Vir’ Zetravy’ est une personne qui se montre simple, calme et pleine de bonté, mais en réalité, elle est bien plus complexe une fois qu’on la connaît mieux que ça. En quête de sa voie intérieure et de savoir pour mieux se connaître elle et le monde, la jeune femme peut se montrer tout aussi gentille et humaine que froide et insensible lorsque cela peut concerner son but ou des choses qu’elle peut détester; comme le crime et donc les criminels sans scrupule. Le dicton qui dit que pour battre un monstre il faut en devenir un, est une citation qu’elle prend à la lettre lorsqu’elle est en capacité d’aider une personne mais que celle-ci s’est montrée injuste dans sa vie, elle n’aura aucune pitié à le laisser mourir. Plutôt lunatique mais la plupart du temps serviable, courageuse et bonne amie, elle ne donne pas sa confiance si facilement et à l’habitude d’être seule en général, surtout depuis qu’elle vagabonde.

Pour ce qui est de son physique, Vir’ est une jeune femme sincèrement belle et adorable. Habitée par des cheveux roux clairs et foncés telle une flamme et des yeux jaune et oranges vifs. Vir’ n’hésite pas à jouer de ses charmes lorsque la situation peut lui échapper, même si ce n’est pas quelque chose qu’elle affectionne faire. Atteinte d'un teint pâle à laquelle on rapproche plus un trait physique atypique et agréable qu’une maladie repoussante, elle se démarque des autres femmes par ses iris légèrement différentes et sa façon de parler qui est très posée et soutenue, comme si elle choisissait chaque mot avec précaution et douceur.

Pleine de surprises une fois qu’on la connait mieux et qu’elle a la personne dans son estime, Vir’ est drôle, douce et profondément altruiste et humaine bien que quelques idées qu’elle emprunte à sa faction - ou à d’autres exemples de la vie - sont bien plus tranchants et extrêmes.

Possédant un corps aux mesures proportionnelles et aux courbes avantageuses, Vir’ a beaucoup plu dans sa jeunesse mais n’a pas trouvé la chaussure à son pied.

Vir’ Zetravy’ est née à Reike, à Taisen précisément, dans une famille modeste où seul le père travaillait en tant que soldat et où le frère aîné de Vir’, Nathaniel, était apprenti forgeron; seuls les deux hommes de la maison rapportaient un peu d’argent et donc il y avait toujours à manger sur la table et une demeure correct. Elevée la plupart du temps par sa mère qui lui enseigna sa sagesse héréditaire et les bonnes manières, Vir’ grandit à Reike, tatouée au milieu du dos de la marque de sa nation et élevée dans les valeurs Reikoises, jusqu’à tracer sa propre route, insatisfaite de la vie menée à la capitale et d’être sous le joug des règles et valeurs de Reike qu’elle ne partageait pas en majorité.

Débrouillarde, belle et en quête de savoir, la jeune femme aux yeux jaune orangé comme le soleil, vient parcourir un chemin hasardeux pour découvrir le monde et se découvrir. Partie à ses 19 ans, cela fait maintenant 5 ans qu’elle se trouve dehors, dormant quelques semaines à une auberge, effectuant des travaux pour tout de même parvenir à manger et acheter les ressources nécessaires à son voyage. Vir’ écrit des lettres pour les personnes qui ne savent pas comment en écrire, fait des travaux aux champs qui ne sont pas trop compliqués, s’occupe des animaux, soigne par ses connaissances limitées les créatures et personnes blessées tout cela contre une faible rémunération et sans magie.

Tout ceux qui ont pu l’apercevoir partagent l’idée que cette jeune femme est un brin de joie et de calme qui vient apporter douceur et gentillesse dans le coin pendant un petit moment appréciable.

Dans sa vie qui était jusque là morne et peu enviable, Vir’ découvre maintenant la beauté du monde mais aussi ses dangers. Souvent, faute de savoir se défendre seule face à de nombreux monstres, elle utilise l’argent, l’entraide ou l’amitié pour pouvoir traverser des endroits dangereux et répugnants, des lieux où elle ne ferait pas long feu. C’est ainsi qu’elle pu également échopper d’une cicatrice à la gorge, un gobelin qui lui a sauté dessus pour l’éviscérer, mais un homme armé d’une bonne épée et du bon timing lui sauva la vie; une chance.

Intelligente, elle se renseigne sur les endroits à traverser avant d’y aller à l’aveugle, ainsi, elle fait preuve d’organisation et sait se montrer plus rapide et efficace dans ses déplacements et sa manière d’improviser les éventuelles attaques; un véritable esprit de tacticienne.

Ayant fait de belles rencontres sur le chemin, cela a fait travailler sa confiance soi et aux autres, une certaine froideur face aux inconnus et une connaissance certaine du monde au-delà de la politique et des guerres. Intéressée par les gens et leurs histoires, Vir’ a beaucoup côtoyé les elfes et en garde un excellent souvenir, d’ailleurs, rester proche de leurs terres et avoir cette liberté en main, sa liberté, lui procure une certaine joie qu’elle adore ressentir. Souvent seule, avec le temps qui passe et comme beaucoup d’humains, Vir’ a des envies et elle aimerait se poser dans un endroit à elle où construire son histoire et une famille deviennent peu à peu ses rêves qu’elle compte bien construire; des objectifs simples mais si importants à ses yeux.

Même si l’envie d’une vie tranquille lui fait envie, Vir’ cherche toujours l’aventure et attend que quelque chose de plus grand l’appelle à venir vers elle, et de là, peut-être qu’un plus grand destin viendra toquer à sa porte.

Reike: Quant à sa terre natale, Vir’ s’en est éloignée, ne trouvant nullement sa place dans un endroit comme celui-ci, n’étant déjà pas d’accord avec le principe d’esclavage par exemple. Elle n’est pas contre à y retourner, mais elle sait d’avance qu’elle n’y serait pas vraiment chez-elle.

Melorn: Concernant les elfes et leur cité, Vir’ a directement adoré leur culture et l’importance qu’ils accordent à la liberté. se sentant un peu plus chez-elle qu’ailleurs, la jeune femme a passé un moment avec eux et elle serait prête à se battre pour eux ou habiter là-bas un jour si son cœur demande le repos.

La République :  Mieux dans la république qu’à Reike, Vir’ ne sent tout de même pas en accord total avec les principes de la république souvent erronés. Les villes sont accueillantes pour la plupart et Liberty est une ville qu’elle a beaucoup aimé, où passer du temps lui a fait du bien malgré quelques choses qui lui ont déplu par moment.