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Loin de se décourager, Alyssa esquisse un sourire assuré et demande simplement Tagar :
« J'ai cependant l'impression, sire Reys, que vous n'émettrez pas d'objection au constat que les opposés s'attirent, n'est-ce pas ? »
Elle plonge son regard dans le sien, le toise, confiante. Lisant un brin de tristesse sur son visage, étant plus dans l'action que dans les mots, elle vient accepter son contact, et, alors qu'il a fini de l'aider à se relever, fait glisser sa main pour enserrer doucement de ses doigts son avant-bras. Elle ne répond pas à sa première question par des mots, puis à sa seconde par une blague :
« Le genre qui est excessivement cher, quelle question » elle secoue sa tête avant de rajouter : « Qu'importe, quelque chose qui sert autre chose que du pain et de la viande bouillie, quelque chose de nouveau, et je serais ravie. Je passe trop de temps à Taisen »
Elle exagère clairement en parlant des arts culinaires de la ville martiale, mais, se base sur un fond de vérité. Mais, toujours un peu fatiguée par son sort, l'appétit n'y est pas vraiment, et, elle revient un peu directement sur le sujet précédent sans perdre de pincette :
« Je ne souhaite pas vous affliger encore plus, mais, je me dois de demander. Pouvez-vous m'en dire plus quant à vos quasi-fiançailles ? Au-delà d'être curieuse, je suis surtout navrée pour vous »
Si elle réfléchit clairement moins ses mots que son cadet, elle n'en est pas moins, voire beaucoup plus sincère et si la forme est maladroite, le fond y est.
« J'ai cependant l'impression, sire Reys, que vous n'émettrez pas d'objection au constat que les opposés s'attirent, n'est-ce pas ? »
Elle plonge son regard dans le sien, le toise, confiante. Lisant un brin de tristesse sur son visage, étant plus dans l'action que dans les mots, elle vient accepter son contact, et, alors qu'il a fini de l'aider à se relever, fait glisser sa main pour enserrer doucement de ses doigts son avant-bras. Elle ne répond pas à sa première question par des mots, puis à sa seconde par une blague :
« Le genre qui est excessivement cher, quelle question » elle secoue sa tête avant de rajouter : « Qu'importe, quelque chose qui sert autre chose que du pain et de la viande bouillie, quelque chose de nouveau, et je serais ravie. Je passe trop de temps à Taisen »
Elle exagère clairement en parlant des arts culinaires de la ville martiale, mais, se base sur un fond de vérité. Mais, toujours un peu fatiguée par son sort, l'appétit n'y est pas vraiment, et, elle revient un peu directement sur le sujet précédent sans perdre de pincette :
« Je ne souhaite pas vous affliger encore plus, mais, je me dois de demander. Pouvez-vous m'en dire plus quant à vos quasi-fiançailles ? Au-delà d'être curieuse, je suis surtout navrée pour vous »
Si elle réfléchit clairement moins ses mots que son cadet, elle n'en est pas moins, voire beaucoup plus sincère et si la forme est maladroite, le fond y est.
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« Oh, mais je vous crois mon cher ; mais n'en faites pas trop. Ce serait dommage de me pousser à placer mes attentes trop haut. Vous savez, je suis quelqu'un de particulièrement difficile à satisfaire »
Elle esquisse un sourire, et, fini par glousser ; signifiant qu'il s'agit là d'une blague. Encore une fois, habituée à l'ascétisme martial de Taisen, Alyssa n'a pas besoin de grand chose pour être satisfaite, et rien que l'idée de manger du poisson lui plaît déjà beaucoup. Ce n'est pas vraiment dans ses habitudes alimentaires, vu la localisation de sa ville natale.
