Invité
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Oyun
Race : Orc
Sexe : Féminin
Âge : 35
Métier : Soldat d'élite
Taille & poids : 2m & 170kg
Alignement : Loyal Neutre
Faction : Reike
Rang : C
Religion : Athée
Avatar : OC (Raega) de Guttertongue
Pouvoirs et objets
Vocation et sous-spécialisation : Guerrier - Assassin
Pouvoirs :
Agilité - Palier 2
Vue augmentée - Palier 2 - 450
Nyctalopie - Palier 1 - 150
Invocation d'objets - Palier 1 - 500
Senseur magique - Palier 1 - 500
Air - Palier 3
Absorption magique - Palier 1
Prouesses d'arme - Palier 1 - Lier l'élément Air à ses projectiles : Cette prouesse permet à Oyun d'entourer ses projectiles (lances, javelots, carreaux d'arbalète, harpons, étoiles de lancer..) avec un courant d'air dont la puissance est proportionnelle au mana qu'elle y infuse. A faible puissance, elle peut renforcer la vitesse et la force d'impact d'un projectile. En investissant plus de magie, elle peut utiliser l'air qui entoure le projectile pour modifier sa trajectoire après qu'il soit lancé - ce qui se transcrit hors RP par une utilisation supplémentaire d'un palier 2 d'air, car cela demande plus de précision et de concentration qu'un "simple" renforcement.
Un p'tit remontant : Une étrange petite fiole contenant un liquide extrêmement douteux de couleur brune. Malgré que cette mixture soit complètement dégueulasse, cette dernier contient une certaine magie, parce que la consommer vous redonnera temporairement du mana.
Consommer cette potion vous regénère +2 utilisations de palier 3. Lorsque le P'tit remontant est utilisé lors d'une PA ou d'un event, ce dernier sera détruit de votre inventaire.
- Gemme de curiosité
Gains d'events :
+4 utilisations de P2 et +2 utilisations de P3
* Une arme en bronze céleste, propriété indestructible: Hallebarde.
Traits raciaux : Immunité à la douleur physique, Faiblesse à la magie psychique.
+ Force naturelle d'orc : Oyun peut porter des charges lourdes avec plus de facilité que les autres races. Elle a une disposition innée pour les armures et les armes lourdes, et en profite pour souvent utiliser des armes d'estoc comme des armes de jet.
Langues parlées et lues : Le commun, l'elfique, le divina, le shierak qiya.
Armes de prédilection : Armes d'hast (hallebarde, lances) et armes de jet (javelots, harpons, étoiles de lancer). Elle est également douée à l'arbalète et sait opérer plusieurs types d'artillerie (trébuchets, balistes).
Pouvoirs :
Agilité - Palier 2
Vue augmentée - Palier 2 - 450
Nyctalopie - Palier 1 - 150
Invocation d'objets - Palier 1 - 500
Senseur magique - Palier 1 - 500
Air - Palier 3
Absorption magique - Palier 1
Prouesses d'arme - Palier 1 - Lier l'élément Air à ses projectiles : Cette prouesse permet à Oyun d'entourer ses projectiles (lances, javelots, carreaux d'arbalète, harpons, étoiles de lancer..) avec un courant d'air dont la puissance est proportionnelle au mana qu'elle y infuse. A faible puissance, elle peut renforcer la vitesse et la force d'impact d'un projectile. En investissant plus de magie, elle peut utiliser l'air qui entoure le projectile pour modifier sa trajectoire après qu'il soit lancé - ce qui se transcrit hors RP par une utilisation supplémentaire d'un palier 2 d'air, car cela demande plus de précision et de concentration qu'un "simple" renforcement.
Un p'tit remontant : Une étrange petite fiole contenant un liquide extrêmement douteux de couleur brune. Malgré que cette mixture soit complètement dégueulasse, cette dernier contient une certaine magie, parce que la consommer vous redonnera temporairement du mana.
Consommer cette potion vous regénère +2 utilisations de palier 3. Lorsque le P'tit remontant est utilisé lors d'une PA ou d'un event, ce dernier sera détruit de votre inventaire.
- Gemme de curiosité
Gains d'events :
+4 utilisations de P2 et +2 utilisations de P3
* Une arme en bronze céleste, propriété indestructible: Hallebarde.
Traits raciaux : Immunité à la douleur physique, Faiblesse à la magie psychique.
+ Force naturelle d'orc : Oyun peut porter des charges lourdes avec plus de facilité que les autres races. Elle a une disposition innée pour les armures et les armes lourdes, et en profite pour souvent utiliser des armes d'estoc comme des armes de jet.
Langues parlées et lues : Le commun, l'elfique, le divina, le shierak qiya.
Armes de prédilection : Armes d'hast (hallebarde, lances) et armes de jet (javelots, harpons, étoiles de lancer). Elle est également douée à l'arbalète et sait opérer plusieurs types d'artillerie (trébuchets, balistes).
