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Citoyen de La République
Vanay Vyldrithe
Messages : 96
crédits : 1272
crédits : 1272
Info personnage
Race: Drakyn
Vocation: Guerrier assassin
Alignement: Chaotique Neutre
Rang: C
Vanay Vyldrithe
Race : Drakyn
Sexe : Féminin
Âge : 33 ans
Métier : Serveuse bonus Danseuse
Taille & poids : 2 M pour 190 kg
Alignement : Chaotique Neutre
Faction : République
Rang : C
Religion : Shierak
Avatar : Indrys - AmaDench
Pouvoirs et objets
Vocation : Guerrier
Sous-spécialisations : Assassin
Immunité : Psychique / Faiblesse : Poison/Venin
Capacité :
* Séduction - Palier 1
* Invisibilité - Palier 1
* Métamorphose - Palier 1
* Nyctalopie - Palier 1
* Vue augmentée - Palier 1
* Odorat augmenté - Palier 1
* Invocation d'objets - palier 1
* Élémentaires - Feu - Palier 3
* Vol Palier 1 - Cosmétique : Fait apparaitre de larges ailes de wyvern rouge afin de voler.
possession :
* Une épée : caché dans son armoire.
* Une Dague : rangé dans le tiroir centrale de sa coiffeuse.
* Une petite Lame rangé au même endroit que la Dague.
* quelques bijoux breloque qui lui servent à se mettre en valeur et à se rendre plus désirable.
* Une boîte contenant : deux rubons de soie (1m50 Longeur/ 5cm Large X 2) un rouge et un vert émeraude et une Cravache avec un bouton en laiton gravé d'une initiale.
Description physique et mentale
Un corps longiligne à la délicieuse couleur et douceur de pêche, recouverte d’audacieuses petites écailles mettant en valeurs ses atouts visibles et ceux moins visible… plus intime.
Vanay ne s’en cache pas, elle est parfaitement au courant de l’intérêt que peut susciter son corps chez les hommes. Elle l’a très bien compris et, au fil des années, a fini par l’intégrer à sa manière de vivre. Un moyen comme un autre d’obtenir des faveurs et du plaisir dans cette vie toute relative de tranquillité qu’elle s’est choisie.
Ses yeux ambre et tacheté d’or observent souvent les étoiles à la recherche de quelques possibles réponses à ses nombreuses questions. Ses lèvres roses, teinté d’un maquillage rouge comme sa longue chevelure onduleuse, murmure de très nombreuses prières à la lune mère sur son petit autel de fortune.
Le tout est supporté par deux grandes jambes draconique et une longue queue préhensile.
Tant qu’elle peut, elle aime mettre en valeur son corps et son visage par divers vêtement et autre bijoux breloque. Ses oreilles ont de nombreuses petites boucles et sur sa queue sont glissés quelques anneaux.
Vanay, ou Vany de son nom de scène, est chaleureuse avec à peu près tout le monde. Le visage souvent paré d’un grand sourire qui invite à la fête et régulièrement au plaisir de la nuit. Vany écoute, Vany aide, Vany danse…. Vanay est amère.
Vanay porte un masque pour cacher son cœur triste qui tente d’oublier son passé. Elle essaie, tant bien que mal, de vivre comme si celui-ci n’avait jamais eu lieu. Que tout ce qu’elle avait vécu n’était qu’un simple rêve.
Dans les plaisirs de la nuit, elle se plonge à corps perdu. De proie elle est devenue chasseresse. N’hésitant pas à utiliser ses compétences pour arriver à ses fins. Sa seule limite, la menace qu’elle soit physique ou non. Elle s’y refuse totalement vue qu’elle même l’a subit. Elle sera celle qui maîtrise et non plus celle qui est soumise.
Vanay ne s’en cache pas, elle est parfaitement au courant de l’intérêt que peut susciter son corps chez les hommes. Elle l’a très bien compris et, au fil des années, a fini par l’intégrer à sa manière de vivre. Un moyen comme un autre d’obtenir des faveurs et du plaisir dans cette vie toute relative de tranquillité qu’elle s’est choisie.
Ses yeux ambre et tacheté d’or observent souvent les étoiles à la recherche de quelques possibles réponses à ses nombreuses questions. Ses lèvres roses, teinté d’un maquillage rouge comme sa longue chevelure onduleuse, murmure de très nombreuses prières à la lune mère sur son petit autel de fortune.
