[Flash-rp] Claque ou calin ?

-Ca ne doit pas être évident ces temps ci...

Dit Halewyn, le nez dans sa coupe avant de la reposer sur la table basse devant elle, s'étirant comme un chat, avant de s'étaler de totu son long sur le canapé, sur le ventre, le menton posé sur l'oreiller, les cheveux rouges éparpillés mettant encore plus sa chute de rein et son fessier en valeur, les yeux noirs fixants Tagar comme si il était l'être le plus intéressant du Sekai.

-Le Reike, pardonne moi l'expression, n'est pas en odeur de sainteté nulle part, ni pour le Shoumeï ni pour la république je ne le crains. Ca doit être une mission extrêmement difficile pour toi cher ami... Il y a du grabuge qui se trame du côté de ma terre natale... Est ce que tu as le temps de te reposer au moins, entre deux missions?

A la question de Tagar, elle a un léger sourire rusé.

-Je rentre chez moi, le Festival c'est bien ,mais chez moi ca sera encore mieux. Je peux te donner l'adresse mon cher, sans peine. Rétorque t'elle, la bouche dans les coussins. Je suis lasse de voyager. J'ai essayé de rentrer chez moi, mais après cette ''nuit'' j'ai compris que Maël serait trop petite pour nous deux, aussi ai-je arpenté un peu mon pays. J'ai finis par rentrer en passant par l'Oasis ou nous nous sommes connus et Ikusa... J'ai fait un stop chez moi et j'ai à peine eu le temps de prendre un bain qu'on m'annoncait le festival et ses activités annexes. Je me devais d'y être en tant qu'immigrée intégrée, Spectre et tout le toutim... Et maintenant que c'est fini, j,ai bien l'intention de me poser et de ne plus bouger de ma maison.

Mon interlocutrice compatit à ma situation, ce qui me fait plaisir. Après avoir fait un rapide résumé de la situation, elle me demande si j’ai le temps de me reposer et je lui réponds avec un sourire triste :

C’est ma première journée depuis plusieurs semaines où j’ai réussi à m’accorder un peu de temps.

Elle m’indique qu’elle rentre chez elle et me propose de lui donner son adresse, je hoche la tête avec conviction pour avoir cette précieuse information. Puis elle me raconte ce qu’il s’est passé pendant notre séparation et j’avoue être un peu inquiet, je me lève donc de mon siège, puis prenant un coussin, je m’assoie par terre, pour être juste à niveau de son visage. Je remets délicatement une mèche de ses cheveux derrière son oreille qui devait la gêner et je lui dis :

Je sais que tu es une guerrière, mais fait bien attention lorsque tu es au Shoumei. Le nouvel Ordre est une bande de fou, prêt à tout pour assurer la victoire des Titans, même si cela doit entraîner l’extinction de toute forme de vie. J’ai connu leur chef, le grand-prêtre Seagan avant la guerre et je l’ai croisé à nouveau, dans le cadre d’une mission il y a quelques semaines, il a complètement vrillé. C’est un puissant magicien, alors reste le plus loin possible de Celestia.

Voilà, je pense avoir tout dit à ce sujet, je suis sincèrement inquiet pour mon amie et j’espère que tout ira bien pour elle.

Ah bah voilà!!! ca aura pris plus qu'un mois, mais quand même... Elle aura fini par entendre parler du nouvel ordre. Coment un homme peut il jumeler romantisme innocent et affaire d'état? pivotant sur le côté, la Shoumeienne plonge son regard noir dans le bleu si bleu.