Description physique et mentale
Oyun ne domine pas le paysage que par sa simple carrure. Le port altier, le regard qui analyse tout ce qui l'entoure, elle calcule la portée de ses gestes autant que celle de ses mots. Mais si la rigidité des elfes qui l'ont éduquée émane de tout son être, elle n'a rien gardé de la noblesse de son foyer d'accueil.
"Normal, c'est une orc", aurait dit son simulacre de famille. Elle a dépassé les cent kilos de muscle à dix ans, et atteint les deux mètres à treize. Ses canines lui donnent des airs de phacochère, sa peau au teint marécageux et ses sclères noires sont là même pour rappeler l'origine malsaine de sa race de barbares. Les années et les rencontres l'ont habituée à entendre tout ce qui peut bien se dire sur ce qu'elle est. Ces sujets douloureux pour une enfant, chatouilleux pour une adolescente, ne sont maintenant plus que des souffles faibles qui glissent sur sa peau rugueuse. Les années l'ont rendue endurante, mentalement et physiquement. Il faut bien être particulièrement patient pour prendre le temps de tresser ses cheveux crépus, et tout autant pour garder la même attitude sobre et polie envers des soldats comme envers des nobles.
De temps en temps, elle abaisse son bouclier social. Quand elle est bien entourée, quand elle se sent à l'aise, ou simplement quand la vulnérabilité prend le dessus. Et derrière tout son sérieux et ses bonnes manières, derrière l'intellectuelle insondable, se cache une femme aux désirs simples et pleine de bonhomie. C'est dans ces rares moments que son visage s'adoucit, que ses ordres autoritaires prennent le ton complice d'une grande sœur protectrice, qu'elle paie ses tournées et qu'elle joue aux dominos avec les copains.
C'est parce que cette oasis de bonheur est précieuse qu'Oyun ne reculera devant rien pour la défendre. C'est pour préserver ce droit à la belle vie qu'elle n'a jamais hésité à prendre les armes contre les ennemis qu'on lui désigne. Elle ne cherche pas le pouvoir plus que de raison : à quoi bon se battre pour dominer un monde encore dévasté par les horreurs qu'il a subi pendant des millénaires ? Laissons ces préoccupations à ceux qui y trouvent un intérêt. Ca fait des années que son idéalisme s'est transformé en désillusions, mais elle lève toujours ses armes avec la même rigueur.
Elle n'a jamais pu et ne pourra jamais cacher le fait qu'elle a grandi dans un milieu particulièrement privilégié. Mais comme son tatouage emblématique de sa citoyenneté reikoise, enfoui sous ses bottes, derrière son mollet, on ne pourra jamais lui retirer sa vraie nature non plus. Sa race a été créée pour la destruction, ses débuts de vie ont été modelés pour le prestige, mais avant tout, Oyun existe pour la justice.
La sienne.
"Normal, c'est une orc", aurait dit son simulacre de famille. Elle a dépassé les cent kilos de muscle à dix ans, et atteint les deux mètres à treize. Ses canines lui donnent des airs de phacochère, sa peau au teint marécageux et ses sclères noires sont là même pour rappeler l'origine malsaine de sa race de barbares. Les années et les rencontres l'ont habituée à entendre tout ce qui peut bien se dire sur ce qu'elle est. Ces sujets douloureux pour une enfant, chatouilleux pour une adolescente, ne sont maintenant plus que des souffles faibles qui glissent sur sa peau rugueuse. Les années l'ont rendue endurante, mentalement et physiquement. Il faut bien être particulièrement patient pour prendre le temps de tresser ses cheveux crépus, et tout autant pour garder la même attitude sobre et polie envers des soldats comme envers des nobles.
De temps en temps, elle abaisse son bouclier social. Quand elle est bien entourée, quand elle se sent à l'aise, ou simplement quand la vulnérabilité prend le dessus. Et derrière tout son sérieux et ses bonnes manières, derrière l'intellectuelle insondable, se cache une femme aux désirs simples et pleine de bonhomie. C'est dans ces rares moments que son visage s'adoucit, que ses ordres autoritaires prennent le ton complice d'une grande sœur protectrice, qu'elle paie ses tournées et qu'elle joue aux dominos avec les copains.
C'est parce que cette oasis de bonheur est précieuse qu'Oyun ne reculera devant rien pour la défendre. C'est pour préserver ce droit à la belle vie qu'elle n'a jamais hésité à prendre les armes contre les ennemis qu'on lui désigne. Elle ne cherche pas le pouvoir plus que de raison : à quoi bon se battre pour dominer un monde encore dévasté par les horreurs qu'il a subi pendant des millénaires ? Laissons ces préoccupations à ceux qui y trouvent un intérêt. Ca fait des années que son idéalisme s'est transformé en désillusions, mais elle lève toujours ses armes avec la même rigueur.
Elle n'a jamais pu et ne pourra jamais cacher le fait qu'elle a grandi dans un milieu particulièrement privilégié. Mais comme son tatouage emblématique de sa citoyenneté reikoise, enfoui sous ses bottes, derrière son mollet, on ne pourra jamais lui retirer sa vraie nature non plus. Sa race a été créée pour la destruction, ses débuts de vie ont été modelés pour le prestige, mais avant tout, Oyun existe pour la justice.
