.Kris est un élémentaire âgé de 221 ans avec un visage anguleux et au teint pâle. Il possède une demi-longueur de cheveux raides châtains clairs, qu’est pour la plus grande partie du temps en pagaille, le tout, ornementé d’une barbe de 3 jours à la limite de l’entretenue. Étant de naissance un élémentaire du vent, ses cheveux et poils de barbes ont comme une impression et nager parmi le vent.
Les années de manutention et de course qu’il fit sculptèrent son corps suffisamment pour que les muscles soient apparents.
Ses yeux sont d'un blanc argenté plutôt sombre presque comme décoloré, avec des taches de brun/marron au centre de l'iris et possède une cicatrice prédominante au milieu de visage dû à une bagarre dans un bar (qu’il n’a évidemment pas causé).

         La discussion est un art qu’il aime bien utiliser pour tenter d’entourlouper son interlocuteur (et bien trop souvent se défaire de situations compliquées). Son univers lui a bien fait comprendre que sa personne devait passer en premier pour pouvoir survivre et que pour ça, tous les moyens étaient possibles.

         Il ressent pour les individus qui se définissent un objectif clair et qui s'y conforment un grand respect, allant presque à l'admiration. Non pas de par leur dévotion, mais parce qu’il y voit une sorte de limitation que les individus sont prêts à s’infliger pour attendre leur but.
C’est pourquoi il respect profondément les personnes ayant des responsabilités importantes tout en les évitant le plus possible (très probablement aussi parce que très souvent en voir une veut aussi dire que les problèmes arrivent).

          .Kris est un enfant né de flibustier. Depuis sa petite enfance, il navigue avec un équipage qu'il tient pour sa famille ; bien que, dans un premier temps, sa jeunesse ait pu rendre difficile sa participation, il a rapidement acquis les réflexes nécessaires à sa survie face aux attaques.
Après quoi, l'heure était venue pour lui aussi de prendre les armes et participer afin de gagner son dû et sa place.
         L'équipage remportait victoire après victoire, et leur nom devint vite connu, leur réputation croissante se répandant délicatement à travers tout le continent. Ce qui peut sembler invraisemblable, c'est que nous ne visions qu'un seul type de cible : des pirates de notre propre confrérie. Le jeune garçon n'a jamais vraiment compris la raison profonde, mais ce qui le captivait avant tout, c'était la joie qu'il ressentait à s'approcher du navire ennemi pour le piller et distribuer ensuite le butin rassemblé pendant la bataille avec le reste de l'équipage.
         Les années passèrent et les conflits se multiplièrent, entraînant de plus en plus de monde dans les abysses marines, que ce soit de notre côté ou de celui qui nous opposait. La difficulté des batailles ne cessait de s'accroître au fur et à mesure que le temps s'écoulait tandis que le nombre des ennemis semblait grandir infiniment. Jusqu'au jour où nous avions fini par être encerclés.
         Tandis que nous nous étions rassemblés dans la cabine du capitaine pour planifier notre prochain mouvement, ma mère s'est subitement redressée, comme si elle avait perçut que quelque chose était sur le point de se produire.
L'océan était devenu d'un calme plat, si bien que le navire ne tanguait plus. Le vent cessa, et nous souilla de son air iodé. Le bruit se fit de plus en plus rare, jusqu'à complètement s'éteindre, et le silence prit sa place, étourdissant de par son intensité. C'est lorsque mon père s'apprêtait à s'exprimer que nous avons perçu les détonations des navires ennemis, qui résonnaient comme un grondement de tonnerre.
         Chaque sensation vibratoire et chaque son qui parvenait aux oreilles de l'adolescent lui semblaient interminables. Une fois la porte ouverte par un membre, il vit des éclats voler dans toutes les directions. L'individu qui se tenait face à lui à ce moment-là s'évapora, ne laissant derrière lui qu'un immense trou dans la pièce et une section du cockpit endommagée. Il tourna la tête et vit sa mère se ruer sur lui après avoir pris une petite boite. Elle le prit dans ses bras et se jeta par-dessus bord pour atterrir dans l'eau glaciale.
Avec son visage éblouissant, éclairé par l'eau et la lumière provenant des explosions à bord du bateau, elle esquissa un sourire en direction de son fils.

