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  • Lun 22 Aoû 2022 - 23:42
    Kaizoku, la Cité des Pirates
    Kaizoku

    Histoire :

    On prétends que durant les temps les plus anciens, avant la première guerre contre les Titans, les royaumes Elfes du Grand Nord s’implantèrent sur l’île et y bâtirent une forteresse, à l’abri des regards, afin d’y mener toutes les recherches magiques qu’ils désiraient. Cependant, si ruines ils existent encore, alors elles n’ont toujours pas étés découvertes.

    Cette terre n'ayant jamais été colonisée avant la Grande Guerre contre les Titans, elle échappa aux ambitions expansionnistes des différentes factions. N'appartenant, de facto, à aucune des trois grandes puissances, elle devint tout naturellement la terre d'accueil des exilés, des fuyards, des criminelles et des épris de libertés. C'est en - 1 000 que la nation de Kaizoku émergea véritablement sur la scène internationale, devenant avec le temps la nation des pirates et devenant l'épine dans le pied de la République et de tout navire voguant dans les Mers du Sud.

    Du moins, jusqu'à son annexion par la République.

    Géographie :

    L’île elle-même est une vaste plaine, dominée par la présence d’un volcan en sommeil, le mont Héphaïs. Elle est en permanence balayée par des vents alizés réguliers, soufflant de l’ouest, qui créent un courant constant très apprécié des habitants. On trouve beaucoup de plages autour de l’île, mais peu de criques permettant l’amarrage de navire de grandes tailles. Celle autour de laquelle est bâtit la cité éponyme est presque la seule.
    On trouve quelques falaises  truffées de cavernes, tunnels et crevasses, pour la plupart accessibles depuis la mer, qui en font le repaire favori des pirates qui souhaitent établir de petites bases d’opération privées à l’écart de la cité. Les marins parlent de plusieurs grandes cavernes qui resteraient encore à découvrir et toutes sortes de rumeurs et d’histoires invraisemblables circulent au sujet des trésors, des monstres et des secrets interdits qui y seraient dissimulés.
    Grâce au mont Héphaïs, l’île est extrêmement fertile, mais le travail de la terre y est difficile à cause de l’abondance de roches nés des antiques éruptions du volcan. La plupart des fermes sont proches de la cité mais on en trouve quelques-unes disséminées sur l’île, produisant essentiellement du raisin, des olives et du blé. Le vin de Kaizoku est d’ailleurs considéré comme un excellent cru.
    Les eaux environnantes sont extrêmement poissonneuses ; on y pêche sans le moindre effort une abondance de poissons, de poulpes, d’huîtres et de palourdes. Ces richesses marines constituent la principale ressource alimentaire de la population. Les eaux peu profondes qui s’étendent autour de la cité et le long de la côte nord-ouest de l’île abritent également de nombreux bancs d’huîtres perlières. En vérité, les magnifiques perles fines que l’on y récolte constituent l’un des principaux produits d’exportation de Kaizoku.

    Culture et Économie :

    La piraterie était la raison d’être de l’île, qui accueillait à bras ouverts tous ceux qui se conformaient au code de la Piraterie, ainsi que les esclaves en fuites du Reike, les hérétiques de Shoumeï et les criminels de la République.
    Bien qu’il existait une économie basée sur les produits de la mer, la construction de navires, la fabrication de cordages et d’ autres activités similaires, l’essentiel des finances et des marchandises qui alimentaient Kaizoku provenaient du pillage des vaisseaux marchands qui sillonnaient les Mers du Sud ou des petites villes côtières mal défendues qui jalonnent les rivages du sud du Sekai.
    Aujourd’hui, si le marché noir est encore florissant et débordent de ces produits acquis illégalement, la situation tend à se normaliser, grâce à la présence du comptoir commercial de la SSG.
    Étonnamment, bien qu’il n’y ait ni temple, ni culte officiel, une importante partie de la population vénère Kaiyo, en sa qualité de Seigneur des Océans. Il s’agit là avant tout d’un culte très intimiste et personnel, aucune célébration publique n’ayant jamais été organisée.
    Du fait de son passé, c’est en ce lieu plus que nul part ailleurs que se trouve la plus grande hétérogénéité ethnique et raciale du Sekai. Ainsi, Kaizoku est également le lieu où le racisme est le moins présent et où la morale en tant que règle de conduite est la moins lourde.

    Situation politique :

    Avant l’annexion :

    Avant l’annexion par la République, l’île n’était soumise à l’autorité d’aucun roi, prêtre ou président. On n’y trouvait aucune aristocratie dûment établie, ni de potentats hégémoniques. En théorie, chacun bénéficiait des mêmes libertés, mais ne s’accompagnait d’aucun droit particuliers, ou presque, si ce n’était celui que procurent la force et la volonté d’en user. Le faible n’était pas protégé contre le fort, car s’il était faible, c’est qu’il n’avait pas la volonté d’être autre chose. Ainsi, une paix surprenant efficace c’était-elle installée sur l’île, car peu étaient ceux osant braver l’ordre établi. Les individus y jouissaient en effet d’une liberté d’action considérable et ainsi, malgré l’anarchie généralisée et le manque à peu près total de législation, la population se conformait aux règles du "Code des Affranchis".

