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Quel adorable pauvre petite créature, tout rougissant qu'il est. Elle glousse et ne tarde pas à balayer dans un premier temps sa première affirmation :
« Voyons, Tagar ! Nous allons être heureux. C'est un ordre de ma part - elle lui esquisse un énième petit sourire - ne vous tracassez pas. Ces détails seront fixés par nos familles respectives ! »
Ayant terminé son plat, elle prend son gobelet de vin et viens le porter à ses lèvres. Elle observe Tagar congédier ses domestiques, et, alors qu'elle a à nouveau toute son attention, elle lui indique :
« Je vous propose simplement de profiter de cet instant. N'est-ce pas là magnifique ? Prenez un instant, et profitez ; vous le méritez bien »
Elle lui dit ça, mais, elle aussi est du genre à toujours foncer, sans jamais s'arrêter pour profiter. Toujours à aller par ci, et par là, sans jamais prendre le temps pour elle. Elle en avait récemment parlé avec Pendor, d'ailleurs, qui passait beaucoup de temps dernièrement à juste, se poser et admirer.
Et face à cette scène, elle comprend. Elle lève les yeux vers les astres qui constituent ce magnifique dôme étoilé, alors qu'elle annonce à celui qui deviendrait bientôt son fiancé :
« La soirée ne s'est pas trop mal passée, hein ? J'espère ne pas vous avoir déçu »
La question est presque rhétorique à ses yeux ; la jeune femme était parfois excessivement assurée. Elle cherche à plonger son regard dans le sien, et guette ses éventuelles réactions.
« Voyons, Tagar ! Nous allons être heureux. C'est un ordre de ma part - elle lui esquisse un énième petit sourire - ne vous tracassez pas. Ces détails seront fixés par nos familles respectives ! »
Ayant terminé son plat, elle prend son gobelet de vin et viens le porter à ses lèvres. Elle observe Tagar congédier ses domestiques, et, alors qu'elle a à nouveau toute son attention, elle lui indique :
« Je vous propose simplement de profiter de cet instant. N'est-ce pas là magnifique ? Prenez un instant, et profitez ; vous le méritez bien »
Elle lui dit ça, mais, elle aussi est du genre à toujours foncer, sans jamais s'arrêter pour profiter. Toujours à aller par ci, et par là, sans jamais prendre le temps pour elle. Elle en avait récemment parlé avec Pendor, d'ailleurs, qui passait beaucoup de temps dernièrement à juste, se poser et admirer.
Et face à cette scène, elle comprend. Elle lève les yeux vers les astres qui constituent ce magnifique dôme étoilé, alors qu'elle annonce à celui qui deviendrait bientôt son fiancé :
« La soirée ne s'est pas trop mal passée, hein ? J'espère ne pas vous avoir déçu »
La question est presque rhétorique à ses yeux ; la jeune femme était parfois excessivement assurée. Elle cherche à plonger son regard dans le sien, et guette ses éventuelles réactions.
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« Tout n'est pas difficile dans la vie Tagar. Et je t'avais dis que j'étais douée. J'espère néanmoins qu'elle comprendra bien qu'il s'agit de mes enfants »
Elle l'annonce d'une façon peut-être un peu possessive, ce qui est définitivement un de ses traits. Elle veillera sans faille sur ses lionceaux.
Elle l'observe aller chercher quelque chose, et elle hausse un sourcil un peu perplexe quand il se ramène avec une couverture. Pourquoi pas ?... Le cœur du reike est celui d'un adolescent vivant son premier amour, visiblement. Elle ne peut être que touchée, cependant, et le gratifie d'un large sourire sincère ; elle en profite même pour se moquer un peu :
« Vous êtes excessivement ambitieux ! - elle regarde un instant les étoiles, puis le regarde en coin - et crédule de penser que je serais la femme parfaite. J'ai des défauts, au même titre que vous. Mais comme tout couple digne de ce nom, nous ferons le maximum pour nous supporter mutuellement. Le fait que nous soyons heureux... C'est à nous de faire en sorte que ce soit le cas »
Elle bascule et rectifie sa position assise vers une position plus détendue ; elle dévisage sans rien dire Tagar quelques instants, avant de lui demander :
« Se faire des bisous, hein ? Dites moi, sire Reys. N'êtes vous pas amoureux ? - elle glousse, avant de reprendre - Vous êtes définitivement craquant, un tantinet crédule. N'avez-vous jamais été en couple ? Vous me semblez idéaliser la chose »
Elle fait référence à des amourettes d'adolescence, qui n'ont pas de sens si ce n'est celui que des jeunes être bourrés d'hormones veulent bien leur donner.
