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Citoyen de La République
Perrine Trouillard
Messages : 31
crédits : 1651
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Pierrick Trouillard
Race : Mort-vivant
Sexe : Masculin
Âge : 28 ans
Métier : Assistant contre son gré
Taille & poids : 1m80 & 90kg (larves oblige)
Alignement : Loyal Mauvais
Faction : République
Rang : E
Religion : Athée
Avatar : Midjourney
Pouvoirs et objets
- Guerrier – CombattantImmunité : OmbreFaiblesse : Lumière
- Force surhumaine — Palier 1
- Supervitesse — Palier 1
Description physique et mentale
Pierrick a l'insouciance des enfants pas sages. Ou du moins, avait. Drôle de poisson, baroudeur, un peu escroc sur les bords – le genre à vous siffler l'eau des roses — il n'en restait pas moins joli cœur. On l'aimait bien. Les filles aussi—quoi que maintenant un peu moins, à moins d'avoir une passion nécrophilique pour les cadavres... Affreusement attendrissant, belle gueule, on lui pardonnait tout, ou presque. Loin d'être l'érudit exemplaire qu'était sa sœur, le garçon était malin comme un singe et faisait preuve d'une petite révolte insatiable—ça, c'était dans ses tripes, comme un trou béant qu'il lui faut combler de n'importe quelle manière, quitte à s'y brûler comme un con. Et pour lui, c'était malheureusement ce qu'il s'était passé—si vous me demandez à moi, je dirais qu'il l'a mérité.
Aujourd'hui, le garçon est beaucoup moins lumineux. En dépit de son malheur, il parvient encore tout de même à offrir quelques sourires, bien que ceux-ci lui donne l'air plus macabre, moins filou. Quand il parle, ses mots sont décousus et ses souffles gargouillent d'une vie qui ne lui appartient pas. Son corps parle désormais de lui-même, obéit aux ordres de sa sœur. En putréfaction perpétuelle, il redécore le plancher sous son passage : de larves de mouches et de jolis coléoptères. Pierrick ne sera pas éternel : un jour, les acariens finiront pas dessécher son corps, et les restes de sa carcasse en compote seront engloutis par cette vie grouillante qui occupe désormais ses entrailles.
Aujourd'hui, le garçon est beaucoup moins lumineux. En dépit de son malheur, il parvient encore tout de même à offrir quelques sourires, bien que ceux-ci lui donne l'air plus macabre, moins filou. Quand il parle, ses mots sont décousus et ses souffles gargouillent d'une vie qui ne lui appartient pas. Son corps parle désormais de lui-même, obéit aux ordres de sa sœur. En putréfaction perpétuelle, il redécore le plancher sous son passage : de larves de mouches et de jolis coléoptères. Pierrick ne sera pas éternel : un jour, les acariens finiront pas dessécher son corps, et les restes de sa carcasse en compote seront engloutis par cette vie grouillante qui occupe désormais ses entrailles.
Histoire
Esprit libre, Pierrick avait toujours eu l'intention de filer entre les doigts de son petit monde sans jamais se faire attraper. Mais les hommes sont d'un naturel à convoiter toujours plus, et surtout, ce qu'ils ne peuvent pas avoir. Pierrick – pourtant bien parti dans la vie – l'a apprit à ses dépens.—cette blatte idiote avait eu la bonne idée d'aller piocher dans l’assiette du voisin... Frère aîné de Perrine, il est celui qui l'initie aux arts nécromantiques—c'est-à-dire que c'était bien pratique de m'avoir sous le coude pour faire ce qu'il ne voulait pas faire, jusqu'au malheureux événement. Trop audacieux, il rentre à l'appartement blessé et surtout contaminé par la fièvre noire. Sa sœur le sauve de la mort, ou – selon les points de vue – le condamne à une vie bien morne.
