements pesées et choisies le font sourire à quelques reprises. Tandis que la porte tentatrice de la curiosité s'ouvre dans son esprit.
« ... Il faut absolument que tu vois le monde de tes propres yeux comme je l'ai fais. Crois-moi, tu n'as encore rien vu. Pourquoi est-ce que tu restes ici ? Qu'est-ce que tu dois à ces gens ? J'ai une idée. Et si tu disais à tes fidèles de ramener des produits frais de la ville ? Je te montrerais ce que sont les vrais petits plaisirs de la vie. Et accessoirement, ça m'évitera de mourir de faim. J'aimerais autant éviter d'en arriver là. »
Mmm??? Plait t'il?
Les prunelles noires s'ouvrent subitement, plus dures légèrement, l'elfe pousse un peu sa langue trop loin, allant a la pêche aux informations de but en blanc.
Bien tenté mage mais je ne te dirai rien à ce niveau... Pour les produits frais de la ''ville'' come tu dis, j'y réfléchirai si ton cours de demain et après-demain sont à la hauteur. En attendant, nous avons des baies et quelques aliments raffinés qui, contre toute attente, sont exempts de champignons. J'ordonnerai une diète spéciale pour ta personne .
Et pourtant, Halewyn a un autre but en tête. Il est vrai que si la vie ici est relativement tranquille et de plus en plus monotone, l'idée quil y a quelque chose au delà de la demi journée du village est intrigante. Instinctivement, iel succube comprend la signification du mot ville.
« Déesse ? Curieux. Maintenant que j'y pense, tu étais représenté sous différentes apparences sur les bas-reliefs. Je me contenterais d'Halewyn, j'imagine. Décidement, tu es bien mystérieux. Et mon ami, il y a bien des façons de maudire une personne sans avoir son nom. Je pourrais te surprendre. »
Ŀe mystère mon cher est gage de sûreté. Toi plus qu'un autre est bien placé pour le savoir non?
Et Eliendir de raconter, et Halewyn, les yeux fermés de l'écouter tout en le laissant jouer avec sa longue mèche sanglante. Sans en avoir l'air, iel engrange consciensieusement les information fort partisanes du mages dont les quelques phrases soigneusements pesées et choisies le font sourire à quelques reprises. Tandis que la porte tentatrice de la curiosité s'ouvre dans son esprit.
« ... Il faut absolument que tu vois le monde de tes propres yeux comme je l'ai fais. Crois-moi, tu n'as encore rien vu. Pourquoi est-ce que tu restes ici ? Qu'est-ce que tu dois à ces gens ? J'ai une idée. Et si tu disais à tes fidèles de ramener des produits frais de la ville ? Je te montrerais ce que sont les vrais petits plaisirs de la vie. Et accessoirement, ça m'évitera de mourir de faim. J'aimerais autant éviter d'en arriver là. »
Mmm??? Plait t'il?
Les prunelles noires s'ouvrent subitement, plus dures légèrement, l'elfe pousse un peu sa langue trop loin, allant a la pêche aux informations de but en blanc.
Bien tenté mage mais je ne te dirai rien à ce niveau... Pour les produits frais de la ''ville'' come tu dis, j'y réfléchirai si ton cours de demain et après-demain sont à la hauteur. En attendant, nous avons des baies et quelques aliments raffinés qui, contre toute attente, sont exempts de champignons. J'ordonnerai une diète spéciale pour ta personne .
Invité
Invité
Guet-apens en forêt
Feat Halewyn
Le mystère va donc perdurer encore un moment malgré ses quelques tentatives plus ou moins discrètes d'en apprendre un peu plus sur son hôte. Celui-ci se renferme complètement lorsqu'il s'agit de parler un peu de sa personne. Un genre de mécanisme de défense qu'il connait bien puisqu'il en fait de même en réalité. S'ils se tolèrent pour le moment, il n'est pas dit que la situation reste ainsi indéfiniment. Néanmoins, le simple fait qu'il soit encore en vie notamment après avoir été particulièrement vulnérable pendant l'épisode des champignons, prouve que sa compagnie n'est pas si désagréable que ça pour le Faux-Dieu. Et il compte bien faire en sorte que cela dure, la vie est trop importante pour la perdre dans un endroit aussi insignifiant.
Après un énième échec, cherchant à en savoir plus, il se ravise pour de bon au vu de la réaction du Démon. Décidément, celui-ci se montre absolument inflexible. Il n'y a pas moyen pour le moment, tant pis. Il se suffira de l'obtention d'un régime spéciale pendant sa captivité... Enfin, son séjour.
« D'accord, d'accord. Comme tu voudras. Je me contenterais de cette "diète spéciale" j'imagine. Pour le moment. »
Le quotidien au sein de ce maudit village est vraiment des plus ennuyant outre les journées de sacrifices qu'il prend grand plaisir à être simple spectateur de tout ce bordel. Un peu d'animation ne fait pas de mal. Il y a plus de chance qu'Eliëndir meurt d'ennui que de faim c'est pour dire. Les journées sont terriblement longues et ce n'est pas le peu de compagnie qu'il peut avoir qui va arranger les choses. Quoi que cette solitude est parfaitement volontaire et préférable d'ailleurs. Même après tout ce temps, la simple vue des péons consanguins qui résident dans ce village miteux le rebute au plus haut point et cela ne s'arrange pas avec le temps. Passant ses journées à dormir, manger, lire si tant est qu'ils savent ce qu'est un livre ici. On lui a aussi fournit de nouveaux vêtements. Puisque les siens n'ont pas résisté à l'épreuve des champignons et à la prêtresse qui a eu la mauvaise idée de s'en prendre à lui. La mode a quelques siècles de retard mais ça aussi il pouvait s'en douter. Disons qu'il n'a pas eu le choix mais qu'il s'est accoutumé à la vie au village et à son nouveau régime alimentaire de quoi perdre quelques kilos.
