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L'Âme des Cendres
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L'Âme des Cendres
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Le Chevalier Noir
Deydreus Fictilem
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Info personnage
Race: Vampire
Vocation: Guerrier combattant
Alignement: Loyal mauvais
Rang: B - Griffe
Tout semblait toujours aussi irréel. Courant à en perdre haleine avec ses nouveaux camarades, Deydreus perdait pied dans la réalité qui l'entourait. Parvenant à battre les multiples épreuves du fort, le vampire enchainait ses déplacements, s'imaginant aussi vif qu'il ne l'était quand le mana courrait encore dans ses veines.
Ainsi, quand ils sortirent enfin du dédale pour retourner dans la terrible forêt, la Griffe se voyait tel un héro bombant fièrement le torse tandis que de multiples vagues venaient s'écraser sur les rochers derrière lui. En vérité? Il était simplement debout, essoufflé, à baver à moitié à cause de la poudre ayant fait le chemin jusqu'à son cerveau. Mais peu importait.
- Je vais bien également. Nous sommes tous en bonne santé je crois?
Ils étaient vivants et... Le sol se mit à trembler subitement.
Reprenant une course folle, le vampire ne prit pas le temps d'expliquer quoi que ce soit, suivant la jeune femme qui avait eu l'audace de venir se coller contre lui plus tôt dans des poses... Insistantes. Puis, quand elle se retourna et prit finalement la parole. Le drame survint. Devant ses yeux, Katheline fut dévorée vivante par un zombie. Un drame effroyable, qui provoqua chez le vampire une réaction instantanée. Frappant le mort vivant jusqu'à ce qu'il ne retourne dans l'abîme, le bretteur pesta en tenant les restes de l'étudiante. Dans son regard, la drogue se mêlait subitement à la tristesse tandis qu'il tentait de murmurer son nom, ne parvenant qu'à prononcer un mot inaudible.
- Chibroquet...
Puis il laissa le corps mutiler sombrer dans le gouffre devant eux. Les morts bougeaient, sortaient des nouveaux ravins et ne souhaitaient qu'une chose: les dévorer. Alors... Il allait devoir continuer, accompagné de l'élémentaire de nature si tant est qu'elle était capable de discerner les sons et les images.
Il fallait se mettre en route.
EDIT MORT: Mais le destin en décida autrement. Soudainement, le sol se fractura de nouveau, et pris d'un vertige étrange, le bretteur sombra à son tour dans le terrible gouffre qui venait de s'ouvrir sous lui. Quel malheur! Lui qui avait autrefois des ailes ne pouvait à présent que chuter inlassablement dans ce maudit ravin, percutant avec force les différents morceaux rocheux. D'abord un bras brisé, puis une jambe. Quand il toucha finalement le sol, Deydreus sentit presque tous les os de son corps se briser, tout comme ses organes s'écraser contre ses propres muscles. Mais, devant lui, la jeune étudiante qu'il avait vu mourir plus tôt. Et les derniers effets de la drogue. Elle était là, allongée sur son lit de cristal (en vérité éclatée à moitié elle aussi par terre). Elle l'attendait. Alors il rampa, usant de son propre sang pour parvenir jusqu'à elle. Puis, dans un soupir, il s'allongea sur sa carcasse sublime en passant une main dans ses cheveux. Avant d'à son tour s'effondrer. La scène était belle, presque poétique. Un chevalier mourant sur le lit de mort d'une inconnue. C'était beau.
Mais en vérité, il s'était juste complètement éclaté à côté d'elle.
Ainsi, quand ils sortirent enfin du dédale pour retourner dans la terrible forêt, la Griffe se voyait tel un héro bombant fièrement le torse tandis que de multiples vagues venaient s'écraser sur les rochers derrière lui. En vérité? Il était simplement debout, essoufflé, à baver à moitié à cause de la poudre ayant fait le chemin jusqu'à son cerveau. Mais peu importait.
- Je vais bien également. Nous sommes tous en bonne santé je crois?
Ils étaient vivants et... Le sol se mit à trembler subitement.
Reprenant une course folle, le vampire ne prit pas le temps d'expliquer quoi que ce soit, suivant la jeune femme qui avait eu l'audace de venir se coller contre lui plus tôt dans des poses... Insistantes. Puis, quand elle se retourna et prit finalement la parole. Le drame survint. Devant ses yeux, Katheline fut dévorée vivante par un zombie. Un drame effroyable, qui provoqua chez le vampire une réaction instantanée. Frappant le mort vivant jusqu'à ce qu'il ne retourne dans l'abîme, le bretteur pesta en tenant les restes de l'étudiante. Dans son regard, la drogue se mêlait subitement à la tristesse tandis qu'il tentait de murmurer son nom, ne parvenant qu'à prononcer un mot inaudible.
