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L'Âme des Cendres
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Divinité primordiale
L'Âme des Cendres
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Citoyen du monde
Cendre
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Info personnage
Race: Humaine et ???
Vocation: Guerrier assassin
Alignement: Chaotique Neutre
Rang: D
Le début de la fin c'était quand les titans étaient revenus et puis finalement il y avait une sorte d'apocalypse, comme si le monde avait décidé de nous dire un gros merde, allez y bande de nases prenez ça dans les dents, qu'on en parle plus, vous ne méritez pas de fouler le Sekaï de toutes façons vu ce que vous en avez fait !
C'est ce que je m'étais dit quand tout était parti en couille mais à croire que j'avais un instinct de survie plutôt développé. Mourir alors que les serviteurs des titans crevaient la bouche ouverte? Que nenni ! Enfin que dale plutôt, plutôt crever que leur faire se plaisir, oui enfin non, justement, plutôt vivre pour voir leur déchéance totale.
Bref, le ménage avait été fait mais pas super bien, il y avait un hic, une c... dans le potage comme qui dirait, les morts ne restaient pas vraiment morts et ils se relevaient, pas parce que XoXo le Rat le voulait, non juste parce que c'était devenu n'importe quoi de ma puissante analyse pleine de mauvaise foi. Alors à défaut de buter des serviteurs des titans, mes journées mornes et longues me servaient à tuer des zombies.
Il fallait redoubler d'imagination pour se faire, pour se créer du challenge, du suspense, parce que bon ne croisant pas une âme qui vive, je me sentais un peu seul au monde quand même, j'ai causé un temps avec un caillou sur lequel j'avais dessiné un visage, la loose totale... Mais j'entendais du bruit au loin, des macchabées arrivaient, j'allais pouvoir m'amuser un peu, mais j'en avais assez de mes griffes, je voulais autre chose... Alors je suis entré dans une maison abandonnée de bucheron, perdue seule au milieu de la grande et vaste forêt, me voilà en quête d'une arme improvisée...
C'est ce que je m'étais dit quand tout était parti en couille mais à croire que j'avais un instinct de survie plutôt développé. Mourir alors que les serviteurs des titans crevaient la bouche ouverte? Que nenni ! Enfin que dale plutôt, plutôt crever que leur faire se plaisir, oui enfin non, justement, plutôt vivre pour voir leur déchéance totale.
Bref, le ménage avait été fait mais pas super bien, il y avait un hic, une c... dans le potage comme qui dirait, les morts ne restaient pas vraiment morts et ils se relevaient, pas parce que XoXo le Rat le voulait, non juste parce que c'était devenu n'importe quoi de ma puissante analyse pleine de mauvaise foi. Alors à défaut de buter des serviteurs des titans, mes journées mornes et longues me servaient à tuer des zombies.
Il fallait redoubler d'imagination pour se faire, pour se créer du challenge, du suspense, parce que bon ne croisant pas une âme qui vive, je me sentais un peu seul au monde quand même, j'ai causé un temps avec un caillou sur lequel j'avais dessiné un visage, la loose totale... Mais j'entendais du bruit au loin, des macchabées arrivaient, j'allais pouvoir m'amuser un peu, mais j'en avais assez de mes griffes, je voulais autre chose... Alors je suis entré dans une maison abandonnée de bucheron, perdue seule au milieu de la grande et vaste forêt, me voilà en quête d'une arme improvisée...
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Citoyen du Reike
Lardon
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Info personnage
Race: Hybride
Vocation: Mage soutien
Alignement: Loyal neutre
Rang: C (RSAF)
Qu'était-ce donc ? On aurait dit un serpent de fer et de cuir, enfin d'une matière proche mais différente qu'il ne connaissait pas, un contenant était pourvu de brettelles sûrement à destination d'être porté dans le dos, il y avait également des espèces de poignées, l'objet donnait l'impression d'une arbalète d'acier de forme tubulaire avec des manches d'épée pour la tenir. La gâchette semblable à celle des lanceurs de carreaux lui permettait instinctivement de savoir dans quel sens le prendre en main mais il ne voyait pas où insérer les projectiles, se trouvaient-ils dans le contenant ?
Après avoir enfilé la réserve de munition sur le dos et la sangler correctement, il s'essayait à faire une tentative en visant une direction aléatoire et appuyait sur la détente.