Le tout est supporté par deux grandes jambes draconique et une longue queue préhensile.
Tant qu’elle peut, elle aime mettre en valeur son corps et son visage par divers vêtement et autre bijoux breloque. Ses oreilles ont de nombreuses petites boucles et sur sa queue sont glissés quelques anneaux.
Vanay, ou Vany de son nom de scène, est chaleureuse avec à peu près tout le monde. Le visage souvent paré d’un grand sourire qui invite à la fête et régulièrement au plaisir de la nuit. Vany écoute, Vany aide, Vany danse…. Vanay est amère.
Vanay porte un masque pour cacher son cœur triste qui tente d’oublier son passé. Elle essaie, tant bien que mal, de vivre comme si celui-ci n’avait jamais eu lieu. Que tout ce qu’elle avait vécu n’était qu’un simple rêve.
Dans les plaisirs de la nuit, elle se plonge à corps perdu. De proie elle est devenue chasseresse. N’hésitant pas à utiliser ses compétences pour arriver à ses fins. Sa seule limite, la menace qu’elle soit physique ou non. Elle s’y refuse totalement vue qu’elle même l’a subit. Elle sera celle qui maîtrise et non plus celle qui est soumise.
Histoire ou test-rp
- Bouton de Rose sur sable brûlant:
- Je suis née en Taisen dans une famille plutôt modeste et, comme pour la plupart des gens de Reike, j’ai effectué mon service militaire. Disons plutôt que, sur fond d’honneur, de gloire et de fierté, j’ai été très fortement poussée à le faire.
Bouton de rose dans ce désert aride, la petite fille que j’étais s’est vue s’oublier et se laisser ensevelir par le sable de Reike et son obsession maladive de former des molosses bien obéissant et galvanisé par le sang.
Moi, effrayé par de simple haussement de voix, je fus poussé dans ce milieu de brute qui a fait de la peur une maîtresse envahissante au susurre tonitruant.
C’est donc, sans surprise, que ma première année de service militaire fut un désastre. C’est aussi dans ce désastre que ma famille s’agrandit. Un petit frère vit le jour et fut prénommé Ulthiat. Petit être si fragile qui amplifia mes angoisses. Cette peur de voir le sable brûlant marquer la chaire de ce nouveau-né.
Ô comme la peur aime prendre des formes séduisantes et tromper sur ce qu’elle est vraiment. Tantôt bonne conseillère, souvent irrationnelle la voilà mettre en avant sa nouvelle identité, celui de la colère. Pour mon frère, je désirais devenir un petit molosse obéissant.
Par la suite, une colère profonde me tenait au tripe, une rage que je ne me connaissais pas, mais qui eut le mérite de me faire avancer et de me permettre de progresser. J’étais passée de celle qui se laissait abattre à celle qui sautait à la gorge de l’adversaire.
Les années passèrent sans trop de problèmes. J’étais remontée dans l’estime de beaucoup et, même si je ne faisais pas partie des meilleures, je n’étais plus un bourgeon. J’avais gagné en épine et je devenais chaque jour un peu plus une rose.
- Les belles fleurs n’attirent pas uniquement les abeilles:
- Jeune molosse au minois trop beau pour son bien. Voilà que j’attirais les regards. En avais-je conscience ? Non, absolument pas. Je n’avais que la rage au ventre et les seuls moments où je lâchais les armes, où je desserrais la mâchoire s’était en présence de mon frère. Quand je pouvais être sure qu’il ne serait pas engloutie par la brutalité de ce monde.
Si seulement cela n’avait pas changé… Il est arrivé comme un coup de masse qui force la personne à tomber dans les songes. Je n’étais pas bien grande et lui paressait gigantesque.
Le corps sculpté pour être un soldat parfait, un visage carré au regard bleu presque blanc capable de transpercer une armure. Une chevelure blanchie par le temps sur un visage durcie. Des cornes couleur ivoire et des écailles parsemant son corps. Une trentaine ou quarantaine d’année de plus que moi.
Lui ? C’était un professeur. Il était même, parait-il, très bon dans son domaine. Il ne laissait pas les gens indifférant et des bruits de couloir racontait qu’il avait tendance à donner des cours particuliers.