Sa légèreté s'envole quand il répond finalement à la question ; et elle est autant attentive au fond qu'à la forme. Mais, alors qu'il avance dans son discours, elle ressent sa peine, et fini par s'arrêter alors qu'ils marchaient, pour laisser glisser sa main pour joindre la sienne. Elle passe doucement son pouce sur le dos de sa main, alors qu'elle esquisse un petit sourire exprimant une certaine compassion et qu'elle lui glisse :
« Mon pauvre... »
Ses lèvres ont un spasme, et elle ne peut s'empêcher de rajouter :
« Ne vous inquiétez pas, si je dois disparaître, j'ai plutôt tendance à faire les choses de façon dramatique et flamboyantes »
Si son frère avait entendu, son simple regard aurait suffit à lui faire comprendre qu'elle aurait mieux fait de se taire mais, s'il est là, il est à nouveau occupé à discuter avec les gardes de Tagar et ne prête pas attention à leur conversation. La question suivante rappelle également un souvenir gênant pour Alyssa, et, alors qu'elle pense avoir trouvé la bonne formulation, commence à demander :
« J'aurais été rassurée de savoir que vous êtes capable d'avoir des enfants, cependant. Êtes vous sûr de... » non, ça sonne terriblement mal. Mais, en même temps, comment le formuler autrement ? « écoutez, je m'excuse d'être aussi franche ; mais, je ne vois vraiment pas comment le dire. Voyez vous, feu mon mari ne m'a jamais d'enfant parce qu'il n'a jamais été capable de... » ne trouvant pas les mots, elle déplie lentement ses doigts jusqu'à ce qu'ils soient droits, dans l'espoir où il comprenne où elle veut en venir.
C'est horrible, mais, elle ne veut pas d'un deuxième mari impuissant.
Elle esquisse un sourire, et, fini par glousser ; signifiant qu'il s'agit là d'une blague. Encore une fois, habituée à l'ascétisme martial de Taisen, Alyssa n'a pas besoin de grand chose pour être satisfaite, et rien que l'idée de manger du poisson lui plaît déjà beaucoup. Ce n'est pas vraiment dans ses habitudes alimentaires, vu la localisation de sa ville natale.
Sa légèreté s'envole quand il répond finalement à la question ; et elle est autant attentive au fond qu'à la forme. Mais, alors qu'il avance dans son discours, elle ressent sa peine, et fini par s'arrêter alors qu'ils marchaient, pour laisser glisser sa main pour joindre la sienne. Elle passe doucement son pouce sur le dos de sa main, alors qu'elle esquisse un petit sourire exprimant une certaine compassion et qu'elle lui glisse :
« Mon pauvre... »
Ses lèvres ont un spasme, et elle ne peut s'empêcher de rajouter :
« Ne vous inquiétez pas, si je dois disparaître, j'ai plutôt tendance à faire les choses de façon dramatique et flamboyantes »
Si son frère avait entendu, son simple regard aurait suffit à lui faire comprendre qu'elle aurait mieux fait de se taire mais, s'il est là, il est à nouveau occupé à discuter avec les gardes de Tagar et ne prête pas attention à leur conversation. La question suivante rappelle également un souvenir gênant pour Alyssa, et, alors qu'elle pense avoir trouvé la bonne formulation, commence à demander :
« J'aurais été rassurée de savoir que vous êtes capable d'avoir des enfants, cependant. Êtes vous sûr de... » non, ça sonne terriblement mal. Mais, en même temps, comment le formuler autrement ? « écoutez, je m'excuse d'être aussi franche ; mais, je ne vois vraiment pas comment le dire. Voyez vous, feu mon mari ne m'a jamais d'enfant parce qu'il n'a jamais été capable de... » ne trouvant pas les mots, elle déplie lentement ses doigts jusqu'à ce qu'ils soient droits, dans l'espoir où il comprenne où elle veut en venir.
C'est horrible, mais, elle ne veut pas d'un deuxième mari impuissant.
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Alors que Tagar éclate de rire, elle se contente de sourire et de le regarder. Elle n'éprouve pas de gêne, parce que si la question est étrange, elle reste importante à ses yeux. L'impuissance de son défunt mari a été une véritable épreuve pour elle, en plus du fait qu'il était inintéressant à ses yeux. C'est elle qui subissait la pression de savoir quand allaient arriver les enfants, et, elle ne pouvait pas simplement répondre : quand mon mari serait capable de faire son devoir. Seuls ses proches avaient été mis au courant, sans quoi, elle aurait probablement causé un incident diplomatique entre ses deux familles.
Elle écoute ensuite sa réponse, et, une fois cette dernière terminée, elle ne peut être que rassurée. Elle lui explique simplement :
« Je préfère poser cette question maintenant, plutôt que d'avoir à en subir de nombreuses dans les années à venir, si vous n'êtes pas capable d'effectuer vos... responsabilités conjugales »
Elle est peut-être un peu sèche dans sa façon franche et directe d'énoncer ce problème, mais qu'importe.