Il a bien essayé de tester la puissance du maléfice qu'on lui a imposé à son arrivée. Un soir pendant qu'il était complètement seul, il s'est éloigné à plus de trois cents mètres de la chapelle qui lui sert de lieu de vie et accessoirement de prison. Il se rappelle encore de la brûlure et la douleur vive qui a parcouru tout son être pendant sa brève tentative d'évasion lui passant définitivement l'envie de renouveler l'expérience. Maudit vieillard et ses mains crasseuses. Oui, il a aussi pensé à lui trancher la gorge pendant son sommeil mais disons que ce n'était pas l'idée la plus intelligente qu'il ait eu. Il aurait sûrement réussi mais il n'avait aucune preuve que la mort du mage noir aurait fait disparaitre la marque maudite à son cou sans parler du fait qu'il aurait eu du mal à s'enfuir discrètement sans laisser de traces derrières lui. C'est un mage, pas un assassin.
Retour à la case départ donc, complètement bloqué dans ce trou paumé à devoir satisfaire l'intellect et la curiosité du Démon qui le garde farouchement afin de pouvoir rester en vie. Quoi que ça pourrait être pire, son ravisseur n'est pas si difficile à vivre que ça. S'il doit être honnête, c'est même la seule personne pour qui il ait de l'intérêt dans tout ce foutu village merdique. Il a encore du mal à cerner Halewyn mais il a mené sa petite enquête afin de confirmer certaines de ses théories puisque celui-ci ne daigne pas lui répondre quand l'Elfe pose des questions. Les membres du village sont peu loquaces et assez diminués intellectuellement mais certains sont plus bavards que d'autres, notamment les enfants.
Le Faux-Dieu serait donc apparu il y a quelques années suite à une invocation et l'usage d'une puissante magie noire. Ça, c'est intéressant pour le coup. Il s'en doutait déjà mais ça confirme aussi le fait qu'Halewyn ne soit pas une créature mortelle mais bien un être d'une grande rareté. S'il n'en avais jamais rencontré un en personne, il a passé suffisamment de temps dans les bibliothèques de Melorn et de Liberty pour savoir de quoi il s'agit sauf erreur de sa part. Mais jusqu'à maintenant, il s'est bien gardé d'en parler au principal concerné. Quelle importance qu'il ait à faire à un Démon ou à n'importe quoi d'autre ?
Quoi qu'il en soit, on peut retrouver Eliëndir en fin d'après-midi assoupi dans la baignoire que des serviteurs ont pris grand soin de remplir et chauffer à sa convenance. Il a passé quelques heures à tremper dans l'eau à défaut d'avoir autre chose à faire de son temps libre mais c'est un détail qu'il n'est pas nécessaire de mentionner.
CENDRES
Après un énième échec, cherchant à en savoir plus, il se ravise pour de bon au vu de la réaction du Démon. Décidément, celui-ci se montre absolument inflexible. Il n'y a pas moyen pour le moment, tant pis. Il se suffira de l'obtention d'un régime spéciale pendant sa captivité... Enfin, son séjour.
« D'accord, d'accord. Comme tu voudras. Je me contenterais de cette "diète spéciale" j'imagine. Pour le moment. »
~ Quelques longues semaines plus tard ~
Le quotidien au sein de ce maudit village est vraiment des plus ennuyant outre les journées de sacrifices qu'il prend grand plaisir à être simple spectateur de tout ce bordel. Un peu d'animation ne fait pas de mal. Il y a plus de chance qu'Eliëndir meurt d'ennui que de faim c'est pour dire. Les journées sont terriblement longues et ce n'est pas le peu de compagnie qu'il peut avoir qui va arranger les choses. Quoi que cette solitude est parfaitement volontaire et préférable d'ailleurs. Même après tout ce temps, la simple vue des péons consanguins qui résident dans ce village miteux le rebute au plus haut point et cela ne s'arrange pas avec le temps. Passant ses journées à dormir, manger, lire si tant est qu'ils savent ce qu'est un livre ici. On lui a aussi fournit de nouveaux vêtements. Puisque les siens n'ont pas résisté à l'épreuve des champignons et à la prêtresse qui a eu la mauvaise idée de s'en prendre à lui. La mode a quelques siècles de retard mais ça aussi il pouvait s'en douter. Disons qu'il n'a pas eu le choix mais qu'il s'est accoutumé à la vie au village et à son nouveau régime alimentaire de quoi perdre quelques kilos.