- Ton père et moi ne t'avons pas tout dit sur ta nature, mais tu le découvriras bien assez tôt. Part pour Courage et cherche le patron de la taverne. Alors tu découvriras tout.

         Après quoi, elle partit nageant en direction d'un navire qui semblait briller au loin. On aurait dit que l'eau s'ajustait délicatement à sa morphologie, autorisant ainsi une nage souple et sans contrainte. Les compagnons qu'étaient toujours en vie se manifestèrent à leur tour, et firent de même. L'eau semblait se tordre à leur désir les laissant se déplacer aussi rapidement qu'un navire.
La suite n'était plus visible des yeux de Kris, mais cela ne l'empêcha pas de voir les tirs de canon ou de magie changer de cibles pour attaquer celui qui venait d'être pris d'assaut par son équipage.
Un bruit ressemblant à un plongeon fit écho dans ses oreilles, très proche de lui. C'était son père.

- Rapproche-toi de moi, vite ! Cria-t-il tandis qu'il s'active à des mouvements, pour retrouver son sabre et ce qui ressemblait à un badge. Prends-les et garde-les bien contre toi ! Surtout ne t'en défait pas et fait ce que ta mère t'a demandée !

Sa vision se mit à se troubler et la prochaine chose que Kris aperçut après une brève période de ténèbres était un plafond ouvert coupé par des cordages que l'on pouvait retrouver sur des bateaux. Des chuchotements semblaient s'amenuir et une tête apparut dans le coin de sa vision.

- T'es qui toi ? S'exclama une vieille voix rauque provenant de derrière un vieux comptoir.


Le jeune homme examina ses alentours, l'esprit saturé des événements. Ne sachant pas quoi faire, il se releva afin d'atteindre le comptoir. Il posa sur le bureau l'ensemble de ses effets personnels, à l'exception du badge de son père qu'il tenait toujours dans sa main, car il l'avait inconsciemment serré trop fort.

- Tu vas bien petit ? Continua la personne en s'exprimant avec un ton qui suggère un intérêt plutôt faible envers le jeune.

Kris leva une tête avec regard hagard en direction du vieil homme qui visiblement tenait le bar. Il semblait bien portant.

- Où sommes-nous ?

Le vieil homme semblait gêner de cette question, comme s'il espérait que le petit ne lui réponde pas afin qu'il puisse juste le jeter dehors. Avant de lui répondre, il regarda dans les alentours espérant trouver des personnes prêtes à prendre sa place. Ne réussissant pas à dénicher ce qu'il recherchait, il laissa échapper un soupir.

- On est à Courage ici. Plus particulièrement à "La dernière voile". Il le scruta attentivement en veillant à ne pas s'approcher trop près de lui. T'es venu pour boire ? T'as le sou pour au moins ?

Aucune réponse ne l'attendit. Kris n'était plus motivé pour s'adonner à une activité quelconque, à l'exception de siffler la mélodie que l'équipage entonnait lors de leurs retours victorieux. Après quelques secondes, alors que le vieil homme était sur le point de l'arrêter, le minet s'arrêta et se retourna comme si quelque chose d'inattendu venait de se produire. Il avait les yeux grand ouvert en direction de l'entrée.

- On ne siffle pas dans ce bar. Tu ferais mieux de t'arrêter maintenant. Dit-il d'une voix agacée.

Kris sortit de l’établissement, laissant ses affaires sur le comptoir et se remit à siffler le même air. C'est alors qu'il entendit d'autres voix accompagner la sienne, continuant sa mélodie même après son arrêt. Le vieil homme le rattrapa, ses affaires à la main et l'attrapant par le bras avec l'autre main.