Plutôt qu'un projectile c'était une langue de feu gigantesque qui se déployait sur plusieurs mètres devant lui. Cela le surprenait tellement qu'il sursautait et en tombait sur son derrière, lâchant la gâchette qui stoppait la gerbe incandescente.
Incroyable ! Cet appareil était comme... Lardon avait une brève pensée pour un de ses enfants disparus mais l'heure n'était pas à la tristesse, la survie primait et ainsi armé il augmentait ses chances d'y parvenir. Il vérifiait que rien d'autre ne traînait pouvant lui être utile avant de se remettre en route. Sur le qui-vive, le porcin tendait l'oreille, la forêt était silencieuse mais pas tant que ça, le moindre craquement de branche sous un pas, le bruissement des feuilles mortes et bien sûr les râles des morts ou... les chants ? Il avait l'impression d'entendre quelqu'un chanter mais qui serait assez fou pour chantonner en plein apocalypse zombie ?
"Protégez moi, Seigneur Sanglier ! "
Lardon faisait volte-face lorsqu'il se faisait interpeller. Une femme, dans une tenue qui en révélait peut-être autant que si elle était nue. Par réflexe le cochon se dégagea immédiatement la mettant en joue avec sa nouvelle arme.
- Halte ! Restez à distance ! Ou il ne restera de vous qu'un tas de cendres. Mettait en garde l'hybride, le temps de l'examiner quelques secondes. Vous avez été mordu ? Il avait pu voir que la maladie étrange des morts-vivants se répandait à la moindre morsure et parfois même griffure. Il ne voulait pas prendre de risque. Tournez vous, montrez moi que vous n'avez pas été blessée par eux.
Alors qu'il lui demandait, Lardon apercevait une silhouette se rapprocher bien qu'elle soit encore trop loin pour déterminer si c'était un mort ou non, il se décalait par prudence afin de l'avoir elle et la femme en robe dans sa ligne de mire.
Après avoir enfilé la réserve de munition sur le dos et la sangler correctement, il s'essayait à faire une tentative en visant une direction aléatoire et appuyait sur la détente.
Plutôt qu'un projectile c'était une langue de feu gigantesque qui se déployait sur plusieurs mètres devant lui. Cela le surprenait tellement qu'il sursautait et en tombait sur son derrière, lâchant la gâchette qui stoppait la gerbe incandescente.
Incroyable ! Cet appareil était comme... Lardon avait une brève pensée pour un de ses enfants disparus mais l'heure n'était pas à la tristesse, la survie primait et ainsi armé il augmentait ses chances d'y parvenir. Il vérifiait que rien d'autre ne traînait pouvant lui être utile avant de se remettre en route. Sur le qui-vive, le porcin tendait l'oreille, la forêt était silencieuse mais pas tant que ça, le moindre craquement de branche sous un pas, le bruissement des feuilles mortes et bien sûr les râles des morts ou... les chants ? Il avait l'impression d'entendre quelqu'un chanter mais qui serait assez fou pour chantonner en plein apocalypse zombie ?
"Protégez moi, Seigneur Sanglier ! "
Lardon faisait volte-face lorsqu'il se faisait interpeller. Une femme, dans une tenue qui en révélait peut-être autant que si elle était nue. Par réflexe le cochon se dégagea immédiatement la mettant en joue avec sa nouvelle arme.
- Halte ! Restez à distance ! Ou il ne restera de vous qu'un tas de cendres. Mettait en garde l'hybride, le temps de l'examiner quelques secondes. Vous avez été mordu ? Il avait pu voir que la maladie étrange des morts-vivants se répandait à la moindre morsure et parfois même griffure. Il ne voulait pas prendre de risque. Tournez vous, montrez moi que vous n'avez pas été blessée par eux.
Alors qu'il lui demandait, Lardon apercevait une silhouette se rapprocher bien qu'elle soit encore trop loin pour déterminer si c'était un mort ou non, il se décalait par prudence afin de l'avoir elle et la femme en robe dans sa ligne de mire.
Noble du Reike
Lucifer
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Info personnage
Race: Démon
Vocation: Mage noir
Alignement: Loyal mauvais
Rang: B - Intendant de Mael - Contrôleur royal
La fin du monde ! C'est un peu comme ces soirées où l'on boit un verre de trop et où l'on se réveille le lendemain, victime d'un énorme mal de crâne. Sauf que cette fois, il n'y a pas de lendemain.
