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Alyssa hausse les épaules, commente simplement :
" Si vous parvenez à convaincre le couple impérial que leur précieux Cœur aille s'occuper de... diplomatie ? Pourquoi pas, je suppose. Mais rien qu'un voyage à, je ne sais pas, Maël ou Kyouji, me suffirait ? Je comprends votre envie de vous aérer, mais, nous sortons d'une guerre, vous venez de prendre vos fonctions et il me semble judicieux de montrer que vous êtes prêt à en faire le maximum. Le devoir passe avant tout, n'est-ce pas ? "
Elle n'a pas peur de donner son avis, même si c'est en contradiction directe avec les envies de son futur mari, mais, c'est pour cette raison qu'elle est conseillère. La période est tendue, des gardes royaux ont été exécutés, et elle n'a pas envie de voir Tagar subir le même sort. En plus de la remettre en quête d'un mari, cela risquerait de ternir la réputation impeccable de la dynastie de Sarleon.
Elle se détend un peu et glousse à sa tirade suivante, ne tarde pas à y répondre :
" Je n'en doute pas un seul instant. J'admets que je préfèrerais rester à Taisen pour profiter tant que je peux de mes parents vieillissants, et éventuellement de Pendor si nous parvenons à justifier que notre dynastie est légitime à la régence de la ville. Mais je préfère être en votre compagnie à partir du moment où nous aurons des enfants ; ils méritent de grandir en voyant leurs deux parents. C'est un équilibre important à avoir "
Elle lui sourit, et lui annonce donc en conclusion :
" Donc nous avons un compromis. Je resterais à Taisen le temps d'avoir des enfants, et une fois notre premier né, je vous rejoindrais ici "
" Si vous parvenez à convaincre le couple impérial que leur précieux Cœur aille s'occuper de... diplomatie ? Pourquoi pas, je suppose. Mais rien qu'un voyage à, je ne sais pas, Maël ou Kyouji, me suffirait ? Je comprends votre envie de vous aérer, mais, nous sortons d'une guerre, vous venez de prendre vos fonctions et il me semble judicieux de montrer que vous êtes prêt à en faire le maximum. Le devoir passe avant tout, n'est-ce pas ? "
Elle n'a pas peur de donner son avis, même si c'est en contradiction directe avec les envies de son futur mari, mais, c'est pour cette raison qu'elle est conseillère. La période est tendue, des gardes royaux ont été exécutés, et elle n'a pas envie de voir Tagar subir le même sort. En plus de la remettre en quête d'un mari, cela risquerait de ternir la réputation impeccable de la dynastie de Sarleon.
Elle se détend un peu et glousse à sa tirade suivante, ne tarde pas à y répondre :
" Je n'en doute pas un seul instant. J'admets que je préfèrerais rester à Taisen pour profiter tant que je peux de mes parents vieillissants, et éventuellement de Pendor si nous parvenons à justifier que notre dynastie est légitime à la régence de la ville. Mais je préfère être en votre compagnie à partir du moment où nous aurons des enfants ; ils méritent de grandir en voyant leurs deux parents. C'est un équilibre important à avoir "
Elle lui sourit, et lui annonce donc en conclusion :
" Donc nous avons un compromis. Je resterais à Taisen le temps d'avoir des enfants, et une fois notre premier né, je vous rejoindrais ici "
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Un compromis semble finalement être trouvé ; parfait. Alyssa ne souhaite pas causer la disgrâce de son futur époux. Elle acquiesce donc à tous les termes de sa proposition, et c'est sur un plan plutôt simple mais efficace qu'ils partent en termes de festivités suite à leurs noces. Elle reste amusée par la volonté que Tagar met à disposition d'une telle organisation.