-Je l'ai déjà rencontré et comme tu peux le voir, j'en suis sortie avec ma vie. J'ai cru un moment que j'allais y passer, il y avait dix hommes avec lui et oi j'étais seule. J'étais sur le bord de la falaise, en train de réfléchir à ma vie

Elle lui sourit doucement, lui servant une version fort simpliste

-Ne t'inquiète pas, je ne faisais qu'admirer le panorama. Quand il est venu me faire l'offre de rebâtir Shoumei à ses côté. Ce que jai du refuser pour des raisons évidentes. Il a respecté mon refus... Et m'a invitée à revenir le voir si le moment opportun se présente. Telle est mon expérience... Tu dis qu'il est un fou dangereux? Peut-être. Il est tellement emplit de chagrin qu'il ne ressent plus rien en effet... Ca le rend dangereux? Parfaitement. Je pense plus qu'il s'attache au passé pour éviter de contempler le présent. Force est d'admettre cependant que votre Empire a une drôle de façcon de remercier ses sauveurs. Sans lui, il n'y aurait plus d'impératrice et nul dragon dont brandir l'ombre sur vos amis ennemis. C'est... comment pourrais je dire... comme être un chaton a côté dun tigre grondant sans cesse... Ca rend nerveux

Je suis très étonné par les paroles de la jolie jeune femme, elle a rencontré Seagan. J’ai du mal à suivre ses explications, il a sollicité son aide ? Voilà qui est surprenant, je ne vois pas en quoi elle peut l’aider, elle a du l'embobiner d'une manière ou d'une autre ! C’est pourquoi je lui dis :

Tu es vraiment très courageuse.

Elle parle ensuite de la politique de l’Empire et je lui annonce en souriant :

Si toutes les personnes, blessées ou emprisonnées par les dirigeants des différentes nations devenaient folles et voulaient tuer tous les habitants d’un pays, il ne restera plus un être vivant dans tous le Sekai. Je suis bien placé pour savoir à quel point l’arbitraire est la norme chez les puissants, aucun pays n’est épargné par cela.

Après tout, j’ai également été emprisonné injustement et je n’en ai pas fait toute une histoire. Je lui ressers un verre de vin et je lui demande :

Je savais que tu étais irrésistible, même le Grand-prêtre n’a pas résisté à tes charmes. Mais pourquoi tu as refusé sa proposition ?

Est-ce qu’elle ne voulait pas me faire de peine en acceptant, parce qu’elle tient à moi ?

Le regard noir se fait légèrement plus dur. Tagar la voit encore comme une jeune damoiselle en détresse nécessitant d'être sauvée. Et c'est la phrase maladroitement lancée qui lui fait hausser un sourcil

-Je ne suis pas courageuse... Si je l'étais, je ne serais pas avachie ici patiemment, mais je prendrais les devants. Et si les titans m'ont apprise une chose c'est qu'aussi puissant quelqu'un puisse t'il être, il n'est pas invincible. Quand la Faucheuse passera, il tombera sous la faux comme n'importe qui d'autre. Et plus tu es puissant, plus tu es seul peu importe par qui tu es entourée ceci dit.

Dit elle en le regardant dans les yeux, ne cillant même pas

-Tu as une de ces facons de faire des compliments... Et tu ne me vois encore que comme une simple courtisane écervelée malgré tes compliments, à moins que ca ne soit une façon maladroite de me signaler ta jalousie? Peu importe, je te pardonne ta maladresse... La réponse est non, je ne suis pas sa maitresse, non, je n'ai pas couché avec. Il ne m'a pas vue que comme une jolie chose à brandir à son bras, fragile, démunie et désœuvrée. Mais presque comme une égale. Ce qui me change, ca ne m'étais pas arrivée depuis mon enrôlement chez les Spectres. J'ai refusé parce que ca ne me convenait point. Et ses vues... sont... mmmm... disons .... diamétrialement opposées aux miennes. Il le sait, et il sait que je le sais... Il ne m'a pas tuée et m'a laissé la porte ouverte ... D'après toi Tagar, c'est grâce à mon caractère, à mes capacitées ou à mon cul que je le dois?

Demande t'elle innocemment en posant une main sur le bras de l'homme.