Elle écoute donc ce qui semble être une conclusion à leur échange avec grand intérêt, avant qu'elle ne réponde presque directement :
« Non, non, l'essentiel a été dit ; pour le reste, libre à vous de me courtiser si cela vous intéresse, et si cela nous est possible. Je vous avoue que je ne m'attendais pas à grand chose, mais, que j'ai été agréablement surprise. Ah, juste, appelez moi Alyssa, voulez vous »
D'un geste de la main, elle se rouvre à leur environnement, et reprend leur marche dans cette galerie en restant aux côtés du noble. Elle en profite pour reprendre une discussion plus normal, en annonçant :
« C'est rafraîchissant de voir quelqu'un de votre stature qui s'intéresse à autre chose qu'à la guerre et à la politique. Cette galerie est sublime, même si certaines œuvres sont intrigantes »
Et ce n'est pas pour lui déplaire, au final. Chercher à comprendre ce que veux transmettre un artiste peut être stimulant. Elle regarde une toile un peu abstraite, justement, puis, Tagar, et rien que dans son regard, un esprit avisé verra qu'elle aimerait qu'il lui partage un nouvelle fois sa vision des choses sur cette œuvre.
Elle écoute ensuite sa réponse, et, une fois cette dernière terminée, elle ne peut être que rassurée. Elle lui explique simplement :
« Je préfère poser cette question maintenant, plutôt que d'avoir à en subir de nombreuses dans les années à venir, si vous n'êtes pas capable d'effectuer vos... responsabilités conjugales »
Elle est peut-être un peu sèche dans sa façon franche et directe d'énoncer ce problème, mais qu'importe.
Elle écoute donc ce qui semble être une conclusion à leur échange avec grand intérêt, avant qu'elle ne réponde presque directement :
« Non, non, l'essentiel a été dit ; pour le reste, libre à vous de me courtiser si cela vous intéresse, et si cela nous est possible. Je vous avoue que je ne m'attendais pas à grand chose, mais, que j'ai été agréablement surprise. Ah, juste, appelez moi Alyssa, voulez vous »
D'un geste de la main, elle se rouvre à leur environnement, et reprend leur marche dans cette galerie en restant aux côtés du noble. Elle en profite pour reprendre une discussion plus normal, en annonçant :
« C'est rafraîchissant de voir quelqu'un de votre stature qui s'intéresse à autre chose qu'à la guerre et à la politique. Cette galerie est sublime, même si certaines œuvres sont intrigantes »
Et ce n'est pas pour lui déplaire, au final. Chercher à comprendre ce que veux transmettre un artiste peut être stimulant. Elle regarde une toile un peu abstraite, justement, puis, Tagar, et rien que dans son regard, un esprit avisé verra qu'elle aimerait qu'il lui partage un nouvelle fois sa vision des choses sur cette œuvre.
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Elle observe attentivement la toile, y cherchant ce que Tagar lui décrit. Puis, elle acquiesce, et commente en donnant le bout de sa pensée :
« Intéressant. Je n'y vois pas du désarroi, mais de la colère ; une colère qui consume tout. Ce qui se tient aussi, n'est-ce pas ? Si cette divine trahison m'arrivait, je serais probablement plus furieuse que confuse, de voir que toute cette foi et cette dévotion ne nous aurait mené qu'à notre perte. Mais je suppose que c'est une question de point de vue ? »
Elle marque un temps d'arrêt, tourne légèrement la tête, lui fait un clin d'oeil et lui glisse :
« Le fait est que dans cette hypothèse, nous serions dans le même camp. C'est une bonne chose, Tagar. Tu as de la chance, pour cette fois »
Elle dissipe ses excuses d'un vaste geste de la main, énonçant très simplement :
« Voyons, déjà vous faites l'effort de me demander mon avis » elle va rajouter quelque chose mais se ravise.
Si elle est franche, elle n'est pas bête et reconnaît qu'il est malavisé de faire systématiquement des références, même si elles sont amers, à son ancien mari. Elle relance donc directement, en espérant qu'il ne bloque pas trop sur cette bourde manquée de près :
« Et puis, vous êtes flatteur. Moi, intelligente ?! Avouez que vous ne le savez pas. Pas pour l'instant. Ne vous tracassez point pour ce détail ; il vous faut juste vous présenter à mon père pour lui demander ma main. Il est vieux et sénile ; et ma mère est adorable. C'est surtout elle qui a élevé Pendor et regardez le résultat »
Elle déplie son bras pour le pointer, main tendue, vers l'homme en question qui cesse sa discussion, rend un regard confus, et lève les bras en signe d'incompréhension. Qu'est-ce qu'elle raconte encore ?!