La sienne.
Histoire ou test-rp
Née dans une famille chaleureuse d'orcs du Reike, l'enfant n'aura jamais eu l'occasion d'en profiter. Elle en sera séparée au cours d'un éboulement, alors qu'ils étaient en chemin pour rejoindre Melorn depuis leur montagne. Une puissante elfe lui sauve la vie avec sa magie. L'enfant met des mois à retrouver la parole après le choc, mais elle suit sa sauveuse partout. Elle absorbe tout ce qu'elle voit, tout ce qu'elle dit. Toute la beauté de la cité des elfes, tout ce qu'il y a à voir et à apprendre.
Les mois passent, et là où l'enfant apprend à apprécier les différences qui l'entourent, les autres s'habituent à lui faire payer les siennes. Vous savez comment sont les enfants entre eux. Vous savez comment sont vus les orcs. L'enfant est triste, et sa sauveuse la console toute les nuits avec le même sourire attendri. Elle lui dit de leur prouver qu'ils ont tort en étant simplement elle-même. L'enfant, naïve, boit ses paroles. Elle sera la meilleure version d'elle-même qu'elle puisse être.
L'enfant se ferme sur elle-même avec les années qui passent. Sa sauveuse lui apparaît de plus en plus comme un cadeau empoisonné de la part du ciel. Sans elle, elle ne serait pas en vie. Mais avec elle, sa vie n'est qu'une suite planifiée d'exercices et de punitions. Tiens-toi bien droite, si tu veux que les elfes te respectent. Apprends plus, si tu veux dépasser la vision qu'ils ont de toi. Tu ne deviendras jamais rien en marchant comme un loubard. La jeune adolescente en a marre de jouer les marionnettes. Ses seuls amis lui parlent uniquement pour se faire bien voir de la sauveuse. Les invités ne viennent à la maison que pour voir "l'orc domptée", et complimenter le bénévolat et la générosité dont fait preuve la sauveuse.
Un soir, après un goûter de nobles, elles se disputent. La famille de la sauveuse est en route pour Melorn, et l'adolescente devrait en profiter pour leur demander des conseils en magie élémentaire et de soutien, pour exceller à l'université. Mais je veux me battre ! N'es-tu donc qu'un cliché sur pattes ? La table est renversée, et des vases inestimables sont brisés. Les voix s'élèvent dans le manoir. La sauveuse, voyant bien que le conflit est sans issue, lui cèdera alors ceci : l'orc aura le droit de choisir sa vocation magique, à condition qu'elle suive le cursus à Drakstrang choisi pour elle.
La condition n'est pas respectée. En rentrant de son service militaire, l'adolescente presque adulte a rempli ses formulaires sans consulter la sauveuse. La famille fait pourtant pression, tous essaient d'utiliser leur influence et leurs contacts à Melorn pour faire appel à l'université reikoise : sans succès. Comment détourner une orc si bien éduquée de son potentiel en tant que guerrière, quand leurs seuls arguments sont la notoriété ? Même l'argent ne suffit pas pour renverser les préjugés - ceux-là mêmes, que l'adolescente a retourné à son avantage.
Cette fois, les mots ne sont pas les seules armes brandies. Il faut lui donner une bonne leçon, pense celle qui aurait pu devenir sa mère. Ce n'est qu'une barbare, je te l'avais dit, répète encore et encore celui qui aurait pu être son frère. Pendant tout son cursus au campus de la ville des elfes, la jeune orc navigue entre les complots que fomente son propre foyer, les exigences des professeurs, et la volonté sincère de rejoindre l'élite militaire, de se sentir enfin assez puissante pour être libre.
Personne ne la félicite quand elle est diplômée, ni quand elle annonce qu'elle rejoint les forces d'élite qui patrouillent les terres du Nord. Elle est pourtant sincèrement, candidement heureuse. La sauveuse au moins devrait la comprendre, non ? C'est sa façon à elle de faire le lien entre la personne qu'elle est devenue, et la personne qu'elle aurait pu être.
La nuit suivant son retour au manoir, la sauveuse montre son vrai visage. L'orc se réveille, les bras et les jambes pris dans des lianes qui ont envahi son lit. Elle crie d'incompréhension, elle appelle à l'aide. Tout le monde est à la maison, pourquoi personne ne vient la sauver ? Parce que la sauveuse le leur a ordonné, parce que c'est elle qui contrôle les lianes. La peur devient de la tristesse. Pourquoi ?! La sauveuse la regarde avec la froideur caractéristique des êtres pluriséculaires qui se sont lassés. Tu es un échec qui n'a pas lieu d'être. Tu n'as pas su devenir ce que je voulais que tu sois. La tristesse se transforme en rage.