Ma jeune et jolie interlocutrice me contredit, m’indiquant qu’elle n’est pas courageuse. Elle semble avoir compris de travers et me donne des informations qui me font légèrement rougir, puis me pose une question, qui me surprend. Alors je me lève, quittant mon coussin, me dégagant doucement de son bras et prenant quelques mètres de distances, je lui dis simplement :

Le guerrier qui m’accompagnait a failli mourir, brûlé par son feu divin alors qu’il n’avait rien fait. Quant à moi, j’ai été menacé de mort par son adjointe, une ange, aussi dingue que lui, si je revenais.

Je le regarde droit dans les yeux et je lui dis :

Tu sais très bien que tu as un corps magnifique, mais ton charme ne se limite pas à cela. Tu es une femme intelligente, une combattante et n’importe quel homme serait prêt à décrocher la lune pour que tu lui permettes de rester à tes côtés. Seagan n’a pas été insensible non plus à tout cela et je le comprends très bien, cela nous fait au moins un point en commun.

Je conclus, d’un ton assez froid :

Je pensais que nous étions amis, mais de toute évidence, tu me prends pour un barbare, incapable de te comprendre et qui a des pensées au niveau des pâquerettes.

Voilà, je pense avoir tout dit. J’ai réellement de la peine de savoir qu’elle me considère comme cela.

Dans un bruissement, Halewyn se lève et va rejoindre Tagar qu'elle touche délicatement en le contournant pour lui faire face, toute douceur et sérieuse, yeux baissés.

-Je ne dois ma vie que parce que j'ai eu la sagesse de ne pas le contredire ouvertement et la fierté de ne pas ployer le genou. Et je te prie de m'excuser si je t'ai froissé... Les gens ont de la difficulté à voir ce que je suis réellement, ne voient en moi qu'un bibelot écervelé et parfois ca me rend acerbe et inconséquente. Tu n'as pas à subir mon humeur... Le fait est que je sens que je dois sans cesse faire mes preuves, encore et encore pour être acceptée et cela me fatigue tellement, tu ne peux pas savoir.

Elle lève vers lui de grands yeux brillants et tristes.

La jeune femme se lève de son canapé et me rejoint, s’excusant de son comportement et m’expliquant le pourquoi de son comportement. Elle est tellement mignonne que je craque complètement et cédant à une impulsion, je lui fais un câlin le second depuis que je suis là, la serrant doucement contre moi, ma main gauche au niveau de ses cheveux et la droite dans le dos, lui disant simplement :

Je suis incapable de t’en vouloir. Tu sais que tu n’as pas besoin de faire tes preuves avec moi. Je te connais très bien, et tu me connais également. Je te soutiendrais quoi qu’il arrive et je voulais te faire comprendre que je suis très content et très admiratif que tu es pu t’en sortir sans dommage de ta rencontre avec ce dingo.Pour ma part, je vais devoir surement délivrer un second courrier et comme je ne suis pas très courageux, j'avoue avoir peur d'y retourner.

Je fais encore une fois durer le câlin, encore plus longtemps si je peux, car Hale m’a vraiment manqué et je lui demande :

Est-ce que tu veux manger avec moi ? Je te laisse te reposer et je viendrais te chercher à l’heure que tu souhaites. Nous pouvons même commander si tu ne veux pas sortir de ta suite.

J’espère qu’elle acceptera, j’ai prévu une journée au calme et je sais qu’avec la jeune femme à mes côtés, je vais passer un bon moment rien qu’en discutant avec elle.

Et voilà le mortel qui tombe dans le panneau, la prenant dans ses bras s'abandonnant, iel succube pose la tête sur l'épaule. Hé, mais iel n'est pas une mini non plus qui peut poser la tête sur le coeur de l'homme hein!

Soudainement, elle se redresse de toute sa taille, le dominant presque, sourcils froncés, creusant une ligne verticale au milieu du front haut et gracieux.

Pourquoi retourner délivrer un message au péril de ta vie?

Elle pose un doigt sur les lèvres du Reikois, le faisant impérieusement taire.

-Nonon.... tu t'asseois ici et maintenant, je ne te laisse pas sortir de cette suite avant que tu ne m'explique en détail de quoi il retourne. Il est hors de questions de risquer ta vie.