« Intéressant. Je n'y vois pas du désarroi, mais de la colère ; une colère qui consume tout. Ce qui se tient aussi, n'est-ce pas ? Si cette divine trahison m'arrivait, je serais probablement plus furieuse que confuse, de voir que toute cette foi et cette dévotion ne nous aurait mené qu'à notre perte. Mais je suppose que c'est une question de point de vue ? »
Elle marque un temps d'arrêt, tourne légèrement la tête, lui fait un clin d'oeil et lui glisse :
« Le fait est que dans cette hypothèse, nous serions dans le même camp. C'est une bonne chose, Tagar. Tu as de la chance, pour cette fois »
Elle dissipe ses excuses d'un vaste geste de la main, énonçant très simplement :
« Voyons, déjà vous faites l'effort de me demander mon avis » elle va rajouter quelque chose mais se ravise.
Si elle est franche, elle n'est pas bête et reconnaît qu'il est malavisé de faire systématiquement des références, même si elles sont amers, à son ancien mari. Elle relance donc directement, en espérant qu'il ne bloque pas trop sur cette bourde manquée de près :
« Et puis, vous êtes flatteur. Moi, intelligente ?! Avouez que vous ne le savez pas. Pas pour l'instant. Ne vous tracassez point pour ce détail ; il vous faut juste vous présenter à mon père pour lui demander ma main. Il est vieux et sénile ; et ma mère est adorable. C'est surtout elle qui a élevé Pendor et regardez le résultat »
Elle déplie son bras pour le pointer, main tendue, vers l'homme en question qui cesse sa discussion, rend un regard confus, et lève les bras en signe d'incompréhension. Qu'est-ce qu'elle raconte encore ?!
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Alyssa glousse quand Tagar en devient mielleux, et, fait un non de la tête en tirant une moue faussement gênée, balayant de la main son compliment. Quand vient la suite plus sérieuse, elle lui annonce très simplement :
« Vous avez mon feu vert, Tagar. Et je ne suis pas timide, rencontrer votre mère ne me dérange point. Cependant, je ne peux rester plus longtemps que quelques jours à Ikusa. J'ai des obligations à Taisen, et, je dois repartir quoi qu'il en soit d'ici trois jours »
Elle annonce ça calmement et sereinement, puisqu'elle est parfaitement honnête. Elle n'a simplement aucune anxiété à rencontrer des gens ; même s'il s'agirait de l'empereur en personne. C'est peut-être ce qui justifie une rencontre aussi rapide, sans passer par un échange épistolaire, avec Tagar.
« Voyons. Je suis venu chercher un époux, et non un ami. Pourquoi prendre autant de pincettes, est-ce que je vous intimide ? »
Elle lui lance un regard en coin, alors que son attention est jusque là attirée par une énième œuvre de la galerie. Elle l'écoute alors qu'il s'adresse à son subalterne ; attentive à voir comment il s'y prenait. De la bonne façon, visiblement ; parce qu'elle a un dédain particulier envers ceux qui sont infects vis-à-vis des gens qui sont sous leurs ordres. Les devoirs, à ses yeux, vont dans les deux sens.
Quand il la regarde, elle prend un instant pour le capter, elle tourne la tête et lui jette un regard perplexe. Puis, elle lui annonce :
« Pendor vient, s'il le souhaite ; après tout, je ne suis pas encore fiancée et j'ai bien besoin d'un chaperon, non ?
- Ce serait avec plaisir, mais, malheureusement, j'ai quelques obligations. Mais, suite à notre vécu, je n'ai aucun doute sur le fait que je peux vous faire confiance pour vous assurer du bien-être de ma sœur, sire Reys »
Il fait bien évidemment référence au festival de la bière. Accessoirement, après avoir discuté avec la soldatesque du noble, il n'est pas vraiment inquiet quant la décence et à la sécurité de cet entourage. Il rajoute cependant :
« J'espère ne pas vous froisser ainsi ; j'ai bon espoir, vu la tournure de cette rencontre, que nous serons amenés à bien d'autres occasions de ce genre, bien assez tôt »
« Vous avez mon feu vert, Tagar. Et je ne suis pas timide, rencontrer votre mère ne me dérange point. Cependant, je ne peux rester plus longtemps que quelques jours à Ikusa. J'ai des obligations à Taisen, et, je dois repartir quoi qu'il en soit d'ici trois jours »
Elle annonce ça calmement et sereinement, puisqu'elle est parfaitement honnête. Elle n'a simplement aucune anxiété à rencontrer des gens ; même s'il s'agirait de l'empereur en personne. C'est peut-être ce qui justifie une rencontre aussi rapide, sans passer par un échange épistolaire, avec Tagar.