C'est très ironiquement la force dont sa race l'a dotée qui permettra à l'orc de se libérer des entraves magiques - et la fureur barbare qu'elle était censée avoir enfoui tout au fond d'elle qui lui permettra de se battre à égalité contre sa sauveuse. Le bruit de l'affrontement attire bien plus vite sa "famille" que ses cris désespérés, et cette réalisation lui brise le cœur autant qu'elle l'endurcit. Plutôt que de se concentrer uniquement sur la "sauveuse", elle commence à s'en prendre à tous ceux qui l'ont si longtemps forcée à jouer un rôle dont elle ne voulait pas. Et bien qu'elle sache par cœur où et comment blesser un humanoïde pour le laisser en vie, elle n'appliquera aucune de ces connaissances cette nuit là.
A l'aube, il ne reste plus qu'elle et la Sauveuse.
- Petite ingrate ! C'est comme ça que tu remercies celle qui t'a sauvé la vie ?
- Tu appelles ça "sauver" ? Tu m'as tout pris. Tu as pris ma confiance, mon amour, mes talents, mon identité, tout ça, tu l'as pris pour toi, et tu en as fait ton petit projet. Eh bien, regarde-moi, couverte du sang de tes enfants, de tes frères et sœurs, de tes domestiques et de tes gardes. Voilà ce que tu as créé.
- Et ? Tue-moi aussi. Fais-moi payer pour mes crimes. Tu seras obligée de payer pour les tiens un jour.
- Oyun, je prendrai bien plus que ta vie.
La nouvelle Oyun attrape l'ancienne Oyun par un bras, et la traîne jusqu'à son bureau. Epuisée, vidée de tout mana, l'elfe ne peut que se laisser faire. Elle est posée sur un fauteuil, et Oyun va chercher de quoi écrire. Malgré ses mains énormes, elle écrit vite et sans fioritures. Elle appose le sceau de cire familial en guise de cachet officiel du document. "Moi, Oyun Beixidor cède mon titre et mes propriétés à ma protégée orc, qui devient en ce jour Oyun deuxième du nom".
- Fais-moi au moins lire le torchon avec lequel tu vas essayer de déshonorer ma maison.
- Voilà.
- (…) Non ! Personne ne va jamais-
- Le sceau représente l'autorité d'Oyun. Tous les autres prétendants à l'héritage sont morts aujourd'hui. Et tu ne seras pas là pour contester.
- La noblesse ne t'acceptera jamais.
- Et ? Je vendrai tout ce que tu as soigneusement collectionné ces derniers siècles pour une bouchée de pain. Je détruirai tout ce que tu as construit au cours de ta si longue vie. Tout ce que tu as représenté sera réduit en poussière et à l'oubli. Par ton propre nom.
Quand le soleil se lève, il n'y a plus que des cadavres jonchés dans toute la propriété. La nouvelle Oyun a récupéré le testament, et elle est partie vers le nord. Elle ne se cache pas ni ne fuit, et lorsque les autorités la localisent aux côtés de son escouade, elle se désarme docilement avant de se présenter. Oui, c'est moi qui ai tué les Beixidor. Oui, j'accepte de vous suivre. Les mains liées, la tête haute, elle s'engage à suivre les autorités. L'affaire est partagée entre le système judiciaire de Melorn et la cour martiale du Reike. Oyun ne rentre pas dans les détails sentimentaux de son passé, mais elle expose les faits tels quels, sans montrer le moindre regret. Si elle doit perdre la tête pour choisir sa propre voie, qu'il en soit ainsi.
Mais les caprices du destin lui offriront une autre issue.
Oyun a certes agi sous le coup de la rage, mais également en pleine connaissance de cause. Melorn doit reconnaître la validité du document officiel de passation de pouvoir, à cause du sceau. Les traces laissées par les lianes sur son corps constituent une preuve suffisante pour justifier un meurtre d'honneur du point de vue de la justice reikoise. Il n'y a plus personne à dédommager pour litige qui fasse partie de la famille Beixidor, sinon de lointains cousins peu disposés à se retrouver mêlés à cette épineuse affaire. Alors que faire de la jeune recrue ? D'abord, elle est bannie de la cité-état. Son titre lui est retiré, et ses propriétés terrestres sont détruites. Après délibération, on lui assigne des travaux communautaires plutôt qu'un statut d'esclave temporaire : une sanction symbolique pour entretenir la paix avec les elfes, et ramener la future soldat à la discipline. Elle ne dira rien par respect, mais tout de sa punition a, à ses yeux, des airs de récompense.
Ses premières années de service n'auront pourtant rien de glorieux : nettoyer les champs de bataille, brûler des dépouilles alliées comme ennemies, creuser des latrines… Sa détermination restera la même. Si elle a pu endurer les manigances de la haute société elfique, si elle a pu briser son destin et s'arracher le faux nom que sa sauveuse lui avait collé, si elle a pu montrer à sa vraie nation qu'elle méritait de faire partie de son élite : alors ce ne sont pas quelques tâches ingrates qui l'arrêteront.