Elle l'annonce d'une façon peut-être un peu possessive, ce qui est définitivement un de ses traits. Elle veillera sans faille sur ses lionceaux.
Elle l'observe aller chercher quelque chose, et elle hausse un sourcil un peu perplexe quand il se ramène avec une couverture. Pourquoi pas ?... Le cœur du reike est celui d'un adolescent vivant son premier amour, visiblement. Elle ne peut être que touchée, cependant, et le gratifie d'un large sourire sincère ; elle en profite même pour se moquer un peu :
« Vous êtes excessivement ambitieux ! - elle regarde un instant les étoiles, puis le regarde en coin - et crédule de penser que je serais la femme parfaite. J'ai des défauts, au même titre que vous. Mais comme tout couple digne de ce nom, nous ferons le maximum pour nous supporter mutuellement. Le fait que nous soyons heureux... C'est à nous de faire en sorte que ce soit le cas »
Elle bascule et rectifie sa position assise vers une position plus détendue ; elle dévisage sans rien dire Tagar quelques instants, avant de lui demander :
« Se faire des bisous, hein ? Dites moi, sire Reys. N'êtes vous pas amoureux ? - elle glousse, avant de reprendre - Vous êtes définitivement craquant, un tantinet crédule. N'avez-vous jamais été en couple ? Vous me semblez idéaliser la chose »
Elle fait référence à des amourettes d'adolescence, qui n'ont pas de sens si ce n'est celui que des jeunes être bourrés d'hormones veulent bien leur donner.
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Elle acquiesce d'un signe de tête entendu lorsqu'il énonce vite s'attacher. Elle a bien vu ça, et réalise accessoirement que Tagar rime avec canard. Le pauvre ne sait pas dans quoi il se lance.
La tirade suivante la fait sourire, et, elle change sa position pour rapprocher son visage de celui du noble tout doucement. Alors qu'elle n'est plus qu'à quelques centimètres, son doigt fait irruption entre leurs deux visages, se pose sur les lèvres de l'homme, et elle se recule en arquant un souvenir :
" Puisque c'est ainsi, nous allons même attendre jusqu'au mariage, sire Reys ! - annonce-t-elle moqueuse et taquine - mais je tiens à vous prévenir, mes conseils ne sont pas gratuits ! "
Elle blague, vis-à-vis de son occupation actuelle qui lui permet d'avoir un train de vie plus que confortable. Mais elle ne doute pas un seul instant qu'elle ne manquera pas d'argent si elle se retrouve mariée au Cœur de l'empire. Elle écoute ce qu'il a à dire ensuite, esquisse un petit sourire et lui annonce :
" Je ne suis attendue nulle part. Enfin, si, Pendor attend mon retour pour aller se coucher. Mais je doute qu'il dorme de sitôt, de toute façon. Je vous laisse donc profiter encore quelques temps de mon auguste présence ; d'autant que je dois bientôt rentrer à Taisen "
Son regard croise celui de Tagar, et, elle anticipe en lui annonçant :
" Mais je compte sur vous pour venir me rendre visite au plus tôt, n'est-ce pas ? Vous allez voir. Les baraquements de Taisen sont SPLEN-DIDES "
Elle se remet dans une position plus adéquate, adossée à son siège, en attendant la réponse de son interlocuteur.
La tirade suivante la fait sourire, et, elle change sa position pour rapprocher son visage de celui du noble tout doucement. Alors qu'elle n'est plus qu'à quelques centimètres, son doigt fait irruption entre leurs deux visages, se pose sur les lèvres de l'homme, et elle se recule en arquant un souvenir :
" Puisque c'est ainsi, nous allons même attendre jusqu'au mariage, sire Reys ! - annonce-t-elle moqueuse et taquine - mais je tiens à vous prévenir, mes conseils ne sont pas gratuits ! "
Elle blague, vis-à-vis de son occupation actuelle qui lui permet d'avoir un train de vie plus que confortable. Mais elle ne doute pas un seul instant qu'elle ne manquera pas d'argent si elle se retrouve mariée au Cœur de l'empire. Elle écoute ce qu'il a à dire ensuite, esquisse un petit sourire et lui annonce :
" Je ne suis attendue nulle part. Enfin, si, Pendor attend mon retour pour aller se coucher. Mais je doute qu'il dorme de sitôt, de toute façon. Je vous laisse donc profiter encore quelques temps de mon auguste présence ; d'autant que je dois bientôt rentrer à Taisen "
Son regard croise celui de Tagar, et, elle anticipe en lui annonçant :
" Mais je compte sur vous pour venir me rendre visite au plus tôt, n'est-ce pas ? Vous allez voir. Les baraquements de Taisen sont SPLEN-DIDES "
Elle se remet dans une position plus adéquate, adossée à son siège, en attendant la réponse de son interlocuteur.