J’aurais aimé que cela ne reste que des bruits de couloir. C’est à la fin d’un cours qu’il m’intima l’ordre de rester. Il devait « voir avec moi comment améliorer l’utilisation de mes compétences et de mes atouts pour maximiser mes chances de rentrer dans l’université de Drakstrang ». Qu’est-ce que j’étais ignorante et innocente.
il n’y eut rien d’ambigu au départ et les cours particuliers qu’il me donnait en était belle et bien. Simplement, il attendait que j’atteigne une certaine maturité, un certaine âge… En bref, il préparait le terrain. Comme une araignée prépare sa toile en vue de ses futures proies. Je devenais le papillon qui s’en approchait dangereusement en se laissant hypnotiser par la beauté de la toile.
Ô comme la peur est traîtresse. Elle qui s’était couvert le visage du masque de la colère et de la méfiance, la voila jouer les aveugles en se voilant la face et se laissant bercer par une voix caverneuse et suave. La Peur qui se laisse amadouer par de douces paroles et de faux-semblant.
Entraînement comme les autres, il n’avait pas été tendre ce jour là. Quelque chose l’agaçait et j’en faisais les frais… Un coup du plat de l’épée au mollet plus puissant et douloureux me fit chuter.
- RELÈVE TOI ! Grognait-il le regard ronger par la colère.
J’avais eu à peine le temps de me relever qu’il m’assena un nouveau coup au niveau des côtes qui me fit tomber de plus belle. En temps normal, il m’aurait laissé me redresser après un coup aussi dur… Mais pas ce jour là.
- PLUS VITE ! Qu’il vociféra avant de lancer son pied en direction de mon ventre.
Le coup fut si fort, même en mettant mes bras pour me protéger, je fus projeté quelques mètres plus loin avec la sensation d’avoir été brisé en deux. Allait-il s’arrêter ? Pas sous la colère.
Pas après pas, je le voyais s’approcher alors que j’étais à terre le souffle coupé.
- A… Arrêtez… je… peux plus…
Pas après pas… je sentais son regard, de colère, me transpercer de part en part.
Un autre coup de pied me fit encore plus reculer. Telle une poupée de chiffon j’avais roulé sous le coup. Ce jour là, j’avais fait connaissance avec sa colère… Sa vrai colère. C’est bien des années après que j’ai pris conscience de son origine. Il avait probablement du perdre son emprise sur une de ses victimes.
- De son Jardin Le Diable en a fait une prison :
- Quelques semaines s’étaient écoulées avant que je puisse reprendre son entraînement. Il était « pris ailleurs » et m’avait simplement dit qu’il fallait que je devienne plus agile.
Je l’ai cru.
Il disait à ma famille, qu’au vu du niveau de l’université, les entraînements allaient devenir beaucoup plus rude.
Ils l’ont cru.
Comment remettre en doute sa parole ? Lui qui promettait à ma famille que leur fille deviendrait une guerrière de Talent.
Il est vrai que je ne vous ai pas dit où avait lieu ces entraînements. Comme la vie « fait bien les choses » cette personne possédait une charmante demeure suffisamment éloigné pour agir plus ou moins comme bon lui semble. Avec suffisamment d’espace dans l’arrière de sa cour pour pratiquer l’entraînement. L’intérieur était très propre et je dirais même très à « son image ». De la droiture, de l’honneur et de la fierté tant et si bien qu’une caserne militaire semblait plus chaleureuse et accueillante.
Un soir, après l’entraînement quotidien, il m’annonça qu’il allait m’apprendre à danser. La raison ? Qu’il serait dommage de ne pas savoir mettre en valeur mon corps et, par la même occasion, d’utiliser mes charmes comme arme. J’avais 17 ans à cette prise de décision… Je ne connaissais rien à la vie. De toute façon, avais-je mon mot à dire ?
À cette annonce, j’avais senti des sueurs froides me parcourir l’intégralité de ma colonne. Le ton de sa voix n’avait pas changé mais j’y avais perçu quelque chose. L’espace d’un instant, le papillon avait aperçu l’araignée avant de retomber sous le charme de la toile.
Ô peur, toi, conseillère de ma survie, te voilà qui m’oublie. Toi qui m’as appris à sortir les griffes, te voilà qui me les confisque. Tu as troqué ma liberté contre un collier.