Après quelques escarmouches dans la jungle, ses supérieurs lui font de plus en plus confiance pour aller au front. Ne reculant jamais devant une opportunité, Oyun profite de toutes les chances qui s'offrent à elle pour montrer son efficacité. Six ans après son émancipation, ses crimes sont étouffés par ses prouesses aux lèvres de ses camarades. Son grade est rétabli, et désormais, son passé n'est plus qu'une ombre. La trentaine, le corps couvert de cicatrices diverses et variées, elle est au sommet de sa force et se tourne entièrement vers le futur.
Peu après vient la guerre civile, et la conquête de l'empire par les barbares. De la même façon qu'elle se bat contre les envahisseurs avec droiture, l'orc prêtera allégeance au nouvel empereur avec tout autant de loyauté lorsque le moment arrivera. Sa loyauté est envers le Reike, et le Reike reconnaît la puissance, quel que soit son visage ou son nom. C'est donc sans remords qu'elle coupe les liens avec les anciens frères d'armes qui rêvent de rébellion, et met sa force et son esprit au service du nouvel Empire. Prudente, elle fait attention à ne pas trop attirer l'attention sur ses faits d'armes pendant la guerre civile - au moins jusqu'à ce qu'elle puisse prouver sa valeur au combat dans ce "nouveau" camp.
La guerre contre les Titans arrive alors à point nommé. Les premiers mois, Oyun est au front. Sa première expérience pour naviguer les champs de bataille achevée, sa deuxième expérience pour mettre à terre les barbares, ne font plus qu'une avec cette nouvelle expérience pour anéantir ceux qui menacent le Sekai. Son attitude méthodique lui permet de gagner la confiance des troupes qu'elle accompagne pendant les premiers mois, autant qu'elle l'aide à rester en vie pour se battre le lendemain. Son recul émotionnel lui permet aussi de ne pas céder à la fatigue mentale qui gagne les cœurs lorsque les guerres durent longtemps. Chacun des camarades tombés au front mérite une sépulture - mais pas d'attachement. C'est sa façon à elle de rester forte.
Un assaut tourne mal. Oyun, placée en retrait avec les autres combattants à distance, vient d'assister au massacre des trois quarts de son unité. Le chef de l'escouade, trop ambitieux, avait sous-estimé les compétences de l'ennemi. Elle ne lui en veut pas, parce qu'il s'est puni tout seul en perdant la vie de façon aussi stupide. Par contre, elle est contrariée par la position dans laquelle il l'a mise : impossible de battre en retrait sans traverser le fort ennemi, et il suffirait de suivre l'angle des flèches et des javelots pour la localiser, elle et les quelques alliés qui lui restent. Et ça, c'est en supposant qu'ils n'aient pas de mages pisteurs dans leurs rangs… Surtout que l'oiseau messager qu'ils ont envoyé pour demander du renfort a probablement été intercepté. Elle regarde ses camarades, tapis avec elle contre les remparts.
- Je vais faire diversion.
Il faut savoir reconnaître l'ombre de la défaite quand elle se présente. Et Oyun n'est pas arrivée jusqu'ici pour mourir en lâche. Prête à finir en charpie s'il le faut pour permettre à ses derniers frères d'armes de fuir, elle se bat avec tout le désespoir qu'elle incarne, au milieu des viscères et des flammes. Vient le moment fatidique où les adversaires sont trop nombreux, et même avec son agilité magique, elle commence à encaisser des coups de plus en plus violents. Une lame se dresse au-dessus de sa tête… et ne s'abat pas. A la place, c'est un cadavre qui lui tombe dans les bras.
Les renforts, parés de noir et de rouge, sont arrivés.
La fin de la bataille n'est belle ni à voir, ni à conter - mais elle reste gravée dans les mémoires. Ce jour là, elle fera la connaissance de ceux qui sauveront, puis changeront sa vie. Qui lui apprendront, bien plus tard, au fil des combats et des repas partagés ensemble, la valeur d'un mot qu'elle pensait avoir rayé de son vocabulaire. Famille. Maintenant, elle ne se bat plus que pour son propre honneur, ni même pour celui d'un concept aussi flou qu'un empire, non : elle se bat pour l'honneur de ses frères et sœurs d'armes.
Ensemble, ils écriront l'avenir.
Les mois passent, et là où l'enfant apprend à apprécier les différences qui l'entourent, les autres s'habituent à lui faire payer les siennes. Vous savez comment sont les enfants entre eux. Vous savez comment sont vus les orcs. L'enfant est triste, et sa sauveuse la console toute les nuits avec le même sourire attendri. Elle lui dit de leur prouver qu'ils ont tort en étant simplement elle-même. L'enfant, naïve, boit ses paroles. Elle sera la meilleure version d'elle-même qu'elle puisse être.
L'enfant se ferme sur elle-même avec les années qui passent. Sa sauveuse lui apparaît de plus en plus comme un cadeau empoisonné de la part du ciel. Sans elle, elle ne serait pas en vie. Mais avec elle, sa vie n'est qu'une suite planifiée d'exercices et de punitions. Tiens-toi bien droite, si tu veux que les elfes te respectent. Apprends plus, si tu veux dépasser la vision qu'ils ont de toi. Tu ne deviendras jamais rien en marchant comme un loubard. La jeune adolescente en a marre de jouer les marionnettes. Ses seuls amis lui parlent uniquement pour se faire bien voir de la sauveuse. Les invités ne viennent à la maison que pour voir "l'orc domptée", et complimenter le bénévolat et la générosité dont fait preuve la sauveuse.