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« Six jours, j'y compte bien. Pour la bague, peu importe, vraiment. J'espère juste que vous avez remarqué que j'ai certaines préférences en termes de métaux »
Elle est plus qu'explicite. Dans sa famille, c'est l'argent qui fait foi, mais elle a développé une étrange passion pour l'or et a une collection relativement impressionnante de babioles dans ce métal. Elle aime simplement le doré, et trouve qu'il lui va très bien au teint.
Ses sourcils font une ascension éclair vers le haut de son front quand il propose de passer à la vitesse supérieure, mais, fort heureusement, il ne s'agit que d'une proposition pour jouer à un de ses jeux. Elle glousse et se détend directement quand il présente sa boîte, amusée qu'il choisisse ce moment pour ça. Est-ce de l'humour, ou une réelle envie de jouer ? Ce n'est pas vraiment dans son habitude, mais, pourquoi pas. Elle lui rétorque d'un air faussement outré :
« L'Empereur sait-il que son Cœur est addict aux jeux d'argent ? Il est de mon devoir de lui signaler, et je ne manquerais pas de le faire avant de partir. Avez-vous d'autres surprises de ce genre à me réserver ?! »
Mais elle décide de bel et bien jouer, et commence à piocher ses cartes. Elle prend ces dernières une à une, jusqu'à réaliser qu'elle a perdu. Elle tire une moue boudeuse, pousse un soupir, puis demande simplement :
« Quelle est votre question ? »
Elle est plus qu'explicite. Dans sa famille, c'est l'argent qui fait foi, mais elle a développé une étrange passion pour l'or et a une collection relativement impressionnante de babioles dans ce métal. Elle aime simplement le doré, et trouve qu'il lui va très bien au teint.
Ses sourcils font une ascension éclair vers le haut de son front quand il propose de passer à la vitesse supérieure, mais, fort heureusement, il ne s'agit que d'une proposition pour jouer à un de ses jeux. Elle glousse et se détend directement quand il présente sa boîte, amusée qu'il choisisse ce moment pour ça. Est-ce de l'humour, ou une réelle envie de jouer ? Ce n'est pas vraiment dans son habitude, mais, pourquoi pas. Elle lui rétorque d'un air faussement outré :
« L'Empereur sait-il que son Cœur est addict aux jeux d'argent ? Il est de mon devoir de lui signaler, et je ne manquerais pas de le faire avant de partir. Avez-vous d'autres surprises de ce genre à me réserver ?! »
Mais elle décide de bel et bien jouer, et commence à piocher ses cartes. Elle prend ces dernières une à une, jusqu'à réaliser qu'elle a perdu. Elle tire une moue boudeuse, pousse un soupir, puis demande simplement :
« Quelle est votre question ? »
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Elle n'en dit rien, mais son regard en coin n'en dit que trop. Elle sait que l'or lui va à ravir, et c'est pour ça qu'elle en met. La suite de sa réponse va lui arracher un énième sourire et la conforter un peu plus dans cette décision, un peu rapide, de se marier à nouveau. Elle veut répondre d'un air un peu ignare, mais le fait est qu'elle n'a jamais vu Valeryon. Donc elle lui annonce simplement :
« J'allais jouer la carte de l'ignorance, mais je dois admettre que je n'ai jamais vu l'enfant du couple impérial. J'assume que c'est le cas pour vous ; à part qu'énorme, qu'est-il ? »
La suite la fait glousser, et elle lui annonce :
« Je doute que nous survivions jusque là, mon cher ; mais tant mieux du coup, je ne compte pas mener une vie barbante »
Elle contemple un instant son verre de vin presque vide, et elle le termine d'une traite quand il lui propose son thé. Elle le goûte, puis acquiesce ; les termes choisis étaient judicieux, la boisson étant savoureuse et venait trancher nettement avec l'amertume du vin. La question suivante ne tarde pas, et elle fini par lui répondre :