Les cours de danse se passaient dans son étude. Il s'asseyait sur son bureau et me dictait les mouvements. Je mentirais en disant que je n’appréciais pas ces instants de calme. Il était plus doux dans sa façon de parler et me complimentait plus souvent là où, pour les entraînements physiques, il se montrait dur comme un coup masse.
Le problème étant qu’il avait faim. Et depuis le temps que la bête attend, elle perd patience.
Il lui arrivait d’attraper quelques mèches de mes cheveux et les sentir en me lançant un compliment. D’autres fois, c’était des caresses sur la joue… Quand cette faim le travaillait trop, les coups tombaient violemment et sans prévention.
L’exemple le plus parlant de sa perte de contrôle. Un entraînement physique, je voyais bien que quelque chose l’énervait et j’en payais encore le pris. Les coups pleuvaient, je tentais de les parer au mieux, mais je perdais du terrain. Le mur dans mon dos se rapprochait dangereusement. Mes pas s’embrouillent et je chute en arrière. Il m’a attrapé et soulevé par le cou pour me placarder contre le dit mur. Un coup fracassant du pommeau de son arme s’abattit à côté de ma tête.
Il eut un moment de flottement. Son regard, partagé entre la colère et le désir hardant, me dévisagea tandis que, de mon côté, j’essayais de me défaire de sa prise. Il finit par desserrer sa main suffisamment pour que je puisse respirer. Il tourna son visage en direction le ciel, son autre main lâcha l’arme et retomba mollement. C’était la première fois que je le voyais dans cette position. Il donnait l’impression d’implorer le ciel de lui venir en aide. Comme s’il lutait contre quelque chose.
Cet instant de répit s’envola presque aussi vite qu’il était arrivé. La main sur mon cou se mit à descendre sur mon épaule, puis le long de mon bras jusqu’à mon poignet. Il souleva mon bras haut au-dessus de ma tête, il rapprocha la sienne de mon cou et sa main libre passa sous mon haut.
Un frisson de dégoût parcourut mon corps et, de ma main libre, je repoussais la sienne.
- Laisse toi faire…. Susurrait il m’arrachant, par la même occasion, une grimace de dégoût.
- Non… S’il vous plaît… Et je continuais de repousser sa main.
Il sortit sa tête de mon cou et vint coller son front contre le mien. Son regard mauvais et carnassier plongé dans le mien.
- Laisse toi faire... ou je ne donne pas cher de ta peau. Son timbre de voix était devenu glacial…
Je devais choisir entre le laisser briser mon âme ou bien briser mon corps. J’ai choisi l’abondons.
- C’est bien, bonne fille. Tu apprends vites.
Un sourire satisfait de l’emprise qu’il possédait sur moi et sa main voyageuse pue reprendre sa route. Remontant jusqu’au sein, petit à petit, il enleva mon haut et le sien. Sa langue suivi le pas. Il me goûtait et, plus il savourait chaque partie du haut de mon corps, plus je cloîtrais mon esprit au plus profond de mon âme.
Ce jour-là, il n’allât pas plus loin. Ce n’était ni le lieu, ni le moment il avait seulement besoin de calmer la bête en lui. Il finit par marquer son bien, moi, par une profonde marque de morsure à cheval entre ma nuque et mon cou.
- Rubans de Soie, pétale de Rose, Cuir et Sangle :
- De 17 à 20 ans… Les nouvelles « routines » ont eu le temps de s’installer.
Le ruban de Soie noir autour des yeux, les bras sanglé dans le dos, le coup relié aux cheville. Il serrait fort les liens et forçait pour obtenir les postures qu’il désirait. Il aimait me voir le corps cambré et m’entendre gémir d’impuissance et de douleur sous la tension qu’il imposait à mon corps.
- Je serais tendre avec toi. J'aimerais te préserver pour ta rentrée à l’université de demain.
Je n’avais pas besoin de voir son visage pour savoir qu’il avait ce putain de sourire sadique et satisfait. Et sa voix… Celle du lion face à son morceau de viande saignante.
« Je serais tendre avec toi » signifiait simplement que les marques les plus visibles seraient des morsures. Et encore, fallait-il que je sois obéissante.Les morsures sont l’apanage de ceux qui veulent s’approprier un corps.
- D’ailleurs, j’ai une bonne nouvelle pour toi. J’ai convaincu tes parents que tu viendrais ici durant tes jours de repos.