Un soir, après un goûter de nobles, elles se disputent. La famille de la sauveuse est en route pour Melorn, et l'adolescente devrait en profiter pour leur demander des conseils en magie élémentaire et de soutien, pour exceller à l'université. Mais je veux me battre ! N'es-tu donc qu'un cliché sur pattes ? La table est renversée, et des vases inestimables sont brisés. Les voix s'élèvent dans le manoir. La sauveuse, voyant bien que le conflit est sans issue, lui cèdera alors ceci : l'orc aura le droit de choisir sa vocation magique, à condition qu'elle suive le cursus à Drakstrang choisi pour elle.
La condition n'est pas respectée. En rentrant de son service militaire, l'adolescente presque adulte a rempli ses formulaires sans consulter la sauveuse. La famille fait pourtant pression, tous essaient d'utiliser leur influence et leurs contacts à Melorn pour faire appel à l'université reikoise : sans succès. Comment détourner une orc si bien éduquée de son potentiel en tant que guerrière, quand leurs seuls arguments sont la notoriété ? Même l'argent ne suffit pas pour renverser les préjugés - ceux-là mêmes, que l'adolescente a retourné à son avantage.
Cette fois, les mots ne sont pas les seules armes brandies. Il faut lui donner une bonne leçon, pense celle qui aurait pu devenir sa mère. Ce n'est qu'une barbare, je te l'avais dit, répète encore et encore celui qui aurait pu être son frère. Pendant tout son cursus au campus de la ville des elfes, la jeune orc navigue entre les complots que fomente son propre foyer, les exigences des professeurs, et la volonté sincère de rejoindre l'élite militaire, de se sentir enfin assez puissante pour être libre.
Personne ne la félicite quand elle est diplômée, ni quand elle annonce qu'elle rejoint les forces d'élite qui patrouillent les terres du Nord. Elle est pourtant sincèrement, candidement heureuse. La sauveuse au moins devrait la comprendre, non ? C'est sa façon à elle de faire le lien entre la personne qu'elle est devenue, et la personne qu'elle aurait pu être.
La nuit suivant son retour au manoir, la sauveuse montre son vrai visage. L'orc se réveille, les bras et les jambes pris dans des lianes qui ont envahi son lit. Elle crie d'incompréhension, elle appelle à l'aide. Tout le monde est à la maison, pourquoi personne ne vient la sauver ? Parce que la sauveuse le leur a ordonné, parce que c'est elle qui contrôle les lianes. La peur devient de la tristesse. Pourquoi ?! La sauveuse la regarde avec la froideur caractéristique des êtres pluriséculaires qui se sont lassés. Tu es un échec qui n'a pas lieu d'être. Tu n'as pas su devenir ce que je voulais que tu sois. La tristesse se transforme en rage.
C'est très ironiquement la force dont sa race l'a dotée qui permettra à l'orc de se libérer des entraves magiques - et la fureur barbare qu'elle était censée avoir enfoui tout au fond d'elle qui lui permettra de se battre à égalité contre sa sauveuse. Le bruit de l'affrontement attire bien plus vite sa "famille" que ses cris désespérés, et cette réalisation lui brise le cœur autant qu'elle l'endurcit. Plutôt que de se concentrer uniquement sur la "sauveuse", elle commence à s'en prendre à tous ceux qui l'ont si longtemps forcée à jouer un rôle dont elle ne voulait pas. Et bien qu'elle sache par cœur où et comment blesser un humanoïde pour le laisser en vie, elle n'appliquera aucune de ces connaissances cette nuit là.
A l'aube, il ne reste plus qu'elle et la Sauveuse.
- Petite ingrate ! C'est comme ça que tu remercies celle qui t'a sauvé la vie ?
- Tu appelles ça "sauver" ? Tu m'as tout pris. Tu as pris ma confiance, mon amour, mes talents, mon identité, tout ça, tu l'as pris pour toi, et tu en as fait ton petit projet. Eh bien, regarde-moi, couverte du sang de tes enfants, de tes frères et sœurs, de tes domestiques et de tes gardes. Voilà ce que tu as créé.
- Et ? Tue-moi aussi. Fais-moi payer pour mes crimes. Tu seras obligée de payer pour les tiens un jour.
- Oyun, je prendrai bien plus que ta vie.
La nouvelle Oyun attrape l'ancienne Oyun par un bras, et la traîne jusqu'à son bureau. Epuisée, vidée de tout mana, l'elfe ne peut que se laisser faire. Elle est posée sur un fauteuil, et Oyun va chercher de quoi écrire. Malgré ses mains énormes, elle écrit vite et sans fioritures. Elle appose le sceau de cire familial en guise de cachet officiel du document. "Moi, Oyun Beixidor cède mon titre et mes propriétés à ma protégée orc, qui devient en ce jour Oyun deuxième du nom".