Lucifer, maître des complots, prince des ténèbres, je me retrouve à jouer à cache-cache avec des zombies ? Quelle époque ! Je pensais avoir tout vu, mais là, chapeau bas, Sekai. Moi qui fuis à toute jambe à travers la forêt pour échapper à une horde de morts-vivants. C'est un comble ! Être poursuivi par des cadavres ambulants ! Pour une fois, je ne suis pas le grand méchant de l'histoire. Ironique, n'est-ce pas ? Même le diable en personne a de mauvais jour.
Au milieu des bois, je tombe sur une cabane abandonnée. Je m'y engouffre hélas. Chaque grand Seigneur a besoin d'un château, si modeste soit-il. Ce taudis de malheur a visiblement connu des jours meilleurs mais il tiendra le coup le temps que je reprenne mon souffle. C'est alors que j'ai une idée géniale ! Pourquoi ne pas transformer cette vieille bicoque en auberge ? Les zombies ont l'air d'apprécier la gastronomie humaine. Pourquoi ne pas leur offrir un menu 5 étoiles ?
Je m'y mets vivement en clouant des planches et installant un panneau à l'entrée : "L'Auberge du Dernier Espoir". Un nom qui a du panache, quoi.
J'admire mon chef-d'œuvre désespéré quand je remarque à quelques mètres de là une autre auberge : "L'Auberge de la Dernière Lueur". C'est quoi ça ? De la concurrence ?! Eh bien Monsieur, c'est la guerre !
"Il ne manquait plus que ça, une guerre des auberges en plein milieu de l'apocalypse !"
Je me prépare à accueillir mes premiers clients. Des biscuits rassis, une conserve de thon périmée et de l'eau croupie. Le menu est certes sommaire, mais il faut bien commencer quelque part. Pour agrémenter le tout, j'installe une jolie bougie parfumée au soufre. Une belle touche d'enfer. Un début de perfection !
J'accroche une enseigne faite à la va-vite : "Mieux qu'à l'Auberge de la Dernière Lueur !". Ha ! Prends ça, le taudis d'à côté ! Cette auberge prétentieuse qui se vante d'être le dernier rempart contre l'apocalypse. Mon petit doigt me dit qu'elle est gérée par l'un de ces membres de la Main de l'Empereur (paix à son âme), probablement Deydreus Fictilem. C'est tellement son genre. Voyons s'il résistera plus longtemps que moi.
Lucifer, maître des complots, prince des ténèbres, je me retrouve à jouer à cache-cache avec des zombies ? Quelle époque ! Je pensais avoir tout vu, mais là, chapeau bas, Sekai. Moi qui fuis à toute jambe à travers la forêt pour échapper à une horde de morts-vivants. C'est un comble ! Être poursuivi par des cadavres ambulants ! Pour une fois, je ne suis pas le grand méchant de l'histoire. Ironique, n'est-ce pas ? Même le diable en personne a de mauvais jour.
Au milieu des bois, je tombe sur une cabane abandonnée. Je m'y engouffre hélas. Chaque grand Seigneur a besoin d'un château, si modeste soit-il. Ce taudis de malheur a visiblement connu des jours meilleurs mais il tiendra le coup le temps que je reprenne mon souffle. C'est alors que j'ai une idée géniale ! Pourquoi ne pas transformer cette vieille bicoque en auberge ? Les zombies ont l'air d'apprécier la gastronomie humaine. Pourquoi ne pas leur offrir un menu 5 étoiles ?
Je m'y mets vivement en clouant des planches et installant un panneau à l'entrée : "L'Auberge du Dernier Espoir". Un nom qui a du panache, quoi.
J'admire mon chef-d'œuvre désespéré quand je remarque à quelques mètres de là une autre auberge : "L'Auberge de la Dernière Lueur". C'est quoi ça ? De la concurrence ?! Eh bien Monsieur, c'est la guerre !
"Il ne manquait plus que ça, une guerre des auberges en plein milieu de l'apocalypse !"
Je me prépare à accueillir mes premiers clients. Des biscuits rassis, une conserve de thon périmée et de l'eau croupie. Le menu est certes sommaire, mais il faut bien commencer quelque part. Pour agrémenter le tout, j'installe une jolie bougie parfumée au soufre. Une belle touche d'enfer. Un début de perfection !