- Chibroquet...
Puis il laissa le corps mutiler sombrer dans le gouffre devant eux. Les morts bougeaient, sortaient des nouveaux ravins et ne souhaitaient qu'une chose: les dévorer. Alors... Il allait devoir continuer, accompagné de l'élémentaire de nature si tant est qu'elle était capable de discerner les sons et les images.
Il fallait se mettre en route.
EDIT MORT: Mais le destin en décida autrement. Soudainement, le sol se fractura de nouveau, et pris d'un vertige étrange, le bretteur sombra à son tour dans le terrible gouffre qui venait de s'ouvrir sous lui. Quel malheur! Lui qui avait autrefois des ailes ne pouvait à présent que chuter inlassablement dans ce maudit ravin, percutant avec force les différents morceaux rocheux. D'abord un bras brisé, puis une jambe. Quand il toucha finalement le sol, Deydreus sentit presque tous les os de son corps se briser, tout comme ses organes s'écraser contre ses propres muscles. Mais, devant lui, la jeune étudiante qu'il avait vu mourir plus tôt. Et les derniers effets de la drogue. Elle était là, allongée sur son lit de cristal (en vérité éclatée à moitié elle aussi par terre). Elle l'attendait. Alors il rampa, usant de son propre sang pour parvenir jusqu'à elle. Puis, dans un soupir, il s'allongea sur sa carcasse sublime en passant une main dans ses cheveux. Avant d'à son tour s'effondrer. La scène était belle, presque poétique. Un chevalier mourant sur le lit de mort d'une inconnue. C'était beau.
Mais en vérité, il s'était juste complètement éclaté à côté d'elle.
- Apparence des épées de Deydreus:
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Un Zelevas tout content de pouvoir rendre service vient vers le zombie chauve en se pavanant fièrement, il lève une main à sa tête et attrape le grand chapeau de Malazach qu’il porte lui-même sur son crâne. Il s’approche du mort-vivant à l’alopécie handicapante pour le coiffer du superbe apparât de paille tressée et contemple sa splendide création pendant que le macabé s’admire dans le reflet d’un éclat de verre. Une fois cette sombre affaire enfin résolue, le vieillard s’éloigne le coeur léger pour retourner auprès de Zéphyr qui se met étrangement à paniquer, ça a peut-être un rapport avec la horde de zombie qui leur converge dessus, attirés par le brasier étincelant de l’EHPAD et les bruits de fracas qui accompagne sa ruine, ou peut-être que c’est parce qu’il vient d’abattre l’autre grosse vache donc y’a forcément à manger. Quoi qu’il en soit, il ne fallait pas moisir ici, il n’y avait plus rien à faire de toute façon donc autant partir et essayer de rejoindre un autre groupe de survivant avant de finir tout seul perdu au milieu de nul part, comme la fois où il s’était égaré dans le Dragon Musclé de Liberty et qu’il avait fini dans le vestiaire des femmes par inadvertance.
”Héhé.” Le sourire aux lèvres, il ne peut s’empêcher de laisser un petit rire s’échapper en se remémorant ce souvenir, lui aussi il avait un chauve qui était revenu d’entre les morts.
Soudain, sortant du brasier, une silhouette enflammée mais familière se dresse devant l’ancien Sénateur en levant les bras vers lui, et le vieux d’Élusie se rend compte qu’il s’agit du propriétaire originel du chapeau de paille, non pas Roger Goldheart, que certains appellent encore Gol D. Roger, mais bien Malazach. Son camarade angélique titube vers lui et l’Oreille avec peine pendant que les flammes lui dévorent les tibias, ça ne doit pas être évident de marcher dans un état pareil et ce n’est pas Zelevas qui s’en moquer, ce serait l’hôpital qui se fout de la charité. Le Maître Espion ne semble pourtant pas apercevoir le Haut Cardinal Diviniste, concentré sur la foule de marcheurs qui leur arrive dessus, le Fraternitas prend donc naturellement l’initiative de les présenter.
”Zéphyr Zoldyck, je vous présente Malazach, Malazach, Zéphyr Zoldyck.” Immédiatement, l’ange déchu se jette sur l’Oreille du Reike pour lui faire la bise. ”Ah mais vous vous connaissiez déjà! Je vois que vous entendez bien alors je vais vous laisser.” Le jeune homme semble tellement heureux de le voir qu’il pousse de grands cris de joie pendant que le membre du Nouvel Ordre lui fait la bise une fois de plus… il doit certainement être du sud, il aime aussi la pétanque après tout.