Citoyen de La République
Perrine Trouillard
Messages : 31
crédits : 1651
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Paulo
Race : "Hybride" insectoïde
Sexe : Non applicable
Âge : 3 ans
Métier : Créature-à-tout-faire
Taille & poids : 2m10 & 130kg
Alignement : Loyal Neutre
Faction : République
Rang : E
Religion : Non applicable
Avatar : Midjourney
Pouvoirs et objets
- Guerrier – Assassin
- Allongement des membres — Palier 1
- Super vitesse — Palier 1
Immunité : Douleur physique
Faiblesse : Psychique
Description physique et mentale
Paulo n'est ni vraiment un humain, ni un hybride. Il est une chose, à la forme humanoïde, la plupart du temps. Du moins, on pourrait le confondre avec un homme, dans l'obscurité d'une ruelle. Il suffit alors de s'approcher d'un peu plus près pour réaliser que d'humain, il n'a rien — qu'il n'est qu'un amas grouillant de milliers d'insectes, formant une silhouette vaguement précise, mais jamais fixe. Un cauchemar vivant en perpétuelle mutation—et si vous me demandez mon avis, Paulo est une véritable merveille vivante : un spectacle en constant mouvement, une marée sans fin de scarabées noirs, de cafards luisants et de mille-pattes frénétiques. C'est un superbe tableau tout droit sorti de mon imagination. Tantôt, une main se forme, tantôt, elle se dissout avant de fondre à nouveau dans le chaos rampant.
Chaque mouvement révèle des éclats de chitine brillante et des ailes translucides—et de temps à autres, des insectes tombent de son corps ou se dispersent dans tous les sens avant de revenir se fondre dans cette masse grouillante. Il se déplace avec une intention incertaine, donnant plus le sentiment de glisser que de marcher véritablement. Il faut bien s'en douter, l'odeur est à l'image de la crasseuse créature : nauséabonde, un mélange de pétrichor, de décomposition et de moisissure. Et bien que Perrine soit maniaque, dans le cas de ses expériences, tout ça ne semble pas la déranger.
Ce qui est d'ailleurs merveilleux avec Paulo, c'est qu'il ne parle pas et qu'il ne se plaint jamais. Non, car son faciès n'est qu'une vague suggestion de traits, indiscernables, qui apparaissaient et disparaissent au gré de la Vie qui le compose. Elle ne parle pas, ne communique pas de manière conventionnelle. De ses profondeurs n’émanent que des glapissements, des cris aigus et déformés, comme les échos d'une souffrance incompréhensible.
Chaque mouvement révèle des éclats de chitine brillante et des ailes translucides—et de temps à autres, des insectes tombent de son corps ou se dispersent dans tous les sens avant de revenir se fondre dans cette masse grouillante. Il se déplace avec une intention incertaine, donnant plus le sentiment de glisser que de marcher véritablement. Il faut bien s'en douter, l'odeur est à l'image de la crasseuse créature : nauséabonde, un mélange de pétrichor, de décomposition et de moisissure. Et bien que Perrine soit maniaque, dans le cas de ses expériences, tout ça ne semble pas la déranger.
Ce qui est d'ailleurs merveilleux avec Paulo, c'est qu'il ne parle pas et qu'il ne se plaint jamais. Non, car son faciès n'est qu'une vague suggestion de traits, indiscernables, qui apparaissaient et disparaissent au gré de la Vie qui le compose. Elle ne parle pas, ne communique pas de manière conventionnelle. De ses profondeurs n’émanent que des glapissements, des cris aigus et déformés, comme les échos d'une souffrance incompréhensible.
Histoire
Son histoire est affreusement courte — car pour le reste du Monde, Paulo n'existe pas vraiment. Pour Perrine, il est l'une de ses premières expériences, un ami imaginaire qui a évolué avec elle – d'abord dans ses songes – pour finir par prendre forme dans le réel. Cette entité est un abîme de terreur crasseuse : une création sans conscience, née des recoins les plus sombres et souillé de la terre. Une magnifique horreur vivante et changeante, toujours en mouvement, toujours en quête selon les besoins de sa créatrice.
Divinité primordiale
L'Âme des Cendres
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