Ce mouvement qui peut passer pour altruiste au demeurant, a deux fonction, gagner la confiance de Tagar et de Seagan en servant d'intermédiaire. Surtout qu'iel a une façon sécuritaire et rapide d'y parvenir. Mais ca, il n'est pas obligé de le savoir tout de suite. D'office, Iel succube le renvoie dans le fauteuil et va chercher le chariot entre leur chambres, avec le repas qu'il a commandé. Alors se met t'elle en frais de le servir elle-même, lui dépliant une petite table à dîner qu'elle dresse impeccablement, en un tournemain.

-Je ne mange pas quand je réfléchis, lui dit elle en remplissant la coupe du contrôleur royal, avant de soulever la cloche du déjeuner de ce dernier. - Je peux peut-être t'aider, mais n'omet rien mon ami. Parle moi comme tu le ferais devant lui.

La jeune femme accepte mon câlin, je la connais maintenant très bien et je sais qu’au fond d’elle, elle a besoin de se détendre un peu, relâcher un peu la pression comme disent les jeunes. Elle me pose ensuite une question, mais je n’ai pas le temps d’y répondre, car elle devient hyper-active ! Elle prend le chariot qui devait être devant ma porte, me servant à manger et un verre de vin, me demandant de tout lui dire. Je lui souris et je lui dis à nouveau :

Tu es adorable, mais je ne pense pas que tu puisses m’aider. Toutefois, je vais te raconter mon histoire, car je te fais confiance.

Je mange donc l’entrée, des tomates cerise, en lui indiquant :

Tu dois savoir, que la Reine et le Grand-prêtre s’entendaient bien.

C’est de notoriété publique que ce dernier a quittée son pays pour la sauver, ce qui a causé un beau scandale !

Alors la Reine me charge de faire le messager entre elle et lui, mais cela ne se passe pas super bien. Si j’ai de nouveau un courrier à transmettre, je risque de manquer de courage, surtout vu les menaces que l’on m’a faites.

Je montre ensuite à mon interlocutrice le dessert, un gâteau au chocolat et je lui précise :

Nous pouvons le partager à deux, je n’ai pas très faim.

Un moment, Halewyn se laisse presque distraire par le succulent morceau de gâteau au chocolat. Tagar Reys a le don de lui faire des offrandes qui lui plaisent. Et le prix de la corruption de Hale est du gâteau au chocolat. Petit péché mignon... Mais avant de le manger, on doit le gagner...

Plus tard, sinon je ne penserai plus à rien d'autre...

Sourit elle en reprenant place sur le canapé, ramenant ses cheveux rouges par dessus son épaule dans un geste pensif.

Bon, réfléchissons, ta reine t'a renvoyé en mission suicide porter un deuxième message . Parce que je présume qu'elle sait comment s'est déroulé le premier. Elle t'a donné des ordres précis pour remettre le message? Parce qu'il se trouve que tu as quelqu'un, devant toi, qui est en mesure de le porter au récipiendaire sans risquer la sienne. Arrête de me faire languir et dis moi le contenu.

Sa réflexion sur le gâteau au chocolat me fait sourire, car je suis également un grand adepte de ce genre de douceur et je lui fait comprendre mon accord en hochant la tête. Elle me pose ensuite différentes questions et je lui réponds du mieux que je peux :

Elle sait comment s'est passé le transport du premier message, je lui ai fait un rapport complet.

C’est mon rôle, en tant que Contrôleur Royal de faire des rapports. J’en fais pleins et pour, littéralement, tout et n’importe quoi. Je continue ensuite :

Pour le moment, elle ne m’a pas demandé de convoyer un second message, mais vu les événements récents, cela ne devrait pas tarder, d’où mon inquiétude.

Elle me propose son aide et je lui indique :

C’est très aimable de ta part, mais je ne peux pas te mettre en danger. Surtout qu’il s’agit de mon travail et non du tien. Tu sais que je ne tiens beaucoup à toi et s’il t’arrivait quelque chose, je ne pourrais jamais me le pardonner.