J'accroche une enseigne faite à la va-vite : "Mieux qu'à l'Auberge de la Dernière Lueur !". Ha ! Prends ça, le taudis d'à côté ! Cette auberge prétentieuse qui se vante d'être le dernier rempart contre l'apocalypse. Mon petit doigt me dit qu'elle est gérée par l'un de ces membres de la Main de l'Empereur (paix à son âme), probablement Deydreus Fictilem. C'est tellement son genre. Voyons s'il résistera plus longtemps que moi.
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L'Âme des Cendres
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Le Colosse Écarlate
Le Boucher
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Info personnage
Race: Drakyn
Vocation: Guerrier combattant
Alignement: Chaotique Mauvais
Rang: C
Apocalypse Zombie
L’atmosphère terrifiante régnait sur la forêt, la brume était épaisse et sombre. Il était au milieu de cette dernière, totalement seul, en quête d’humain non transformé en zombie. Les hurlements au loin apeuraient Destra, il avait l’impression de les connaître, ce n’était pas la première fois qu’il les entendait.
« Destra… Destra… Destra ! »
Des cris de détresses résonnaient partout autour de lui, comme si c’était pour lui une scène qu’il revivait encore et encore. Certainement de pauvres survivants se faisant dévorer par les monstres.
« Destra ! Arrête-le ! Je t’en supplie, empêche-le de faire ça, il va me bouffer… »
Les hurlements de la mort résonnèrent tout autour de lui. Il était à genoux, les mains sur les oreilles, l’œil fermé, au milieu de tous ces cris et ses arbres morts, l’odeur nauséabonde et cadavérique répandue dans chaque recoin de cette forêt. Une voix horrifiée résonnait une dernière fois, comme un dernier soupir prononçant un appel à l’aide. Les cris et voix se stoppèrent net, pour être remplacer par des hurlements de zombie. Il ouvra les yeux et vit une créature ignoble se ruer sur lui en hurlant. Destra couru aussi vite que possible pour tenter de fuir l’immondice.
CENDRES
« Destra… Destra… Destra ! »
Des cris de détresses résonnaient partout autour de lui, comme si c’était pour lui une scène qu’il revivait encore et encore. Certainement de pauvres survivants se faisant dévorer par les monstres.
« Destra ! Arrête-le ! Je t’en supplie, empêche-le de faire ça, il va me bouffer… »
Les hurlements de la mort résonnèrent tout autour de lui. Il était à genoux, les mains sur les oreilles, l’œil fermé, au milieu de tous ces cris et ses arbres morts, l’odeur nauséabonde et cadavérique répandue dans chaque recoin de cette forêt. Une voix horrifiée résonnait une dernière fois, comme un dernier soupir prononçant un appel à l’aide. Les cris et voix se stoppèrent net, pour être remplacer par des hurlements de zombie. Il ouvra les yeux et vit une créature ignoble se ruer sur lui en hurlant. Destra couru aussi vite que possible pour tenter de fuir l’immondice.
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L'Âme des Cendres
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Invité
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Un cauchemar. Tout ceci ne peut qu'être un mauvais rêve et il va bientôt se réveiller. C'est ce qu'il se dit à chaque fois que le sommeil le gagne à de rares moments d'accalmie, quand il n'a plus la force de lutter contre ses paupières lourdes et ses démons qui viennent le hanter. Tout est allé si vite. La fin du monde s'est abattue sur le monde sans crier gare, les Titans vengeurs et leurs armées mortifères ont déferlé sur le monde en détruisant tout sur leur passage. Shoumei n'a jamais été la victoire de l'humanité, ce n'était qu'une mise en garde. Un prélude à l'apocalypse et à la colère des Dieux eux-mêmes. Toutes les nations sont tombées, y compris la majestueuse Melorn, diamant parmi les terres sauvages du nord. Fief de la magie, un domaine dans lequel les Mélornois excellent. Les puissants Érudits et protecteurs de la cité qui, privés de toutes formes de magie, n'ont rien pu faire pour endiguer la menace.