Il a bien essayé de tester la puissance du maléfice qu'on lui a imposé à son arrivée. Un soir pendant qu'il était complètement seul, il s'est éloigné à plus de trois cents mètres de la chapelle qui lui sert de lieu de vie et accessoirement de prison. Il se rappelle encore de la brûlure et la douleur vive qui a parcouru tout son être pendant sa brève tentative d'évasion lui passant définitivement l'envie de renouveler l'expérience. Maudit vieillard et ses mains crasseuses. Oui, il a aussi pensé à lui trancher la gorge pendant son sommeil mais disons que ce n'était pas l'idée la plus intelligente qu'il ait eu. Il aurait sûrement réussi mais il n'avait aucune preuve que la mort du mage noir aurait fait disparaitre la marque maudite à son cou sans parler du fait qu'il aurait eu du mal à s'enfuir discrètement sans laisser de traces derrières lui. C'est un mage, pas un assassin.
Retour à la case départ donc, complètement bloqué dans ce trou paumé à devoir satisfaire l'intellect et la curiosité du Démon qui le garde farouchement afin de pouvoir rester en vie. Quoi que ça pourrait être pire, son ravisseur n'est pas si difficile à vivre que ça. S'il doit être honnête, c'est même la seule personne pour qui il ait de l'intérêt dans tout ce foutu village merdique. Il a encore du mal à cerner Halewyn mais il a mené sa petite enquête afin de confirmer certaines de ses théories puisque celui-ci ne daigne pas lui répondre quand l'Elfe pose des questions. Les membres du village sont peu loquaces et assez diminués intellectuellement mais certains sont plus bavards que d'autres, notamment les enfants.
Le Faux-Dieu serait donc apparu il y a quelques années suite à une invocation et l'usage d'une puissante magie noire. Ça, c'est intéressant pour le coup. Il s'en doutait déjà mais ça confirme aussi le fait qu'Halewyn ne soit pas une créature mortelle mais bien un être d'une grande rareté. S'il n'en avais jamais rencontré un en personne, il a passé suffisamment de temps dans les bibliothèques de Melorn et de Liberty pour savoir de quoi il s'agit sauf erreur de sa part. Mais jusqu'à maintenant, il s'est bien gardé d'en parler au principal concerné. Quelle importance qu'il ait à faire à un Démon ou à n'importe quoi d'autre ?
Quoi qu'il en soit, on peut retrouver Eliëndir en fin d'après-midi assoupi dans la baignoire que des serviteurs ont pris grand soin de remplir et chauffer à sa convenance. Il a passé quelques heures à tremper dans l'eau à défaut d'avoir autre chose à faire de son temps libre mais c'est un détail qu'il n'est pas nécessaire de mentionner.
CENDRES
Invité
Invité
Le fait qu'il ne soit plus le seul à s'ennuyer dans ce bled pourrit remet beucoup de choses en perspectives pour Halewyn. Le mage Eliendir est le premier à vivre assez longtemps pour faire autre chose que de pleurer en implorant sa clémence, pouvant lui parler longuement du dehors.
a) Halewyn sait qu'il parle pour le manipuler et gagner du temps.
b)Iel sait aussi que Ielendir sait qu'iel sait.
c)L'un comme l'autre savent parfaitement que malgré le fait que le point aet b est connu ca marche dans une certaine mesure. La curiosité du démon était belle et bien transpercée à mort sur les récits de l'elfe et ce, même si iel les savait biaisés.
Et pour finir, en petit d) Même si il ne l'avouera jamais, Halewyn sait que l'elfe prend un certain plaisir à creuser pour essayer de trouver sur sa personne. Du moins jusqu'à ce que le vieillard ne vire le vilain à coup de pompe de chez lui.
Scène quand même assez ludique à assistermais qui a causé un froid entre les deux meneurs du village. Le constat se fit vite cependant. L'ennui, cet ennemi qui rôde toujours à la périphérie de son existence, pointa de nouveau son nez. ŀes sacrifices étaient toujours aussi ennuyeux, la routine toujours aussi ennuyeuse... Tellement qu'iel en regrettait presque d'avoir dévoré Ana... Elle savait y faire, Mais bon. Ce qui est fait est fait ceci dit.
ELIENCHOU!!!!!!
La porte de la salle du bain s'ouvrit à la volée tandis que le démon surexcité bondissait à l'intérieur de la pièce pour aller tirer un peu sur la longue chevelure de neige, pas assez pour lui causer de la douleur, mais assez pour l'obliger à le regarder à l'envers. Depuis les longues semaines, le mage a bien appris que le démon était tactile, cependant iel n'a jamais traversé la igne de l'indécence. Oh, i a bien flirté avec, mais la stimulation intellectuelle que ce dernier lui offrait valait bien mieux que toutes les parties de jambes en l'air. Et pourtant, si il savait ce qu'il manque.
Jamais le captif n'aura vu le faux dieux être content et satisfait de lui-même à ce point. Une bouche large aux lèevres tentatrices épanouie en un sourire révéant les belles dents blanches, les joues d'albâtre teintée d'une légère roseur d'excitation, les prunelles d'encre pétillant de milles étoiles se reflétant dans les milliers de petites billes précieuses dont ses bijoux sont faits. Et, une fois n'est pas coutume, d'excitation, Halewyn lui roula une pelle à enflammer les cieux, faire damner les anges et rougir les saints qui dut laisser ce dernier le souffle coupé et passablement confus peut-être. Jamais n'avait il été aussi entreprenant envers son jouet.
-Lève toi et fait toi beau!!!! Met tes habits neufs!!!! tu vas a-do-rer!!!!...
a) Halewyn sait qu'il parle pour le manipuler et gagner du temps.
b)Iel sait aussi que Ielendir sait qu'iel sait.
c)L'un comme l'autre savent parfaitement que malgré le fait que le point aet b est connu ca marche dans une certaine mesure. La curiosité du démon était belle et bien transpercée à mort sur les récits de l'elfe et ce, même si iel les savait biaisés.