Inutile de moisir ici plus longtemps, Zelevas laisse donc Zéphyr et Malazach rattraper le temps perdu et se retourne pour commencer à s’enfuir, il se met à progresser aussi vite que ses articulations rouillées ne le lui permettent, slalomant entre les arbres, les racines et les ronces à une vitesse hallucinante de lenteur. Son pas de marche rapide s’accélère cependant quand il aperçoit entre deux buissons une silhouette verte tout de noir et blanc vêtue qui galope à perte d’haleine dans la sombre forêt. À bien y regarder elle semble être une petite gobeline en pleurs. S’élançant à sa poursuite pour rattraper du mieux qu’il le peut la fuyarde, il force sur ses jambes fatiguées pour refermer la distance entre eux. Fort heureusement le séisme naissant qui se met à ébranler Sekaï freine bien plus la gobeline que le vieillard puisque celui ci est déjà habitué à tenir debout sur des guibolles tremblantes de toute façon. Il progresse donc rapidement pour parvenir à approcher la pleureuse et alors qu’une faille béante se déchire devant elle et qu’elle s’apprête à perdre l’équilibre, Zelevas agrippe son épaule verte juste avant qu’elle ne tombe dans le gouffre et la remet sur ses appuis in-extremis. Il attrape ensuite l’autre épaule de la gobeline, l’empêchant de se retourner pour lui faire face, et approche son nez de sa joue avant de renifler son odeur ennivrante. C’est bien ce qu’il pensait, il lui semblait bien avoir reconnu la fragrance.
”Ha je le savais, votre parfum c’est Joba Idène, c’est mon préféré!”
Cependant il n’a pas le temps de faire plus ample connaissance qu’un nouveau bruit attire son attention et celle de la petite gobeline.
”Héhé.” Le sourire aux lèvres, il ne peut s’empêcher de laisser un petit rire s’échapper en se remémorant ce souvenir, lui aussi il avait un chauve qui était revenu d’entre les morts.
Soudain, sortant du brasier, une silhouette enflammée mais familière se dresse devant l’ancien Sénateur en levant les bras vers lui, et le vieux d’Élusie se rend compte qu’il s’agit du propriétaire originel du chapeau de paille, non pas Roger Goldheart, que certains appellent encore Gol D. Roger, mais bien Malazach. Son camarade angélique titube vers lui et l’Oreille avec peine pendant que les flammes lui dévorent les tibias, ça ne doit pas être évident de marcher dans un état pareil et ce n’est pas Zelevas qui s’en moquer, ce serait l’hôpital qui se fout de la charité. Le Maître Espion ne semble pourtant pas apercevoir le Haut Cardinal Diviniste, concentré sur la foule de marcheurs qui leur arrive dessus, le Fraternitas prend donc naturellement l’initiative de les présenter.
”Zéphyr Zoldyck, je vous présente Malazach, Malazach, Zéphyr Zoldyck.” Immédiatement, l’ange déchu se jette sur l’Oreille du Reike pour lui faire la bise. ”Ah mais vous vous connaissiez déjà! Je vois que vous entendez bien alors je vais vous laisser.” Le jeune homme semble tellement heureux de le voir qu’il pousse de grands cris de joie pendant que le membre du Nouvel Ordre lui fait la bise une fois de plus… il doit certainement être du sud, il aime aussi la pétanque après tout.
Inutile de moisir ici plus longtemps, Zelevas laisse donc Zéphyr et Malazach rattraper le temps perdu et se retourne pour commencer à s’enfuir, il se met à progresser aussi vite que ses articulations rouillées ne le lui permettent, slalomant entre les arbres, les racines et les ronces à une vitesse hallucinante de lenteur. Son pas de marche rapide s’accélère cependant quand il aperçoit entre deux buissons une silhouette verte tout de noir et blanc vêtue qui galope à perte d’haleine dans la sombre forêt. À bien y regarder elle semble être une petite gobeline en pleurs. S’élançant à sa poursuite pour rattraper du mieux qu’il le peut la fuyarde, il force sur ses jambes fatiguées pour refermer la distance entre eux. Fort heureusement le séisme naissant qui se met à ébranler Sekaï freine bien plus la gobeline que le vieillard puisque celui ci est déjà habitué à tenir debout sur des guibolles tremblantes de toute façon. Il progresse donc rapidement pour parvenir à approcher la pleureuse et alors qu’une faille béante se déchire devant elle et qu’elle s’apprête à perdre l’équilibre, Zelevas agrippe son épaule verte juste avant qu’elle ne tombe dans le gouffre et la remet sur ses appuis in-extremis. Il attrape ensuite l’autre épaule de la gobeline, l’empêchant de se retourner pour lui faire face, et approche son nez de sa joue avant de renifler son odeur ennivrante. C’est bien ce qu’il pensait, il lui semblait bien avoir reconnu la fragrance.