De la même façon, Eliëndir s'est retrouvé presque sans défense face au cataclysme qui a ravagé la ville. Il était un mage d'exception mais un guerrier tout juste correct. Les morts encerclaient déjà Melorn quand ils ont enfoncé les remparts immaculés, il n'y avait pas d'échappatoire ni même d'espoir. Seulement la mort au bout du tunnel. Tout était perdu. La Garde de l'Aube s'est battu jusqu'à la fin pour permettre à quelques rescapés de fuir par son vaste réseau de galeries souterraines. Dans le meilleur des cas, ils réussiront à trouver une issue pour quitter la ville afin de se réfugier dans les montagnes du nord. Au pire, ces tunnels seront leurs tombeaux. Une poignée de chevaliers survivants accompagnent Eliëndir à travers les tunnels, assurant la sécurité des derniers survivants de Melorn. Très profondément dans le sol, une ancienne base minière leur sert d'abri et de base d'opération pour planifier la suite car tout ce beau monde navigue à l'aveugle sans aucune carte des galeries. Autant dire, que la situation est vraiment désespérée. Fouillant les lieux au préalable, tout est bon à prendre pour pouvoir se défendre sereinement.
De la même façon, Eliëndir s'est retrouvé presque sans défense face au cataclysme qui a ravagé la ville. Il était un mage d'exception mais un guerrier tout juste correct. Les morts encerclaient déjà Melorn quand ils ont enfoncé les remparts immaculés, il n'y avait pas d'échappatoire ni même d'espoir. Seulement la mort au bout du tunnel. Tout était perdu. La Garde de l'Aube s'est battu jusqu'à la fin pour permettre à quelques rescapés de fuir par son vaste réseau de galeries souterraines. Dans le meilleur des cas, ils réussiront à trouver une issue pour quitter la ville afin de se réfugier dans les montagnes du nord. Au pire, ces tunnels seront leurs tombeaux. Une poignée de chevaliers survivants accompagnent Eliëndir à travers les tunnels, assurant la sécurité des derniers survivants de Melorn. Très profondément dans le sol, une ancienne base minière leur sert d'abri et de base d'opération pour planifier la suite car tout ce beau monde navigue à l'aveugle sans aucune carte des galeries. Autant dire, que la situation est vraiment désespérée. Fouillant les lieux au préalable, tout est bon à prendre pour pouvoir se défendre sereinement.
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L'Âme des Cendres
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Impératrice-dragon du Reike
Ayshara Ryssen
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Info personnage
Race: Vosdraak
Vocation: Mage - Soutien
Alignement: Loyal neutre
Rang: S - Impératrice
Après l'effroyable assaut des titans et la déroute des mortels, l'Empire du Reike gisait en lambeaux. Comment avaient-ils pu échouer aussi pathétiquement, eux qui s'étaient préparés durant des années à les affronter ? Ayshara, maligne et valeureuse, était l’une des rares âmes à échapper aux mâchoires de la défaite. Le souvenir de sa garde personnelle, qui s'était sacrifiée dans un acte d'une abnégation ultime, hantait le moindre de ses pas. Ces fidèles protecteurs avaient offert leurs vies, lui permettant de s’évader de l’horreur consumant la nation du désert. Et, à vrai dire, elle aurait dû mourir là avec le reste de ses loyaux sujets... Toutefois, il semblerait que le destin en ait décidé le contraire.
Ainsi, la voilà, marchant, sa silhouette élégante contrastant avec l'oppression de la forêt sombre qui s’étendait autour d’elle. La mélancolie l’envahissait lorsque l'ancienne souveraine pensait à Draknys et Tensai. Elle avait malheureusement perdu leur trace pendant la fuite, et cette disparition creusait un abîme douloureux à l'intérieur de son cœur. Cependant, elle n'était point une femme à se laisser submerger d'émotions négatives. Son esprit combatif, acéré comme la lame d'une épée, brillait dans ses yeux d'améthyste.
Guidée par un instinct que la vosdraak peinait à comprendre, elle continuait sa route en solitaire, essayant tant bien que mal d'esquiver les dangers potentiels. Son but ? Survivre assez longtemps afin de revoir ses proches. Au fur et à mesure qu'elle s'aventurait plus profondément au sein de cette sombre forêt, deux silhouettes se dessinèrent dans l'obscurité : des espèces d'auberges. Ces édifices, d'une apparence misérable, paraissaient engagés au cœur d'une étrange compétition. L'une arborait fièrement l'enseigne du Dernier espoir, tandis que l'autre clamait être la Dernière lueur. Ces noms, si semblables dans leur message, la laissèrent pensive. S'agissait-il d'un présage ? Ou juste de la manifestation d'un quelconque humour noir venant de leurs propriétaires ? Quelle était l'histoire de ceux qui osaient encore, face à la nuit éternelle, allumer de pareilles chandelles ?
Quoi qu'il en soit, il fallait absolument qu'elle trouve une arme... ou un truc utile pour se défendre.