Il savait que cette information m’affecterait même si je ne le montrais pas. J’avais profondément espéré pouvoir avoir un peu de paix en arrivant l’université. Mais j’aurais du m’y attendre… J’étais son bien, son petit molosse bien éduqué. Il n’allait tout de même pas laisser partir tout ce dur labeur aussi facilement.
Comme promis, ce jour-là, il a été « tendre ». J’en suis sortie avec quelques marques de cravache et surtout sa morsure dans mon cou.
L’araignée a entoilé le papillon. Il n’est plus moyen d’espérer s’envoler. La beauté de la soie s’est dissipé pour laisser place au vice. J’ai tellement prié intérieurement cet espoir.La violence n’est qu’un amer message de l'amour qui ne s’est jamais confié.
Ça y est, nous y sommes. Grand jour ! grande fête ! Je me souviens ne pas avoir fermé l’œil de la nuit et l’avoir passé la tête au-dessus d’une cuve à vomir de la bile tant j’angoissais. Et la présence de mon tortionnaire n’allait clairement pas aider. Je serais sur le campus de Taisen et pas par choix.
Cette peur de la nouvelle rencontre parce que je n’en avais plus eu depuis plusieurs années. Comment fait-on déjà pour « sympathiser » ? Pour « communiquer » ? Comment fait-on tout court ?
J’ai eu la chance de tomber dans une équipe au cœur bienveillant, ce dont je n’avais plus l’habitude... Et, malgré les moments de retour à la réalité, j’avais trouvé un coin de paix toute relative.
Oui, à mes retours la bête me faisait payer le prix de sa faim. Mais que sont quelques heures de sévices contre plusieurs semaines de paix, de rire, d’amitié et… de coup de foudre.
Une année passe, puis deux, trois… Quatre… Je ne finirais jamais mes études.
Il avait compris qu’il perdait le contrôle sur son petit molosse.
J’ai eu le malheur de montrer un peu trop d’engouement pour un garçon alors qu’il m’observait d’un peu plus loin.
J’avais baissé ma garde et il est arrivé dans mon dos. Il posa sa main sur mon épaule avec une certaine pression. J’avais compris ce message et j’ai aussi compris qu’il allait me le faire payer.
- Il est temps pour nous d’y aller.
Il avait affiché son sourire de façade mais j’avais senti dans son timbre de voix le véritable calvaire que j’allais subir. C’était subtil… Mais je le connaissais. Je le connaissais que trop bien.
Je ne sais pas ce qui s’est passé dans ma tête à cet instant… Mais je me suis mise à courir.
Il ne pouvait pas me suivre au risque de perdre le contrôle de sa colère et, par la même occasion, son image.
Je me suis mise à courir pour ma vie. Je me suis mise à courir pour ma survie. Et j’ai couru si loin avec pour seul objet sur moi, mon sac avec les quelques vêtements pour les séjours au campus.
Il fallait que je parte loin.
Le plus loin possible.
Après quelques mois de vadrouille, j’ai fini par atterrir en Liberty.
Chercheuse d’emplois, je suis devenue serveuse dans une auberge tenue par une famille de nain.
Famille de nain qui m’ont, gracieusement, mis une chambre à ma disposition.
Les années se sont écoulé. Me voilà, 33 ans et, pour rien au monde, je ne reviendrais dans le désert.
Groupes d'intérêts
Shierak - Elle est croyante. Priant régulièrement sur un petit autel de fortune qu'elle a aménagé dans un coin de sa chambre.
Université de Drakstrang - Elle n'a malheureusement pas eu la possibilité de terminer ces études. Malgré son passé, elle garde un souvenir plutôt positif de son séjour dans le campus de Taisen, des nombreuses personnes qu'elle a rencontrés et des amis qu'elle avait.
derrière l'écran
Pseudo : Bunny's
Comment avez-vous connu le forum ? Une recherche google
Avis sur le forum : Il est BEAAAAAUUUU et a un très beau lore !
Fréquence de connexion : En Théorie régulièrement
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Late night devil, put your hands on me
And never, never, never ever let go
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Citoyen de La République
Vanay Vyldrithe
Messages : 96
crédits : 1272
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Info personnage
Race: Drakyn
Vocation: Guerrier assassin
Alignement: Chaotique Neutre
Rang: C
Bonj'soir !
Voilà ! j'ai fini ! Enfin je crois...