Et pour finir, en petit d) Même si il ne l'avouera jamais, Halewyn sait que l'elfe prend un certain plaisir à creuser pour essayer de trouver sur sa personne. Du moins jusqu'à ce que le vieillard ne vire le vilain à coup de pompe de chez lui.
Scène quand même assez ludique à assistermais qui a causé un froid entre les deux meneurs du village. Le constat se fit vite cependant. L'ennui, cet ennemi qui rôde toujours à la périphérie de son existence, pointa de nouveau son nez. ŀes sacrifices étaient toujours aussi ennuyeux, la routine toujours aussi ennuyeuse... Tellement qu'iel en regrettait presque d'avoir dévoré Ana... Elle savait y faire, Mais bon. Ce qui est fait est fait ceci dit.
ELIENCHOU!!!!!!
La porte de la salle du bain s'ouvrit à la volée tandis que le démon surexcité bondissait à l'intérieur de la pièce pour aller tirer un peu sur la longue chevelure de neige, pas assez pour lui causer de la douleur, mais assez pour l'obliger à le regarder à l'envers. Depuis les longues semaines, le mage a bien appris que le démon était tactile, cependant iel n'a jamais traversé la igne de l'indécence. Oh, i a bien flirté avec, mais la stimulation intellectuelle que ce dernier lui offrait valait bien mieux que toutes les parties de jambes en l'air. Et pourtant, si il savait ce qu'il manque.
Jamais le captif n'aura vu le faux dieux être content et satisfait de lui-même à ce point. Une bouche large aux lèevres tentatrices épanouie en un sourire révéant les belles dents blanches, les joues d'albâtre teintée d'une légère roseur d'excitation, les prunelles d'encre pétillant de milles étoiles se reflétant dans les milliers de petites billes précieuses dont ses bijoux sont faits. Et, une fois n'est pas coutume, d'excitation, Halewyn lui roula une pelle à enflammer les cieux, faire damner les anges et rougir les saints qui dut laisser ce dernier le souffle coupé et passablement confus peut-être. Jamais n'avait il été aussi entreprenant envers son jouet.
-Lève toi et fait toi beau!!!! Met tes habits neufs!!!! tu vas a-do-rer!!!!...
Invité
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Guet-apens en forêt
Feat Halewyn
L'elfe se fait brusquement tirer de sa torpeur, lui qui en était à sa troisième sieste de la journée et la treizième de la semaine. Quoi que les jours se ressemblent dans ce trou à rat et il a perdu le notion du temps à force de rester enfermer depuis si longtemps. Un moment absolument sacré donc, un léger frisson de peur parcourt son corps quand il entend la porte claquer dans son dos. Il entrouvre les paupières pour chercher du regard l'origine de ce vacarme et cette voix qui l'appelle en glissant un énième sobriquet. Dans un geste lent et paresseux, il sort un bras de l'eau pour le poser sur le rebord de la baignoire. Il sent Halewyn se saisir de sa longue chevelure blanche et encore humide en le tirant vers l'arrière. Bien qu'il n'éprouve aucune douleur, il ne peut s'empêcher de grommeler d'agacement et il ne s'en cache pas. Le voilà maintenant la tête à la renverse, posant ses yeux sur le Démon aux cheveux roux un air d'incompréhension sur le visage.
Il note ce grand sourire qu'il affiche et cette excitation qui peut se lire sur son visage. Il fronce les sourcils, ne comprenant pas ce qui peut bien le rendre aussi joyeux. Il n'a d'ailleurs pas le temps de lui poser la question que le Démon lui coupe littéralement le souffle en lui arrachant un baiser endiablé qu'il n'a pas clairement pas vu venir. Ses yeux plissés s'écarquillent soudainement en mimant une surprise non dissimulée. Visiblement, la notion de consentement c'est que quand ça l'arrange. Pas que ce soit particulièrement désagréable mais il ne peut cacher son désarroi devant ce moment qui semble interminable tant il est passionné.
Quand il décide enfin de se décrocher des lèvres de l'elfe, celui-ci manque de se laisser complètement tomber dans l'eau, se rattrapant au dernier moment aux rebords de son bain. Il cligne des yeux, remettant les mots d'Halewyn dans l'ordre afin d'être sûr de bien comprendre ce qu'il attend lui.
« Hm Hm. Moi aussi je suis content de te voir, Halewyn. Tu es étonnamment heureux aujourd'hui, je peux savoir ce qui te met dans cet état ? »
Il cherche une fenêtre qui mène vers l'extérieur afin d'essayer de se rendre compte de l'heure qu'il est. De toute façon, cela fait bien trop longtemps qu'il glande dans son bain. Il s'appuie sur le rebord pour se relever. Il passe une jambe par-dessus puis le seconde en faisant bien attention à ne pas glisser sur le sol. Il attrape une serviette qu'il avait laissé tout près pour venir se frotter et se sécher les cheveux. Nu comme un ver, il déambule calmement dans la maison pour se diriger vers une petite armoire où on lui a laissé quelques vêtements afin de pouvoir s'habiller. Aucun n'est véritablement à son goût mais disons que c'est suffisant, il ne part pas à un défilé de mode de toute façon. Mais tout de même, soucieux de son apparence, il met un moment à choisir la tenue la moins hideuse possible pour pouvoir se préparer à... il ne sait pas trop pourquoi en fait. Il attend qu'Halewyn lui en dise un peu plus, comme toujours.