- Ça suffit maintenant ! Qui es-tu et qu'es-tu venu faire dans ma taverne ?

Sa voix rauque et grave, accentuée par la colère, le prit par surprise.

- Je… Je suis à la recherche du propriétaire de la taverne. Dit l'adolescent en exhibant le badge qu'il avait dans sa main.

Malgré sa colère évidente, il prit le badge afin de l'examiné et comprit visiblement sa situation. Compatissant pour le jeunot, il lui fit geste de le suivre tout en rebroussant chemin lentement.

- Je suis désolé pour ta perte gamin, mais j'ai pas le temps de m'occuper de toi.

Kris se plaça devant lui, les bras écartés, lui signifiant clairement qu'il devait stopper sa progression.

- Attendez, mes parents m'ont demandé de venir vous voir. Je dois au moins savoir ! Vous êtes tout ce qu'il me reste !

Le vieil ne pouvant résister à son regard fini par lui donner réponse.

- Suis-moi.

La voix du vieillard manquait manifestement de zèle pour démontrer un mécontentement et son visage démontra une tristesse que Kris n'avait alors jamais vu jusque là.
Lorsque le vieil homme traversa la taverne, quelques individus qui étaient sur le point de se lever se stoppèrent en voyant le geste de main du tavernier. Il sollicita son remplacement et franchit une porte qui amena à une pièce propre, mais dont son rangement n'était visiblement pas leur priorité. Il semblerait que cette pièce servait soit de débarras, soit éventuellement de cuisine, qui sait ?
Après que le petit entra, Il ferma la porte et lui sortit un tabouret dont il manquait un pied, sur lequel il pouvait s'asseoir. Quant à lui, il prit place sur un énorme fauteuil mal en point.

- Je m'appelle Gualard Whistlestorm. Le badge que tu as apporté, appartenait à mon fils.

Kris écarquilla les yeux de stupeur et souhaita se lever, mais fut arrêté par le même geste de la main qu'il fit précédemment. Après un petit délai, il finit par reprendre ses esprits, les yeux rivés sur le badge.

- En ce qui te concerne... de ce que tes parents m'ont dit, tu n'es pas d'eux. Ils t'ont pris avec eux lorsque tu n'étais qu'un petit gamin. Tu étais apparemment dans une ruelle affalé sur le sol, blessé et avec une grande fièvre. Ils t'ont pris sous leur aile et t'ont élevés comme si tu étais leur enfant. Ils m'ont raconté qu'un jour alors que vous étiez en train de célébrer un retour triomphal dans une taverne, un mage était venu les voir pour parler de toi. Et avant que tu ne poses la question, je ne sais pas qui c'était.

Il posa le badge sur la table qui séparait les deux interlocuteurs et a délicatement soulevé le couvercle de la boîte à bijoux que Kris avait avec lui. Celle-ci contenait de très jolies pierres précieuses valant chacune une petite fortune. Il la referma avec autant d'attention et poussa un soupir afin de se préparer à ce qu'il allait annoncer.

- D'après ce mage, tu serais un élémentaire. Ne me demande pas comment il l'a su, je n'en ai aucune idée et ce genre de chose me dépasse.

Le jeune garçon posa sa tête dans le creux de ses mains, troublé par tout ce qu'il venait de découvrir. Après quelques secondes, afin de laisser le temps à Kris d'assimiler tout ce qu'il vient d'apprendre, l'homme âgé se leva et vint près du jeune adolescent pour poser sa main sur son épaule comme signe de réconfort.

- Ce que tu comptes faire à présent ne te concerne que toi. Je serai là pour te loger et nourrir. Tes parents m'ont laissé assez d'argent pour, mais aussi pour que tu puisses recevoir une éducation qui te permettra de te débrouiller un peu partout. C'était un de leur souhait, si jamais quelque chose venait à leur arriver. Cependant, sache une chose. Ta vie est en péril. Tes parents étaient des corsaires à la solde de la république et le nombre de pirates que vous avez emmerdés n'est pas petit. Ni leurs noms d'ailleurs.