Ça fait bien 15 ans que je n'avais plus participé sur des forums Rôle Plays... Et j'avoue que je suis bien rouillée.
En remerciant Les Meujojojos du forums !
S'il faut que je procède à des modifications, je suis toute ouïe !
Voilà ! j'ai fini ! Enfin je crois...
Ça fait bien 15 ans que je n'avais plus participé sur des forums Rôle Plays... Et j'avoue que je suis bien rouillée.
En remerciant Les Meujojojos du forums !
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Bonjour à toi et bienvenue sur Cendres!
Et bien ma foi voilà une fiche... étonnament réaliste pour décrire une situation de grooming, l'histoire est saisissante d'effroi et de malaise, c'est dérangeant à la lecture ce qui marque donc à quel point ça fonctionne. Du point de vue du lore tout me semble cohérent, je n'ai cependant qu'un seul point à te faire remonter et c'est une bonne nouvelle:
Par rapport aux pouvoirs de ton perso, sache que lorsque tu achètes un pouvoir de ta spécialisation (Assassin) tu ne le payes qu'à moitié prix, ça signifie donc que ton Invisibilité ne te coûte que 250 crédits au lieu de 500, Séduction ne te coûte que 500 au lieu de 1000 etc... Il n'y a que ton pouvoir élémentaire que tu payes plein pot, avec les pouvoirs que tu as sélectionné il te reste donc encore 1950 crédits et non 800. Si tu souhaites tout mettre de côté alors soit, mais je te laisse au moins corriger les prix affichés dans ta rubrique Pouvoirs & Objets
L'autre chose que je me permet de te communiquer au passage, c'est les Groupes d'Intérêts qui sont listés ici et qui permettent en quelques clics aux autres membres de comprendre les implications de ton personnage et ce qui l'intéresse.
Et bien ma foi voilà une fiche... étonnament réaliste pour décrire une situation de grooming, l'histoire est saisissante d'effroi et de malaise, c'est dérangeant à la lecture ce qui marque donc à quel point ça fonctionne. Du point de vue du lore tout me semble cohérent, je n'ai cependant qu'un seul point à te faire remonter et c'est une bonne nouvelle:
Par rapport aux pouvoirs de ton perso, sache que lorsque tu achètes un pouvoir de ta spécialisation (Assassin) tu ne le payes qu'à moitié prix, ça signifie donc que ton Invisibilité ne te coûte que 250 crédits au lieu de 500, Séduction ne te coûte que 500 au lieu de 1000 etc... Il n'y a que ton pouvoir élémentaire que tu payes plein pot, avec les pouvoirs que tu as sélectionné il te reste donc encore 1950 crédits et non 800. Si tu souhaites tout mettre de côté alors soit, mais je te laisse au moins corriger les prix affichés dans ta rubrique Pouvoirs & Objets
L'autre chose que je me permet de te communiquer au passage, c'est les Groupes d'Intérêts qui sont listés ici et qui permettent en quelques clics aux autres membres de comprendre les implications de ton personnage et ce qui l'intéresse.
Citoyen de La République
Vanay Vyldrithe
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Info personnage
Race: Drakyn
Vocation: Guerrier assassin
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Rang: C
Bonjour !
Merci encore pour avoir pris le temps de lire son histoire !
Merci aussi pour le.... Compliment ... I guess ! Même si, je sais pas si c'est une bonne chose de savoir écrire ce genre de situation.
J'ai apporté les modifications demandées !
j'ai rajouté 3 capacités parce que c'était mon idée à l'origine
Vue augmentée - Palier 1
Odorat augmenté - Palier 1
Invocation d'objets - palier 1
et je me suis aussi permise de mettre des petits sur les chapitres touchy.
Merci encore pour avoir pris le temps de lire son histoire !
Merci aussi pour le.... Compliment ... I guess ! Même si, je sais pas si c'est une bonne chose de savoir écrire ce genre de situation.
J'ai apporté les modifications demandées !
j'ai rajouté 3 capacités parce que c'était mon idée à l'origine
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Super c'est parfait, ton expatriée reikoise devrait sans doute bien s'entendre avec Kieran Ryven, notre autre résident ex-reikois en République, hâte de suivre tes pérégrinations dans la Nation Bleue!
Te voilà validée sans plus attendre, tu chopperas bientôt tes couleurs et tes accès Discord, bon jeu et bon RP!
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