CENDRES
Il note ce grand sourire qu'il affiche et cette excitation qui peut se lire sur son visage. Il fronce les sourcils, ne comprenant pas ce qui peut bien le rendre aussi joyeux. Il n'a d'ailleurs pas le temps de lui poser la question que le Démon lui coupe littéralement le souffle en lui arrachant un baiser endiablé qu'il n'a pas clairement pas vu venir. Ses yeux plissés s'écarquillent soudainement en mimant une surprise non dissimulée. Visiblement, la notion de consentement c'est que quand ça l'arrange. Pas que ce soit particulièrement désagréable mais il ne peut cacher son désarroi devant ce moment qui semble interminable tant il est passionné.
Quand il décide enfin de se décrocher des lèvres de l'elfe, celui-ci manque de se laisser complètement tomber dans l'eau, se rattrapant au dernier moment aux rebords de son bain. Il cligne des yeux, remettant les mots d'Halewyn dans l'ordre afin d'être sûr de bien comprendre ce qu'il attend lui.
« Hm Hm. Moi aussi je suis content de te voir, Halewyn. Tu es étonnamment heureux aujourd'hui, je peux savoir ce qui te met dans cet état ? »
Il cherche une fenêtre qui mène vers l'extérieur afin d'essayer de se rendre compte de l'heure qu'il est. De toute façon, cela fait bien trop longtemps qu'il glande dans son bain. Il s'appuie sur le rebord pour se relever. Il passe une jambe par-dessus puis le seconde en faisant bien attention à ne pas glisser sur le sol. Il attrape une serviette qu'il avait laissé tout près pour venir se frotter et se sécher les cheveux. Nu comme un ver, il déambule calmement dans la maison pour se diriger vers une petite armoire où on lui a laissé quelques vêtements afin de pouvoir s'habiller. Aucun n'est véritablement à son goût mais disons que c'est suffisant, il ne part pas à un défilé de mode de toute façon. Mais tout de même, soucieux de son apparence, il met un moment à choisir la tenue la moins hideuse possible pour pouvoir se préparer à... il ne sait pas trop pourquoi en fait. Il attend qu'Halewyn lui en dise un peu plus, comme toujours.
CENDRES
Invité
Invité
Le changement!!!!! C'est une surprise que tu vas a-do-rer
Rétorque ħalewyn dont le pagne vole déjà gracieusement dans les airs, le laissant aussi nu que le jour de sa naissance. Aussi peu prude soit le démon, c'est la première fois qu'il est nu devant l'elfe qui n'a presque pas le temps de sortir de la cuve avant que le bel éphèebe ne prenne sa place. Oyez éponges et savonnettes, le bruit d'une vigoureuse friction se fait entendre.
Evidemment que le changement met votre démon favori dans cet état. Depuis que le mage noir est arrivé, l'ennui avait reculé mais il rôdait impitoyablement en montrant ses crocs de facon de plus en plus audacieuse. Et cela, iel démon n'avait vraiment pas envie de tenter le coup. Alors toute nouvelle distraction était la bienvenue. Iel dieu avait aussi exigé un jouet pour remplacer Ana, ce que le vieillard ne semblait réallement aps disposé à lui donner, trouvant toute sorte d'excuse dans des lois bidons écrites à l'encre fraiche dans l'antique bouquin des lois d'Halewyn.
Qui croyait il pouvoir duper comme cela? Les dégénérés qui prenaient ce bouquin pour leur bible, certes... Aussi Halewyn s'était t'il incliné pour le moment, cachant bien sa rancoeur et sa haine naissante contre son créateur. Parce qu'il n'y a pas de chaines plus insupportables que celles que l'on a depuis la naissance et dont l'on vient de prendre connaissance. Le vieux n'est pas fou du tout, il se sert d'iel pour garder la domination sur le village et, accessoirement, avoir une source d'ingrédients à portée de main.
CØntrairement au ħaut-prêtre du village, Eliendir, malgré ses intentions toutes sauf altruiste, l'a bien servi en lui ouvrant ses horizons, et iel n'est pas un ingrat.
Halewyn est un vilain rancunier par contre. µais ce n'est pas le but de ce message, pense iel démon en bondissant hors de la cuve en un temps record, activant le sortiège mineur de séchage d'une main désinvolte tout en volant littéralement à côté de son mortel du moment, cul nu, pour mieux fouiller dans son armoire à iel qu'iel n'avait encore jamais ouvert.
-Mmmmmm... Je dois m'habiller aussi pour l,occasion. Dis, tu en pense quoi?
Sourit t'iel en se tournant vers le mage avec un pantalon jaune citron en main, une robe on ne peut plus décolleté d'un turquoise outrageant de l,autre, de grosses bottes d'aventuriers coincés entre deux doigts et un voile cyan autour des cheveux si rouges qu'ils semblaient trempés dans le sangle plus frais. .
Rétorque ħalewyn dont le pagne vole déjà gracieusement dans les airs, le laissant aussi nu que le jour de sa naissance. Aussi peu prude soit le démon, c'est la première fois qu'il est nu devant l'elfe qui n'a presque pas le temps de sortir de la cuve avant que le bel éphèebe ne prenne sa place. Oyez éponges et savonnettes, le bruit d'une vigoureuse friction se fait entendre.