”Ha je le savais, votre parfum c’est Joba Idène, c’est mon préféré!”
Cependant il n’a pas le temps de faire plus ample connaissance qu’un nouveau bruit attire son attention et celle de la petite gobeline.
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Maintenant en possession du Saint Graal, cette carte des souterrains de la ville, Eliëndir et les survivants dont il a la charge vont pouvoir reprendre la route avec sérénité puisqu'ils n'ont plus à naviguer à l'aveugle dans ces couloirs sombres et humides. Une chance inespérée, une trouvaille ô combien importante. Les hommes en armures finissent de fouiller les lieux et de récupérer tout ce qui peut être utile pour la suite de l'exploration alors que des cris stridents émanent du petit cortège, à l'extérieur de la mine abandonnée. Eliëndir se précipite à l'extérieur, juste à temps pour apercevoir un zombie solitaire voler un chapeau à un ancien marchand qui se trouvait sur sa route. L'homme, pris de peur, trébuche sur le sol en permettant au cadavre ambulant de s'enfuir avec sa nouvelle trouvaille lui permettant de camoufler son crâne affreusement dégarni. Curieusement, il ne s'agit pas vraiment d'une attaque et le zombie en question n'a même pas tenté de mordre qui que ce soit. Il s'est contenté de voler un chapeau et de partir en courant, dans une direction aléatoire avant de disparaître. Une interaction très étrange mais plus de peur que de mal, personne n'a été blessé et c'est le principal.
Les chevaliers en armure étincelante s'occupent de rassurer les familles apeurées avant que le cortège se prépare à repartir de l'avant. Eliëndir en tête, la précieuse carte dans les mains, il s'occupe de guider le chemin pendant que les chevaliers assurent la sécurité du petit groupe. Un dispositif bien rodé, d'autant qu'ils n'ont eu que très peu de soucis à l'exception du zombie chapardeur. Mais les problèmes peuvent prendre bien des formes et alors qu'ils traversent les égouts depuis un moment déjà, le sol se met à trembler violemment comme s'il menaçait de s'ouvrir sous leurs pieds. Est-ce un simple tremblement de terre ou la fin de cette aventure ?
Les chevaliers en armure étincelante s'occupent de rassurer les familles apeurées avant que le cortège se prépare à repartir de l'avant. Eliëndir en tête, la précieuse carte dans les mains, il s'occupe de guider le chemin pendant que les chevaliers assurent la sécurité du petit groupe. Un dispositif bien rodé, d'autant qu'ils n'ont eu que très peu de soucis à l'exception du zombie chapardeur. Mais les problèmes peuvent prendre bien des formes et alors qu'ils traversent les égouts depuis un moment déjà, le sol se met à trembler violemment comme s'il menaçait de s'ouvrir sous leurs pieds. Est-ce un simple tremblement de terre ou la fin de cette aventure ?
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C'est à croire que le ciel tombe sur la tête des derniers miséreux encore en vie tant la tempête est violente. Les éclairs se succèdent et la pluie battante s'abat sur les âmes damnés du Sekai en guise de signes annonciateurs de l'apocalypse divine. Les cendres de l'ancien monde serviront à fabriquer les fondations du nouveau auquel seuls quelques rares élus pourront accéder. Les incrédules y verront un simple phénomène météorologique évidemment et une série d'événements malchanceux. Dante y voit plutôt la sainte manifestation des Titans créateurs, pliant les éléments et la nature à leur volonté car celle-ci ne saurait être défiée à nouveau par de simples mortels trop occupés à se débattre face à l'inéluctable conclusion de leurs piètres existences. Les auberges, derniers sanctuaires pour les vivants, sont tombées et ont succombées aux flammes dévorantes et annihilatrices. Les combats s'enchaînent et les pertes se multiplient car c'est un combat perdu d'avance. Une lutte contre le destin, une quête qui n'a aucun sens. La vérité se découvre petit à petit face aux protagonistes exténués et celle-ci est aussi tragique que le monde dans lequel nous vivons. Pourtant, on dit que l'espoir est le dernier à mourir. Tant qu'il y aura cette chaleureuse lueur dans le cœur des hommes, alors ils continueront de se battre pour continuer d'exister.