L'ancien partit se rapprocher de la porte qu'il ferma plus tôt. Il y posa sa main sur la poignée, prêt à repartir faire son boulot.

- Je devrai pouvoir te faire gagner assez de temps en t'hébergeant ici pour que tu puisses réaliser les vœux de tes parents. Mais si jamais quelque chose devait m'arriver, tu devras t'enfuir plus profondément dans la basse-ville. Je suppose que tu sais ce que ça implique, n'est-ce pas ?

Kris acquiesça de la tête et Gualard partit reprendre son travail, laissant l'adolescent seul.


         .Après cet événement, quelques années ont suivi. Kris fit ce qu'il devait. Il apprit et s'entraîna. Fit son travail et parcourra les alentours parfois allant jusque dans les profondeurs de la basse-ville. Il y fit des découvertes, s'apporta des ennuis et des rencontres, mais jamais rien de bien sérieux.
Néanmoins, un jour, un vaisseau pirate surgit au port et se distingua avec des ornements particuliers qui portaient des marques d'or dégradées par le temps, le vent et la mer.
         Kris était sûr que c'était l'un des vaisseaux qui l'avait attaqué plus jeune et partit donc immédiatement en sa direction afin d'y enquêter. Le bateau était très clairement mal entretenu. Le bois se décomposait, les cordages étaient sur le point de rompre et plusieurs voiles présentaient des déchirures. Mais c'était bien l'un d'entre eux ! L'effigie qu'il arborait était pour sûr celui d'un pirate. Hormis quelques marins qui avaient choisi de rester en retrait pour se reposer ou parce qu'ils avaient trop bu, il n'y avait aucun signe de vie.
         Ayant réussi la filature sans vraiment se donner de mal, il s'engagea dans la cale du bateau et ne trouva rien de particulièrement intéressant. Des babioles tout au plus et des peintures poussiéreuses. Il en sortit donc pour cette fois-ci aller dans la pièce du capitaine où il y découvrit des documents. Certains datant d'il y a plus de 10 ans, parlant de navire correspondant à celui de ses défunts parents. De leur nature de corsaire au service de la République et de leur ordre de l'abattre à vue.
Kris prit de rage serra les documents dans sa main balançant le reste par-dessus la table, ouvrit la fenêtre et partit en volant discrètement grâce à sa magie.
Il resta alors patiemment tapis dans l'ombre d'un amas de caisses sur le côté du navire à attendre le retour de l'équipage, fredonnant les paroles des chansons qu'il chantait autrefois.

         La nuit était tombée, les lampes s'allumèrent et l'équipage commença à revenir tous avec le rire aux lèvres et des pintes aux mains. Il attendit qu'ils embarquèrent tous pour les suivre et s'agrippa à leur navire le temps que celui-ci s'éloigne suffisamment. Après quelques bonnes minutes, le navire ralentit jusqu'à ce que la troupe du bateau jette l'ancre pour la nuit.
Une fois qu'il eut passé le pont sans faire de bruit, il employa sa magie pour faire gîter le bateau et mettre tout le monde en état d'alerte. Il était grand temps pour Kris de libérer toute la tension accumulée au fil des années, ayant été incapable de faire autre chose que de ruminer le souvenir de la perte de son ancienne vie.
         Il esquissa un sourire en voyant les matelots s'agiter avec entrain. Le rire lui vint lorsqu'il les vit se démener face à ses attaques ininterrompues, et les cris qu'il entendit le délivra du poids causé par le temps. Il les abattit les uns à la suite des autres, sa rage ne cessait de croître et une fois la cabine du capitaine atteinte, il s'arrêta un instant, réalisant ce qu'il venait de faire.
         Fin prêt à en finir, avec une grande bourrasque de vent, il ouvrit les portes et érupta dans la pièce faisant valser les papiers encore au sol d'il y a quelques heures. Le capitaine gisait, ivre mort au milieu de plusieurs bouteilles de vins, avec à ses côtés un sac en toile trempé de sang. Chaque goutte qui tomba sur le parquet retentissait à ses oreilles comme les souvenir de la confrontation des boulets de canon sur la paroi du navire. Celles-ci s'écoulaient visiblement depuis un bon moment au vu de la petite flaque qui s'était formée au pied de la table.
En l'ouvrant, il pleura toutes les larmes que son corps pouvait lui permettre. Laissant très lentement découvrir le visage de son grand-père. Les larmes cédèrent la place à une colère sans précédent. Ses doigts devinrent transparents, le vent se faufila entre ses doigts et ses yeux devinrent aussi blancs que la lune. Sa chevelure s'éleva et ses vêtements virevoltèrent avec les secousses qu'il engendra. Il anéanti tout ce qu'il pouvait atteindre, jusqu'au point d'en être exténué.