Evidemment que le changement met votre démon favori dans cet état. Depuis que le mage noir est arrivé, l'ennui avait reculé mais il rôdait impitoyablement en montrant ses crocs de facon de plus en plus audacieuse. Et cela, iel démon n'avait vraiment pas envie de tenter le coup. Alors toute nouvelle distraction était la bienvenue. Iel dieu avait aussi exigé un jouet pour remplacer Ana, ce que le vieillard ne semblait réallement aps disposé à lui donner, trouvant toute sorte d'excuse dans des lois bidons écrites à l'encre fraiche dans l'antique bouquin des lois d'Halewyn.
Qui croyait il pouvoir duper comme cela? Les dégénérés qui prenaient ce bouquin pour leur bible, certes... Aussi Halewyn s'était t'il incliné pour le moment, cachant bien sa rancoeur et sa haine naissante contre son créateur. Parce qu'il n'y a pas de chaines plus insupportables que celles que l'on a depuis la naissance et dont l'on vient de prendre connaissance. Le vieux n'est pas fou du tout, il se sert d'iel pour garder la domination sur le village et, accessoirement, avoir une source d'ingrédients à portée de main.
CØntrairement au ħaut-prêtre du village, Eliendir, malgré ses intentions toutes sauf altruiste, l'a bien servi en lui ouvrant ses horizons, et iel n'est pas un ingrat.
Halewyn est un vilain rancunier par contre. µais ce n'est pas le but de ce message, pense iel démon en bondissant hors de la cuve en un temps record, activant le sortiège mineur de séchage d'une main désinvolte tout en volant littéralement à côté de son mortel du moment, cul nu, pour mieux fouiller dans son armoire à iel qu'iel n'avait encore jamais ouvert.
-Mmmmmm... Je dois m'habiller aussi pour l,occasion. Dis, tu en pense quoi?
Sourit t'iel en se tournant vers le mage avec un pantalon jaune citron en main, une robe on ne peut plus décolleté d'un turquoise outrageant de l,autre, de grosses bottes d'aventuriers coincés entre deux doigts et un voile cyan autour des cheveux si rouges qu'ils semblaient trempés dans le sangle plus frais. .
Invité
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Guet-apens en forêt
Feat Halewyn
Une surprise donc. Comme toute personne prudente et méfiante de nature, Eliëndir n'est pas un grand fan des surprises. D'autant plus qu'il ne sait pas vraiment à quoi s'attendre avec Halewyn, ce démon a une tendance très agaçante à se montrer énigmatique au possible. Malgré ses maigres avancées ses dernières semaines, il peine encore à percer ce voile de mystère qui entoure le démon aux cheveux de feu. Enfin, ce n'est pas comme s'il avait vraiment son mot à dire et qui sait, peut-être qu'il pourrait apprécier ce qu'Halewyn lui a réservé même s'il est encore sceptique.
Il laisse donc sa place à son hôte pour qu'iel puisse à son tour retirer cette couche de saleté qui nous accroche à la peau comme un parasite dès qu'on met un pied à l'extérieur de la maison. Il le laisse un moment à ses éponges et à ses savonnettes pendant que l'elfe fini de passer sa serviette dans ses cheveux. L'elfe visiblement, n'a jamais pris le temps d'apprendre un sort pour se sécher automatiquement alors il fait comme le commun des mortels. Laissant la serviette tomber sur le sol, quelque part sur son chemin vers le dressing qu'il ouvre en grand. Se saisissant de quelques pièces assez repoussantes en grimaçant, il se retourne vers le démon lorsqu'il requiert son attention.
Silencieux et le souffle coupé, il cligne des yeux devant les propositions d'Halewyn comme s'il venait de couper un oignon qui se mettait à violemment lui piquer les yeux. Par où commencer, les mots lui manquent.
« C'est... parfaitement hideux. »
C'était peut-être un peu trop honnête, un autre choix de mots aurait sûrement été plus judicieux mais ça serait revenu à lui mentir droit dans les yeux. Eliëndir est une vil personne quand il veut, mais pas au point de laisser Halewyn sortir comme ça. Il laisse une petite seconde de blanc avant de reprendre.
« Il y a bien trop de couleur, même pour quelqu'un d'aussi extravagant que toi. Tu sais, la mode aussi à ses propres règles que même les êtres immortels se doivent de respecter. C'est un art plus complexe qu'il en a l'air, à l'instar de la magie il faut des années d'expériences pour en connaître tous les rouages. Laisse-moi faire. »
Il secoue la tête en remettant à leur place les vêtements qu'il a dans les mains. Il traverse la pièce pour jeter un oeil à l'armoire d'Halewyn, s'arrêtant un moment sur la grosse paire de bottes qu'iel tient dans ses mains.
« Tu comptais partir en randonnée ? Si je savais ce qu'on allait faire, ce serait plus simple pour s'apprêter. Et si tu agitais les doigts pour nous faire apparaitre un miroir pendant tes essayages ? »
Piètre tentative, il sait déjà que cela ne mènera à rien. Il commence à être habitué à force. Récupérant les vêtements dans les mains de son ravisseur, il le débarrasse de ce qui l'encombre. Alors le voilà, fouillant dans les piles de vêtements à la recherche de quelques pièces un peu moins horribles que le reste. Puisqu'Halewyn semblait opter pour une robe, il poursuit ses recherches selon ses goûts. Il attrape une robe d'un vert clinquant qu'il plaque contre le buste du démon comme pour savoir si elle était à la bonne taille et si elle collait à son teint. L'elfe grimace.