    La seule institution que l’on pouvait considérer comme la l’entité dirigeant l’île était le Tribunal des Frères, dirigé par un Roi du Sel.

    Aujourd’hui, si les concept de Tribunal des Frères et de Codes des Affranchis n’a plus court, officiellement, sur l’île, ils restent des concepts bien ancrés dans l’esprit des citoyens.

    → Le Tribunal des Frères-des-Côtes.

    De tout les pirates parcourant ce monde, très peu accomplissent réellement leur rêves de richesse. Lorsque cela arrive, il peut se constituer une petite flotte personnel, contrôler certaines portions de côtes et quelques villages de l’île. Mais rares sont ceux capables d’aligner tant de navires qu’ils en deviennent une menace pour les autres pirates. Lorsque cela ce produit, le capitaine en question peut prétendre au titre de Frère-des-Côtes. Pour cela, il doit vaincre en duel un Frère-des-Côtes en fonction et s’il y parvient, le perdant deviendra son obligé s’il survit. Le vainqueur devient alors un des seigneur des pirates.
    Leur principal fonction était d’arbitrer les disputes entre capitaines, laissant la plupart du temps les Kaizokiens gérer leurs propres affaires comme ils l’entendent. La concurrence et les rivalités étaient rudes entre Frères-des-Cotes et certains d’entre eux nourrissaient de solides rancunes à l’égard de leurs confrères. Ils étaient toutefois conscients qu’ils n’avaient aucun intérêt à rompre le statu quo et évitaient donc d’entrer en guerre ouverte.
    Pour garantir cet état, ils élisaient un des leurs en tant que Roi du Sel, lui accordant ainsi la prédominance sur tout les pirates du Sekai. En grande partie, ce n’était qu’un titre ronflant, mais la symbolique de sa fonction, lui qui arbitraient les dissensions entre Frères, en faisait un engrenage vital dans le processus de paix entre forbans.

    → Le Code des Affranchis.

    Code d’honneur de la piraterie, qui légiférait autant les navires des bandits des mers que l’île avant son annexion, il rédigé suite à la révolte qui vit les esclaves acquérir leur liberté. Il met à la fois l’accent sur la liberté individuelle et sur la loyauté qu’un individu doit à son capitaine, ses compagnons d’équipage et son navire, le tout dans cet ordre. Certains le considère comme un texte de loi inaliénable que personne ne peut s’autoriser à enfreindre, d’autres comme une sorte de guide législatif qui peut être sujet à interprétation. Quoi qu’il en soit, tout les Kaizokiens le connaissent par cœur et en connaissent les différentes règles, ne serait-ce que pour sauvegarder leur peau.

    Si on y trouve toutes les exigences qu’impose une vie en mer ainsi que le respect de l’ordre social, il repose surtout et avant tout sur une notion très simple : « la force prime sur le droit. ».

    Depuis l’annexion :

    L’Île est sous le contrôle militaire et politique de la République.

    Officiellement, la loi et l’ordre règne sur toutes les portions de l’île, la population semblant plutôt bien s’accommoder de la domination républicaines. Cependant, cet état de fait est surtout à considérer pour les plus riches bourgeois de l’île, qui voient en cette annexion l’opportunité rêver pour s’immiscer dans le riche marché continental. Les gens du commun, eux, ont encore en tête les valeurs prônées par le Code des Affranchis et de la liberté qui était la leur jadis.

    En réalité, même si beaucoup ont périt durant l’invasion, les Frères-des-Côtes survivants continuent la lutte, refusant de se voir spoiler leur liberté sacrée. Aux yeux des habitants, ils sont les Vrais Frères, aux yeux des autorités Républicaines, ils sont les Renégats.

    Aujourd’hui, Kaizoku est sous la coupe de la Loi Martial. La GAR dispose de tout les droits pour surveiller, fouiller et arrêter et un couvre-feu est instauré jusqu’à nouvelle ordre. Un Conseil Militaire dirige les aspects plus pragmatiques, en attendant que soit défini le statut officiel de l’île. L’unique lieu échappant à l’autorité militaire est le comptoir commercial de la SSG.

    L’Invasion de Kaizoku par la République.:

    "Depuis la rébellion de Kaizoku (juillet an 4) :

    L’île est toujours officiellement sous le contrôle de la République depuis qu’une armada pirate soutenue par l’Assemblée a tenté d’en dérober la possession pour en faire son quartier-général avant d’attaquer le continent. L’éruption du volcan a réduit en cendres une partie de la ville et des champs qui l’entouraient, suite à quoi les survivants se sont attachés à la tâche de la reconstruction.

    Si la République participe légèrement à l’effort de réparation, tout comme une poignée de pirates, les habitants sont davantage livrés à eux-même. Ils procèdent petit à petit, en commençant par le port, relativement épargné grâce à l’aide du Kraken, puis la ville autour en cercles concentriques.
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