- Fais-moi au moins lire le torchon avec lequel tu vas essayer de déshonorer ma maison.
- Voilà.
- (…) Non ! Personne ne va jamais-
- Le sceau représente l'autorité d'Oyun. Tous les autres prétendants à l'héritage sont morts aujourd'hui. Et tu ne seras pas là pour contester.
- La noblesse ne t'acceptera jamais.
- Et ? Je vendrai tout ce que tu as soigneusement collectionné ces derniers siècles pour une bouchée de pain. Je détruirai tout ce que tu as construit au cours de ta si longue vie. Tout ce que tu as représenté sera réduit en poussière et à l'oubli. Par ton propre nom.
Quand le soleil se lève, il n'y a plus que des cadavres jonchés dans toute la propriété. La nouvelle Oyun a récupéré le testament, et elle est partie vers le nord. Elle ne se cache pas ni ne fuit, et lorsque les autorités la localisent aux côtés de son escouade, elle se désarme docilement avant de se présenter. Oui, c'est moi qui ai tué les Beixidor. Oui, j'accepte de vous suivre. Les mains liées, la tête haute, elle s'engage à suivre les autorités. L'affaire est partagée entre le système judiciaire de Melorn et la cour martiale du Reike. Oyun ne rentre pas dans les détails sentimentaux de son passé, mais elle expose les faits tels quels, sans montrer le moindre regret. Si elle doit perdre la tête pour choisir sa propre voie, qu'il en soit ainsi.
Mais les caprices du destin lui offriront une autre issue.
Oyun a certes agi sous le coup de la rage, mais également en pleine connaissance de cause. Melorn doit reconnaître la validité du document officiel de passation de pouvoir, à cause du sceau. Les traces laissées par les lianes sur son corps constituent une preuve suffisante pour justifier un meurtre d'honneur du point de vue de la justice reikoise. Il n'y a plus personne à dédommager pour litige qui fasse partie de la famille Beixidor, sinon de lointains cousins peu disposés à se retrouver mêlés à cette épineuse affaire. Alors que faire de la jeune recrue ? D'abord, elle est bannie de la cité-état. Son titre lui est retiré, et ses propriétés terrestres sont détruites. Après délibération, on lui assigne des travaux communautaires plutôt qu'un statut d'esclave temporaire : une sanction symbolique pour entretenir la paix avec les elfes, et ramener la future soldat à la discipline. Elle ne dira rien par respect, mais tout de sa punition a, à ses yeux, des airs de récompense.
Ses premières années de service n'auront pourtant rien de glorieux : nettoyer les champs de bataille, brûler des dépouilles alliées comme ennemies, creuser des latrines… Sa détermination restera la même. Si elle a pu endurer les manigances de la haute société elfique, si elle a pu briser son destin et s'arracher le faux nom que sa sauveuse lui avait collé, si elle a pu montrer à sa vraie nation qu'elle méritait de faire partie de son élite : alors ce ne sont pas quelques tâches ingrates qui l'arrêteront.
Après quelques escarmouches dans la jungle, ses supérieurs lui font de plus en plus confiance pour aller au front. Ne reculant jamais devant une opportunité, Oyun profite de toutes les chances qui s'offrent à elle pour montrer son efficacité. Six ans après son émancipation, ses crimes sont étouffés par ses prouesses aux lèvres de ses camarades. Son grade est rétabli, et désormais, son passé n'est plus qu'une ombre. La trentaine, le corps couvert de cicatrices diverses et variées, elle est au sommet de sa force et se tourne entièrement vers le futur.
Peu après vient la guerre civile, et la conquête de l'empire par les barbares. De la même façon qu'elle se bat contre les envahisseurs avec droiture, l'orc prêtera allégeance au nouvel empereur avec tout autant de loyauté lorsque le moment arrivera. Sa loyauté est envers le Reike, et le Reike reconnaît la puissance, quel que soit son visage ou son nom. C'est donc sans remords qu'elle coupe les liens avec les anciens frères d'armes qui rêvent de rébellion, et met sa force et son esprit au service du nouvel Empire. Prudente, elle fait attention à ne pas trop attirer l'attention sur ses faits d'armes pendant la guerre civile - au moins jusqu'à ce qu'elle puisse prouver sa valeur au combat dans ce "nouveau" camp.
La guerre contre les Titans arrive alors à point nommé. Les premiers mois, Oyun est au front. Sa première expérience pour naviguer les champs de bataille achevée, sa deuxième expérience pour mettre à terre les barbares, ne font plus qu'une avec cette nouvelle expérience pour anéantir ceux qui menacent le Sekai. Son attitude méthodique lui permet de gagner la confiance des troupes qu'elle accompagne pendant les premiers mois, autant qu'elle l'aide à rester en vie pour se battre le lendemain. Son recul émotionnel lui permet aussi de ne pas céder à la fatigue mentale qui gagne les cœurs lorsque les guerres durent longtemps. Chacun des camarades tombés au front mérite une sépulture - mais pas d'attachement. C'est sa façon à elle de rester forte.