Dante continue d'arpenter la forêt en s'éloignant de la forte activité de la horde zombifiée ainsi que des deux auberges en proie aux flammes, faisant office de phares en plein milieu de la nuit dont la lumière attire les vagues mortifères comme des moustiques. Par chance, il n'a encore croisé que très peu de résistance de son côté et il ne va pas se plaindre. Sa combativité qui faisait sa force il y a quelques années s'est envolée en même temps que la chute des civilisations connues. Pourquoi combattre ? Dante a complètement embrassé les desseins des maîtres créateurs et si la destruction du Sekai est leur volonté, alors qui est-il pour s'opposer aux Dieux ? Tout près de lui, un large buisson se met soudainement à gigoter brusquement comme si quelque chose essayait de le traverser. Pris d'une panique soudaine, l'Oni s'arme de son cordage et s'apprête à frapper de plein fouet le premier zombie qui sortira du buisson. Il n'en fit rien, constatant qu'il n'a jamais été question d'un zombie mais simplement d'un petit lapin au pelage entièrement noir cherchant refuge pour se cacher des nombreux dangers dans la zone. Voilà un compagnon de route très inattendu mais loin d'être désagréable. Pliant les genoux pour présenter calmement sa main à l'animal en attendant qu'il décide de lui-même de s'approcher. Dante, grand con taciturne et solitaire, a toujours été un peu plus proche des animaux que des hommes en réalité. Peut-être était-ce son destin depuis le départ, vivre ses derniers instants comme il a vécu toute sa vie : Seul.
Ceci dit, il ne l'est plus vraiment à présent. Caressant délicatement le dos de l'animal lorsqu'il vient se réfugier près de l'Oni, se mettant discrètement à l'abri de l'incessante pluie. L'Oni saisit l'animal en le déposant contre son torse et en couvrant sa tête avec sa main pour protéger le petit lapin de la météo capricieuse.
« Salut l'ami. Je vais t'appeler Bunny, tu aimes ? Moi c'est Dante. J'ai pas grand-chose à te donner à manger mais si tu veux, on peut attendre la fin du monde ensemble. »
Trouvant refuge sur la branche d'un arbre, légèrement en hauteur sur une petite colline offrant une vue imprenable sur une grande partie de la forêt mais également sur les ruines encore chaudes des auberges. Bunny et Dante se trouvent un petit coin tranquille à l'abri de la pluie d'où ils peuvent profiter du spectacle et des derniers instants du Sekai. Vu comme le sol se met à gronder et à se déchirer par endroit, ouvrant de larges failles afin de délivrer toujours plus de morts-vivants sur le Sekai, ce monde n'en a bientôt plus pour longtemps. Il n'y a plus qu'à espérer qu'aucune faille ne vienne engloutir son arbre à lui. De toute façon, il est fatigué de courir et s'il doit mourir maintenant, alors qu’il en soit ainsi.
Dante continue d'arpenter la forêt en s'éloignant de la forte activité de la horde zombifiée ainsi que des deux auberges en proie aux flammes, faisant office de phares en plein milieu de la nuit dont la lumière attire les vagues mortifères comme des moustiques. Par chance, il n'a encore croisé que très peu de résistance de son côté et il ne va pas se plaindre. Sa combativité qui faisait sa force il y a quelques années s'est envolée en même temps que la chute des civilisations connues. Pourquoi combattre ? Dante a complètement embrassé les desseins des maîtres créateurs et si la destruction du Sekai est leur volonté, alors qui est-il pour s'opposer aux Dieux ? Tout près de lui, un large buisson se met soudainement à gigoter brusquement comme si quelque chose essayait de le traverser. Pris d'une panique soudaine, l'Oni s'arme de son cordage et s'apprête à frapper de plein fouet le premier zombie qui sortira du buisson. Il n'en fit rien, constatant qu'il n'a jamais été question d'un zombie mais simplement d'un petit lapin au pelage entièrement noir cherchant refuge pour se cacher des nombreux dangers dans la zone. Voilà un compagnon de route très inattendu mais loin d'être désagréable. Pliant les genoux pour présenter calmement sa main à l'animal en attendant qu'il décide de lui-même de s'approcher. Dante, grand con taciturne et solitaire, a toujours été un peu plus proche des animaux que des hommes en réalité. Peut-être était-ce son destin depuis le départ, vivre ses derniers instants comme il a vécu toute sa vie : Seul.
Ceci dit, il ne l'est plus vraiment à présent. Caressant délicatement le dos de l'animal lorsqu'il vient se réfugier près de l'Oni, se mettant discrètement à l'abri de l'incessante pluie. L'Oni saisit l'animal en le déposant contre son torse et en couvrant sa tête avec sa main pour protéger le petit lapin de la météo capricieuse.