« Quand j'étais plus jeune, je voulais trois enfants. Maintenant, je suis un peu plus tiraillée. En parlant avec d'autres femmes de mon âge qui sont devenues mères, je me dis que j'attendrais d'en avoir un pour déterminer si oui ou non je suis prête à subir une deuxième fois cette aventure. Mais en voyant ma famille ; je suis issue d'une fratrie de sept, nous sommes maintenant trois encore en vie ; je me dis qu'il faudra que j'en fasse assez »
Elle prend une gorgée, arque un sourcil fasse à ses propres mots, et commente ces derniers :
« Par les astres, qu'est-ce que ça sonne horrible, dis comme ça. Mais c'est malheureusement une triste réalité »
« J'allais jouer la carte de l'ignorance, mais je dois admettre que je n'ai jamais vu l'enfant du couple impérial. J'assume que c'est le cas pour vous ; à part qu'énorme, qu'est-il ? »
La suite la fait glousser, et elle lui annonce :
« Je doute que nous survivions jusque là, mon cher ; mais tant mieux du coup, je ne compte pas mener une vie barbante »
Elle contemple un instant son verre de vin presque vide, et elle le termine d'une traite quand il lui propose son thé. Elle le goûte, puis acquiesce ; les termes choisis étaient judicieux, la boisson étant savoureuse et venait trancher nettement avec l'amertume du vin. La question suivante ne tarde pas, et elle fini par lui répondre :
« Quand j'étais plus jeune, je voulais trois enfants. Maintenant, je suis un peu plus tiraillée. En parlant avec d'autres femmes de mon âge qui sont devenues mères, je me dis que j'attendrais d'en avoir un pour déterminer si oui ou non je suis prête à subir une deuxième fois cette aventure. Mais en voyant ma famille ; je suis issue d'une fratrie de sept, nous sommes maintenant trois encore en vie ; je me dis qu'il faudra que j'en fasse assez »
Elle prend une gorgée, arque un sourcil fasse à ses propres mots, et commente ces derniers :
« Par les astres, qu'est-ce que ça sonne horrible, dis comme ça. Mais c'est malheureusement une triste réalité »
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Un vertige immense prend l'espace d'un instant Alyssa quant il fait mention de nos enfants, alors même que leur rencontre de ce soir n'avait que pour but de valider cette union. Cette confirmation, cette dose de réalité subite sous la forme d'un choix de mots lui fait ressentir un tourbillon d'émotions aussi intenses qu'éphémères. Elle se laisse faire face à ce contact qui se veut empathique, et, se contente de laisser son regard plongé dans le sien sans l'ombre d'un mot.
La discussion prend une tournure d'autant plus dramatique que Tagar commence à parler de son père. Elle s'est renseignée en amont, bien évidemment, mais, n'a pas préféré abordé le sujet directement. Mieux valait que le noble l'aborde lui même et c'est le cas donc elle lui prête une oreille plus qu'attentive. Ses paroles la touche, elle esquisse un sourire tendre et lui répond :
" Je vous en suis gré, Tagar. Je pense que nous avons tous déjà trop perdu, et qu'il est temps de faire en sorte d'aller vers des jours meilleurs "
Ses paroles anodines montrent une certaine opposition avec Pendor ; son frère qui, pense que pour avoir la paix, il faut faire la guerre ; quand elle même a une approche beaucoup plus pacifiste après avoir vu les bains de sang et de tripes qu'a causé le dernier conflit. Un paradoxe, quand elle n'a pas peur de dire les choses en face des gens et d'aller à la confrontation sociale, quand Pendor est beaucoup plus prudent et a tendance à toujours bien tourner les choses pour éviter les problèmes.
La conversation devient pesante, mais des éclats de voix et de rires de la rue malgré l'heure tardive arrachent un sourire à la brune. Elle demande alors à son interlocuteur :
" J'ose espérer quand même que vous aimez les enfants. Je serais curieuse de vous voir en leur compagnie " *
Elle ne doute pas un seul instant que le grand argentier de l'empire saura se débrouiller, mais, à quel prix ? Alyssa, elle, ne s'inquiète pas ; pour en voir relativement souvent à servir de tutrice occasionnelle, elle est à la fois adorée et crainte.