Un assaut tourne mal. Oyun, placée en retrait avec les autres combattants à distance, vient d'assister au massacre des trois quarts de son unité. Le chef de l'escouade, trop ambitieux, avait sous-estimé les compétences de l'ennemi. Elle ne lui en veut pas, parce qu'il s'est puni tout seul en perdant la vie de façon aussi stupide. Par contre, elle est contrariée par la position dans laquelle il l'a mise : impossible de battre en retrait sans traverser le fort ennemi, et il suffirait de suivre l'angle des flèches et des javelots pour la localiser, elle et les quelques alliés qui lui restent. Et ça, c'est en supposant qu'ils n'aient pas de mages pisteurs dans leurs rangs… Surtout que l'oiseau messager qu'ils ont envoyé pour demander du renfort a probablement été intercepté. Elle regarde ses camarades, tapis avec elle contre les remparts.
- Je vais faire diversion.
Il faut savoir reconnaître l'ombre de la défaite quand elle se présente. Et Oyun n'est pas arrivée jusqu'ici pour mourir en lâche. Prête à finir en charpie s'il le faut pour permettre à ses derniers frères d'armes de fuir, elle se bat avec tout le désespoir qu'elle incarne, au milieu des viscères et des flammes. Vient le moment fatidique où les adversaires sont trop nombreux, et même avec son agilité magique, elle commence à encaisser des coups de plus en plus violents. Une lame se dresse au-dessus de sa tête… et ne s'abat pas. A la place, c'est un cadavre qui lui tombe dans les bras.
Les renforts, parés de noir et de rouge, sont arrivés.
La fin de la bataille n'est belle ni à voir, ni à conter - mais elle reste gravée dans les mémoires. Ce jour là, elle fera la connaissance de ceux qui sauveront, puis changeront sa vie. Qui lui apprendront, bien plus tard, au fil des combats et des repas partagés ensemble, la valeur d'un mot qu'elle pensait avoir rayé de son vocabulaire. Famille. Maintenant, elle ne se bat plus que pour son propre honneur, ni même pour celui d'un concept aussi flou qu'un empire, non : elle se bat pour l'honneur de ses frères et sœurs d'armes.
Ensemble, ils écriront l'avenir.
Groupes d'intérêts
Université de Drakstrang : Diplômée avec félicitations, on lui a proposé de devenir professeur au sein du cursus de Soldat mais elle a refusé. Elle reste cependant en contact avec la plupart du corps enseignant et intervient parfois dans les différents campus pendant ses permissions, notamment sur le sujet du combat à distance.
Régiment Spécial des Animaux Fantastiques : Très intéressée par les recherches des scientifiques du département des animaux fantastiques, elle vient souvent se renseigner sur leurs avancées, ou se proposer pour accompagner leurs chasseurs.
Forces Médicales Reikoises : Bien qu'elle ne possède aucune compétence médicale, Oyun a souvent été mobilisée aux côtés des forces médicales. Ses capacités de repérage et ses réflexes lui permettent de protéger efficacement les médecins de terrain, ou de rapatrier les blessés.
Régiment Spécial des Animaux Fantastiques : Très intéressée par les recherches des scientifiques du département des animaux fantastiques, elle vient souvent se renseigner sur leurs avancées, ou se proposer pour accompagner leurs chasseurs.
Forces Médicales Reikoises : Bien qu'elle ne possède aucune compétence médicale, Oyun a souvent été mobilisée aux côtés des forces médicales. Ses capacités de repérage et ses réflexes lui permettent de protéger efficacement les médecins de terrain, ou de rapatrier les blessés.
derrière l'écran
Pseudo : Lou
Comment avez-vous connu le forum ? DC de Capella Tiamat
Avis sur le forum : Toujours un bon terrain de jeu.
Fréquence de connexion : Toujours pareil !
Divinité primordiale
L'Âme des Cendres
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Rebienvenue sur le forum,
Yeaaaah, enfin une orque au Reike (il était temps) !
Tu nous présentes-là un personnage qui possède une belle complexité, explorant des thèmes comme la liberté, l'identité et la justice. Ton texte comporte également quelques références aux subtilités du lore, comme le fameux droit au meurtre d'honneur du Reike, ce qui est fort appréciable.
Sans plus te faire attendre, je vais procéder à ta validation. Bon jeu avec ce nouveau perso'
Yeaaaah, enfin une orque au Reike (il était temps) !
Tu nous présentes-là un personnage qui possède une belle complexité, explorant des thèmes comme la liberté, l'identité et la justice. Ton texte comporte également quelques références aux subtilités du lore, comme le fameux droit au meurtre d'honneur du Reike, ce qui est fort appréciable.
Sans plus te faire attendre, je vais procéder à ta validation. Bon jeu avec ce nouveau perso'
Compte staff - Merci de ne pas me MP.
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