« Salut l'ami. Je vais t'appeler Bunny, tu aimes ? Moi c'est Dante. J'ai pas grand-chose à te donner à manger mais si tu veux, on peut attendre la fin du monde ensemble. »
Trouvant refuge sur la branche d'un arbre, légèrement en hauteur sur une petite colline offrant une vue imprenable sur une grande partie de la forêt mais également sur les ruines encore chaudes des auberges. Bunny et Dante se trouvent un petit coin tranquille à l'abri de la pluie d'où ils peuvent profiter du spectacle et des derniers instants du Sekai. Vu comme le sol se met à gronder et à se déchirer par endroit, ouvrant de larges failles afin de délivrer toujours plus de morts-vivants sur le Sekai, ce monde n'en a bientôt plus pour longtemps. Il n'y a plus qu'à espérer qu'aucune faille ne vienne engloutir son arbre à lui. De toute façon, il est fatigué de courir et s'il doit mourir maintenant, alors qu’il en soit ainsi.
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Un nouveau revenant, distrait. Il semble chercher un couvre-chef parmi les dépouilles qui l'entourent : mais qui donc a bien pu ressusciter des macchabées avec des priorités aussi absurdes ? Elle profite de son étrange distraction pour le faire tomber au sol et lui broyer le crâne en enfonçant son pied dedans. Un de moins.
Au loin, de la compagnie s'approche. Un grand humanoïde, qui n'a pas la démarche d'un mort-vivant, des cornes… Un drakyn, sûrement ? Il l'interpelle sur un ton léger, et même si elle n'a plus l'habitude d'être amicale, une partie d'elle apprécie l'intention. Avant la fin du monde, elle aurait choisi ses mots avec soin, et fait attention à respecter toutes ces règles de politesse si importantes pour elle. Mais maintenant, quel intérêt ? Elle avance jusqu'à lui et s'exprime sans détour.
- Pas ma came non plus. Je veux juste traverser cette putain de forêt.
Consciente que l'odeur de la mort et de la terre doivent lui coller à la peau, elle garde quand même une certaine distance avec son interlocuteur - ce qui lui permet de ne pas avoir à trop lever la tête pour lui parler. Distance qu'elle rattrapa très vite dès la première secousse.
- Mauvais signe. Les sols vont céder. Détourne les yeux, je vais faire de la lumière avec ce truc.
Et quand le sol de la forêt se déchire, un flash l'accompagne, comme la lumière d'un éclair qui émane des mains de l'orc. Un petit morceau de papier avec un gros plan sur le torse du drakyn s'échappe de l'appareil photo, et chute lentement entre les fissures de la terre. Oyun passe le cordon autour de son cou et attrape une branche pour se redresser. Ce qu'elle a vu s'approcher au loin est tout sauf bon signe.
- Tombe pas, reste à l'affût, ils convergent sur nous !
Profitant de sa stabilité temporaire, elle arrache une grosse pierre des entrailles ouvertes de la forêt, et la lance en direction de la horde qui se rapproche. Un crâne fendu, et un corps qui s'effondre parmi des douzaines d'autres qui continuent à avancer.
Est-ce qu'à deux, ils tiendront plus longtemps ? Elle a envie d'espérer.
CENDRES
Au loin, de la compagnie s'approche. Un grand humanoïde, qui n'a pas la démarche d'un mort-vivant, des cornes… Un drakyn, sûrement ? Il l'interpelle sur un ton léger, et même si elle n'a plus l'habitude d'être amicale, une partie d'elle apprécie l'intention. Avant la fin du monde, elle aurait choisi ses mots avec soin, et fait attention à respecter toutes ces règles de politesse si importantes pour elle. Mais maintenant, quel intérêt ? Elle avance jusqu'à lui et s'exprime sans détour.
- Pas ma came non plus. Je veux juste traverser cette putain de forêt.
Consciente que l'odeur de la mort et de la terre doivent lui coller à la peau, elle garde quand même une certaine distance avec son interlocuteur - ce qui lui permet de ne pas avoir à trop lever la tête pour lui parler. Distance qu'elle rattrapa très vite dès la première secousse.
- Mauvais signe. Les sols vont céder. Détourne les yeux, je vais faire de la lumière avec ce truc.
Et quand le sol de la forêt se déchire, un flash l'accompagne, comme la lumière d'un éclair qui émane des mains de l'orc. Un petit morceau de papier avec un gros plan sur le torse du drakyn s'échappe de l'appareil photo, et chute lentement entre les fissures de la terre. Oyun passe le cordon autour de son cou et attrape une branche pour se redresser. Ce qu'elle a vu s'approcher au loin est tout sauf bon signe.
- Tombe pas, reste à l'affût, ils convergent sur nous !
Profitant de sa stabilité temporaire, elle arrache une grosse pierre des entrailles ouvertes de la forêt, et la lance en direction de la horde qui se rapproche. Un crâne fendu, et un corps qui s'effondre parmi des douzaines d'autres qui continuent à avancer.
Est-ce qu'à deux, ils tiendront plus longtemps ? Elle a envie d'espérer.