Visiblement, ils se mettent d'accord très vite, mais elle ne peut s'empêcher de lever un sourcil quant à l'utilisation abusive des pauvres mages et elle lui annonce clairement :
" N'abusez pas de vos fonctions pour profiter de mes beaux yeux. Je tâcherais de passer ici le plus de temps possible, en tâchant de trouver des compromis avec ma famille et mes obligations. Je ne vais pas vous rappeler votre importance "
Quand il fait mention de la protection, elle éclate de rire, puis lui annonce :
" Je suis magicienne, et, au pire, je peux demander à mon père de mettre à ma disposition certains de ses hommes d'armes. Mais ce n'est pas nécessaire, ne vous tracassez point "
Elle a une sainte horreur d'être suivie, pour être tout à fait honnête. Et le peu de fois où on lui a assigné des gardiens, elle eut l'impression d'avoir un fardeau à trimballer partout où elle se rendait. Elle commence à voir clair dans son jeu, plisse des yeux, le pointe du doigt et lui annonce :
" Sire Tagar Reys, je vois clair dans votre jeu. N'essayez point de couver une lionne, vous en perdrez des plumes "
Visiblement, ils se mettent d'accord très vite, mais elle ne peut s'empêcher de lever un sourcil quant à l'utilisation abusive des pauvres mages et elle lui annonce clairement :
" N'abusez pas de vos fonctions pour profiter de mes beaux yeux. Je tâcherais de passer ici le plus de temps possible, en tâchant de trouver des compromis avec ma famille et mes obligations. Je ne vais pas vous rappeler votre importance "
Quand il fait mention de la protection, elle éclate de rire, puis lui annonce :
" Je suis magicienne, et, au pire, je peux demander à mon père de mettre à ma disposition certains de ses hommes d'armes. Mais ce n'est pas nécessaire, ne vous tracassez point "
Elle a une sainte horreur d'être suivie, pour être tout à fait honnête. Et le peu de fois où on lui a assigné des gardiens, elle eut l'impression d'avoir un fardeau à trimballer partout où elle se rendait. Elle commence à voir clair dans son jeu, plisse des yeux, le pointe du doigt et lui annonce :
" Sire Tagar Reys, je vois clair dans votre jeu. N'essayez point de couver une lionne, vous en perdrez des plumes "
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« Je ne sais pas, pour les raisons financières du Reike, je suppose. Tâchez de ne pas nous ruiner, dans ce cas, j'aimerais conserver un certain niveau de vie ! »
Et elle fait non de la tête quand il fait mention de la possibilité de l'héberger. TAGAR. TU VAS ÊTRE MON MARI ! a-t-elle envie de hurler. Mais elle ne dit rien, le fixe en papillonnant des yeux avec un sourire forcé. Elle cède finalement, accompagnant les paroles d'un geste de la main :
« Soit. Nous avons de la place dans les étables, une paillasse de paille conviendra je suppose »
Son intervention suivante ne peut que la rassurer et elle acquiesce en lui annonçant :
« Parfait - et elle le pense - ce n'est pas tous les hommes du Reike qui sont prêts à se montrer d'un esprit aussi clair et limpide. Vous me confortez dans le choix de vous épouser, Tagar. C'est bien, et vous avez de l'idée ; plus que la plupart des imbéciles qui pensent pouvoir me plaire avec leurs prouesses et leurs exploits. Mais au-delà du verbe, j'attends de voir des actes »
Elle prend un air satisfait, puis, laisse un peu reposer sa tête sur son dossier, en fermant les yeux et en prenant une énième gorgée de ce délicieux thé. La soirée se passe mieux que ce qu'elle pensait, elle n'est clairement pas à plaindre. La pression grandissante qu'elle ressentait à l'idée de ne pas pouvoir se marier retombe, et un futur plus radieux s'ouvre à elle. Elle lui annonce donc :
« J'ai hâte que vous rencontrez Arturo, un autre conseiller de Taisen, mon professeur de danse et mon meilleur ami d'enfance. Je pense vraiment que vous allez bien vous entendre »
Et elle fait non de la tête quand il fait mention de la possibilité de l'héberger. TAGAR. TU VAS ÊTRE MON MARI ! a-t-elle envie de hurler. Mais elle ne dit rien, le fixe en papillonnant des yeux avec un sourire forcé. Elle cède finalement, accompagnant les paroles d'un geste de la main :