« Hm. Non. »
Sans demander l'avis au principal concerné, il s'en débarrasse. Il récupère deux robes dans chacune de ses mains, la première d'un mauve assez sobre et l'autre d'un pourpre plus prononcé qui s'accorde plutôt bien avec ses cheveux. Alternant entre ses deux trouvailles qu'il plaque sur le torse du démon, ses lèvres glissant tantôt sur la gauche de sa bouche, tantôt sur la droite, mimant sa réflexion. Il opte finalement pour la deuxième robe, la pourpre qu'il dépose sur l'épaule du démon comme s'iel s'agissait d'un porte-manteau.
« Hm. Pas trop mal. »
La pièce la plus importante venant d'être selectionnée par ses soins, il suffit d'adapter le reste pour créer une certaine harmonie dans le tout. Farfouillant ici et là, il récupère un pantalon sombre et une ceinture discrète pour aller avec. Au dernier moment, il récupère un pantalon d'un rouge proche de celui de la robe dans le cas où Halewyn voudrait quelque chose d'uniforme. Il laisse le tout sur la seconde épaule du démon et pour finir il récupère deux paires de sandales, une paire basse et l'autre à talon pour qu'iel puisse essayer les deux.
« Essaye ça. »
Il s'éloigne en allant s'allonger sur le lit pendant que son hôte s'apprête avec ses conseils vestimentaires. C'est peut-être trop... "classique" pour Halewyn ceci dit, mais ils ne sauront pas avant d'avoir essayé. Il y a aussi de la beauté dans la simplicité et de toute façon, ça ne peut pas être pire que son pantalon jaune citron et ses grosses bottes qu'iel comptait revêtir.
CENDRES
Il laisse donc sa place à son hôte pour qu'iel puisse à son tour retirer cette couche de saleté qui nous accroche à la peau comme un parasite dès qu'on met un pied à l'extérieur de la maison. Il le laisse un moment à ses éponges et à ses savonnettes pendant que l'elfe fini de passer sa serviette dans ses cheveux. L'elfe visiblement, n'a jamais pris le temps d'apprendre un sort pour se sécher automatiquement alors il fait comme le commun des mortels. Laissant la serviette tomber sur le sol, quelque part sur son chemin vers le dressing qu'il ouvre en grand. Se saisissant de quelques pièces assez repoussantes en grimaçant, il se retourne vers le démon lorsqu'il requiert son attention.
Silencieux et le souffle coupé, il cligne des yeux devant les propositions d'Halewyn comme s'il venait de couper un oignon qui se mettait à violemment lui piquer les yeux. Par où commencer, les mots lui manquent.
« C'est... parfaitement hideux. »
C'était peut-être un peu trop honnête, un autre choix de mots aurait sûrement été plus judicieux mais ça serait revenu à lui mentir droit dans les yeux. Eliëndir est une vil personne quand il veut, mais pas au point de laisser Halewyn sortir comme ça. Il laisse une petite seconde de blanc avant de reprendre.
« Il y a bien trop de couleur, même pour quelqu'un d'aussi extravagant que toi. Tu sais, la mode aussi à ses propres règles que même les êtres immortels se doivent de respecter. C'est un art plus complexe qu'il en a l'air, à l'instar de la magie il faut des années d'expériences pour en connaître tous les rouages. Laisse-moi faire. »
Il secoue la tête en remettant à leur place les vêtements qu'il a dans les mains. Il traverse la pièce pour jeter un oeil à l'armoire d'Halewyn, s'arrêtant un moment sur la grosse paire de bottes qu'iel tient dans ses mains.
« Tu comptais partir en randonnée ? Si je savais ce qu'on allait faire, ce serait plus simple pour s'apprêter. Et si tu agitais les doigts pour nous faire apparaitre un miroir pendant tes essayages ? »
Piètre tentative, il sait déjà que cela ne mènera à rien. Il commence à être habitué à force. Récupérant les vêtements dans les mains de son ravisseur, il le débarrasse de ce qui l'encombre. Alors le voilà, fouillant dans les piles de vêtements à la recherche de quelques pièces un peu moins horribles que le reste. Puisqu'Halewyn semblait opter pour une robe, il poursuit ses recherches selon ses goûts. Il attrape une robe d'un vert clinquant qu'il plaque contre le buste du démon comme pour savoir si elle était à la bonne taille et si elle collait à son teint. L'elfe grimace.
« Hm. Non. »
Sans demander l'avis au principal concerné, il s'en débarrasse. Il récupère deux robes dans chacune de ses mains, la première d'un mauve assez sobre et l'autre d'un pourpre plus prononcé qui s'accorde plutôt bien avec ses cheveux. Alternant entre ses deux trouvailles qu'il plaque sur le torse du démon, ses lèvres glissant tantôt sur la gauche de sa bouche, tantôt sur la droite, mimant sa réflexion. Il opte finalement pour la deuxième robe, la pourpre qu'il dépose sur l'épaule du démon comme s'iel s'agissait d'un porte-manteau.