La discussion prend une tournure d'autant plus dramatique que Tagar commence à parler de son père. Elle s'est renseignée en amont, bien évidemment, mais, n'a pas préféré abordé le sujet directement. Mieux valait que le noble l'aborde lui même et c'est le cas donc elle lui prête une oreille plus qu'attentive. Ses paroles la touche, elle esquisse un sourire tendre et lui répond :
" Je vous en suis gré, Tagar. Je pense que nous avons tous déjà trop perdu, et qu'il est temps de faire en sorte d'aller vers des jours meilleurs "
Ses paroles anodines montrent une certaine opposition avec Pendor ; son frère qui, pense que pour avoir la paix, il faut faire la guerre ; quand elle même a une approche beaucoup plus pacifiste après avoir vu les bains de sang et de tripes qu'a causé le dernier conflit. Un paradoxe, quand elle n'a pas peur de dire les choses en face des gens et d'aller à la confrontation sociale, quand Pendor est beaucoup plus prudent et a tendance à toujours bien tourner les choses pour éviter les problèmes.
La conversation devient pesante, mais des éclats de voix et de rires de la rue malgré l'heure tardive arrachent un sourire à la brune. Elle demande alors à son interlocuteur :
" J'ose espérer quand même que vous aimez les enfants. Je serais curieuse de vous voir en leur compagnie " *
Elle ne doute pas un seul instant que le grand argentier de l'empire saura se débrouiller, mais, à quel prix ? Alyssa, elle, ne s'inquiète pas ; pour en voir relativement souvent à servir de tutrice occasionnelle, elle est à la fois adorée et crainte.
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Elle ne demande qu'à voir ça ! Elle imagine le noble face à des hordes d'enfants déchainés et imaginatifs, prêts à tester sa patience jusqu'à ses limites. Quel drôle de scène cela doit être. Elle se demande, au passage, à quoi ressemble Tagar lorsqu'il est énervé. Quand il fait mine, à juste titre, de connaître la réponse, elle lui esquisse un simple sourire complice et un regard en coin pour lui faire comprendre qu'il a la bonne réponse.
La question suivante la fait pouffer de rire. Du sport ? Elle rétorque directement, déjà en levant ses mains ; dans un sens, puis dans l'autre. Elles sont lisses et préservées de toute tâche un peu usante, comme le maniement d'une arme, et ses ongles sont propres, vernis et relativement longs. Mais elle explique surtout la réponse d'un autre argument plus explicite et d'un ton un peu condescendant :
" Je suis une mage, Tagar. Je n'ai pas le temps de m'amuser à agiter de l'acier - elle se souvient alors de la chaise, dans la galerie, et rajoute - d'autant que vous le faites d'une façon exceptionnelle magiquement. Pourquoi vous embêtez physiquement ? Un guerrier digne de ce nom ne fera qu'une bouchée de vous, de toute façon. Votre rôle n'est pas de vous battre "
Elle se recentre sur la question, en annonçant simplement :
" Je n'ai pas vraiment le temps de m'attarder à de l'exercice physique, au risque de vous décevoir "
La question suivante risque d'avoir une réponse moins décevante pour lui, et elle lui annonce simplement :
" Je n'ai pas vraiment eu le choix, puisque je réside à une cour. J'admets ne pas être des plus habiles, mais, je me débrouille et surtout, j'ai appris à m'amuser "
En même temps, vu son tuteur dans le domaine, elle ne pouvait forcément qu'en profiter. Le personnage en question étant sympathique, haut en couleurs et très pédagogue ; et parmi tous les autres courtisans, il était sans doute celui qu'elle pouvait le plus qualifier d'ami. Elle relance en demandant sur le ton de l'humour :
" Rassurez moi cependant, vous ne comptez pas passer votre temps à m'exposer lors de bals et de soirées ? "
La question suivante la fait pouffer de rire. Du sport ? Elle rétorque directement, déjà en levant ses mains ; dans un sens, puis dans l'autre. Elles sont lisses et préservées de toute tâche un peu usante, comme le maniement d'une arme, et ses ongles sont propres, vernis et relativement longs. Mais elle explique surtout la réponse d'un autre argument plus explicite et d'un ton un peu condescendant :