« Soit. Nous avons de la place dans les étables, une paillasse de paille conviendra je suppose »
Son intervention suivante ne peut que la rassurer et elle acquiesce en lui annonçant :
« Parfait - et elle le pense - ce n'est pas tous les hommes du Reike qui sont prêts à se montrer d'un esprit aussi clair et limpide. Vous me confortez dans le choix de vous épouser, Tagar. C'est bien, et vous avez de l'idée ; plus que la plupart des imbéciles qui pensent pouvoir me plaire avec leurs prouesses et leurs exploits. Mais au-delà du verbe, j'attends de voir des actes »
Elle prend un air satisfait, puis, laisse un peu reposer sa tête sur son dossier, en fermant les yeux et en prenant une énième gorgée de ce délicieux thé. La soirée se passe mieux que ce qu'elle pensait, elle n'est clairement pas à plaindre. La pression grandissante qu'elle ressentait à l'idée de ne pas pouvoir se marier retombe, et un futur plus radieux s'ouvre à elle. Elle lui annonce donc :
« J'ai hâte que vous rencontrez Arturo, un autre conseiller de Taisen, mon professeur de danse et mon meilleur ami d'enfance. Je pense vraiment que vous allez bien vous entendre »
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« J'en beaucoup d'amis - il est évident qu'une dame aussi extravertie qu'Alyssa attire l'attention et dispose d'un cercle de connaissances et d'amis assez étendu - mais des amis comme Arturo, je n'en ai qu'un malheureusement »
La discussion étant originellement dans de bonnes dispositions, elle ne capte pas l'agacement de Tagar. Elle continue donc, en répondant à son autre question :
« Incroyable - annonce-t-elle en mettant l'accent sur chaque syllabe - un oiseau rare, au même titre que vous. Très calme et posé, toujours à l'écoute ; d'une douceur mais d'une fermeté rassurante. Je ne pense pas qu'on puisse faire mieux, en terme d'ami »
Elle insiste sur le dernier mot, histoire bien évidemment d'assurer qu'il n'y ait aucune ambiguïté. Il ne s'est rien réellement passé, et ne se passera jamais rien entre elle et lui. Enfin, il s'est passé quelque chose ; un simple baiser, lorsqu'ils étaient adolescents et avaient les hormones en feu. C'était l'époque de la découverte et des premiers amours. Leur premier, à tous les deux.
La question suivante est justement sur leur passé commun, et, n'ayant rien à se cacher, annonce simplement :
« Quasiment depuis toujours. Nous sommes nés la même année, nous avons grandi ensemble ! Nos chemins se sont occasionnellement séparés, mais le destin a fait que nous nous sommes retrouvés à Taisen. N'est-ce pas incroyable ? »
Elle est sincère et passionnée quand elle parle de son ami, parce qu'à ses yeux, c'est effectivement une personne incroyable.
La discussion étant originellement dans de bonnes dispositions, elle ne capte pas l'agacement de Tagar. Elle continue donc, en répondant à son autre question :
« Incroyable - annonce-t-elle en mettant l'accent sur chaque syllabe - un oiseau rare, au même titre que vous. Très calme et posé, toujours à l'écoute ; d'une douceur mais d'une fermeté rassurante. Je ne pense pas qu'on puisse faire mieux, en terme d'ami »
Elle insiste sur le dernier mot, histoire bien évidemment d'assurer qu'il n'y ait aucune ambiguïté. Il ne s'est rien réellement passé, et ne se passera jamais rien entre elle et lui. Enfin, il s'est passé quelque chose ; un simple baiser, lorsqu'ils étaient adolescents et avaient les hormones en feu. C'était l'époque de la découverte et des premiers amours. Leur premier, à tous les deux.
La question suivante est justement sur leur passé commun, et, n'ayant rien à se cacher, annonce simplement :
« Quasiment depuis toujours. Nous sommes nés la même année, nous avons grandi ensemble ! Nos chemins se sont occasionnellement séparés, mais le destin a fait que nous nous sommes retrouvés à Taisen. N'est-ce pas incroyable ? »
Elle est sincère et passionnée quand elle parle de son ami, parce qu'à ses yeux, c'est effectivement une personne incroyable.