« Hm. Pas trop mal. »
La pièce la plus importante venant d'être selectionnée par ses soins, il suffit d'adapter le reste pour créer une certaine harmonie dans le tout. Farfouillant ici et là, il récupère un pantalon sombre et une ceinture discrète pour aller avec. Au dernier moment, il récupère un pantalon d'un rouge proche de celui de la robe dans le cas où Halewyn voudrait quelque chose d'uniforme. Il laisse le tout sur la seconde épaule du démon et pour finir il récupère deux paires de sandales, une paire basse et l'autre à talon pour qu'iel puisse essayer les deux.
« Essaye ça. »
Il s'éloigne en allant s'allonger sur le lit pendant que son hôte s'apprête avec ses conseils vestimentaires. C'est peut-être trop... "classique" pour Halewyn ceci dit, mais ils ne sauront pas avant d'avoir essayé. Il y a aussi de la beauté dans la simplicité et de toute façon, ça ne peut pas être pire que son pantalon jaune citron et ses grosses bottes qu'iel comptait revêtir.
CENDRES
Invité
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Ca t'amuse hein de me traiter comme une poupée avoue.
Rit doucement Haleyn en se rincant l'oeil sans vergogne sur le corp du mortel occupé à faire des grimaces rigolotes pour son bon plaisir. La robe qu'Eliendir choisi d'ailleurs a été ramassée lors d'un des raids. Une robe quand même quelconque mais qui parait magnifique à ses yeux en cet instant.
Dans un bruissement de soie, ie succube enfile la chose, bataillant bien avec queques lacets. Par contre, le vêtement ne le met pas réellement en valeur, baîllant atrocement sur son torse et plat au niveau des hanches. Et pendant qu'iel apprend à s,habiller avec autre chose qu'un pagne, iel continue.
-Ca devrait te plaire le changement. J'ai réussis à faire mettre la main sur quelques trucs pas piqués des champignons, et il faut se dépêcher... avant que ca ne se gâte. ije sais bien que ce n'est pas comme dans ta patrie ni le monde extérieur, mais je me suis dit qu'une petite escapade te remonterait le moral, tu as l'air particulièrement à plat aujourd'hui... D'ailleurs, parlant d'aplats, une section de bas relief te sera dédié bientôt. Ce n'est pas pour plaie à Père, mais bon ici au village c'est moi qui décide. D'ailleurs, si tu n'avais pas dormi si longtemps, tu aurais pu participer au Raid avec nous. Je ne sais pas pourquoi ils se sont trompés de chemin et peu me chaux... Ils avaient une jolie cassette rempie de trucs brillants, certains ronds et jaunes, ainsi que des bijoux. D'ailleurs, je t'ai pris quelque chose, il est sur le bureau là-bas. Il me semble que ca va bien avec tes cheveux. T peux te prendre à boire aussi, et si tu voulais bien m'en ramener un verre pendant que je regarde comment ajuster cette robe.
En effet, sur le bureau de pin blanc blanchi au sable, une bouteille de vin et deux verres en étain attendent le mage, ainsi qu'un bijou tout sauf piqué des vers, luisant doucement à la lueur des lampes.
Oulah!
S'exclame dans son dos Halewyn réjouit tandis qu'iel prend une apparence plus féminine pour remplir le décolleté
Ahhhh.... Ca va mieux!
Rit doucement Haleyn en se rincant l'oeil sans vergogne sur le corp du mortel occupé à faire des grimaces rigolotes pour son bon plaisir. La robe qu'Eliendir choisi d'ailleurs a été ramassée lors d'un des raids. Une robe quand même quelconque mais qui parait magnifique à ses yeux en cet instant.
Dans un bruissement de soie, ie succube enfile la chose, bataillant bien avec queques lacets. Par contre, le vêtement ne le met pas réellement en valeur, baîllant atrocement sur son torse et plat au niveau des hanches. Et pendant qu'iel apprend à s,habiller avec autre chose qu'un pagne, iel continue.
-Ca devrait te plaire le changement. J'ai réussis à faire mettre la main sur quelques trucs pas piqués des champignons, et il faut se dépêcher... avant que ca ne se gâte. ije sais bien que ce n'est pas comme dans ta patrie ni le monde extérieur, mais je me suis dit qu'une petite escapade te remonterait le moral, tu as l'air particulièrement à plat aujourd'hui... D'ailleurs, parlant d'aplats, une section de bas relief te sera dédié bientôt. Ce n'est pas pour plaie à Père, mais bon ici au village c'est moi qui décide. D'ailleurs, si tu n'avais pas dormi si longtemps, tu aurais pu participer au Raid avec nous. Je ne sais pas pourquoi ils se sont trompés de chemin et peu me chaux... Ils avaient une jolie cassette rempie de trucs brillants, certains ronds et jaunes, ainsi que des bijoux. D'ailleurs, je t'ai pris quelque chose, il est sur le bureau là-bas. Il me semble que ca va bien avec tes cheveux. T peux te prendre à boire aussi, et si tu voulais bien m'en ramener un verre pendant que je regarde comment ajuster cette robe.
En effet, sur le bureau de pin blanc blanchi au sable, une bouteille de vin et deux verres en étain attendent le mage, ainsi qu'un bijou tout sauf piqué des vers, luisant doucement à la lueur des lampes.
Oulah!
S'exclame dans son dos Halewyn réjouit tandis qu'iel prend une apparence plus féminine pour remplir le décolleté
Ahhhh.... Ca va mieux!
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