Ainsi, la voilà, marchant, sa silhouette élégante contrastant avec l'oppression de la forêt sombre qui s’étendait autour d’elle. La mélancolie l’envahissait lorsque l'ancienne souveraine pensait à Draknys et Tensai. Elle avait malheureusement perdu leur trace pendant la fuite, et cette disparition creusait un abîme douloureux à l'intérieur de son cœur. Cependant, elle n'était point une femme à se laisser submerger d'émotions négatives. Son esprit combatif, acéré comme la lame d'une épée, brillait dans ses yeux d'améthyste.
Guidée par un instinct que la vosdraak peinait à comprendre, elle continuait sa route en solitaire, essayant tant bien que mal d'esquiver les dangers potentiels. Son but ? Survivre assez longtemps afin de revoir ses proches. Au fur et à mesure qu'elle s'aventurait plus profondément au sein de cette sombre forêt, deux silhouettes se dessinèrent dans l'obscurité : des espèces d'auberges. Ces édifices, d'une apparence misérable, paraissaient engagés au cœur d'une étrange compétition. L'une arborait fièrement l'enseigne du Dernier espoir, tandis que l'autre clamait être la Dernière lueur. Ces noms, si semblables dans leur message, la laissèrent pensive. S'agissait-il d'un présage ? Ou juste de la manifestation d'un quelconque humour noir venant de leurs propriétaires ? Quelle était l'histoire de ceux qui osaient encore, face à la nuit éternelle, allumer de pareilles chandelles ?
Quoi qu'il en soit, il fallait absolument qu'elle trouve une arme... ou un truc utile pour se défendre.
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L'Âme des Cendres
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La Chaleureuse Noyeuse
Takhys Suladran
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crédits : 1446
crédits : 1446
Info personnage
Race: Sirène
Vocation: Mage élémentaliste
Alignement: Chaotique Neutre
Rang: C
Elle écarquilla des yeux quand le protecteur qu'elle s'était octroyée, si on peut le dire ainsi, s'était retourné tout en rajoutant d ela distance, pour la mettre en joue avec un étrange tube creux. Un gourdin ? Non, ça sentait quelque chose d'autres, de piquant à ses narines. Elle leva les mains à mi-hauteur, reculant elle-même d'un pas, autant effrayé de périr brûlé, vu que l'hybride parlait d'un tas de cendres ; logique non ? Mais où était la logique dans un monde dans lequel la magie n'existe plus, ou les vivants deviennent des morts ? Ah, il posait des questions ! Elle se ressaisit.
''Mordue ? Non. Bien sûr que non. "
Les mains toujours en évidence, bien écartées pour qu'il puisse voir qu'elle n'avait rien, elle commença à tourner sur elle-même.
''Voyez, je n'ai pas de morsures. Je suis tombée plusieurs fois dans cette horrible forêt et..."
En pivotant sur elle-même, elle se prit le talon dans quelque chose et tomba. Elle jura un instant, avant de palper la source de sa chute, la levant sous son nez, les yeux ébahis.
''Une botte... Elle n'oublia pas la menace de l'hybride porcin. ''Je ne fais que tomber depuis tantôt ! Laissez-moi le temps de me relever. Et rassurez-vous, j'ai une botte dans les mains, ne me brûlez pas au 28ième degré s'il vous plait ! "
Elle se relevait déjà, doucement, ne cherchant qu'à se mettre debout, les mains toujours écartées, dont la droite tenait une botte de belle facture, avec une semelle et un talon renforcé. Une arme possible pour elle.
''Voila, vous êtes rassuré maintenant ? Que je ne suis pas un mortifié cherchant pitance humaine ? "Elle regarda bêtement la botte d'un coup. ''Ca, c'est pour les zombies"
''Mordue ? Non. Bien sûr que non. "
Les mains toujours en évidence, bien écartées pour qu'il puisse voir qu'elle n'avait rien, elle commença à tourner sur elle-même.
''Voyez, je n'ai pas de morsures. Je suis tombée plusieurs fois dans cette horrible forêt et..."
En pivotant sur elle-même, elle se prit le talon dans quelque chose et tomba. Elle jura un instant, avant de palper la source de sa chute, la levant sous son nez, les yeux ébahis.