« Voyons. Je suis venu chercher un époux, et non un ami. Pourquoi prendre autant de pincettes, est-ce que je vous intimide ? »
Elle lui lance un regard en coin, alors que son attention est jusque là attirée par une énième œuvre de la galerie. Elle l'écoute alors qu'il s'adresse à son subalterne ; attentive à voir comment il s'y prenait. De la bonne façon, visiblement ; parce qu'elle a un dédain particulier envers ceux qui sont infects vis-à-vis des gens qui sont sous leurs ordres. Les devoirs, à ses yeux, vont dans les deux sens.
Quand il la regarde, elle prend un instant pour le capter, elle tourne la tête et lui jette un regard perplexe. Puis, elle lui annonce :
« Pendor vient, s'il le souhaite ; après tout, je ne suis pas encore fiancée et j'ai bien besoin d'un chaperon, non ?
- Ce serait avec plaisir, mais, malheureusement, j'ai quelques obligations. Mais, suite à notre vécu, je n'ai aucun doute sur le fait que je peux vous faire confiance pour vous assurer du bien-être de ma sœur, sire Reys »
Il fait bien évidemment référence au festival de la bière. Accessoirement, après avoir discuté avec la soldatesque du noble, il n'est pas vraiment inquiet quant la décence et à la sécurité de cet entourage. Il rajoute cependant :
« J'espère ne pas vous froisser ainsi ; j'ai bon espoir, vu la tournure de cette rencontre, que nous serons amenés à bien d'autres occasions de ce genre, bien assez tôt »
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Avant de partir, Pendor écoute la promesse de Tagar, et ne peut pas s'empêcher d'esquisser un large sourire avant de le gratifier d'un simple geste de la tête et de tracer sa route. Alyssa lui fait au revoir de la main, même s'ils se retrouvent d'ici quelques heures, et elle a l'occasion de se retrouver seule avec le cœur du Reike pour que celui-ci se dévoile un peu plus. Sur le trajet, elle écoute avec attention chaque partie de son récit, n'hésitant pas à poser des questions quand sa curiosité n'est que trop piquée.
Elle n'a pas le temps de le réaliser qu'ils arrivent au restaurant. D'un œil avisé, elle parcourt la façade de ce dernier, et réalise sans même mettre un pied dedans qu'il s'agit d'un établissement de goût. Cette intuition est confirmée alors même qu'ils rentrent à l'intérieur ; la décoration est dans des teintes bleu clair et blanc et dans des courbes élégantes qui évoquent le vent, hommage évident au nom choisi. Un courant d'air magique ajoute doucement des petits carillons qui résonnent d'une étrange mais apaisante mélodie qui sert probablement de musique d'ambiance.
La brune se laisse volontiers guider, et une fois installée, esquisse un sourire à sa question. Elle fait un rond du bout de son doigt sur la table en réfléchissant, avant de lui annoncer :
« Parce qu'on m'a proposé et que cela me permet de servir dignement ma famille »
Elle se doute qu'il ne sera probablement pas satisfait de cette réponse, alors, elle précise :
« En contribuant à l'effort de guerre face aux titans, j'ai eu l'occasion de rencontrer de nombreuses personnes, dont certains puissants de Taisen. Pour le reste, je pense que j'ai semblé être une bonne candidate entre ma franchise, et mes connaissances magiques et académiques »
Elle commence à consulter la carte, marque un temps d'arrêt et annonce simplement :
« Je choisis pour vous, et vous choisissez pour moi »
Son doigt parcourt la liste des plats, et, après seulement un passage, elle annonce simplement :
« Délice mi-cuit de saumon au miel de belle. Je pense que ça sied à votre personne, et à votre titre »
Elle ne dit rien de plus, se penche en avant pour attendre sa réponse.