         Lors de son accès de violence, Kris coupa la chaîne qui liait le navire à l'ancre, ce qui le fit voguer sur les crouants menant jusqu'au large de Courage à l'aube du nouvelle journée et où le soleil commençait tout juste à montrer quelques rayons de soleil, accompagné d'une brume formée dû au changement de température provoqué par ses actions de la nuit passée.

Effondré sur le bois, il se mit à siffler le chant de sa famille. Le vent l'accompagna, le faisant remémorer ses souvenirs d'antan.



         .Le temps continua son chemin, entraînant avec lui de très nombreuses années. Les on-dit d'antan se transformèrent en mythe et en légende. Offrant des contes que les marins se plaisaient à échanger pour se divertir et s'épouvanter.

Au comptoir d'un bar, une jeune mousse y vint gaiement et sifflotant, heureuse d'y mettre son premier sou pour obtenir une bière après un travail bien mérité.
Un vieil homme ayant visiblement bien trop bu pour son bien l'interpella brutalement en faisant retentir sa choppe sur le vieux bois du comptoir.

- T'es-tu déjà demandée pourquoi les marins ne veulent pas entendre de sifflement ? Dit-il d'un ton dédaigneux.

La jeune femme trop intimidée, tourna simplement la tête de droite à gauche.
Le vieillard se rapprocha alors de son oreille, son haleine se faisant sentir et empestant un mélange d'alcool et de mauvaise hygiène, pour lui chuchoter ses mots :

- On raconte que les vents s'en retrouvent attirés et captivés. Que les tempêtes s'en délectent et dansent sur la mélodie...

Un sourire malicieux et dénué de plusieurs dents se dessina sur le visage du marin vétéran.

- Et que le diable y voit là, son invitation.

Le tintement d'une cloche retentit, signalant aux marins des environs la venue d'un vaisseau. Sa douce arrivée, accompagnée malgré cela d'un état déplorant, ne pouvait préparer à la scène que son pont dépeigna qui fit frémir tous les marins qui l'aborda. Soudainement, l'écho de l'air chanté par la demoiselle se fit entendre aux alentours.
Le vieil homme et la jeune femme étaient sortis voir de quoi il en retournait.

- Il t'a entendu, petite.

Le vieillard s'enferma de nouveau dans l'établissement, arborant un air renfrogné, ayant vécu cette scène plus souvent qu'il ne l'aurait souhaité.
Même après un grand laps de temps, Kris poursuivit ses habitudes, provoquant des frissons chez les pirates et toujours accompagné d'une mélodie qui s'harmonisait désormais parfaitement avec les vents salés.

- Piraterie : Étant fils de pirates (ou pas ?), pour lui, rien n'est plus important que la mer, son étendu et ce qui peut encore s'y cacher (même si ce n'est pas toujours une bonne chose). Mais après les évenements passés, les pirates sont pour lui tout ce qu'il y a de plus méprisable sur cette terre.

- Pègre : Il a fait quelques travails pour eux. Il ne les apprécit par particulièrement, mais ils payent bien et c'est ce qui compte.