" Je suis une mage, Tagar. Je n'ai pas le temps de m'amuser à agiter de l'acier - elle se souvient alors de la chaise, dans la galerie, et rajoute - d'autant que vous le faites d'une façon exceptionnelle magiquement. Pourquoi vous embêtez physiquement ? Un guerrier digne de ce nom ne fera qu'une bouchée de vous, de toute façon. Votre rôle n'est pas de vous battre "
Elle se recentre sur la question, en annonçant simplement :
" Je n'ai pas vraiment le temps de m'attarder à de l'exercice physique, au risque de vous décevoir "
La question suivante risque d'avoir une réponse moins décevante pour lui, et elle lui annonce simplement :
" Je n'ai pas vraiment eu le choix, puisque je réside à une cour. J'admets ne pas être des plus habiles, mais, je me débrouille et surtout, j'ai appris à m'amuser "
En même temps, vu son tuteur dans le domaine, elle ne pouvait forcément qu'en profiter. Le personnage en question étant sympathique, haut en couleurs et très pédagogue ; et parmi tous les autres courtisans, il était sans doute celui qu'elle pouvait le plus qualifier d'ami. Elle relance en demandant sur le ton de l'humour :
" Rassurez moi cependant, vous ne comptez pas passer votre temps à m'exposer lors de bals et de soirées ? "
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Elle tire une moue perplexe quand il énonce que la magie n'est pas la solution à tout. Elle peut l'être, si on est assez bon aux yeux de la jeune magicienne ambitieuse. Surtout pour eux, misérables humains, l'âme est plus puissante que leur enveloppe charnelle ! Elle hausse les épaules pour dissiper le sujet et passe à autre chose.
Elle roule des yeux de façon ostensible quant il fait référence à leurs occupations nocturnes. Elle lui répond d'un ton faussement sérieux :
" C'est assumé que j'ai envie soit de danser avec vous, soit de vous embrasser. Qui vous dit que j'ai envie de faire l'un ou l'autre ? "
Elle lève le menton, le jauge d'un air condescendant particulièrement convaincant. Elle fait mine d'être choquée par ce choix de lune de miel et lui annonce :
" Moi qui espérait rester dans mon confort austère de Taisen, n'allez pas trop me chambouler non plus ! - elle marque un temps d'arrêt, puis, rajoute un peu plus sérieuse - Je ne sais pas s'il est de bon goût en vue de vos fonctions d'être trop exotiques. Les gens vont associer notre voyage avec des deniers publics, même si c'est faux. Ne vous sentez pas obligé de faire quelque chose d'exceptionnel ; je n'en ressens vraiment pas le besoin. Vous avoir est déjà bien assez, et, je préfère avoir un changement progressif plutôt qu'une rupture nette avec une lune de miel "
La conseillère s'est exprimée autant que la fiancée. Reste à voir à quel point ce genre de frivolités comptent pour son futur époux. Elle lui lance un regard un peu plus doux, en espérant ne pas avoir été trop brusque dans sa franchise.
Elle roule des yeux de façon ostensible quant il fait référence à leurs occupations nocturnes. Elle lui répond d'un ton faussement sérieux :
" C'est assumé que j'ai envie soit de danser avec vous, soit de vous embrasser. Qui vous dit que j'ai envie de faire l'un ou l'autre ? "
Elle lève le menton, le jauge d'un air condescendant particulièrement convaincant. Elle fait mine d'être choquée par ce choix de lune de miel et lui annonce :
" Moi qui espérait rester dans mon confort austère de Taisen, n'allez pas trop me chambouler non plus ! - elle marque un temps d'arrêt, puis, rajoute un peu plus sérieuse - Je ne sais pas s'il est de bon goût en vue de vos fonctions d'être trop exotiques. Les gens vont associer notre voyage avec des deniers publics, même si c'est faux. Ne vous sentez pas obligé de faire quelque chose d'exceptionnel ; je n'en ressens vraiment pas le besoin. Vous avoir est déjà bien assez, et, je préfère avoir un changement progressif plutôt qu'une rupture nette avec une lune de miel "
La conseillère s'est exprimée autant que la fiancée. Reste à voir à quel point ce genre de frivolités comptent pour son futur époux. Elle lui lance un regard un peu plus doux, en espérant ne pas avoir été trop brusque dans sa franchise.
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