Elle n'a pas le temps de le réaliser qu'ils arrivent au restaurant. D'un œil avisé, elle parcourt la façade de ce dernier, et réalise sans même mettre un pied dedans qu'il s'agit d'un établissement de goût. Cette intuition est confirmée alors même qu'ils rentrent à l'intérieur ; la décoration est dans des teintes bleu clair et blanc et dans des courbes élégantes qui évoquent le vent, hommage évident au nom choisi. Un courant d'air magique ajoute doucement des petits carillons qui résonnent d'une étrange mais apaisante mélodie qui sert probablement de musique d'ambiance.
La brune se laisse volontiers guider, et une fois installée, esquisse un sourire à sa question. Elle fait un rond du bout de son doigt sur la table en réfléchissant, avant de lui annoncer :
« Parce qu'on m'a proposé et que cela me permet de servir dignement ma famille »
Elle se doute qu'il ne sera probablement pas satisfait de cette réponse, alors, elle précise :
« En contribuant à l'effort de guerre face aux titans, j'ai eu l'occasion de rencontrer de nombreuses personnes, dont certains puissants de Taisen. Pour le reste, je pense que j'ai semblé être une bonne candidate entre ma franchise, et mes connaissances magiques et académiques »
Elle commence à consulter la carte, marque un temps d'arrêt et annonce simplement :
« Je choisis pour vous, et vous choisissez pour moi »
Son doigt parcourt la liste des plats, et, après seulement un passage, elle annonce simplement :
« Délice mi-cuit de saumon au miel de belle. Je pense que ça sied à votre personne, et à votre titre »
Elle ne dit rien de plus, se penche en avant pour attendre sa réponse.
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Elle hausse les épaules, réalisant qu'elle a de la chance d'avoir un tel poste ; mais n'oubliant pas que, quelque part au fond d'elle, une aventurière rôde. Elle a toujours fait passer ses devoirs avant elle, et, le fera probablement toujours. Elle décide donc de répondre :
« Ce n'est pas la carrière qui m'a fait rêver quand j'étais enfant, mais, déjà, j'ai eu la chance de pouvoir exploiter mon potentiel magique, et ensuite, il y a des postes bien pires. Vous m'imaginez dans un poste perdu au fin fond d'un enfer administratif ? Moi, non »
Elle marque un arrêt d'un instant, lève son doigt et rajoute :
« Si je ne retourne pas la question, c'est que je connais la réponse »
Elle esquisse un petit sourire, avant d'avoir le plaisir d'entendre son choix. Elle s'imagine une raison plus... poétique de son choix, ainsi, quand elle lui expose, elle répond directement :
« Je m'attendais à une justification plus... symbolique. Mais vous êtes un pragmatique, c'est bien. J'ai fais mon choix parce que vous me semblez être une personne qui navigue en eaux troubles, plongé au cœur de contraintes financières et politiques ; à la recherche permanent d'un équilibre que propose parfaitement un plat sucré-salé, mi-cru, mi-cuit »
Elle débite sa tirade directement, sans marquer un temps de pause ou d'hésitation, avant de se détendre un peu le dos en s'appuyant sur sa chaise, levant légèrement le menton avant de répondre à sa question suivante :
« Tout dépend du contexte ; comme vous, je pense. Je n'en pouvais plus de faire campagne avec un ost, par exemple. le bruit, les tentes, l'agitation constante... Une véritable corvée. Mais quand je voyage seule, ou en petit comité, là, oui »
Elle plisse les yeux, hausse les sourcils à la question suivante. Est-ce un interrogatoire ? Elle ne manque pas de répondre, cependant, plus amusée qu'agacée :
« Quelle question. Toute ma vie, les Astres m'ont guidé ; mais, j'admets que la guerre, et les récents malheurs de mon frère ont fait vaciller la flamme de ma foi »
« Ce n'est pas la carrière qui m'a fait rêver quand j'étais enfant, mais, déjà, j'ai eu la chance de pouvoir exploiter mon potentiel magique, et ensuite, il y a des postes bien pires. Vous m'imaginez dans un poste perdu au fin fond d'un enfer administratif ? Moi, non »
Elle marque un arrêt d'un instant, lève son doigt et rajoute :
« Si je ne retourne pas la question, c'est que je connais la réponse »
Elle esquisse un petit sourire, avant d'avoir le plaisir d'entendre son choix. Elle s'imagine une raison plus... poétique de son choix, ainsi, quand elle lui expose, elle répond directement :