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« Je vais être tout à fait honnête, il l'est ! Quant à son mariage... - elle prend une moue blasée - c'est une tragédie pour lui. Il l'est, effectivement, mais a épousé une dame trop vieille pour enfanter afin d'assurer une alliance à sa famille »
Elle l'observe, tique sur son expression et se sent obligée de justifier :
« Oh, son épouse est adorable cependant ! Très douce et gentille, calme et posée. Mais, ils font vraiment une drôle de paire. Elle fait un peu négligée, et, pour être honnête, pas des plus attrayantes ; alors que lui est un homme particulièrement séduisant, en restant objective »
La question suivante vient, et, dans un premier temps elle s'apprête à répondre normalement. Elle lance un grand je en levant les yeux au ciel, puis, s'arrête net, garde son menton levé, regarde coin Tagar avant de lui annoncer :
« Sire Tagar Reys. Cette question est étrange découle-t-elle de mes derniers dires ? - elle plisse les yeux, se penche sur son accoudoir pour se rapprocher de lui - Ja-loux. Vous êtes ja-loux, n'est-ce pas ?! »
Elle éclate de rire sans aucune forme d'explication, du fait d'éléments qu'elle ne peut pas pour l'instant partager avec son futur époux. Elle lui annonce simplement :
« Vous le rencontrerez en venant à Taisen, ne vous inquiétez point. Vous vous ferez votre avis par vous même »
Elle lui offre un sourire entendu, et attend de voir sa réaction.
Elle l'observe, tique sur son expression et se sent obligée de justifier :
« Oh, son épouse est adorable cependant ! Très douce et gentille, calme et posée. Mais, ils font vraiment une drôle de paire. Elle fait un peu négligée, et, pour être honnête, pas des plus attrayantes ; alors que lui est un homme particulièrement séduisant, en restant objective »
La question suivante vient, et, dans un premier temps elle s'apprête à répondre normalement. Elle lance un grand je en levant les yeux au ciel, puis, s'arrête net, garde son menton levé, regarde coin Tagar avant de lui annoncer :
« Sire Tagar Reys. Cette question est étrange découle-t-elle de mes derniers dires ? - elle plisse les yeux, se penche sur son accoudoir pour se rapprocher de lui - Ja-loux. Vous êtes ja-loux, n'est-ce pas ?! »
Elle éclate de rire sans aucune forme d'explication, du fait d'éléments qu'elle ne peut pas pour l'instant partager avec son futur époux. Elle lui annonce simplement :
« Vous le rencontrerez en venant à Taisen, ne vous inquiétez point. Vous vous ferez votre avis par vous même »
Elle lui offre un sourire entendu, et attend de voir sa réaction.
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Quand il répond sincèrement à sa question, elle a envie de lui tirer la joue et de le taquiner encore plus. Mais, ils ne sont pas encore assez intimes pour qu'elle se le permette, alors, elle se contente d'amplifier son grand sourire carnassier. Elle acquiesce et le regarde en coin quand il fait mine d'avoir hâte de le rencontrer, en annonçant un peu sibylline :
« N'est-ce pas ? »
Elle commence à reprendre une gorgée de thé quand elle éclate de rire à sa question, crachant une partie du contenu devant elle et notamment sur Tagar. Elle repose brusquement sa tâche, porte sa main à sa bouche, et annonce d'une voix sincèrement désolée :
« Pardon ! Je suis navrée »
Elle prend l'une des serviettes pour commencer à éponger les tâches qu'elle a fait sur les vêtements d'un blanc immaculé de son futur époux. Elle commente au passage :
« Je suis vraiment navrée, mais il ne faut pas me faire rire ainsi, surtout quand je bois. J'espère que vous ne m'en voudrez pas. Et, concernant votre question, quelle question. Pourquoi imaginez-vous que je serais polygame ? Combien d'amants pensez vous que j'ai ? »
Elle est taquine et amusée, et espère que son ton détendra l'atmosphère qu'elle a perd d'avoir ruiné en explosant de rire au pire moment.
« N'est-ce pas ? »
Elle commence à reprendre une gorgée de thé quand elle éclate de rire à sa question, crachant une partie du contenu devant elle et notamment sur Tagar. Elle repose brusquement sa tâche, porte sa main à sa bouche, et annonce d'une voix sincèrement désolée :
« Pardon ! Je suis navrée »
Elle prend l'une des serviettes pour commencer à éponger les tâches qu'elle a fait sur les vêtements d'un blanc immaculé de son futur époux. Elle commente au passage :
« Je suis vraiment navrée, mais il ne faut pas me faire rire ainsi, surtout quand je bois. J'espère que vous ne m'en voudrez pas. Et, concernant votre question, quelle question. Pourquoi imaginez-vous que je serais polygame ? Combien d'amants pensez vous que j'ai ? »
Elle est taquine et amusée, et espère que son ton détendra l'atmosphère qu'elle a perd d'avoir ruiné en explosant de rire au pire moment.