Je lui prends sa main si douce pour lui montrer à quel point, mon interlocutrice est importante pour moi.

-Te considère tu si sacrifiable pour ainsi décliner mon offre? Prenons l'inverse, si j'ai un message à livrer à ta chère impératrice, j'y risquerais ma vie non? Tu ne me laisserais assurément pas me mettre en danger alors que le risque sera infinitésimal de ton côté.

Plaide t'elle sa cause.

-En quoi est ce si différente? Si Seagan te tue et que ca sera parce que tu ne m'aura pas écoutée, je te fais le serment Reys... J'irai apprendre la nécromancie même si ca me rebute, juste pour te relever et te chauffer les oreilles comme il se doit Tagar. Tu as l'oreille de ta reine, j,ai la curiosité du Haut-prêtre... Nous pouvons assurément diminuer les risques autant pour toi que pour moi... Et si ca change... Et biens nous réévaluerons?

Puis, le prenant à contrepied, elle se déhanche dans un geste fantasque, le prenant en otage totu contre l'accoudoir, les yeux noirs en amande dans les yeux bleus du contrôleur royal, le décolleté de sa chemise baillant allègrement, l'inondant de son odeur de fleurs sauvages.

-Tagar Reys, jure moi que tu ne laissera pas ta patrie t'envoyer à la mort...

Les paroles de la jeune femme me font réfléchir. Effectivement, si la situation était inversée, je l’aiderais pour amener sa missive à l’Impératrice. Je suis tiré de mes réflexions par une réflexion de Hale sur la nécromancie qui me fait sourire, car je connais bien la magie, et apprendre la Nécromancie, n’est pas chose aisée.

Puis elle me plaque sans que je ne comprenne comment contre l’accoudoir et je peux de nouveau sentir son délicat parfum. Je rougis, bien entendu, impossible de faire autrement, mais je suis en même temps touché par ce geste d’affection complètement désintéressé, alors je lui dis en souriant :

Tu sais que tu es irrésistible ? Très bien, je te jure que la prochaine fois que j’aurais une missive, je t’en parlerais avant d’y aller. Nous étudierons ensemble la situation et nous prendrons une décision commune, est-ce que cela te convient ?

Je suis à la fois gêné par notre proximité, mais je suis également excité par la situation. Mon cerveau et mon corps ne semblent pas être tout à fait d’accord sur la conduite à tenir, devant cet être ravissant.

Satisfaite? A moitié. Bon, un autre idéaliste qui va se laisser envoyer au casse pipe au nom du patriotisme. Avec la chance de pendu qu'il a, il risque fort bien de mourir vieux et entouré des gamins qu'il veut tant... Avec douceur elle le libère à moitié, s'asseyant sur l'accoudoir de libre. Puis, elle prend le morceau de gâteau et la fourchette et en prend un morceau qu'elle tend à l'homme, l'invitant à un moment d'intimité rare... Un sourire en coin, elle lui donne à manger, littéralement.

Alors... Maintenant que c'est réglé, il ne me reste plus qu'àm'inquiéter pour toi. Tu as été vague sur ta vie amoureuse, le grand Tagar Reys, bourreau des coeur Reikois, a t'il enfin vu une dame qui a grâce à ses yeux?

Demande t'elle, avant d'enfourner une part de l'exquis gâteau au chocolat. Vous l'ai-je dit que chaque être vivant sur cette terre a son prix et que le sien c'était ces merveilles culinaire? Non, elle n'a pas besoin de manger pour vivre, ce qui rend les aliments encore plus savoureux pour ses papilles difficiles. ....

Oh, et que je suis sotte... Comment va dame ta mère? Tu ne m'en a pas parlé une seule fois...

Demande t'elle en lui remplissant de nouveau la coupe, en bonne hôtesse, elle ne doit pas laisser la gorge de l'homme se dessécher.