« Je m'attendais à une justification plus... symbolique. Mais vous êtes un pragmatique, c'est bien. J'ai fais mon choix parce que vous me semblez être une personne qui navigue en eaux troubles, plongé au cœur de contraintes financières et politiques ; à la recherche permanent d'un équilibre que propose parfaitement un plat sucré-salé, mi-cru, mi-cuit »
Elle débite sa tirade directement, sans marquer un temps de pause ou d'hésitation, avant de se détendre un peu le dos en s'appuyant sur sa chaise, levant légèrement le menton avant de répondre à sa question suivante :
« Tout dépend du contexte ; comme vous, je pense. Je n'en pouvais plus de faire campagne avec un ost, par exemple. le bruit, les tentes, l'agitation constante... Une véritable corvée. Mais quand je voyage seule, ou en petit comité, là, oui »
Elle plisse les yeux, hausse les sourcils à la question suivante. Est-ce un interrogatoire ? Elle ne manque pas de répondre, cependant, plus amusée qu'agacée :
« Quelle question. Toute ma vie, les Astres m'ont guidé ; mais, j'admets que la guerre, et les récents malheurs de mon frère ont fait vaciller la flamme de ma foi »
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Alors qu''il annonce à Alyssa qu'elle a tout à fait raison, elle fait des signes de la main et lève fièrement le menton pour souligner ce fait. Bien sûr qu'elle sait. Sa remarque suivante la fait sourire et elle lui annonce :
« Je suis sûre que vous êtes plus intéressant que ça. Ah, et, comment est mon doigt, du coup ? »
Elle lève son index, pour se moquer gentiment de lui, puis, son sourire se renforce à sa proposition de voyages. Visiblement, son interlocuteur semble être plus que charmé ; alors qu'elle lui a annoncé la couleur, il lui faut du temps pour s'attacher, mais, lorsque c'est le cas, elle en devient inséparable et d'une loyauté sans faille. La confiance, base saine de n'importe quelle relation pour la noble, est quelque chose qui se construit. Elle ne peut s'empêcher de lui annoncer :
« J'aime votre ambition, je vous laisserais peut-être cette chance »
Le fait qu'il dégouline ainsi de foi ne la répulse pas, puisque Pendor est plus ou moins devenu pareil suite au meurtre de sa famille. Elle s'apprête à répondre sur la même thématique quand l'autre la devance et chance de sujet. Là, elle a juste un éclat de rire et lui annonce :
« Sire Tagar Reys ! Êtes-vous en train d'essayer de me gaver ? Je ne suis pas une oie, voyons ! »
Il a une drôle de façon d'essayer de l'engrosser. Elle se calme un peu, avant de rajouter un peu plus sérieuse :
« Ce serait avec plaisir, mais encore une fois, tâchez de demander officiellement l'autorisation de me courtiser à mon père. En un jour, cela risque d'être compliqué, mais, il est possible de passer par un télépathe »
Ce qui est soit réservé à une élite, soit excessivement cher pour une délivrance de message presque instantanée.
« Je suis sûre que vous êtes plus intéressant que ça. Ah, et, comment est mon doigt, du coup ? »
Elle lève son index, pour se moquer gentiment de lui, puis, son sourire se renforce à sa proposition de voyages. Visiblement, son interlocuteur semble être plus que charmé ; alors qu'elle lui a annoncé la couleur, il lui faut du temps pour s'attacher, mais, lorsque c'est le cas, elle en devient inséparable et d'une loyauté sans faille. La confiance, base saine de n'importe quelle relation pour la noble, est quelque chose qui se construit. Elle ne peut s'empêcher de lui annoncer :
« J'aime votre ambition, je vous laisserais peut-être cette chance »
Le fait qu'il dégouline ainsi de foi ne la répulse pas, puisque Pendor est plus ou moins devenu pareil suite au meurtre de sa famille. Elle s'apprête à répondre sur la même thématique quand l'autre la devance et chance de sujet. Là, elle a juste un éclat de rire et lui annonce :
« Sire Tagar Reys ! Êtes-vous en train d'essayer de me gaver ? Je ne suis pas une oie, voyons ! »
Il a une drôle de façon d'essayer de l'engrosser. Elle se calme un peu, avant de rajouter un peu plus sérieuse :
« Ce serait avec plaisir, mais encore une fois, tâchez de demander officiellement l'autorisation de me courtiser à mon père. En un jour, cela risque d'être compliqué, mais, il est possible de passer par un télépathe »
Ce qui est soit réservé à une élite, soit excessivement cher pour une délivrance de message presque instantanée.
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