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La Veuve Noire
Leonora de Hengebach
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Race: Humaine
Vocation: Guerrier assassin
Alignement: Loyale neutre
Rang: B
Comme si un monde apocalyptique infesté de zombies ne suffisait pas, il fallait que le ciel et le sol se déchirent.
Léonora courrait de toutes ses forces pour échapper à la horde des infestés, pensant que Jean la suivait à la trace. Lorsqu’elle se retourna, elle vit Jean vomir son midi et son quatre heure aussi… De plus il eut le toupet de lui dire de continuer sans lui. Léonora fronça le sourcil.
Comment ?!
Fâchée, elle fit les quelques petits mètres qui la séparaient de lui alors qu’il venait d’occire un animal zombie. Elle l’attrapa par les épaules et le tourna pour qu’il lui fasse face et secoua l’homme au regard bovin.
Jamais, Monsieur, nous nous séparerons. Plus jamais vous ne me demanderez de partir sans vous !
Alors qu’elle approcha son visage du sien pour l’embrasser car ce serait peut être la dernière occasion pour eux de l’échanger et pour elle de lui montrer son intérêt pour lui mais se ravisa, se souvenant qu’il venait de rendre et grimaça. Le vomit, trop peu pour elle.
Bon maintenant, on fait ça ensemble, jusqu’au bout !
Elle prit son club de golf et attend qu’un zombie s’approche pour lui péter les rotules et défoncer le crâne.
Léonora courrait de toutes ses forces pour échapper à la horde des infestés, pensant que Jean la suivait à la trace. Lorsqu’elle se retourna, elle vit Jean vomir son midi et son quatre heure aussi… De plus il eut le toupet de lui dire de continuer sans lui. Léonora fronça le sourcil.
Comment ?!
Fâchée, elle fit les quelques petits mètres qui la séparaient de lui alors qu’il venait d’occire un animal zombie. Elle l’attrapa par les épaules et le tourna pour qu’il lui fasse face et secoua l’homme au regard bovin.
Jamais, Monsieur, nous nous séparerons. Plus jamais vous ne me demanderez de partir sans vous !
Alors qu’elle approcha son visage du sien pour l’embrasser car ce serait peut être la dernière occasion pour eux de l’échanger et pour elle de lui montrer son intérêt pour lui mais se ravisa, se souvenant qu’il venait de rendre et grimaça. Le vomit, trop peu pour elle.
Bon maintenant, on fait ça ensemble, jusqu’au bout !
Elle prit son club de golf et attend qu’un zombie s’approche pour lui péter les rotules et défoncer le crâne.
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Impératrice-dragon du Reike
Ayshara Ryssen
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crédits : 7056
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Info personnage
Race: Vosdraak
Vocation: Mage - Soutien
Alignement: Loyal neutre
Rang: S - Impératrice
Malgré le paysage chaotique, l'humour parvint à percer d'une façon plutôt... inattendue. Tensai, faire une blague ? Genre, vraiment ? Quoi ? Son mari raconter une plaisanterie ? Est-ce qu'elle devenait folle ou bien... ? Totalement abasourdie, la demoiselle à la chevelure immaculée resta bouche bée, comme si on venait de lui annoncer une attaque plus grande encore que celle des morts.
- Euh... Eh... Monsieur Tensai, il me semble que votre sens de l'humour s'avère tout aussi contagieux que ces zombies. Mais ne croyez pas que je vais me laisser contaminer si facilement. Dit-elle d'un ton faussement réprobateur, tandis qu'elle profitait d'une douce accolade avec son âme soeur.
Le drakyn la rassura concernant le devenir de Draknys. Oui, il s'était sans doute envolé plus loin, fuyant le danger imminent grâce à ses capacités de déplacement. Même si le petit ne détenait que trois printemps à son actif, intellectuellement, il possédait déjà le raisonnement d'un préadolescent et son éducation en tant que prince héritier du Reike lui avait appris à survivre en cas de désastre. Ainsi, peut-être qu'il existait une chance réelle de le retrouver vivant d'ici peu.
Semblant se calmer les nerfs, Ayshara s'apprêtait à répondre à son roi, sauf que... Elle fut poussée par les bras puissants de Tensai, alors que le mur enflammé de l'auberge chuta à peine deux secondes plus tard, engloutissant le corps du Conquérant. Son esprit, refusant d'accepter cette réalité tragique, s'évertuait à inventer une explication rationnelle à ce qui venait de se produire. Hélas, au fur et à mesure que le temps s'égrenait, une vérité insupportable se dessina, celle de la mort de son tendre époux. Le désespoir s'abattit sur sa personne tel une chape de plomb, écrasant son cœur d'une douleur insoutenable. L'ancienne impératrice reconsidéra tous ces sacrifices qu'ils avaient consentis ensemble, à toutes ces concessions qu'ils avaient faites envers les moins méritants comme certains apôtres des titans, pensant naïvement que cela les protégerait, eux et leur fils. Que cela les sauverait. Que cette bonne conscience les aiderait. Elle regretta amèrement ces actes de clémence qui n'avaient servi qu'à les précipiter au sein d'un gouffre de souffrance.