''Une botte... Elle n'oublia pas la menace de l'hybride porcin. ''Je ne fais que tomber depuis tantôt ! Laissez-moi le temps de me relever. Et rassurez-vous, j'ai une botte dans les mains, ne me brûlez pas au 28ième degré s'il vous plait ! "
Elle se relevait déjà, doucement, ne cherchant qu'à se mettre debout, les mains toujours écartées, dont la droite tenait une botte de belle facture, avec une semelle et un talon renforcé. Une arme possible pour elle.
''Voila, vous êtes rassuré maintenant ? Que je ne suis pas un mortifié cherchant pitance humaine ? "Elle regarda bêtement la botte d'un coup. ''Ca, c'est pour les zombies"
Invité
Invité
Adossé contre un arbre, Bressac reprenait son souffle.
L'inflation avait été particulièrement dure pour la population de la République. La grogne et la mendicité étaient devenus le pain quotidien des habitants qui avaient rapidement tout perdu, provoquant de terribles émeutes et des pillages qui avaient mis les grandes villes sans dessus dessous. C’était du moins l’interprétation que s’était fait Bressac de la situation à son retour d’un long voyage dans une région lointaine, préservée des tracas de la vie humaine et de la civilisation. Et maintenant qu’il était de retour, force lui était de constater que les gens ne se lavaient plus, déambulaient éperdus dans des haillons rapiécés et promenaient partout avec eux la suave fragrance d’une subtile pestilence. Le besoin d’argent s’était fait si impérieux qu’on ne pouvait plus faire un pas dehors sans être pourchassé par des hordes de miséreux en quête d’une obole.
C’était la situation dans laquelle il se trouvait, songeait-il, car la dame à la robe en lambeaux qu’il avait fuie jusqu’ici venait de surgir d’un buisson, s’élançant de nouveau vers lui dans un râle rauque. Ses cheveux crasseux et sa dentition négligée révélaient l’ampleur de la misère dans laquelle elle se trouvait, et elle n’en n’était que plus persistante.
Fouillant le fond de ses poches, Bressac réalisa à nouveau qu’il n’avait sur lui pas la moindre pièce, et qu’il était vain de continuer à le poursuivre. Mais la dame n’avait cure de ses excuses et s’évertuait à le pourchasser depuis déjà plus d’une demi-heure, ce qui commençait à devenir sérieusement redondant.
- Madame, haleta-t-il en reculant et levant devant lui les mains en signe de paix, je vous assure que si j’avais le moindre moyen de vous aider, je…
Heurtant une racine qui se trouvait derrière son talon, Bressac bascula en arrière et chuta lourdement sur la pente de la colline qu’il dévala douloureusement d’une traite, tombant nez à nez sur…
L'inflation avait été particulièrement dure pour la population de la République. La grogne et la mendicité étaient devenus le pain quotidien des habitants qui avaient rapidement tout perdu, provoquant de terribles émeutes et des pillages qui avaient mis les grandes villes sans dessus dessous. C’était du moins l’interprétation que s’était fait Bressac de la situation à son retour d’un long voyage dans une région lointaine, préservée des tracas de la vie humaine et de la civilisation. Et maintenant qu’il était de retour, force lui était de constater que les gens ne se lavaient plus, déambulaient éperdus dans des haillons rapiécés et promenaient partout avec eux la suave fragrance d’une subtile pestilence. Le besoin d’argent s’était fait si impérieux qu’on ne pouvait plus faire un pas dehors sans être pourchassé par des hordes de miséreux en quête d’une obole.
C’était la situation dans laquelle il se trouvait, songeait-il, car la dame à la robe en lambeaux qu’il avait fuie jusqu’ici venait de surgir d’un buisson, s’élançant de nouveau vers lui dans un râle rauque. Ses cheveux crasseux et sa dentition négligée révélaient l’ampleur de la misère dans laquelle elle se trouvait, et elle n’en n’était que plus persistante.
Fouillant le fond de ses poches, Bressac réalisa à nouveau qu’il n’avait sur lui pas la moindre pièce, et qu’il était vain de continuer à le poursuivre. Mais la dame n’avait cure de ses excuses et s’évertuait à le pourchasser depuis déjà plus d’une demi-heure, ce qui commençait à devenir sérieusement redondant.
- Madame, haleta-t-il en reculant et levant devant lui les mains en signe de paix, je vous assure que si j’avais le moindre moyen de vous aider, je…
Heurtant une racine qui se trouvait derrière son talon, Bressac bascula en arrière et chuta lourdement sur la pente de la colline qu’il dévala douloureusement d’une traite, tombant nez à nez sur…
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