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Tagar ne semble pas prendre la mouche, ce qui rassure la lionne. Elle l'observe se nettoyer en silence, alors qu'elle continue son thé d'un air un peu coupable. Quand il s'apprête à lui parler de nouveau, elle lève sa main pour temporiser un instant, baisse sa tasse de thé, et avale le thé qu'elle a encore dans la bouche histoire d'être certaine de ne pas répéter la même bourde. Amusée par la situation, elle a un petit sourire mesquin et les yeux qui pétillent une étincelle de malice ; ce qui joue dans son charme.
Elle pousse un soupir finalement, la réponse n'étant pas aussi amusante qu'elle ne pensait, et lui annonce :
« Ce n'est absolument pas acceptable. Ma dynastie œuvre depuis toujours dans l'honneur et la tradition du Reike et nous ne nous rabaisserons jamais à ces basses-œuvres républicaines - son ton est fier et condescendant, et elle semble fermée à ce sujet - je ne peux avoir l'ombre d'un doute quant au père des enfants que je porte »
Elle redescend un peu afin de rajouter, un peu plus légère :
« Alors, déjà, mon bon sire Tagar, s'ils seront exclusifs ils ne seront pas un dû ; je ne cesse de vous le répéter qu'ils se méritent. Et ne vous tracassez point, je ne suis pas bête et je vois clair dans le jeu de beaucoup. Vous commencez à me connaître, et vous devez vous doutez de ce qui se passe lorsque quelqu'un commence à se montrer déplacer vis à vis de mon statut et de mon rang »
Elle pousse un soupir et rajoute finalement :
« Quant à ce que vous avez fait, cela ne me concerne pas et ne m'intéresse pas. Je vous prierais juste de ne plus en parler, et de ne pas vous en vanter, que ce soit auprès de moi ou de quiconque. Notre réputation est en jeu, et, encore une fois, le devoir compte avant tout »
Elle est sèche, mais franche ; et, si son discours peut la faire paraître comme irréprochable, elle ne l'est pas. Comme tous les humains, elle a un cœur, des hormones et a traversé une période difficile où elle n'était plus liée par des obligations. Elle a vécu quelques aventures, mais ne les mentionnera au grand jamais pour les raisons qu'elle évoque.
Elle pousse un soupir finalement, la réponse n'étant pas aussi amusante qu'elle ne pensait, et lui annonce :
« Ce n'est absolument pas acceptable. Ma dynastie œuvre depuis toujours dans l'honneur et la tradition du Reike et nous ne nous rabaisserons jamais à ces basses-œuvres républicaines - son ton est fier et condescendant, et elle semble fermée à ce sujet - je ne peux avoir l'ombre d'un doute quant au père des enfants que je porte »
Elle redescend un peu afin de rajouter, un peu plus légère :
« Alors, déjà, mon bon sire Tagar, s'ils seront exclusifs ils ne seront pas un dû ; je ne cesse de vous le répéter qu'ils se méritent. Et ne vous tracassez point, je ne suis pas bête et je vois clair dans le jeu de beaucoup. Vous commencez à me connaître, et vous devez vous doutez de ce qui se passe lorsque quelqu'un commence à se montrer déplacer vis à vis de mon statut et de mon rang »
Elle pousse un soupir et rajoute finalement :
« Quant à ce que vous avez fait, cela ne me concerne pas et ne m'intéresse pas. Je vous prierais juste de ne plus en parler, et de ne pas vous en vanter, que ce soit auprès de moi ou de quiconque. Notre réputation est en jeu, et, encore une fois, le devoir compte avant tout »
Elle est sèche, mais franche ; et, si son discours peut la faire paraître comme irréprochable, elle ne l'est pas. Comme tous les humains, elle a un cœur, des hormones et a traversé une période difficile où elle n'était plus liée par des obligations. Elle a vécu quelques aventures, mais ne les mentionnera au grand jamais pour les raisons qu'elle évoque.
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