Un cri de rage s'échappa de sa gorge. Elle pivota violemment, ses améthystes foudroyant des zombies errant à proximité. L'instant d'après, elle bondit presque sur eux, ses mains déployant une force anormale pour une jeune femme de son gabarit, brisant os et chair à moitié décomposée, les éliminant un par un dans une explosion de brutalité. Au lieu de la proie vulnérable, les serviteurs de X'o-rath furent confrontés à une dragonne enragée. Ses mouvements se voulaient clairement amplifiés et décuplés par toute sa colère. Voyant rouge, jamais elle n'avait ressenti une pareille haine. Elle ne se contrôlait plus. La vosdraak était prête à tuer le plus de zombies possible jusqu'à tant qu'elle meure elle-même.
Plongée au coeur de cette frénésie meurtrière, elle ne remarqua pas le sol qui tremblait sous ses pieds. Elle ne vit pas non plus la douce lueur qui enveloppa le corps de Tensai. Lorsqu'elle eut fini de déchaîner sa fureur sur ces créatures de malheur, elle se retourna, haletante, et les vêtements maculés de sang, le regard toujours empli d'une tristesse infinie.
- Euh... Eh... Monsieur Tensai, il me semble que votre sens de l'humour s'avère tout aussi contagieux que ces zombies. Mais ne croyez pas que je vais me laisser contaminer si facilement. Dit-elle d'un ton faussement réprobateur, tandis qu'elle profitait d'une douce accolade avec son âme soeur.
Le drakyn la rassura concernant le devenir de Draknys. Oui, il s'était sans doute envolé plus loin, fuyant le danger imminent grâce à ses capacités de déplacement. Même si le petit ne détenait que trois printemps à son actif, intellectuellement, il possédait déjà le raisonnement d'un préadolescent et son éducation en tant que prince héritier du Reike lui avait appris à survivre en cas de désastre. Ainsi, peut-être qu'il existait une chance réelle de le retrouver vivant d'ici peu.
Semblant se calmer les nerfs, Ayshara s'apprêtait à répondre à son roi, sauf que... Elle fut poussée par les bras puissants de Tensai, alors que le mur enflammé de l'auberge chuta à peine deux secondes plus tard, engloutissant le corps du Conquérant. Son esprit, refusant d'accepter cette réalité tragique, s'évertuait à inventer une explication rationnelle à ce qui venait de se produire. Hélas, au fur et à mesure que le temps s'égrenait, une vérité insupportable se dessina, celle de la mort de son tendre époux. Le désespoir s'abattit sur sa personne tel une chape de plomb, écrasant son cœur d'une douleur insoutenable. L'ancienne impératrice reconsidéra tous ces sacrifices qu'ils avaient consentis ensemble, à toutes ces concessions qu'ils avaient faites envers les moins méritants comme certains apôtres des titans, pensant naïvement que cela les protégerait, eux et leur fils. Que cela les sauverait. Que cette bonne conscience les aiderait. Elle regretta amèrement ces actes de clémence qui n'avaient servi qu'à les précipiter au sein d'un gouffre de souffrance.
Un cri de rage s'échappa de sa gorge. Elle pivota violemment, ses améthystes foudroyant des zombies errant à proximité. L'instant d'après, elle bondit presque sur eux, ses mains déployant une force anormale pour une jeune femme de son gabarit, brisant os et chair à moitié décomposée, les éliminant un par un dans une explosion de brutalité. Au lieu de la proie vulnérable, les serviteurs de X'o-rath furent confrontés à une dragonne enragée. Ses mouvements se voulaient clairement amplifiés et décuplés par toute sa colère. Voyant rouge, jamais elle n'avait ressenti une pareille haine. Elle ne se contrôlait plus. La vosdraak était prête à tuer le plus de zombies possible jusqu'à tant qu'elle meure elle-même.
Plongée au coeur de cette frénésie meurtrière, elle ne remarqua pas le sol qui tremblait sous ses pieds. Elle ne vit pas non plus la douce lueur qui enveloppa le corps de Tensai. Lorsqu'elle eut fini de déchaîner sa fureur sur ces créatures de malheur, elle se retourna, haletante, et les vêtements maculés de sang, le regard toujours empli d'une tristesse infinie.
Divinité primordiale
L'Âme des Cendres
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